Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes (2 : la Suite d

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes (2 : la Suite d Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes (2 : la Suite d
Lors d’un récent séjour dans un hôtel de luxe sur une ile des Cyclades, Philippe, mon mari candauliste et moi, son épouse hypersexuelle, avons pu (enfin !) donner libre cours à nos désirs. (Voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes (1 : la séduction) », publié sur HDS le 24 novembre 2021)
Dès notre arrivée sur notre lieu de villégiature, je me suis lancée, poussée par mon époux, dans une offensive de charme. Le Brunch du premier matin a permis de trouver un partenaire comme nous les recherchons, Alexis, un quinquagénaire viril.

Impatients tous les trois, nous n’avons pas voulu remettre à plus tard. C’est donc ensemble que nous avons quitté le parvis de la grande piscine, où se déroulait le brunch. Ou plus exactement, je suis partie main dans la main avec Alexis, tous les deux suivis à courte distance par Philippe.

Comme nous étions arrivés précédemment main dans la main avec Philippe, il n’avait pas échappé aux observateurs attentifs que j’avais changé de partenaire. Ils ne pouvaient que constater la bienveillance du mari. Il était évident que tout cela n’était pas discret, mais c’est ce qu’avait voulu Philippe, ne serait-ce que dans la manière dont j’étais habillée et qui résultait de son choix.

Alexis avait compris ce que nous recherchions et se comportait en conséquence. Il n’attendit pas d’être sorti de la salle de restauration, pour me prendre dans ses bras, me serrer contre lui, ses mains sur mes fesses et prendre possession de mes lèvres, sa langue allant à la recherche de la mienne, dans un baiser interminable.

• To niótheis? (« Tu la sens »)
• O nai! Me kánei na thélo (« Oh oui ! Elle me fait très envie)
• Tha se gamíso ! (« Je vais te baiser »)
• Páme stin krevatokámara! den boró na periméno állo (« Allons à la chambre. Je ne peux plus attendre »)
J’étais dans un tel état d’excitation, que ma main était sur la braguette de mon futur amant et que je l’embrassais à nouveau fougueusement, sous le regard bienveillant de Philippe. J’avais une telle envie qu’il était prudent de rejoindre la suite, pour ne pas ajouter au scandale que nous avions déjà créé.

Arrivés au lieu qui allait abriter nos plaisirs, c’est Philippe qui ouvrit la porte de la Suite, ajoutant :
• Voici le royaume du plaisir de ma chérie ! A toi de jouer, Alexis, fais-jouir ma belle !

***
Alexis me prit par la main pour me faire entrer, alors que Philippe nous suivit et prit soin de refermer soigneusement la porte de la Suite derrière nous, en ayant mis le panonceau « Do not disturb »
Avec la tenue qu’avait choisie pour moi Philippe avant que nous nous rendions au Brunch, Alexis n’avait pas beaucoup d’efforts à faire pour que je sois nue. Il fit passer par-dessus ma tête la robe cache-maillot blanche, en tricot. Puis il ouvrit l’agrafe du haut du bikini, libérant mes petits seins. Mes tétons étaient en érection, durs, ils me faisaient presque mal. Le slip de bain fut lui aussi vite descendu. Je n’avais plus que ces chaussures à haut-talon que Philippe avait imposées pour mettre mes jambes et mon cul en valeur.

Les mains, la bouche et la langue d’Alexis ne me laissaient aucun répit. Mon amant m’embrassait à en perdre le souffle, ses caresses me faisaient frissonner, ses baisers m’électrisaient. Il n’avait pas échappé à l’homme que ma chatte était béante, et ses doigts s’empressèrent de vérifier ce qu’il soupçonnait. Il mit un, puis, deux, puis trois doigts, commençant à me pénétrer. Sa langue ne restait pas inactive, s’occupant de titiller mes tétons, me rendant folle de plaisir, n’ayant plus qu’une envie, celle d’une femelle face à un mâle. Je voulais avec avidité être prise, être saillie, être baisée.

Je gémissais. Allait-il m’offrir ainsi un premier orgasme ? Voulait-il me fister? Je fermais les yeux, m’abonnant, la tête sur son épaule. Et ce d’autant plus qu’il enfonça l’index de son autre main dans mon petit trou.

• Tu es trempée, ma belle. Tu es particulièrement excitée !

• Oh oui, continue, j’aime tant m’offrir devant mon chéri.

Je réussis pourtant à reprendre provisoirement le contrôle de la situation, car je voulais, à mon tour, découvrir l’objet de mes désirs. J’ouvris sa ceinture et fis tomber son pantalon de toile, avec la surprise de découvrir qu’il ne portait en dessous ni slip ni caleçon. Comme je l’avais déjà deviné, l’engin était impressionnant, en pleine érection, exprimant son désir pour moi. Je le caressais, ma main n’en faisait pas le tour.

Je me suis mise à genoux, pas pour marquer ma fascination envers ce phallus que je désirais tant, mais pour l’honorer de la langue, de mes lèvres, de ma bouche. Tout cela en étant si proche de Philippe, qui n’en perdait pas une miette, émoustillé devant ma gourmandise.

Ce fut au tour d’Alexis, si dominateur jusque-là, si sûr de lui, d’être sur le point de perdre pied. Il tenait ma tête, s’enfonçant au plus profond de ma bouche, m’imposant un coït buccal. Il résista au dernier moment à l’envie de jouir dans ma bouche et me repoussa, me fit me relever et, après avoir déposé un tendre baiser sur mes lèvres, prit ma main pour me conduire vers ce lit « super king size » qu’il allait être le premier amant à étrenner au cours de ce séjour.

• Ta bouche est merveilleuse ! Mais toi et moi avons envie d’autres choses.

Alexis me prit dans ses bras, me porta jusqu’au lit, me déposa délicatement, comme une offrande.

Philippe, qui allait s’installer à son poste d’observateur privilégié, sur son fauteuil, eut le réflexe de se diriger vers nous, tendant un préservatif à mon amant.

• Ne t’inquiète pas, je n’oublie pas. Mais avant, j’ai envie de fouiller sa chatte, de la gouter, de la boire.

***
Alexis s’installa entre mes jambes, et aussitôt, sa langue diabolique vint me fouiller, bien décidé à s’occuper de mon clitoris en feu et de ma chatte trempée de cyprine. L’instinct, l’expérience d’Alexis lui avaient fait deviner que je suis multi-orgasmique et qu’il pouvait donc, par un cunnilingus d’expert, m’envoyer une première fois en l’air.

Le diable était entre mes jambes dans le but de me faire exploser. Sa langue... sa langue était délicieuse, se glissant doucement sur mon pubis, mon clito et mes lèvres intégralement douces. Il me dégusta pendant au moins 15 à 20 minutes, le temps me paraissait interminable et si exquis.

Philippe, en connaisseur, s’était installé sur le fauteuil et n’en perdait pas une miette. Il avait sorti sa queue, mais prenait soin de ne pas se masturber, sachant que la séance ne faisait que commencer.

Pourtant habituée aux cunnilingus de Philippe et de ma compagne Agun, je devais reconnaitre que j’étais tombée sur un expert. Mon amant était entièrement concentré sur ma chatte, avec un objectif très clair : me faire mourir de plaisir.

Je ne comptais plus les variantes de sensations que j'éprouvais : un frisson, une montée de chaleur, une intimité plus qu'humide, un clito gonflé, des lèvres offertes. Mes jambes reposaient sur ses épaules, mes mains sur sa tête pour ressentir doublement chaque mouvement qu'il me procurait en plus de sa bouche sur ma chatte, de sa langue entre mes cuisses ! Mes yeux étaient mi-clos, mon visage exprimait la montée inexorable de mon plaisir.

• Oh Alexis, Ouiiiii Continue ! Ta langue est diabolique.

• Ca te plait, ma chérie ?

• Oh oui, mon Philippe.

• Que tu es belle ! Comme j’aime être l’ordonnateur et le témoin de ton plaisir.

Alexis ne se laissait pas distraire de ce qu’il était en train d’accomplir. Il me donnait de petits coups de langue effrénés agissants comme un vibro, puis il ralentissait, pour passer doucement sur le bord des lèvres, glissant sa langue lentement dans mon sexe, me dévorant. Il finit par me mordiller le clito et le suçoter.

Ma tête était en feu et, quand je sentis l'orgasme pointer son nez, je me mis à le supplier de ne surtout pas arrêter, avec des « oh oui... oh ouiii mon dieu que c'est bon... ». Entièrement cambrée, offrant ma chatte à cet ultime délice, c'est en tenant sa tête que j'explosais bruyamment sous sa langue. Une vague brûlante m'envahit, pleine de spasmes.

Après un orgasme incroyable, dégoulinante de plaisir, il recommença de me lécher, de me bouffer le minou avec délectation... Mais cette fois ci, en plus des caresses de lèvres, de langue agile et de clito titillé, il mêla ce qui me rend totalement dingue : ses doigts. Un... puis deux... puis trois très vite, appuyant sur mon point G interne, et continuant le travail de sa bouche en même temps, le supplice était intense. Soutenu. Extrême.

Après quelques minutes à le supplier de toutes les façons de m'achever, d'arrêter, je jouissais dans un véritable cri, dépassant l'entendement, dans ma tête. Je me mis à frissonner, prise de spasmes puissants, perdant la tête, les larmes coulant sur mon visage tellement la jouissance était insoutenable pour ma tête et mon corps
Une attention toute particulière qui me donnait encore plus envie qu'il me pénètre, me tue sous ses coups. Que mon bourreau jouisse à son tour !

***
Après deux orgasmes d’une telle violence, Alexis eut la délicatesse de me laisser récupérer, alors même que sa formidable érection indiquait ses intentions. Je me lovais dans ses bras, il me caressait et m’embrassait avec beaucoup de tendresse. Nos baisers devenaient peu à peu de plus en plus fougueux et passionnés. Nous nous comportions comme un couple, chose étrange alors que nous étions sous le regard attentif, bienveillant, excité de mon mari candauliste. Cette présence de Philippe garantissait que les choses ne dérapent pas.

Pendant les sept premières années de notre vie commune, j’avais refusé à Philippe ce qu’il avait tant voulu, la réalisation de ses fantasmes candaulistes, avant de finir par lui céder et que nous tombions dans les pires excès, dès lors que j’étais poussée vers ma pente naturelle, celle d’une hypersexualité sans limites. Avec Rachid, avec Hassan, avec N, ces pratiques avaient failli détruire notre couple et nous avaient amené loin, très loin, trop loin. Seul notre amour avait permis de surmonter ces épreuves et de reconstruire, de nous efforcer de combiner un candaulisme et une hypersexualité régulés et raisonnables.

Philippe a été tant de fois témoin de mes étreintes. Et pourtant, il y prend toujours autant de plaisir. De même que mon plaisir est incomparable quand il en est l’ordonnateur, le complice, le témoin.

De par notre vieille complicité, nous n’avons pas besoin de nous parler. Philippe me connait mieux que personne. Il sait ce dont j’ai besoin. Je lui adresse un regard qui exprime mon attente, ma reconnaissance, mon amour infini pour ce mari si particulier, qui m’aime encore plus quand il m’offre à d’autres.

• Bien sûr, mon amour, dit Philippe. Je sais que tu en a tant envie. C’est le moment !

J’en veux davantage. Mon regard se fait insistant, presque suppliant. Philippe comprend immédiatement. Il fait non de la tête. J’insiste :
• Chéri !

• Non, je sais que tu es en manque, que tu as envie de te donner totalement, que c’est comme ça que tu prends le plus de plaisir, mais nous devons nous en tenir à la règle que nous nous sommes fixés.

Philippe se dirige vers Alexis et lui tend un préservatif :
• Elle n’en peut plus d’attendre. Je te confie ce que j’ai de plus en plus précieux. Baise-la et baise-la bien !

Alexis a observé, sans intervenir, notre discussion et notre rituel. Il nous dira plus tard que, lui aussi, étant sain, aurait préféré me prendre sans protection et se vider en moi. Mais c’est sans hésiter qu’il respecte la règle du jeu imposée par Philippe et enfile le préservatif modèle large. Philippe a manifestement anticipé que mes partenaires seraient bien pourvus.

Maintenant qu’il a eu le feu vert de Philippe, qui s’est installé sur le fauteuil, Alexis a bien l’intention de prendre le contrôle de la situation. Il a d’instinct compris ce dont nous avons besoin. La tendresse, c’est le domaine de Philippe. Ce dont j’ai envie à ce moment-là, pour mettre fin à un manque qui dure depuis des semaines et semaines, ce n’est pas de faire l’amour. Je ne recherche pas un adultère, une liaison, à faire l’amour. Mon envie, ce n’est même pas un amant, c’est un mâle, un étalon que je veux.

Je veux être prise, possédée, m’envoyer en l’air, devant mon chéri, parce que je sais qu’il l’a voulu et qu’il aime tant ça.

• Mets-toi à quatre pattes, petite garce ! Dis-moi ce que tu veux !

• Que tu me baises !

Alexis sait qu’il peut y aller carrément, que je n’attends que ça, que je suis suffisamment ouverte et lubrifiée pour apprécier un assaut brutal, une véritable saillie. Et c’est ce qu’il fait, s’enfonçant au plus profond de mon vagin, jusqu’à ma matrice.

• Prends ça !

• Ohhhh, que tu es gros, mais comme j’aime ça !

Alexis engage alors un coït en levrette qui est une vraie chevauchée, alternant les moments de rapidité, puis sachant ralentir afin de retarder l’échéance.

Mes gémissements deviennent des cris, puis des hurlements de plaisir. Alexis sait gérer mon plaisir et témoigne d’une formidable résistance. Philippe sait ce que je ressens mais notre rituel est que je le lui exprime :
• Tu aimes ça, ma chérie ?

• Oh oui, c’est si bon. Oh vas-y, Alexis, pilonne-moi, démonte-moi. Oui, comme çaaaaa.

• Je te la mets bien profond, ça te plait ?

• Ouiiiii beaucoup ! Oh, plus vite. Oh, mon Dieu !

Je sens que mon orgasme vient et qu’il sera puissant, dévastateur. Le regard de Philippe ne me suffit plus. J’ai besoin de sa proximité, de ses caresses, de ses baisers. Il le sait et se rapproche du lit, où je suis en train de me faire prendre par un autre homme.

• Embrasse-moi mon amour. Je suis heureuse et c’est grâce à toi.

Alexis observe, intrigué, notre couple si particulier, mais ne se laisse pas dévier de son objectif : mon plaisir. Il sait qu’un tsunami s’annonce
• Ohhhh, ça vient, je jouis ! Ouiiiiiiiiiii. Encoreeeeee. Oh, Philippe, je t’aime!

Je serre la main de Philippe, à lui en écraser les doigts, avec une force dont je ne me pensais pas capable.

De sa main libre, Philippe dirige sa verge vers moi, et de façon concomitante à mon orgasme, jouit à son tour. La première giclée, puissante, m’atteint au visage. J’ouvre la bouche pour recueillir la seconde et je m’efforce de recueillir le plus possible de la semence de mon homme, qui vient dans ma bouche pour se finir.

Il est temps aussi pour mon amant du moment de se soulager. Alexis se libère du préservatif et, à peine Philippe sorti de ma bouche, il le remplace. Je n’aurai pas besoin de lui faire une longue fellation pour qu’à son tour, Alexis se vide dans ma bouche. Sa semence se mélange à celle de mon chéri et je prends soin d’avaler sa semence, le moins que je pouvais faire suite au plaisir qu’il m’avait prodigué.

Alexis remit le couvert toute la matinée, portant attention à tous mes orifices et me faisant oublier ma longue pénurie.

En partant, Alexis annonça que, dans le cadre de son séminaire, il allait être rejoint dans la journée par des proches, qui seraient autant de partenaires potentiels pour nos jeux. Philippe se montra immédiatement enthousiaste devant cette perspective, qui nous ferait passer à un autre stade.

(à suivre) : « moments candaulistes (3 : nouveaux partenaires)

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