Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes : 4) le masseur

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes : 4) le masseur Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes : 4) le masseur
AVERTISSEMENTS
Ce récit reprend quelques dialogues en Grec, qui sont traduits, ainsi que des échanges en Anglais, qui, quand ils sont suffisamment explicites, peuvent se passer de traduction.

J’avais initialement prévu, dans ce chapitre, de raconter également le trio avec Alexis, Sotiris et Demetrios. La longueur du texte m’a conduit à choisir de publier ce récit en deux parties.

RESUME
Lors d’un moment d’accalmie dans la pandémie, à l’automne 2021, nous avons profité, Philippe, mon mari candauliste et moi, son épouse hypersexuelle, d’un séjour dans un hôtel de luxe sur une ile des Cyclades, pour donner libre cours à nos désirs. Je renvoie à la lecture des textes précédents publiés sous la rubrique « moments candaulistes » : « 1 : la séduction) », publié sur HDS le 24 novembre 2021, « 2 : la Suite des plaisirs », publié le 16 décembre 2021 et « 3 : déjeuner et plage », publié le 26 janvier 2022.

Dès notre arrivée sur notre lieu de villégiature, je me suis lancée, poussée par mon époux, dans une offensive de charme. Le Brunch du premier matin a permis de trouver un partenaire comme nous les recherchons : Alexis, un quinquagénaire viril, venu dans cette villégiature pour un séminaire professionnel. J’ai pu vérifier, au cours de la matinée, en présence et avec la complicité de Philippe, que notre choix était bon, Alexis étant à la hauteur de toutes nos attentes.

Il était convenu avec Alexis qu’à l’issue de la première séance de son séminaire, il devait nous retrouver sur la plage avec ses collègues Sotiris et Demetrios, des libertins comme lui. Il s’agissait de vérifier que le courant passait bien, avant une soirée qui s’annonçait très chaude.

Alors que la matinée, jusqu’au déjeuner inclus, avait été intense pour moi, l’après-midi a été terriblement frustrante. Suivant les instructions de Philippe, j’avais adopté une tenue et un comportement provoquant, mais sans donner suite aux sollicitations. J’avais, parfois difficilement, résisté aux tentations et j’ignorais, à ce moment-là, les messages très explicites déposés à la réception.

En fin d’après-midi, Spyridon, un masseur quinquagénaire, se propose de me « soulager ».

***
Cette proposition vient à point nommé. Après des mois de « disette », l’activité sexuelle intense pratiquée depuis notre arrivée à cet hôtel avait mis le feu en moi. Cette après-midi, voulue par Philippe comme un moment de pause nécessaire, faisait au contraire que j’étais en manque.

Ne pouvant résister au regard implorant que je lui adresse, Philippe fait oui de la tête. Je me suis étendue sur ma serviette. J’avais avec moi de l’huile solaire qui pouvait aussi convenir à cet usage. Je me suis détendue totalement, me livrant aux mains expertes de Spyridon.

Nous sommes heureusement à distance des autres occupants de la plage, qui, en ce début d’automne, commencent à regagner l’hôtel. Comme j’ai choisi de bronzer topless, je ne porte que le slip de bain du bikini très sexy de chez « Pain de sucre », qu’avait choisi pour moi Philippe.

Spyridon me demande de m'allonger sur le ventre. Il commence par étaler l'huile sur la nuque, les épaules, le dos, avant de descendre vers la taille. Spyridon me demande si je veux conserver mon slip de bain. En guise de réponse, je soulève les fesses. Il comprend et il m’aide à ôter ma culotte. Il m'enduit les fesses, puis continue vers les cuisses. Il est très doux. D'une légère pression, il m'invite à écarter les jambes. Il reste quelques temps sur les cuisses, avant de descendre pour masser les mollets et les pieds. Puis il revient sur les cuisses. Ses mains s'approchent de mon sexe et par moments, ses doigts effleurent mes lèvres. Puis il remonte sur mes fesses dont il a écarté les globes. Je sens l'excitation monter et ma chatte s’humidifier.

Je tends un bras en direction de Philippe. Il prend ma main entre les siennes. Mon corps a besoin de caresses. Je soulève les fesses à la rencontre des mains de Spyridon. Je sais que je suis impudique. Je me sens belle et désirable et j'en ressens une immense fierté. Spyridon continue à masser l'intérieur de mes cuisses et mes fesses. Il glisse une main sous mon ventre. Il prend mon pubis dans la paume de la main et le presse plusieurs fois comme un fruit mur. Je laisse suffisamment d'espace pour qu'il puisse me peloter et d'autre part, je veux me lover au creux de sa main. Il cesse de me peloter le pubis pour remonter le long de mes lèvres, un doigt de chaque côté de ma fente humide et il termine par un doigt sur mon œillet.

Je suis hyper excitée. J'ai une envie folle qu'il me soulage en caressant mon clito ou en glissant un doigt dans ma chatte. Mais au lieu de cela, il verse de l'huile entre mes fesses. Je la sens couler sur ma fente. Lorsque le liquide atteint mon bouton, je ressens le début d'un orgasme.

Juste à ce moment, Spyridon m'invite à me retourner. Il se met à genoux dans le sable, un genou de chaque côté de ma tête. Il masse maintenant mes épaules et le dessus de mes seins. Il est si près de mon visage que je peux constater qu’il bande. De son côté, Philippe serre ma main de plus en plus fort pour m’encourager. Spyridon passe alors sur mes seins, dont il remarque immédiatement l’extrême sensibilité.

Sa verge, à quelques centimètres de mon visage, me fait tellement envie. Spyridon me rend folle. Il pince mes tétons, qui sont en érection. Spyridon s’allonge au dessus de moi pour y verser de l'huile. J'ai alors son sexe au dessus du visage. J'ai envie de soulever la tête et de l'embrasser au travers du maillot. Je meurs d’envie de prendre cette verge en bouche mais la peur d’être vue et de provoquer un scandale me retient.

Entre temps, Spyridon est passé au dessus de moi pour s'agenouiller à hauteur de mes hanches. Il verse de l'huile sur le ventre et sur les jambes. Il passe rapidement sur le ventre.

Philippe et lui sont parfaitement complices :
• Ecarte les jambes, ma chérie !

Spyridon masse les cuisses, les mollets, revient sur les cuisses, puis sur les hanches, redescend sur les cuisses en passant sur les côtés de ma vulve.

• Ánoixe perissótero ta pódia sou omorfiá mou! (« Écarte les jambes davantage, ma belle! »)
En même temps, pour vérifier son consentement, il regarde en direction de Philippe, qui lui fit signe de continuer.

Alors Spyridon caresse mon pubis et les lèvres. J’ai rarement été caressée aussi longtemps et avec autant de sensualité. La plupart de mes amants se précipitent vers ma chatte ou vers mon clitoris. Spyridon, lui, me caresse avec une infinie douceur, comme s'il me caressait la joue. Je sens que mes lèvres s’ouvrent. Spyridon verse un peu d'huile sur mon clito. Quand l'huile ruisselle sur mon bouton, je ne peux retenir un petit cri de plaisir. Je soulève alors les fesses, pour l'inviter à accélérer le rythme.

Philippe met un petit coussin gonflable sous ma nuque et je regarde Spyridon droit dans les yeux ou alors le mouvement de ses mains sur mon sexe. Je sens que son regard augmente son excitation.

• Sas arései kyría? (« Ca te plait Madame ? »)
• O nai! Agapó! Parakaló synéchise (« Oh oui ! J’adore ! Continue, s’il te plait)
Philippe s’allonge à côté de moi et se met sur le flanc, pour tenter de cacher la scène des regards des voisins, même si ceux-ci sont à distance respectable. Il me tient la main et, en même temps, caresse doucement sa queue
• Vas-y mon amour. Je veux te voir jouir !

Je sais, depuis que nous sommes ensemble, que ma jouissance est la première préoccupation de mon mari.

De la main gauche, Spyridon se met à me tilitiller le clito pendant que de la main droite, il glisse le pouce dans ma chatte et l'index dans mon anus. Je jouis en quelques secondes.

• teleióno! Ach ti kalá! Páli!!! (« Je jouis! Oh que c'est bon! Encore!!! »)
Je ne peux retenir mes cris, même si je sais que cela va faire comprendre aux autres occupants ce qui se passe au bout de la plage. Cela devait d’ailleurs susciter une des plaintes déposées contre nous auprès de la Direction de l’hôtel pendant notre séjour. J’en reparlerai.

L'impudeur de la situation et le fait que cet homme ne se soucie que de mon plaisir sans chercher à me baiser, même si je lui étais promise pour le lendemain, me rend folle de désir.

• Akóma thélo na teleióso (« J’ai encore envie de jouir »)
Je sens le pouce de Spyridon dans mon vagin et son index dans mon œillet qui se remettent en mouvement. Je sens ses deux doigts qui se referment à l’intérieur. Je ne retiens plus mes cris, je me livre totalement à la science de cet homme. Je sens mon anus vibrer autour de son doigt. Il me sent prête pour un nouvel orgasme et il pince alors mon clito.

Je jouis pour la seconde fois. Spyridon est très fier et affiche un large sourire.

J'aurais voulu que cela continue, que Spyridon me fasse jouir encore et encore, qu'il me baise, qu'il m'offre sa queue, car c’est de ça dont j’avais maintenant besoin. Je me voyais les bras autour de son cou, mes jambes autour de sa taille et lui me limant avec fougue. C'est à ce moment que j'ai senti le souffle de Philippe sur mon visage, ses lèvres s'approchant des miennes et m'embrassant avec tendresse. J'ai ouvert les yeux. Je l'ai regardé avec amour. C’est grâce à lui que tout ça était possible :
• Je t’aime mon Philippe !

• Tu es si belle quand tu jouis, Basilissa moy ! Merci Spyridon ! Tu as bien mérité de baiser mon Olga demain après-midi.

Je me suis redressée, j'ai passé un bras autour du cou de Spyridon et je l’ai remercié par un baiser. Il savait qu’il recevrait sa vraie récompense le lendemain après-midi.

***
J’ai remis mon bikini et j’ai tenté de me calmer, en sachant qu’Alexis et ses collègues Sotiris et Demetrios n’allaient pas tarder à nous rejoindre à la plage.

Et, en effet, ils arrivent peu après. Alexis n’a pas menti. Sotiros et Demetrios ont la trentaine, ils sont l’un et l’autre grands, sportifs, virils et musclés. Exactement ce qu’il me fallait !

La conversation se fait en Anglais, langue qui nous était commune à tous les cinq :
• Hello ! My friends, I am pleased to introduce Olga and her husband, Philippe.

Philippe et moi nous nous levons. A la barre qui déforme le maillot de bain des trois hommes, je comprends tout de suite l’effet que je leur fais.

Alexis me prend dans ses bras, m’embrasse fougueusement et me serre contre lui pour me faire sentir son désir. Il me murmure à l’oreille :
• Ólo to apógevma, den écho stamatísei na se skéftomai . Ego móno mia epithymía: na se gamíso! (« Toute l’après-midi, je n’ai pas cessé de penser à toi. Je n’ai qu’une envie : te baiser !)
Je lui réponds en Français, à voix haute, pour que Philippe comprenne :
• Et moi ce que je veux, ce sont vos queues. J’en crève d’envie !

Philippe se dirige vers les nouveaux venus et échange avec eux une poignée de main cordiale.

Alexis explique, en Français, qu’il a raconté à ses amis la matinée qu’il avait passée et ce que nous aimons. Il ajoute que Sotiros et Demetrios ne comprennent pas le Français, d’où l’usage de l’Anglais. Ils sont enthousiastes à l’idée de s’occuper de moi. Ils le confirment à Philippe :
• Hi Philippe, nice to meet you too. Alexis explained your proposal and we agree, of course!

• We are delighted to fuck your wife !

C’est direct, cash mais n’est-ce pas ce que nous cherchons ?

• It is perfect ! Then we have an appointment in our room tonight, after the diner (« Nous avons un rendez-vous après le diner »)
• We cannot wait until that moment. We got hard all afternoon thinking about her. In addition, we are sure Olga is impatient. She's dying to be fucked (« Nous ne pouvons attendre jusque là. Nous avons bandé toute l’après-midi en pensant à elle. En plus, nous sommes certains qu’Olga est impatiente, qu’elle meurt d’envie de se faire baiser »)
Manifestement, les trois hommes ont préparé leur coup. Philippe et Alexis se mettent à négocier, car conformément à nos accords, la décision revient à Philippe :
• Et vous proposez quoi ? Pas ici tout de même ! Même si certains sont partis, nous ne sommes pas seuls. Nous remontons à la chambre ?

• Nous avons une meilleure idée. Il y a, à 10 minutes de natation par la mer, une plage où nous serons tranquilles. A cette saison, en fin d’après-midi, elle n’est pas fréquentée, car les gens n’aiment pas les galets. Nous aurons là-bas tout le temps de nous occuper d’Olga avant la tombée de la nuit.

• Et pour le retour ?

• Je te suggère de prendre votre voiture de location pour nous rejoindre par la route. Ca prend plus de temps, mais nous pourrons ainsi rentrer tous ensemble.

• Ca suppose que je vous laisse un certain temps seuls avec Olga !
• Ne t’inquiètes pas, tu peux nous faire confiance, nous ne lui ferons que du bien et tu pourras en profiter dès que tu nous auras rejoins.

Philippe hésite. Certes, Alexis a été très correct jusqu’à présent, mais il reste un inconnu et que dire de ses deux amis ? Et on se situe plus, au moins pour un temps, dans un cadre candauliste
Je fais basculer la décision. Dans les bras de Philippe, je l’embrasse avec fougue :• Mon amour, ce séjour a été organisé pour mon plaisir. Tu sais bien que plus je baise et plus j’ai envie. Tu as réveillé ma libido. Et je sais, mon petit cochon adoré, que toi aussi tu as envie de me voir dans les bras de ces trois mâles.

Je me mais à genoux, me faisant suppliante, une petite chatte qui ronronne pour obtenir ce qu’elle veut :
• Oh mon Philippe, s’il-te-plait, dis-oui. J’ai trop envie !

• Je fais probablement une bêtise, mais c’est moi qui ais ouvert la boite de Pandore. Alors, OK !

S’adressant aux trois compères :
• OK, Guys ! I entrust my wife to you. Make her cum well! I'll meet you by car
• Do not worry, we will take care of her. She will enjoy, be sure !

Alexis est radieux. Son idée a fonctionné. Il sait parfaitement que, malgré ses explications et l’usage du GPS, le trafic et les travaux routiers feront que Philippe mettra un certain temps avant de nous rejoindre sur cette plage. Ni moi, ni Philippe ne le savions à ce moment-là. Alexis nous a en quelque sorte piégés.

Philippe m’embrasse longuement :
• Il faut vraiment que je t’aime pour t’autoriser ça ! Ne fais pas trop de bêtises en mon absence !

• Je t’aime. Je suis impatiente que tu nous rejoignes, mais tu me promets d’être prudent sur ces routes !

***
Mes partenaires et moi sommes d’excellents nageurs, ce qui aurait du nous permettre de mettre une dizaine de minutes pour rejoindre cette autre plage.

Nous avons mis le double, car nous avons fait plusieurs poses, occasions pour les hommes de m’embrasser, de me caresser, de se serrer contre moi pour que je sente bien leur virilité. Ils savaient qu’ainsi ils accroissaient encore mon envie. Je n’en pouvais plus, j’avais un besoin irrépressible de baiser. Ces mâles savent qu’ils peuvent faire de moi tout ce qu’ils désirent.

Quand nous sommes enfin arrivés, la première chose que nous avons faite fut de nous débarrasser de nos maillots de bain.

Comme annoncé, c’était une petite crique, avec des galets, donc a priori peu confortable. Il y a une surprise, qui confirme qu’Alexis n’a rien laissé au hasard : il a fait déposer par le service de l’hôtel, dans l’après-midi, un grand sac, contenant des serviettes de bain, qui nous permettront de nous allonger.

(A suivre: « moments candaulistes (5 : trio) »

Les avis des lecteurs

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Histoire Erotique
Bonsoir Olga
Belles sensations cela doit être ces séances où vous êtes au centre des attentions… mmmhhh…
Histoire très sympa. Parisienne ?

Histoire Erotique
Très sympa cette histoire… ça donne envie de participer. Parisienne ?



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes : 4) le masseur
Histoire sexe : Une rose rouge
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