Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 5 : trio

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 5 : trio Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 5 : trio
AVERTISSEMENT
Ce récit reprend quelques dialogues en Anglais, qui m’ont semblé suffisamment explicites pour pouvoir se passer de traduction. Les échanges pendant le trio sur la plage sont en Français, pour des raisons pratiques.

***
RESUME
Lors d’un moment d’accalmie dans la pandémie, à l’automne 2021, nous avons profité, Philippe, mon mari candauliste et moi, son épouse hypersexuelle, d’un séjour dans un hôtel de luxe sur une ile des Cyclades, pour donner libre cours à nos désirs. Je renvoie à la lecture des textes précédents publiés sous la rubrique « moments candaulistes » : « 1 : la séduction) », publié sur HDS le 24 novembre 2021, « 2 : la Suite des plaisirs » (16 décembre 2021), « 3 : déjeuner et plage » (26 janvier 2022) et « 4 : le masseur » (mars 2022)
Dès notre arrivée sur notre lieu de villégiature, je me suis lancée, poussée par mon époux, dans une offensive de charme. Le Brunch du premier matin a permis de trouver un partenaire comme nous les recherchons, Alexis, un quinquagénaire viril, venu dans cette villégiature pour un séminaire professionnel. J’ai pu vérifier, au cours de la matinée, en présence et avec la complicité de Philippe, que notre choix était bon, Alexis étant à la hauteur de toutes nos attentes.

Il était convenu avec Alexis qu’à l’issue de la première séance de son séminaire, il devait nous retrouver sur la plage avec ses collègues Sotiris et Demetrios, des libertins comme lui. Il s’agissait de vérifier que le courant passait bien, avant une soirée qui s’annonçait très chaude.

Alors que la matinée, jusqu’au déjeuner, avait été intense pour moi, l’après-midi a été terriblement frustrante. Suivant les instructions de Philippe, j’avais adopté une tenue et un comportement provoquant, mais sans donner suite aux sollicitations. J’avais, parfois difficilement, résisté aux tentations et j’ignorais, à ce moment-là, les messages très explicites déposés à la réception.

En fin d’après-midi, Spyridon, un masseur quinquagénaire, a permis de me « soulager ».

Alexis et ses collègues nous ont retrouvés sur la plage. Plutôt que d’attendre le soir, ils proposent de rejoindre à la nage une crique discrète, alors que Philippe nous retrouvera par la route. Philippe a fini par accepter. Les trois comparses et moi sommes arrivés à ce lieu discret.

***
Je fis une dernière tentative pour respecter les règles convenues avec Philippe :
• As-tu prévu des préservatifs ?

• Pourquoi faire ? On va te prendre à cru, comme tu préfères
• Et te remplir. Il parait que tu aimes ça.

• T’inquiète, on est sains !

J’ai eu un instant de vertige. Il y avait le risque qu’impliquaient des rapports non protégés et les déclarations de ces Messieurs et leur bonne mine n’apportaient aucune garantie. Mais j’étais au pied du mur. Je me suis souvenue que Philippe avait accepté de me laisser seule avec ces types. Il me connaissait suffisamment pour savoir ce que cela impliquait.

• Mes amis, nous avons deux heures avant qu’il fasse nuit noire. D’après mes calculs, le mari devrait mettre une heure et demie pour nous retrouver, compte tenu des embouteillages et des travaux, il va devoir un long détour.

• Vous êtes des salauds ! Vous le saviez et vous n’avez rien dit. Ce n’est pas correct !

• Nous voulions être tranquilles avec toi.

• Il n’était obligé de dire oui. Je n’arrive pas à comprendre quel plaisir on trouve à voir sa femme baiser devant soit
• Là c’est encore pire. Il va seulement pouvoir l’imaginer
• Elle lui racontera ! En attendant, il ne va pas être déçu, ce cocu de Français !

Malgré l’envie qui me tenaillait, j’ai réagi vivement :
• Nous sommes ici pour baiser et vous pourrez me faire tout ce que vous voudrez. La seule chose que je vous demande, c’est de respecter mon mari. Personne n’a le droit de le juger et de l’insulter. Ca vous parait peut-être étrange, mais je l’aime !

• Ne te fâche pas. Après tout, ça vous regarde. Du moment qu’on peut te baiser !

Et ils ne sont pas privés, jusqu’à la tombée de la nuit de me faire tout ce que trois hommes peuvent faire à une femme, ensemble ou séparément, ce qui leur permettait de reprendre des forces, même s’ils étaient particulièrement endurants. Quant à moi, j’étais insatiable, me comportant en femelle totalement offerte aux désirs des mâles.

• Promis, on sera respectueux de ton mari. Par contre toi, je suis certain que tu aimes qu’on dise ce que tu es, n’est-ce pas, petite putain ?

Je baissais les yeux, en signe d’acceptation de cette remarque d’Alexis. Oui, dans cette situation, j’aime entendre des mots crus et être traitée en salope.

• Approche toi et mets-toi à genoux ! Tu vas nous sucer à tour de rôle. Alexis nous a dit que tu étais la reine de la pipe.

Je connaissais déjà bien la queue d’Alexis et j’avais envie de celle de ses deux compères, dont la taille était prometteuse. Je commençais par la verge de Sotiris, sur laquelle je me jetais comme une morte de faim. Les deux autres ne se contentaient pas de mater. Demetrios savait, par Alexis, que ma poitrine était chez moi une zone particulièrement érogène. Ses caresses étaient diaboliques, il a empaumé mes seins, puis sa langue est venue triturer mes tétons. Quant à Alexis, ses doigts se mirent à fouiller ma chatte et à branler mon clito.

Je ne mis pas longtemps à faire perdre la tête à Sotiris.

• Alors, Sotiris, c’est comment ?

• Exceptionnel, ses lèvres serrées autour de ma tige, sa langue qui triture mon gland. Elle me prend bien à fond. Bouffe-moi les couilles, salope !

• Moi je peux vous dire que sa chatte est béante et trempée. Elle est prête pour une bonne saillie
Sotiris prit ma tête à deux mains et m’imposa brièvement un coït buccal, qui tournait à la gorge profonde. Je manquais de m’étouffer, les larmes me coulaient, mais je ne lâchais pas prise.

Alexis siffla la fin de la récréation, à la grande satisfaction de tous, car les mâles comme moi-même nous voulions autre chose.

Sans qu’on ait besoin de me le dire, je me suis mise à quatre pattes, le drap de bain posé sur les galets me protégeant un peu. J’attendais avec impatience d’être honorée. Restait à savoir lequel des trois hommes serait le premier. Alexis fit valoir ses droits :
• Les amis, chacun pourra en profiter comme il se doit. Mais je pense avoir la priorité, puisque c’est grâce à moi que vous passez ces moments si agréables avec cette femme
• C’est en effet normal que tu sois le premier, Alexis, privilège de l’âge, ironisa Sotiris
• Allez, vas-y. Ne la fais pas attendre plus longtemps, elle n’en peut plus, la pauvre. ! Nique-la !

• Demetrios a raison. Assez parlé ! Baisez-moi ! Je suis à vous, je suis votre salope !

Ma position appelait la levrette, c’est ce dont j’avais besoin. Alexis ne se fit pas prier et s’enfonça au fond de ma chatte, sans qu’il soit besoin de préliminaires et encore moins de tendresse. Nous ne faisions pas l’amour, ce que je réserve à mon mari, ce qui se passait-là était de la baise et seulement de la baise.

• Oh mon Dieu, comme j’avais envie de ça ! Tu es bien au fond ! Oh vas-y, Alexis !!!

• Tu la sens bien ?

Depuis le matin, Alexis m’avait prise plusieurs fois. Mais cette fois, mon excitation était telle que mon plaisir n’avait jamais été si fort. Et surtout je le sentais mieux ! Je m’offrais totalement.

• Oh oui, j’aime comme ça !

• Je savais que tu préférais comme ça, sans capote, petite putain !

• Oui !!!! Pilonne-moi, démonte-moi. Plus vite, plus fort !

Alexis avait ses mains sur mes seins, en profitant pour les caresser. Mais surtout, il m’imposait un coït d’enfer, me chevauchant, sortant presque sa verge avant de l’enfoncer à nouveau jusqu’à taper contre ma matrice, alors que ses couilles lourdes et pleines tapaient contre mes fesses.

Nous étions seuls sur cette plage et personne n’était à proximité. Heureusement, car mes cris devaient s’entendre de loin.

Les deux autres regardaient, fascinés par ce spectacle érotique d’une femme qui se donnait totalement. Ils bandaient mais évitaient de se toucher, de façon à préserver toutes leurs capacités quand leur tour viendrait.

• Regarde, Sotiris, les traits de son visage, déformés par le plaisir. On dirait qu’elle souffre !

• Bravo, Alexis. Tu assumes comme il faut !

Et en effet, j’avais déjà eu deux orgasmes quand, au bout de dix minutes de coït, Alexis m’annonça qu’il allait jouir lui aussi :
• Je vais venir. Je vais te remplir ! J’en ai envie depuis ce matin
• Ouiiiiii, vas-y ! Féconde-moi ! Ohhhhhhhhhhh
Mon orgasme fut encore plus fort que les précédents, à la limite de l’évanouissement, alors qu’Alexis envoyait au fond de mon vagin trois puissantes giclées.

On ne me laissa pas le temps de récupérer. Alexis s’était à peine retiré qu’il fut remplacé par Sotiris, auquel succéda Demetrios. L’un comme l’autre étaient bien équipés, mais après ce que je venais de connaître, ils me semblaient un cran en dessous d’Alexis. Alors qu’ils se vidaient au plus profond de ma chatte, je me gardais bien de le leur dire, parce que j’avais envie d’autre chose.

***
De leur côté, ils n’étaient pas non plus rassasiés. Pour retrouver la plénitude de leurs moyens, ma bouche fut mise à contribution. Alexis donna le signal de la suite :
• Les amis, nous sommes trois et elle a trois orifices. Que diriez-vous d’une triple pénétration ?

On ne me demandait pas mon avis, mais moi aussi j’avais envie de ça, que je n’avais pas pratiqué depuis un certain temps. Les compères se mirent d’accord rapidement sur le partage des rôles, avec toujours Alexis en chef d’orchestre.
• Cette fois, j’ai envie de son cul. Je peux vous dire qu’elle prend aussi son pied par là !

• J’ai interrompu tout à l’heure à regret la fellation. J’ai encore envie de baiser sa bouche, ajouta Sotiris
• Merci les amis de me laisser sa chatte, conclut Demetrios.

Cette triple-pénétration fut particulièrement bien préparée et menée. Alexis veilla à particulièrement préparer mon petit trou à accueillir son mandrin. Il n’hésita pas à me faire d’abord une feuille de rose, caresse que peu de mes amants pratiquent, à part naturellement mon mari Philippe et ma femme Agun.

La langue d’Alexis était diabolique et fit monter en moi l’excitation. Alexis fit encore monter celle-ci en m’enfonçant dans l’anus un, puis deux doigts, qu’il avait préalablement lubrifié en recueillant ce qui débordait de ma chatte, mélange de semence et de cyprine.

Ayant compris que j’étais prête, Alexis fit un signe de tête aux autres. Je me couchais sur les draps de bains et Demetrios fut le premier à me prendre, en s’enfonçant dans mon vagin. Alexis, impatient de recueillir le fruit de son travail de préparation, le rejoignit à travers la paroi qui séparait ma chatte et mon anus. Sotiris approcha sa queue de ma bouche pour avoir droit à la fellation dont il rêvait.

La position n’était pas confortable, mais mes amants surent se coordonner parfaitement, l’un me baisant, l’autre me sodomisant et le troisième faisant confiance à mes talents de fellatrice.

Ayant la bouche remplie, je ne pouvais exprimer mon plaisir, sauf par des gémissements. Les comparses d’Alexis m’avaient un peu déçu quand ils m’avaient prise. Ils se montraient cette fois à la hauteur.

Je me sentais comme une poupée, comme un instrument de plaisir au service de ces mâles, ce qui loin de m’humilier, me donnait l’impression d’être au paradis. J’aurais voulu que ça n’arrête jamais.

En plus, leurs commentaires sur mes performances augmentaient encore mon excitation. Mes trois amants m’affublaient de qualificatifs que j’aime entendre dans ces moments-là et seulement dans ces moments-là : chienne, salope, catin, cochonne.

Et ce fut l’apothéose quand ils réussirent à coordonner presque parfaitement leur jouissance, m’envoyant leur semence dans la gorge, le vagin et l’anus. Mon orgasme fut dévastateur, une sorte de petite mort, qui me laissa quelques secondes évanouie.

Cette fois, j’eus droit à un peu de repos, mais je voulais encore profiter du temps imparti à mon plaisir. C’est Sotiris qui prit une nouvelle initiative en se mettant à doigter ma chatte avec ses doigts fins, encore une pratique que je réserve habituellement à Philippe et à Agun.

Il entame un mouvement de pénétration de ses doigts, les uns après les autres. Les deux autres l’encouragent à me baiser fort, à me pistonner. Une fois que tous les doigts sont trempés de mon jus, il les place en face de ma chatte et commence à entrer. Et au moment le plus large de sa main, je ne bouge plus, ne gémit plus, toute dans l’attente du passage de la main. Et soudain, je sens sa main aspirée par ma chatte. Je me remets à gémir de plus en plus fort.

Et sans tarder, Sotiris masse les parois de mon vagin. Tout à coup, je crie encore plus fort, pour prendre mon plaisir. Je sens ma chatte vibrer autour de sa main et de son poignet. Je sens mon jus de cochonne couler. Sotiris enlève sa main avec précaution. Cette sortie provoque chez moi une autre jouissance.

Je tremble de toute part, je redescends petit à petit de cette jouissance. Alexis me caresse doucement les cheveux et précise à ses comparses qu’après un tel plaisir, il va me falloir quelques minutes avant de reprendre mes esprits. Mais qu’après j’aurais encore de baiser. Que mon plaisir n’en sera que décuplé. Et que donc ils allaient encore pouvoir en bénéficier pleinement avant que la nuit ne tombe.

***
Je pensais à Philippe, qui n’était toujours pas arrivé et me sentais mal vis-à-vis de lui. Les hommes ne me laissaient pas le temps de penser, bien décidés aux pratiques les plus extrêmes avec moi.

Alexis me fit remettre sur le dos et me pénétra à nouveau. Je pensais qu’il allait me baiser de façon « classique », en missionnaire. Démétrios semblant hors jeu, il s’adressa à Sotiris :
• Avec ce que tu viens de lui faire, elle est bien ouverte. Viens on va la prendre ensemble.

J’ai déjà connu des doubles vaginales, ayant l’habitude des gros calibres et ma chatte étant très élastique. Je suis pourtant partagée entre l’excitation et l’inquiétude, la peur d’être blessée.

Sotiris se glisse derrière moi et me pénètre à son tour alors qu’Alexis est déjà à l’intérieur de mon vagin! J’ai l’impression que ma chatte va exploser, je pousse un soupir de surprise et de désir. C’est absolument divin, je n’ai jamais rien connu d’aussi délicieux je sens que je vais jouir très vite et pour autant j’ai envie que ça dure des heures. Je me sens totalement salope avec ses deux bites dans la chatte. Je suis à leur merci, totalement abandonnée a leurs coups de reins. Je cris sous les coups qui redouble d’intensité et je les supplie de continuer. Nous finissons par jouir à l’unisson, un orgasme incroyable, l’un et l’autre m’envoyant dans le vagin de nouvelles doses se semence.

En rouvrant les yeux, je vois près de nous Philippe. Son regard traduit à la fois son excitation, car il nous observe depuis quelques instants, mais aussi une certaine colère.

• Je me doutais que vous ne m’auriez pas attendu
• Ce n’était pas possible, tu le sais bien. Elle avait trop envie. Mais ne t’inquiète pas, elle a vraiment pris son pied
• Je vois aussi que, non seulement vous n’avez pas utilisé de protections, mais en plus vous avez joui en elle.

• Nous n’en n’avions pas et surtout elle voulait ça et qu’on se vide en elle. Nous sommes sains, nous te fournirons tous des tests récents.

• Tu me l’as déjà dit.

S’adressant à moi :
• Tu es incorrigible, c’est contraire à nos accords ! Heureusement, tu n'es pas dans une période "fertile"!

• Chéri, tu me connais et pourtant tu m’as laissé partir seule avec eux. Et tu devais te douter que c’est ce qui allait se passer.

Je me serrais dans ses bras, l’embrassant fougueusement, alors que ma main caressait sa queue. Ses doigts fouillaient ma chatte, qui débordait du foutre de mes amants.

• Tu as toujours les arguments pour te faire pardonner, ma petite putain adorée. Par contre, Alexis, tu ne m’avais pas dit que ça me prendrait autant de temps en voiture ! Avec tous ces travaux, j’ai fait des détours incroyables et j’ai eu beaucoup de mal à trouver.

Alexis prit un air innocent :
• Euh, je l’ignorais !

• C’est ça !

Je ne voulais pas que cette belle journée se termine mal.

• Chéri, tu m’as manqué car tu sais que ma jouissance est bien plus forte quand tu es à mes côtés. Maintenant c’est de toi dont j’ai envie, d’autant que nos amis me semblent épuisés. Baise-moi devant eux !

• Tu es tout de même une sacrée garce mais tu es la femme que j’aime.

J’ai une envie sauvage de faire l’amour avec l’homme que j’aime. Pour me faire pardonner ? sans doute ? Mais surtout parce que j’ai envie de lui et que je veux montrer aux autres que je suis à Philippe et qu’il est à moi.

Je descends le short et le maillot de bain de Philippe, qui a une belle érection. Je le pousse sur l’un des draps de bain installés pour mes précédents ébats.

• I will fuck you, my darling !

Je m’’installe sur lui et prend sa bite en main. Je commence à me l’enfiler dans la chatte. Je lui décris les sensations ressenties.

• Hum, je sens la chaleur de ta queue se propager dans ma chatte.

La queue de mon chéri gonfle.

• Oui, ma chérie, je te sens sur toute la longueur de ma queue.

Puis je commence à monter et descendre le long de sa queue. Nos sensations sont énormes, accrues sans doute par le fait que mes amants sont les témoins de notre coït. Ma chatte est une fournaise et, à chaque fois que je m’enfile complètement, ma cyprine, mélangée au sperme des mâles qui m’ont baisée, dégouline sur ses couilles.

Je place mes mains sur sa poitrine et n’arrête plus de coulisser sur sa queue. Je veux me l’enfiler de plus en plus profond. Ma chatte vibre sur sa queue. Puis soudain, je me plaque à son ventre, me cambre en arrière,. Ma chatte pistonne sa bite. C’est bien moi qui le baise. Je sais que cela va déclencher sa jouissance et la mienne. Ses giclures de sperme frappent les parois de ma chatte, se mélangeant à ceux qui m’avaient baisé avant lui. Je cris mon amour et ma jouissance, alors que mes trois amants, restés silencieux pendant notre fornication, dirigent vers moi leurs jouissances, m’atteignant au visage, sur les seins et les cheveux. C’est dantesque !

Je m’effondre sur Philippe, qui me prend dans mes bras pour savourer ce plaisir extraordinaire que nous venons de prendre tous les deux ensemble. Je suis complètement alanguie sur lui. Je semble ronronner et nous sombrons dans une torpeur de plaisir.

***
Philippe a renoncé à son intention première, qui était de laisser mes amants rentrer à pied à l’hôtel !

A notre arrivée, il prend à part Alexis. Beau joueur, Philippe le remercie lui et ses amis pour le plaisir qu’ils m’ont donné. Mais il signifie calmement et fermement à Alexis que c’est terminé, puisqu’il n’a pas respecté les règles, sans compter la façon peu élégante de l’éloigner pour que je sois seule avec ces trois hommes.

Avec la même élégance, Alexis serre la main de Philippe, lui disant que d’avoir rencontré notre couple restera sa plus belle expérience libertine. Il présente ses excuses pour la façon dont Philippe a été tenu à distance, ajoutant qu’ils avaient voulu en effet être seuls avec moi et m’offrir tout ce que j’avais envie.

Nous nous sommes donc quittés sans histoires, les trois hommes me donnant un bisou sur les lèvres, Alexis, la main dans mon dos, ajoutant, en regardant Philippe :
• Profitez bien de la fin de votre séjour pour apporter beaucoup de plaisir à Olga.

Cette soirée, Philippe et moi l’avons passée seuls. Il est vrai qu’après avoir, une dernière fois, fait l’amour, avec beaucoup de tendresse, je me suis endormie dans les bras de mon homme, épuisée, repue, heureuse.

À suivre : moments candaulistes 6 : échanges

Les avis des lecteurs

Merci Emmanuel. Ils en ont bien profité en effet, mais moi aussi!

Histoire Erotique
Hummmm cette scène est magnifique !! De la baise pure avec ces 3 salauds. Les doubles penetrations sont superbement racontées. On les vit littéralement. Les mots crus échangés sont essentiels à l'excitation. Quelle chance que vous les aimiez. De même on sent que le foutre est important à votre luxure. Que je le comprends !
J'ai été l'amant d'une auteure de ce site. Je garde notamment un souvenir vif d'une double penetration magnifique que je lui avais offerte avec un jeune amant de passage. Les mots, les hurlements fusaient. Elle jouissait abondamment. Puis j'avais continué à l'enculer puissamment en levrette pendant qu'elle le suçait, et il avait fini par jouir dans sa bouche. Magique !!!!
Merci pour le recit,
Emmanuel



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 5 : trio
Histoire sexe : Une rose rouge
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