Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 6 : échanges
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2022 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 6 : échanges
RESUME
Lors d’un moment d’accalmie dans la pandémie, à l’automne 2021, nous avons profité, Philippe, mon mari candauliste et moi, son épouse hypersexuelle, d’un séjour de dix jours dans un hôtel de luxe sur une ile des Cyclades, pour donner libre cours à nos désirs. Je renvoie à la lecture des textes précédents publiés sous la rubrique « moments candaulistes », le premier épisode ayant été publié sur HDS le 24 novembre 2021.
Dès notre arrivée sur notre lieu de villégiature, je me suis lancée, poussée par mon époux, dans une offensive de charme. Le Brunch du premier matin a permis de trouver un partenaire comme nous les recherchons, Alexis, un quinquagénaire viril, venu dans cette villégiature pour un séminaire professionnel.
Il avait été convenu avec Alexis qu’à l’issue de la première séance de son séminaire, il devait nous retrouver avec ses collègues Sotiris et Demetrios, des libertins comme lui.
En fin d’après-midi, Spyridon, un masseur quinquagénaire, a permis de me « soulager ». Puis Alexis et ses collègues nous ont retrouvés sur la plage. Plutôt que d’attendre le soir, ils ont proposé que nous rejoignions à la nage une crique discrète, alors que Philippe devait nous retrouver par la route.
Arrivés à ce lieu discret, les trois comparses et moi nous nous sommes livrés aux pires excès, hors de la présence de Philippe, qui avait mis plus d’une heure et demie pour nous rejoindre par la route. Dans ce laps de temps, avec mes trois amants, j’ai fait tout ce qu’il est possible de faire avec trois hommes, chacun de mes orifices ayant étant visité par ces étalons. Le fait que ça s’est passé hors de la présence de mon mari candauliste était une première violation de nos accords. Plus grave, j’avais accepté que ça se passe sans l’usage de préservatifs et laissé mes amants jouir en moi.
Philippe nous a retrouvés au moment de l’apothéose, quand Sotiris et Alexis étaient en train de m’envoyer au 7ème ciel à l’issue d’une double vaginale d’anthologie.
***
Philippe était fâché par le mauvais tour que lui avaient joué Alexis et ses complices, en le tenant à distance et en lui imposant un trajet interminable, dans les travaux et les déviations. Et puis il y avait ce manquement flagrant à nos règles. J’étais décidément incorrigible !
Il aurait du se douter pourtant ce qui allait se passer, à partir du moment où il me laissait seule avec ces mâles. Il savait que je ne résisterai pas à la tentation. Il était surtout frustré de ne pas avoir pu assister à ce trio, qui, il le savait, avait été torride.
Je me suis alors offerte à Philippe, pas seulement pour l’amadouer, mais surtout parce que j’avais envie de lui. L’idée perverse que la semence de mon homme se mélange avec celle de mes amants a décuplé mon excitation. Lui, comme moi, voulions montrer que, quels que soient mes excès, je suis à Philippe, c’est lui et lui seul que j’aime et tout ce que je fais c’est parce qu’il le permet et que cela répond à ses fantasmes candaulistes.
De retour à l’hôtel, après s’être quittés en bon termes avec Alexis et ses amis, qui partaient le lendemain après-midi, à la fin de leur séminaire, nous avons eu la surprise de récupérer plusieurs messages sous enveloppe à mon intention.
Sans les ouvrir, je les ai donnés à Philippe, pour manifester que, malgré mon récent dérapage, c’était lui et lui seul l’ordonnateur de mon plaisir. Manifestement, ce que Philippe m’avait poussé à faire dans l’après-midi sur la plage de l’hôtel, avec un bikini ultra-sexy, des promenades où j’avais instruction de « tortiller du cul », mes sourires, mes œillades, mes bains de soleil et de mer « topless », tout cela avait eu de l’effet. Philippe a eu un grand sourire, ajoutant :
• Je suis très fier de toi. Nous allons examiner tout ça demain matin. Pour ce soir, tu es réservée pour ton mari !
Cette soirée, Philippe et moi nous l’avons en effet passée seuls. J’ai pris une douche, mais seulement après que mon petit vicieux ait pratiqué sur moi un cunnilingus dont il a le secret, pas dégoûté par le fait que ma chatte était pleine du foutre de mes amants comme de lui. Après que nous ayons, une dernière fois, fait l’amour, avec beaucoup de tendresse, je me suis endormie dans les bras de mon homme, épuisée, repue, heureuse. Je me suis sentie comme souvent dans les bras de Philippe comme une petite fille qui avait fait des bêtises, mais à qui, à la fin, on pardonnait ses écarts.
***
Le lendemain, l’écart de la veille semblait oublié. Lors du petit déjeuner, en baissant les yeux, j’ai voulu aborder le sujet, pour m’excuser. Philippe a coupé court :
• N’en parlons plus pour le moment. Ne gâchons pas ces quelques jours que j’ai voulus pour ton plaisir. Quand j’ai accepté de te laisser seule avec ces types, je me doutais de ce qui allait se passer. Ce qui m’a rendu furieux, c’est l’excursion que je me suis tapée. Ca, je me doute bien que tu n’étais pas dans la confidence
• Bien sûr que non. Mais j’ai eu si peur que tu sois fâchée contre moi.
• La preuve que non est que je vais continuer à organiser l’emploi du temps de tes plaisirs.
• Tu es un excellent Manager. J’irai jusque dire qu’en disposant ainsi de moi, tu te comportes comme un vrai maquereau, mon amour
• Il est vrai que tu es MA petite putain, ma chérie, mais je ne suis pas un proxénète, puisque tu n’es pas tarifée. Encore que…
• A quoi penses-tu, mon vicieux ?
• L’idée de vendre tes charmes est un fantasme qu’il faudra un jour réaliser. Mais finalement tu n’es pas gratuite.
• Comment ça ?
• Les hommes que je choisis pour toi ont un prix à payer : te donner le maximum de plaisir !
Philippe prend connaissance devant moi des enveloppes déposées à mon intention à la réception, la veille au soir et encore ce matin. A ce stade, il y en avait six, d’autres suivront ultérieurement.
Ces hommes laissaient leurs coordonnées pour des contacts discrets. Les messages étaient brefs mais pour la plupart très explicites, me traitant de « petite salope », me disant que je les avais fait bander toute l’après-midi. Ils ajoutaient que, si je n’étais pas uniquement une petite allumeuse, ils se tenaient à ma disposition pour « plus, si affinités ». Si certains insistaient sur la discrétion, d’autres étaient très directs, disant qu’ils voulaient me baiser comme je le méritais. Un seul demanda si mon mari était au courant et s’il était d’accord.
Comme nous en étions convenus, c’est Philippe qui s’est chargé des contacts et de coordonner les rencontres. Tous, sauf un, même s’ils se montraient surpris d’être contactés par le mari, ont accepté nos conditions, ne voulant pas laisser passer l’occasion.
Nous avons poursuivi ce jeu : à la plage, au restaurant de l’hôtel, Philippe m’encourageait à être particulièrement sexy. Ensemble, nous repérions ceux qui pouvaient devenir mes amants. Quand nous avions la certitude, aux regards et sourires échangés, qu’il y avait un partenaire potentiel, c’est Philippe qui faisait les démarches.
Au départ, cela surprenait. Souvent, les hommes concernés commençaient par nier, craignant une scène de jalousie. Philippe les mettait vite à l’aise, leur disant qu’il aimait qu’on désire sa femme. Dans la quasi-totalité des cas, ça se terminait par un rendez-vous. Je dois dire que j’ai eu, au cours de ces dix jours, plus d’amants qu’au cours des 18 mois de la pandémie. Ils nous rejoignaient dans la chambre, les conditions étant que Philippe soit présent et que les rapports soient protégés.
Des membres du personnel ont pu en bénéficier aussi, puis nous avons finis par être sollicités sans avoir besoin de faire la première approche, car notre réputation a été vite faite.
Mon carnet de rendez-vous, tenu par Philippe, fut vite rempli et couvrait les après-midi, puis les soirées jusque tard dans la nuit. Seules les matinées étaient réservées au repos, à la plage, mais aussi au repérage de mes partenaires. Philippe m’a imposé un rythme soutenu, mais nous tenions que je prenne le temps pour de longs moments de plaisir. Il n’était pas question non plus que les amants se succèdent et, donc, nous laissions un délai entre deux rendez-vous. Pour résumer, ce n’était pas de l’abattage, mais c’était intensif et cela comblait tant mon hypersexualité que le candaulisme de Philippe.
Il n’empêche que tous ces passages, malgré notre volonté de discrétion et celle de mes amants, ne restait pas inaperçus. Notre réputation fut vite faite. Elle fit que nous avions plus besoin de chercher de partenaires, ils venaient à nous. Il y avait le regard de désir de nombreux hommes, dont certains n’osaient pas aller plus loin par craintes des réactions de leurs compagnes. Cela me valait aussi le regard furieux de certaines femmes et j’entendais, à mon passage des commentaires faits pour être entendus. Pour beaucoup, et notamment des épouses jalouses, j’étais « I gallikí pórni » (la putain française) et Philippe « O kollitós sýzygos » (le mari cocu)
Peu nous importait, nous n’obligions personne et nous étions là pour ça.
***Nous avions, la veille, donné rendez-vous à Spyridon, pour le remercier de son merveilleux massage qui m’avait donné tant de plaisir (voir « moments candaulistes : 4) le masseur », publié le 14 mars 2022)
Spyridon a confirmé ce que j’avais deviné la veille. Bien membré, endurant, il était un véritable étalon. Il m’a donc baisé comme j’aime. Ce que je retiens surtout de cette après-midi, c’est sa complicité avec Philippe, chez qui il y a plusieurs degrés de candaulisme, en fonction de notre partenaire, de ce que souhaite celui-ci et sur le niveau de plaisir que me donne mon amant. Philippe peut se contenter de regarder, confortablement installé, ne perdant rien de ce spectacle dont il ne se lasse pas. Le seul fait qu’il soit présent, je l’ai déjà dit, a un effet déclencheur sur ma libido. Je sais qu’il adore ça et mon plaisir est aussi une offrande pour lui. Je sais que je satisfais ce fantasme que lui avaient refusé ses précédentes compagnes et qu’il est celui qui a voulu cela. Mieux, c’est comme s’il me baisait par procuration.
Ce jour-là, alors que Spyridon me prenait en levrette, Philippe est passé alors par toutes les étapes du candaulisme. Il y eut d’abord les regards complices entre lui et moi. Alors que les couilles de mon amant tapaient sur mes fesses, mes yeux qui se voilaient, les traits déformés de mon visage, la sueur qui perlait mon front, exprimaient mon plaisir.
Puis il y eut les paroles. D’abord des paroles à mon intention. Ce sont d’abord des mots d’amour, qui accompagnent mes gémissements :
• Que tu es belle, mon amour. Le plaisir te rend encore plus belle. Il te baise bien ?
• Oh oui, mon chéri. C’est divin. Il me remplit bien ! Mon amour, tu bandes à mort sans même te toucher ! Tu aimes quand on baise ta femme devant toi !
• Je ne m’en lasse pas ! Je voudrais que ça n’arrête pas. Tu es faite pour le plaisir.
L’étape suivant est quand les paroles d’amour sont remplacées par d’autres mots, plus crus, qui m’excitent, quand Philippe me traite de salope, de petite putain, de chienne, de cochonne. Ces mots m’électrisent, alors que mes gémissements ont été remplacés par des cris. Mes propres paroles sont hachées, je voudrais que ça n’arrête jamais tellement c’est bon.
A ce moment-là, Philippe encourage mon amant, lui donne ses instructions, car il sait ce qu’il me faut :
• Elle est bonne ma femme ? Tu aimes la niquer ?
• Elle est exceptionnelle. Je n’ai jamais vu une telle pute.
• Ne te gêne pas ! Pilonne-la ! Démonte-la ! Mets-lui ta queue bien au fond. Vas-y, oui, comme ça, plus fort, plus vite !
Mon orgasme est encore plus fort, mais Spyridon n’a toujours pas joui, alors qu’il me baise depuis une bonne vingtaine de minutes. Il ne m’accorde aucun répit. J’ai besoin alors que Philippe soit plus proche.
Je commence par lui prendre la main, je lui écrase les doigts lors de l’orgasme suivant, puis je le mords dans le cou et lui laboure le dos avec mes ongles, jusqu’au sang. Dans ces moments de jouissance exceptionnelle, j’aime laisser mes traces sur Philippe, façon de montrer qu’il est à moi et seulement à moi, MON Philippe.
L’ultime phase est la participation de Philippe, qui ne se contente plus d’être spectateur et des marques de mon plaisir. Alors que mon amant me baise et réussit à se contrôler, mon mari, en même temps, me fait l’amour. Il m’embrasse, me caresse, sa langue s’occupe de mes tétons, ses mains empoignent mes seins, qu’i sait si sensible, il me met un doigt dans le cul.
A ce régime, c’en est trop, je ne peux plus tenir et je sais que Spyridon ne va pas tarder à rendre les armes. Il faut en finir, car ils vont me tuer, dans tous les sens du terme.
J’aurais aimé que Spyridon me prenne sans capote et se vide en moi. Il l’aurait mérité par son exceptionnelle performance. Je n’avais pas osé le demander à Philippe, après les turpitudes de la veille.
Dans un moment comme celui-là, j’ai besoin d’être remplie, d’être fécondée. Je suis une femelle, qui appelle la saillie du mâle. A défaut que ce soit Spyridon, comme je l’aurais voulu, je fais alors une chose qui n’est pas fréquente dans nos pratiques. C’est Philippe qui va me finir.
• Spyridon, Vgále to profylaktikó sou kai éla na gamíseis to stóma mou. Thélo na se pio! (« Enlève ton préservatif et viens baiser ma bouche. je veux te boire!)
Alors que Philippe remplace mon amant et me prend à son tour en levrette, Spyridon m’obéit et s’enfonce au plus profond de ma bouche. Ma langue triture son gland et mes lèvres serrent sa tige. Mon expérience me permet de résister aux nausées et de pouvoir respirer. Ainsi bâillonnée, on n’entendra pas mes hurlements de plaisir, à cause d’un orgasme qui s’annonce comme une marée montante, un vrai tsunami.
Nous sommes au bout de nos forces, nous le savons, mais réussissons une parfaite coordination entre mon orgasme et l’éjaculation des deux hommes, mon mari au fond de mon vagin, mon amant dans ma gorge.
• Katápie ta óla, pórni! (« Avale tout, petite putain !)
Je m’efforce en effet de tout avaler, mais il y en a tant que le sperme coule de mes lèvres.
Il me faudra une bonne dizaine de minutes pour émerger, blottie dans les bras de Philippe. Spyridon veut s’en aller discrètement mais Philippe lui fait signe de rester.
• Tu es un étalon exceptionnel, Spyridon. Nous n’en n’avons pas fini avec elle. Elle va nous tailler une pipe pour que nous rebandions au nouveau.
En épouse obéissante, j’ai sucé alternativement mon amant et mon mari. Mon art fellatoire a vite réveillé leurs ardeurs. J’avais encore envie que Spyridon me baise, mais Philippe avait d’autres idées :
• Encule-la ! J’ai envie que tu lui casses le cul. Tu peux y aller sans capote!
Spyridon ne se l’est pas fait dire deux fois :
• Tha se tsakíso. Pórni! Thilykó skylí (« Je vais t’enculer ! Salope, salle chienne »)
Vu le calibre de Spyridon, je l’ai senti passé, surtout au départ, sans préparatifs particuliers. Et puis rapidement, j’ai commencé à avoir un orgasme anal. Il m’aurait fallu un autre amant, du même calibre, pour me baiser en même temps. Philippe me connait : il comprend et sait quoi faire dans un tel moment. A défaut d’étalon, il choisit de me fister, sans ménagement. Ses doigts s’enfoncent et il finit par s’enfoncer jusqu’au poignet. Je meurs presque de plaisir !
Et cette fois, avant de rendre les armes, j’ai hurlé mon plaisir, sans me soucier qu’on devait nous entendre, les fenêtres étant ouvertes. Et j’ai perdu brièvement connaissance, tant le plaisir avait été fort.
***
Le lendemain, lors du diner, j’avais remarqué un sexagénaire qui m’avait dévoré des yeux toute la soirée. Il était accompagné d’une blonde incendiaire, aux formes généreuses, au décolleté outrageant, maquillée comme une putain. Philippe me proposa de le contacter, quand le serveur nous porta un mot de la part de cet homme, Spyros, proposant que nous prenions un verre après le diner. Ils sont venus tous les deux.
Spyros était un riche Chypriote. Il nous présenta sa compagne, une jeune femme russe nommée Marina. C’est elle qui prit les choses en mains et elle fut très directe :
• Nous avons entendu parler de vous et savons ce que vous faites. Spyros a envie de baiser avec Olga, je suis d’accord mais à une condition !
• Laquelle ?
• Et bien moi je couche avec ton mari. J’ai envie de lui. Il me plait, c’est un bel homme.
Je voyais que le décolleté de la blonde faisait bander Philippe. Celui-ci me met à l’aise :
• Je ferai ce que tu voudras, ma chérie.
J’avais envie de dire non et, par défi, j’ai dit oui.
Entrés dans notre suite, Marina a entrainé Philippe vers l’immense lit King size, alors que je faisais de même avec Spyros. Nous avons fait l’amour cote à cote. En fait c’était une arnaque. Spyros n’était pas très performant, c’est le moins qu’on pouvait dire : il était un éjaculateur précoce et un adepte du cuckold, pour satisfaire sa volcanique compagne. Celle-ci s’était jurée de « baiser le mari de la Française »
Alors que Spyros, après avoir giclé sur mes fesses, s'est installé sur le fauteuil pour mieux voir sa salope baiser avec mon mari, j’ai observé ce qui se passait à l’autre bout de ce lit immense. Cette garce faisait ce qu’elle voulait avec mon homme !
J’étais folle de jalousie. Comment allais-je réagir ? Je connais Philippe. Je sais qu’il n’aime que moi mais la chair est faible, il l’avait prouvé dans le passé. Dans des circonstances similaires, j’avais failli étrangler Flavienne (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple », paru sur HDS le 28 septembre 2017) et j’avais eu envie d’arracher les yeux de cette petite garce d’Ambre avec qui Philippe avait entretenu une relation adultère derrière mon dos (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisir et jalousie », paru le 5 juillet 2018). Il est vrai que les intentions de l’une comme l’autre étaient de m’enlever l’homme de ma vie. Dans ce cas, je suis une tigresse, hors de contrôle, capable de tout, même du pire.
Mon réflexe était donc de sauter sur cette Marina et la corriger, avant de la mettre, à poil, hors de notre suite. Le temps a fait son œuvre. Depuis ce qui s’était passé avec Flavienne ou Ambre, il y avait eu la crise de notre couple, mon adultère avec N, pendant lequel j’avais abandonné le domicile conjugal et ma famille. Philippe avait passé l’éponge et assumé la paternité d’un autre. Et puis j’avais poussé mon Agun dans les bras de Philippe pour qu’il lui fasse enfin connaître le plaisir avec un homme. Je ne pouvais donc plus réagir de la même façon. Ce que je ne laisserai pas faire avec une salope comme cette Marina, c’est si elle essayait de me le prendre, car Philippe est à moi et à personne d’autre.
Et j’avoue que j’étais fascinée par ce que je voyais. Cette garce n’avait qu’une seule préoccupation : donner un maximum de plaisir à Philippe, une façon pour elle de me défier. Il fallait reconnaître que Marina savait y faire.
Cette femme est collée contre Philippe. Elle est en fait en train de le masturber tout doucement ! Elle décalotte tout doucement le bout de sa queue puis le remet, tout en lui mordillant l’oreille. Il retourne sa tête, elle lui sourit, et l’embrasse goulûment tout en continuant de le caresser. Il lui rend son baiser avec passion. Philippe sait bien que je suis folle de rage !
Il bascule sur le dos, ils continuent à s’embrasser. Il prend son sein gauche dans la main et commence à le caresser doucement. Quand il lui pince le téton, elle émet un petit soupir. Il la regarde dans les yeux, regarde sa main s’agiter sur son sexe, la regarde dans les yeux, et l’embrasse en enroulant sa langue autour de la sienne.
Elle lui embrasse la bouche, le cou, le torse, le ventre, puis se met en position plus bas pour embrasser son gland tout luisant, plusieurs fois. Elle place son sexe droit, met ses yeux dans les siens, et tout doucement, enfonce son bâton dans sa bouche, tout en enroulant sa langue autour, puis referme ses lèvres dessus. Avec sa main droite, elle masturbe la base de son sexe, et fait aller sa bite entre ses lèvres sur de lents allers-retours.
Je ne peux me contenir. Cette scène m’excite et je commence à masturber mon clito, à me pénétrer avec mes doigts.
Elle sort la bite de sa bouche, un petit filet de salive coule de ses lèvres. Philippe est en en feu, et faire cela devant moi y contribue largement. Marina embrasse le gland, puis le lèche du bas vers le haut. Elle insiste avec sa langue sur le gland, puis le renfourne dans sa bouche brûlante sans ménagement. Elle accélère le mouvement avec sa main et avec ses lèvres
Elle a retiré son sexe de sa bouche, et l’enserre avec force dans sa main. Elle me regarde, d’un air de triomphe et de défit, l’air de dire : « regarde ton homme, j’en fais ce que je veux ».
Philippe est en effet totalement à sa merci, elle peut choisir la fin. Elle le relâche et exhibe sa poitrine opulente. D’un regard, elle lui fait comprendre où il doit se placer. La garce : ce sera une branlette espagnole, une caresse que je ne pratique pas, compte tenu de mes petits seins.
Il place sa bite entre ses deux seins, elle sait que Philippe est vraiment au bord de l’explosion.
Elle serre ses deux superbes rondeurs autour de son bâton, et commence le voyage. À chaque descente, son gland ressort du fourreau, et s’approche de son visage. Elle tente à chaque passage de le laper. Puis elle change le mouvement, d’abord en serrant encore plus fort, puis en accélérant, jusqu’à ce que son sexe se déverse sur sa poitrine, puis un jet s’écrase sur sa langue et sa lèvre supérieure, puis encore entre ses seins. Sa poitrine est totalement maculée de sperme. Une petite quantité de sperme est restée sur sa langue.
Marina prend un air de triomphe. Elle est convaincue d’avoir gagné. Elle embrasse amoureusement Philippe :
• Mon chéri, nous allons dans ma chambre. Je veux faire l’amour avec toi toute la nuit. Si tu veux, dit-elle à mon intention, je te laisse Spyros, il baise comme un lapin et il a une petite bite, mais il lèche très bien, tu verras. A ton tour d’être cocue, ma belle ! Et toi, s’adresse-t-elle à Spyros, amène une robe de chambre à mon homme, il ne va pas sortir d’ici tout nu
Et aussitôt, elle prend Philippe par la main et l’entraine. Il se laisse faire. Je sais que si je ne réagis pas, elle va me le prendre. Je saisis Philippe par l’autre main et le tire violemment vers moi, avec une force inouïe. Philippe est physiquement et moralement tiraillé entre sa femme et sa maîtresse du moment. Mes yeux lancent des éclairs. Philippe comprend que je suis prête à tout, que je n’ai aucune limite. Cette salope ne me prendra pas mon homme !
• Et document, les filles ! Vous êtes folles ou quoi ? On se calme !
Je sais alors que c’est gagné. Il estime que la leçon qui m’a été infligée suffit. Je veux continuer le combat, sur un autre terrain, celui du sexe.
• Pour faire plaisir à MON homme, je vais faire un effort. Ce soir, toi et moi, on le partage. Ce lit est bien assez grand et mon Philippe est capable de satisfaire deux femmes.
• Tu verras, petite salope, que c’est avec moi qu’il aura le plus de plaisir. Et à la fin de la nuit, c’est moi qu’il suivra !
Nous avons effectivement partagé Philippe toute la nuit, ignorant le Chypriote réduit au rôle de spectateur. Marina était de la même race que moi, une hypersexuelle et une experte. Nous avons combiné notre science pour retarder la jouissance de celui que nous partagions. Nos bouches et nos caresses stimulaient Philippe et réveillaient sa virilité, alors qu’il implorait grâce. Nous l’avons épuisé car il devait satisfaire, seul, deux femelles rivales et en chaleur. Mais c’est moi qui ais eu le privilège de bénéficier en premier de sa semence, dans mon vagin, dans mon cul et dans ma bouche. Il a aussi honoré Marina, mais celle-ci passait après moi et se sentait humiliée.
Au bout de la nuit, c’est dans mes bras qu’il s’est blotti, portant l’estocade à la Russe :
• J’ai eu beaucoup de plaisir avec toi, Marina, mais c’est Olga que j’aime. Je ne peux en aimer une autre !
Furieuse, la blonde incendiaire est partie, en me lançant une bordée d’injures en Russe, suivie de son misérable compagnon. Dans les jours qui ont suivi, Marina a essayé de remettre le couvert et de draguer mon mari, mais celui-ci a été d’une loyauté absolue. Il m’a confirmé qu’i avait voulu profiter d’une belle occasion tout en me donnant une leçon, mais que jamais il n’était tombé sous la coupe de cette femme.
***
Il y eut aussi des incidents du fait de notre comportement, de mes tenues, de nos excès.
Un premier incident s’est passé quand je me suis prise une gifle d’une femme qui n’avait pas apprécié que j’avais couché avec son mari. Elle m’a traité de putain. Le mari avait manqué de discrétion et de prudence.
D’autres plaintes furent adressées à la direction de l’hôtel et nous reçûmes un message du Directeur, Monsieur Loukas, nous demandant de passer le voir à son bureau au plus vite.
***
À suivre : moments candaulistes 7 : derniers jours
Lors d’un moment d’accalmie dans la pandémie, à l’automne 2021, nous avons profité, Philippe, mon mari candauliste et moi, son épouse hypersexuelle, d’un séjour de dix jours dans un hôtel de luxe sur une ile des Cyclades, pour donner libre cours à nos désirs. Je renvoie à la lecture des textes précédents publiés sous la rubrique « moments candaulistes », le premier épisode ayant été publié sur HDS le 24 novembre 2021.
Dès notre arrivée sur notre lieu de villégiature, je me suis lancée, poussée par mon époux, dans une offensive de charme. Le Brunch du premier matin a permis de trouver un partenaire comme nous les recherchons, Alexis, un quinquagénaire viril, venu dans cette villégiature pour un séminaire professionnel.
Il avait été convenu avec Alexis qu’à l’issue de la première séance de son séminaire, il devait nous retrouver avec ses collègues Sotiris et Demetrios, des libertins comme lui.
En fin d’après-midi, Spyridon, un masseur quinquagénaire, a permis de me « soulager ». Puis Alexis et ses collègues nous ont retrouvés sur la plage. Plutôt que d’attendre le soir, ils ont proposé que nous rejoignions à la nage une crique discrète, alors que Philippe devait nous retrouver par la route.
Arrivés à ce lieu discret, les trois comparses et moi nous nous sommes livrés aux pires excès, hors de la présence de Philippe, qui avait mis plus d’une heure et demie pour nous rejoindre par la route. Dans ce laps de temps, avec mes trois amants, j’ai fait tout ce qu’il est possible de faire avec trois hommes, chacun de mes orifices ayant étant visité par ces étalons. Le fait que ça s’est passé hors de la présence de mon mari candauliste était une première violation de nos accords. Plus grave, j’avais accepté que ça se passe sans l’usage de préservatifs et laissé mes amants jouir en moi.
Philippe nous a retrouvés au moment de l’apothéose, quand Sotiris et Alexis étaient en train de m’envoyer au 7ème ciel à l’issue d’une double vaginale d’anthologie.
***
Philippe était fâché par le mauvais tour que lui avaient joué Alexis et ses complices, en le tenant à distance et en lui imposant un trajet interminable, dans les travaux et les déviations. Et puis il y avait ce manquement flagrant à nos règles. J’étais décidément incorrigible !
Il aurait du se douter pourtant ce qui allait se passer, à partir du moment où il me laissait seule avec ces mâles. Il savait que je ne résisterai pas à la tentation. Il était surtout frustré de ne pas avoir pu assister à ce trio, qui, il le savait, avait été torride.
Je me suis alors offerte à Philippe, pas seulement pour l’amadouer, mais surtout parce que j’avais envie de lui. L’idée perverse que la semence de mon homme se mélange avec celle de mes amants a décuplé mon excitation. Lui, comme moi, voulions montrer que, quels que soient mes excès, je suis à Philippe, c’est lui et lui seul que j’aime et tout ce que je fais c’est parce qu’il le permet et que cela répond à ses fantasmes candaulistes.
De retour à l’hôtel, après s’être quittés en bon termes avec Alexis et ses amis, qui partaient le lendemain après-midi, à la fin de leur séminaire, nous avons eu la surprise de récupérer plusieurs messages sous enveloppe à mon intention.
Sans les ouvrir, je les ai donnés à Philippe, pour manifester que, malgré mon récent dérapage, c’était lui et lui seul l’ordonnateur de mon plaisir. Manifestement, ce que Philippe m’avait poussé à faire dans l’après-midi sur la plage de l’hôtel, avec un bikini ultra-sexy, des promenades où j’avais instruction de « tortiller du cul », mes sourires, mes œillades, mes bains de soleil et de mer « topless », tout cela avait eu de l’effet. Philippe a eu un grand sourire, ajoutant :
• Je suis très fier de toi. Nous allons examiner tout ça demain matin. Pour ce soir, tu es réservée pour ton mari !
Cette soirée, Philippe et moi nous l’avons en effet passée seuls. J’ai pris une douche, mais seulement après que mon petit vicieux ait pratiqué sur moi un cunnilingus dont il a le secret, pas dégoûté par le fait que ma chatte était pleine du foutre de mes amants comme de lui. Après que nous ayons, une dernière fois, fait l’amour, avec beaucoup de tendresse, je me suis endormie dans les bras de mon homme, épuisée, repue, heureuse. Je me suis sentie comme souvent dans les bras de Philippe comme une petite fille qui avait fait des bêtises, mais à qui, à la fin, on pardonnait ses écarts.
***
Le lendemain, l’écart de la veille semblait oublié. Lors du petit déjeuner, en baissant les yeux, j’ai voulu aborder le sujet, pour m’excuser. Philippe a coupé court :
• N’en parlons plus pour le moment. Ne gâchons pas ces quelques jours que j’ai voulus pour ton plaisir. Quand j’ai accepté de te laisser seule avec ces types, je me doutais de ce qui allait se passer. Ce qui m’a rendu furieux, c’est l’excursion que je me suis tapée. Ca, je me doute bien que tu n’étais pas dans la confidence
• Bien sûr que non. Mais j’ai eu si peur que tu sois fâchée contre moi.
• La preuve que non est que je vais continuer à organiser l’emploi du temps de tes plaisirs.
• Tu es un excellent Manager. J’irai jusque dire qu’en disposant ainsi de moi, tu te comportes comme un vrai maquereau, mon amour
• Il est vrai que tu es MA petite putain, ma chérie, mais je ne suis pas un proxénète, puisque tu n’es pas tarifée. Encore que…
• A quoi penses-tu, mon vicieux ?
• L’idée de vendre tes charmes est un fantasme qu’il faudra un jour réaliser. Mais finalement tu n’es pas gratuite.
• Comment ça ?
• Les hommes que je choisis pour toi ont un prix à payer : te donner le maximum de plaisir !
Philippe prend connaissance devant moi des enveloppes déposées à mon intention à la réception, la veille au soir et encore ce matin. A ce stade, il y en avait six, d’autres suivront ultérieurement.
Ces hommes laissaient leurs coordonnées pour des contacts discrets. Les messages étaient brefs mais pour la plupart très explicites, me traitant de « petite salope », me disant que je les avais fait bander toute l’après-midi. Ils ajoutaient que, si je n’étais pas uniquement une petite allumeuse, ils se tenaient à ma disposition pour « plus, si affinités ». Si certains insistaient sur la discrétion, d’autres étaient très directs, disant qu’ils voulaient me baiser comme je le méritais. Un seul demanda si mon mari était au courant et s’il était d’accord.
Comme nous en étions convenus, c’est Philippe qui s’est chargé des contacts et de coordonner les rencontres. Tous, sauf un, même s’ils se montraient surpris d’être contactés par le mari, ont accepté nos conditions, ne voulant pas laisser passer l’occasion.
Nous avons poursuivi ce jeu : à la plage, au restaurant de l’hôtel, Philippe m’encourageait à être particulièrement sexy. Ensemble, nous repérions ceux qui pouvaient devenir mes amants. Quand nous avions la certitude, aux regards et sourires échangés, qu’il y avait un partenaire potentiel, c’est Philippe qui faisait les démarches.
Au départ, cela surprenait. Souvent, les hommes concernés commençaient par nier, craignant une scène de jalousie. Philippe les mettait vite à l’aise, leur disant qu’il aimait qu’on désire sa femme. Dans la quasi-totalité des cas, ça se terminait par un rendez-vous. Je dois dire que j’ai eu, au cours de ces dix jours, plus d’amants qu’au cours des 18 mois de la pandémie. Ils nous rejoignaient dans la chambre, les conditions étant que Philippe soit présent et que les rapports soient protégés.
Des membres du personnel ont pu en bénéficier aussi, puis nous avons finis par être sollicités sans avoir besoin de faire la première approche, car notre réputation a été vite faite.
Mon carnet de rendez-vous, tenu par Philippe, fut vite rempli et couvrait les après-midi, puis les soirées jusque tard dans la nuit. Seules les matinées étaient réservées au repos, à la plage, mais aussi au repérage de mes partenaires. Philippe m’a imposé un rythme soutenu, mais nous tenions que je prenne le temps pour de longs moments de plaisir. Il n’était pas question non plus que les amants se succèdent et, donc, nous laissions un délai entre deux rendez-vous. Pour résumer, ce n’était pas de l’abattage, mais c’était intensif et cela comblait tant mon hypersexualité que le candaulisme de Philippe.
Il n’empêche que tous ces passages, malgré notre volonté de discrétion et celle de mes amants, ne restait pas inaperçus. Notre réputation fut vite faite. Elle fit que nous avions plus besoin de chercher de partenaires, ils venaient à nous. Il y avait le regard de désir de nombreux hommes, dont certains n’osaient pas aller plus loin par craintes des réactions de leurs compagnes. Cela me valait aussi le regard furieux de certaines femmes et j’entendais, à mon passage des commentaires faits pour être entendus. Pour beaucoup, et notamment des épouses jalouses, j’étais « I gallikí pórni » (la putain française) et Philippe « O kollitós sýzygos » (le mari cocu)
Peu nous importait, nous n’obligions personne et nous étions là pour ça.
***Nous avions, la veille, donné rendez-vous à Spyridon, pour le remercier de son merveilleux massage qui m’avait donné tant de plaisir (voir « moments candaulistes : 4) le masseur », publié le 14 mars 2022)
Spyridon a confirmé ce que j’avais deviné la veille. Bien membré, endurant, il était un véritable étalon. Il m’a donc baisé comme j’aime. Ce que je retiens surtout de cette après-midi, c’est sa complicité avec Philippe, chez qui il y a plusieurs degrés de candaulisme, en fonction de notre partenaire, de ce que souhaite celui-ci et sur le niveau de plaisir que me donne mon amant. Philippe peut se contenter de regarder, confortablement installé, ne perdant rien de ce spectacle dont il ne se lasse pas. Le seul fait qu’il soit présent, je l’ai déjà dit, a un effet déclencheur sur ma libido. Je sais qu’il adore ça et mon plaisir est aussi une offrande pour lui. Je sais que je satisfais ce fantasme que lui avaient refusé ses précédentes compagnes et qu’il est celui qui a voulu cela. Mieux, c’est comme s’il me baisait par procuration.
Ce jour-là, alors que Spyridon me prenait en levrette, Philippe est passé alors par toutes les étapes du candaulisme. Il y eut d’abord les regards complices entre lui et moi. Alors que les couilles de mon amant tapaient sur mes fesses, mes yeux qui se voilaient, les traits déformés de mon visage, la sueur qui perlait mon front, exprimaient mon plaisir.
Puis il y eut les paroles. D’abord des paroles à mon intention. Ce sont d’abord des mots d’amour, qui accompagnent mes gémissements :
• Que tu es belle, mon amour. Le plaisir te rend encore plus belle. Il te baise bien ?
• Oh oui, mon chéri. C’est divin. Il me remplit bien ! Mon amour, tu bandes à mort sans même te toucher ! Tu aimes quand on baise ta femme devant toi !
• Je ne m’en lasse pas ! Je voudrais que ça n’arrête pas. Tu es faite pour le plaisir.
L’étape suivant est quand les paroles d’amour sont remplacées par d’autres mots, plus crus, qui m’excitent, quand Philippe me traite de salope, de petite putain, de chienne, de cochonne. Ces mots m’électrisent, alors que mes gémissements ont été remplacés par des cris. Mes propres paroles sont hachées, je voudrais que ça n’arrête jamais tellement c’est bon.
A ce moment-là, Philippe encourage mon amant, lui donne ses instructions, car il sait ce qu’il me faut :
• Elle est bonne ma femme ? Tu aimes la niquer ?
• Elle est exceptionnelle. Je n’ai jamais vu une telle pute.
• Ne te gêne pas ! Pilonne-la ! Démonte-la ! Mets-lui ta queue bien au fond. Vas-y, oui, comme ça, plus fort, plus vite !
Mon orgasme est encore plus fort, mais Spyridon n’a toujours pas joui, alors qu’il me baise depuis une bonne vingtaine de minutes. Il ne m’accorde aucun répit. J’ai besoin alors que Philippe soit plus proche.
Je commence par lui prendre la main, je lui écrase les doigts lors de l’orgasme suivant, puis je le mords dans le cou et lui laboure le dos avec mes ongles, jusqu’au sang. Dans ces moments de jouissance exceptionnelle, j’aime laisser mes traces sur Philippe, façon de montrer qu’il est à moi et seulement à moi, MON Philippe.
L’ultime phase est la participation de Philippe, qui ne se contente plus d’être spectateur et des marques de mon plaisir. Alors que mon amant me baise et réussit à se contrôler, mon mari, en même temps, me fait l’amour. Il m’embrasse, me caresse, sa langue s’occupe de mes tétons, ses mains empoignent mes seins, qu’i sait si sensible, il me met un doigt dans le cul.
A ce régime, c’en est trop, je ne peux plus tenir et je sais que Spyridon ne va pas tarder à rendre les armes. Il faut en finir, car ils vont me tuer, dans tous les sens du terme.
J’aurais aimé que Spyridon me prenne sans capote et se vide en moi. Il l’aurait mérité par son exceptionnelle performance. Je n’avais pas osé le demander à Philippe, après les turpitudes de la veille.
Dans un moment comme celui-là, j’ai besoin d’être remplie, d’être fécondée. Je suis une femelle, qui appelle la saillie du mâle. A défaut que ce soit Spyridon, comme je l’aurais voulu, je fais alors une chose qui n’est pas fréquente dans nos pratiques. C’est Philippe qui va me finir.
• Spyridon, Vgále to profylaktikó sou kai éla na gamíseis to stóma mou. Thélo na se pio! (« Enlève ton préservatif et viens baiser ma bouche. je veux te boire!)
Alors que Philippe remplace mon amant et me prend à son tour en levrette, Spyridon m’obéit et s’enfonce au plus profond de ma bouche. Ma langue triture son gland et mes lèvres serrent sa tige. Mon expérience me permet de résister aux nausées et de pouvoir respirer. Ainsi bâillonnée, on n’entendra pas mes hurlements de plaisir, à cause d’un orgasme qui s’annonce comme une marée montante, un vrai tsunami.
Nous sommes au bout de nos forces, nous le savons, mais réussissons une parfaite coordination entre mon orgasme et l’éjaculation des deux hommes, mon mari au fond de mon vagin, mon amant dans ma gorge.
• Katápie ta óla, pórni! (« Avale tout, petite putain !)
Je m’efforce en effet de tout avaler, mais il y en a tant que le sperme coule de mes lèvres.
Il me faudra une bonne dizaine de minutes pour émerger, blottie dans les bras de Philippe. Spyridon veut s’en aller discrètement mais Philippe lui fait signe de rester.
• Tu es un étalon exceptionnel, Spyridon. Nous n’en n’avons pas fini avec elle. Elle va nous tailler une pipe pour que nous rebandions au nouveau.
En épouse obéissante, j’ai sucé alternativement mon amant et mon mari. Mon art fellatoire a vite réveillé leurs ardeurs. J’avais encore envie que Spyridon me baise, mais Philippe avait d’autres idées :
• Encule-la ! J’ai envie que tu lui casses le cul. Tu peux y aller sans capote!
Spyridon ne se l’est pas fait dire deux fois :
• Tha se tsakíso. Pórni! Thilykó skylí (« Je vais t’enculer ! Salope, salle chienne »)
Vu le calibre de Spyridon, je l’ai senti passé, surtout au départ, sans préparatifs particuliers. Et puis rapidement, j’ai commencé à avoir un orgasme anal. Il m’aurait fallu un autre amant, du même calibre, pour me baiser en même temps. Philippe me connait : il comprend et sait quoi faire dans un tel moment. A défaut d’étalon, il choisit de me fister, sans ménagement. Ses doigts s’enfoncent et il finit par s’enfoncer jusqu’au poignet. Je meurs presque de plaisir !
Et cette fois, avant de rendre les armes, j’ai hurlé mon plaisir, sans me soucier qu’on devait nous entendre, les fenêtres étant ouvertes. Et j’ai perdu brièvement connaissance, tant le plaisir avait été fort.
***
Le lendemain, lors du diner, j’avais remarqué un sexagénaire qui m’avait dévoré des yeux toute la soirée. Il était accompagné d’une blonde incendiaire, aux formes généreuses, au décolleté outrageant, maquillée comme une putain. Philippe me proposa de le contacter, quand le serveur nous porta un mot de la part de cet homme, Spyros, proposant que nous prenions un verre après le diner. Ils sont venus tous les deux.
Spyros était un riche Chypriote. Il nous présenta sa compagne, une jeune femme russe nommée Marina. C’est elle qui prit les choses en mains et elle fut très directe :
• Nous avons entendu parler de vous et savons ce que vous faites. Spyros a envie de baiser avec Olga, je suis d’accord mais à une condition !
• Laquelle ?
• Et bien moi je couche avec ton mari. J’ai envie de lui. Il me plait, c’est un bel homme.
Je voyais que le décolleté de la blonde faisait bander Philippe. Celui-ci me met à l’aise :
• Je ferai ce que tu voudras, ma chérie.
J’avais envie de dire non et, par défi, j’ai dit oui.
Entrés dans notre suite, Marina a entrainé Philippe vers l’immense lit King size, alors que je faisais de même avec Spyros. Nous avons fait l’amour cote à cote. En fait c’était une arnaque. Spyros n’était pas très performant, c’est le moins qu’on pouvait dire : il était un éjaculateur précoce et un adepte du cuckold, pour satisfaire sa volcanique compagne. Celle-ci s’était jurée de « baiser le mari de la Française »
Alors que Spyros, après avoir giclé sur mes fesses, s'est installé sur le fauteuil pour mieux voir sa salope baiser avec mon mari, j’ai observé ce qui se passait à l’autre bout de ce lit immense. Cette garce faisait ce qu’elle voulait avec mon homme !
J’étais folle de jalousie. Comment allais-je réagir ? Je connais Philippe. Je sais qu’il n’aime que moi mais la chair est faible, il l’avait prouvé dans le passé. Dans des circonstances similaires, j’avais failli étrangler Flavienne (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple », paru sur HDS le 28 septembre 2017) et j’avais eu envie d’arracher les yeux de cette petite garce d’Ambre avec qui Philippe avait entretenu une relation adultère derrière mon dos (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisir et jalousie », paru le 5 juillet 2018). Il est vrai que les intentions de l’une comme l’autre étaient de m’enlever l’homme de ma vie. Dans ce cas, je suis une tigresse, hors de contrôle, capable de tout, même du pire.
Mon réflexe était donc de sauter sur cette Marina et la corriger, avant de la mettre, à poil, hors de notre suite. Le temps a fait son œuvre. Depuis ce qui s’était passé avec Flavienne ou Ambre, il y avait eu la crise de notre couple, mon adultère avec N, pendant lequel j’avais abandonné le domicile conjugal et ma famille. Philippe avait passé l’éponge et assumé la paternité d’un autre. Et puis j’avais poussé mon Agun dans les bras de Philippe pour qu’il lui fasse enfin connaître le plaisir avec un homme. Je ne pouvais donc plus réagir de la même façon. Ce que je ne laisserai pas faire avec une salope comme cette Marina, c’est si elle essayait de me le prendre, car Philippe est à moi et à personne d’autre.
Et j’avoue que j’étais fascinée par ce que je voyais. Cette garce n’avait qu’une seule préoccupation : donner un maximum de plaisir à Philippe, une façon pour elle de me défier. Il fallait reconnaître que Marina savait y faire.
Cette femme est collée contre Philippe. Elle est en fait en train de le masturber tout doucement ! Elle décalotte tout doucement le bout de sa queue puis le remet, tout en lui mordillant l’oreille. Il retourne sa tête, elle lui sourit, et l’embrasse goulûment tout en continuant de le caresser. Il lui rend son baiser avec passion. Philippe sait bien que je suis folle de rage !
Il bascule sur le dos, ils continuent à s’embrasser. Il prend son sein gauche dans la main et commence à le caresser doucement. Quand il lui pince le téton, elle émet un petit soupir. Il la regarde dans les yeux, regarde sa main s’agiter sur son sexe, la regarde dans les yeux, et l’embrasse en enroulant sa langue autour de la sienne.
Elle lui embrasse la bouche, le cou, le torse, le ventre, puis se met en position plus bas pour embrasser son gland tout luisant, plusieurs fois. Elle place son sexe droit, met ses yeux dans les siens, et tout doucement, enfonce son bâton dans sa bouche, tout en enroulant sa langue autour, puis referme ses lèvres dessus. Avec sa main droite, elle masturbe la base de son sexe, et fait aller sa bite entre ses lèvres sur de lents allers-retours.
Je ne peux me contenir. Cette scène m’excite et je commence à masturber mon clito, à me pénétrer avec mes doigts.
Elle sort la bite de sa bouche, un petit filet de salive coule de ses lèvres. Philippe est en en feu, et faire cela devant moi y contribue largement. Marina embrasse le gland, puis le lèche du bas vers le haut. Elle insiste avec sa langue sur le gland, puis le renfourne dans sa bouche brûlante sans ménagement. Elle accélère le mouvement avec sa main et avec ses lèvres
Elle a retiré son sexe de sa bouche, et l’enserre avec force dans sa main. Elle me regarde, d’un air de triomphe et de défit, l’air de dire : « regarde ton homme, j’en fais ce que je veux ».
Philippe est en effet totalement à sa merci, elle peut choisir la fin. Elle le relâche et exhibe sa poitrine opulente. D’un regard, elle lui fait comprendre où il doit se placer. La garce : ce sera une branlette espagnole, une caresse que je ne pratique pas, compte tenu de mes petits seins.
Il place sa bite entre ses deux seins, elle sait que Philippe est vraiment au bord de l’explosion.
Elle serre ses deux superbes rondeurs autour de son bâton, et commence le voyage. À chaque descente, son gland ressort du fourreau, et s’approche de son visage. Elle tente à chaque passage de le laper. Puis elle change le mouvement, d’abord en serrant encore plus fort, puis en accélérant, jusqu’à ce que son sexe se déverse sur sa poitrine, puis un jet s’écrase sur sa langue et sa lèvre supérieure, puis encore entre ses seins. Sa poitrine est totalement maculée de sperme. Une petite quantité de sperme est restée sur sa langue.
Marina prend un air de triomphe. Elle est convaincue d’avoir gagné. Elle embrasse amoureusement Philippe :
• Mon chéri, nous allons dans ma chambre. Je veux faire l’amour avec toi toute la nuit. Si tu veux, dit-elle à mon intention, je te laisse Spyros, il baise comme un lapin et il a une petite bite, mais il lèche très bien, tu verras. A ton tour d’être cocue, ma belle ! Et toi, s’adresse-t-elle à Spyros, amène une robe de chambre à mon homme, il ne va pas sortir d’ici tout nu
Et aussitôt, elle prend Philippe par la main et l’entraine. Il se laisse faire. Je sais que si je ne réagis pas, elle va me le prendre. Je saisis Philippe par l’autre main et le tire violemment vers moi, avec une force inouïe. Philippe est physiquement et moralement tiraillé entre sa femme et sa maîtresse du moment. Mes yeux lancent des éclairs. Philippe comprend que je suis prête à tout, que je n’ai aucune limite. Cette salope ne me prendra pas mon homme !
• Et document, les filles ! Vous êtes folles ou quoi ? On se calme !
Je sais alors que c’est gagné. Il estime que la leçon qui m’a été infligée suffit. Je veux continuer le combat, sur un autre terrain, celui du sexe.
• Pour faire plaisir à MON homme, je vais faire un effort. Ce soir, toi et moi, on le partage. Ce lit est bien assez grand et mon Philippe est capable de satisfaire deux femmes.
• Tu verras, petite salope, que c’est avec moi qu’il aura le plus de plaisir. Et à la fin de la nuit, c’est moi qu’il suivra !
Nous avons effectivement partagé Philippe toute la nuit, ignorant le Chypriote réduit au rôle de spectateur. Marina était de la même race que moi, une hypersexuelle et une experte. Nous avons combiné notre science pour retarder la jouissance de celui que nous partagions. Nos bouches et nos caresses stimulaient Philippe et réveillaient sa virilité, alors qu’il implorait grâce. Nous l’avons épuisé car il devait satisfaire, seul, deux femelles rivales et en chaleur. Mais c’est moi qui ais eu le privilège de bénéficier en premier de sa semence, dans mon vagin, dans mon cul et dans ma bouche. Il a aussi honoré Marina, mais celle-ci passait après moi et se sentait humiliée.
Au bout de la nuit, c’est dans mes bras qu’il s’est blotti, portant l’estocade à la Russe :
• J’ai eu beaucoup de plaisir avec toi, Marina, mais c’est Olga que j’aime. Je ne peux en aimer une autre !
Furieuse, la blonde incendiaire est partie, en me lançant une bordée d’injures en Russe, suivie de son misérable compagnon. Dans les jours qui ont suivi, Marina a essayé de remettre le couvert et de draguer mon mari, mais celui-ci a été d’une loyauté absolue. Il m’a confirmé qu’i avait voulu profiter d’une belle occasion tout en me donnant une leçon, mais que jamais il n’était tombé sous la coupe de cette femme.
***
Il y eut aussi des incidents du fait de notre comportement, de mes tenues, de nos excès.
Un premier incident s’est passé quand je me suis prise une gifle d’une femme qui n’avait pas apprécié que j’avais couché avec son mari. Elle m’a traité de putain. Le mari avait manqué de discrétion et de prudence.
D’autres plaintes furent adressées à la direction de l’hôtel et nous reçûmes un message du Directeur, Monsieur Loukas, nous demandant de passer le voir à son bureau au plus vite.
***
À suivre : moments candaulistes 7 : derniers jours
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