Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 7/7 : derniers

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 7/7 : derniers Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2022 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 7/7 : derniers
RESUME
Lors d’un moment d’accalmie dans la pandémie, à l’automne 2021, nous avons profité, Philippe, mon mari candauliste et moi, son épouse hypersexuelle, d’un séjour de dix jours dans un hôtel de luxe sur une ile des Cyclades, pour donner libre cours à nos désirs. Je renvoie à la lecture des textes précédents publiés sous la rubrique « moments candaulistes », le premier épisode ayant été publié sur HDS le 24 novembre 2021.

Dès notre arrivée sur notre lieu de villégiature, je me suis lancée, poussée par mon époux, dans une offensive de charme. Le Brunch du premier matin a permis de trouver un partenaire comme nous les recherchions, Alexis, un quinquagénaire viril, venu dans cette villégiature pour un séminaire professionnel. Alexis et ses collègues Sotiris et Demetrios nous ont retrouvés sur la plage. Plutôt que d’attendre le soir, ils ont proposé que nous rejoignions à la nage une crique discrète, alors que Philippe devait nous retrouver par la route. Les trois comparses et moi nous nous y sommes livrés aux pires excès, hors de la présence de Philippe, qui a mis plus d’une heure et demie pour nous rejoindre par la route.

Philippe ne m’a tenu rigueur de ce dérapage d’autant plus grave que j’avais accepté que ça se passe sans l’usage de préservatifs et que j’ai laissé mes amants jouir en moi. Nous avons poursuivi notre parcours érotique, marqué par la tentative d’une jeune Russe, Marina, une blonde incendiaire, de séduire Philippe. Mais celui-ci, après une étreinte torride en ma présence, n’a pas donné suite à cette tentative de déstabilisation de notre couple.

Mes tenues, notre comportement, nos excès, n’ont pas manqué de provoquer des incidents. Des plaintes furent adressées à la direction de l’hôtel et nous reçûmes un message du Directeur, Monsieur Loukas, nous demandant de passer le voir à son bureau au plus vite.

***
C’est Spyros, le maître d’hôtel, qui nous amena en personne la convocation du directeur. Il semblait d’autant plus embarrassé qu’avec d’autres membres du personnel de l’hôtel, Spyros avait profité de mes faveurs, en me baisant dans les toilettes du restaurant, comme l’avait fait avant lui Alexis (voir « moments candaulistes (3 : déjeuner et plage, paru le 26 janvier 2022)
• Notre directeur, Monsieur Loukas, veut vous voir immédiatement. Il est furieux, car il a reçu plusieurs plaintes contre vous. Il a fait son enquête et a découvert que plusieurs membres du personnel, dont moi, avons profité de l’occasion. Nous sommes menacés de sanctions. Il a parlé de me renvoyer, au vu de mes fonctions de maître d’hôtel.

Philippe tente de le rassurer :
• Ne t’inquiète pas, Spyros. Tout cela s’est passé entre adultes consentants. Nous allons arranger cela.

• C’est vrai, mais il nous reproche surtout que ça s’est passé pendant notre temps de travail et que cela porte atteinte à la réputation de notre établissement.

• A mon avis, ce Loukas doit être un peu jaloux de vous. Je sais comment régler ça, dis-je avec un sourire.

Je me suis donc soigneusement préparée, me maquillant discrètement, choisissant de porter une jupe courte, un mini-string, un chemisier translucide que je décide de déboutonner suffisamment pour attirer la convoitise.

Ainsi apprêtée et nous tenant par la main avec Philippe, nous nous sommes immédiatement rendus au bureau du Directeur. Dès son invitation à entrer, je dévisage celui qu’il faut apaiser ou plutôt séduire.

Loukas a la cinquantaine. Il est grand et musclé, porte un pantalon de lin blanc et une chemise largement ouverte sur une poitrine qui exhibe sa pilosité. J’ai tout de suite remarqué la chaine qu’il porte au cou, sa gourmette au poignet et le komboloï en ambre avec lequel il joue pour se donner de la contenance. Ce Loukas représente la quintessence du mâle macho de mon pays d’origine.

Loukas dit à son assistante qu’on ne le dérange sous aucun prétexte. Il a pris soin de fermer les stores vénitiens qui donnent sur l’extérieur et sur le hall de l’hôtel. Quelque chose me dit que ce n’est pas seulement à cause du soleil.

Alors qu’il nous invite à entrer, nous nous jaugeons. La façon dont il me regarde, je dirai plutôt dont il me déshabille du regard, est sans ambigüités. Je sais d’emblée comment cela va se terminer. Cela se traduit par l’humidité qui commence à tremper mon string et mes tétons qui se dressent insolemment.

J’adresse alors à Loukas mon plus beau sourire et, en même temps, j’ouvre un bouton supplémentaire.

Loukas nous invite à nous assoir dans le coin salon de son immense bureau. Philippe et moi nous installons sur le canapé. Je tiens la main de Philippe et prend soin de remonter le plus possible ma jupe, de façon à exhiber mes jambes et mes cuisses. Loukas s’installe face à nous, dans un large fauteuil. En connaisseuse, je remarque qu’il bande. Il s’adresse à nous dans un excellent Français et ne me lâche pas du regard.

• Monsieur et Madame T, je suis très embarrassé. Vous avez loué la suite la plus luxueuse de notre établissement et je vous en remercie. Seulement j’ai reçu de nombreuses plaintes contre vous.

Philippe joue les naïfs :
• De quelle nature, Monsieur le Directeur ?

• Allons, Monsieur T ! On ne va pas tourner autour du pot. Depuis votre arrivée, chaque jour, vous recevez des amants dans votre suite, pour votre femme et en votre présence !

• Cela nous regarde, vous ne croyez pas ?

• Sauf que ces fréquents va et viens, jusque tard dans la nuit et surtout le fait que Madame soit très sonore dans ces moments-là, tout cela dérange vos voisins.

• Je t’avais dit, chérie, que ce n’était pas une bonne idée que de laisser les fenêtres ouvertes !

• Il y a d’autres choses : les tenues indécentes de Madame et votre comportement. Vous avez transformé en terrain de chasse la salle de restaurant, les abords de la piscine ou notre plage privée !

• Nous n’obligeons personne. Nous nous contentons de solliciter. Avouez que mon Olga est une magnifique sollicitation !

• Vous n’avez aucune décence. J’ai ici des courriers qui attestent que vous faites ça y compris dans nos toilettes. D’ailleurs notre maître d’hôtel en a profité !

• Ma femme a beaucoup joui avec Spyros. L’attrait de l’interdit sans doute mais surtout elle aime les amants bien montés.

• Vous me contraignez à sanctionner de fidèles collaborateurs qui ont, à cause de vous, gravement manqué à leurs obligations. C’est extrêmement grave !

Je prends mon air le plus suppliant :
• Monsieur Loukas, je vous en prie, nous sommes les seuls responsables et c’est donc à nous que vous devez vous en prendre. Ne pénalisez pas vos agents. Ils n’ont fait que céder à la tentation. Vous êtes un homme, vous devez les comprendre.

• Le plus grave à mes yeux est que vous avez tenté de déstabiliser des couples mariés et, dans certains cas vous y êtes parvenus. J’ai plusieurs plaintes en ce sens, de bons clients qui menacent de ne plus revenir dans notre établissement si vous ne le quittez pas immédiatement ! Vous comprenez donc combien je suis embarrassé. Je me dois de prendre des mesures et de me justifier auprès de la Direction de notre groupe, auprès de laquelle plusieurs des plaignants ont menacé de s’adresser si je ne faisais rien. Vous comprenez donc que c’est très sérieux !

• Je vous en prie, Monsieur Loukas. Soyez compréhensif. Cette longue période de pandémie a été très frustrante pour nous, en rompant avec nos habitudes.

• Je le comprends, mais je dois protéger la réputation de notre établissement.

• Et donc ce séjour, pour profiter d’une relative accalmie, nous était absolument nécessaire. Je vous promets que désormais nous veillerons à ma tenue et à notre comportement. D’ailleurs, mon chéri, le programme que tu m’as concocté, avec des partenaires adultes et consentants, a été suffisamment rempli.

• Euh, il y a une journée encore libre, osa Philippe
• Et bien j’en profiterai pour aller à la plage hors de l’hôtel ou prendre part à une partie de pêche, sur un bateau. J’aime ça !

• Vous me donnez des garanties pour le temps qui reste. Il y a cependant les plaintes que j’ai reçues.

• Je suis certaine que vous pouvez régler ce problème, Monsieur Loukas.

J’adresse un clin d’œil à Loukas et j’ouvre encore un bouton. Je passe la langue sur mes lèvres.

• Ce ne sera pas simple, Madame T, mais j’ai une idée en effet : désintéresser les plaignants en allant jusqu’à leur proposer la gratuité de leur séjour, selon la gravité du cas.

• Vous feriez ça, Monsieur Loukas ? Ce serait formidable en effet. Et pour le personnel ? Nous insistons beaucoup pour qu’ils ne subissent aucune sanction.

• Il va de soi que, pour étouffer l’affaire et pour conserver d’excellents collaborateurs, je me contenterai de les engueuler comme ils le méritent.

• Nous vous sommes très reconnaissants pour tout cela.

• Que ne ferais-je pas pour vous être agréable ? Ceci dit c’est un gros effort, qui me coûte personnellement très cher. Alors il faudra me remercier. Et tout de suite ! Vous m’avez compris, je pense ?

• J’ai parfaitement compris le prix à payer et je le trouve normal. N’est-ce pas chéri ?

• Moi j’appelle ça du chantage !

• Comme vous voulez, Monsieur T. Vous êtes libre de choisir et, si ça ne vous intéresse pas, je n’insiste pas et vous invite à prendre des dispositions pour libérer votre suite immédiatement. Sans compter que je conseillerai aux plaignants d’aller à la police. Je ne vous comprends pas. Depuis que vous êtes arrivés, beaucoup d’hommes ont baisé votre femme, y compris dans mon personnel. Alors ce que je vous propose, c’est ce que vous êtes venus chercher ici !

• Allons, mon chéri, Monsieur Loukas a raison, ce qu’il propose est raisonnable et me fait envie. Et puis, c’est de moi qu’il s’agit ? D’habitude, tu aimes ça !

• Si elle est d’accord, je ne m’y oppose pas. Allez-y et faites la jouir, Olga est, vous le verrez, exceptionnelle.

• Je m’en doute. Je vais te montrer comment il faut traiter ta putain.

Loukas ouvre le pantalon dans lequel sa bite était comprimée depuis un moment. Je regarde son engin avec désir, il est conforme à ce que j’avais deviné.

• Fous-toi à poil, salope. Garde tes escarpins et ton string et viens !


Le ton est donné : ce type me traite d’emblée comme une chienne. Il a deviné que, dans ces moments-là j’aime ça. Ca m’excite d’autant plus que ça se passe devant Philippe. Loukas l’a compris et va m’humilier :
• Je vois qu’elle te fait envie, petite putain ! Je vais te faire couiner devant ton mari. Tu es en chaleur, tu vas être servie !

Je me dirige vers lui et attends ses instructions :
• A genoux ! Elle te plait ?

• Beaucoup !

• Prends-la en mains. Branle-moi !

Je m’exécute, ma main ayant du mal à faire le tour de l’engin. Je regarde mon amant d’un air de désir et de soumission.

Philippe me connait et sait ce que j’aime dans ces cas-là. Il n’interviendra que si ça va trop loin.

• Je sais que tu en meures d’envie : prends-moi en bouche !

Je suis à genoux devant Loukas et celui-ci me tient la tête, m’imposant un véritable coït buccal, s’enfonçant loin dans ma bouche, provoquant larmes et nausées, sans que j’interrompe ma fellation. Le directeur commente ma prestation :
• T’es vraiment une bonne chienne. On me l’avait dit, mais je confirme, t’es une pipeuse exceptionnelle.

Cela dure un moment, sans que l’homme ne se soulage dans ma bouche. Il a envie d’autre chose et moi aussi. Il s’adresse à Philippe :
• Tu veux bien nous laisser le canapé ? Installe-toi sur le fauteuil pour continuer à mater, puisque tu aimes ça ! Et toi, mets toi sur le canapé et tends ta croupe ! Donne-moi ton string
Nous obéissons et j’en profite pour échanger un baiser avec Philippe. J’enlève mon string et le donne à Loukas, qui garde son trophée dans la poche de son pantalon.

• Je m’en doutais ! Il est trempé. T’es vraiment en chaleur !

• Je t’en prie, je n’en peux plus d’attendre. Prends-moi !

Philippe tend un préservatif à Loukas qui hésite un instant, avant de mettre la protection.

• Tu la connais bien ta salope. Tu prévois tout, je vois !

• Ca fait partie de nos arrangements. Olga est libre d’avoir tes amants mais les rapports doivent être protégés.

• Avec une telle garce, c’est mieux en effet !

Malgré mon excitation et mon envie irrésistible, les paroles de Loukas me blessent. Mais au stade où j’en suis, peu importe. Je veux aller au bout, je veux, j’ai besoin d’être baisée, d’être saillie. Mon amant va me prendre en levrette, comme j’aime. Il ne s’encombre pas de préliminaires, de caresses, encore moins de tendresse. Ce jour-là, je ne fais pas l’amour, je baise !

Loukas me la met d’emblée bien au fond et commence immédiatement à me pilonner. Ses couilles lourdes tapent sur mes fesses. Il accélère encore le rythme. Il me démonte littéralement :
• Prends ça ! Ca te plait ?

• Beaucoup !!! Oh vas-y, salaud, n’arrête-pas. Oui, comme ça ! Que c’est bon !!!!!

• Tu aimes faire ça devant ton mari, n’est-ce pas, petite putain ?

• Oh oui, j’adore ça. C’est même ce que je préfère.

Le traitement que m’inflige Loukas déclenche une cascade d’orgasmes.

Les coups de bites de Loukas sont accompagnés d’injures, en Grec, mais que Philippe comprend bien. Tout y passe : « Pórni! (Putain) Thilykó skylí! (Chienne) Vrómiki choiromitéra (Truie)! Nymfomanís (nymphomane) ! »
Il est ordurier, mais ça m’excite. Il me demande :
• Sas arései aftó! (tu aime ça ?)
• Nai, polý! Gámisé me! Prosvolí me! Eímai pórni (« Oui beaucoup ! Baise-moi ! Insultes-moi ! Je suis une putain)
• Nai gynaíkes san esás, i thési tous eínai sto pezodrómio. Páre aftó! Tha se xeskíso! (« Oui des femmes comme toi, leur place est sur le trottoir. Prends-ça! Je vais te démonter!)
Loukas est un véritable étalon et il est endurant. Il ne me laisse aucun répit :
• Oh, que c’est bon ! Que j’aime ça ! Encoreeeeee !!!!!!! Oh, mon Philippe, tu sais c’est exceptionnel. Ca te plait ?

• Beaucoup !

Il y a bien longtemps que mes gémissements sont devenus des cris, puis des hurlements. Les traits de mon visage sont déformés, exprimant un plaisir sans limites, proche de la souffrance. C’est presque trop, mais j’en veux encore. Malgré la porte capitonnée, l’assistante dans la pièce d’accueil sait ce qui se passe dans ce bureau, J’aimerais que ça ne finisse jamais, que les orgasmes s’enchainent comme les vagues de la mer, le plaisir appelant le plaisir. Ce mâle est exceptionnel. Il est de la race des Rachid, des Hassan, des N. Il peut faire de moi ce qu’il veut, je suis sa chose. Je m’offre totalement.

• Nai nai nai! Mi stamatás! Válte to sto káto méros! Gámisé me! Ischyróteri! Nai étsi! Me SKOTONEIS! (« Oui, oui, oui! N’arrête pas! Mets-la bien au fond! Baise-moi! Plus fort! Oui, comme ça! Tu me tues! »)
Je sais deviner le moment où la jouissance sera si forte qu’elle exigera une pause. Dans ces moments, j’ai besoin, non seulement du regard et des encouragements de Philippe, mais de sa présence. J’ai besoin qu’il m’embrasse, qu’il me caresse. Nous ne nous lassons pas de ces moments de complicité, où le regard de mon chéri exprime autant son excitation que son amour. Je sais que c’est grâce à lui que je peux vivre ça. Et lorsque survient l’ultime orgasme, le plus violent, le plus dévastateur, qui mérite le nom de petite mort, je tiens la main de Philippe et serre ses doigts, au point de lui faire mal.

Loukas n’a pas encore joui. Il est très fier de la capitulation qu’exprime la longue plainte qui accompagne mon orgasme. Il s’adresse à Philippe, alors que je m’apaise enfin :
• Vidons-nous sur son visage !

Mon amant et mon mari dirigent leurs queues vers mon visage et leurs jets puissants m’atteignent en même temps. J’ai le visage, les yeux, les cheveux maculés. Je recueille cette semence sur mes doigts, que je lèche avec gourmandise, avant de me réfugier dans les bras de Philippe, que je gratifie d’un long baiser amoureux.

Loukas me tend une serviette, pour essuyer les traces de sperme.

• Vous êtes un couple très particulier. J’avoue que ça valait la peine, même si voilà un moment de plaisir qui me coûte cher. Et n’oubliez pas : plus de frasques à l’hôtel jusqu’à votre départ !

Quand nous sortons, alors que mes traits et ma tenue confirment ce qui vient se passer, l’assistante me gratifie d’un « Vrómiki gallikí pórni » (Sale putain de Française) Nous avons appris plus tard que cette femme était la maîtresse de Loukas. Et heureusement, car celui-ci n’a pas osé pousser son avantage, en remettant le couvert. Il m’aurait demandé de le suivre pour la nuit, je ne suis pas certaine que j’aurais refusé.

***
Nous avons calmé la tempête, à un prix qui me convenait bien. Il reste que nous devons tenir notre parole et que les exigences de Loukas marquent une rupture complète par rapport à ce que nous avions fait les jours précédents.

Nous nous sommes promenés, main dans la main, avec Philippe, au petit port de pêche de l’ile. Je me suis intéressée à la pêche du jour et j’ai engagé la conversation avec deux pêcheurs, le père, Vangelis, la quarantaine, et son fils Stephanos. Ces hommes rudes, à la peau tannée par le soleil et la mer, m’attiraient. Ils m’ont proposé de les accompagner tôt leur lendemain matin sur leur petit bateau, moyennant une gratification modique.

Même si on ne prête qu’aux riches, je n’ai pas pensé immédiatement à ce qui pouvait se passer. C’était juste un moyen d’occuper cette dernière journée, plutôt que de rester à lézarder sur la plage et ce d’autant plus que nous avions promis à Loukas de nous tenir tranquilles. J’avais déjà eu l’occasion d’accompagner des pêcheurs et j’avais envie de renouveler cette expérience.

J’ai proposé à Philippe de m’accompagner, mais il a décliné :
• Tu sais bien, chérie, que je n’ai pas le pied marin. Donc, non merci. Mais vas-y, profites-en !

• Tu n’as pas peur de me laisser seule avec ces deux types ?

• A partir du moment où je ne t’accompagne pas, tu es libre. D’autant que rien ne peut se faire désormais à l’hôtel.

• J’aurai mon téléphone avec moi de toute façon. Mais ne t’inquiète pas, ces types ne sont pas mon genre.

Le lendemain matin Philippe m’a accompagné au port. J’ai choisi de mettre un short et un bikini, mais plutôt sage. Vangelis m’a tendu la main, alors que Stephanos me faisait une bise sur les deux joues. Ce garçon de 20 ans aurait pu être mon fils.

La partie de pêche s’est déroulée sans encombre et a duré deux heures. J’étais loin d’être un fardeau pour les pêcheurs. Au contraire, ceux-ci s’étonnaient de ma maîtrise des techniques de pêche et de mes capacités de navigation. Je leur ai expliqué que c’était le fruit de plusieurs expériences, lors de vacances, dans mon adolescence et ma jeunesse, avant de rencontrer et d’épouser Philippe.

Les casiers étant bien remplis, Vangelis a proposé de prolonger cette escapade pour me faire découvrir l’autre côté de l’ile, avec ses petites criques sauvages, accessibles seulement depuis la mer. En attendant d’y arriver avec le petit bateau de pêche, je pouvais profiter du pont pour me reposer et bronzer, d’autant que c’était notre dernier jour de vacances.

Ils m’ont installé un petit matelas sur lequel je me suis couchée. J’avais enlevé sans hésiter le haut de mon bikini. Stephanos me met à l’aise :
• Ici personne ne te voit. Si tu veux, tu peux faire du bronzage intégral. Ne t’inquiète pas, on ne te fera pas de mal !

Ce n’était pas prudent, mais j’enlevais short et slip de bain pour profiter pleinement de ce doux soleil d’automne, en sachant qu’une résurgence de la pandémie risquait de m’en priver avant longtemps. En « tout bien tout honneur », Stephanos se propose d’enduire mon corps d’huile solaire. Ses mains calleuses me donnent des frissons. Je vois bien, à son érection, que je lui fais de l’effet, mais je n’ai rien relevé, alors que la situation commence à m’exciter.

Je me suis rapidement endormie et assez profondément, bercée par le bruit des vagues et un léger vent. Je me souviens avoir fait un rêve érotique, conséquence évidente de l’état d’excitation dans lequel j’étais. En fait, ce n’était pas qu’un rêve. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu Stephanos entre mes jambes, en train de m’infliger un délicieux cunnilingus.

J’ai fait semblant de continuer à dormir. Je ne voulais pas qu’il arrête. Que c’est bon que de se faire lécher par cet inconnu : sa langue est délicieuse et il est particulièrement doué, motivé par le seul plaisir qu’il me donnait. Je ne pouvais plus longtemps prétendre être endormie. J’ai posé ma main sur sa tête et je l’ai encouragé à poursuivre
• Oh oui, Stephanos. Vas-y ! Bouffe-moi la chatte ! Oh que c’est bon !

Stephanos comprend qu’il a mon consentement. Il poursuit sans relâche son traitement, alternant les coups de langue et les pénétrations avec son majeur. Etant à la fois clitoridienne et vaginale, j’étais aux anges :
• Oh c’est divin. Mets-moi aussi un doigt dans le cul !

A part mon Philippe et, bien entendu mon Agun, peu de mes partenaires m’ont donné autant de plaisir lors d’un cunnilingus. Et ma jouissance est à la hauteur de ses efforts, longue et intense.

Stephanos se relève d’entre mes jambes. Son visage est maculé par ma mouille. Il s’approche, je l’embrasse longuement, alors qu’il me caresse.

Vangelis nous observe depuis un moment :
• Félicitations, mon fils. Tu avais raison quand tu m’as dit que cette femme était une chaude !

Stephanos est pressé de continuer. J’en ai envie moi aussi, mais je ne veux pas faire ça sur ce bateau :
• Doucement, mon beau. J’ai envie, moi aussi. Mais j’aimerai un endroit plus agréable pour faire ça.

• Nous arrivons à une petite crique déserte, où personne ne nous dérangera, dit Vangelis
• C’est parfait. Que les choses soient claires : je veux téléphoner à mon mari pour demander son accord. S’il dit non, vous ne me touchez pas et me ramenez au port.

• Ca va de soit, même si je trouve que c’est spécial de demander l’accord de ton mari pour le tromper !

• Justement, je ne veux pas le tromper. Je veux qu’il sache et me donne son feu vert.

Nous sommes arrivés à la petite plage de sable dont avait parlée Vangelis. Alors que celui-ci amarre solidement le bateau, Stephanos me porte jusque sur la plage, en profitant pour m’embrasser. Vangelis nous rejoint avec des couvertures, pour que ce soit plus confortable, ainsi qu’avec mon sac de plage, où se trouve mon téléphone.

Je suis rassurée : le téléphone passe sans problèmes. J’appelle immédiatement Philippe. J’ai juste assez de batterie pour cet appel.

• Comment vas-tu, mon chéri ? J’espère que tu ne profites pas de mon absence pour retrouver cette garce de Marina !

• Mon amour, outre que tu es assez mal placée pour me donner des leçons, j’aime quand tu me fais confiance.

• Tu sais bien que je t’aime et que je suis possessive et très jalouse.

• Je le sais et je l’accepte. Comment s’est passée la pêche ?

A ce moment-là, je ne peux retenir un gémissement. Stephanos est en en train de sucer mes tétons et il a vite compris que c’est chez moi un endroit très érogène.

• Que se passe-t-il, chérie ? Ca va ?

• Très bien. Nous sommes sur une plage déserte, de l’autre côté de l’ile. On ne peut qu’y accéder que par la mer. Ohhh !

• Donc je ne peux pas venir te rejoindre.

• J’aurais aimé que tu sois là. Mon chéri, je peux te demander quelque chose ?

• Je devine de quoi il s’agit. Tu as envie qu’ils te baisent, n’est-ce pas ?

• Tu me connais si bien. Mais je ne le ferai que si tu es d’accord. Sinon, ils me ramènent au port. Dis-moi oui, mon amour, j’ai trop envie !

• Tu sais bien que je ne peux te dire non. Nous avons fait ce voyage pour ça et, une fois rentrés, il faudra se restreindre, hélas.

• Je t’aime !

• Moi aussi !

• Je peux te demander autre chose. Une exception, une dérogation à nos règles. Ils n’ont pas de capotes. Je peux ? Tu sais que je ne suis pas en période dangereuse.

Je n’ose en dire plus. Philippe comprend immédiatement :
• Et tu as envie qu’ils jouissent en toi. Je te donne mon accord, ce sera mon cadeau pour la fin de ce séjour. Je m’occuperai moi-même de nettoyer ta chatoune adorée.

• Tu es merveilleux. Je t’aime, mon mari candauliste !

Je ferme le téléphone. Les deux pêcheurs se sont mis nus et sont impatients. Je comprends que Vangelis a envie de moi lui aussi et je vois que sa virilité n’a rien à envier à celle de son fils.

Ils n’ont pas compris la conversation en Français, mais au signe que je leur fais, ils savent que j’ai obtenu l’accord dont j’avais besoin pour ce moment qui va être l’épilogue de cette semaine exceptionnelle.

***
Je me retrouve entre les deux pêcheurs et je sens contre moi leur désir et leurs virilités. Contrairement à ce que j’ai vécu la veille avec « Monsieur Loukas », le directeur de l’hôtel, qui m’a traité comme une vulgaire putain, ces deux pêcheurs, qui sont pourtant des hommes réputés rudes, vont me considérer avec beaucoup plus de respect, attentifs à mon plaisir autant qu’au leur. Ils ne me le diront pas, mais je l’ai ressenti : pour eux, rencontrer une femme telle que moi est une chance, presqu’un privilège. Cette fois, pas d’injures, mais des mots qui expriment respect et tendresse, et plus encore en ce qui concerne Stephanos. Ils m’appellent « Despina » (Madame), Prinkípissa (« Princesse »), ómorfi mou (« Ma belle »), Agapité mou (« Ma chérie »)
Je me sens bien avec ces hommes, rassurée. Je me sens comme Aphrodite qui se livre à deux mortels sur cette plage déserte.

Vangelis et Stefanos maîtrisent leur impatience et la mienne. Leurs baisers sont chauds, leurs caresses font monter encore mon excitation. A tour de rôle, leurs doigts fouillent ma chatte béante et trempée, alors que leurs langues et leurs bouches affolent mes tétons, durs de désir.

J’ai envie à mon tour de m’occuper d’eux et je branle leurs belles queues, avant de me mettre à genoux pour leur faire bénéficier de mes talents de fellatrice. Quand je sens que l’un est sur le point de rendre les armes, je passe à l’autre, afin de prolonger ces moments magiques. Ils ne baisent pas ma bouche, ne me forcent pas à les prendre jusqu’au fond de la bouche, ne m’imposent pas de gorge profonde. Je suis heureuse qu’ils me laissent tout le temps dont j’ai envie pour cette pratique que j’aime tant. J’aime leur goût fort, un peu iodé, et me régale du bonheur qu’ils expriment et des compliments qu’ils me font.

Il vient un moment où nous avons envie d’autre chose. Je veux être prise. Vangelis laisse la priorité à son fils, Stefanos. Je m’allonge sur la couverture qu’a installée Vangelis.

Je suis allongée sur le dos, et replie mes cuisses contre mon buste. Stefanos se place au-dessus de moi et passe ses bras sous mes genoux, pour m’aider à maintenir mes jambes en l’air. Ainsi offerte, je reçois de plein fouet les ardeurs de mon amant. Il est le félin, je suis sa gazelle. Ce jeune homme ne me baise pas, il me fait l’amour et j’aime ça.

Nous varions les positions, car nous voulons que notre coït dure. Je suis assise, les jambes autour de la taille de mon partenaire. Lui est à genoux, devant moi cuisses écartées. Sentant monter le plaisir du jeune homme, je m’allonge, de tout mon long, sur le corps de mon amant, face à lui. Mes jambes sont légèrement décalées, de part et d’autre de sa jambe à lui. Outre la proximité des corps propice à la tendresse, le frottement de mon clitoris contre la jambe de mon partenaire contient de belles promesses. Et pendant que son fils me possède, je prends la bite de Vangelis dans la bouche, façon à le remercier de sa patience.

J’ai tout fait pour retarder l’échéance chez mon amant, alors que j’ai déjà eu plusieurs orgasmes. Mais Stefanos a ses limites, il sait qu’il va jouir. Il a la délicatesse de me prévenir. Par respect, il veut se retirer. Je le retiens en moi :
• Non reste, je veux que tu te vides en moi, je veux ta semence !

Le jeune homme capitule et me donne ce que je réclamais, avec de puissantes giclées au fond de mon utérus. Après ce moment intense, nous restons un moment dans les bras l’un de l’autre, pour nous caresser, nous embrasser.

• Tu es merveilleuse, je…
Je mets le doigt sur sa bouche, pour l’empêcher de dire une bêtise. Je le repousse gentiment et je fais signe à Vangelis :
• Viens ! J’ai aussi envie de toi !

Allongée sur le dos, j’enroule le bassin de Vangelis avec mes jambes. De son côté, il a les mains libres pour me caresser. Puis nous sommes allongés l’un en face de l’autre, sur le côté et je remonte les jambes afin de les enrouler autour de la taille de mon partenaire. Dans cette position, mon amant guide mes mouvements, en dirigeant mes fesses de ses mains. Cette union a l’avantage d’offrir un face à face de proximité, propice au bouche à bouche et au langue à langue.

Vangelis est cependant moins endurant que son fils mais m’apporte, lui aussi, beaucoup de plaisir et de tendresse, avant de se vider également en moi.

Nous improvisons, avec la pêche fraiche du matin, un barbecue sur la plage. Et quand cet excellent repas se termine, nous avons envie de recommencer nos jeux érotiques. Je réveille la virilité de mes amants avec ma bouche. Stefanos et Vangelis n’osent exprimer leurs envies, je le fais pour eux. C’est moi qui leur dis que je les veux en moi en même temps, avec une double pénétration.

Stefanos m’enfonce d’un coup sa grosse bite dans ma chatte. Vangelis nous regarde en se masturbant. L’envie de participer se fait trop forte. Stefanos s’interrompt et me fait grimper sur sa bite face à lui. L’autre se colle derrière moi et commence à frotter son gland à l’entré de mon anus qui s’ouvre tout seul. Il enfonce son énorme sexe dans mon petit cul bien serré pendant que l’autre me défonce la chatte. Prise des deux côtés je lutte pour ne pas hurler. Leurs coups de reins sont rapides et puissants. Je suis dégoulinante, c’est trop bon. Ils vont plus vite, plus profond. Je sens Stefanos se vider bien au fond de ma chatte, alors que Vangelis se finit bien au fond de mon cul.

***
Nous sommes rentrés dans l’après-midi. J’ai refusé de donner mes coordonnées à Stefanos, voulant éviter d’encourager des illusions chez lui, même si j’avais apprécié ces moments de plaisir et de tendresse avec ces hommes. J’ai retrouvé Philippe, qui était impatient que je lui raconte tout dans le moindre détail et qui s’est occupé de moi, comme il l’avait promis. Contrairement à ce qui s’était passé avec Alexis et ses amis, je ne ressentais aucun malaise, car cette fois, tout c’était fait avec l’accord de Philippe, même s’il n’avait pu en être le témoin comme il aime tant le faire.

Le lendemain, nous avons quitté notre lieu de villégiature, des souvenirs chauds plein la tête. Une parenthèse heureuse dans une période de pandémie difficile à vivre, en particulier pour assumer nos pratiques sexuelles.

Les avis des lecteurs

@olga
Ça doit être bon de te voir l’œuvre…
Hum

@ Zagalle, oui et j'adore ça!

Olga
Je constate une vraie similitude… en effet.
Dommage que je ne la vois plus…
Mais je vous verrais bien toutes les deux en associées cochonnes…
Elle aime mater une bonne double et s’y mêler en taillant les queues qui, alternativement, fourrent les deux conduits de la copine…
Ça te parle ?
Hum…

@ Zagalle, comme Laurence!

@olga
Hum… tu la préfères dans quel sens ?
Allongée face au torse de celui qui te prend la chatte et l’autre t’enfonce sa queue dans l’accès dit interdit ?
Ou
Sodomisée par celui qui est sous toi et tu invites le deuxième copain à t’enfiler la chatte en le défiant du regard ?
J’aimerais bien savoir…
Laurence aime bien les deux types de scène pourvu que ça lui coupe le souffle… en plus d’être copieusement insultée…
Un vrai dilemme, non ?

@ Zagalle, j'ai d'abord appris à aimer la sodomie et à jouir aussi par ce qu'on appelle la voie étroite. Donc de faire prendre des deux côtés est un must. Et j'aime sentir deux belles bites se rejoindre en moi à travers cette mince cloison.

@olga
Hum… la petite double pénétration. C’est bon ça, n’est-ce pas ?
Laurence aime ça… elle aime surtout me raconter ce qui lui plaît quand elle se fait démonter comme ça.
Et toi pourquoi tu aimes ça ?
À te lire
Zagalle

@ Zagalle, merci pour les deux commentaires. Pour répondre à la question, je dirai que ça m'est déjà arrivé.

@olga
Rebonsoir, j’ai omis dans mon commentaire précédent de te demander si tu pousses l’hypersexualité à porter des mules à talons pour les ébats ?
Je n’ai pas ce détail… c’est un aspect que j’affectionne particulièrement et qui ajoute du piment à la narration.
A te lire…

Sympa ce récit tout à fait éclairant…

@ chère lectrice, avec le temps, on s'assagit (un peu). Rien de bien nouveau à raconter

Histoire Libertine
Vous avez eu d’autres moments ?

@ Didier, tu as raison de dire que l'amour est notre fil conducteur de notre couple, marqué par la combinaison explosive entre hypersexualité et candaulisme. Nos pratiques ne sont pas sans risques de dérapage, nous en avons connu et certains furent graves, mais nous avons toujours su nous retrouver

Histoire Erotique
Olga,
étant plus un habitué de tes chroniques historiques, de tes présentations poétiques et cinématographiques, et enfin de ton récit fictif sur Tullia, la sulfureuse matrone romaine, je tenais cependant à te laisser un commentaire sur ces derniers textes autobiographiques.
Je te remercie donc d’avoir pris le temps de partager avec nous, sans vulgarité aucune, ces Moments Candaulistes.
Quels plaisirs se furent que de découvrir, au travers de ces sept chapitres, les vacances torrides en Grèce, de ce couple atypique que vous faîtes, Philippe le Candauliste et toi Olga l’Hypersexuelle.
Il a été en effet plaisant de lire, malgré le scandale crée de par ton comportement, comment impudique, faisant fi de toute morale, de toute décence, te faisant séductrice, exhibitionniste, tu t’es livrée pendant ces quelques jours, telle une Lysisca, à la quête de la jouissance.
Jouissance dont tu as tant besoin…
Toutefois cette quête a quelquefois mis ton couple en danger, en péril.
En effet, hors de la vigilance de ton homme, et rattrapée par « tes vieux démons », ce fort besoin de jouissance, te faisant perdre tout contrôle, tout discernement, te pousse parfois à retomber dans tes vieux travers.
Enfin, pourtant intraitable sur ce sujet, voyant ton grand amour succomber aux "chants" et charmes d'une séductrice, risquant ainsi de le perdre, tu as néanmoins par amour préféré le partager pour pouvoir mieux le conserver.
Plaisant aussi de découvrir comment Philippe, organisateur de ce séjour, véritable Pygmalion moderne, se faisant souvent protecteur, tolérant parfois sur tes débordements, prenait un plaisir certain à te savoir, à te voir « être baisée » par d’autre(s)…
Doigtée, fistée, baisée, tu l'as été en effet, dans moult lieux, de multiple manière, et de façon crescendo en nombre de partenaire.
Oui, j’utilise ce terme cru « baisée », car c'est une évidence pour moi que dans vos moments d’intimité, vous faisiez l’amour ton cher époux et toi.
Toutefois, au-delà de toute cette luxure, il est formidable de constater que le fil conducteur de récit est cet AMOUR passionné que vous vous portez tous les deux et qui vous lie à jamais.
Didier



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 7/7 : derniers
Histoire sexe : Une rose rouge
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