Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (1).
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2023 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (1).
Depuis que je suis devenue auteure sur le site HDS, il y a plus de six ans, j’ai publié 336 textes, dont 84 de nature autobiographique.
Au départ, j’étais venue sur HDS pour raconter mon parcours, accomplir ce qu’on nomme, dans mon pays d’origine, un exercice de « catharsis », de transparence, qui m’apaisait. Je l’ai fait à un moment où mon couple avec mon Philippe connaissait une grave crise. J’ai longuement raconté cette période dans 7 textes, intitulés « du candaulisme à l’adultère », publiés entre le 27 octobre 2019 et le 4 mai 2020 : j’étais tombée amoureuse d’un autre homme, « N » et je m’apprêtais à quitter mon mari et mes enfants pour rejoindre mon amant. J’avais ressenti le besoin de raconter mon parcours, celui d’une hypersexuelle, qui a croisé la route d’un mari candauliste.
Mon hypersexualité remonte loin, à ma puberté, conséquence d’un complexe d’Electre destructeur. Ce n’est donc pas à cause de Philippe que je suis hypersexuelle. Avant de le rencontrer, j’avais déjà vécu beaucoup de frasques. Je voulais construire avec lui un couple classique, une famille, m’assagir enfin. Philippe ne l’entendait pas ainsi. Il a voulu réaliser avec moi ce que ses précédentes compagnes lui avaient refusé : assumer ses fantasmes candaulistes. L’histoire d’amour entre un candauliste et une hypersexuelle ne pouvait être qu’explosive. Philippe n’a eu de cesse et a mis des années à parvenir à ses fins, ce qui s’est produit à l’été 2007, quand il mit sur ma route un prédateur nommé Rachid. A partir de là, je n’ai plus eu aucune limite et il m’est impossible de connaitre le nombre de mes amants, des centaines certainement.
Je renvoie les lecteurs à mes publications autobiographiques sous le titre « Philippe le mari candauliste et Olga l’épouse hypersexuelle ». Notre couple a souvent été au bord du gouffre, dans les années où j’étais sous la coupe de Rachid, puis à la suite du divorce consécutif à ma rencontre avec Hassan et enfin lors de cet adultère avec N. Notre couple avec Philippe a pourtant surmonté toutes les épreuves, y compris lors des paternités qu’il a assumées merveilleusement.
Ce miracle est le fruit d’un amour sans limites et a été conforté par le respect de certaines règles. Philippe a d’abord pleinement accepté ma bisexualité et donc mon autre couple avec ma femme, ma douce Agun.
Pour le reste, nous n’avons pas changé. J’ai toujours une libido exigeante et Philippe a toujours le même plaisir à me voir jouir sous les assauts d’un mâle. Ce n’est pas l’âge qui apaise les envies, ce sont tout simplement les contraintes liées à la vie, familiales d’abord et, pour Philippe, professionnelles. L’autre règle est que Philippe est l’ordonnateur de nos plaisirs. Il faut donc savoir patienter jusqu’au moment où cela peut être organisé. Pour protéger notre famille et notre réputation, pour ne pas répéter les erreurs du passé, cela ne peut se dérouler à notre domicile et ne peut être envisagé avec des connaissances, l’exception étant Pierre et Christine, nos plus anciens amis. Autant dire que les moments où nous pouvons donner libre cours à nos envies, ne sont pas fréquents mais sont d’autant plus précieux.
La dernière règle de notre fonctionnement est la transparence la plus complète entre nous, même quand la frustration, devenue insupportable, débouche sur des dérapages de ma part. Ils sont heureusement rares mais n’ont pas pu toujours être évités. Ils sont en même temps un signe pour Philippe qu’il y a urgence à apaiser mes sens. Il n’y a pas de réciprocité car Philippe sait que, moi, je ne partage pas l’homme que j’aime et que ma jalousie me fait devenir une véritable tigresse.
***
Ce long préambule me semblait nécessaire à l’intention des lecteurs qui n’auraient pas pu lire tous mes textes autobiographiques. Il explique aussi, qu’en fonction des disponibilités limitées que laissent les responsabilités familiales, l’écriture est pour moi fondamentale, un véritable apaisement en quelque sorte, que ce soit sur ce site ou sur d’autres. Passionnée d’histoire, de lecture, de poésie, de cinéma ou encore par la mythologie, je me suis lancée depuis longtemps dans la diversification de mes publications. J’ai par exemple publié plus de 100 textes dans la rubrique « histoire des libertines ».
Je me suis aussi lancée dans l’écriture de textes fictifs rédigés à « quatre mains ». J’en remercie particulièrement des auteures talentueuses comme ElodieParis (16 textes sous l’intitulé « Elodie, Olga et Philippe ») ou Micky (deux séries de 5 textes « Olga et le docteur » et plus récemment 3 textes sous l’intitulé « Saga Africa pour Olga »).
Depuis le 6 août 2021, j’ai commencé une longue série « Matrone et Domina, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale ». C’est une série qui combine fiction, érotisme et histoire, avec un éclairage sur la civilisation et les mœurs à Rome. Mon personnage fictif, Tullia côtoie de nombreux personnages historiques. Jusqu’à présent, 40 chapitres ont été publiés sur HDS, les délais de publication ayant été allongés par l’interruption du site de juillet à novembre 2022. Il reste 3 chapitres à mettre en ligne. Chacun aura compris que je me retrouve dans le personnage de Tullia et que l’écriture de ce texte a nécessité un gros travail de documentation.
Je suis bien consciente que ce type de publications, comme d’ailleurs mes autres publications actuelles, a une audience plus restreinte que des récits qui seraient uniquement ou principalement centrés sur le sexe, y compris mes récits autobiographiques.
Récemment, plusieurs lecteurs ont souhaité la reprise de la publication de mes textes autobiographiques, dont le dernier remonte au 27 juin 2022, soit à près d’un an.
Pourquoi ce silence ? Comme je l’ai expliqué, cela n’est pas dû à un changement radical de comportement, ni de ma part, ni de celle de mon mari candauliste. C’est la conséquence du fait que ces événements sont désormais plus rares, pour les raisons évoquées plus haut. Il est vrai aussi que, dès la reprise d’HDS, j’ai jugé prioritaire de terminer la publication de « Matrone et Domina ». Il y avait une autre raison : j’ai déjà longuement parlé de mon hypersexualité et du candaulisme de Philippe. Même avec d’autres personnages, je n’avais pas envie de répéter des scènes si souvent décrites, même quand il s’agit de personnages et de circonstances nouveaux.
Mais puisqu’on me le demande, je vais me livrer à cet exercice et je vais raconter des événements récents.
***
Ce dont je vais parler est en rapport avec mon travail d’écriture. Pour « Matrone et Domina », je me suis appuyée sur de nombreux ouvrages. J’ai débuté également un travail d’une toute autre nature, la rédaction d’un e-book, « les Mémoires de Faustine ». Faustine, épouse de l’empereur philosophe Marc Aurèle, a eu une réputation sulfureuse, même si elle est moins célèbre que Messaline.
Cette œuvre de fiction a l’ambition d’écrire des « mémoires fictives, à l’image de ce qu’ont fait Marguerite Yourcenar pour Hadrien, Robert Graves pour Claude ou encore Pierre Grimal pour Agrippine la jeune, mère de Néron, même si je ne saurais prétendre à l’audience de ces grands écrivains.
Pour ce travail également, je m’appuie sur une volumineuse documentation. Quand j’étais lycéenne, j’avais visité Rome, à l’occasion d’un séjour auprès de Gianni et Maria, amis de mes parents et qui furent mes « initiateurs » (voir « Olga l'hypersexuelle et Philippe le candauliste. Comment j'ai découvert mon hypersexualité », mon premier texte). C’était il y a plus de trente ans. J’ai eu envie de revoir certains des sites que j’évoque dans l’e-book et aussi de confronter les lieux avec les descriptions qui figurent dans « Matrone et Domina ». En fait, l’idée est venue de Philippe, qui est aussi mon lecteur, qui ne cesse de m’encourager et qui est, je dois le dire, en quelque sorte pour moi ce que Marc Aurèle fut pour Faustine.
Aussitôt confirmé mon accord et ayant voulu profiter des possibilités que donnent les ponts de ce mois de mai Philippe s’est lancé dans l’organisation. Il ajouta qu’en mai, il y avait la température idéale pour explorer Rome, sans avoir trop chaud ni trop froid.
Philippe ne voyait pas que l’intérêt culturel du voyage. Je connais bien mon chéri candauliste et je me doutais bien de ce qu’il avait en tête. Il ne s’en cachait pas :
• Nous devons profiter pleinement de ces quelques jours. J’ai bien envie de te voir jouir sous les assauts d’un « latin lover ».
• Tu es incorrigible, mon chéri ! Je n’y vais pas pour ça. Une semaine c’est court et j’ai beaucoup de choses à voir !
• Il faut toujours joindre l’utile à l’agréable ! Je m’occuperai de ça aussi !
C’est donc Philippe qui a tout organisé. Agun et Christine ont, comme à chaque fois, répondu présentes à la demande de Philippe pour ce qui concerne la garde des enfants. Christine est venue à la maison, puisque nous étions hors vacances scolaires.
Pour dire la vérité, Christine ne venait pas que pour nous rendre service. De plus en plus portée sur le saphisme, Christine avait des visées sur Agun. J’ai compris, à mon retour, qu’elle était parvenue à ses fins car je les ai surprise ensemble, dans ma chambre, nues : Christine, équipée d’un gode ceinture monstrueux, était en train de démonter Agun.
Profondément possessive, j’ai très peu apprécié que ma femme me trompe en mon absence, qui plus est avec ma meilleure amie. Philippe a su me retenir de réagir avec virulence, me rappelant que je connaissais Christine et qu’elle obtenait toujours ce qu’elle désirait. Je déteste pourtant partager Agun, comme je refuse absolument de partager Philippe, mais je suis consciente que, sans l’aide de Christine, c’en serait fini de nos escapades. J’ai cependant averti Philippe que ma tolérance envers Agun ne valait pas pour lui. Il sait que je ne plaisante pas, l’ayant prouvé envers des rivales comme Flavienne, une de ses ex, ou encore Ambre, une jeune femme avec qui il avait eu une brève liaison. Dans les deux cas, j’avais été impitoyable et même violente. Mais ceci est une autre histoire.
***
Philippe a en premier lieu choisi un hôtel de charme, à proximité immédiate de la Piazza Colonna. Son choix ne doit rien au hasard. Nous étions dans le centre historique de Rome, en bordure de la Via del Corso, non loin de la Place Navone, du Panthéon et de la Fontaine de Trévi. Face à la Colonne de Marc-Aurèle, où se dresse le Palais Chigi, la résidence officielle du Président du Conseil Italien, à deux pas du Palais du Parlement.
Notre hôtel était situé dans un élégant palais, ancienne résidence d’une famille noble. La suite junior comprenait un lit king-size et un coin salon séparé. Cet hébergement élégant, doté de parquet, est décoré dans des couleurs chaudes et il dispose d'une grande salle de bains en marbre.
Le choix de l’hôtel et de la chambre confirmaient que Philippe avait bien certaines arrière-pensées, alors que moi je prétendais que seuls les aspects culturels de cette visite m’intéressaient. Philippe est allé jusqu’à l’organisation de ces aspects.
Après avoir beaucoup cherché, il a choisi un réseau de visites personnalisées et guidées francophones, qui offrait un programme très complet.
Nous avons rejoint notre hôtel depuis Fiumicino et nous avons déposé nos affaires. Nous avons pris une douche, avant de nous changer. Pendant notre séjour, la météo a tenu toutes ses promesses, avec une température qui a oscillé entre 17 et 23 degrés. Il y eut alternance entre journées ensoleillées et des jours nuageux avec de légères averses. Je dois dire que, contrairement à Philippe, j’aime la pluie. Je m’encombre rarement d’un parapluie ou d’un imperméable, sauf bien entendu en hiver. J’avoue que j’aime quand la pluie, avec une chaleur modérée, colle mon tee-shirt à mon corps, laissant deviner que je ne porte pas de soutien-gorge. Et quand je suis excitée, mes tétons pointent sous le tissu mouillé. C’est cela aussi mon côté exhibitionniste !
Pour ma redécouverte de Rome, ma tenue, au cours de ces journées, fut de préférence, en fonction de la météo, baskets, tee-shirt, short ou jean serré, les shorts mettant en valeurs mes jambes, les jeans mes fesses. Philippe aurait bien voulu que nous nous reposions un peu. Pensait-il à une sieste crapuleuse ? Mon impatience fut la plus forte et mes désirs des ordres pour mon chéri. Je voulais démarrer au plus vite le programme qui avait été concocté pour moi.
Il passa donc un coup de téléphone pour que notre guide nous rejoigne au plus vite. Moins d’une heure plus tard, il nous attendait dans le hall de l’hôtel. J ai profité du délai pour remercier Philippe et le soulager, en le gratifiant d’une fellation, notre pratique préférée depuis que nous sommes en couple, une habitude quotidienne à laquelle nous n’avons que rarement dérogé.
Pendant que je m’activais entre ses cuisses, Philippe se montrait particulièrement résistant, m’obligeant à déployer tous mes talents de fellatrice. Il me traitait « d’adorable salope », évoquant les moments chauds qu’il attendait pour moi au cours de ce séjour, les mâles qui allaient m’honorer comme il se doit. Si j’étais parvenue à mon objectif en lui faisant lâcher dans ma gorge de puissantes giclées que j’avalais consciencieusement jusqu’à la dernière goutte, la conséquence était que j’étais particulièrement excitée lorsque nous avons eu un appel de la réception, annonçant l’arrivée de notre guide, Luigi.
Nous sommes donc descendus, main dans la main. Ma première surprise fut que Philippe le connaissait et que les deux hommes se tutoyaient :
• Salut, Luigi. Je suis heureux de faire ta connaissance autrement que par Skype. Je te présente Olga !
• Bonjour Philippe. Bienvenue à Rome, mes amis ! J’avais bien sûr reconnu Olga, elle est encore plus belle que sur les photos que tu m’as envoyées.
• Alors comme ça, dis-je à Philippe, ne cachant pas mon irritation, tu envoies des photos de moi sans même m’en parler !
• Nous avons beaucoup parlé de toi. Luigi voulait te connaître. Il était enthousiaste au sujet de mes propositions.
Je tendis la main à Luigi :
• Buongiono signore!
Au lieu de serrer ma main, il la porta à ses lèvres et y déposa un baisemain !
• Buongiorno Signora. Come state ? Sei ancora più bella di quanto immaginassi! (“Bonjour Madame. Comment allez vous ? Vous êtes encore plus belle que je ne l'imaginais!”)
Il y eut alors un blanc. Luigi ne lâchait pas ma main et nous nous fixions. Qu’il était beau ! Assurément, il avait moins de trente ans, il mesurait 1M90, des épaules larges, des yeux noirs profonds, un visage aux traits fins et réguliers. Une barbe de deux jours soigneusement affichée. La façon dont il me regardait, ou plutôt me déshabiller du regard, me fit frissonner. Je compris que j’avais affaire à un mâle, à un chasseur et qu’il me voulait. En baissant les yeux, j’ai vu que son pantalon de toile ne cachait pas une formidable érection. Je sentis que je perdais le contrôle. Mon corps réagit comme à son habitude à l’appel du mâle. Je sentais ma chatte s’humidifier, les pointes de mes seins se durcir. Je me doutais que tout cela n’était pas le fruit du hasard, mais provenait de la volonté de Philippe. Je tentais de reprendre contenance :
• Useremo termini familiari e parleremo francese, in modo che mio marito capisca tutto. (“Nous allons nous tutoyer et parler Français, pour que mon mari comprenne tout.)
• Certainement. C’est une des raisons, pas la seule, pour lesquelles j’ai choisi Luigi, intervint Philippe. Luigi va rendre ton séjour à Rome inoubliable.
Nous avons poursuivi cette conversation autour d’un verre, dans les salons de l’hôtel. Luigi commanda un expresso « ristretto », ajoutant, avec un clin d’œil, qu’il devrait être en forme ces prochains jours. De mon côté, je choisis un expresso « macchiato », Philippe se contentant d’un decafeineto. Philippe choisit pour nous installer une grande banquette, où je me retrouvais entre Luigi et lui.
D’emblée, Luigi marqua le terrain, en posant sa main sur ma cuisse gauche, échangeant un regard complice avec Philippe. J’aurais du réagir, ôter cette main, mais je n’ai pas osé et l’honnêteté m’oblige à reconnaître que je n’ai pas voulu.
Luigi parlait beaucoup, racontant son parcours. Issu d’une famille aristocratique désargentée, il était docteur en histoire et archéologue. Ne trouvant pas de débouchés dans le secteur public, il travaille dans cette agence touristique de luxe, spécialisée sur les visites historiques haut de gamme de Rome. Sa maîtrise des langues et ses connaissances ont fait le reste.
Je me suis tournée vers Philippe :
• Dis-moi, chéri, c’est un hasard si Luigi est notre guide ?
• Pourquoi, il ne te plait pas ?
• Bien sûr que oui, il est parfait à tout point de vue. Mais je voulais savoir.
• L’agence permet le choix des guides. Elle fournit leur présentation et leur photo ; je dois dire qu’il y avait beaucoup de guides féminines aussi jolies que compétentes. Je sais, mon amour que tu aimes les femmes, mais je connais aussi ta jalousie viscérale, dans le cas où une de ces jeunes femmes se serait intéressée à moi.
L’allusion à ma bisexualité en présence de Luigi me fit rougir.
• Si je comprends bien, vous avez beaucoup échangé avec Luigi à mon sujet.
• Oui, nous avons parlé de ta passion de l’histoire et de tes écrits. Luigi a beaucoup aimé « Matrone et Domina ». Je lui ai aussi parlé de ton projet d’E-book, « Les Mémoires de Faustine »
• J’ai passé ma thèse sur le règne de Marc Aurèle, précisa Luigi.
Ainsi Philippe avait fait lire mon roman érotique et historique à Luigi.
• Tu aurais pu m’en parler avant de diffuser mes textes.
• Ils sont bien publiés sur des sites d’histoires érotiques !
• Philippe a bien fait, Olga. J’ai adoré ton œuvre, la façon dont tu évoques les événements de l’histoire de l’empire romain à cette époque, les mœurs, la civilisation, les personnages historiques. Et puis, cette Tullia, quelle femme, quel tempérament. Je suis d’accord avec Philippe quand il dit que Tullia, c’est toi !
• Je comprends que, tous les deux, vous n’avez pas parlé que de mes travaux d’auteure.
• Nous avons beaucoup parlé de toi, ma chérie. J’ai joué cartes sur tables avec Luigi. Il connait notre histoire, mon candaulisme, ton hypersexualité.
• Vous êtes un couple extraordinaire et Philippe te donne, Olga, la plus belle des preuves d’amour et de confiance.
• Tu es incorrigible chéri, dis-je à Philippe, mais j’ai l’habitude et je t’aime. Mais de là à diffuser des photos de moi à un inconnu.
• Nous avons fini par établir des relations de confiance.
• Et quel type de photos ?
• Y compris les plus intimes, Olga, mais où on ne peut t’identifier, dit Luigi. J’ai beaucoup aimé les photos où tu es en train de sucer Rachid ou de te faire baiser par lui en levrette. Ne vous inquiétez pas, je ne les conserverai pas et je ne les diffuserai pas.
Décidément Philippe avait mis le paquet. Je lui lançais un regard furieux. A ce moment précis, une nouvelle bouffée de désir m’est venue. J’ai eu envie d’embrasser Luigi, de le prendre par la main et de le conduire à notre suite pour qu’il me baise comme une chienne. Heureusement, on ne pouvait pas lire dans mes pensées. Je résistais à nouveau à la tentation.
• Je vois où vous voulez en venir, Philippe et toi, mais ces choses ne se passent que si je les veux et je ne suis pas venue à Rome pour ça, mais pour des visites historiques et culturelles. Juste une dernière question, Luigi ? Tu es marié ? Tu vis en couple ?
• Je suis pour le moment célibataire endurci. Et beaucoup de succès avec les femmes, ajouta-t-il avec le sourire d’un macho assumé.
• Passons maintenant au programme que tu as concocté. C’est ça qui m’intéresse, dis-je fermement en enlevant la main de Luigi de ma cuisse.
Luigi se lança avec enthousiasme dans la présentation d’un programme très complet, négocié avec Philippe en fonction de mes écrits et de mes centres d’intérêt. Il y avait bien entendu les classiques, à savoir le Colisée et son musée, y compris le Gladiator Museum. Le long périple se poursuivait avec les forums impériaux et les Thermes de Caracalla.
Il proposa aussi la visite des musées qu’il qualifiait d’incontournables, en se concentrant sur l’époque romaine : le musée du Capitole, les musées du Vatican, le musée national romain, musée archéologique qui comprend les Thermes de Dioclétien, le musée national étrusque, le musée Giovanni Barracco de sculpture antique.
Luigi proposait aussi des visites plus ciblées, qui cadraient bien avec mes écrits, à savoir :
• Un circuit « Auguste et Hadrien », une découverte de la ville à travers la vie et les œuvres de ces deux empereurs.
• « Les Obélisques », une balade découverte des principales places de la ville en suivant les obélisques.
• Le « Parc des aqueducs », à la découverte des aqueducs romains qui ont rendu Rome spéciale.
• « Les murs de Rome », belle balade antique le long des remparts de la ville éternelle
Mais ce n’était pas tout :
• Comme tu es en train d’écrire « Les Mémoires de Faustine », je te propose deux visites hors de Rome, à savoir « la Villa d’Hadrien » à Tivoli et « Ostie antique »
J’étais comme une petite fille, enthousiaste, fascinée par ce programme si riche. Je me suis précipitée dans les bras de Philippe, l’embrassant amoureusement pour le remercier.
• Tout ça a dû te coûter une fortune, mon amour !
• Rien n’est assez beau pour toi, « Basilissa Moy »
Je me suis ensuite dirigée vers Luigi :
• Molte grazie, cara guida!
Je voulais lui déposer un baiser chaste sur la joue, mais Luigi me prit dans ses bras, posant ses mains sur mes fesses, me faisant sentir ainsi sa formidable érection. Depuis tout à l’heure, il n’avait donc cessé de bander pour moi. Le baiser chaste était oublié et je laissais sa langue prendre possession de la mienne. Ce type me voulait et ne lâcherait pas l’affaire. Sûr de lui et dominateur, Il me dit à l’oreille :
• Sarò paziente. Ma tu sarai mio. Ti scoperò! (“Je serai patient. Mais tu seras à moi. Je te baiserai!”)
Il me fallut un grand effort pour me dégager de cette étreinte et résister à la tentation de m’offrir à lui, avant de lancer :
• On la commence cette visite ?
Nous sommes enfin sortis de l’hôtel pour notre première journée de visite, qui représentait 3 kilomètres, depuis la Piazza Colonna jusqu’aux thermes de Caracalla, en passant par le Colisée et en longeant la Via Dei Forii Imperiali.
Philippe me tenait par la main. J’ai profité que Luigi était un peu en avant, pour poser à Philippe une question qui me taraudait :
• Dis-moi, chéri, j’ai besoin de savoir. Tu n’as pas payé ce type pour qu’il…
• Te baise ? Bien sûr que non ! Tu es belle et désirable. Tout homme normalement constitué ne peut qu’avoir envie de toi. Luigi sait que je suis d’accord et que ma seule demande est d’être le témoin de ton plaisir.
• Je me suis posée la question. Certes, je ne suis pas encore une cougar. Mais j’ai 46 ans et Luigi, qui a 18 ans de moins, pourrait être mon fils.
• Je sais que tu aimes les mâles plus jeunes. Un jour peut-être, je t’offrirai des gigolos, mais plus tard, beaucoup plus tard !
• Tu es terrible, mon mari candauliste !
• A mon tour de te poser une question : Luigi ne te plait pas ? Il n’est pas à ton goût ? J’ai été surpris, je pensais que tu n’attendrais pas pour consommer, si tu me permets cette expression. Les occasions ne sont pas si fréquentes pourtant !
• Ce n ‘est pas ça. Je te rappelle que vous m’avez préparé un programme intensif de visites. Je veux l’honorer, en profiter pleinement. Je suis excitée de tout découvrir. Même si, tu le sais bien, toi qui me connais parfaitement, je suis aussi excitée par le beau Luigi.
• Je suis impatient de vous voir ensemble !
Ce que je ne dis pas alors à Philippe est que Luigi n’était pas seulement un étalon. Il était beau, nous partagions des passions communes et donc que je craignais qu’avec lui je ne me contente pas de baiser. Certes, Philippe était là et ça limitait les risques de dérapage. Pour autant, en repoussant l’échéance, je tentais d’éviter que cette semaine romaine ne mette le feu en moi et fragilise notre couple. En choisissant notre guide, Philippe avait-il pris un risque, trop sûr de lui et de sa maîtrise de nos pratiques candaulistes ? Une chose était certaine : Luigi me baiserait. Il en crevait d’envie, moi aussi et Philippe le voulait. Restait à savoir quand et comment éviter que cela ne dérape.
(A suivre)
Au départ, j’étais venue sur HDS pour raconter mon parcours, accomplir ce qu’on nomme, dans mon pays d’origine, un exercice de « catharsis », de transparence, qui m’apaisait. Je l’ai fait à un moment où mon couple avec mon Philippe connaissait une grave crise. J’ai longuement raconté cette période dans 7 textes, intitulés « du candaulisme à l’adultère », publiés entre le 27 octobre 2019 et le 4 mai 2020 : j’étais tombée amoureuse d’un autre homme, « N » et je m’apprêtais à quitter mon mari et mes enfants pour rejoindre mon amant. J’avais ressenti le besoin de raconter mon parcours, celui d’une hypersexuelle, qui a croisé la route d’un mari candauliste.
Mon hypersexualité remonte loin, à ma puberté, conséquence d’un complexe d’Electre destructeur. Ce n’est donc pas à cause de Philippe que je suis hypersexuelle. Avant de le rencontrer, j’avais déjà vécu beaucoup de frasques. Je voulais construire avec lui un couple classique, une famille, m’assagir enfin. Philippe ne l’entendait pas ainsi. Il a voulu réaliser avec moi ce que ses précédentes compagnes lui avaient refusé : assumer ses fantasmes candaulistes. L’histoire d’amour entre un candauliste et une hypersexuelle ne pouvait être qu’explosive. Philippe n’a eu de cesse et a mis des années à parvenir à ses fins, ce qui s’est produit à l’été 2007, quand il mit sur ma route un prédateur nommé Rachid. A partir de là, je n’ai plus eu aucune limite et il m’est impossible de connaitre le nombre de mes amants, des centaines certainement.
Je renvoie les lecteurs à mes publications autobiographiques sous le titre « Philippe le mari candauliste et Olga l’épouse hypersexuelle ». Notre couple a souvent été au bord du gouffre, dans les années où j’étais sous la coupe de Rachid, puis à la suite du divorce consécutif à ma rencontre avec Hassan et enfin lors de cet adultère avec N. Notre couple avec Philippe a pourtant surmonté toutes les épreuves, y compris lors des paternités qu’il a assumées merveilleusement.
Ce miracle est le fruit d’un amour sans limites et a été conforté par le respect de certaines règles. Philippe a d’abord pleinement accepté ma bisexualité et donc mon autre couple avec ma femme, ma douce Agun.
Pour le reste, nous n’avons pas changé. J’ai toujours une libido exigeante et Philippe a toujours le même plaisir à me voir jouir sous les assauts d’un mâle. Ce n’est pas l’âge qui apaise les envies, ce sont tout simplement les contraintes liées à la vie, familiales d’abord et, pour Philippe, professionnelles. L’autre règle est que Philippe est l’ordonnateur de nos plaisirs. Il faut donc savoir patienter jusqu’au moment où cela peut être organisé. Pour protéger notre famille et notre réputation, pour ne pas répéter les erreurs du passé, cela ne peut se dérouler à notre domicile et ne peut être envisagé avec des connaissances, l’exception étant Pierre et Christine, nos plus anciens amis. Autant dire que les moments où nous pouvons donner libre cours à nos envies, ne sont pas fréquents mais sont d’autant plus précieux.
La dernière règle de notre fonctionnement est la transparence la plus complète entre nous, même quand la frustration, devenue insupportable, débouche sur des dérapages de ma part. Ils sont heureusement rares mais n’ont pas pu toujours être évités. Ils sont en même temps un signe pour Philippe qu’il y a urgence à apaiser mes sens. Il n’y a pas de réciprocité car Philippe sait que, moi, je ne partage pas l’homme que j’aime et que ma jalousie me fait devenir une véritable tigresse.
***
Ce long préambule me semblait nécessaire à l’intention des lecteurs qui n’auraient pas pu lire tous mes textes autobiographiques. Il explique aussi, qu’en fonction des disponibilités limitées que laissent les responsabilités familiales, l’écriture est pour moi fondamentale, un véritable apaisement en quelque sorte, que ce soit sur ce site ou sur d’autres. Passionnée d’histoire, de lecture, de poésie, de cinéma ou encore par la mythologie, je me suis lancée depuis longtemps dans la diversification de mes publications. J’ai par exemple publié plus de 100 textes dans la rubrique « histoire des libertines ».
Je me suis aussi lancée dans l’écriture de textes fictifs rédigés à « quatre mains ». J’en remercie particulièrement des auteures talentueuses comme ElodieParis (16 textes sous l’intitulé « Elodie, Olga et Philippe ») ou Micky (deux séries de 5 textes « Olga et le docteur » et plus récemment 3 textes sous l’intitulé « Saga Africa pour Olga »).
Depuis le 6 août 2021, j’ai commencé une longue série « Matrone et Domina, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale ». C’est une série qui combine fiction, érotisme et histoire, avec un éclairage sur la civilisation et les mœurs à Rome. Mon personnage fictif, Tullia côtoie de nombreux personnages historiques. Jusqu’à présent, 40 chapitres ont été publiés sur HDS, les délais de publication ayant été allongés par l’interruption du site de juillet à novembre 2022. Il reste 3 chapitres à mettre en ligne. Chacun aura compris que je me retrouve dans le personnage de Tullia et que l’écriture de ce texte a nécessité un gros travail de documentation.
Je suis bien consciente que ce type de publications, comme d’ailleurs mes autres publications actuelles, a une audience plus restreinte que des récits qui seraient uniquement ou principalement centrés sur le sexe, y compris mes récits autobiographiques.
Récemment, plusieurs lecteurs ont souhaité la reprise de la publication de mes textes autobiographiques, dont le dernier remonte au 27 juin 2022, soit à près d’un an.
Pourquoi ce silence ? Comme je l’ai expliqué, cela n’est pas dû à un changement radical de comportement, ni de ma part, ni de celle de mon mari candauliste. C’est la conséquence du fait que ces événements sont désormais plus rares, pour les raisons évoquées plus haut. Il est vrai aussi que, dès la reprise d’HDS, j’ai jugé prioritaire de terminer la publication de « Matrone et Domina ». Il y avait une autre raison : j’ai déjà longuement parlé de mon hypersexualité et du candaulisme de Philippe. Même avec d’autres personnages, je n’avais pas envie de répéter des scènes si souvent décrites, même quand il s’agit de personnages et de circonstances nouveaux.
Mais puisqu’on me le demande, je vais me livrer à cet exercice et je vais raconter des événements récents.
***
Ce dont je vais parler est en rapport avec mon travail d’écriture. Pour « Matrone et Domina », je me suis appuyée sur de nombreux ouvrages. J’ai débuté également un travail d’une toute autre nature, la rédaction d’un e-book, « les Mémoires de Faustine ». Faustine, épouse de l’empereur philosophe Marc Aurèle, a eu une réputation sulfureuse, même si elle est moins célèbre que Messaline.
Cette œuvre de fiction a l’ambition d’écrire des « mémoires fictives, à l’image de ce qu’ont fait Marguerite Yourcenar pour Hadrien, Robert Graves pour Claude ou encore Pierre Grimal pour Agrippine la jeune, mère de Néron, même si je ne saurais prétendre à l’audience de ces grands écrivains.
Pour ce travail également, je m’appuie sur une volumineuse documentation. Quand j’étais lycéenne, j’avais visité Rome, à l’occasion d’un séjour auprès de Gianni et Maria, amis de mes parents et qui furent mes « initiateurs » (voir « Olga l'hypersexuelle et Philippe le candauliste. Comment j'ai découvert mon hypersexualité », mon premier texte). C’était il y a plus de trente ans. J’ai eu envie de revoir certains des sites que j’évoque dans l’e-book et aussi de confronter les lieux avec les descriptions qui figurent dans « Matrone et Domina ». En fait, l’idée est venue de Philippe, qui est aussi mon lecteur, qui ne cesse de m’encourager et qui est, je dois le dire, en quelque sorte pour moi ce que Marc Aurèle fut pour Faustine.
Aussitôt confirmé mon accord et ayant voulu profiter des possibilités que donnent les ponts de ce mois de mai Philippe s’est lancé dans l’organisation. Il ajouta qu’en mai, il y avait la température idéale pour explorer Rome, sans avoir trop chaud ni trop froid.
Philippe ne voyait pas que l’intérêt culturel du voyage. Je connais bien mon chéri candauliste et je me doutais bien de ce qu’il avait en tête. Il ne s’en cachait pas :
• Nous devons profiter pleinement de ces quelques jours. J’ai bien envie de te voir jouir sous les assauts d’un « latin lover ».
• Tu es incorrigible, mon chéri ! Je n’y vais pas pour ça. Une semaine c’est court et j’ai beaucoup de choses à voir !
• Il faut toujours joindre l’utile à l’agréable ! Je m’occuperai de ça aussi !
C’est donc Philippe qui a tout organisé. Agun et Christine ont, comme à chaque fois, répondu présentes à la demande de Philippe pour ce qui concerne la garde des enfants. Christine est venue à la maison, puisque nous étions hors vacances scolaires.
Pour dire la vérité, Christine ne venait pas que pour nous rendre service. De plus en plus portée sur le saphisme, Christine avait des visées sur Agun. J’ai compris, à mon retour, qu’elle était parvenue à ses fins car je les ai surprise ensemble, dans ma chambre, nues : Christine, équipée d’un gode ceinture monstrueux, était en train de démonter Agun.
Profondément possessive, j’ai très peu apprécié que ma femme me trompe en mon absence, qui plus est avec ma meilleure amie. Philippe a su me retenir de réagir avec virulence, me rappelant que je connaissais Christine et qu’elle obtenait toujours ce qu’elle désirait. Je déteste pourtant partager Agun, comme je refuse absolument de partager Philippe, mais je suis consciente que, sans l’aide de Christine, c’en serait fini de nos escapades. J’ai cependant averti Philippe que ma tolérance envers Agun ne valait pas pour lui. Il sait que je ne plaisante pas, l’ayant prouvé envers des rivales comme Flavienne, une de ses ex, ou encore Ambre, une jeune femme avec qui il avait eu une brève liaison. Dans les deux cas, j’avais été impitoyable et même violente. Mais ceci est une autre histoire.
***
Philippe a en premier lieu choisi un hôtel de charme, à proximité immédiate de la Piazza Colonna. Son choix ne doit rien au hasard. Nous étions dans le centre historique de Rome, en bordure de la Via del Corso, non loin de la Place Navone, du Panthéon et de la Fontaine de Trévi. Face à la Colonne de Marc-Aurèle, où se dresse le Palais Chigi, la résidence officielle du Président du Conseil Italien, à deux pas du Palais du Parlement.
Notre hôtel était situé dans un élégant palais, ancienne résidence d’une famille noble. La suite junior comprenait un lit king-size et un coin salon séparé. Cet hébergement élégant, doté de parquet, est décoré dans des couleurs chaudes et il dispose d'une grande salle de bains en marbre.
Le choix de l’hôtel et de la chambre confirmaient que Philippe avait bien certaines arrière-pensées, alors que moi je prétendais que seuls les aspects culturels de cette visite m’intéressaient. Philippe est allé jusqu’à l’organisation de ces aspects.
Après avoir beaucoup cherché, il a choisi un réseau de visites personnalisées et guidées francophones, qui offrait un programme très complet.
Nous avons rejoint notre hôtel depuis Fiumicino et nous avons déposé nos affaires. Nous avons pris une douche, avant de nous changer. Pendant notre séjour, la météo a tenu toutes ses promesses, avec une température qui a oscillé entre 17 et 23 degrés. Il y eut alternance entre journées ensoleillées et des jours nuageux avec de légères averses. Je dois dire que, contrairement à Philippe, j’aime la pluie. Je m’encombre rarement d’un parapluie ou d’un imperméable, sauf bien entendu en hiver. J’avoue que j’aime quand la pluie, avec une chaleur modérée, colle mon tee-shirt à mon corps, laissant deviner que je ne porte pas de soutien-gorge. Et quand je suis excitée, mes tétons pointent sous le tissu mouillé. C’est cela aussi mon côté exhibitionniste !
Pour ma redécouverte de Rome, ma tenue, au cours de ces journées, fut de préférence, en fonction de la météo, baskets, tee-shirt, short ou jean serré, les shorts mettant en valeurs mes jambes, les jeans mes fesses. Philippe aurait bien voulu que nous nous reposions un peu. Pensait-il à une sieste crapuleuse ? Mon impatience fut la plus forte et mes désirs des ordres pour mon chéri. Je voulais démarrer au plus vite le programme qui avait été concocté pour moi.
Il passa donc un coup de téléphone pour que notre guide nous rejoigne au plus vite. Moins d’une heure plus tard, il nous attendait dans le hall de l’hôtel. J ai profité du délai pour remercier Philippe et le soulager, en le gratifiant d’une fellation, notre pratique préférée depuis que nous sommes en couple, une habitude quotidienne à laquelle nous n’avons que rarement dérogé.
Pendant que je m’activais entre ses cuisses, Philippe se montrait particulièrement résistant, m’obligeant à déployer tous mes talents de fellatrice. Il me traitait « d’adorable salope », évoquant les moments chauds qu’il attendait pour moi au cours de ce séjour, les mâles qui allaient m’honorer comme il se doit. Si j’étais parvenue à mon objectif en lui faisant lâcher dans ma gorge de puissantes giclées que j’avalais consciencieusement jusqu’à la dernière goutte, la conséquence était que j’étais particulièrement excitée lorsque nous avons eu un appel de la réception, annonçant l’arrivée de notre guide, Luigi.
Nous sommes donc descendus, main dans la main. Ma première surprise fut que Philippe le connaissait et que les deux hommes se tutoyaient :
• Salut, Luigi. Je suis heureux de faire ta connaissance autrement que par Skype. Je te présente Olga !
• Bonjour Philippe. Bienvenue à Rome, mes amis ! J’avais bien sûr reconnu Olga, elle est encore plus belle que sur les photos que tu m’as envoyées.
• Alors comme ça, dis-je à Philippe, ne cachant pas mon irritation, tu envoies des photos de moi sans même m’en parler !
• Nous avons beaucoup parlé de toi. Luigi voulait te connaître. Il était enthousiaste au sujet de mes propositions.
Je tendis la main à Luigi :
• Buongiono signore!
Au lieu de serrer ma main, il la porta à ses lèvres et y déposa un baisemain !
• Buongiorno Signora. Come state ? Sei ancora più bella di quanto immaginassi! (“Bonjour Madame. Comment allez vous ? Vous êtes encore plus belle que je ne l'imaginais!”)
Il y eut alors un blanc. Luigi ne lâchait pas ma main et nous nous fixions. Qu’il était beau ! Assurément, il avait moins de trente ans, il mesurait 1M90, des épaules larges, des yeux noirs profonds, un visage aux traits fins et réguliers. Une barbe de deux jours soigneusement affichée. La façon dont il me regardait, ou plutôt me déshabiller du regard, me fit frissonner. Je compris que j’avais affaire à un mâle, à un chasseur et qu’il me voulait. En baissant les yeux, j’ai vu que son pantalon de toile ne cachait pas une formidable érection. Je sentis que je perdais le contrôle. Mon corps réagit comme à son habitude à l’appel du mâle. Je sentais ma chatte s’humidifier, les pointes de mes seins se durcir. Je me doutais que tout cela n’était pas le fruit du hasard, mais provenait de la volonté de Philippe. Je tentais de reprendre contenance :
• Useremo termini familiari e parleremo francese, in modo che mio marito capisca tutto. (“Nous allons nous tutoyer et parler Français, pour que mon mari comprenne tout.)
• Certainement. C’est une des raisons, pas la seule, pour lesquelles j’ai choisi Luigi, intervint Philippe. Luigi va rendre ton séjour à Rome inoubliable.
Nous avons poursuivi cette conversation autour d’un verre, dans les salons de l’hôtel. Luigi commanda un expresso « ristretto », ajoutant, avec un clin d’œil, qu’il devrait être en forme ces prochains jours. De mon côté, je choisis un expresso « macchiato », Philippe se contentant d’un decafeineto. Philippe choisit pour nous installer une grande banquette, où je me retrouvais entre Luigi et lui.
D’emblée, Luigi marqua le terrain, en posant sa main sur ma cuisse gauche, échangeant un regard complice avec Philippe. J’aurais du réagir, ôter cette main, mais je n’ai pas osé et l’honnêteté m’oblige à reconnaître que je n’ai pas voulu.
Luigi parlait beaucoup, racontant son parcours. Issu d’une famille aristocratique désargentée, il était docteur en histoire et archéologue. Ne trouvant pas de débouchés dans le secteur public, il travaille dans cette agence touristique de luxe, spécialisée sur les visites historiques haut de gamme de Rome. Sa maîtrise des langues et ses connaissances ont fait le reste.
Je me suis tournée vers Philippe :
• Dis-moi, chéri, c’est un hasard si Luigi est notre guide ?
• Pourquoi, il ne te plait pas ?
• Bien sûr que oui, il est parfait à tout point de vue. Mais je voulais savoir.
• L’agence permet le choix des guides. Elle fournit leur présentation et leur photo ; je dois dire qu’il y avait beaucoup de guides féminines aussi jolies que compétentes. Je sais, mon amour que tu aimes les femmes, mais je connais aussi ta jalousie viscérale, dans le cas où une de ces jeunes femmes se serait intéressée à moi.
L’allusion à ma bisexualité en présence de Luigi me fit rougir.
• Si je comprends bien, vous avez beaucoup échangé avec Luigi à mon sujet.
• Oui, nous avons parlé de ta passion de l’histoire et de tes écrits. Luigi a beaucoup aimé « Matrone et Domina ». Je lui ai aussi parlé de ton projet d’E-book, « Les Mémoires de Faustine »
• J’ai passé ma thèse sur le règne de Marc Aurèle, précisa Luigi.
Ainsi Philippe avait fait lire mon roman érotique et historique à Luigi.
• Tu aurais pu m’en parler avant de diffuser mes textes.
• Ils sont bien publiés sur des sites d’histoires érotiques !
• Philippe a bien fait, Olga. J’ai adoré ton œuvre, la façon dont tu évoques les événements de l’histoire de l’empire romain à cette époque, les mœurs, la civilisation, les personnages historiques. Et puis, cette Tullia, quelle femme, quel tempérament. Je suis d’accord avec Philippe quand il dit que Tullia, c’est toi !
• Je comprends que, tous les deux, vous n’avez pas parlé que de mes travaux d’auteure.
• Nous avons beaucoup parlé de toi, ma chérie. J’ai joué cartes sur tables avec Luigi. Il connait notre histoire, mon candaulisme, ton hypersexualité.
• Vous êtes un couple extraordinaire et Philippe te donne, Olga, la plus belle des preuves d’amour et de confiance.
• Tu es incorrigible chéri, dis-je à Philippe, mais j’ai l’habitude et je t’aime. Mais de là à diffuser des photos de moi à un inconnu.
• Nous avons fini par établir des relations de confiance.
• Et quel type de photos ?
• Y compris les plus intimes, Olga, mais où on ne peut t’identifier, dit Luigi. J’ai beaucoup aimé les photos où tu es en train de sucer Rachid ou de te faire baiser par lui en levrette. Ne vous inquiétez pas, je ne les conserverai pas et je ne les diffuserai pas.
Décidément Philippe avait mis le paquet. Je lui lançais un regard furieux. A ce moment précis, une nouvelle bouffée de désir m’est venue. J’ai eu envie d’embrasser Luigi, de le prendre par la main et de le conduire à notre suite pour qu’il me baise comme une chienne. Heureusement, on ne pouvait pas lire dans mes pensées. Je résistais à nouveau à la tentation.
• Je vois où vous voulez en venir, Philippe et toi, mais ces choses ne se passent que si je les veux et je ne suis pas venue à Rome pour ça, mais pour des visites historiques et culturelles. Juste une dernière question, Luigi ? Tu es marié ? Tu vis en couple ?
• Je suis pour le moment célibataire endurci. Et beaucoup de succès avec les femmes, ajouta-t-il avec le sourire d’un macho assumé.
• Passons maintenant au programme que tu as concocté. C’est ça qui m’intéresse, dis-je fermement en enlevant la main de Luigi de ma cuisse.
Luigi se lança avec enthousiasme dans la présentation d’un programme très complet, négocié avec Philippe en fonction de mes écrits et de mes centres d’intérêt. Il y avait bien entendu les classiques, à savoir le Colisée et son musée, y compris le Gladiator Museum. Le long périple se poursuivait avec les forums impériaux et les Thermes de Caracalla.
Il proposa aussi la visite des musées qu’il qualifiait d’incontournables, en se concentrant sur l’époque romaine : le musée du Capitole, les musées du Vatican, le musée national romain, musée archéologique qui comprend les Thermes de Dioclétien, le musée national étrusque, le musée Giovanni Barracco de sculpture antique.
Luigi proposait aussi des visites plus ciblées, qui cadraient bien avec mes écrits, à savoir :
• Un circuit « Auguste et Hadrien », une découverte de la ville à travers la vie et les œuvres de ces deux empereurs.
• « Les Obélisques », une balade découverte des principales places de la ville en suivant les obélisques.
• Le « Parc des aqueducs », à la découverte des aqueducs romains qui ont rendu Rome spéciale.
• « Les murs de Rome », belle balade antique le long des remparts de la ville éternelle
Mais ce n’était pas tout :
• Comme tu es en train d’écrire « Les Mémoires de Faustine », je te propose deux visites hors de Rome, à savoir « la Villa d’Hadrien » à Tivoli et « Ostie antique »
J’étais comme une petite fille, enthousiaste, fascinée par ce programme si riche. Je me suis précipitée dans les bras de Philippe, l’embrassant amoureusement pour le remercier.
• Tout ça a dû te coûter une fortune, mon amour !
• Rien n’est assez beau pour toi, « Basilissa Moy »
Je me suis ensuite dirigée vers Luigi :
• Molte grazie, cara guida!
Je voulais lui déposer un baiser chaste sur la joue, mais Luigi me prit dans ses bras, posant ses mains sur mes fesses, me faisant sentir ainsi sa formidable érection. Depuis tout à l’heure, il n’avait donc cessé de bander pour moi. Le baiser chaste était oublié et je laissais sa langue prendre possession de la mienne. Ce type me voulait et ne lâcherait pas l’affaire. Sûr de lui et dominateur, Il me dit à l’oreille :
• Sarò paziente. Ma tu sarai mio. Ti scoperò! (“Je serai patient. Mais tu seras à moi. Je te baiserai!”)
Il me fallut un grand effort pour me dégager de cette étreinte et résister à la tentation de m’offrir à lui, avant de lancer :
• On la commence cette visite ?
Nous sommes enfin sortis de l’hôtel pour notre première journée de visite, qui représentait 3 kilomètres, depuis la Piazza Colonna jusqu’aux thermes de Caracalla, en passant par le Colisée et en longeant la Via Dei Forii Imperiali.
Philippe me tenait par la main. J’ai profité que Luigi était un peu en avant, pour poser à Philippe une question qui me taraudait :
• Dis-moi, chéri, j’ai besoin de savoir. Tu n’as pas payé ce type pour qu’il…
• Te baise ? Bien sûr que non ! Tu es belle et désirable. Tout homme normalement constitué ne peut qu’avoir envie de toi. Luigi sait que je suis d’accord et que ma seule demande est d’être le témoin de ton plaisir.
• Je me suis posée la question. Certes, je ne suis pas encore une cougar. Mais j’ai 46 ans et Luigi, qui a 18 ans de moins, pourrait être mon fils.
• Je sais que tu aimes les mâles plus jeunes. Un jour peut-être, je t’offrirai des gigolos, mais plus tard, beaucoup plus tard !
• Tu es terrible, mon mari candauliste !
• A mon tour de te poser une question : Luigi ne te plait pas ? Il n’est pas à ton goût ? J’ai été surpris, je pensais que tu n’attendrais pas pour consommer, si tu me permets cette expression. Les occasions ne sont pas si fréquentes pourtant !
• Ce n ‘est pas ça. Je te rappelle que vous m’avez préparé un programme intensif de visites. Je veux l’honorer, en profiter pleinement. Je suis excitée de tout découvrir. Même si, tu le sais bien, toi qui me connais parfaitement, je suis aussi excitée par le beau Luigi.
• Je suis impatient de vous voir ensemble !
Ce que je ne dis pas alors à Philippe est que Luigi n’était pas seulement un étalon. Il était beau, nous partagions des passions communes et donc que je craignais qu’avec lui je ne me contente pas de baiser. Certes, Philippe était là et ça limitait les risques de dérapage. Pour autant, en repoussant l’échéance, je tentais d’éviter que cette semaine romaine ne mette le feu en moi et fragilise notre couple. En choisissant notre guide, Philippe avait-il pris un risque, trop sûr de lui et de sa maîtrise de nos pratiques candaulistes ? Une chose était certaine : Luigi me baiserait. Il en crevait d’envie, moi aussi et Philippe le voulait. Restait à savoir quand et comment éviter que cela ne dérape.
(A suivre)
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46 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Lucie, oui Philippe avait merveilleusement organisé et en particulier choisi notre guide, destiné à devenir mon amant. Il n'avait juste pas prévu que je tomberai amoureuse.
le début de ta saga italienne est un délicieux préliminaire.
Philippe avait vraiment tout organisé, il t'avait bien...vendu à Luigi...cet étalon romain..cet alpha sur de lui, de son désir, te connaissant déjà aussi bien qu'un amant...t'a conquis en quelques mots et gestes. ce baiser si vite donné était la preuve que tu serais à lui...
Lucie
Philippe avait vraiment tout organisé, il t'avait bien...vendu à Luigi...cet étalon romain..cet alpha sur de lui, de son désir, te connaissant déjà aussi bien qu'un amant...t'a conquis en quelques mots et gestes. ce baiser si vite donné était la preuve que tu serais à lui...
Lucie
Merci, Alfred. Bonne lecture!
Je découvre cette série et commence donc par le début. C'est prometteur!
Alfred
Alfred
Merci D, c'est un bonheur que tu lises ces confidences et que tu ne juges pas
Un plaisir de lecture, pour l'écriture, d'abord, remarquablement précise et enlevée, pour le sujet, aussi, d'un exhibitionnisme assumé, et pour la mise en scène, enfin, de ces confidences intimes dans un cadre culturel et didactique.
Tout l'art de Olga se retrouve dans ce récit, et je l'en remercie. :)
D.
Tout l'art de Olga se retrouve dans ce récit, et je l'en remercie. :)
D.
@ Clara, oui, Agun avait toujours été fidèle depuis notre première rencontre, il y a bientôt 20 ans. Et je suis envers elle comme je suis envers Philippe: jalouse et exclusive
Une question: Agun t'a trompé avec Christine. C'était la première fois?
Clara
Clara
Merci cher Stan23JR pour ce commentaire qui me touche beaucoup!
Ma très chère Olga, j’ai pris le temps mais voici mon premier commentaire sur vos écrits après les très nombreux que vous avez posté sur les miens et bien sûr le formidable travail de relecture.
Nous correspondons depuis quelques temps mais c’est très surprenant de vous découvrir dans la vraie vie, bon j’ai commencé à l’envers sans avoir encore lu vos récits autobiographiques que je vais essayer de trouver le temps de lire prochainement.
Quoi qu’il en soit sur le style il y a tellement à dire : vous avez un style qui donne envie de lire vos histoires, on a l’impression d’être avec vous à Rome, sur une chaise en face de la banquette ou Luigi, Philippe et vous êtes assis. Vous avez une science du détail, je sais pourquoi vous avez autant de succès.
Sur la forme, la sensualité qui se dégage est déjà incroyable, Luigi semble égale au latin lover qui sont souvent décrit dans les récits, Philippe franchement je l’aime beaucoup, cette confiance inébranlable qu’il a en vous, cette confiance en votre amour, ce qu’il est prêt à faire par amour.
Même si cette histoire est déjà passé, moi je vous dis de la vivre franchement, vous avez déjà connu le pire et je pense qu’avec le temps et les années vous savez bien mieux vous « gérer », je pense que même pour vous, votre amour pour Philippe est plus fort.
Amicalement ma chère Olga et à très vite.
Stan23JR.
Nous correspondons depuis quelques temps mais c’est très surprenant de vous découvrir dans la vraie vie, bon j’ai commencé à l’envers sans avoir encore lu vos récits autobiographiques que je vais essayer de trouver le temps de lire prochainement.
Quoi qu’il en soit sur le style il y a tellement à dire : vous avez un style qui donne envie de lire vos histoires, on a l’impression d’être avec vous à Rome, sur une chaise en face de la banquette ou Luigi, Philippe et vous êtes assis. Vous avez une science du détail, je sais pourquoi vous avez autant de succès.
Sur la forme, la sensualité qui se dégage est déjà incroyable, Luigi semble égale au latin lover qui sont souvent décrit dans les récits, Philippe franchement je l’aime beaucoup, cette confiance inébranlable qu’il a en vous, cette confiance en votre amour, ce qu’il est prêt à faire par amour.
Même si cette histoire est déjà passé, moi je vous dis de la vivre franchement, vous avez déjà connu le pire et je pense qu’avec le temps et les années vous savez bien mieux vous « gérer », je pense que même pour vous, votre amour pour Philippe est plus fort.
Amicalement ma chère Olga et à très vite.
Stan23JR.
@ Michel, patience, ça vient. L'écriture n'est pas ma seule activité!
Alors la suite? On a envie de savoir comment le beau Luigi t'a baisé!
Michel
Michel
@ Paul, la suite est en cours d'écriture. Il y aura d'abord un épisode de "Matrone et Domina"
@ Chris, j'avais oublié de te remercier, je m'en excuse! Et j'ajoute que tu as, toi aussi beaucoup de talents et que le nombre de tes publications m'impressionne!
Merci Julie et Olga. Maintenant j'attends la suite du récit autobiographique
Paul
Paul
@ Steph et JP très heureuse pour vous et de vous retrouver dans mes lecteurs
@ Julie, merci d'avoir répondu à Paul. J'ajouterai que Julia eut un grand rival, Plautien, le meilleur ami de Septime Sévère, nommé préfet du prétoire puis anobli et fait consul. En 202 l'influence de Plautien était telle qu'il fit marier sa fille Fulvilla Plautille à Caracalla, l'héritier de l'empire. Pour éliminer Julia Domna, Plautien l'accusa d'adultère, mais Septime Sévère ne voulut pas y prêter attention. En 205, Plautien fut accusé de complot et exécuté. Répudiée, Plautille fut reléguée sur l'île de Lipari. Après l'élimination de Plautien, Julia Domna prit une place prépondérante dans la famille impériale. J'ajoute enfin une référence à la série de BD historiques de Glénat "les reines de sang", avec "les trois Julia", qui parlent de Julia Domna dans le premier tome.
@ Julie, merci d'avoir répondu à Paul. J'ajouterai que Julia eut un grand rival, Plautien, le meilleur ami de Septime Sévère, nommé préfet du prétoire puis anobli et fait consul. En 202 l'influence de Plautien était telle qu'il fit marier sa fille Fulvilla Plautille à Caracalla, l'héritier de l'empire. Pour éliminer Julia Domna, Plautien l'accusa d'adultère, mais Septime Sévère ne voulut pas y prêter attention. En 205, Plautien fut accusé de complot et exécuté. Répudiée, Plautille fut reléguée sur l'île de Lipari. Après l'élimination de Plautien, Julia Domna prit une place prépondérante dans la famille impériale. J'ajoute enfin une référence à la série de BD historiques de Glénat "les reines de sang", avec "les trois Julia", qui parlent de Julia Domna dans le premier tome.
@ Paul, Julia Domna (160-217) était la fille de Julius Bassianus, grand prêtre du soleil ou « grand prêtre d'Élagabal » à Émèse (Homs, en Syrie). Elle devint en 187 la deuxième épouse de Septime Sévère, qui était alors gouverneur de la Gaule lyonnaise, empereur de 193 à 211 sur l'Empire romain. Elle était la mère des empereurs Caracalla (211-217) et Geta (co-dirigeant en 211). Elle occupa un rôle politique important et reçut le titre de « Mère des camps » 195.
À la mort de Septime Sévère en 211, elle occupa le pouvoir d'abord avec ses deux fils, Caracalla et Geta. À la mort de ce dernier, assassiné par son frère, elle gouverna l'empire avec Caracalla. Elle était très honorée et considérée comme une déesse.
Après l'assassinat de Caracalla le 8 avril 217, elle cessa de s'alimenter et mourut rapidement.
En dehors de son rôle politique et de ses capacités d'apprentissage, Julia était connue comme mécène de la science (elle a soutenu Galien), des arts, de la musique et de la philosophie
Julie
À la mort de Septime Sévère en 211, elle occupa le pouvoir d'abord avec ses deux fils, Caracalla et Geta. À la mort de ce dernier, assassiné par son frère, elle gouverna l'empire avec Caracalla. Elle était très honorée et considérée comme une déesse.
Après l'assassinat de Caracalla le 8 avril 217, elle cessa de s'alimenter et mourut rapidement.
En dehors de son rôle politique et de ses capacités d'apprentissage, Julia était connue comme mécène de la science (elle a soutenu Galien), des arts, de la musique et de la philosophie
Julie
C'est en lisant les textes d'Olga que nous en sommes venus au candaulisme. Nous sommes heureux de savoir que vous pratiquez toujours!
Steph et JP
Steph et JP
@ Olga @ Julie, je conviens que je pourrais chercher sur Internet. Mais que faut-il retenir au sujet de Julia, l'épouse de Septime Sévère?
Paul
Paul
Merci Julie. J'ai récemment trouvé le premier tome, dont j'ai commencé la lecture et je commanderai le second
Dans le cadre de ton travail d'écriture sur les "Mémoires de Faustine", je voulais te signaler un roman historique de l'écrivain espagnol Santiago Posteguillo, traduit en Français, consacré à Julia Domna, l'épouse de l'empereur Septime Sévère. Deux tomes sont parus et ont été écrits en Français: "Moi Julia, un empire, une destinée" (éditions Pocket, 2018). Le second tome, intitulé "Julia et la colère des Dieux", vient de paraitre cette année aux éditions du Cherche Midi.
Né à Valence en 1967, Posteguillo est un philologue, linguiste et écrivain espagnol. Il est devenu célèbre pour ses romans se déroulant dans la Rome antique, en particulier ses trilogies Scipio Africanus et Trajan.
Julie
Né à Valence en 1967, Posteguillo est un philologue, linguiste et écrivain espagnol. Il est devenu célèbre pour ses romans se déroulant dans la Rome antique, en particulier ses trilogies Scipio Africanus et Trajan.
Julie
@ Luc, je compte publier d'abord le chapitre suivant (le 41) de "Matrone et Domina"
@ Bob, merci pour votre commentaire. Oui, il y a des similitudes (et en particulier votre candaulisme et l'hypersexualité de Virginie), je le confirme pour avoir suivi votre histoire, même si chaque parcours a ses spécificités
@ Bob, merci pour votre commentaire. Oui, il y a des similitudes (et en particulier votre candaulisme et l'hypersexualité de Virginie), je le confirme pour avoir suivi votre histoire, même si chaque parcours a ses spécificités
Bonjour Olga T
Je découvre aujourd'hui cette histoire et je me dit encore comment vous, Virginie et moi avions un destin presque similaire.
Comme vous, en effet, je suis venu tout d'abord sur HDS pour y raconter quelques expériences du passé, quelques bons souvenirs. Je me rend compte que finalement j'y ai pas mal raconté mon parcours moi aussi. Vos histoires sont cependant plus riches que les miennes où en sommes plutôt suffisamment différente.
Virginie c'était l'amour de ma vie avec qui j'ai fait mes premiers pas puisque vous savez, pour avoir lu mes récits, combien cette fille était folle de sexe, autrement dit hypersexuelle. Un mot que je ne connaissais pas avant vous et que j'ai appris en lisant vos récits.
Encore merci pour votre commentaire sur mon dernier récit.
Bob
Je découvre aujourd'hui cette histoire et je me dit encore comment vous, Virginie et moi avions un destin presque similaire.
Comme vous, en effet, je suis venu tout d'abord sur HDS pour y raconter quelques expériences du passé, quelques bons souvenirs. Je me rend compte que finalement j'y ai pas mal raconté mon parcours moi aussi. Vos histoires sont cependant plus riches que les miennes où en sommes plutôt suffisamment différente.
Virginie c'était l'amour de ma vie avec qui j'ai fait mes premiers pas puisque vous savez, pour avoir lu mes récits, combien cette fille était folle de sexe, autrement dit hypersexuelle. Un mot que je ne connaissais pas avant vous et que j'ai appris en lisant vos récits.
Encore merci pour votre commentaire sur mon dernier récit.
Bob
Vivement la suite! C'est prévu pour quand?
Luc
Luc
@ Henri, merci!
@ Clara, je craignais que les sentiments ne s'en mêlent
@ Maurice, en baisse, non, car j'aime toujours autant ça. Plus maîtrisée sans doute
@ Clara, je craignais que les sentiments ne s'en mêlent
@ Maurice, en baisse, non, car j'aime toujours autant ça. Plus maîtrisée sans doute
Clara a raison. @ Olga, ta libido serait-elle en baisse?
Maurice
Maurice
@ Olga, je ne comprends pas pourquoi tu as hésité. Philippe a organisé ça pour toi et, en bon candauliste, il en avait envie autant que toi. Tu l'as dit, ce genre de choses rare et difficile à planifier. Alors pourquoi avoir hésité?
Clara
Clara
On ne va peut-être rien découvrir de fondamentalement nouveau dans les pratiques de votre couple, mais c'est toujours un plaisir que de lire tes textes et particulier ceux qui sont autobiographiques
Henri
Henri
Merci cher Patrick pour ton attention et le plaisir que tu donnes avec tes magnifiques textes!
Heureux de retrouver tes aventures Olga.
J'avais dévoré tes premiers textes, lorsque j'ai découvert ce site. Tu m'as fait découvrir le candaulisme, même si je ne le pratique pas avec mon épouse.
En lisant mes premiers textes publiés ici, tu m'as dit que j'étais un candauliste soft, car j'ai toujours aimé que ma femme se montre seins nus sur une plage, ou très peu vètue devant nos amis. Sans aller plus loin que l'exhibitionnisme. Peut-être en d'autres temps...
Le plus étonnant, nous avons prévu un voyage à Rome en Octobre avec des amis... ce sera certainement plus sage. Mais je penserais surement à toi.
Merci de nous faire rêver.
Patrick PP06
J'avais dévoré tes premiers textes, lorsque j'ai découvert ce site. Tu m'as fait découvrir le candaulisme, même si je ne le pratique pas avec mon épouse.
En lisant mes premiers textes publiés ici, tu m'as dit que j'étais un candauliste soft, car j'ai toujours aimé que ma femme se montre seins nus sur une plage, ou très peu vètue devant nos amis. Sans aller plus loin que l'exhibitionnisme. Peut-être en d'autres temps...
Le plus étonnant, nous avons prévu un voyage à Rome en Octobre avec des amis... ce sera certainement plus sage. Mais je penserais surement à toi.
Merci de nous faire rêver.
Patrick PP06
Merci cher lecteur anonyme. Votre commentaire me fait plaisir et je m'efforcerai de continuer à satisfaire mes lecteurs
On est toujours surpris par la culture et la sincérité des récits de cet auteur. Merci Olga, continuez de nous ravir avec vos écrits.
Merci Micky!
Un long préambule utile pour le contexte de cette reprise autobiographique. Olga a une personnalité peu banale et sa relation avec Philippe ne l'est pas moins. Elle nous a mis en appétit avec cette reprise. Elle est au top de sa sexualité. Nous attendons la suite avec impatience.
@ Julie, ce n'est pas une surprise!
@ Marc, j'ai toujours fait le choix de la transparence
@ Marc, j'ai toujours fait le choix de la transparence
En quelques heures ce texte a eu plus de lecteurs que tes autres publications, qui sont d'une immense qualité. Mais il est vrai que nous sommes sur un site d'histoires érotiques
Julie
Julie
C'est un bon début, mais, pour ma part, j'attends le détail. Ne nous cache rien! On veut savoir comment tu t'es faite baiser par ce beau mâle!
Marc
Marc
@ Jacques, je serais mal placée pour donner des leçons à Agun, mais je ne suis pas partageuse. Nous avons eu une explication franche et désormais cela est derrière nous. Pour le reste, concernant Luigi, la suite du texte montrera que mes craintes étaient sans objet. On apprend des expériences précédentes et avec l'âge!
@ Paul, plusieurs lecteurs avaient émis le même souhait que je publie à nouveau des textes autobiographiques. J'ai fini par satisfaire leur demande
@ Daniel, je mentirai si je disais le contraire. L'objet du récit est de dire comment ça s'est passé
@ chère lectrice anonyme, oui, il y avait un risque
@ Daniel, je mentirai si je disais le contraire. L'objet du récit est de dire comment ça s'est passé
@ chère lectrice anonyme, oui, il y avait un risque
Je connais pas mal de choses dans vos faits vécus. La liaison Chrystine et Agun m ‘était complètement inconnu. Amie et peut-être femme mais plus confidente. La confiance a été trahie. Si je comprends bien elles peuvent recommencer si elles vous rendent quelques petits services. Est-ce bien sérieux?!Dorénavant seule Philippe mérite votre confiance. L’inverse par contre. À discuter!
Luigi après avoir lu vos différents récits pourra dorénavant utiliser son expérience avec vous pour renseigner ses futures clients et clientes visitant Rome.
Pourquoi cette aventure déraperait Olga? Ce n’est pas la première fois que vous viviez une telle expérience. De plus si ça dérape, vous connaissez les conséquences qui ont été établies lors de votre retour du voyage effectué chez “N”
Luigi après avoir lu vos différents récits pourra dorénavant utiliser son expérience avec vous pour renseigner ses futures clients et clientes visitant Rome.
Pourquoi cette aventure déraperait Olga? Ce n’est pas la première fois que vous viviez une telle expérience. De plus si ça dérape, vous connaissez les conséquences qui ont été établies lors de votre retour du voyage effectué chez “N”
Philippe ne joue-t-il pas avec le feu?
Une chose est certaine: Luigi t'a baisée, non?
Daniel
Daniel
@ Olga
J'aime bien tes autres publications, mais tes textes candaulistes, tes récits autobiographiques me manquaient!
Paul
J'aime bien tes autres publications, mais tes textes candaulistes, tes récits autobiographiques me manquaient!
Paul
@ Didier, résister à la tentation, maitriser ses pulsions, ce fut l'enjeu. C'est que va raconter ce récit
Encvore un travail parfait, j'aimerais avoir autant de talant que toi ma chère Olga...
Olga,
Je te remercie pour ce magnifique écrit autobiographique que j’ai trouvé excellent dans sa teneur.
Pour débuter, je tiens à te féliciter pour ce courageux travail d’introspection que tu nous livres sans aucune retenue en préambule.
J’en profite également pour souligner une fois de plus la qualité de tes écrits aussi bien historiques, que culturels, de ta magnifique saga « Matrone et Domina », citée ici et dont je ne me lasse pas.
C’est aussi et enfin pour ces mêmes raisons que je suis ravi de découvrir que tu as entrepris la rédaction d’une nouvelle saga ayant pour objet les mémoires de Faustine, impératrice et épouse de Marc-Aurèle.
Revenons à présent à l’essentiel, ton escapade à Rome.
Dans le cadre de tes deux sagas historiques, tu te vois offrir un séjour historique et culturel d’une semaine dans la ville éternelle, par ton grand amour Philippe.
Le même qui, comme à son habitude, a tout bien organisé afin que tu vives pleinement tes passions, et a trouvé en Luigi un guide à même de pouvoir en tout point combler tes attentes, tes désirs.
Bien que d'emblée tu sois séduite, conquise, par ce magnifique et cultivé mâle latin, bien informé sur toi de surcroît, Philippe t’ayant préalablement bien "vendue", tu fais preuve néanmoins de lucidité et d’une véritable force de caractère pour ne pas succomber immédiatement à son charme.
Pourra-tu cependant lui résister longtemps ?
Ta lucidité envers Luigi et sur un éventuel risque de dérapage va-t-elle se confirmer ?
Ce séjour, avec ces vacances romaines, va-t-il mettre en péril ton couple une fois de plus ?
Tes couples devrais-je plutôt dire, ta femme Agun ayant eu en ton absence une relation saphique avec ta meilleure amie Christine…
Didier
Je te remercie pour ce magnifique écrit autobiographique que j’ai trouvé excellent dans sa teneur.
Pour débuter, je tiens à te féliciter pour ce courageux travail d’introspection que tu nous livres sans aucune retenue en préambule.
J’en profite également pour souligner une fois de plus la qualité de tes écrits aussi bien historiques, que culturels, de ta magnifique saga « Matrone et Domina », citée ici et dont je ne me lasse pas.
C’est aussi et enfin pour ces mêmes raisons que je suis ravi de découvrir que tu as entrepris la rédaction d’une nouvelle saga ayant pour objet les mémoires de Faustine, impératrice et épouse de Marc-Aurèle.
Revenons à présent à l’essentiel, ton escapade à Rome.
Dans le cadre de tes deux sagas historiques, tu te vois offrir un séjour historique et culturel d’une semaine dans la ville éternelle, par ton grand amour Philippe.
Le même qui, comme à son habitude, a tout bien organisé afin que tu vives pleinement tes passions, et a trouvé en Luigi un guide à même de pouvoir en tout point combler tes attentes, tes désirs.
Bien que d'emblée tu sois séduite, conquise, par ce magnifique et cultivé mâle latin, bien informé sur toi de surcroît, Philippe t’ayant préalablement bien "vendue", tu fais preuve néanmoins de lucidité et d’une véritable force de caractère pour ne pas succomber immédiatement à son charme.
Pourra-tu cependant lui résister longtemps ?
Ta lucidité envers Luigi et sur un éventuel risque de dérapage va-t-elle se confirmer ?
Ce séjour, avec ces vacances romaines, va-t-il mettre en péril ton couple une fois de plus ?
Tes couples devrais-je plutôt dire, ta femme Agun ayant eu en ton absence une relation saphique avec ta meilleure amie Christine…
Didier