Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (11).

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (11). Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (11).
AVERTISSEMENT

Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS depuis le 15 juin 2023. Il en constitue l’épilogue. Le texte est long, mais, prenant en compte les souhaits de ceux qui suivent cette histoire, il me semblait difficile de faire un nouveau découpage.

Ayant été, une nouvelle fois, au bord du gouffre, je sais qu’en pratiquant la transparence, sans rien occulter de mes errements, de mes fautes, de mes faiblesses, je vais certainement être très critiquée. Je m’attends à une volée de bois vert. Sans être masochiste, je sais que cela est mérité. C’est le risque que je prends depuis le début de mes récits autobiographiques, en faisant appel à la compréhension de mes lecteurs. Pour le reste, ce qui compte pour moi, c’est l’amour de mes proches, à commencer par celui de Philippe, l’homme de ma vie.

***

RESUME

En ce mois de mai 2023, Philippe et moi nous sommes à Rome, pour revenir sur des lieux qui sont le cadre de mes récits érotico-historiques, soit déjà écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme mon projet d’e-book, « Les Mémoires de Faustine ».

Philippe a, comme toujours, tout organisé. Il a soigneusement choisi le programme et le guide, Luigi, docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome impériale. Âgé de 28 ans, il est viril et beau comme un Dieu. Philippe entendait bien en effet que nous profitions du séjour pour renouer avec nos pratiques candaulistes, que nous ne pouvons assumer qu’épisodiquement, compte tenu des contraintes de la vie familiale et professionnelle.

Ce que Philippe n’avait pas prévu est que Luigi et moi, malgré une différence d’âge de près de 20 ans, nous puissions « flasher » l’un sur l’autre. Le séjour s’est déroulé dans une très forte tension érotique et sentimentale, avec des moments particulièrement torrides. La fin prévue de notre voyage approche, alors que je ne veux renoncer ni à mon chéri, ni à mon beau guide.

Dans la somptueuse propriété de Vittorio, ami de Luigi, située dans la grande banlieue de Rome et qui reproduit une Domus romaine, après un véritable banquet digne du Satyricon de Pétrone, ce fut une véritable orgie à la romaine, où je fus la seule femme livrée à la concupiscence de quatre mâles.

Au cours de cette nuit de débauches, j’ai donné des signaux contradictoires tant à Luigi qu’à Philippe. Le dernier jour de notre séjour à Rome devra pourtant être celui du choix. Si je continue à rêver d’un trio avec mon mari et mon amant, je sais bien qu’il va falloir trancher. Rentrer en France avec Philippe ou rester en Italie avec Luigi.

***

Malgré cette nuit de débauches qui a fait qu’aucun de nous n’a dormi son compte, Luigi, professionnel jusqu’au bout, se présente à l’heure convenue à l’hôtel, pour finir le programme que nous avions arrêté ensemble (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (1) », paru le 15 juin 2023). Il est contraint de nous faire réveiller et de patienter. Sur ma proposition, nous prenons ensemble le petit déjeuner, au cours duquel je comprends que la complicité, qui avait jusqu’alors prévalu entre mon mari et mon amant, semble avoir disparu.

Pour cette dernière journée, Luigi ne nous a pas ménagés. Il reste deux circuits à faire, d’une part « Les Obélisques », une balade qui relie les principales places de la ville, en suivant les obélisques et, d’autre part, le « Parc des aqueducs », à la découverte des aqueducs romains qui ont rendu Rome si spéciale.

Je tente de protester, arguant de ma fatigue. Je voulais surtout mettre à profit cette dernière journée pour de nécessaires explications avec Philippe et Luigi, ainsi que, je l’avoue, passer de bons moments avec mon amant. Mais l’un et l‘autre se montrent intraitables :

• J’ai des comptes à rendre envers ceux qui m’emploient. Je me vois mal leur dire que nous avons annulé une partie du programme parce que Madame est fatiguée d’avoir trop baisé !
• Il faut assumer en effet. Et cette longue promenade nous fera le plus grand bien, dit Philippe.
• Notre circuit commençant place Saint-Pierre, j’ai commandé un taxi pour y aller.

Même si Luigi, sans pitié, nous a fait quitter l’hôtel dès 7h00 du matin, les quatre kilomètres qui séparent notre hôtel de la Cité du Vatican vont nous prendre, dans les embouteillages de Rome, une bonne heure, même si notre chauffeur se révèle être un expert pour contourner autant que possible les points de blocage.

Je mis ce trajet à profit, d’autant que nous avions de l’espace à l’arrière de cette confortable Citroën ë-C4 Électrique. Philippe est à ma droite, Luigi à ma gauche. Dès notre départ, je pose une main sur la braguette de mon mari et sur celle de mon amant. Philippe et Luigi, agacés, commencent par enlever ma main. Cela ne me décourage pas. J’insiste et, à force de les caresser, ils ne peuvent contrôler leur érection ! Je triomphe :

• Je vous fais bander, mes chéris. Hum, elles me font envie !

Le chauffeur, Francesco, qui comprend manifestement le Français, ajuste son rétroviseur pour mieux voir ce qui se passe à l’arrière.
C’est Luigi que j’embrasse le premier.

• Tu es folle ! Nous sommes dans un taxi !
• Ne t’inquiète pas, je ne compte pas aller aussi loin que l’autre jour.

Cette allusion à mon comportement lors de notre voyage à Tivoli (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (6). », paru le 7 septembre 2023) ne rassure pas les deux hommes. Ils savent de quoi je suis capable quand je suis en feu. Et en effet je n’ai pas l’intention de faire preuve de retenue. J’ouvre la braguette des deux hommes et, une fois que ma main a pénétré dans leurs pantalons, je commence à les masturber. C’est plus facile avec Luigi, qui ne porte aucun sous-vêtement.

Francesco, que Luigi connait et à qui ce dernier avait expliqué qu’il était le guide d’un couple français, interpelle son compatriote :

• Che stronza! Vi fa una sega contemporaneamente! Scommetto che te la scopi. Il marito è d'accordo? (“Quelle salope ! Elle vous branle tous les deux en même temps ! Je parie que tu la baises. Le mari est d'accord?”)
• Ovviamente è d'accordo! Gli piace, immagina! (“Evidemment qu'il est d'accord! ça lui plait, figure-toi”)
• Sbaglieresti a sentirti in imbarazzo. I finestrini dell'auto sono oscurati. È impossibile vederti da fuori. Se lo vuoi, fai pure: fanculo! (“Tu aurais tort de te gêner. Les vitres de la voiture sont teintées. Il est impossible de vous voir de l'extérieur. Si tu en as envies, vas-y: baise-la!”)
• Ti ringrazio. È carino. Questo la calmerà per qualche ora e mi svuoterà le palle. (“Je te remercie. C'est sympa. Ca permettra de la calmer pour quelques heures et de me vider les couilles.”)

Luigi m’ordonne de venir s’assoir sur lui, le dos contre sa poitrine, de façon à ce que le chauffeur puisse voir la montée de mon plaisir sur mon visage et mater mes seins, car Luigi a ouvert mon chemisier.

J’ai enlevé mon string, déjà bien trempé et je l’ai tendu à Philippe, dont je cesse de m’occuper.

• Regarde mon chéri : mon homme va me prendre. Je sais que tu aimes ça. Profites-en, car c’est sans doute une des dernières fois que tu y assistes.

Je m’empale sur Luigi et, aussitôt, mon amant me fait coulisser sur son vit, qui me remplit si bien. Les mains sur ma poitrine, Luigi me fait monter et descendre le long de sa colonne de chair. Mes traits sont très vite déformés par le plaisir. La sueur coule de mon front. Mes yeux se voilent. Je n’ai plus aucune pudeur ni retenue par rapport à Philippe ou au chauffeur de taxi.

• Oh amore mio, è così bello! Ancora! Vai avanti, mettilo più in profondità, più forte! Fanculo a me! Fammi venire! Io amo. Sono tua moglie e voglio stare con te.(“ Oh mon amour, c'est si bon! Encore! Vas-y, mets-la moi bien au fond. Plus fort! Baise-moi! Fais-moi jouir! Je t'aime. je suis ta femme et je veux rester avec toi.”)
• Certo che sei mio. Adesso sei mia moglie. Mi fai impazzire! Non ho mai conosciuto una donna come te. Cum, tesoro mio, ancora e ancora! (“Bien sûr que tu es à moi. Tu es désormais ma femme. Tu me rends fou! Jamais je n'avais connu de femme comme toi. Jouis, ma belle, encore et encore!”)

Certes, nos propos sont en Italien, langue que Philippe ne maîtrise pas, mais le message qui est ainsi véhiculé annonce à nouveau mon choix, accepté par mon amant : nos routes vont se séparer.

J’enchaine les orgasmes et mes gémissements se transforment en cris de plaisir. Mon cœur bat à une vitesse incroyable.

Luigi va me tuer de plaisir ! Il montre une résistance exceptionnelle. Francesco, le chauffeur de taxi, ajuste le rétroviseur pour ne rien perdre du spectacle, tout en veillant à la circulation, dans les embouteillages du matin à Rome. Les automobilistes aux alentours n’ont heureusement aucune idée de ce qui se passe dans ce taxi aux vitres teintées. Le chauffeur encourage son compatriote :

• Bravo, Luigi! È incredibile quello che metti in questa troia! Non l'ho mai vista, è una vera ninfomane. Mi fai diventare duro come un cervo! In queste condizioni è difficile concentrarsi sulla guida. (“Bravo, Luigi! C'est incroyable ce que tu lui mets, à cette salope! Je n'ai jamais vu ça, c'est une vraie nymphomane. Vous me faites bander comme un cerf! Dans ces conditions, c'est dur de se concentrer sur la conduite.”)
• È vero che mi stanca, ma non mi stanco mai. La voglio tutto il tempo. Non posso più fare a meno di lei. (“C'est vrai qu'elle m'épuise, mais je ne m'en lasse pas. J'ai tout le temps envie d'elle. Je ne peux plus me passer d'elle.”)
Comme Vittorio la veille, Francesco accable Philippe :
• Ciò che mi sconvolge è che il marito guarda la scena e non si muove. Non capisco come a qualcuno possa piacere essere cornuto! (“Ce qui me choque, c'est que le mari assiste à la scène et ne bouge pas. Je ne comprends qu'on puisse aimer être cocu!”)

Philippe pâlit devant l’injure, mais se contient. Bien que concentrée sur mon plaisir, je ne peux laisser passer, exprimant mon polyamour.
• Non insultare mio marito. È un candaulista e quindi gli piace testimoniare il mio piacere. Lo adoro! (“N'insultes pas mon mari. Il est candauliste et donc aime être témoin de de mon plaisir. Je l'aime!”).
C’est à ce moment que Luigi accélère, ne pouvant plus se retenir davantage.
• Oh, tesoro mio, svuotati in me! Voglio il tuo seme! Riempimi! Ti amo, ti amo, ti amo! (“Oh, mon chéri, vides-toi en moi! Je veux ta semence! Remplis-moi! Tu me féconderas. Je t'aime, je t'aime, je t'aime!”)

Luigi envoie, au fond de mon vagin, plusieurs puissantes giclées, entrainant chez moi un ultime orgasme, encore plus fort que les précédents. Il me faudra de longues minutes, après m’être désaccouplé de mon amant, pour retrouver un état normal. J’offre mes lèvres à Luigi pour un long baiser amoureux, puis à Philippe, qui accepte d’embrasser son épouse adultère.
Philippe s’adresse à Luigi :

• Il faudra qu’on trouve un moment tous les deux dans la journée pour parler et décider de ce qu’on fait.

Luigi acquiesce d’un signe de tête. Je suis choquée que mon amant et mon mari prétendent régler ça entre eux, hors de ma présence, alors que la décision finale me revient. Mais, pour le moment, je choisis de me taire.

***

Notre circuit du matin, celui des obélisques, commence Place Saint-Pierre, où se trouve l’obélisque égyptien du Vatican qui date du IIème millénaire avant JC, apporté à Rome par Caligula.

Aucune ville au monde n’a autant d’obélisques que Rome. Sous l’Empire les empereurs cherchaient l’immortalité en faisant venir un à Rome. Il y a actuellement treize obélisques à Rome : certains sont égyptiens, d’autres sont des copies romaines. Dans quelques cas, avec le même granite que celui utilisé par les Égyptiens, on a fabriqué des obélisques directement à l'époque romaine : les monolithes sont toutefois restés privés d'inscriptions, ou alors copiaient, avec des erreurs, les hiéroglyphes des modèles de l'époque pharaonique.
Luigi reprend son rôle de guide et ses explications :

• À l’époque impériale, les obélisques n’avaient pas de fonction décorative, mais une signification politique et religieuse. Ils étaient placés dans des temples, dans les espaces consacrés au dieu Soleil, devant des monuments funéraires. Aujourd’hui, les places principales de la ville sont ornées de hauts obélisques. Ce sont les papes qui les ont fait transporter sur les places, les obélisques étant ainsi des points de repère pour les pèlerins.

Nous avons beaucoup marché, traversant presque toutes les places les plus importantes du centre historique. Luigi explique en détails l’origine de chaque obélisque, quel empereur le fit venir à Rome et les différents emplacements.

Notre guide, concentré sur son travail, ne se laisse pas distraire par moi, refusant sèchement par un « basta » le baiser que je lui quémandais.

À mon tour, je veux prouver ma connaissance de l’histoire romaine, en entamant un dialogue au sujet de l’obélisque du Pincio. Luigi vient d’expliquer qu’il fut réalisé par Hadrien en l'honneur de son amant Antinoüs, et qu’il fut placé initialement en Égypte. L’empereur Héliogabale le fit déplacer, pour décorer la spina du Cirque de Varus. Il fut redécouvert au XVIème siècle, à l'extérieur de la Porta Maggiore. C'est seulement en 1822 qu'il fut érigé dans les jardins du Pincio, à la demande du pape Pie VII.

• Tu viens de citer deux empereurs qui me fascinent, à savoir Hadrien, dont je parle dans mon e-book et Héliogabale, de la dynastie des Sévères, qui régna de 218 à 222 et qui fut renversé et assassiné à 18 ans.
• Pourquoi te fascinent-ils ? Hadrien, je peux comprendre, même si son œuvre fut controversée. Il fait partie de la dynastie des Antonins qui marque, au deuxième siècle, l’apogée de l’empire. Mais Héliogabale ?
• Ce sont leurs personnalités qui m’attirent. Ce sont l’un et l’autre des érotomanes et des bisexuels.

Luigi fait la moue.

• Je sais que nous vivons à une époque de tolérance. Les Romains, quant à eux, n’avaient rien contre « l’amour grec », à condition que la personne concernée soit un « fututor », c’est-à-dire celui qui pénètre, un actif pour employer un terme moderne.
• Il est vrai qu’Héliogabale était ce qu’on appellerait aujourd’hui un « passif », voir un transformiste. Ses mariages homosexuels, notamment avec deux colosses grecs prénommés Hiéroclès et Zotikos, choquèrent les Romains. La fin de son règne fut rythmée par des orgies homosexuelles avec des prostitués mâles, les exolètes. À en croire « l'Histoire Auguste ». Il portait des vêtements de femme et demandait à être désigné par le pronom « elle ».
• Je me souviens d’autres passages de « l’Histoire Auguste », où Héliogabale jouait la « Fable de Pâris » et où il tenait le rôle de Vénus. Il laissait tomber ses vêtements, se montrait nu, puis s’agenouillait, haussait le derrière, le présentant à un de ses esclaves. « L’Histoire Auguste » dit aussi, je cite, qu’il « aimait Hiéroclès au point de lui baiser les parties. Il disait alors qu’il célébrait les mystères de Flore. »
• Les historiens romains ont sans doute forcé le trait pour noircir cet empereur, comme ils le firent au sujet de Néron, de Domitien ou de Caligula.
• Peut-être. Mais permets-moi de le considérer comme un mauvais empereur. Quant à Hadrien, nous avons déjà discuté de sa bisexualité et tu m’as expliqué sur quoi tu as fondé sa liaison supposée avec Faustina Maïor, l’épouse d’Antonin et la mère de ta Faustine. Ça se défend, même s’il était principalement un homosexuel actif. Il choqua beaucoup les Romains par l’étalage de sa liaison avec Antinoüs et surtout par le chagrin qu’il eut, après que son mignon se fut noyé dans le Nil.
• Je ressens dans tes propos une homophobie à peine déguisée. Tu es un vrai spécimen de macho italien !

Vexé, Luigi me répond alors vivement.

• J’assume en ce qui concerne ce dernier point ! Je crois d’ailleurs que, depuis votre arrivée à Rome, tu ne t’en plains pas de cet étalon. En revanche, même si ce n’est pas mon truc, je n’ai rien contre les homosexuels car je respecte les choix de chacun. Ce ne sont pas ses mœurs, ni même ses excès, qui firent qu’Héliogabale fut un mauvais empereur. Ce fut à cause de sa manière de gouverner, lui qui laissa la réalité du pouvoir à sa mère Julia Soaemias et à sa grand-mère, Julia Maesa.

J’ai rapporté cet échange car, par ce biais, je venais de réaliser une autre facette, qui me déplaisait, de la personnalité de Luigi.

• Hadrien a exprimé ses sentiments. Antinoüs n’était pas seulement le bel éphèbe qu’il baisait. Il l’aimait. Quant à Héliogabale, il a assumé sa féminité. Sache en tout cas que je revendique ma bisexualité et mon amour pour mon amante Agun et que je trouve très excitant et très beau de voir deux hommes faire l’amour. Je suis heureuse d’avoir encouragé Philippe à assumer sa bisexualité. J’aime le voir sucer un mâle devant moi et se faire prendre. Tu devrais essayer, Luigi !

La voix de Luigi exprima alors sa colère, face à ma provocation :

• Vorresti fare di me un pederasta! Mai, hai sentito! (“Tu voudrais faire de moi un pédéraste! Jamais, tu entends!”)

Philippe, qui était resté en dehors de notre discussion, se rapprocha de moi, me prit dans ses bras, m’embrassa et dit :

• Je ne regrette rien de ce que nous avons fait ensemble depuis que nous nous sommes rencontrés, il a près de 25 ans. Et, si tu le veux, j’entends bien continuer !

C’était bien Philippe qui avait encouragé mon mode de vie et avec qui nous partagions les mêmes valeurs de liberté et de tolérance. Luigi satisfaisait pleinement ma libido, mais à coup sûr il n’était pas Philippe.

***

Le déjeuner eut lieu dans une trattoria à proximité de la place Saint Jean du Latran, où se trouvait le dernier obélisque de la matinée, le plus haut de Rome, avec ses 32 mètres, qui était auparavant dans le Circus Maximus.

Après notre discussion du matin, l’atmosphère était un peu tendue. Luigi entendait reprendre la situation en mains et me montrer que, si mon choix portait sur lui, il serait désormais celui qui déciderait. Nous étions sur le point de terminer notre repas, quand Luigi s’adressa à moi, suffisamment fort pour que nos voisins comprennent :

• Andrai nel seminterrato al bagno delle donne. Mi unirò a te e ti scoperò. Ti mostrerò, puttanella, cos'è un uomo, uno vero! (“Tu vas te rendre au sous-sol, aux toilettes des femmes. Je te rejoins et je vais te baiser. Je vais te montrer, petite garce, ce qu'est un homme, un vrai!”)

Voyant que je m’apprêtais à me lever, Philippe, cette fois, réagit.

• Olga, tu ne vas pas te laisser traiter ainsi ? Tu ne vas pas lui obéir ?
• Je suis désolée, mon chéri. Mais je ne peux me passer de lui. J’ai tout le temps envie de lui. Je suis désormais à lui. Je ferai tout ce qu’il veut.

Je me suis levée. En passant, Luigi m’a pris la main, m’a attiré vers lui pour un baiser torride, puis m’a laissé repartir vers les escaliers, non sans m’avoir mis une tape sur les fesses.
Luigi se leva trois minutes après, pour me rejoindre.

• Philippe, ce qui se passe n’est pas que nous avions prévu ensemble. J’en suis désolé. Je n’avais pas prémédité cela. Je n’imaginais pas qu’Olga et moi tomberions amoureux. Tu joues depuis longtemps avec le feu, Philippe. Cette fois, tu t’es brulé.
• Je t’ai dit qu’il faut que nous parlions entre hommes. Jusqu’au dernier moment, je ne peux imaginer qu’elle puisse me quitter.

Prenant en quelque sorte en témoins les serveurs et les autres convives, Luigi répondit en Italien mais Philippe comprit le sens de ses paroles.

• È finita: Olga non è più tua moglie. Adesso è mia. (“C'est fini: Olga n'est plus ta femme. Elle est désormais la mienne.”)

Quelques jours auparavant, dans un autre restaurant, Piazza del Colesseo, j’avais sucé Luigi dans les toilettes (lire « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (3), texte mis en ligne le 16 juillet 2023). Cette fois, c’était très différent. Certes Philippe savait ce qui allait se passer, mais, cette fois, il ne suivrait pas nos ébats à travers mon portable. Nous étions clairement passés du candaulisme à l’adultère.

Je n’ai pas eu à attendre longtemps. Je n’avais pas fermé la porte de ces toilettes, qui, heureusement, étaient propres. Mon string, lui, est déjà maculé, mélange des traces du coït de ce matin, dans le taxi et de mon excitation.

Luigi rentre, verrouille la porte derrière lui. La cabine n’est guère spacieuse. Mais elle nous suffit pour ce que nous allons faire.

Je sais qu’il n’y aura ni tendresse, ni préliminaires. Luigi veut me montrer qu’il est désormais mon mâle, mon homme.

• Piegarsi! Appoggiati alla ciotola e allarga le gambe! (“Penche-toi! Appuie-toi sur la cuvette et écarte bien les jambes!”)

Je m’exécute. J’ai le dos cambré au maximum dans une supplique silencieuse, mes seins, gonflés de désir, balancent dans le vide, les tétons durcis. Je n’en peux plus de désir, j’ai besoin de me sentir comblée, besoin de LE sentir, besoin de LA sentir en moi et là, je suis tellement excitée que j’ai du mal à savoir où je suis.

• • Fanculo a me! Fanculo a me! Non ne posso più, prendimi come una troia, la tua troia, la tua troia, con il tuo grosso cazzo! (“Baise-moi ! Baise-moi ! Je n’en peux plus, prend-moi comme une salope, ta salope, ta salope, avec ta grosse bite ! »)

Il s’exécute sur l’instant, violemment, profondément, me limant comme un malade, ses deux mains à l’intersection du haut de mes cuisses et de mes hanches imprimant le mouvement, le bruit de mes fesses contre son corps à l’unisson de ses coups de bite.

• Dio mio! Va bene! Sì come questo! Andare avanti! Divieto di sosta! Dammelo forte! Più forte! Più veloce! Ancora! SÌ! SÌ! SÌ! (“Oh mon dieu! Que c'est bon! Oui, comme ça! Vas-y! N'arrête pas! Mets-la moi à fond! Plus fort! Plus vite! Encore! Oui! Oui! Oui!”)

Je sens ses couilles lourdes qui tapent contre mes fesses. Mes cris, mes hurlements de plaisir doivent s’entendre jusque dans le restaurant. Philippe me racontera plus tard les conversations des convives et des serveurs, qu’il ne comprenait pas, tout en ressentant l’ironie et le mépris envers ce mari qui laissait faire.

• Ti apro! Prendi questo! Ne vuoi di più? Ti piace, piccola troia, vero? (“Je vais te démonter! Prends-ça! Tu en veux encore? Tu aimes ça, petite salope, n'est-ce pas?”)
• Oh sì, lo adoro! Sono tuo! (“Oh oui, j'adore! Je suis à toi!”)

Luigi me pénètre de plus en plus fort. Il m’attrape par les cheveux et me pilonne avec force. Je hurle de plaisir sous ses coups de boutoir, ma chatte dégouline de mouille tant je suis excitée.

Son sexe est dur comme rarement. Sa queue rentre et sort de ma chatte avec une aisance inouïe.

Luigi est au plus profond de moi. Je deviens folle. Je ferme les yeux. Ses pénétrations sont de plus en plus brutales, le bruit de ses couilles contre mes fesses accompagne celui de mes hurlements aigus. Luigi donne des coups de folie, encore plus forts comme s’il voulait me transpercer. Ses lourdes couilles claquent contre mes fesses.

Après plusieurs minutes de pénétration intense où, subissant les coups de butoirs, je ne contrôle plus rien, Luigi s’enfonce très fort,i pour, enfin, décharger au plus profond de moi. Je sens mon vagin se remplir de son liquide tout chaud. Je sens chaque soubresaut de sa bite en moi, chaque jet de sperme en moi.

Si quelqu’un avait encore un doute sur la nature de nos relations, nous remontons ensemble, main dans la main. Une fois de plus, Philippe se maitrise pour ne pas réagir.

Après avoir commandé un expresso, Luigi s’adresse à Philippe :

• Tu as raison, nous devons parler. Tous les deux, dit-il avec un regard en ma direction qui ne souffre pas de contradiction. Nous annulons donc le circuit de cette après-midi, celui du Parc des aqueducs.

Nous devions en effet visiter ce dernier jour ce parc qui couvre environ 240 hectares et doit son nom aux ruines imposantes et extraordinaires de six des onze aqueducs romains. Nous sommes d’accord pour que cette visite figure dans le bilan final de la semaine.
Philippe acquiesce à la proposition de Luigi. Les deux hommes ne veulent pas de ma présence. Sont-ils à nouveau complices ? À quoi jouent-ils ?

• Olga, Luigi et moi avons à parler. Quant à toi, nous nous retrouvons dans deux heures à l’hôtel.
• J’ai donné à Olga mon adresse, pour qu’elle vienne s’installer chez moi.

Luigi donne ainsi l’impression que sa discussion avec Philippe ne changera rien, qu’elle n’est qu’une fomalité. À proximité de l’hôtel, nous nous sommes installés à deux terrasses différentes. Il s’agit d’un poste d’observation qui me permet de surveiller si Philippe regagne l’hôtel, car je souhaite l’y précéder.

Je suis frustrée qu’on prétende ainsi discuter de mon sort sans ma présence, mais je me résigne car, à ce moment-là, je suis décidée. Puisque Philippe exclut le trio que j’appelais de mes vœux, j’irai rejoindre Luigi dès ce soir.

Je vais donc profiter de cette intermède pour contacter Agun, avec qui ces derniers jours je n’ai eu que de brefs contacts, au cours desquels Philippe et moi prenions des nouvelles des enfants. Il est vrai que, de son côté, Agun n’avait pas pris l’initiative d’appels plus longs, prétextant qu’elle ne voulait pas « nous déranger », ajoutant qu’elle était « très occupée avec les enfants », malgré l’aide « précieuse » que lui apportait Christine.
Je veux lui expliquer la situation, la rencontre avec Luigi et qu’il s’est produit une chose inattendue, à savoir que je suis tombée amoureuse du partenaire choisi initialement par Philippe pour mon seul plaisir sexuel.

***

En cette après-midi de journée scolaire, je savais qu’Agun, qui avait pris des congés pour veiller sur la famille, était chez nous. C’était donc le bon moment pour une conversation plus longue. Il était temps de mettre Agun au courant de la situation.

• Bonjour ma chérie. Nous avons annulé le programme de visites de l’après-midi. J’en profite pour t’appeler. Comment vas-tu ?
• Très bien, me répond-elle un peu sèchement.
Manifestement, je la dérange !
• Tu es à la maison ?
• Comme convenu. Les enfants rentrent plus tard, à cause de leurs activités après l’école.
• Tu as donc du temps libre. Que fais-tu ? Dans quelle pièce es-tu ?
• Dans la chambre, sur ton lit.
• Hum je te connais. Tu es nue ?
• Oui.
• Tu te caresses, coquine ? Hum j’aimerais être près de toi, pour t’embrasser, te caresser, te doigter, te lécher.
• Non, je ne me caresse pas.

J’ai un choc. Mon instinct ne me trompe pas. Je connais Agun. Sa voix est comme ça quand elle a du plaisir. Je suis folle de jalousie, car, avec Agun comme avec Philippe, je ne suis pas partageuse. Depuis que je la connais, et en particulier que nous sommes en couple, Agun ne m’a jamais trompé, même quand j’avais rejoint N en Grèce. Pourtant, je ne dis rien, je tirerai ça au clair plus tard, car je l’ai appelé pour l’informer de ce qui se passe à Rome, pas pour lui faire une scène de jalousie.

• Tu me manques, mon bébé et j’ai une folle envie de toi. Mais je ne t’ai pas appelé pour ça, mais pour te parler de Luigi.
• Votre guide ? Je me doute sur quels critères Philippe l’a choisi.
• Tu connais bien Philippe. Il a bien choisi en effet. Luigi est un amant merveilleux. Seulement il s’est passé une chose inattendue, Agun : je suis tombée amoureuse de Luigi.
• Tu es décidément incorrigible, Olga ! Tu as donc oublié les leçons du passé !
• Luigi n’est pas N ! Il m’aime, lui aussi. J’aurais voulu pouvoir vivre mon amour avec lui sans quitter Philippe. Mais Philippe ne le veut pas.
• Il a raison, car ce serait impossible. C’est déjà compliqué avec moi. As-tu oublié ce qui s’était passé pendant le confinement ? (Voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: confinée, déconfinée (1) ! », paru le 10 juillet 2020). Lucie me déteste depuis.
• Je ne veux pas, je ne peux pas me passer de Luigi. Jamais un homme ne m’a autant comblé, même Rachid, même Hassan, même N. Si Philippe ne change pas de position, je resterai à Rome demain. Je ne rentrerai pas.
• C’est de la folie furieuse !
• J’aimerais que tu viennes à Rome, pour que je puisse te présenter Luigi et que nous discutions de ta venue par la suite. Car il n’est pas question que je renonce à toi.
• Je ne viendrai pas à Rome, Olga. Je ne te suivrai pas dans tes folies, même si je t’aimerai toujours. Ce sera très dur pour Philippe avec les enfants. Il aura bien besoin de mon aide.

Ce fut pour moi un choc. Même si, au fond de moi, je savais qu’Agun avait raison, pour la première fois depuis que, il y a bientôt 20 ans, nous nous étions rencontrées et étions devenues amantes, celle que j’appelais ma femme n’était plus une inconditionnelle, elle qui m’avait toujours soutenu, suivi et surtout aimé. Je ressentais cela comme un abandon et cela confortait mon choix en faveur de Luigi.

J’entendis alors, à l’autre bout de la ligne, un gémissement, qu’Agun n’avait pu contenir. Mon instinct ne m’avait pas menti : Agun me trompait et à ce moment même. Je savais qu’Agun était une pure lesbienne, cela ne pouvait être qu’avec une femme !

• Agun, Avec qui couches-tu ? Ne me mens-pas !
• Oh Christine, c’est si bon ! N’arrête pas !

C’est comme si je tombais d’une armoire. Ma femme me trompait avec Christine, ma meilleure amie. J’éclatais en sanglots, à la limite de la crise d’hystérie.

• Comment avez-vous osé ? Vous n’êtes que des salopes !

Christine intervint alors.

• Ça suffit, Olga ! Tu as toujours traité Philippe et Agun comme s’ils étaient ta propriété, ne leur accordant pas la liberté que tu t’octroies si généreusement. Agun a tout donné pour toi, tout accepté. Et toi, que lui offres-tu ? Tu vas la voir quand tu as le temps pour baiser, et ceci de moins en moins souvent. Depuis quand n’as-tu pas passé une nuit complète avec elle ?

Christine avait raison. Certes Agun, en échange de son amour sans limites, ne demandait rien. Je ne lui avais pas donné la place qu’elle méritait et que Philippe aurait acceptée. J’avais oublié que c’était elle qui, lors de ma trahison avec N en 2017, avait permis de réparer les dégâts, de sauver mon couple et notre famille. Je ravalais donc ma colère. Je me suis tue. Je n’avais finalement que ce que je méritais.
Christine poursuivit :

• Tu sais que je suis bi mais que je préfère les femmes. Il y a longtemps que j’ai envie d’Agun. Le premier soir où nous étions ensemble, je l’ai trouvée en train de pleurer. Elle m’a avoué que la façon dont tu la traitais lui faisait beaucoup de peine. Je l’ai prise dans mes bras. Je l’ai consolée comme une enfant et nous avons longuement fait l’amour. Moi aussi je suis amoureuse, Olga.

J’étais bien placée pour connaitre la science saphique de Christine (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (14) : Christine, ma femme », texte paru le 4 février 2017). Agun, à part son initiation en Thaïlande par une touriste française, n’avait connu que moi. Et il est vrai que je lui accordais de moins en moins de temps ces dernières années, pensant que nos étreintes rapides suffisaient au « vieux » couple que nous étions devenues.

Christine m’assigna le coup de grâce :

• Jean (le mari de Christine) et moi, formons depuis toujours un couple libre. Je lui ai expliqué la situation. Il a accepté que nous divorcions, pour que, le moment venu, je puisse épouser Agun. J’ai plein de projets pour elle.

Je n’écoutais plus ce que m’expliquait Christine, alors que manifestement Agun, qui craignait l’explication avec moi, s’occupait à son tour de son amante. Christine, la voix hachée par le plaisir qui montait en elle, me parlait de mariage, de vie commune, de procréation assistée.

• Agun, je suis sous le choc. J’aurais aimé que tu me dises, dans les yeux, que tout est fini entre nous, que tu ne m’aimes plus. J’espère que ce n’est que du cul, un moment d’égarement, que tu me fais payer parce que je t’ai trop négligée.
• C’est trop tard, Olga : tu as perdu Agun. Je vais te rassurer : entre elle et moi c’est à la fois une histoire d’amour et de cul, comme tu dis. Agun m’a dit qu’elle n’a jamais autant eu de plaisir que dans mes bras. Et, au fait, merci de l’avoir faite dépuceler par Philippe, car j’adore baiser Agun avec mes godes.
• Je ne renoncerai jamais à Agun. Je ne te laisserai pas lui faire du mal, car, je te connais, tu la laisseras tomber quand tu n’auras plus envie d’elle. Agun, mon bébé, je t’aime ! Quant à toi, Christine, tu es une garce ! Tu me paieras ça. Souviens-toi de ce qui s’est passé quand j’ai surpris Philippe avec Flavienne (lire « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple »).
• Oui, je sais que, sans l’intervention de Philippe, tu aurais étranglé ta rivale. Tu me menaces ? Va plutôt rejoindre ton étalon italien.

Et sur ce, Christine se saisit du téléphone d’Agun et coupa la conversation. Retrouvant un minimum de dignité, je me retins de rappeler. La conversation avait été animée et je m’étais assez donnée en spectacle à la terrasse de ce bar.

Bouleversée, je me décidais à rentrer à l’hôtel et d’y attendre Philippe.

***

Je pris une longue douche, pour effacer les traces d’une journée où je m’étais offerte à deux reprises à Luigi, mais où j’avais aussi subi le choc de ce qui était à mes yeux la « trahison » d’Agun. Après avoir préparé mes bagages, je me suis ensuite mise nue sur le grand lit. Philippe arriva moins de dix minutes plus tard. Il semblait surpris de ma présence et surtout de ma tenue.

• Je pensais que tu avais décidé de rejoindre Luigi, sans m’attendre. Pourquoi es-tu nue ? Que veux-tu ?
• Tu le sais bien. J’ai envie de faire l’amour avec toi.
• Tu es une enfant, Olga. Tu ne sais pas ce que tu veux.
• Si, je sais. Je vous veux tous les deux.
• Tu sais bien que ce n’est pas possible ! Allez, habille-toi et vas le rejoindre ! Nous avons longuement parlé de la situation, lui et moi. Il te dira et vous déciderez.
J’ai eu à ce moment-là une crise de larmes.
• Ne me dis pas que, toi aussi, tu ne veux plus de moi, que tu ne m’aimes plus !
• Je t’aime comme au premier jour. Simplement je veux que tu choisisses et je veux, quant à moi, penser à nos enfants.
• Je ne veux pas te perdre ! J’ai déjà perdu Agun !
• Ces derniers temps, tu ne t’es pas beaucoup préoccupée d’Agun. Que se passe-t-il ?

J’expliquais tout à Philippe, au milieu d’une véritable crise. Philippe se rapprocha de moi, me prit dans ses bras, me consolant avec une infinie tendresse.

• Christine n’est pas une véritable amie pour toi. C’est une garce, qui a senti la fragilité d’Agun et en a profité. Je parlerai à Agun. Une grande histoire d’amour comme la vôtre ne peut se terminer comme ça !
• Oh, mon amour ! Tu es merveilleux ! Je t’aime. Je ne t’ai jamais demandé ça : je n’ai jamais eu autant envie que tu me fasses l’amour !

Philippe m’embrassa. Nos lèvres s’entrouvrirent, nos langues se touchèrent, se mêlèrent, doucement, tendrement. Mon corps commença à frémir, je sentais une douce chaleur m’envahir. J’avais envie de Philippe comme jamais, de le sentir contre moi, en moi, son corps sur le mien.

Mes mains couraient sur son dos. Il entreprit de caresser mes seins tout en m’embrassant. J’avais une envie irrépressible de le sentir en moi. Je guidais son bassin, tout en entrouvrant mes cuisses et en caressant ses reins. Il se pressa à l’entrée de mon sexe et je lui avouais ce qu’il savait :

• J’ai envie de toi ! Prends-moi !

Délicatement, je le sentis s’enfoncer en moi. Avec toute la douceur et la tendresse dont il était capable et dont j’avais tant besoin à ce moment-là. Lentement il commença à aller et venir. Je sentis ses lèvres se poser sur mon cou, m’embrasser, avant qu’elles ne retrouvent mes lèvres. Nous échangeâmes un long baiser passionné. Mes yeux se fermaient de bonheur, ma respiration s’accélérait. Le plaisir commençait à m’envahir. J’aurais voulu que ça n’arrête jamais. J’attrapais plus forts ses hanches, je resserrais mes cuisses contre lui. Philippe accéléra ses mouvements. Je le sentais sortir de moi, avant de s’engouffrer à nouveau. Une douce chaleur envahit mon corps, avant que Philippe ne se vide en moi et que le plaisir ne nous fauche ensemble, dans un moment de communion, de bonheur, de complicité, que j’aurais voulue infini.

Il me serra un long moment dans ses bras, je lui murmurais à l’oreille que je l’aimais, paradoxe de notre couple, au moment où je m’apprêtais pourtant à rejoindre mon amant.

J’attendais qu’il me fasse part de sa conversation avec son rival. Que se sont-ils dit ? Philippe, même par la suite, est toujours resté évasif à ce sujet.
Ce fut Philippe qui me poussa à quitter le lit :

• Va le rejoindre maintenant. Vous devez décider. Quel que soit ton choix, je le respecterai. Je n’ai jamais voulu qu’une chose : que tu sois heureuse ! « Alea Jacta est », pour reprendre l’expression de César !

Je m’apprêtais à aller à la salle de bains pour prendre une rapide douche.

• Ne te lave pas, ma chérie. Je veux qu’il sache que nous avons fait l’amour.

Je souris à cette idée perverse de mon mari, songeant que d’habitude c’était l’inverse, que c’était lui qui me découvrait remplie des œuvres d’un amant.

Alors que, les larmes aux yeux, je m’apprêtais à enlever mon alliance pour la lui restituer, Philippe me donna une nouvelle preuve d’amour :

• Garde-la à ton doigt, mon amour. Tu seras toujours ma femme !

J’embrassais longuement Philippe, avant qu’il ne me pousse vers la sortie, ayant appelé un agent de l’hôtel pour venir porter ma valise, alors qu’un taxi m’attendait pour me conduite chez Luigi.

***

Dans le taxi, je me demandais ce que j’étais en train de faire, à savoir une folie: quitter Philippe, l’homme de ma vie, alors que je l’aimais comme jamais ? Le perdre comme j’avais perdu Agun ?

Je pensais à mon héroïne l’impératrice Faustine, qui aimait Marc Aurèle mais qui, dans mon récit, avait décidé de rejoindre son amant, un beau gladiateur, pour s’enfuir avec lui.
N’ayant pas le courage de l’appeler, j’envoyais un SMS à Philippe :

• Jamais je n’ai eu autant de plaisir avec toi que ce soir. Je t’aime.
• Moi aussi je t’aime. Et pourtant tu t’en vas.
• Je vous veux tous les deux.
• Tu sais bien que ce n’est pas possible.

J’appelais alors Luigi :

• Amore mio, sto arrivando. È doloroso, ma poiché devo scegliere, adesso sono tua moglie. (“Mon amour, j'arrive. C'est douloureux, mais puisque je dois choisir, je suis désormais ta femme.”)
• Ti aspetto, tesoro mio. Voglio te. (“Je t'attends, ma chérie. J'ai envie de toi.”)
J’expliquais à Luigi ce qui s’était passé, la découverte de la « trahison » d’Agun, mais aussi le fait que nous avions longuement fait l’amour avec Philippe.
• È tutta colpa mia, Luigi. Ho combinato un guaio. Voglio dimenticare tutto tra le tue braccia. Per questo mi scoperai da zoccola quale sono. (“Tout cela est de ma faute, Luigi. J'ai tout gâché. Je veux tout oublier dans tes bras. Pour cela, tu vas me baiser comme la salope que je suis.”)
• Me ne occuperò io per te. Ti farò venire, mia cara.(“ Je vais m'en occuper de toi. Je vais te faire jouir, ma belle.”)

Arrivée chez Luigi, dans la banlieue de Rome, mes hésitations et scrupules semblaient s’effacer. Il m’accueillit nu sous son peignoir. Qu’il était beau. J’ai eu immédiatement envie de lui. Je l’embrassais avec fougue.

• Bentornato a casa, amore mio! Perché stai piangendo? (“Bienvenue chez toi, mon amour! Pourquoi pleures-tu?”)
• Sia perché non è facile, sia perché sono felice. Sei l'uomo che ho sempre desiderato nella mia vita. Sono tuo adesso. (“A la fois parce que ce n'est pas simple et parce que je suis heureuse. Tu es l'homme que j'ai toujours voulu dans ma vie. Je suis à toi désormais.”)
• Come d'accordo con Philippe, io e te dobbiamo parlare. In modo che questa scelta venga attentamente valutata. (“Comme convenu avec Philippe, nous devons parler toi et moi. Afin que ce choix soit mûrement réfléchi”)
• Lo so. Abbiamo tutta la notte davanti a noi. Prima di parlare, ho bisogno di qualcos'altro. Ho bisogno che tu mi prenda, che mi scopi. Ti voglio, Luigi! (“Je sais. Nous avons toute la nuit devant nous. Avant de parler, j'ai besoin d'autre chose. j'ai besoin que tu me prennes, que tu me baises. J'ai envie de toi, Luigi!”)

Luigi m’embrassa avec fougue. Il fit tomber mes vêtements et m’entraina vers sa chambre, me poussant sur le lit. De mon côté, j’enlevais son peignoir, pour contempler le désir qu’il avait de moi.

Tous mes sens en éveil, je frémis comme jamais lorsque je sens ses mains se poser aux creux de mes reins, remonter jusqu’à mes épaules avant de suivre le chemin inverse, cette fois jusqu’à mes fesses qu’il pétrit en connaisseur. Notre baiser est sans fin, étreinte d’un couple en devenir. J’en étais insatiable, en demandant encore et encore. Nous semblions seuls au monde. Je ne pensais plus à rien d’autre qu’à mon désir pour Luigi.

Je fus proche d’un premier orgasme quand Luigi caressa longuement ma poitrine, sa langue agaçant mes tétons, sa bouche suçant mes pointes. Son regard traduisait son désir, alors que de sa main, il branlait mon clito et fouillait ma chatte, qui était pleine de la semence de Philippe. Il la recueillit et me présenta ses doigts à sucer, ce que je fis sans discuter, nettoyant le mélange du sperme de mon mari et de ma propre cyprine.

Lorsque ses mains descendirent à nouveau sur mes hanches, j’émis un râle de plaisir. J’étais submergée de désir. Ses mains caressaient à présent mes cuisses et son sexe était contre le mien. Je brulais d’envie qu’il me prenne, alors qu’il poursuivait ses baisers et ses caresses.

Lorsqu’il posa sa bouche sur mon sexe, je tentais de le dissuader.

• No Luigi. Non sono pulito. Sono pieno del seme di Philippe. (“Non Luigi. Je ne suis pas propre. Je suis pleine de la semence de Philippe.”)

Il me répondit en Français :

• Laisse-moi faire ! J’en ai envie. Je vais te nettoyer. Je vais te bouffer ta jolie chatte, avant de te féconder à mon tour !

Jusqu’à présent, seul Philippe avait fait une telle chose. Jamais Luigi, depuis que nous étions amants, ne m’avait prodigué un cunnilingus. Je pensais jusque-là que, comme leurs ancêtres romains, les Italiens ne goûtent guère cette caresse dont je raffole et que je pratiquais tant avec Philippe et avec Agun.

Sa langue se mit à caresser mes lèvres, puis mon clitoris, j’attrapais sa tête et caressais ses cheveux, alors que sa langue allait et venait en moi. Mon orgasme fut fulgurant, Luigi sortant de mes cuisses, d’autant plus maculé, que j’avais accompagné ma jouissance de beaucoup de cyprine.

Luigi répondit enfin à mon désir d’être prise. Je croisais mes jambes contre ses reins, pour mieux sentir son corps contre le mien. Au fur et à mesure qu’il allait et venait en moi, je sentais le plaisir m’envahir. À nouveau, Luigi me faisait jouir en continu. Son sexe en moi, ses mains qui me retenaient fermement, ses baisers. Je m’envolais, j’étais au paradis, gorgée de plaisir. Il accéléra ses mouvements, puis ralentit, m’embrassant avec fougue.

• Oh sì, continua così! Quanto è buono! Meraviglioso! Fanculo a me! Fanculo a me! (“Oh oui, continue! Que c'est bon! Quelle merveille! Baise-moi! Baise-moi!”)

Je sentais monter un orgasme dévastateur, du plus profond de mon être. J’attrapais les fesses de Luigi, que je resserrais de plus en plus. Je sentais qu’il ne tiendrait plus longtemps, alors qu’il me baisait depuis près de trente minutes.

• Oh mio caro, vieni! Voglio il tuo seme! Voglio il tuo sperma. Fertilizzami! Riempimi! Svuotati dentro di me! (“Oh mon chéri, viens! Je veux ta semence! Je veux ton sperme. Féconde-moi! Remplis-moi! Vide-toi en moi!”)

La respiration de Luigi s’accéléra, avant que je ne le sente se raidir de tout son corps et, dans un râle libérateur, jouir en moi. L’espace d’une seconde, je me sentis mourir de plaisir.

***

Après une telle étreinte, tout semblait définitif. Nous venions de faire longuement l’amour et je restais dans les bras de celui qui était désormais mon homme.

C’est Luigi qui lança le sujet. Moi, lâchement, j’étais prête à laisser les choses suivre leur cours. J’étais chez mon amant. Demain matin, l’avion partirait de Fiumicino sans moi. Le destin avait parlé.

• Ma chérie, nous avons, cette après-midi longuement parlé avec Philippe. Ce que je vais te dire est difficile pour moi. Sache d’abord que si tu décides de rester, j’en serais heureux car je t’aime. Mais avant, il faut bien examiner la situation.
• Luigi, je suis là, dans tes bras. Nous venons de faire l’amour et tu m’as fait jouir comme jamais, moi qui ai pourtant connu tant d’amants.
• Tu aimes Philippe. Tu l’as encore prouvé ce soir, juste avant de venir.
• Oui, je l’aime. Mais en refusant ma demande de polyamour, il m’a obligé à choisir. Et j’ai choisi, même si c’est très dur pour moi de perdre mon Philippe.
• Tu sais bien que Philippe a fait cela en pensant aux enfants.
• Je comprends. Mais je n’accepte plus de sacrifier mon bonheur, qui passe par toi.
• Philippe ne pourra faire autrement que de demander le divorce.
• C’est normal. Je l’assumerai à mes torts. C’est moi qui quitte le domicile conjugal.
• Je ne te parle pas de ça. Je pense aux enfants, d’abord à Alexandre et à Sofia, qui sont encore bien jeunes.
• Philippe est un merveilleux père. Et Agun a promis de l’aider. Les enfants l’adorent. Et je pourrai bénéficier d’un droit de visite, de garde. Philippe ne s’y opposera pas.
• Admettons pour les deux plus jeunes. As-tu pensé à Leila, dont le père est Hassan, pas Philippe ? À ce qu’elle pourrait devenir sous sa coupe ?
Je ne répondis pas. Il avait raison !
• Et puis, il y a surtout ton ainée, Lucie.
• Avec elle, c’est en effet le cas le plus difficile. Elle me hait. Mon départ ne peut que la réjouir.
• Justement ! Philippe m’a tout expliqué de la situation avec elle. D’une part, elle ne t’a jamais pardonné d’avoir été rejoindre N. Et surtout, elle te voit comme une rivale envers Philippe. Tu ne peux pas laisser Philippe se débrouiller seul avec elle, d’autant plus qu’elle déteste Agun depuis le séjour de celle-ci chez vous, à l’époque du confinement.

J’étais toujours silencieuse, ne sachant quoi répondre, réalisant à quel point j’avais fait preuve d’un égoïsme forcené.

• Et enfin, n’oublie pas Agun.
• Quoi, Agun ? Elle m’a trahie, trompée. C’est fini !
• Tu ne crois pas qu’elle a voulu te donner une bonne leçon, te punir de l’avoir un peu trop négligée au fil du temps ?
• C’est vrai que ça me fait mal d’imaginer cette salope de Christine me la prendre.
• En fait, tu l’aimes toujours, comme tu aimes toujours Philippe. Tu es compliquée, Olga ! Tu es la seule personne que je connaisse qui soit réellement poly-amoureuse. Et de trois personnes en plus : Philippe, Agun et moi !
• Alors, que dois-je faire ?
• Si ce que je t’ai dit te fait réfléchir, demain matin, je t’amène à l’aéroport et tu pars avec Philippe. Tout ce qui s’est passé laissera des traces. Mais vous surmonterez la situation.
• En fait, tu n’as aucun sentiment pour moi. J’ai été uniquement un bon coup pour toi et maintenant tu cherches à te débarrasser de moi. C’est à cause de notre différence d’âge ?
• Absolument pas ! C’est parce que je t’aime et après avoir longuement parlé avec Philippe que je recommande que tu fasses ton devoir. Ça me fait très mal. Je préférerais que tu restes avec moi. Et si tu décides de le faire, j’en serais heureux et ferais tout pour que tu sois heureuse. Je veux seulement que tu prennes la décision en toute connaissance de cause.
• Tu me pousses au choix de la raison.
• C’est aussi un choix du cœur. Tu aimes Philippe, tes enfants et Agun.
• Mais et toi ? Comment puis-je accepter de te perdre ? Pendant ce séjour, je trouvais le temps long entre deux moments où nous faisions l’amour. Ce n’était que quelques heures. Là, quand te reverrais-je ?
• Ce sera une souffrance pour moi, comme pour toi. Mais il est nécessaire que nous nous ne revoyons pas pendant un certain temps.
• Ce sera insupportable. Ne pourrais-tu pas postuler un poste d’attaché culturel à l’ambassade d’Italie en France ?
• Oui c’est possible et cela demandera du temps. Philippe t’aime au point de partager ton cœur, à condition de maintenir les apparences pour les enfants et de les préserver. Il faut du temps pour cela, temps que tu consacreras à reconquérir Agun et à reconsolider ton couple avec Philippe. En accord avec Philippe, il est convenu que, si le temps nécessaire, tu ne viens pas en Italie et je ne viens pas en France, nous pouvons nous parler autant que nous en avons envie. Le virtuel ne remplacera pas le réel. Mais cela nous aidera.
• Nous ferons donc comme cela. Tu as raison : c’est bien le choix du cœur et de la raison. Nous préservons ainsi notre famille. Et je ne renonce ni à Philippe, ni à Agun, ni à toi.
• Nous appelons Philippe pour lui faire part de ta décision ?
• Il le verra bien demain matin. Nous avons encore quelques heures devant nous. Je veux en profiter !

J’embrasse longuement Luigi, m’efforçant de ne pas pleurer.

• Non voglio dormire stanotte. Voglio esaurirti, mio bellissimo stallone. Voglio fare l'amore con te, ancora e ancora! (“Je ne veux pas dormir cette nuit. Je veux t'épuiser, mon bel étalon. Je veux faire l'amour avec toi, encore et encore!”)

Et en effet, toute la nuit, nous avons fait l’amour, les assauts de Luigi étant suivis par des moments de tendresse, avant que, de ma bouche et de mes mains, je ne parvienne à réveiller ses ardeurs.

***

Au matin, je rejoignis in extremis Philippe en salle d’embarquement, me précipitant dans ses bras, lui disant que j’aurais plus besoin que jamais de son amour.

Philippe me serra très fort, couvrant de ses baisers mon visage plein de larmes.

• Oh, Olga, cette fois j’ai vraiment pensé que notre couple était fini.
• Je te demande pardon pour tout le mal que je t’ai fait, ces derniers jours et depuis que nous sommes ensemble.
• Ne dis rien. Que tu sois ici prouve que je compte encore pour toi.
• Même si ça doit sembler incompréhensible, je n’ai jamais cessé de t’aimer ! Oh, mon chéri, pourquoi n’est-il pas possible de tout avoir : la famille, toi, Luigi, Agun ?
• Tu es une enfant, ma chérie ! Je vais t’aimer encore plus fort pour panser tes plaies.
• Luigi a aussi prouvé qu’il m’aimait, car c’est lui qui m’a convaincue. Et j’ai vu que c’était très dur pour lui. Que lui as-tu dit ?
• Je t’expliquerai, plus tard, peut-être. Nous avons eu beaucoup de chance de tomber sur un type bien.

Notre conversation fut interrompue par le dernier appel pour l’embarquement.

***

Les mois qui suivirent ne furent pas faciles car Luigi me manque. Ils purent être surmontés grâce à la force incroyable de l’amour de Philippe et aussi d’Agun, qui est revenue vers moi. Les charges familiales et le travail d’écriture, tant sur les sites que dans la préparation de mon e-book m’aident aussi beaucoup. Quant à Luigi, il respecte à ce jour son engagement de distance, nos contacts virtuels étant rares.

Je connaissais la difficulté à gérer mon hypersexualité. Je devais désormais apprendre à maitriser la pluralité de mes sentiments.

***

Les avis des lecteurs

@ Lucie, l'avenir le dira

Histoire Libertine
une dernière journée bien agitée...
Luigi te montre à nouveau quel étalon il est en te prenant deux fois et dans des lieux...pour le moins excitant
l'infidélité d'Agun montre tous les besoins qu'elle a aussi et qu'il faut combler.
Luigi prouve qu'il est ton mâle, celui qu'il te faut en te laissant partir...pour mieux lui revenir le moment venu
Lucie

@ Alfred, c'était en 2019, lors d'une tentative de reprise d'une activité bénévole dans un centre social, où j'assurai des cours de soutien à de jeunes migrants. J'ai alors craqué pour un jeune réfugié syrien, Nassim. Philippe a été immédiatement mis au courant. Cette histoire a duré plusieurs mois, avant que la vie ne nous éloigne.

Histoire Erotique
C'est noté. Ne tarde pas trop! Peux-tu d'ores et déjà tracer les lignes essentielles de ce "dérapage"?
Alfred

@ Alfred, Philippe exige que ma transparence soit totale. Il m'a juste laissé le choix du moment où je publierai cette confession.

Histoire Erotique
Puisque tu t'en remets à Philippe, qu'a-t-il décidé? J'espère qu'il va te pousser à confesser publiquement tes frasques
Alfred

@ Alfred, c'est Philippe qui décidera jusqu'où ira ma "catharsis"

Histoire Erotique
@ Olga, cette réponse, ou plutôt cette pirouette, est un aveu. Tu avais pourtant dit et écrit que tu avais fait le choix de la catharsis.
Assume donc tes actes!
Alfred

@ Alfred, cela ne regarde que Philippe

Histoire Erotique
Une question: entre ton adultère avec N et cette escapade romaine, tu n'as eu aucun dérapage? Oseras-tu dire la vérité?
Alfred

@ Alfred, oui, je l'ai expliqué en toute franchise dans ce texte

Histoire Erotique
Ca a été chaud jusqu'au bout. Et avant que Luigi ne te convainque, in extremis, de rentrer en France avec Philppe, c'est ton amant que tu avais choisi. Pas vrai?
Alfred

@ Didier, tu as parfaitement résumé la situation et notre état d'esprit.
@ Patrick, dans l'absolu tu as raison. Sauf qu'à Rome, Philippe n'avait pas prévu que j'aurais un coup de foudre pour Luigi et gérait la situation du mieux qu'il pouvait. Cette fois, c'est différent. Il maitrise sur la durée.

Histoire Erotique
@Olga,
Il est vrai dans l’absolu, comme le suggère Patrick, que l’oubli serait la meilleure solution pour vous tous.
Cependant je ne suis pas persuadé que ce soit réaliste dans votre cas, convaincu en effet que ni Luigi, ni Philipe et ni TOI surtout, vous êtes du genre à oublier si facilement.
C’est pour cela qu’il est bien que tout contact se fasses en présence de Philippe. Il est et reste à ce jour, à mon avis, ton seul garde-fou.
J’ajouterai que Philippe a raison de dire qu'il faut laisser du temps au temps.
Oui, en tant que femme comme on en fait peu, à la fois intelligente, cultivée, généreuse, hypersexuelle et poly-amoureuse désormais, tu mérites amplement ton droit au bonheur entourée par ceux qui t’aiment et que tu aimes
Didier

Histoire Coquine
@Olga, tout comme durant ce séjour en Italie...et on a vu le résultat.

Patrick, toujours aussi amer

@ Patrick, depuis le jour de ce récit, rien n'a été fait sans discussion et commun accord avec Philippe.

@ Liberté6433 je vais te déposer rapidement la seconde partie, pour que nous puissions échanger par mail. Bises

Histoire Coquine
Que tu sois encore en contact avec Luigi et que tu le désires toujours après autant de mois n'est pas sain du tout. La boite de pandore est plus que grande ouverte. Tu as choisi Philippe, il faut que tu assumes ton choix totalement en l'oubliant.
Patrick

Bonjour Olga T 😈

Faisons comme tu le sens . Avec plaisir. J ai déjà la 1ère partie👌😉
Passons à la suivante....

Kisss
Liberté6433 🫦

Merci Tony L pour votre témoignage et votre soutien

Histoire Coquine
Bonjour
Je trouve que certaines personnes sont un peu dur avec Olga.
Elle a le courage de nous raconter sa vie d'hyper sexuelle, avec son mari candauliste.
Beaucoup la juge, mais je trouve que c'est une personne remarquable de courage et de franchise.
Elle a commis des erreurs, certes, mais Philippe aussi.
Ils ont su avec le dialogue rétablir les choses.
Bravo à eux.
La vie de candauliste avec une hyper sexuelle n'est pas un long fleuve tranquille, je sais de quoi je parle.
Moi aussi avec mon amour, nous avons traversé une mauvaise période. Ses 2 amants avaient pris le pouvoir sur moi et mon ange.
Avec beaucoup de dialogues tous les 2, nous avons décidé de reprendre en main la situation, et de leurs en parler.
Tout c'est bien passé, nous avons repris les reines, et ils l'ont bien compris.
Merci à eux.
Mon amour a eu peur de les perdre, et de devoir choisir entre moi et eux.
Surtout que notre garçon, est le fruit de son amant septuagénaire, qui a bien voulu être le géniteur (moi ne pouvant pas avoir d'enfants), il est aussi le parrain de notre fils.
Et notre futur bébé sera le fruit de l'un de ses 2 amants, le Black ou le vieux, comme on dit qd on en parle en plaisantant.
Ils ont été extraordinaire de compréhension qd on leurs en a parlé.
Chacun a repris sa place.
Eux sont ses amants réguliers, ils l'a baise qd ils veulent, et ils acceptent qu'elle ait des amants de passage, ce qui les gênait a un moment.
En passant par le dialogue, chacun a repris sa place.
Et c'est moi et mon épouse qui commandons cette relation.
Tout passe par nous.
Eux se vident les couilles à volonté, c'est déjà pas mal, lol.
Et qd mon cœur a besoin d'autres queues, nous avons plus à leur demander leur permission.
C'est un véritable bonheur de les voir ou savoir s'occuper de ma moitié, et de voir tout ses amants non réguliers, s'occuper de mon épouse.
Un véritable feu d'artifice quasi hebdomadaire.
L'amour et le dialogue, est la clé de notre relation.
Donc arrêté de juger cette magnifique épouse qu'est Olga, car croyez moi, Philippe a une chance extraordinaire pour un candauliste d'avoir une femme comme elle.
Moi, chaque matin qd je me lève, je me rend compte de la chance que j'ai d'avoir une femme amoureuse, comme la mienne.
Tony L

@ chris33, pour répondre à tes « follow up questions », dont je te remercie :
1. Oui, bien entendu cela doit venir de moi
2. Philippe sait que ces contacts, que nous avons espacés d’un commun accord tous les trois, sont nécessaires. Il sait aussi que les choses ne se régleront qu’avec le temps. Philippe dit toujours, reprenant la formule d’un homme d’Etat qu’il admire beaucoup : « il faut laisser du temps au temps ». Philippe est la personne qui me connait le mieux au monde et, contrairement à moi, il ne connait pas la jalousie, même quand il s’agit des sentiments
3. Luigi n’a jamais exprimé de regrets. Nous sommes mis d’accord tous les trois quand je serai sûre de mes sentiments, de façon à ne pas rouvrir la boite de Pandore. Quand je dis que Luigi me manque, c’est en tant qu’amant et oui, nous avons toujours envie l’un de l’autre. Il nous faut être certains qu’une rencontre ne soit envisagée dans quelques semaines qu’au seul niveau sexuel, à l’exclusion de toute autre implication.

Histoire Erotique
Pour faire suite aux questions de Rachel et à tes reponses :
1/ Philippe n estime t il pas que la cesure avec Luigi doit venir de toi?
2/ ne te laisse t il pas continuer à lui telephoner pour eviter une crise chez vous mais cela ne le rend il pas triste surtout à lire que Luigi te manque encore ?
3/ comment Luigi reagi à froid maintenant que quelques mois se sont passés? Regrette t il sa décision? Je ne doute pas qu il ait toujours envie de toi et qu il espere te revoir lors d un retour en Italie...

Beaucoup de questions, Rachel et essentielles!

1) "depuis mai 2023, tu te contentes de Philippe et d'Agun?"
Ma réponse: Évidemment que non. Philippe sait parfaitement que ce n'est pas possible et pas supportable pour moi. Par contre, je me suis strictement contentée de ce que Philippe a organisé pour moi

2) Mes contacts avec Luigi

Quelques appels téléphoniques, toujours en présence de Philippe. Celui-ci ne m'a rien interdit. Pas de visio. Je ne veux surtout pas reproduire ce qui s'était passé en 2016 avec N, où les appels téléphoniques avaient relancé notre relation.

3) "Luigi ne te manque pas?"

Je mentirai si je répondais non. Ce n'est pas facile, malgré l'attention que me portent Philippe et Agun

Histoire Libertine
Plusieurs questions me taraudent:
- depuis mai 2023, tu te contentes de Philippe et d'Agun? ca m'étonnerait beaucoup!
- En ce qui concerne Luigi, aucun contact depuis? Pas de visio? Je me souviens que lors de ton adultère avec N, tu avais essayé de t'éloigner de lui et que tu avais rechuté après des appels téléphoniques
- Et enfin, Luigi ne te manque pas? Tu étais amoureuse de lui, tu l'as oublié? Tu es "guérie"?
Rachel

@ La chipie, merci. Ces gens me poursuivent de leur haine car ils ne me pardonnent pas d'avoir échappé à leur emprise

Histoire Libertine
L’égalité oui mais je suis aussi contre l’hypocrisie et anti con.

A 1 moment donné il faut savoir lâcher prise le passé c’est le passé et personne ne pourra rien n’y changer donc pas la peine d’en parler encore dans les 100 prochains jours il faut regarder l’avenir et donc se détendre du string mais apparemment certains lecteurs et lectrices ne l’ont toujours pas compris. 🤦‍♀️😤

La chipie

Merci La chipie. Tu as surtout raison de rappeler l'égalité des hommes et des femmes dans le droit au plaisir.

Histoire Libertine
Je réponds à mon tour alors déjà Sofiane le casos abstiens toi de déformer les propos des autres pour insulter 1 gonzesse qui n’a rien demander.
Que tu sois d’accord ou pas c’est la même chose tes potes et toi vous êtes 1 bande d’estrasse comme on dit à Marseille.
Tu es le premier à dire que Philipe a des cornes mais tu es aussi le premier à avoir comme tes potes 1 langue de pute aussi longue que les fleuves et cours d’eau du monde entier réuni.
En attendant Philipe a les couilles d’assumer vous vous avez perdu vos couilles en route car tes potes et toi rien que dans la manière de vous exprimer vous présentez 1 ressentiment flagrant à l’égard de nous les françaises.
Tu as juste la haine avec tes autres casos de ne plus avoir sous le coude 1 bourgeoise à vous descendre a critiquer à insulter de tous les noms.
Tu es 1 hypocrite et 1 misogyne comme tout tes potes.
Je te rappelle que si 1 homme a le droit de se descendre 1 multitude de femmes, l’inverse est valable aussi.
Sous entendus que ce soit Olga ou moi si on a envie de se niquer de la chair fraîche c’est notre droit ne t’en déplaise.

Enfin pour finir tu n’as que ça à faire avec tes potes de venir déverser ta haine ta connerie envers Olga et envers les femmes en général !!!

On peut être 1 mère de famille , 1 épouse au top tout en étant l’impératrice des salopes dans le lit conjugal ou ailleurs.

Pour les autres pas la peine de vous engrainer de toute façon ça ne changera RIEN !!!

La chipie

NB : a l’avenirs les casos abstenez vous de faire chier le monde et de déformer les propos des autres sinon ça ne montrera qu’une chose en plus d’être con vous n’avez aucune personnalité. 👿😡

Merci à Luc et Michel.
J'accepte en effet les critiques et je réponds à tous les commentaires, à condition qu'il y ait un minimum de respect.

Histoire Erotique
Je suis le "premier lecteur anonyme".
Je désapprouve totalement la conduite d'Olga, mais je n'accepte pas que Sofiane et Kamel se servent de mes commentaires pour l'insulter!
Michel

Histoire Erotique
Pour ceux qui, comme moi, suivent Olga depuis longtemps, on a l'habitude des commentaires haineux de Sofiane et de Kamel, qui n'ont pas digéré qu'elle ait échappé à leur emprise et à celle de la pote Rachid.
Le récit d'Olga, ce n'est pas une surprise, a suscité de nombreux commentaires, certains très critiques. J'espère que ces personnes (en particulier Jacques du Canada, Patrick et Mathilde) ne se laisseront pas instrumentalisés par ces tristes sires.
Luc, très en colère!

Merci Didier. Pour le reste, ces gens ne méritent de ma part aucune réponse

Histoire Erotique
@Sofiane,
Il ne manquait plus que vous et vos commentaires acerbes.
Vous êtes bien comme votre ami Kamel, vous vous servez ou vous déformez les commentaires des autres pour pouvoir mieux déverser votre haine envers Olga.
Didier

Histoire Erotique
Nous, on la connait bien, Olga et depuis longtemps, quand elle venait tous les mardis après-midi à la cité, alors qu'elle était la meuf de Rachid.
Quand on dit ce qu'elle est , on s'en prend plein la tête de la part de ses inconditionnels. On nous traite de "cassos", on nous reproche nos origines, alors qu'on n'est pas pratiquants. j'en passe et des meilleurs
Ce qui fait plaisir, c'est que d'autres, comme Jacques Canada, le "premier lecteur anonyme" et, plus récemment Mathilde, avec leurs mots, de façon plus soft, disent la même chose au sujet de cette femme.
Moi je le dis avec mes mots, c'est une S.., une pouffe, adultère et insatiable nympho, une égoïste qui ne pense qu'à son plaisir.
Qu'elle vienne pas chercher d'excuses, d'explications. Philippe porte une sacrée paire de cornes, mais comme il aime ça, on va pas le plaindre non plus.
Sofiane

@ Mathilde, expliquer, comprendre un comportement n'est pas excuser, encore moins effacer les fautes. Patrick se rappellera, de nos échanges par mails, qui, je le répète, m'ont beaucoup aidé, que, par rapport à ce qui est raconté ici, j'ai fait bien pire dans le passé, en particulier lorsque j'étais sous la coupe de Rachid.
De toute façon, c'est le mode de vie de notre couple, celui d'un candauliste et d'une hypersexuelle.
En ce qui vous concerne, du fonds de coeur, je vous souhaite beaucoup de bonheur avec PatricK. Sans le connaitre autrement que par nos échanges, je peux dire qu'il le mérite. Prenez soin de lui.

Histoire Coquine
@Olga même s'il m'en a parlé tardivement, il a fini par vouloir me partager ce moment de sa vie, je n'ignore donc rien de vos échanges avec lui et de votre passé. Vous avez été le sujet de bien des discussions qui ont vu fréquemment nos points de vus diverger. C'est en partie pour me prouver que je me trompais que nous sommes venus ici. Sa découverte de la réalité l'a saisi et vraiment marqué. Je n'ai jamais autant regrettée que d'avoir eu raison.

Mathilde

Histoire Coquine
Olga, comme je te disais, on a beaucoup dialoguer avec mon épouse, et ses 2 amants réguliers.
Ils savent l'amour qu'elle me porte, on a mis des barrières avec eux, au niveau sentimental.
Par contre ma chérie est hors de contrôle qd elle baise avec eux, en ma présence où pas.
Ils la besogne comme une salope, comme elle se comporte avec eux.
Mais la barrière est là.
Elle ou on peut dire stop à tout moment.
Ils en ont conscience.
Ils savent la chance qu'ils ont de pouvoir venir la démonter à peu près qd ils veulent, avec mon approbation.
Mais ils font attention à mon regard, qd je suis présent.
Ils profitent de tout ses orifices, la démonte comme une chienne, en utilisant un vocabulaire très crû.
Mais elle ou je peux intervenir qd on veut, si ça va trop loin.
Donc pas de problèmes.
On a les clés.
Même qd je les finis avec la main, pour les faire gicler sur ma chérie, ou guider leurs queues dans ses orifices, c'est moi, qui décide et qui suit mettre de la situation.
Le gourdin de son amant Black est énorme et épais, et j'avoue prendre du plaisir à le faire gicler, son amant de 74 ans aussi, bien membré et toujours performant.
Chose que je ne faisais pas il y a encore 1 mois.
Ma chérie est comblée, et les règles sont fixées.
Chacun à sa place !
Et j'ai même l'impression d'avoir la meilleure et d'être le chef d'orchestre de toutes ses baises de folies.
Le dialogue, toujours le dialogue.
Tony L

@ Mathilde, votre jugement vous appartient, je le respecte. Je ne suis d'ailleurs pas fière de mon comportement lors de ce séjour et en particulier de cette dernière journée.
Patrick a longtemps suivi mon parcours et nous avons beaucoup échangé par mail, avant, ces dernières années, de ne plus avoir de nouvelles. Je veux seulement dire que nos échanges m'ont beaucoup aidé et que Patrick connait les raisons profondes de ma conduite, ce qui fait, qu'à certains moments, elle devient incontrôlable. Je ne cherche pas d'excuses, ce sont seulement des explications. je n'en dis pas davantage ici, il pourra vous expliquer s'il le souhaite.

@ Micky, merci pour ton soutien. Ces encouragements, ces compliments, venant d'une auteure de ta qualité, est un plaisir rare.Je me suis en effet imposée, dans ces récits autobiographiques, une obligation de transparence, de franchise. Tout dire, tout décrire.
@ chris33, merci, le tutoiement ce sera avec plaisir, si souhaité. Faire "plus cru" oui, sans tomber dans la vulgarité et sans sacrifier à la qualité du texte: orthographe, grammaire, présentation. J'y veille et je sais que vous aussi. Ce n'est pas le cas, hélas, de toutes les publications sur ce site, dont certaines sont truffées de fautes et ont pourtant beaucoup de lecteurs.
@ Tony L, merci pour ce commentaire qui se rapporte plutôt au chapitre précédent, où Philippe avait été "tenté". Philippe (comme Agun d'ailleurs) sait que je ne suis pas partageuse. Les difficultés de notre couple ne viennent pas de quelques incartades qu'il a pu s'autoriser (même si j'ai mal réagi) mais de mon comportement quelquefois hors de contrôle. Je suis d'accord avec toi pour dire que "le dialogue doit toujours être la priorité et au centre du couple".

Histoire Coquine
La différence entre Philippe et moi, c'est que moi, je ne baiserai jamais une autre femme, et ne me ferait jamais sucer par une autre, ma femme ne le supporterai pas !
Ça pourrait tuer notre mariage, et moi je n'en éprouve, et je n'en ai jamais eprouvé le besoin.
Je lui ai promis ma fidélité.
Notre couple est solide, nous avons beaucoup parlé ces derniers temps, et elle m'a rassuré en me disant qu'elle avait qu'un seul amour, c'est à dire moi !
Je crois que tu devrais parler à Philippe pour lui dire qu'il ne devrait pas flirter avec d'autres femmes.
Je crois que tu en éprouve de la jalousie.
Tu devrais être clair avec lui.
Nous, en tous cas, c'est clair.
Moi, je pourrais l'honorer qd elle aura accouché.
C'était son vœux, je l'ai accepté, et c'est très bien comme ça.
Et elle profite comme jamais de ses 2 amants réguliers, et de ses plans culs régulier.
Nous avons remis les pendules à l'heure avec ses amants (du Cul, pour le plaisir, et de l'amitié avec eux).
Pas de rapprochement amoureux, sinon, ils sortiront de notre vie.
Par contre ils peuvent venir la baiser qd ils veulent, seulement avec notre accord, et si on a pas prévu autre chose.
(Mais pour le moment, on ne leur a jamais refusé) 😉
Ma femme est rayonnante et en profite comme jamais elle en avait profiter.
Ses 2 amants ne se sont jamais autant vidé les couilles avec mon amour, et et 2/3 amants de passage, triés par nos soins, viennent la baiser chaque semaine, c'est un véritable feu d'artifice pour elle, et un véritable plaisir des yeux pour moi.
Je ne me suis jamais autant branlé de ma vie.
Je ne sais pas si ça va durer longtemps, car la grossesse avance.
Mais je n'ai jamais vu mon amour aussi épanouie et heureuse que maintenant.
Le dialogue doit toujours être la priorité et au centre du couple.
Tony L

Histoire Coquine
Rien ne va dans cette dernière journée qui m'a profondément choquée. Après l'avoir lue je comprends mieux pourquoi Patrick était aussi retourné et n'a pas voulu venir commenter.

Mathilde

Histoire Erotique
@olga T, votre tutoiement ne pas choqué...je ne l avais même pas remarqué tellement il semblait naturel 😁
Merci pour vos remarques sur mon écriture et vais sur divers conseils et remarques tenter de faire plus cru, à l instar de vos recits, pour faire plaisir aux lecteurs et lectrices

@ chris33, je m'aperçois que je vous ai tutoyé. Toutes mes excuses!
@ La chipie, c'est exactement ça!

Cette saga candauliste, je l'ai déjà écrit, est une des séries phare du site, pour ne pas dire LA série phare, tant elle est explicite, concrète, décapante, transgressive et surtout d'une franchise absolue. Et tant pis pour l'ordre moral.

Agun m'a confirmé se souvenir de cette Clara. Daniel avait raison quand il pensait à de la jalousie!

@ chris 33, merci pour tes commentaires, tu as entièrement raison, y compris sur le fait que cet épilogue a suscité beaucoup de réactions, mais je m'y attendais. J'ai aussi commencé à découvrir tes tes textes.

Histoire Libertine
A Clara Agun n’a pas le couteau sous la gorge ou le canon d’un sig sauer près de sa tempe pour rester avec Olga.
Il faut se détendre du string cocotte.

Tu es juste en colère et jalouse !!!

La chipie

Histoire Erotique
En tout cas Olga, vous avez l avantage d avoir fait coulé beaucoup d encre et de réactions avec cette fin d histoire. 😅
Et cela fait plaisir 😁

Histoire Erotique
@ Norbert, même si vous avez raison sur la forme et que nous sommes ici pour lire des histoires excitantes et nous imaginer la scène voire nous transposer à la place d un des protagonistes, mais sur le fond, il y a quand même une forte morale à cette histoire que nous approuvons ou pas. Et c est peut être une forme d exhutoire pour Olga de nous la narrer!
@Olga, j espere ma chère, que même si vous avez atteint une limite très lointaine dans votre couple et que vous faites tout pour revenir à une normalité, que l avenir sera à nouveau parfait pour vous deux. Sous quelque forme que vous souhaitez comme du nouveau candaulisme maintenant que vous connaissez vos limites et savez qu il ne faut plus les atteindre sous peine de vous detruire à tous.
Vous avez decouvert l amour inconditionnel que Philippe vous porte, faites de même et ne le trahissez plus en recommençant le même schéma qu avec Luigi!

Histoire Libertine
Je veux d'abord dire que je m'en contrefiche de ce que certains pensent de mes commentaires.
J'ai connu Agun dans le salon où elle travaillait comme masseuse, il y a près de 20 ans. J'avoue que je suis tombée sous son charme. Malheureusement, pour son malheur, elle a croisé la route de l'abominable Olga. Agun est partie presque 10 ans en Thaïlande. je ne sais pas où elle vit aujourd'hui, mais je sais qu'elle est retombée sous la coupe de ce monstre, à qui j'en veux énormément de profiter d'Agun. Elle ne la mérite pas! Christine était sa chance, hélas elle est retombée sous la coupe de sa prédatrice.
Clara

@ Didier, merci. Je pense que ces gens ne méritent de de ma part aucune réponse. Seulement beaucoup de mépris
@ Norbert, je sais bien que, publiant sur un site d'histoires érotiques, beaucoup de lecteurs ne viennent que pour cela.
@ Tony L, merci pour ce soutien

Histoire Coquine
Olga, tu as pris la bonne décision.
Pour tes enfants, et ton mari qui est extraordinaire.
Oui, si ma femme partait avec un de ses amants, je serais l'homme le plus triste du monde.
J'ai fait lire ton histoire à mon épouse, ça l'a beaucoup retourné, elle m'a dit tu n'as pas à t'inquiéter, je t'aime, et je resterais toujours avec toi.
On va continuer notre vie comme on l'a mène, elle adore ses amants réguliers, pour le Cul, et elle adore que d'autres viennent l'honoré.
Et moi j'adore la voir dans cet état de jouissance permanente.
Quel kiff de la voir se faire défoncer régulièrement.
Je l'aime comme elle est.
Bravo à toi Olga d'avoir pris la bonne décision pour ta famille.
Tony L

Histoire Erotique
Perso, je ne rentre pas dans le débat si c'est bien ou pas ce qu'Olga a fait. Premièrement, c'est son problème et celui de son mari. Qui sommes-nous pour juger? Deuxièmement ici c'est un site d'histoires érotiques et pas de morale! Et de ce point de vue, je suis d'accord avec Maurice: ce que je viens rechercher dans les textes autobiographiques d'Olga (à la différence de certaines de ses autres publications) , ce sont les scènes de cul. Et de ce point de vue, nous sommes servis car Olga décrit si bien qu'on a l'impression d'être témoins de ses ébats. J'avoue: ça me fait bander, je me dis "quelle sacrée salope" et ce pas dans un sens péjoratif, au contraire!
Alors, que ce soit dans un cadre candauliste ou qu'il s'agisse d'adultère, je ne souhaite qu'une chose: qu'Olga continue à se faire baiser, pour son plus grand plaisir, mais aussi pour le nôtre, lecteurs de ses textes.
Norbert

Histoire Erotique
@Kamel,
Vous êtes d’un ridicule.
S’il n’y avait pas les commentaires des autres, sur lesquels vous vous raccrocher pour déverser votre haine, vous n’auriez pas grand-chose de sérieux à dire.
Didier

@ La chipie, j'aime tes colères!
@ chris33, je suis bien consciente de tout cela. Vous avez raison de dire que cela laisse des traces. Le fil dont vous parlez n’est pas rompu, mais il a été fragilisé et, ensemble, nous faisons tout pour le renforcer.
Choix par dépit ? C’est un choix après réflexion, oui. Luigi y a fortement contribué, sans doute convaincu par Philippe, comme le suggère Didier dans son commentaire. C’est le choix du cœur et de la raison. Notre amour a permis de surmonter cette tempête.

Histoire Libertine
Ah oui Hassan est 1 religieux mais hypocrite comme tout les religieux dans le monde fais ce que je dis mais ne fais pas ce que je fais.
1 pute ça nique pour l’argent comme les gamines qui tombent sur la mafia.
1 femme libre ça nique pour le plaisir.
Votre frère comme tout les casos en France ont 1 ressentiment à l’égard de la France et de ses habitants.
Votre frère était bien content d’avoir retourné 1 française 1 bourgeoise de l’avoir habillé à la mode islamique !!!
Sauf qu’on est en France justement , en Iran comme ailleurs elles luttent pour avoir la liberté de s’habiller comme elles veulent.
Au final votre frère l’a eu dans l’os mais bien profond car cette « traîtresse «  est retourne vers son cocu de mari !!!

Alors gardez vos commentaires pour vous !!!

Vu votre vision de la femme qui date de Mathusalem j’espère que votre nièce a 20 ans aura la présence d’esprit de vous faire sauter vous et les autres casos inclus votre frère ça lui fera des vacances.
Pourquoi s’emmerder a continuer à voir des personnes toxiques avec 1 langue de vipère aussi longue que la vôtre ou celle de votre frère !!!

La chipie

Histoire Erotique
Je pense à Philippe et il est evident que ce passage va laisser des traces. Il vous laissait une liberté de plaisir sachant que votre coeur n appartenait qu'à lui. Mais vous avez fait ce qu il y a de pire (sans jugement bon ou mauvais) pour un candauliste : lui dire que vous aimiez un autre homme, ce fameux coup de foudre.
Maintenant que ce fil est rompu, il aura une épée de Damocles au dessus de la tête dans toute future relation sentimentale que vous aurez avec des partenaires!
Car en fin de compte, vous ne l avez pas réellement choisi: c est un choix par dépit parce que Luigi vous a rejeté! Peut etre que la raison venant de sa part ou de Philippe l a convaincu mais ce choix restera toujours en suspens dans vos esprits à tous les 3...
La vie est ainsi faite et j espere que vous vous en sortirez sans dommages

@ Maurice, merci. "Scène". La cène c'est autre chose :-)
@ Kamel, sans commentaires...

Histoire Erotique
Daniel a cru utile de nous provoquer, mais, à la lecture de ce texte je serai venu commenter quand même, même si ça déplait à certains.
D'abord, je n'apprécie pas cette façon de stigmatiser mon frère Hassan. Il n'est pas un obscurantiste et n'est pas un danger pour elle. Je dirai plutôt qu'il a tort de la laisser sous la coupe de cette p.... nymphomane d'Olga!
Deux brefs commentaires:
- je suis d'accord avec le "premier lecteur anonyme". Oui Luigi, après avoir pris son pied avec cette garce, a voulu s'en débarrasser. Philippe lui en a donné le prétexte.
- Et si Olga a finalement fait in extremis ce "choix", ce n'est pas pour Philippe, qu'elle a tant bafoué. Pas davantage pour les enfants ou pour Agun, dont elle n'a rien à faire. ce n'est que pour des raisons matérielles. Jacques du canada l'a très bien compris dans son commentaire quand il écrit "Comment auriez-vous vécu à Rome sans connaissance, sans but toute seule lorsque Luigi travaille ou il est a ses obligations quotidiennes? Vous vous auriez trouvé du travail? Bien voyons donc, vous savez ce qui arrive lorsque vous travaillez a l’extérieur de chez-vous!"
Il la connait bien. Et ce pauvre Philippe n'a pas fini d'être cocu!
Kamel

Histoire Erotique
Toutes les cènes de sexe sont très chaudes! Je relève particulièrement quand Olga se fait baiser dans le taxi, quand Luigi la rejoint aux toilettes dans ce restaurant, mais aussi quand elle fait l'amour avec Philippe, puis quand elle rejoint Luigi chez lui. Merci Olga pour ces scènes, qui sont un must sur ce site d'histoires érotiques!
Maurice

@ Daniel, merci. Mais fallait-il provoquer ceux que La chipie appelle "les cassos"?
@ Henri, cette série "les reines de sang" et particulièrement celle consacrée aux "trois Julia" est excecellente
@ Didier, que dire d'autre que merci pour ta compréhension et ton soutien?
@ La chipie, je t'avais reconnue!
@ Dyonisia, ma chère muse, un grand merci pour cette analyse pertinente et cette compréhension. Reçois toute ma tendresse également

Longue, longue histoire, pleine de bruits et de fureurs - bruits de coïts et de fureurs d'aimer, bien sûr :) - mais riche de questions et de réflexions sur des sentiments qui, à des degrés divers, exaltés ou contraints, animent bien des âmes, pour ne pas dire toutes. Il est rare pourtant qu'ils nous soient exposés avec tant de franchise et de lucidité.
Je ne paraphraserai pas Olga, ses mots et son récit suffisent pour comprendre que le fond de l'affaire n'est pas dans la morale. Quels que soient les motifs présidant à l'ouvrage, chacun en tirera, ou devrait en tirer, des interrogations sur sa propre façon de gouverner sa vie.
Rêve ou réalité, qu'importe, c'est un enseignement dont je la remercie, et c'est avec tendresse que je pense à l'auteure.
D.

Histoire Libertine
Oups c’est mon commentaire j’ai oublié de signer la chipie.

Histoire Libertine
Oups j’ai oublié 1 mot , je refais ma phrase : quand on lit ma femme est partie puis revenue on s’abstient de tout commentaire Steph et JP surtout venant de votre part.

Histoire Erotique
@Olga,
Je te remercie pour ton retour.
J’espère vraiment que tu arriveras à obtenir un jour une réponse au sujet de cette discussion, où Philippe en se battant jusqu’au bout t’a encore donné la preuve de son incommensurable et indéfectible amour.
Pour faire suite à mon premier commentaire j’ajouterai que par ces textes d'une grande qualité et d'une grande sensibilité, tu nous as fait la démonstration de toute la complexité du Candaulisme, et de l'Amour.
Tu as fait preuve là d'une grande honnêteté à ce sujet et, rejoignant une fois encore les propos d’Henri dans son Post Scriptum, tant pis si cela déplait à certains, ils n’ont qu’à pas lire...
Oui, tu as, vous avez tous les deux avec Philippe, joué avec le feu et pris un gros risque avec Luigi, mais ce qui est fait est fait…
Car au final "Tout est bien qui finit bien" pour reprendre l’expression de La Chipie, en effet n'as-tu pas réussi as préservé et conservé l'essentiel, ton couple, et ta famille ?
Tu as tout mon soutien.
Didier

Histoire Erotique
La Chipie a raison! Olga a le courage de raconter les choses sans rien cacher. Elle nous donne des détails qui ne peuvent que nous intéresser, et disons-le nous exciter, puisque nous sommes sur un site d'histoires érotiques. Pour le reste, qu'on lui fiche la paix. Moi j'aime lire ses textes, surtout quand ils contiennent des passages très hard comme celui-ci.
@ Clara, t'es jalouse ou quoi?
Il ne nous manque plus que ceux que La chipie appelle les "cassos", Sofiane et Kamel. Ils en pensent quoi ces deux-là?
Daniel

Histoire Erotique
@Clara,
Je respecte profondément la liberté d’expression, et chacun est libre d’exprimer son opinion, mais à force vous en devenez vraiment pénible mais aussi ridicule, avec vos continuels propos désobligeants et acerbes envers Olga.
Nous n'avons nullement besoin de vos commentaires porteurs de discorde et de haine...
Didier

@ La chipie, tu dis les choses cash mais ça fait du bien. Merci!
De toute façon, j'avais décidé de ne pas répondre à Clara

Histoire Libertine
Alors pour
Clara lache l’affaire , elles s’aiment laisse les tranquilles
Pour Steph et JP encore 1 fois vous n’êtes pas du tout en mesure de dire quoi que ce soit sachant vos précisions à propos de votre couple énoncé précédemment surtout quand on lit ma femme est puis elle est revenue.

Enfin a tout le monde petite précision : comme dit le proverbe inventé par moi avant de s’occuper ou de critiquer la merde qu’il y a sur le paillasson des autres occupez vous du votre de paillasson.

La chipie

NB : détendez vous du string je n’ai fais que donner mon avis.

Histoire Libertine
"Que ça te plaise, ou non, nous nous aimons!". Pauvre Agun!
En fait tu as simplement repris le contrôle de ta chose. Tu ne lui apporteras pas ce que sa relation avec Christine lui aurait assuré, à savoir un mariage et un enfant. Je confirme: tu n'es qu'une égoïste. Quant 0 Agun, elle est en quelque victime du complexe de Stockholm
Clara

@ Jacques, vous avez raison, on ne peut prétendre connaitre une personne seulement sur quelques jours. Je peux seulement dire que N avait, dès le départ, fait preuve d'un comportement qui aurait dû m'alerter. Quant à Luigi, le fait qu'il m'ait poussé pour rester auprès de ma famille plaide en sa faveur.
Je ne peux nier que cette affaire laisse des traces, mais Philippe fait tout pour ne rien montrer.

@ Paul, je mentirai si je disais que je l'ai oublié. Nous avons veillé à limiter les contacts par téléphone ou en visio, qui se sont toujours passés en présence de Philippe
@ Henri, merci. Cette série de bandes dessinées, éditées chez Delcourt, est en effet très bien faite.
@ Steph et JP, la famille devait être la priorité. Ma faute fut d'avoir failli l'oublier.
@ cher "premier lecteur anonyme" (dommage que vous refusez de signer, c'est quand même plus sympa un prénom ou même un pseudo) c'est votre interprétation
@ Bernard, qui me suit fidèlement et avec qui nous partageons la passion de l'histoire, en particulier romaine. Vos interrogations sont légitimes. Merci en tout cas pour votre compréhension et votre indulgence

« C’est sur ce point que la situation vécue e peut être comparée avec ce qui s’était passé avec N. Celui-ci n’aurait jamais eu le comportement de Luigi. Il aurait brisé notre couple, avant de me jeter quand il se serait lassé de moi. C’est d’ailleurs ce qu’il avait fait alors. »

Ça Olga vous ne le saurez jamais! Lors de votre première semaine avec N n’est il l’amant idéal? L’homme de votre vie! Tout s’est gâché lorsque vous avez quitté Philippe pour suivre N. Là vous avez vécu la réalité de face.
Luigi vous a fait une très bonne impression. Il a agit là où vous en aviez besoin et ce sur le recommandations de Philippe. Vous ne saurez jamais comment aurait été la suite avec vous parce qu’il n’y a pas eu de suite. Vous en avez de bons souvenirs, c’est parfait le reste n’est que spéculation.
Un Luigi rencontré pendant une semaine n’est en aucun cas une garantie pour l’avenir.
À vrai dire Olga je suis certain qu’éventuellement vous seriez revenue frapper à la porte de Philippe.
En tout cas, le principal pour moi est que vous soyez de retour avec Philippe au bercail.
Ce voyage laissera certainement de sévères cicatrices dans votre couple. Vous aurez certainement besoin d’un bon onguent analgésique.

Histoire Erotique
Beaucoup de choses à dire sur ce texte:
Tout d'abord, même si je n'ai pas à émettre un jugement sur qui que ce soit, je pense que tu as fait le bon choix. Ou, que Luigi t'a guidé vers le bon choix.C'est peut-être un choix de raison, mais dans ce cas l'amour de ton mari, de ta femme, de tes enfants prennent une place qu'il ne fallait pas négliger. En outre, étais-tu vraiment sûre de connaître Luigi? Son tempérament latin, voire "Romain" aurait-il été compatible avec ton hypersexualité?
Comment aurait-il réagi si tu avais rencontré un autre éphèbe?
Pardon pour t'avoir livré mon sentiment, il n'engage que moi: tu en fais ce que tu veux.
Comme Julie, j'apprécie la partie historique de ton récit, c'est une période de l'histoire qui me "branche" tout particulièrement, et mes connaissances se sont approfondies grâce à toi.
Pour terminer sur une note plus légère, et comme tu as parlé de la dynastie des Antonins, je ne peux résister à signaler le fait que j'habite à proximité d'une ville au passé Romain encore très présent dans ses monuments, dont le nouveau stade de foot s'appelle "stade des Antonins"...
Bernard

Histoire Erotique
Je suis le "premier lecteur anonyme" et je n'ai pas envie de signer mon commentaire!

Luigi le nit, mais il semble évident qu'il a saisi l'occasion pour se tirer d'un mauvais pas. Certes il a passé d'excellents moments avec Olga. Mais de là à en faire sa compagne, il a dû se rappeler la différence d'âge et qu'elle était incontrôlable. C'est bien volontiers qu'il s'en est débarrassé! Olga est une femme qu'on baise pas avec qui on vit, sauf qu'on s'appelle Philippe

Histoire Coquine
Comme Paul, nous pensons que Luigi, bien mieux que Philippe, était (est) en capacité de réguler l'hypersexualité d'Olga, alors que Philippe lui laisse tout faire ou presque.
Ceci étant, l'intérêt de la famille commandait le choix qui a été fait
Steph et JP

Histoire Erotique
Pour compléter le récit d'Olga et le commentaire de Julie, au sujet d'Héliogabale, je recommande la lecture, dans la série "les reines de sang", chez Delcourt, d'une série en 3 tomes: "les trois Julia", qui évoque les frasques d'Héliogabale.
Henri.
PS: Pour en revenir à Olga, que ceux et celles à qui son mode de vie déplait, qu'ils ne la lisent pas

Histoire Erotique
@ Olga, tu ne m'as pas répondu sur un point: as-tu encore des sentiments envers Luigi? Où en es tu avec lui?
Paul

@ Didier, je termine cette série de réponses par toi, car par ta lecture si attentive, tes analyses, ton indulgence, tu le mérites oh combien ! Tu as en quelques lignes parfaitement analysé et résumé la situation, souligné les rebondissements de cette « journée particulière », pour faire clin d’œil au film d’Ettore Scola avec Marcello Mastroïani et Sophia Loren. Ces hésitations, ces aller-retour viennent du fait que, jusqu’au bout, je ne voulais pas choisir entre Philippe et Luigi, que je voulais et mon mari et mon amant, rêve impossible !

Je reviens sur tes remarques et interrogations.

1. Comme toi, je m’interroge sur ce que se sont dits Luigi et Philippe hors de ma présence. Philippe ne m’a pas dit grand-chose, mais je ne renonce pas à savoir. Il faudra davantage de temps sans doute. Philippe a-t-il manipulé Luigi ? Je n’irai pas jusque là. Je dirai plus tôt qu’il a tout tenté pour sauver notre couple, allant jusqu’à faire de son rival un allié. Il a en quelque sorte joué à quitte ou double et il a gagné in extremis.

2. Tu as entièrement raison de dire que j’ai de la chance d’avoir eu affaire à Philippe et à Luigi. C’est sur ce point que la situation vécue e peut être comparée avec ce qui s’était passé avec N. Celui-ci n’aurait jamais eu le comportement de Luigi. Il aurait brisé notre couple, avant de me jeter quand il se serait lassé de moi. C’est d’ailleurs ce qu’il avait fait alors.

@ Jacques, vous me suivez depuis longtemps et me connaissez bien. Vous avez raison (je l’ai dit dès la préface de ce chapitre) de souligner mes faiblesses, ma fragilité comme vous dites. Je parle quant à moi de fautes, j’ajouterai impardonnables, sauf pour des personnes exceptionnelles comme Philippe.
Oui, je ne connaissais pas Luigi. Ce fut un coup de foudre, une attirance provoquée à la fois par son physique, sa culture, son tempérament. Heureusement pour moi, Luigi n’était pas N , il ne s’est pas comporté de la même manière.
Oui, encore, ma vie à Rome aurait été très compliquée.
Je précise enfin que nous avons veillé à ce que les enfants soient préservés et ignorent tout de cela. Je sais prendre sur moi pour qu’ils ne s’aperçoivent de rien.

@ Jolie fée, moi aussi je suis heureuse de vous retrouver sur ce site. Oui c'est en effet un récit autobiographique.
Dois-je comprendre que vous raconterez désormais votre belle histoire uniquement sur HDS? Impatiente de vous lire!

@ Cher lecteur anonyme anonyme (le second par ordre d'apparition), merci du fond du cœur pour ce commentaire qui me touche beaucoup. Oui ce ne fut pas facile de raconter cette semaine et de tout dire. Le moment venu, j'écrirai une suite sur ce qui s'est passé depuis mai 2023.
@ Clara, depuis que tu me suis, tu n'as eu de cesse d'inciter Agun à me quitter. Je me doutais que sa relation avec Christine te plairait, du moment que j'étais écartée de la vie d'Agun. Tu peux penser ce que tu veux, mais je n'accepte pas qu'on puisse dire qu'Agun et Philippe sont mes "esclaves". Que ça te plaise, ou non, nous nous aimons!

deuxième série de réponses
@ Cyrille, merci. Oh oui c'est très difficile!
@ Lectrice anonyme. Au vu de la soirée dans la "Domus" de Vittorio, racontée au chapitre précédent, il m'avait semblé que Luigi n'exigeait pas de ma part l'exclusivité. Par contre, oui, Luigi n'est pas Philippe et je n'aurai certainement pas eu avec lui les mêmes libertés, c'est évident. Oui, enfin, j'ai joué avec le feu et tiré sur la corde. j'en suis bien consciente.
@ Merci Jc pour votre compréhension et vos souhaits. Oui c'est à cet apaisement que j'aspire. Mon mal porte un nom: une hypersexualité trop souvent difficile voire impossible à contrôler.
@ Julie, merci pour ce commentaire autorisé, salué à juste titre par Didier. Merci surtout d'avoir conforté mon analyse, que j'ai osé défendre face à un spécialiste comme Luigi.
@ Paul, je te savais impatient de connaitre le dénouement. Si j'avais coupé le texte, comme tu sembles le souhaiter maintenant, je ne suis pas certaine que tu n’aurais pas protesté. Quant au choix, qui fut douloureux, il m'appartient.

Mes réponses à une première série de commentaires
@ La chipie, merci beaucoup. Tu le dis avec tes mots, mais tu as raison!
@ 1er lecteur anonyme (dans l'ordre de publication). J'ai pour règle de répondre à tous les commentaires, même quand ils sont désagréables, ce qui est le cas du tien. Oui d'autres l'auraient sans doute fait, mais tu oublies une chose: c'est que Philippe m'aime et que je l'aime!
@ Luc, tu as raison de dire que plaisir et souffrance sont souvent proches, comme la Roche tarpéienne est proche du capitole, pour reprendre une métaphore romaine.
@ chris33, c'est la discussion avec Luigi qui a emporté ma décision. Mais j'avoue que je ne pouvais accepter que cette liaison entre Christine et Agun. C'était pour moi une blessure.

Bonjour Olga,
Je suis très heureuse de vous retrouver sur ce site qui ne sera que le mien désormais...

Votre récit est superbe, excitant et l'histoire, votre histoire si j'ai bien compris, transparente de sincérité et d'amour...
Merci à vous pour ce partage
Sandrine (Jolie fée...)

Je trouve cette fin très triste. Un si beau voyage et en revenir si triste. Un voyage qui a du couter assez cher qui n’a pu vous ramener à votre famille avec joie et saine d’esprit.

Philippe vous a fait un beau cadeau en vous offrant culture et sexualité à partager durant toute la semaine. Vous en avez fait une semaine de crise et vous revenez tous les deux avec la peine a l’âme.

Vous étiez prête à renouveler l’expérience vécu avec «N »


Je vous trouve vraiment très fragile coté sentiments qui vous donnent une mauvaise lecture de la situation. . Vous dites que vous aimez Philippe a n’en plus finir et après une partie de jambes en l’air vous êtes prête à le quitter pour un inconnu qui vous a fait vibrer.
Que connaissez vous de ce Luigi a part qu’il s’exprime bien, qu’il a de belles connaissances historiques et qu’il baise à votre goût?

Comment auriez-vous vécu à Rome sans connaissance, sans but toute seule lorsque Luigi travaille ou il est a ses obligations quotidiennes? Vous vous auriez trouvé du travail? Bien voyons donc, vous savez ce qui arrive lorsque vous travaillez a l’extérieur de chez-vous!
J’imagine facilement que vous êtes une famille très a l’aise financièrement mais la famille partie, loin de tout, où auriez-vous trouvé l’argent nécessaire pour rencontrer vos besoins? Besoin qui j’en suis certain ne sont pas à négliger.

Vous avez décidé de tout laisser tomber ( époux, enfants , obligations familiales pour quelques bons coups de queue?

Je ne suis pas certain que Philippe aie un gros désir de renouveler l’expérience.

Je vous suggère a l’avenir un bon coup d’un soir et pipi dodo a la maison le soir après l’événement. Les vacances eux, se font en famille.

Les enfants eux, même s’il n’ont pas vécu ces déboires, vous, ils vous voient, ressentent vos peines et vos sentiments. Comment pensez-vous qu’ils interprètent ça?

Votre situation est peut être compliquée mais avant tout il faut se souvenir du passé avant de prendre des décisions qui peuvent être fatales pour l’avenir.

« Un fou qui sait qu’il est fou est moins fou qu’un fou qui ne sait pas qu’il est fou »

Histoire Erotique
Je salue le courage d’Olga d’exposer sa vie amoureuse sur ce site. Cette dernière publication montre la complexité de son personnage.
Luigi n’a-t-il pas mis volontairement de la distance entre elle et lui, étant conscient qu’elle avait une famille à préserver et que la différence d’âge et le tempérament d’Olga n’était pas forcément gage d’avenir du couple,. Olga nous racontera sans doute le futur ou non de cette courte relation.
J’apprécie sa culture au travers des autres textes qu’elle publie sur la Rome antique ou les femmes qui ont marqué l’histoire.

Histoire Libertine
Pour ma part, je ne ferai pas de commentaires sur ton adultère avec Luigi et pour quelles raisons tu as, in extremis, choisi Philippe.
Ce qui m'a interpellé, c'est ce qui s'est passé avec Agun. Te suivant depuis longtemps sur HDS, je sais que vous êtes devenues amantes il y a près de 20 ans et que cela fait dix ans que, Agun revenue d'un long séjour en Thaïlande, vous êtes en "couple". Je mets des guillemets à "couple" car qu'est-ce que votre relation apporte à Agun? Rien, pas même du plaisir ou en tout cas de moins en moins souvent. Agun te sert à garder les gosses quand tu as besoin d'elle, comme ce fut le cas avec ce voyage. Et à te soulager quand tu as envie d'une femme.
Je dis ça car tu n'as pas contesté les vérités que Christine t'a assénées. Agun a eu bien du mérite à ne pas te quitter avant. Christine, de ton propre aveu très expérimentée avec les femmes, a donné beaucoup de plaisir à Agun.
Christine a aussi montré qu'elle aime Agun, au point de divorcer avec son mari Jean, d'épouser Agun et de vouloir avec elle une PMA. Et toi, qu'as-tu apporté à Agun et que peux-tu lui apporter?
Cesse de considérer Agun (mais Philippe aussi!) comme ta chose, ta propriété. Tu es un monstre d'égoïsme!
Et ce qui m'écœure est, qu'apparemment, tu as réussi à récupérer ton esclave, ou plutôt tes esclaves.
Honte à toi!
Clara

Histoire Erotique
Je me réjouis de cette publication que j'attendais avec impatience.
Deux bémols:
- le texte est long et aurait pu être coupé, par exemple après l'entretien avec Agun et avant ton retour à l'hôtel
- Je ne suis pas convaincu que tu aies fait le bon choix et si ce n'est pas reculer pour mieux sauter. Quels sont aujourd'hui tes sentiments pour Luigi?
Paul

Histoire Erotique
@Julie,
Merci pour cet excellent commentaire que vous avez déposé, qui comme à l'accoutumée donne une valeur ajoutée à ce texte en confirmant les écrits d'Olga.
Il est vrai que j'avais remarqué cet instructif échange, en tant que passionné de l'histoire de la Rome antique, même si je l'avoue je suis loin d'être aussi érudit que vous deux.
Didier

Histoire Libertine
Au-delà du texte et de l'admiration que j'ai pour Olga, dont je suis une inconditionnelle, j'apprécie particulièrement, comme l'a relevé Didier, les passages historiques et culturels qui émaillent le texte, et en particulier ce circuit des obélisques et cette discussion vive entre toi et Luigi au sujet des empereurs Hadrien et Héliogabale.
Pour ma part, je partage ton point de vue. en ce qui concerne Héliogabale, frappé de Damnation Memoriae, l'Histoire Auguste a chargé la barque. Débauché, sans doute. Homosexuel, oui. Mais de là à le mettre sur le même plan que des tyrans comme Tibère, Caligula ou Domitien, il y a une marge. Dans cette énumération, je ne cite pas Néron, pour qui les historiens romains hostiles en ont également rajouté, occultant la partie "heureuse" de son règne, de 54 à 59, ne retenant que ses dernières années. Héliogabale fut surtout un faible qui, comme tu l'as dit, maissa le pouvoir effectif à sa mère (qui fut massacrée avec lui) et à sa grand-mère, Julia Moesa.
Julie

Histoire Erotique
Ma chère Olga, je vous suis depuis un certain temps sur les différents sites où vous écrivez. Vous êtes un vrai personnage de roman, extrêmement cultivée mais victime d’un « mal » ( est ce un mal en fait ?) qui vous domine et vous ballotte , ainsi que votre entourage d’ailleurs et vous fait vivre des situations toutes plus extravagantes les une que les autres. Je vous souhaite de trouver le bonheur et un peu de paix mais tout de même de continuer à nous raconter vos aventures. Respectueusement et amicalement. Jc.

Histoire Libertine
Tu ne t’es pas posé la question aussi à savoir si Louigi aurait accepté ton hypersexualite.

Encore 1 fois tu as joué avec le feu au risque de te brûler les ailes.
Fais gaffe qu’à force de tirer sur la corde elle ne se mette pas à rompre.

Histoire Erotique
Merci Olga pour toute cette aventure qui prouve encore et encore, comme il est difficile d'être poly...
Bravo à toi...

Cyrille

Histoire Erotique
Je me pose la question ou si Agun ne t avait pas trompé avec ta meilleure amie, tu aurais pris la decision de revenir avec Philippe malgré les encouragements de Luigi?

Histoire Erotique
Pour ma part, je salue ton courage de t'exposer ainsi, de ne rien cacher, comme tu l'as dit, des tes atermoiements, de tes faiblesses, de tes fautes. Tu illustres aussi que plaisir et douleur sont souvent liés, car, après plusieurs jours de folies avec Luigi, il t'a fallu choisir et tu as fait le choix de la raison, et sans doute du cœur.
Luc

Histoire Erotique
Philippe est bien gentil. A sa place, je t'aurais jeté, car tu t'es comportée comme la dernière des garces!

Histoire Erotique
Olga,
Cet ultime chapitre de ton escapade romaine est vraiment fascinant, en nous tenant ainsi en haleine de bout en bout sur ta décision dans ce choix à faire entre ton mari Philippe et ton amant du moment Luigi.
Très empreint de sexe, je le trouve également magnifique de par sa totale et parfaite transparence pour nous montrer la complexité de la situation et tes hésitations pour prendre cette difficile décision, lors de cette ultime journée qui se révèle être pleine de découvertes, de surprises et de rebondissements.
En effet, alors que d’entrée, lors d’une étreinte torride dans un taxi, tu clames ton amour et ton désir de vivre avec Luigi, ce choix est remis en question, lors d’un échange historique sur la sexualité des empereurs Héliogabale et Hadrien, par son aveu d’être un vrai macho, tout en prétendant ne pas être homophobe, mais toutefois peu enclin à la bisexualité masculine. Philippe en profite aussitôt pour se faire amoureux, de t’avouer de ne pas regretter d’avoir assumer sa bisexualité et de vouloir continuer ce mode de vie avec toi.
Cependant lors de la pause repas, tu succombes de nouveau aux affres du plaisir dans les bras d’un Luigi se faisant triomphant face à un Philippe surpris par ton attitude, de ce revirement, mais obtenant enfin de pouvoir avoir une explication en tête à tête avec Luigi.
Frustrée d’être exclue de cette discussion, mais sûre de ce nouveau choix pour Luigi, tu as la mauvaise surprise, en voulant informer ta bien aimée Agun de ta décision de ne pas rentrer, d’entendre son refus de te soutenir puis de découvrir sa "trahison" avec ton amie Christine.
Après ce coup de grâce, qui conforte dès lors ton choix, tu rentres très affectée à l’hôtel où t’y rejoint un Philippe surpris de t’y trouver, et qui après t’avoir réconfortée, puis fait l’amour, te demande désormais, même si cela lui en coûte, d’aller retrouver ton amant et de bien réfléchir sur ce choix qu’il saura respecter.
Partagée entre le fait de faire une folie et d’avoir pris la bonne décision, tu rejoins enfin un Luigi fou d’amour pour toi.
Après de torrides retrouvailles, s’en suit alors une étrange discussion où Luigi, prêt lui aussi à sacrifier son propre bonheur, fait preuve de réalisme au sujet du devenir de tes enfants et sur un potentiel avenir pour vous deux.
Ses propos te faisant alors "ouvrir les yeux" tu décides finalement de faire le choix de la raison et du cœur et, après une ultime et intense nuit de sexe avec ton amant, de rejoindre in extremis ton bien aimée Philippe à l’aéroport.
Maintenant et probablement comme beaucoup, je m’interroge sur la nature de cet échange entre Philippe et Luigi. Sa teneur a dû être persuasive ou du moins efficace pour que Luigi, qui était si triomphant et sûr d’être l’élu après le repas, te fasse au final ce discours que je qualifierai de "réaliste".
En effet, je me demande si Philippe, certain de t’avoir perdu après cette soirée de débauche et cette folle matinée, et surtout conscient aussi que, tellement aveuglée par ton amour, ton désir pour Luigi, tu ne l’écouterais pas, mais Luigi oui, n’aurait-il pas "manipulé" ton amant ou du moins orienté son discours, en lui donnant intentionnellement tous ces détails sur les enfants entre autre, afin qu'il puisse te faire prendre la décision de suivre le chemin de la raison ?
Si c'est le cas, c'était là un pari vraiment risqué de sa part.
Pour finir enfin, je tiens à souligner, qu’avec Philippe et Luigi, tu as la chance d'être aimée par des hommes, si rares, qui ont pour unique pensée de faire passer ton bonheur avant le leur...
Didier

Histoire Libertine
Quand je dis qu'Olga arrivera toujours à surprendre son monde.

Tout est bien qui finit bien. Mais ça a été trash à gerer.

La chipie



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (11).
Histoire sexe : Une rose rouge
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