Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (4).
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (4).
Avertissement
Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin et 16 juillet 2023.
***
Il y a quelques semaines, Philippe et moi avons fait un séjour d’une semaine à Rome, sans les enfants. L’objectif était de nous replonger dans le cadre de mes textes érotiques et historiques qui se situent sous l’empire romain :
• Ceux déjà écrits et publiés, comme « Matrone et Domina », qui raconte l’histoire d’un personnage fictif, Tullia, une matrone hypersexuelle, au 1er siècle de notre ère (43 chapitres publiés sur HDS entre le 6 août 2021 et le 23 juillet 2023)
• Ceux en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine », la sulfureuse épouse de l’empereur-philosophe Marc Aurèle, mémoires apocryphes sur le modèle des œuvres de Robert Graves pour l’empereur Claude, de Pierre Grimal pour Agrippine, la mère de Néron ou, le texte le plus célèbre, de Marguerite Yourcenar pour l’empereur Hadrien.
Donc, au départ, l’idée de Philippe était de revisiter les lieux qui sont le décor de mes textes. Mais Philippe entendait bien en profiter pour renouer avec nos pratiques candaulistes.
Il choisit donc soigneusement notre guide Luigi, docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome antique, mais aussi jeune homme viril et beau comme un Dieu. Les débuts de notre séjour furent marqués par mes états d’âme et ceux de Luigi, pour contenir notre attirance réciproque et se limiter à ce qui était initialement prévu, à savoir une relation à caractère purement sexuel, sans conséquences sentimentales.
Voulant en rester strictement à ce cadre, Luigi se métamorphose en vrai macho et me traite comme j’aime l’être dans ces cas-là, à savoir comme une femelle à la disposition du mâle. Luigi fait comprendre que cela se passera quand et comment il l’aura décidé. Il tient en particulier à remplir intégralement en journée le programme de visites qui a été convenu. L’impatience qui monte chez moi est à la limite du supportable. Ce jour-là, Luigi profite du déjeuner pour me doigter dans la salle d’un restaurant, puis me faire pratiquer une fellation dans les toilettes.
***
Il est inutile de dire que je suis ressortie de ce déjeuner encore plus excitée que je ne l’étais avant d’entrer dans ce restaurant. Certes, Luigi m’a doigté et a montré qu’il était aussi doué en histoire romaine que pour jouer de mon corps et susciter mon plaisir. Jamais je n’ai autant joui avec les doigts d’un amant. Le lieu et les circonstances y ont fortement contribué, puisque nous étions dans un restaurant et qu’il y avait les serveurs et d’autres clients qui nous observaient. Certes, la nappe masquait ce que me faisait Luigi et je tentais, jusqu’à la limite de mes forces, de ne rien laisser paraitre. Mais il vient un moment, quand le plaisir monte comme un cheval au galop, où cela devient insupportable, impossible, au-dessus de mes forces. Cela commença par des signes avant-coureurs, la sueur qui coule de mon front, mes yeux mi-clos, puis révulsés, ma tête en arrière, mes traits qui expriment un mélange de souffrance et de plaisir. Je tenais la main de Philippe, la serrant de plus en plus, ne me rendant même pas compte que je lui faisais mal. En vraie exhibitionniste, j’étais partagée entre la honte et l’excitation de me comporter ainsi. Quand ma résistance a cédé, comme un barrage qui s’écroule, je n’ai pas pu et pas voulu retenir mes cris. Et je reçus comme un compliment les commentaires, celui-ci en particulier:
• Questa francese è una vera troia! (“Cette Française est une vraie salope!”).
L’absence totale de discrétion de Luigi visait à montrer qu’il était le mâle dominant, ce qui passait par notre humiliation. Ce qui se confirma quand nous remontâmes des toilettes après une fellation d’anthologie, la main de Luigi ostensiblement posée sur mes fesses.
Quand nous sommes sortis du restaurant, une bonne bourgeoise nous injuria, Philippe et moi :
• Puttana! Cornuto!
Je lui ai adressé un long sourire, avant d’embrasser Philippe, puis Luigi :
• Dovresti provare. Vedrai, è così buono! (“Tu devrais essayer. Tu verras, c'est si bon!”)
Je pense que j’ai évité de peu une gifle, alors qu’elle me fusillait du regard.
Nous reprîmes donc notre programme de l’après-midi, comme si de rien n’était. Il s’agissait de visiter les murs de Rome. Luigi, à ce moment-là, se concentrait sur sa fonction de guide, repoussant mes tentatives de me serrer contre lui ou de lui quémander un baiser.
Notre itinéraire débuta Piazza dei Cinquecento, devant la gare centrale de Termini, où, à gauche de la façade, on peut admirer le secteur le mieux conservé des remparts du roi Servius Tullius, construits au VIème siècle avant notre ère.
Philippe, qui me connait bien, est conscient de mon état. Pourtant, lui aussi en rajouta :
• Tu ne m’as pas raconté chérie. Te connaissant, quand tu as sucé Luigi, tu as dû avaler jusqu’à la dernière goutte. Tu as aimé son sperme?
• J’ai adoré ! Tu sais que j’aime le sperme et que j’aime avaler. Et bien celui de Luigi est abondant et il a bon goût. En tout cas, meilleur que le tien !
Ma réponse avait été désagréable, mais Philippe l’avait cherché. Et sur le fond, en spermophile confirmée, j’avais en effet beaucoup aimé la semence du jeune homme.
Luigi nous jeta un regard agacé et poursuivit le parcours vers la monumentale Porte Tiburtina, où nous commençâmes à suivre le circuit du Mur d’Aurélien, construit à partir de 271 et qui entourait Rome sur 19 kilomètres.
Luigi déroulait ses explications :
• Arc monumental en travertin, parfaitement conservé avec ses piliers toscans et ses clés de voûte ornées sur la voie qui mène à Tivoli, cette Porte fut insérée ensuite dans les remparts d’Aurélien. Mais enfin, Olga, arrête ! Ca suffit, tu es insupportable !
Pendant qu’il parlait, j’avais en effet posé ma main sur son pantalon, commençant à le caresser à travers le jeans. Et il avait une sacrée érection.
Notre chemin nous amena ensuite vers un édifice décagonal appelé Temple de Minerve Medica. ,
La prochaine étape pour observer les Murs de Rome fut la Porte Majeure. Je poursuivis mon numéro de chatte en chaleur, ouvrant un bouton supplémentaire de mon chemisier, sous lequel se voyait de façon indécente l’érection de mes tétons. Je passais sensuellement la langue sur mes lèvres. Imperturbable, se tenant à distance respectable de moi, Luigi poursuivait :
• Il s’agit de la plus belle porte de Rome. Devant la Porte Majeure se trouve le tombeau du boulanger Eurysacès et de sa femme Atistia avec ses décorations et son inscription originale.
Même s’il semblait particulièrement agacé par mon comportement, Luigi faisait exprès de prolonger mon attente. Il prit prétexte de ce tombeau pour parler de l’organisation de la société romaine et de son évolution.
Nous en arrivâmes enfin à la dernière partie de la visite, près de basilique Sainte-Croix-de-Jérusalem, consacrée en 325 et de l’Amphithéâtre Castrense incorporé dans le Mur d’Aurélien.
Philippe comprenait que mon attente était devenue une véritable souffrance :
• Tu mouilles, chérie ?
Je soulevais ma jupe. Nous étions dans la rue, en plein jour. Lorsque nous étions au restaurant, Luigi m’avait fait enlever mon string, qu’il avait conservé comme un trophée.
• Mouillée ? Trempée, tu veux dire ! Regardez ma chatte, elle est béante ! Je n’en peux plus !
Luigi et Philippe me regardèrent, stupéfaits. Ils ne s’attendaient pas que je m’exhibe ainsi. Et, en effet, ma toison était trempée.
• Luigi, per favore! Non posso più aspettare. Mi manca! Voglio! (“Luigi, je t'en supplie! Je ne peux plus attendre. Je suis en manque! J'ai envie!”)
Luigi adressa un regard complice à Philippe. L’un et l’autre étaient satisfaits de m’avoir poussé dans mes derniers retranchements.
• Veramente? Dicci cosa vuoi! (“Vraiment? Dis-nous ce dont tu as envie! »)
Je ne me suis plus contrôlée. J’ai élevé le ton, ne me souciant pas que certains passants s‘étaient arrêtés, pour suivre la conversation.
• Bastardo! Sadico! Lo sai benissimo! Andiamo in albergo. Voglio che mi scopi come una troia, davanti al mio cornuto. Voglio essere proiettato, preso da tutti i miei buchi, riempito, impregnato! Fai quello che vuoi con me! (“Salaud! Sadique! Tu le sais très bien! Allons à l'hôtel. Je veux que tu me baises comme une salope, devant mon cocu. Je veux être saillie, prise par tous mes trous, remplie, fécondée! Fais de moi tout ce que tu veux!”).
Je me suis approchée de Luigi et je me suis mise à genoux devant lui. Jamais je ne m’étais comportée ainsi :
• Mi offro a te. Scopami tutta la notte! Separami! Fammi venire. Fammi urlare, urlare di piacere! Mi senti? Sì, Luigi, fottimi, fottimi, fottimi! (“Je m'offre à toi. Baise-moi toute la nuit! Démonte-moi! Fais moi jouir. Fais-moi crier, hurler de plaisir! Tu m'entends? Oui, Luigi, baise-moi, baise-moi, baise-moi!”)
Un des spectateurs s’approcha :
• Cosa stai aspettando, ragazzo? Non vedi che questa ninfomane ha voglia? Se non lo vuoi, dillo. Ci penseremo io e i miei amici! (“Qu'attends-tu, petit? Tu ne vois pas que cette nymphomane est en manque? Si tu n'en veux pas, dis-le. Mes amis et moi nous nous en occuperons!”)
Luigi fit signe à l’importun de s’éloigner, puis me tendit la main pour me relever.
• Ne te mets pas dans des états pareils ! Depuis le début, j’ai envie de toi. Si Philippe en est toujours d’accord. C’est à lui de décider.
Luigi veut ramener les choses à l’accord initial passé avec Philippe et être en conformité avec nos règles candaulistes. Oui, le dernier mot, la décision finale revient à Philippe.
• Evidemment que c’est ce que je veux, depuis le début, et je t’ai choisi pour cela, Luigi. Nous rentrons à l’hôtel et tu vas baiser ma femme devant moi.
Toute la tension accumulée depuis le matin ressortait. Je pleurais, soulagée, heureuse de ce dénouement qui allait mettre fin à ma longue attente. C’est Philippe que j’embrassais le premier, longuement, amoureusement :
• Oh merci mon amour de permettre cela ! Je t’aime tant !
• Tu sais bien que je ne me lasse jamais d’être le témoin de ton plaisir et que j’aime être son ordonnateur.
Puis je me suis réfugiée dans les bras de Luigi, me serrant contre lui. Je sentais contre moi, son érection, promesse de moments torrides.
***
Nous nous dirigeons vers l’hôtel. Je tiens par la main mes deux hommes, mon mari et celui qui va enfin devenir mon amant.
Arrivés à l’hôtel, Philippe commande une bouteille de champagne, avec trois coupes. Le maitre d’hôtel obtempère, ajoutant en Italien, à l’attention de Luigi :
• Ben fatto, giovanotto! Con i colleghi, ci siamo chiesti quando avresti scopato questa troia! Mi sorprende ancora che accada davanti al cornuto. (“Bravo, jeune homme! Avec les collègues, nous nous sommes demandés quand tu allais baiser cette salope! Ca me surprend quand même que ça se passe devant le cocu”)
• Ho molto rispetto per il marito. Succede su sua richiesta. Sai, anche se è difficile da capire, quest'uomo ama sua moglie. Vuole che sia felice, che abbia più piacere possibile. (“J'ai beaucoup de respect pour ce mari. Cela se produit à sa demande. Vous savez, même si c'est difficile à comprendre, cet homme aime sa femme. Il veut qu’elle soit heureuse qu’elle ait le plus de plaisir possible. »
• Per fortuna le camere sono ben insonorizzate! Buona scopata, amico e buona notte! (“Heureusement, les chambres sont bien insonorisées! Bonne baise, l'ami et bonne nuit!”)
• Non credo che dormiremo molto. Tuttavia, domani abbiamo un programma fitto di appuntamenti. Chiama domani mattina alle 6:00 per svegliarci. (“Je ne pense pas que nous dormirons beaucoup. Cependant, nous avons un programme chargé demain. Merci de téléphoner demain matin à 6h00 pour nous réveiller. »)
Nous prenons l’ascenseur. Je suis dans les bras de Luigi. Le temps d’arriver au sixième étage fut suffisant pour faire tomber ma jupe et mon chemisier, récupérés par Philippe. C’est toute nue que je suis sortie de l’ascenseur, sans témoins heureusement (encore que !)
Nous prîmes encore un peu de temps pour rejoindre la chambre, nous arrêtant fréquemment pour nous embrasser et nous caresser. Philippe ouvrit la porte de la chambre, nous faisant signe d’entrer :
• Voilà l’ami ! Olga est à toi cette nuit !
• Elle ne sera pas déçue et toi non plus. Merci pour ta confiance !
Je suis à ce point impatiente que je voudrais baiser immédiatement. Luigi veut garder le contrôle, sans oublier qu’il est très attaché à l’hygiène. La douche à l’italienne de notre suite est assez grande pour trois. J’entreprends de déshabiller Luigi, le débarrassant de son jeans et de son caleçon, prenant en mains sa magnifique verge. Je ne la découvre pas, l’ayant sucé dans ce restaurant. Mais je la trouve toujours aussi belle. Je prends mes deux hommes par la main, pour les entrainer sous la grande douche. Philippe reste volontairement à l’écart, alors que Luigi me rend folle en doigtant ma chatte et mon cul, alors que sa bouche s’occupe de mes tétons, qui sont douloureux tant ils sont en érection. J’aurais voulu branler la bite de Luigi et la sucer, mais il s’y oppose, me faisant comprendre qu’il se réserve pour me saillir.
Je me tourne vers Philippe, que j’ai commencé à masturber.
• Hum, tu bandes bien mon vicieux ! Ca t’excite hein ? Ca fait des mois qu’on n’a pas fait ça. Ca t’a manqué ?
• Beaucoup ! Si je pouvais, je te ferais baiser tous les jours, ma putain !
• Contrôle ton excitation, mon chéri. Quand ce sera le moment, tu t’approcheras de moi et tu me gicleras dessus ! Tu sais que j’adore ça ! J’ai une autre demande, mon amour.
Par discrétion, je continue à voix basse, parlant à l’oreille de mon mari, tout en résistant à la montée du plaisir provoqué par le doigtage que pratique sans ménagement Luigi, dans ma chatte comme dans mon cul.
• Je crois que j’ai deviné, basilissa moy. Tu veux que cet étalon te prenne sans capote, n’est-ce pas ?
• Oui et qu’il se vide en moi. Tu veux bien ? Dis oui, mon amour !
• Je sais combien tu aimes ça et j’y ai donc pensé. D’une part, tu n’es pas en période « dangereuse ». Et d’autre part, Luigi, qui est une personne sérieuse, a accepté de me donner les résultats de tests récents. Il est tout à fait clean. Donc tu as carte blanche !
J’étais comme un enfant qui a reçu un merveilleux cadeau. Je bas des mains :
• Oh merci ! Je suis si heureuse !
Nous nous sommes séché mutuellement puis nous sommes dirigés vers la chambre, vers le grand lit. Le serveur était en train de déposer la bouteille de champagne et les trois coupes. Il nous vit arriver, nus.
• Scusa, ho suonato. Ma non rispondeva. (“Pardon, j'ai sonné. Mais personne n’a répondu”)
Philippe lui tendit un billet, avec un grand sourire :
• Ne faites pas cette tête ! C’est une magnifique soirée : ce Monsieur va baiser ma femme et j’adore ça ! Elle est belle, n’est-ce pas ? J’aime beaucoup l’exhiber et qu’on l’admire.
• È molto bella, signore!, répondit le serveur en se retirant.
• Dommage qu’il était de service, ce garçon. Je lui aurais bien proposé de rester. Je sais que deux hommes ou davantage, ça ne te fait pas peur, ma chérie!
• Oui, mais cette soirée est celle de Luigi. Il l’a bien mérité!
Je me suis installée sur le grand lit, à quatre pattes, face à un grand miroir. Le message est sans ambigüité. Mais je tiens à l’expliciter :
• Venire! Mettilo su di me! Scopami alla pecorina (“Viens! Mets-la moi! Baise moi en levrette”)
Philippe s’est assis sur un grand fauteuil, proche du grand lit. Il bande mais ne se touche pas, pour éviter de jouir trop vite. Il ne veut pas perdre une miette du spectacle qui va se dérouler. Depuis plus de 15 ans, la première fois s’étant déroulée avec Rachid, il a si souvent été témoin de mon plaisir. Et pourtant il aime toujours autant ça, prenant autant de plaisir à me mater que moi à me faire baiser.
Luigi n’attend pas davantage, ne s’embarrasse ni de préliminaires, ni de précautions. Il voit bien que ma chatte est béante, luisante de mouille. Sans ménagement, il me pénètre jusqu’à la garde, commençant immédiatement un violent coït.
Je tremble, me balançant légèrement d’avant en arrière alors que Luigi me pistonne, avec de longs et forts coups. Ses couilles lourdes et bien remplies tapent sur mes fesses. Sachant que Philippe me regarde alors que ma chatte est remplie par la bite enflammée de mon amant, je frissonne. J’échange avec mon mari un long regard, qui confirme notre complicité.
A partir de ce moment, je ne pense plus qu’à cette étreinte que j’ai tant désirée. Dans ces moments, je suis très vocale, j’ai besoin d’exprimer ce que je ressens. Je le fais, non en Français, mais en Italien, à l’intention de l’étalon qui me fait monter au ciel. Philippe ne s’en formalise pas, fasciné par ce à quoi il assiste.
• Ah Luigi! SÌ! Continua! Soprattutto, non fermarti! Portami giù! Sì come questo. Più forte! Più veloce! Va bene! (“Oh, Luigi! Oui! Continue! N'arrête surtout pas! Mets-la bien au fond! Oui comme ça. Plus fort! Plus vite! Que c'est bon!”)
• Prendi quello, cagna! Quanto sei bravo! Ti piace? (“Prends ça, salope! Que tu es bonne! Tu aimes, ça?”)
La grosse bite frotte contre mon clito. Je sens mes lèvres s’étendre et s’agripper autour de la tige fortement veinée de la queue de Luigi.
• Certo che mi piace! Adoro! Oh che buono! È divino! “(Bien sûr que j'aime ça! J'adore! Oh que c'est bon! C'est divin!”)
Philippe a prévenu Luigi que je suis multi-orgasmique. Un premier orgasme me fauche. Pour autant, Luigi ne rend pas les armes. Au contraire, il monte en gamme, enfonce sa bite en moi avec une force accrue, et ses boules claquent sur mes fesses. Ce mâle est exceptionnellement endurant.
• Colpiscimi! Separami! Oh si! Ancora! Non sono mai stato scopato così bene! (“Pilonne-moi! Démonte-moi! Oh oui! Encore! Je n'ai jamais été aussi bien baisée!”)
Je remue mon cul, mon corps tremble pendant que la bite de Luigi va et vient en moi, chaque fois qu’il fourre toute la longueur de sa bite dans ma chatte. Pendant un long moment, Luigi me baise, sans pause ni ménagement. Nos corps en sueur entrent en collision bruyamment. Luigi lance ses hanches vers l’avant jusqu’à ce qu’il claque bruyamment contre mes fesses rondes et relevées. Je gémis bruyamment chaque fois que la bite de Luigi sort de ma chatte.
Luigi reprend sans arrêt les allers-retours dans mon vagin très humide. Ma chatte est complètement remplie de sa bite, elle serre plus fort que jamais la bite envahissante, comme un gant de velours, le rendant fou d’extase.
Hurlant bruyamment, Luigi jette la tête en arrière alors qu’il enfonce encore plus profondément sa bite. Nous sommes, l’un et l’autre, au bout de notre résistance. Pour ma part, je sais que je vais connaitre un orgasme dévastateur, qui va me laisser brisée.
• Non ce la faccio più! Verrò! (“Je ne peux plus tenir! Je vais jouir!”)
• Andiamo, tesoro mio! Sono tuo. Sono la tua puttana. Sono la tua femmina. Mi fai impazzire. Mi uccidi. Sì, vieni, riempimi! (“Viens, mon chéri! Je suis à toi. Je suis ta putain. je suis ta femelle. Tu me rends folle. Tu me tues. Oui, viens!Remplis-moi!”)
Luigi projette d’épais jets de sperme au fond de ma matrice, incapable de se contrôler plus longtemps. Mon propre orgasme, d’une violence inouïe, se déclenche et remonte tout le long de la colonne vertébrale.
Sentant venir ce bouquet final, j’avais fait signe à Philippe d’approcher, pour qu’il se finisse sur moi. Et lui aussi m’envoie de puissantes éjaculations sur mes seins, mon visage, mes cheveux.
Nous nous étendons tous les trois sur le grand lit, épuisés. Je suis entre mon mari et mon amant. Nous restons calmes un moment mais savons que la nuit est loin d’être finie.
(A suivre)
Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin et 16 juillet 2023.
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Il y a quelques semaines, Philippe et moi avons fait un séjour d’une semaine à Rome, sans les enfants. L’objectif était de nous replonger dans le cadre de mes textes érotiques et historiques qui se situent sous l’empire romain :
• Ceux déjà écrits et publiés, comme « Matrone et Domina », qui raconte l’histoire d’un personnage fictif, Tullia, une matrone hypersexuelle, au 1er siècle de notre ère (43 chapitres publiés sur HDS entre le 6 août 2021 et le 23 juillet 2023)
• Ceux en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine », la sulfureuse épouse de l’empereur-philosophe Marc Aurèle, mémoires apocryphes sur le modèle des œuvres de Robert Graves pour l’empereur Claude, de Pierre Grimal pour Agrippine, la mère de Néron ou, le texte le plus célèbre, de Marguerite Yourcenar pour l’empereur Hadrien.
Donc, au départ, l’idée de Philippe était de revisiter les lieux qui sont le décor de mes textes. Mais Philippe entendait bien en profiter pour renouer avec nos pratiques candaulistes.
Il choisit donc soigneusement notre guide Luigi, docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome antique, mais aussi jeune homme viril et beau comme un Dieu. Les débuts de notre séjour furent marqués par mes états d’âme et ceux de Luigi, pour contenir notre attirance réciproque et se limiter à ce qui était initialement prévu, à savoir une relation à caractère purement sexuel, sans conséquences sentimentales.
Voulant en rester strictement à ce cadre, Luigi se métamorphose en vrai macho et me traite comme j’aime l’être dans ces cas-là, à savoir comme une femelle à la disposition du mâle. Luigi fait comprendre que cela se passera quand et comment il l’aura décidé. Il tient en particulier à remplir intégralement en journée le programme de visites qui a été convenu. L’impatience qui monte chez moi est à la limite du supportable. Ce jour-là, Luigi profite du déjeuner pour me doigter dans la salle d’un restaurant, puis me faire pratiquer une fellation dans les toilettes.
***
Il est inutile de dire que je suis ressortie de ce déjeuner encore plus excitée que je ne l’étais avant d’entrer dans ce restaurant. Certes, Luigi m’a doigté et a montré qu’il était aussi doué en histoire romaine que pour jouer de mon corps et susciter mon plaisir. Jamais je n’ai autant joui avec les doigts d’un amant. Le lieu et les circonstances y ont fortement contribué, puisque nous étions dans un restaurant et qu’il y avait les serveurs et d’autres clients qui nous observaient. Certes, la nappe masquait ce que me faisait Luigi et je tentais, jusqu’à la limite de mes forces, de ne rien laisser paraitre. Mais il vient un moment, quand le plaisir monte comme un cheval au galop, où cela devient insupportable, impossible, au-dessus de mes forces. Cela commença par des signes avant-coureurs, la sueur qui coule de mon front, mes yeux mi-clos, puis révulsés, ma tête en arrière, mes traits qui expriment un mélange de souffrance et de plaisir. Je tenais la main de Philippe, la serrant de plus en plus, ne me rendant même pas compte que je lui faisais mal. En vraie exhibitionniste, j’étais partagée entre la honte et l’excitation de me comporter ainsi. Quand ma résistance a cédé, comme un barrage qui s’écroule, je n’ai pas pu et pas voulu retenir mes cris. Et je reçus comme un compliment les commentaires, celui-ci en particulier:
• Questa francese è una vera troia! (“Cette Française est une vraie salope!”).
L’absence totale de discrétion de Luigi visait à montrer qu’il était le mâle dominant, ce qui passait par notre humiliation. Ce qui se confirma quand nous remontâmes des toilettes après une fellation d’anthologie, la main de Luigi ostensiblement posée sur mes fesses.
Quand nous sommes sortis du restaurant, une bonne bourgeoise nous injuria, Philippe et moi :
• Puttana! Cornuto!
Je lui ai adressé un long sourire, avant d’embrasser Philippe, puis Luigi :
• Dovresti provare. Vedrai, è così buono! (“Tu devrais essayer. Tu verras, c'est si bon!”)
Je pense que j’ai évité de peu une gifle, alors qu’elle me fusillait du regard.
Nous reprîmes donc notre programme de l’après-midi, comme si de rien n’était. Il s’agissait de visiter les murs de Rome. Luigi, à ce moment-là, se concentrait sur sa fonction de guide, repoussant mes tentatives de me serrer contre lui ou de lui quémander un baiser.
Notre itinéraire débuta Piazza dei Cinquecento, devant la gare centrale de Termini, où, à gauche de la façade, on peut admirer le secteur le mieux conservé des remparts du roi Servius Tullius, construits au VIème siècle avant notre ère.
Philippe, qui me connait bien, est conscient de mon état. Pourtant, lui aussi en rajouta :
• Tu ne m’as pas raconté chérie. Te connaissant, quand tu as sucé Luigi, tu as dû avaler jusqu’à la dernière goutte. Tu as aimé son sperme?
• J’ai adoré ! Tu sais que j’aime le sperme et que j’aime avaler. Et bien celui de Luigi est abondant et il a bon goût. En tout cas, meilleur que le tien !
Ma réponse avait été désagréable, mais Philippe l’avait cherché. Et sur le fond, en spermophile confirmée, j’avais en effet beaucoup aimé la semence du jeune homme.
Luigi nous jeta un regard agacé et poursuivit le parcours vers la monumentale Porte Tiburtina, où nous commençâmes à suivre le circuit du Mur d’Aurélien, construit à partir de 271 et qui entourait Rome sur 19 kilomètres.
Luigi déroulait ses explications :
• Arc monumental en travertin, parfaitement conservé avec ses piliers toscans et ses clés de voûte ornées sur la voie qui mène à Tivoli, cette Porte fut insérée ensuite dans les remparts d’Aurélien. Mais enfin, Olga, arrête ! Ca suffit, tu es insupportable !
Pendant qu’il parlait, j’avais en effet posé ma main sur son pantalon, commençant à le caresser à travers le jeans. Et il avait une sacrée érection.
Notre chemin nous amena ensuite vers un édifice décagonal appelé Temple de Minerve Medica. ,
La prochaine étape pour observer les Murs de Rome fut la Porte Majeure. Je poursuivis mon numéro de chatte en chaleur, ouvrant un bouton supplémentaire de mon chemisier, sous lequel se voyait de façon indécente l’érection de mes tétons. Je passais sensuellement la langue sur mes lèvres. Imperturbable, se tenant à distance respectable de moi, Luigi poursuivait :
• Il s’agit de la plus belle porte de Rome. Devant la Porte Majeure se trouve le tombeau du boulanger Eurysacès et de sa femme Atistia avec ses décorations et son inscription originale.
Même s’il semblait particulièrement agacé par mon comportement, Luigi faisait exprès de prolonger mon attente. Il prit prétexte de ce tombeau pour parler de l’organisation de la société romaine et de son évolution.
Nous en arrivâmes enfin à la dernière partie de la visite, près de basilique Sainte-Croix-de-Jérusalem, consacrée en 325 et de l’Amphithéâtre Castrense incorporé dans le Mur d’Aurélien.
Philippe comprenait que mon attente était devenue une véritable souffrance :
• Tu mouilles, chérie ?
Je soulevais ma jupe. Nous étions dans la rue, en plein jour. Lorsque nous étions au restaurant, Luigi m’avait fait enlever mon string, qu’il avait conservé comme un trophée.
• Mouillée ? Trempée, tu veux dire ! Regardez ma chatte, elle est béante ! Je n’en peux plus !
Luigi et Philippe me regardèrent, stupéfaits. Ils ne s’attendaient pas que je m’exhibe ainsi. Et, en effet, ma toison était trempée.
• Luigi, per favore! Non posso più aspettare. Mi manca! Voglio! (“Luigi, je t'en supplie! Je ne peux plus attendre. Je suis en manque! J'ai envie!”)
Luigi adressa un regard complice à Philippe. L’un et l’autre étaient satisfaits de m’avoir poussé dans mes derniers retranchements.
• Veramente? Dicci cosa vuoi! (“Vraiment? Dis-nous ce dont tu as envie! »)
Je ne me suis plus contrôlée. J’ai élevé le ton, ne me souciant pas que certains passants s‘étaient arrêtés, pour suivre la conversation.
• Bastardo! Sadico! Lo sai benissimo! Andiamo in albergo. Voglio che mi scopi come una troia, davanti al mio cornuto. Voglio essere proiettato, preso da tutti i miei buchi, riempito, impregnato! Fai quello che vuoi con me! (“Salaud! Sadique! Tu le sais très bien! Allons à l'hôtel. Je veux que tu me baises comme une salope, devant mon cocu. Je veux être saillie, prise par tous mes trous, remplie, fécondée! Fais de moi tout ce que tu veux!”).
Je me suis approchée de Luigi et je me suis mise à genoux devant lui. Jamais je ne m’étais comportée ainsi :
• Mi offro a te. Scopami tutta la notte! Separami! Fammi venire. Fammi urlare, urlare di piacere! Mi senti? Sì, Luigi, fottimi, fottimi, fottimi! (“Je m'offre à toi. Baise-moi toute la nuit! Démonte-moi! Fais moi jouir. Fais-moi crier, hurler de plaisir! Tu m'entends? Oui, Luigi, baise-moi, baise-moi, baise-moi!”)
Un des spectateurs s’approcha :
• Cosa stai aspettando, ragazzo? Non vedi che questa ninfomane ha voglia? Se non lo vuoi, dillo. Ci penseremo io e i miei amici! (“Qu'attends-tu, petit? Tu ne vois pas que cette nymphomane est en manque? Si tu n'en veux pas, dis-le. Mes amis et moi nous nous en occuperons!”)
Luigi fit signe à l’importun de s’éloigner, puis me tendit la main pour me relever.
• Ne te mets pas dans des états pareils ! Depuis le début, j’ai envie de toi. Si Philippe en est toujours d’accord. C’est à lui de décider.
Luigi veut ramener les choses à l’accord initial passé avec Philippe et être en conformité avec nos règles candaulistes. Oui, le dernier mot, la décision finale revient à Philippe.
• Evidemment que c’est ce que je veux, depuis le début, et je t’ai choisi pour cela, Luigi. Nous rentrons à l’hôtel et tu vas baiser ma femme devant moi.
Toute la tension accumulée depuis le matin ressortait. Je pleurais, soulagée, heureuse de ce dénouement qui allait mettre fin à ma longue attente. C’est Philippe que j’embrassais le premier, longuement, amoureusement :
• Oh merci mon amour de permettre cela ! Je t’aime tant !
• Tu sais bien que je ne me lasse jamais d’être le témoin de ton plaisir et que j’aime être son ordonnateur.
Puis je me suis réfugiée dans les bras de Luigi, me serrant contre lui. Je sentais contre moi, son érection, promesse de moments torrides.
***
Nous nous dirigeons vers l’hôtel. Je tiens par la main mes deux hommes, mon mari et celui qui va enfin devenir mon amant.
Arrivés à l’hôtel, Philippe commande une bouteille de champagne, avec trois coupes. Le maitre d’hôtel obtempère, ajoutant en Italien, à l’attention de Luigi :
• Ben fatto, giovanotto! Con i colleghi, ci siamo chiesti quando avresti scopato questa troia! Mi sorprende ancora che accada davanti al cornuto. (“Bravo, jeune homme! Avec les collègues, nous nous sommes demandés quand tu allais baiser cette salope! Ca me surprend quand même que ça se passe devant le cocu”)
• Ho molto rispetto per il marito. Succede su sua richiesta. Sai, anche se è difficile da capire, quest'uomo ama sua moglie. Vuole che sia felice, che abbia più piacere possibile. (“J'ai beaucoup de respect pour ce mari. Cela se produit à sa demande. Vous savez, même si c'est difficile à comprendre, cet homme aime sa femme. Il veut qu’elle soit heureuse qu’elle ait le plus de plaisir possible. »
• Per fortuna le camere sono ben insonorizzate! Buona scopata, amico e buona notte! (“Heureusement, les chambres sont bien insonorisées! Bonne baise, l'ami et bonne nuit!”)
• Non credo che dormiremo molto. Tuttavia, domani abbiamo un programma fitto di appuntamenti. Chiama domani mattina alle 6:00 per svegliarci. (“Je ne pense pas que nous dormirons beaucoup. Cependant, nous avons un programme chargé demain. Merci de téléphoner demain matin à 6h00 pour nous réveiller. »)
Nous prenons l’ascenseur. Je suis dans les bras de Luigi. Le temps d’arriver au sixième étage fut suffisant pour faire tomber ma jupe et mon chemisier, récupérés par Philippe. C’est toute nue que je suis sortie de l’ascenseur, sans témoins heureusement (encore que !)
Nous prîmes encore un peu de temps pour rejoindre la chambre, nous arrêtant fréquemment pour nous embrasser et nous caresser. Philippe ouvrit la porte de la chambre, nous faisant signe d’entrer :
• Voilà l’ami ! Olga est à toi cette nuit !
• Elle ne sera pas déçue et toi non plus. Merci pour ta confiance !
Je suis à ce point impatiente que je voudrais baiser immédiatement. Luigi veut garder le contrôle, sans oublier qu’il est très attaché à l’hygiène. La douche à l’italienne de notre suite est assez grande pour trois. J’entreprends de déshabiller Luigi, le débarrassant de son jeans et de son caleçon, prenant en mains sa magnifique verge. Je ne la découvre pas, l’ayant sucé dans ce restaurant. Mais je la trouve toujours aussi belle. Je prends mes deux hommes par la main, pour les entrainer sous la grande douche. Philippe reste volontairement à l’écart, alors que Luigi me rend folle en doigtant ma chatte et mon cul, alors que sa bouche s’occupe de mes tétons, qui sont douloureux tant ils sont en érection. J’aurais voulu branler la bite de Luigi et la sucer, mais il s’y oppose, me faisant comprendre qu’il se réserve pour me saillir.
Je me tourne vers Philippe, que j’ai commencé à masturber.
• Hum, tu bandes bien mon vicieux ! Ca t’excite hein ? Ca fait des mois qu’on n’a pas fait ça. Ca t’a manqué ?
• Beaucoup ! Si je pouvais, je te ferais baiser tous les jours, ma putain !
• Contrôle ton excitation, mon chéri. Quand ce sera le moment, tu t’approcheras de moi et tu me gicleras dessus ! Tu sais que j’adore ça ! J’ai une autre demande, mon amour.
Par discrétion, je continue à voix basse, parlant à l’oreille de mon mari, tout en résistant à la montée du plaisir provoqué par le doigtage que pratique sans ménagement Luigi, dans ma chatte comme dans mon cul.
• Je crois que j’ai deviné, basilissa moy. Tu veux que cet étalon te prenne sans capote, n’est-ce pas ?
• Oui et qu’il se vide en moi. Tu veux bien ? Dis oui, mon amour !
• Je sais combien tu aimes ça et j’y ai donc pensé. D’une part, tu n’es pas en période « dangereuse ». Et d’autre part, Luigi, qui est une personne sérieuse, a accepté de me donner les résultats de tests récents. Il est tout à fait clean. Donc tu as carte blanche !
J’étais comme un enfant qui a reçu un merveilleux cadeau. Je bas des mains :
• Oh merci ! Je suis si heureuse !
Nous nous sommes séché mutuellement puis nous sommes dirigés vers la chambre, vers le grand lit. Le serveur était en train de déposer la bouteille de champagne et les trois coupes. Il nous vit arriver, nus.
• Scusa, ho suonato. Ma non rispondeva. (“Pardon, j'ai sonné. Mais personne n’a répondu”)
Philippe lui tendit un billet, avec un grand sourire :
• Ne faites pas cette tête ! C’est une magnifique soirée : ce Monsieur va baiser ma femme et j’adore ça ! Elle est belle, n’est-ce pas ? J’aime beaucoup l’exhiber et qu’on l’admire.
• È molto bella, signore!, répondit le serveur en se retirant.
• Dommage qu’il était de service, ce garçon. Je lui aurais bien proposé de rester. Je sais que deux hommes ou davantage, ça ne te fait pas peur, ma chérie!
• Oui, mais cette soirée est celle de Luigi. Il l’a bien mérité!
Je me suis installée sur le grand lit, à quatre pattes, face à un grand miroir. Le message est sans ambigüité. Mais je tiens à l’expliciter :
• Venire! Mettilo su di me! Scopami alla pecorina (“Viens! Mets-la moi! Baise moi en levrette”)
Philippe s’est assis sur un grand fauteuil, proche du grand lit. Il bande mais ne se touche pas, pour éviter de jouir trop vite. Il ne veut pas perdre une miette du spectacle qui va se dérouler. Depuis plus de 15 ans, la première fois s’étant déroulée avec Rachid, il a si souvent été témoin de mon plaisir. Et pourtant il aime toujours autant ça, prenant autant de plaisir à me mater que moi à me faire baiser.
Luigi n’attend pas davantage, ne s’embarrasse ni de préliminaires, ni de précautions. Il voit bien que ma chatte est béante, luisante de mouille. Sans ménagement, il me pénètre jusqu’à la garde, commençant immédiatement un violent coït.
Je tremble, me balançant légèrement d’avant en arrière alors que Luigi me pistonne, avec de longs et forts coups. Ses couilles lourdes et bien remplies tapent sur mes fesses. Sachant que Philippe me regarde alors que ma chatte est remplie par la bite enflammée de mon amant, je frissonne. J’échange avec mon mari un long regard, qui confirme notre complicité.
A partir de ce moment, je ne pense plus qu’à cette étreinte que j’ai tant désirée. Dans ces moments, je suis très vocale, j’ai besoin d’exprimer ce que je ressens. Je le fais, non en Français, mais en Italien, à l’intention de l’étalon qui me fait monter au ciel. Philippe ne s’en formalise pas, fasciné par ce à quoi il assiste.
• Ah Luigi! SÌ! Continua! Soprattutto, non fermarti! Portami giù! Sì come questo. Più forte! Più veloce! Va bene! (“Oh, Luigi! Oui! Continue! N'arrête surtout pas! Mets-la bien au fond! Oui comme ça. Plus fort! Plus vite! Que c'est bon!”)
• Prendi quello, cagna! Quanto sei bravo! Ti piace? (“Prends ça, salope! Que tu es bonne! Tu aimes, ça?”)
La grosse bite frotte contre mon clito. Je sens mes lèvres s’étendre et s’agripper autour de la tige fortement veinée de la queue de Luigi.
• Certo che mi piace! Adoro! Oh che buono! È divino! “(Bien sûr que j'aime ça! J'adore! Oh que c'est bon! C'est divin!”)
Philippe a prévenu Luigi que je suis multi-orgasmique. Un premier orgasme me fauche. Pour autant, Luigi ne rend pas les armes. Au contraire, il monte en gamme, enfonce sa bite en moi avec une force accrue, et ses boules claquent sur mes fesses. Ce mâle est exceptionnellement endurant.
• Colpiscimi! Separami! Oh si! Ancora! Non sono mai stato scopato così bene! (“Pilonne-moi! Démonte-moi! Oh oui! Encore! Je n'ai jamais été aussi bien baisée!”)
Je remue mon cul, mon corps tremble pendant que la bite de Luigi va et vient en moi, chaque fois qu’il fourre toute la longueur de sa bite dans ma chatte. Pendant un long moment, Luigi me baise, sans pause ni ménagement. Nos corps en sueur entrent en collision bruyamment. Luigi lance ses hanches vers l’avant jusqu’à ce qu’il claque bruyamment contre mes fesses rondes et relevées. Je gémis bruyamment chaque fois que la bite de Luigi sort de ma chatte.
Luigi reprend sans arrêt les allers-retours dans mon vagin très humide. Ma chatte est complètement remplie de sa bite, elle serre plus fort que jamais la bite envahissante, comme un gant de velours, le rendant fou d’extase.
Hurlant bruyamment, Luigi jette la tête en arrière alors qu’il enfonce encore plus profondément sa bite. Nous sommes, l’un et l’autre, au bout de notre résistance. Pour ma part, je sais que je vais connaitre un orgasme dévastateur, qui va me laisser brisée.
• Non ce la faccio più! Verrò! (“Je ne peux plus tenir! Je vais jouir!”)
• Andiamo, tesoro mio! Sono tuo. Sono la tua puttana. Sono la tua femmina. Mi fai impazzire. Mi uccidi. Sì, vieni, riempimi! (“Viens, mon chéri! Je suis à toi. Je suis ta putain. je suis ta femelle. Tu me rends folle. Tu me tues. Oui, viens!Remplis-moi!”)
Luigi projette d’épais jets de sperme au fond de ma matrice, incapable de se contrôler plus longtemps. Mon propre orgasme, d’une violence inouïe, se déclenche et remonte tout le long de la colonne vertébrale.
Sentant venir ce bouquet final, j’avais fait signe à Philippe d’approcher, pour qu’il se finisse sur moi. Et lui aussi m’envoie de puissantes éjaculations sur mes seins, mon visage, mes cheveux.
Nous nous étendons tous les trois sur le grand lit, épuisés. Je suis entre mon mari et mon amant. Nous restons calmes un moment mais savons que la nuit est loin d’être finie.
(A suivre)
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54 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Lucie, c'est vrai que Luigi m'a comblé et s'est montré dominateur dès le départ.
tu auras été mise au supplice avant d'avoir le droit de pleinement profiter de la queue de ton nouveau mâle
tu es en admiration de Luigi...tes sens basculent et le font égaler..dépasser Philippe. Luigi sur de lui...autoritaire te rappelle à la place qu'il veut pour toi...pour le moment. il t'a fait jouir et marqué délicieusement de son foutre.
Lucie
tu es en admiration de Luigi...tes sens basculent et le font égaler..dépasser Philippe. Luigi sur de lui...autoritaire te rappelle à la place qu'il veut pour toi...pour le moment. il t'a fait jouir et marqué délicieusement de son foutre.
Lucie
@ Alfred, j'en suis ravie!
Enfin!!!! J'avoue que je me suis branlé en te lisant
Alfred
Alfred
Merci La chipie, c'est en effet ce que j'avais compris
Effectivement ma remarque s’adressait à Steph et JP à propos de l’amant.
La chipie
La chipie
J'avais bien deviné. Merci, ma chère D!
Le "lecteur" était bien une lectrice, chère Olga, qui a bêtement oublié de préciser avant de cliquer... :(
D.
D.
@ La chipie, je comprends que votre remarque s'adresse à Steph et pas à moi. Car Philippe est l'homme de ma vie, l'avoir rencontré est ce qui m'est arrivé de plus important dans ma vie
@ lecteur (ou plutôt lectrice?) anonyme merci pour ce commentaire. Oui, je mesure la chance qui est la mienne d'avoir rencontré Philippe
@ lecteur (ou plutôt lectrice?) anonyme merci pour ce commentaire. Oui, je mesure la chance qui est la mienne d'avoir rencontré Philippe
Lecture captivante, qui a ramené quelques anciens souvenirs que je croyais définitivement remisés. Pas aussi trépidants, loin de là, que ce que j'avais sous les yeux. Et je n'ai pu, pardon Olga, éviter une pointe de nostalgie jalouse : si j'avais eu un mari comme Philippe, peut-être n'aurais-je pas divorcé...
C'est égal, je me ferais bien soubrette, pour veiller au confort d'un tel trio pendant ses ébats. :)
C'est égal, je me ferais bien soubrette, pour veiller au confort d'un tel trio pendant ses ébats. :)
Je suis surprise sur la manière de vous exprimer à propos de votre mari, on a l'impression que vous l'avez choisi comme la 5 eme roue du carosse.
Je ne m'attendais pas à 1 témoignage comme le votre Steph à propos de l'amant dont vous etiez amoureuse. Olga a raison vous avez de la chance d'avoir 1 mari aussi conciliant.
La chipie
Je ne m'attendais pas à 1 témoignage comme le votre Steph à propos de l'amant dont vous etiez amoureuse. Olga a raison vous avez de la chance d'avoir 1 mari aussi conciliant.
La chipie
Merci Michel!
La suite ce vendredi 18 août
La suite ce vendredi 18 août
Bravo Olga, ce récit est magnifique. On peut presque ressentir vos orgasmes. Ça me laisse dans un bel état.
Je vous admire tous les deux.
Continuez de profiter et de nous faire vivre vos expériences. C'est délicieux. Vivement la suite.
Bises.
Michel
Je vous admire tous les deux.
Continuez de profiter et de nous faire vivre vos expériences. C'est délicieux. Vivement la suite.
Bises.
Michel
Bravo Olga, ce récit est magnifique. On peut presque ressentir vos orgasmes. Ça me laisse dans un bel état.
Je vous admire tous les deux.
Continuez de profiter et de nous faire vivre vos expériences. C'est délicieux. Vivement la suite.
Bises.
Michel
Je vous admire tous les deux.
Continuez de profiter et de nous faire vivre vos expériences. C'est délicieux. Vivement la suite.
Bises.
Michel
@ Sylvain, merci. Votre commentaire me fait très plaisir. Vous avez plutôt bien analysé la situation.
Il y aura bientôt une suite à ce récit
Il y aura bientôt une suite à ce récit
Bonjour Olga , et désolé d'avoir mis tant de temps à répondre et commenter vos textes érotiques. Actuellement je suis en vacances et j'ai le temps de me poser un peu pour lire , sortir , écrire, ...... Je ressens que votre séjour en Italie avec votre mari s'est passé extraordinairement bien malgré quelques péripéties qui auraient pu être évités ; mais nous ne vivons pas dans un monde parfait, et cela fait partie de l'aventure sinon a quel point s'ennuyerai t'on si tout était parfait. A moins de me tromper également, j'ai l'impression que ces moments qui de pars votre vie familiale ; sont de plus en plus rare , vous les vivaient avec votre mari de plus en plus intensément ( c'est que mon impression) et je ne sais pas si mon annalise est bonne. Dans tout les cas , j'ai encore une fois de plus lu vos derniers récits érotiques de façons prenantes, car pour moi ça ressemble à une écriture faîte d'une traite avec tout les désordres de ce type d'écriture ( je sais très bien que ce n'est pas le cas et que c'est un style que vous vous donné), et justement c'est ce type d'écriture qui fait vivre votre histoire jusque dans les veines de vos lecteurs. Je vous dis à bientôt pour d'autres histoires intimes de votre part. Sylvain
@ lecteur anonyme, oui et les nuits suivantes. S'agissant de la suite du récit, elle interviendra après la publication d'un texte dans la série "histoire des libertines" Ce devrait donc être avant le 15 août
@ Steph, oui c'est bien le risque du candaulisme et ça a failli m'arriver à nouveau. Au vu de ton témoignage, j'espère que tu mesures la chance d'avoir un mari comme JP, comme je mesure la chance d'avoir un mari comme Philippe. Non seulement, étant candaulistes, ils nous encouragent dans notre hypersexualité, mais ils pardonnent nos écarts.
@ Steph, oui c'est bien le risque du candaulisme et ça a failli m'arriver à nouveau. Au vu de ton témoignage, j'espère que tu mesures la chance d'avoir un mari comme JP, comme je mesure la chance d'avoir un mari comme Philippe. Non seulement, étant candaulistes, ils nous encouragent dans notre hypersexualité, mais ils pardonnent nos écarts.
@ Olga, OK ce n'est pas de l'adultère, puisque Philippe est consentant et qu'il est présent. Mais c'est entre candaulisme et adultère. Tu n'as expliqué, dans les épisodes précédents, que Luigi et toi vous aviez flashé l'un sur l'autre. Et ce que tu racontes ici est logique. Tu ne te préoccupes que de Luigi, c'est seulement au dernier moment que tu te rappelles que Philippe est là, que tu lui fais signe d'approcher et de jouir sur toi.
Ce soir, tu étais la femme de Luigi. Tu sais, j'ai vécu ça. J'ai quitté JP pendant des semaines parce que j'étais tombée raide dingue d'un amant. Je suis revenue chez JP parce que mon amant ne voulait pas que baise avec d'autres hommes, or je ne peux m'en passer.
Le risque du candaulisme est que l'épouse tombe amoureuse de l'amant et que, contrairement à ce qu'écrit Didier, ce ne soit plus seulement du sexe, mais du sentiment. Ca t'est arrivé avec N et c'était la même chose avec Luigi, non?
Steph
PS: j'ai fait lire mon commentaire à JP, mon cocu chéri
Ce soir, tu étais la femme de Luigi. Tu sais, j'ai vécu ça. J'ai quitté JP pendant des semaines parce que j'étais tombée raide dingue d'un amant. Je suis revenue chez JP parce que mon amant ne voulait pas que baise avec d'autres hommes, or je ne peux m'en passer.
Le risque du candaulisme est que l'épouse tombe amoureuse de l'amant et que, contrairement à ce qu'écrit Didier, ce ne soit plus seulement du sexe, mais du sentiment. Ca t'est arrivé avec N et c'était la même chose avec Luigi, non?
Steph
PS: j'ai fait lire mon commentaire à JP, mon cocu chéri
Vous avez continué à baiser ensuite? Impatient que tu nous racontes ça!
Bientôt la Chipie, après une publication dans la série " histoire des libertines"
Peu importe le passé Olga , vous n'avez tué ou violé personne donc partant de là , les casos n'ont pas à emmerder le monde !!!!
J'attends la suite avec impatience.:)
La chipie
J'attends la suite avec impatience.:)
La chipie
@ lecteur anonyme, je suis heureuse que cela t'a plu et que ça t'a fait de l'effet!
Très chaud! J'adore. J'avoue que je me suis branlé en te lisant
@ Didier, merci pour ce commentaire qui, avec d'autres que tu cites, m'a fait beaucoup de bien. Tu as parfaitement résumé les choses. Je me suis expliqué dans ma dernière réponse à Steph et JP, où je cite ton commentaire.
Quant à mes "contempteurs" (j'emploie volontiers un terme pour lequel ils devront avoir recours au dictionnaire lol), j'ai l'habitude, leur haine remonte à loi, à mes erreurs du passé. J'ai pris pour résolution de ne pas leur accorder de l'importance
Quant à mes "contempteurs" (j'emploie volontiers un terme pour lequel ils devront avoir recours au dictionnaire lol), j'ai l'habitude, leur haine remonte à loi, à mes erreurs du passé. J'ai pris pour résolution de ne pas leur accorder de l'importance
@ Steph et JP, d'abord merci pour votre mise au point. Ca m'aurait peiné de penser que vous faisiez partie de ceux qui prétendent me juger. En fonction des situations le rôle de Philippe n'est pas le même, il est souvent plus actif et nous sommes plutôt alors sur un trio que sur un "simple" candaulisme, où il se "contente" d'assister. Mais sa présence est fondamentale, car sans elle, sans son accord, rien ne serait possible. Surtout, sa présence, sa complicité, son excitation décuplent mon plaisir.
Dans ce cas, j'avoue que j'étais totalement concentrée sur ce qu'était en train de me faire ce mâle exceptionnel, alors que je sortais de mois de frustration et que j'avais envie de lui depuis plusieurs jours. Je vous invite à lire le commentaire de Didier, qui a bien compris une chose: ce n'était pas de l'adultère
Dans ce cas, j'avoue que j'étais totalement concentrée sur ce qu'était en train de me faire ce mâle exceptionnel, alors que je sortais de mois de frustration et que j'avais envie de lui depuis plusieurs jours. Je vous invite à lire le commentaire de Didier, qui a bien compris une chose: ce n'était pas de l'adultère
Olga,
Je te remercie pour ce commentaire me confirmant que ton attitude détestable, de « garce », envers ton Philippe, en cet après-midi n’était une fois de plus qu’un « jeu » sexuel entre vous deux.
Venant de relire ce chapitre de manière approfondie, et malgré ce qu’en dise certain, je n’y trouve aucune trace d’adultère dans cette levrette avec Luigi. Mais plutôt une bonne séance candauliste où il n’y a que du sexe, rien que du sexe, et surtout pour tous un plaisir non dissimulé, exacerbé par une longue attente et de la frustration, comme l’as si dit.
Vivement donc la suite de ton escapade romaine que je pressens désormais très torride voire hardissime…
J’en profite également pour dire que je rejoins Luc, Julie, La Chipie, Jacques et Henri dans leurs propos.
Je respecte profondément la liberté d’expression, mais là trop c’est trop et cela en devient pénible à force.
Kamel et Sofiane, c’est à vous que je m’adresse.
Il faudrait penser à grandir un peu, à tourner la page, à laisser le passé où il est et surtout arrêter tout ce dénigrement envers Olga et Philipe.
Vous n’avez vraiment aucun respect pour les écrits d’Olga, et si vous savez que leurs teneurs ne vous pas vous plaire pas ne les lisez pas…
Didier
Je te remercie pour ce commentaire me confirmant que ton attitude détestable, de « garce », envers ton Philippe, en cet après-midi n’était une fois de plus qu’un « jeu » sexuel entre vous deux.
Venant de relire ce chapitre de manière approfondie, et malgré ce qu’en dise certain, je n’y trouve aucune trace d’adultère dans cette levrette avec Luigi. Mais plutôt une bonne séance candauliste où il n’y a que du sexe, rien que du sexe, et surtout pour tous un plaisir non dissimulé, exacerbé par une longue attente et de la frustration, comme l’as si dit.
Vivement donc la suite de ton escapade romaine que je pressens désormais très torride voire hardissime…
J’en profite également pour dire que je rejoins Luc, Julie, La Chipie, Jacques et Henri dans leurs propos.
Je respecte profondément la liberté d’expression, mais là trop c’est trop et cela en devient pénible à force.
Kamel et Sofiane, c’est à vous que je m’adresse.
Il faudrait penser à grandir un peu, à tourner la page, à laisser le passé où il est et surtout arrêter tout ce dénigrement envers Olga et Philipe.
Vous n’avez vraiment aucun respect pour les écrits d’Olga, et si vous savez que leurs teneurs ne vous pas vous plaire pas ne les lisez pas…
Didier
@ Olga c'est vrai à chaque couple candauliste de le vivre comme il l'entend. Loin de nous l'idée de critiquer et stigmatiser, d'autant que c'est en lisant tes textes qu'à notre tour nous avons découvret le candaulisme.
Mais c'est parce que nous connaissons bien tes textes et votre parcours que nous voyons plus qu'une nuance.
Bien sûr Philipe est présent et profite du spectacle. Mais il n'est que spectateur. Tu n'échanges pas avec lui de baisers, de caresses, tu ne le suces pas, tu n'échanges pas tes impressions avec lui. Tu es alors entièrement concentrée sur ton amant, n'est-ce pas? Steph a connu aussi. Une liaison où l'épouse est amoureuse de l'amant, qu'on peut qualifier d'adultère, malgré la présence du mari.
Steph et JP
Mais c'est parce que nous connaissons bien tes textes et votre parcours que nous voyons plus qu'une nuance.
Bien sûr Philipe est présent et profite du spectacle. Mais il n'est que spectateur. Tu n'échanges pas avec lui de baisers, de caresses, tu ne le suces pas, tu n'échanges pas tes impressions avec lui. Tu es alors entièrement concentrée sur ton amant, n'est-ce pas? Steph a connu aussi. Une liaison où l'épouse est amoureuse de l'amant, qu'on peut qualifier d'adultère, malgré la présence du mari.
Steph et JP
Merci Henri pour ton soutien. Oui il veillait à bien séparer les deux rôles
Très professionnel, ce Luigi. Un temps, la journée, pour le guide. Le soir, c'est le temps de l'étalon!
Henri
J'en profite pour dire que je fais partie de ceux qui aimeraient qu'on vous laisse tranquilles, Philippe et toi!
Henri
Henri
J'en profite pour dire que je fais partie de ceux qui aimeraient qu'on vous laisse tranquilles, Philippe et toi!
Henri
@ Marc, oui c'était assez cruel et au final insupportable. Je n'ai pas pu cacher le plaisir que je ressentais
Luigi est en effet un peu sadique, quand il t'oblige à essayer de masquer ta jouissance, parce que vous êtes en public!
Marc
Marc
@ Jacques, merci pour votre commentaire. Je n'ai pas eu le sentiment (et Philippe non plus) qu'il y ait eu insultes envers lui. Le reste est le jeu pratiqué dans ces moments-là, ce n'est pas nouveau et ça n'a aucune conséquence sur l'amour que nous nous portons
Comme dit La Chippie, tout le monde a le droit de vivre sa vie comme il veut en autant qu’il ne brime pas celle des autres.
La seule chose qui m’interpelle est pourquoi insulter, voir rabaisser la personne qui vous est la plus chère au monde?
Il me semble que ce n’est pas le meilleur moyen pour que l’expérience se répète.
La seule chose qui m’interpelle est pourquoi insulter, voir rabaisser la personne qui vous est la plus chère au monde?
Il me semble que ce n’est pas le meilleur moyen pour que l’expérience se répète.
@ Maurice, elle fut exceptionnelle. j'ai essayé de retraduire ce plaisir dans le récit
@ Janine, comme je l'ai raconté précédemment, il y avait eu un coup de foudre entre nous, ce qui n'était pas prévu. Mais l'un comme l'autre, nous voulions éviter les conséquences désastreuses qui se seraient produites
@ Sarah, cela faisait des mois, depuis les vacances d'hiver en février. Et la tension érotique n'avait cessé de monter depuis l'arrivée à Rome
@ Rachel, j'en suis parfaitement consciente
@ La chipie merci pour votre commentaire et votre colère, toujours salutaire!
@ Janine, comme je l'ai raconté précédemment, il y avait eu un coup de foudre entre nous, ce qui n'était pas prévu. Mais l'un comme l'autre, nous voulions éviter les conséquences désastreuses qui se seraient produites
@ Sarah, cela faisait des mois, depuis les vacances d'hiver en février. Et la tension érotique n'avait cessé de monter depuis l'arrivée à Rome
@ Rachel, j'en suis parfaitement consciente
@ La chipie merci pour votre commentaire et votre colère, toujours salutaire!
Pour les CASOS (kamel & co) arretez de lire sérieux vous n'avez que ça à faire que d'emmerder le monde à 1 point pareil !!!
Je ne cautionne et ne me serais jamais mise à genoux mais ils vivent leur relation comme ils l'entendent .
Le texte d'Olga retranscrit très bien les émotions des different protagonistes.
Au moins Olga a le courage de vivre et Philippe porte ses couilles car il a le courage d'offrir sa femme et de vivre tous ces moments en sachant très bien qu'une fois rentré en France Luigi sera 1 souvenir !!!
Peu d'hommes savent porter leurs couilles comme Philipe !!!
La chipie
Je ne cautionne et ne me serais jamais mise à genoux mais ils vivent leur relation comme ils l'entendent .
Le texte d'Olga retranscrit très bien les émotions des different protagonistes.
Au moins Olga a le courage de vivre et Philippe porte ses couilles car il a le courage d'offrir sa femme et de vivre tous ces moments en sachant très bien qu'une fois rentré en France Luigi sera 1 souvenir !!!
Peu d'hommes savent porter leurs couilles comme Philipe !!!
La chipie
Je ne sais pas si tu réalises ta chance d'avoir un mari comme Philippe! Il ne te suffit pas. Il t'autorise à aller voir ailleurs avec pour seule condition d'assister car il adore te voir jouir. Oui tu es chanceuse!
Rachel
Rachel
Tu étais manifestement en manque! Depuis combien de temps n'avais tu pas eu une baise comme celle-là?
Sarah
Sarah
Même si vous avez essayé de vous en tenir à une relation strictement sexuelle, il y avait manifestement autre chose entre toi et Luigi.
Janine
Janine
J'ai rarement lu une scène aussi torride de levrette. J'ai adoré!
Maurice
Maurice
@ Julie, merci pour ce soutien constant. Le prochain texte, encore à écrire, devrait être historique, dans la série "histoire des libertines"
@ Micky, tu me fais rougir, car test textes sont incomparables. Je suis d'accord pour dire que le plaisir féminin est un mystère et un bonheur, que j'essaie de retranscrire dans mes textes. Oui, jouir est pour moi aussi important que de respirer. Et ce jour là, j'ai eu affaire à un véritable étalon. Et comme indiqué à la fin, la nuit n'était pas finie, comme la semaine d'ailleurs. Donc il y aura une suite à ce texte
@ Micky, tu me fais rougir, car test textes sont incomparables. Je suis d'accord pour dire que le plaisir féminin est un mystère et un bonheur, que j'essaie de retranscrire dans mes textes. Oui, jouir est pour moi aussi important que de respirer. Et ce jour là, j'ai eu affaire à un véritable étalon. Et comme indiqué à la fin, la nuit n'était pas finie, comme la semaine d'ailleurs. Donc il y aura une suite à ce texte
@ Luc, merci. Ne t'inquiète pas, j'ai l'habitude de ce genre de commentaires. Je m'y attendais et je ne m'en formalise pas
@ Kamel, il ne manquait que toi!
@ Clara, ce n'est pas faux, surtout quand ma libido est ainsi exacerbée
@ Kamel, il ne manquait que toi!
@ Clara, ce n'est pas faux, surtout quand ma libido est ainsi exacerbée
Je suis de préférence les textes historiques et culturels d'Olga. S'agissant de ses autobiographies, ses textes sont très courageux, autant qu'ils sont excitants. Ils montrent son cheminement, ses pulsions, ses faiblesses. Luc a raison: le courage d'Olga mérite le respect!
Julie
Julie
Monumental ! Quand on a lu ça, on ne peut que trouver fadasses les autres publications de HDS, y compris les miennes. Olga baise en écrivant, et en deux langues en plus. On se demande si elle peut aller encore plus loin dans l'expression du plaisir féminin, et quel plaisir ! C'est là où elle surpasse tout le monde. Evidemment, on en redemande. Allez Olga, jouis encore !
Ton comportement au cours de cette journée le confirme: tu es une sacrée exhibitionniste, doublée d'une provocatrice!
Clara
Clara
@ Sofiane, bravo d'avoir les choses à cette garce. Nous avons vu comment elle s'est comportée avec Rachid, puis avec Hassan. Quand elle était mariée avec Hassan, elle le trompait avec moi et avec son ex (le comble!)
Oses-dire que ce n'est pas vrai, Olga et que tu n'aimais pas te faire prendre penchée sur l'évier ou dans le lit conjugal. Et pourtant tu ne nieras pas qu'Hassan était un sacré étalon.
Steph et JP ont raison: Tu as cocufié Philippe avec l'Italien, en sa présence. Et tu as adoré ça!
Kamel
Oses-dire que ce n'est pas vrai, Olga et que tu n'aimais pas te faire prendre penchée sur l'évier ou dans le lit conjugal. Et pourtant tu ne nieras pas qu'Hassan était un sacré étalon.
Steph et JP ont raison: Tu as cocufié Philippe avec l'Italien, en sa présence. Et tu as adoré ça!
Kamel
@ lecteur anonyme, je ne recherche pas de rencontres par le biais de ce site
@ Steph et JP, chaque couple vit le candaulisme comme il l'entend!
@ Steph et JP, chaque couple vit le candaulisme comme il l'entend!
Ce qu'Olga fait dans ses textes autobiographiques, c'est un exercice de transparence. Elle n'occulte rien, y compris ses faiblesses. Alors franchement de quels droits certains se permettent-ils de la juger?
Tout cela se fait en plein accord avec son mari. C'est même lui le grand ordonnateur des plaisirs de sa chérie.
Alors svp, fichez leur la paix!
Luc
Tout cela se fait en plein accord avec son mari. C'est même lui le grand ordonnateur des plaisirs de sa chérie.
Alors svp, fichez leur la paix!
Luc
Bien sûr Philippe est présent et consentant. C'est lui qui a choisi Luigi comme guide avec l'intention de lui offrir Olga. Pour autant, la façon dont ça se passe évoque plus une situation de cuckold que de candaulisme. Pendant toute la journée, Philippe est humilié par le comportement des futurs amants, quand bien même ça se passe devant des inconnus. Mais surtout, à partir du moment où Luigi la baise, Olga ne pense plus à Philippe. elle n'a plus qu'une seule préoccupation, le coït avec le bel étalon italien. Nous en voulons pour preuve qu'elle s'exprime en Italien et non en Français, que c'est au dernier moment qu'elle fait signe à Philippe de s'approcher pour qu'il gicle sur elle et surtout quand elle appelle Luigi mon chéri. Certes c'était en Italien, mais Philippe, au vu de vos expériences candaulistes, ne pouvait pas ne pas comprendre.
Nous avons moins d'expérience que vous, mais ce récit est un récit de cuckold, voire d'adultère
Steph et JP
Nous avons moins d'expérience que vous, mais ce récit est un récit de cuckold, voire d'adultère
Steph et JP
Quelle chance il a eu ce Luigi et comme j'adorerai te baiser comme tu aimes.
@ Paul, je me doutais que ce récit te plairait!
@ Sofiane, ce que nous revendiquons c'est le candaulisme de Philippe et mon hypersexualité.Oui, j'étais en manque depuis des semaines et j'avais envie de Luigi depuis que je l'avais vu. Si tu considères que je suis une salope, libre à toi!
@ Sofiane, ce que nous revendiquons c'est le candaulisme de Philippe et mon hypersexualité.Oui, j'étais en manque depuis des semaines et j'avais envie de Luigi depuis que je l'avais vu. Si tu considères que je suis une salope, libre à toi!
Un récit qui ne m'étonne pas de ta part, car tu n'as pas changé et ne changera jamais. Philippe est certes présent, mais il est traité en cocu (comme il le mérite d'ailleurs). Et toi tu te comportes comme une chienne en chaleur, une véritable salope!
Sofiane
Sofiane
Il a fallu attendre ce 4ème épisode mais ça valait la peine. C'est exactement ce que j'attendais comme récit, celui d'une baise torride.
Paul
Paul
@ Didier, en faisant abstraction des sentiments qu'avait suscité chez moi Luigi, ce qui est décrit dans ce texte est dans un cadre strictement sexuel, même si cela fut exacerbé par une longue attente et des mois de frustration
Olga,
Voici ce que furent mes premières impressions à la lecture de ce nouveau chapitre sur ton escapade romaine.
« Olga est vraiment incorrigible… » « Quelle garce, quelle peste !!! »
Oui en effet, ton addiction au sexe ayant définitivement pris le pas sur ta raison, après cette mise en bouche à la pause déjeuner. Tu te fais acerbe envers Ton Philippe, et tu es auprès de Luigi outrageusement démonstrative, expressive dans ton envie de te faire baiser, jusqu’à en perdre toutes retenues, toutes dignités.
A ton grand soulagement, celui-ci en accord avec ton bien aimé, met enfin un terme à ton calvaire à la fin programmée de la visite de l’après-midi, visite qui plus est fortement bien décrite.
Dès lors, de retour à l’hôtel, et après une douche autant salutaire que « stimulante », tu te donnes enfin sans protection aucune à Luigi ton amant du moment, dans une levrette « salvatrice », pour le grand plaisir de Philippe ton mari.
Epuisés mais loin d’être repus, cet ébat semble être pour vous trois le préliminaire d’une longue nuit…
Didier.
Voici ce que furent mes premières impressions à la lecture de ce nouveau chapitre sur ton escapade romaine.
« Olga est vraiment incorrigible… » « Quelle garce, quelle peste !!! »
Oui en effet, ton addiction au sexe ayant définitivement pris le pas sur ta raison, après cette mise en bouche à la pause déjeuner. Tu te fais acerbe envers Ton Philippe, et tu es auprès de Luigi outrageusement démonstrative, expressive dans ton envie de te faire baiser, jusqu’à en perdre toutes retenues, toutes dignités.
A ton grand soulagement, celui-ci en accord avec ton bien aimé, met enfin un terme à ton calvaire à la fin programmée de la visite de l’après-midi, visite qui plus est fortement bien décrite.
Dès lors, de retour à l’hôtel, et après une douche autant salutaire que « stimulante », tu te donnes enfin sans protection aucune à Luigi ton amant du moment, dans une levrette « salvatrice », pour le grand plaisir de Philippe ton mari.
Epuisés mais loin d’être repus, cet ébat semble être pour vous trois le préliminaire d’une longue nuit…
Didier.