Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (5).

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (5). Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (5).
AVERTISSEMENT

Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin, 16 et 30 juillet 2023.

En réaction à certains commentaires sur les publications précédentes, je souhaite rappeler que, comme dans tous mes récits autobiographiques, j’ai fait, cette fois encore, le choix de la transparence, ce qui me conduit à ne rien cacher de mes états d’âme, quoiqu’il m’en coûte, étant bien consciente que l’aveu de mes faiblesses peut me valoir à nouveau de vives réactions. Seuls comptent pour moi l’opinion, le jugement de Philippe, mon mari, l’homme de ma vie, celui qui permet et favorise ma conduite. C’est avec lui que nous parlons de mes excès et de mes débordements, qui font que notre couple si particulier connait des crises qu’il a toujours réussi à surmonter.

J’ai déjà expliqué ce que j’avais ressenti pour Luigi, notre guide, dès notre première rencontre et qui allait au-delà d’une attirance sexuelle. Pour autant, nous sommes au bout du compte restés dans le cadre candauliste voulu et organisé par mon mari Philippe et tout est revenu à la normale à la fin du séjour, même si rien ne fut simple.

RESUME

En ce mois de mai 2023, Philippe et moi sommes à Rome, pour revenir sur des lieux qui sont le cadre de mes récits érotico-historiques, soit déjà écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine ».

Philippe a, comme toujours, tout organisé. Il a soigneusement choisi le programme et le guide. Luigi est docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome impériale. Âgé de 28 ans, il est viril et beau comme un Dieu. Philippe entendait bien en effet que nous profitions du séjour pour renouer avec nos pratiques candaulistes que nous ne pouvons assumer qu’épisodiquement, compte tenu des contraintes de la vie familiale et professionnelle.

Ce que Philippe n’avait pas prévu est que Luigi et moi, malgré une différence d’âge de près de 20 ans, nous puissions « flasher » l’un sur l’autre. Le début du séjour s’est passé dans une très forte tension érotique et sentimentale.

Revenus à l’hôtel, je viens enfin de m’offrir totalement à Luigi, en présence de Philippe. Luigi m’a longuement baisé en levrette, me faisant enchainer les orgasmes, avant de se vider en moi. Brisée de plaisir, je me retrouve sur le grand lit, entre mon mari candauliste et mon amant.

***

Nous restons quelques minutes calmes, car, pour chacun d’entre nous, ce que nous venons de vivre fut intense, je dirai même violent.

D’habitude, quand nous avons ce genre de séance et que mon amant vient de me faire jouir, je me consacre à Philippe. Nous nous caressons, nous nous embrassons, je le branle, je le suce et, quand mon amant a été autorisé à jouir en moi, je pousse la tête de Philippe vers ma chatte, pour qu’il vienne recueillir en moi la semence de mon amant, pour qu’il me nettoie. C’est un rite entre nous. Je connais la bisexualité de mon chéri. Le top est quand nous trouvons un partenaire bisexuel. Notre complicité nous pousse à sucer à tour de rôle celui qui vient de me faire jouir et, à mon tour, je vais offrir mon mari à cet homme.

Avec Luigi, rien de tout cela. D’abord parce que Luigi n’est pas bisexuel. Il l’a dit clairement à Philippe lors de leurs discussions qui ont précédé notre arrivée à Rome, échanges durant lesquels ils ont tout préparé, tout prévu, sauf un point essentiel : qu’un sentiment réciproque puisse naître entre Luigi et moi.

Mais surtout je n’ai pas envie de pratiquer nos rites habituels. Je n’ai envie à ce moment-là que de Luigi. Contrairement à ce que certains peuvent penser, je ne cherche aucunement à humilier Philippe. Il me connait tellement bien qu’il sait que ce qui est en train de se passer n’est pas une aventure candauliste ordinaire. Et qu’il est présent pas seulement en tant que candauliste, mais pour veiller à ce que la situation ne dégénère pas. Il sait que nous avons la chance d’être tombé sur un partenaire qui certes n’est pas insensible à mon charme, mais qui ne cherche pas à profiter de la situation. Une fois rentrés en France, il sera temps de faire le bilan de ce qui s’est passé et d’en tirer les leçons pour une prochaine fois. Car Philippe sait bien que ces séances candaulistes, qu’il affectionne, sont aussi le prix à payer pour être en couple avec moi mais ne sont pas sans dangers.

En ce qui me concerne, je sais parfaitement que, sans Philippe, rien de tout cela n’aurait été possible. C’est donc la moindre des choses qu’il soit présent et que ça se passe devant lui. Je sais aussi que sa présence est une garantie pour notre couple, car, très attirée par le bel Italien, je suis consciente que mes bonnes résolutions faiblissent.
Cette fois donc, la place de Philippe se limite strictement au rôle de spectateur. Je dépose un bisou sur les lèvres de mon mari, puis je me love dans les bras de Luigi. Ma tête est posée sur son épaule. Je ronronne comme une chatte. Ma main se pose sur sa belle bite, je commence à le masturber doucement. Mon Dieu, il bande déjà ! Je regarde mon amant dans les yeux et lui offre mes lèvres.

Nos visages se rapprochent, les lèvres s’entrouvrent, les yeux se ferment progressivement. Les bouches entrent dans une danse sensuelle et parcourent leurs contours humides. Nos lèvres se touchent, s’appuient l’une sur l’autre et se séparent aussitôt. Nous recommençons en tournant le visage. Nous fermons les yeux, nous nous embrassons du bout des lèvres, avant de laisser nos langues se mélanger à nouveau et reprendre leur danse incessante. Puis le baiser devient incandescent, la langue de Luigi possède la mienne, je mordille sa lèvre. Ce n’est pas le baiser de deux amants, mais plutôt celui d’un couple, comme si nous étions seuls, sans la présence de mon mari. Nous ne nous interrompons que pour reprendre notre souffle, avant de continuer, même si, déjà, j’ai envie d’autre chose.

Philippe quitte le grand lit, le laissant aux amants. Il se dirige vers la table basse où, dans un seau de glace, attend la bouteille de champagne qu’un serveur a apporté avant que Luigi et moi ayons notre premier rapport. Philippe ouvre la bouteille de « Veuve Clicquot » qu’il a choisie, en sachant que c’est mon champagne préféré.
Entre deux baisers profonds et langoureux, je veux exprimer à mon amant tout ce que je ressens :

• Luigi è stato meraviglioso. Era passato molto tempo dall'ultima volta che mi ero divertito così tanto. (“Luigi c'était merveilleux. Cela faisait longtemps que je n'avais pas joui aussi fort.”)

Luigi, pour que Philippe comprenne, me répond en Français :

• Et moi, je n’avais jamais connu une femme qui enchaîne ainsi les orgasmes et qui éprouve autant de plaisir. Philippe, tu n’avais pas exagéré. Elle est exceptionnelle. J’ai pourtant pas mal d’expérience. Mais une femme comme ça, il faut l’avoir baisé au moins une fois dans sa vie.

Philippe s’approche du lit, nous offrant à chacun une coupe de champagne.

• Au cours de toutes ces années, j’ai vu tant d’hommes la baiser en ma présence, mais je ne me lasse pas de la voir jouir. Avec toi, c’était si fort, si intense, si beau. Merci pour cela ! À votre plaisir, Signora, Signore. Luigi, amico mio, conto su di te. Fai venire mia moglie. “(Luigi, mon ami, je compte sur toi. Fais jouir ma femme.”). Salute!
Philippe ne parle pas l’Italien. Il a donc préparé ces quelques mots à l’avance. C’est une façon de rester dans le cadre candauliste prévu et, en quelque sorte de tenter de me canaliser.
• Questo è quello che intendo fare durante questo soggiorno. (“C’est bien ce que je compte faire”).
• Et je t’en remercie, répond Philippe, montrant qu’il a compris ce qu’a dit mon amant.

Luigi trinque avec moi :

• Con nostro piacere! Ti fotterò di nuovo, troia mia, come vuoi tu. Strillerai come un cane femmina! (“A notre plaisir! Je vais te baiser à nouveau, ma salope, comme tu aimes. Tu vas couiner comme une chienne!”)

Je réponds, après que nous avons pris une gorgée de champagne :

• Ai nostri amori! Sono tuo. Io amo! (“A nos amours! Je suis à toi. Je t’aime!”)

Philippe ne peut ne pas avoir compris ce que je viens de dire, qui ne fait que confirmer mon comportement de ces derniers jours. À ce moment, Luigi n’aurait qu’un mot à dire, pour que je le suive, ce qui mettrait fin à mon couple. Je suis alors totalement sous son emprise.
Mais Luigi me regarde avec dureté, exaspéré par mon comportement. Il est un homme de principes et entend en rester à ce qui a été convenu avec Philippe. Luigi va avoir un comportement qu’il n’avait jamais eu jusqu’à présent, lui qui affirma avoir toujours été respectueux de ses partenaires. Le gentilhomme qu’il est va alors forcer sa nature, pour se montrer dominateur et même brutal, en me traitant comme je l’ai rarement été par les amants rencontrés jusque-là. Il pense qu’ainsi je finirai par refouler les sentiments qui me poussent vers lui.

• Ça suffit maintenant ! Olga, tu es et tu resteras la femme de Philippe. Faut-il qu’il t’aime pour accepter ton comportement !
• Philippe è l'uomo della mia vita e lo amerò per sempre. Ma sono diventata tua moglie. Se fosse possibile, vorrei vivere con entrambi allo stesso tempo. (“Philippe est l'homme de ma vie et je l'aimerai toujours. Mais je suis devenue ta femme. Si c'était possible, je voudrais vivre avec tous les deux en même temps.”)
• Sei bella, intelligente, colta. Ammetto di essere attratto da te, ma no, non sei mia moglie! Sei solo una piccola puttana, che ho scopato e che mi fotterò di nuovo prima che tu torni in Francia. (“Tu es belle, intelligente, cultivée. Je reconnais que je suis attirée par toi, mais, non, tu n'es pas ma femme! Tu n'es qu'une petite putain, que j'ai baisée et que je vais baiser encore avant que tu ne rentres en France.”)
Je comprends la complicité profonde qui s’est créée entre mon mari et mon amant. Luigi s’en tient à ce qui est convenu, quoiqu’il lui en coûte. Je me dis alors que j’ai encore quelques jours pour lui faire changer d’avis, comprenant que je ne lui suis pas indifférente.
• Smetti di parlare! Non perdiamo altro tempo. Fammi amare! Lo voglio così tanto! (“Cessons de parler! Ne perdons pas davantage de temps. Fais-moi l'amour! J'en ai tellement envie!”)
• In effeti! Inizierò rompendomi il bel culo. Voglio sodomizzarti, incularti! Mettiti a quattro zampe! (“En effet! Je vais commencer par casser ton joli cul. Je veux te sodomiser, t’enculer! Mets-toi à quatre pattes!”)

J’obéis. J’ai une longue expérience de la sodomie et je prends autant mon pied ainsi qu’en me faisant baiser. Je veux offrir ce plaisir à Luigi. Mais, en même temps, mes expériences avec de tels étalons commencent à dater, surtout avec des mâles qui pratiquent la sodomie sans modération et avec une certaine brutalité. Le dernier en date fut N, il y a déjà plus de six ans (voir les sept récits « Philippe et Olga, l’épouse hypersexuelle. Du candaulisme à l’adultère », publiés sur HDS entre le 27 octobre 2019 et le 4 mai 2020). Ceux choisis par Philippe, depuis cette désastreuse liaison, pratiquaient la plupart du temps la sodomie, mon cul ayant toujours provoqué ce désir chez les hommes. Mais ils le faisaient, sinon avec douceur, du moins en me préparant soigneusement et en veillant à la progressivité.

• È l'unico dei miei buchi che non hai ancora visitato. Tutto il mio corpo è tuo e voglio davvero che il mio maschio mi incula! Vieni, mio caro! (“C'est le seul de mes trous que tu n'as encore visités. Tout mon corps est à toi et j'ai très envie que mon mâle m'encule! Viens, mon chéri!”)

Philippe a repris son poste d’observatoire, sur son fauteuil. Il se masturbe doucement et encourage Luigi :

• Tu verras, Luigi, son cul est fait pour la sodomie, comme sa chatte pour le coït et sa bouche pour la fellation. Vas-y, ne te gêne surtout pas !
• Philippe, je sais que tu aimerais être à ma place et te prendre cette belle bite dans le fion. Dommage pour toi, mais Luigi n’est pas bi. Mais, avant de te branler, essaie de trouver un lubrifiant pour me préparer, car sinon je vais déguster.

J’ai fait très directement allusion, devant Luigi, au fait que Philippe est bisexuel passif. Est-ce inconsciemment une façon de le dévaloriser devant mon amant, pour que celui reconsidère son intention de ne pas prolonger notre relation à l’issue de notre séjour romain ? Philippe se contente de me répondre :

• J’ai oublié de prendre avec nous un tube de vaseline. Je peux aller vérifier ce qu’il y a à la salle de bains. Cela dit, tu t’es déjà pris par la voie étroite de sacrés calibres. Ça ne devrait donc pas poser de problèmes. Et en plus, tu as la chatte pleine de semence, Luigi peut s’en servir pour te lubrifier !
• Je préfère être bien préparée. J’ai une meilleure idée. Philippe, viens donc me faire une feuille de rose, me lécher le cul pour le préparer pour mon homme.

Philippe se lève, heureux de jouer enfin un rôle plus actif que celui de simple voyeur. Luigi lui fait signe que non.

• Hai finito di fare le buone maniere? Philippe ha detto: Hai già preso così tanti cazzi in culo che non sarà un problema! (“Tu as fini de faire des manières? Philippe l’a dit : tu t'es déjà tellement pris de bites dans le fion que ça posera pas de problèmes!”)
• Mi prendi così? Prosciugato? Bastardo! Mi farai del male! (“Tu vas me prendre, comme ça? A sec? Salaud! Tu vas me faire mal!”)
• Non sarò imbarazzato. Amerai! Voglio sentirti urlare, mia puttana. Prendi questo! (“Je ne vais pas me gêner. Tu vas adorer! Je veux t'entendre gueuler, ma putain. Prends-ça!”)

Et en effet, Luigi s’enfonce d’un coup, brutalement. Rarement un de mes amants ne m’a traité ainsi :

• Oh, mio Dio, mi stai facendo male! Per favore, tiralo fuori. Mi hai impalato. Stai per paralizzarmi! NO! Fermati, ti prego! È insopportabile! (“Ah, mon Dieu, tu me fais mal! Pitié, sors-la. Tu m'as empalé. Tu vas m'estropier! Non! Arrêtes, je t'en supplie! C’est insupportable!”)

Philippe, inquiet, est sur le point d’intervenir. Luigi lui fait signe de rester assis.

• Ne t’inquiète pas, ce n’est pas dans mes habitudes, mais elle a besoin d’une bonne leçon. J’ai compris comment elle fonctionne, ta jolie salope. Dans quelques instants, ce sera une tout autre musique.

Et en effet, Luigi, sans tenir compte le moins du monde de mes protestations qui d’ailleurs faiblissent, commence le coït anal. Il n’y va pas doucement. Il me ramone le cul, bien fort, en me mettant quelques claques sur les fesses. Pendant ce temps, je me branle le clito et me doigte la chatte pour tenter d’atténuer la brûlure de la pénétration. Je m’imagine que ce monstre va me démolir le trou du cul.

• Ahhhh. Vai avanti, ma prendilo con calma. Sto iniziando ad abituarmi al tuo calibro. Vacci piano, ti dico. Mi hai ferito terribilmente. Finirai per farmi del male. Finirò in ospedale. (“Continues, mais vas-y doucement. Je commence à m'habituer à ton calibre. Doucement, je te dis. Tu me fais terriblement mal. Tu vas finir par me blesser. Je vais terminer à l'hôpital.”)
• Ti piacerebbe mostrare il tuo bel culo ai dottori e alle infermiere, cagnolina! Da brava ninfomane, tutte le occasioni sono buone per farsi scopare. (“Ca te plairait de montrer ton joli cul aux médecins et aux infirmiers, espèce de chienne! En bonne nymphomane, toutes les occasions sont bonnes pour te faire baiser.”)

La douleur disparait peu à peu, et je prends du plaisir, beaucoup de plaisir. Pourtant, à part Rachid et N, aucun de mes amants ne m’a sodomisé aussi brutalement. Luigi se déchaine, ses couilles lourdes tapent sur mes fesses. Philippe regarde, partagé entre l’inquiétude et la fascination. Il se rend compte que mon excitation monte inexorablement.

• Je t’avais dit, Philippe, qu’elle aimerait ça ! Regarde son visage, écoute ses plaintes, ses gémissements. Elle est en train de prendre son pied. Tu m’avais raconté comment se comportaient avec elle ses amants les plus brutaux, Rachid et N, si je me souviens bien. Avec Olga, il faut y aller franco, c’est le secret pour la calmer.

Luigi m’encule de plus belle. Puis, s’adressant à moi :

• Prendi questo! Lo senti bene? (“Prends ça! Tu la sens bien?”)
• Oh, sì! Mettilo in fondo! Andare avanti! Ancora! Va bene! (“Oh, oui! Mets-la bien au fond! Vas-y! Encore! Que c'est bon!”).

Je sens une vague de chaleur partant de mon anus m’envahir, et remonter jusqu’à l’intérieur de mon ventre. Alors que Luigi se vide dans mon fondement, la vague de l’orgasme me submerge, en faisant résonner tous mes organes génitaux internes. Il y a longtemps que je n’avais pas eu un tel orgasme anal.

Je m’effondre sur le lit, brisée par la jouissance. Ma tête est enfoncée dans les coussins. Luigi sort sa queue de mon anus. Mon petit trou reste béant.

• Tu as vu ce que je lui ai mis. Tu peux vérifier, elle n’est pas blessée. Ce sera seulement très sensible pendant quelques jours.
• Je n’étais pas trop inquiet. Elle a beaucoup d’expérience dans ce domaine. Il faudra cependant s’arrêter demain à une pharmacie pour trouver une bonne pommade réparatrice.

Philippe s’approche alors de moi et me présente sa queue pour se finir dans ma bouche. Je veux lui faire comprendre que je n’en ai pas envie, mais Luigi, d’un ton dur, ne me laisse pas le choix :

• Non fare lo schizzinoso, piccola sgualdrina. Allevierai immediatamente tuo marito. Se lo merita! Girati e apri la bocca. Obbedire, puttana sporca! Succhialo! (“Ne fais pas la difficile, petite salope. Tu vas immédiatement soulager ton mari. Il le mérite! Tourne-toi et ouvre la bouche. Obéis, sale pute! Suce-le!”)

J’obéis à mon amant et Philippe me fourgue sa queue en bouche, s’enfonçant bien profond. Avec la complicité de Luigi, mon mari sort du rôle passif où je l’ai cantonné jusque-là. Philippe, loin de sa tendresse habituelle, m’impose un véritable coït buccal, à la limite du gorge profonde, faisant couler mes larmes, n’évitant les nausées que grâce à mon expérience. Je suis surpris par la résistance de Philippe, pensant que, excité par ce à quoi il venait d’assister, c’était affaire de quelques dizaines de secondes pour qu’il éjacule.

• Je veux qu’elle te respecte comme tu le mérites. Qu’elle n’oublie jamais ce qu’elle te doit.

Luigi prend alors envers moi un ton très dur :

• Donna, inginocchiati accanto al letto. Inizierai succhiandoci uno dopo l'altro. (“Femme, mets-toi à genoux près du lit. Tu vas commencer par nous sucer l'un après l'autre.”)

Il fait signe à Philippe de se mettre assis, comme lui, sur le lit.

• Inizierai col ripulirmi, stronzetta! (“Tu vas commencer par bien me nettoyer, petite garce!”)

Je m’exécute et prends en bouche cette belle queue qui m’a déjà honoré deux fois au cours de la soirée, y compris par la voie étroite. Je m’applique, accompagnant ma fellation de « hum » qui traduisent mon excitation.

• È perfetto! Lo fai meglio di una prostituta! E inoltre, sei libero. Si vede che ti piace. (“C'est parfait! Tu fais ça mieux qu'une prostituée! Et en plus, tu es gratuite. On voit que tu aimes ça.”)

Luigi me prend la tête et me fait un coït buccal. Je veux qu’il continue, jusqu’à ce qu’il éjacule. A nouveau, je ne pense plus à Philippe, seulement au plaisir de mon amant. Ainsi, en quelques heures, Luigi se sera répandu dans chacun de mes orifices. Je veux lui prouver que je me donne entièrement, que je suis à lui.

Mais Luigi ne l’entend pas ainsi :

• Je t’ai dit de t’occuper de nous deux. Je n’aime pas me répéter ! J’entends que tu m’obéisses. Mon ami Philippe a aussi droit à ta bouche. Tu vas nous pomper à tour de rôle. Surtout ne nous fais pas jouir tant que je ne te l’aurai pas dit.

Je fais ce que Luigi m’a ordonné et, pendant un long moment, je passe de la bite de l’un à celle de l’autre. Cela pourrait durer longtemps, les deux mâles se montrant particulièrement endurants.

• So che ti piace lo sperma. Avrai diritto ad una doppia dose! (“Je sais que tu aimes le sperme. Tu vas avoir droit à une double dose!”)

Je m’attends donc à les finir l’un après l’autre. Mais Luigi a autre chose en tête. Il demande à Philippe de se mettre debout. Je suis toujours à genoux.

• Spalanca la bocca! Ci prenderai entrambi in bocca contemporaneamente. Sarai ben soddisfatto! (“Ouvre bien la bouche! Tu vas nous prendre tous les deux en même temps dans la bouche. Tu vas être bien rassasiée!”)

J’ouvre la bouche le plus possible. Je prends en mains les deux verges pour mieux les prendre ensemble en bouche. Je sens que Philippe frissonne de sentir cette queue contre la sienne. Heureusement, Philippe n’a pas le même calibre que celui de Luigi. Mais il bande comme rarement. Je n’ai jamais eu la bouche remplie ainsi. Mes lèvres me font mal, je m’étouffe, mais les deux hommes n’abrègent pas la double fellation. Mon mari et mon amant sont complices comme jamais. De ma main libre, je branle mon clito.

• Tu es prêt, Philippe ? On va lui envoyer la dose en même temps !
• Oh oui, ça y est. Je viens !
• Riceverai una dose come non l'hai mai avuta. Ingoia tutto, fino all'ultima goccia! (“Tu vas recevoir une dose comme tu n'as jamais eue. Avale tout, jusqu'à la dernière goutte!”)

Mon mari et mon amant m’envoient plusieurs puissantes giclées qui se mélangent et que j’avale, pour ne pas m’étouffer.
Les deux mâles rugissent. Luigi marque sa domination en m’insultant :

• Troia! Sporca puttana! Cagna! Ninfomane! (“Salope! Sale Pute! Chienne! Nympho!)

Luigi a parfaitement compris que, dans ces moments où ma libido devient incontrôlable, je recherche de telles situations extrêmes, où je suis humiliée et traitée comme une vulgaire vide-couilles.
La soirée est déjà bien avancée. Luigi annonce qu’il est temps de se reposer.

• La journée sera longue demain. Après de tels moments, il est plus que temps de dormir.
• Già? voglio ancora! Luigi, voglio che tu faccia l'amore con me! (“Déjà? J'ai encore envie! Luigi, je veux que tu me fasses l'amour!”)
• Non ne hai mai abbastanza? Mi ucciderai! (“Tu n'en as donc jamais assez? Tu vas me tuer!”)
• Voglio farti morire di piacere! Visto che mi dai solo pochi giorni. (“Je veux te faire mourir de plaisir! Puisque tu ne m'accordes que quelques jours.”)
• Adesso basta. Femmina, poiché dici di essere mia, mi obbedirai! È ora di dormire. (“Ca suffit maintenant. Femelle, puisque tu dis que tu es à moi, tu vas m'obéir! Il est temps de dormir.”)

Je me soumets, en apparence. Nous éteignons les lumières et sommes dans le grand lit. Je suis nue, couchée entre mon amant et mon mari. Je fais un petit bisou à Philippe, puis me serre contre Luigi.

J’attends que les deux hommes s’endorment profondément, avant de passer à l’action. Je prends le sexe de Luigi en bouche pour provoquer son érection. Quand je juge que celle-ci est suffisante, je m’empale sur lui, choisissant la position d’Andromaque. Je dirige le coït, jusqu’au moment où Luigi finit par se réveiller. Il semble d’abord furieux, puis se laisse aller au plaisir. Sa volonté de me repousser faiblit avant de disparaitre. Nous nous embrassons fougueusement, ses mains empoignent mes seins, avant que de sa bouche il ne s’occupe de mes tétons durs de désir.

Je mets la main sur la bouche de Luigi, je contiens l’expression de mon plaisir, pour ne pas réveiller Philippe. Non pas pour faire les choses sans qu’il le sache, tout simplement pour respecter son repos, car il dort à poings fermés.

Avec Luigi, nous allons faire l’amour longuement, dans diverses positions, avant de céder enfin au sommeil.

Nous dormions encore profondément, quand le téléphone nous réveille brutalement. Il est 6h00 du matin et c’est ce qu’avait demandé Luigi la veille au soir. C’est lui qui décroche, le téléphone étant de son côté et qui remercie le réceptionniste d’une voie pâteuse.
Je proteste d’une voix pâteuse.

• Ils sont fous dans cet hôtel ! Je veux dormir !
• Il fallait y penser avant et être raisonnable. Mais tu en es parfaitement incapable. Une voiture de location nous attend dans une heure devant l’hôtel, pour que nous puissions aller à Tivoli, visiter la Villa Hadriana. Tu as bien dormi, Philippe ?
• Pas vraiment ! J’ai eu l’impression que, toute la nuit, on a fait l’amour à mes côtés.

Je me précipite dans les bras de Philippe. Je me fais très tendre, en l’embrassant avec fougue :

• Mon amour, pardonne-moi. J’avais encore envie de Luigi. Et je ne voulais pas te réveiller !
• Tu sais bien que je ne t’en veux pas et ça ne me surprend pas. Je te connais tellement bien, mon Olga !
• Tu es un homme exceptionnel, mon Philippe.
• Nous parlerons de tout cela à notre retour. Il y aura quelques mises au point à faire.

Luigi se défend :

• Je suis désolé de lui avoir cédé, mais cette garce m’a tellement harcelé que je n’ai pas pu résister. Elle a fini par se calmer vers 3h00 du matin. Elle va vraiment me tuer si elle continue comme ça jusqu’à la fin de la semaine !

Luigi me pousse alors sans ménagement hors du lit et me dirige de force vers la douche. Il veut reprendre le contrôle de la situation et cela passe par le programme qu’il a concocté, sur les traces d’Hadrien et de Faustine, à Tivoli et à Ostie.

***

(A suivre)

Les avis des lecteurs

@ Lucie, ce fut une sodomie d'anthologie. Et, en effet, profitant que Philippe semblait dormir profondément,un adultère.

Histoire Libertine
Luigi affirme si bien son autorité...cette façon qu'il a de te mettre à ta place avec cette sodo...à sec...heureusement que la chambre était bien isolée. des cris si motivant pour ton male...
après t'avoir...éduqué par la chatte puis le cul, il finit sa leçon avec ta bouche, avec la même fermeté, complice de Philippe
tu ne pourras pas te priver de vouloir remporter la dernière manche...de t'offrir cette forme d'adultère nocturne en profitant seule de Luigi...Philippe avouant qu'il l'a laissée faire...connaissant ton gout en ce domaine
Lucie

Oui, quand je suis hors de contrôle, une telle situation m'excite, je le reconnais.
Pour nuancer ce que tu dis:
- lors du mariage, c'est Philippe qui m'a poussé dans les bras de Pierre
- A Rio, je lui ai immédiatement avoué ce qui s'était passé
- Il était au courant pour Rachid et N. Pour Hassan, oui ça a débouché sur un divorce, avant que nous nous retrouvions et nous marions à nouveau
- Pour Denis, oui, je lui avais caché, mais j'étais furieuse de la relation qu'il avait eue à l'époque avec Ambre.

Histoire Erotique
Donc tu étais consciente de ce que tu faisais! Dis-moi la vérité? Ca t'excitait de faire ça, de tromper ton mari, alors qu'il dormait à côté de vous? Je tire cette conclusion de ce que tu as fait si souvent, de mémoire et j'en oublie certainement:
- le soir de ton premier mariage, avec Pierre, le témoin de ton mari
- lors de ce séjour au Brésil, avec des inconnus à Rio
- la première fois avec Rachid, dans l'ascenseur de votre immeuble
- dès ta première rencontre avec Hassan, puis plus tard avec N
Alfred
- avec ton chef, Denis, lors de ta tentative de reprendre une activité professionnelle.

@ Alfred, oui on n'était plus dans un cadre candauliste, mais adultère, à partir du moment où j'étais tombée amoureuse de Luigi

Histoire Erotique
@ Olga, en faisant cela, n'avais-tu pas conscience d'être adultère?
Alfred

@ Alfred, j'ai rarement pris mon pied comme lors de cette nuit. Et, s'agissant de ta dernière remarque, j'avais une envie folle de Luigi, je n'en n'avais jamais assez, je ne pensais qu'à ça.

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J'ai adoré les scènes de cul qui émanent ce chapitre. Comment tu t'es fait casser le cul par Luigi, ou encore la double fellation. Tu es quand même une sacrée salope pour avoir remis le couvert, alors que ton mari dormait à vos côtés!
Alfred

@ Micky, merci. je dois que cette sodomie, je m'en souviendrai. J'ai beaucoup joui, mais elle était très douloureuse!

Il est extrêmement rare qu'une femme raconte une expérience de sodomie avec une telle précision et, j'ose le dire, une telle émulation... Olga nous étonnera toujours et c'est pour ça qu'on l'aime.

@ Lecteur inconnu. Oui cette complicité a été très forte entre Philippe et Luigi. Cette double fellation en est une illustration

Histoire Erotique
Ce que j'apprécie est que Luigi n'ait pas oublié de te partager avec Philippe. La double fellation est aussi un moment d'anthologie!

Je confirme, Norbert!

Histoire Erotique
Ca, c'est une sodomie que tu n'es pas prête d'oublier!
Norbert

Histoire Libertine
Bravo La chipie, votre commentaire fait le plus grand bien. Comme ça, c'est dit!
Julie

Merci La chipie, c'est cash, mais c'est clair!

Histoire Libertine
Paroles Paroles de Dalida c’est valable pour les casos comme Kamel, Sofiane !!!
Alors juste pour refaire 1 mise au point :
1 femme qui aime le plaisir on pourrait la qualifier de salope par les cadavres misogynes !!!
1 pute nique pour l’argent !!!!

Olga profite de la vie ne vous en déplaise.

Vous faites chier sérieux à emmerder le monde tous autant les uns que les autres !!!

Olga a eu 1 crush comme diraient les gamins. Donc on se détends du string.

Quand à Luigi il jouait 1 rôle en accord avec Philippe. Soit dis en passant Philippe lui a porté ses couilles !!!

Donc arrêtez de lire surtout si c’est pour traquer 1 femme qui assume elle au moins et le monde avec vos remarques désobligeantes et ce de manière systématique.

Vous avez donné l’exemple de prénoms sauf que c'était juste des putes qui n’avaient qu’un seul plaisir traiter les femmes comme de la merde.

La chipie

NB : non je ne crains rien donc pas la peine de monter dans les tours je m’en bas les couilles.

@ JP, merci pour Philippe!

Histoire Erotique
Je veux dire mon admiration pour Philippe, qui n'hésite pas à venir nettoyer la chatte d'Olga quand elle a été remplie par un amant ou qui pratique sans hésiter une feuille de rose. Je me demande jusqu'où il est allé lors de cette escapade romaine
JP (le mari candauliste de Steph)

Merci à Didier pour sa réponse cinglante à Kamel et Sofiane. Luc a rappelé en quelques mots le parcours de ces deux personnages qui ne méritent pas qu'on s'y intéresse.
Merci aussi à Steph, qui me comprend pour avoir eu des expérience similaires
@ D, merci pour ton fidèle soutien. Tu as parfaitement ressenti le message que j'ai voulu passer. Bisous, ma douce!

Histoire Libertine
Bon, soyons franche, une telle sodomie ne serait pas du tout, vraiment pas du tout, ma tasse de thé !
Mais, et je devrais écrire "MAIS", c'est Olga qui la vit et la raconte, et dès lors tout change. Car ce jeu de dominant-dominée sous l'égide du complice-complaisant n'est rien d'autre que l'expression de l'amour et du respect qui lient chacun des trois. Et cela, oh que oui, je le comprends.
Je n'ai pas mouillé ma culotte, chère Olga, je n'ai eu que l'envie irrépressible de t'embrasser.
D.

Histoire Erotique
Bravo Didier pour cette réponse magistrale envoyée à Kamel et Sofiane.
Je répète que je suis le parcours d'Olga depuis longtemps et je teins à dire que ces deux-là sont pires que ne l'étaient leur pote Rachid (ils étaient ses complices, organsiant les séances hebdomadaires d'Olga avec les jeunes de la Cité) ou encore ce sale type de N
Ils détestent Olga car elle a échappé à leur emprise. Je ferai une mention spéciale à Kamel, qui a été jusqu'à trahir son frère Hassan, au moment où Olga était l'épouse de celui-ci.
Alors en effet, il serait temps qu'ils lui fichent enfin la paix!
Luc

Histoire Libertine
@ Didier, entièrement d'accord avec toi. Et bravo à Olga pour son courage et sa franchise!
Steph

@ Steph, je confirme que la réponse est oui tant pour Philippe, qui a été comblé, que pour moi, qui n'avais pas eu autant de plaisir depuis longtemps. Et en effet tu as raison de dire que nous sommes allés plus loin que le candaulisme stricto sensu.

@ Daniel, oui une vraie complicité. Philippe et Luigi avaient beaucoup échangé avant ce voyage, Philippe n'avait rien caché de notre histoire et avait fourni à Luigi des photos intimes, notamment où je suis "en situation". Les deux hommes ont beaucoup sympathisé. Outre le caractère de Luigi, qui par principe refuse de détruire un couple et une famille, le jeune homme a un vrai respect pour mon mari. La suite du récit confirmera la proximité entre les deux hommes
@ Didier, c'est exactement de cela. Même si je reconnais que nous étions au-delà d'une relation candauliste classique.

Histoire Libertine
Merci Olga pour ta réponse. Elle me confirme qu'on est dans une zone grise, entre candaulisme et adultère. L'essentiel étant que tu aies eu beaucoup de plaisir et que, Philippe ait été comblé du point de vue de son candaulisme.
Steph

Histoire Erotique
@Kamel et Sofiane, je respecte profondément la liberté d’expression, et chacun est libre d’exprimer son opinion, mais encore une fois vous devenez pénible à force avec vos propos désobligeants.
C’est le fait de ne plus pouvoir profiter des faveurs d’Olga, qu’elle accorde à d’autres désormais, qui vous rend si acerbe?
Je me répète, mais Il faudrait penser à murir un peu, à tourner la page, à laisser le passé où il est et surtout arrêter tout ce dénigrement envers Olga.…
Didier

Histoire Erotique
@Olga, merci.
@Steph, comme l’a si bien écrit et rappelé Luc, Olga fait un travail de « Cartharsis » avec ses récits.
J’ai la conviction que si elle avait franchi la ligne rouge de l’adultère avec Luigi, elle aurait eu le courage de nous l’écrire.
Je suis également persuadé que si Philippe avait senti un réel danger dans cette relation il y aurait mis un terme illico.
De plus, on ne sait pas vraiment de ce qu’il a convenu avec Luigi dans leurs différents échanges…
Didier

Histoire Erotique
Il y a une vraie complicité entre Philippe et Luigi
Daniel

@ Steph, bien sûr que c'était compliqué pour moi. J'étais fortement attirée par Luigi. Dans ce domaine, on se peut se contenter de faire "un reset" et de passer à autre chose. Je reconnais que nous avons eu de la chance d'être tombé sur Luigi, qui n'a pas abusé de la situation. J'en reparlerai dans la suite de ce récit, en particulier de ce moment où, Philippe endormi, j'ai fais l'amour avec Luigi.
@ lecteur anonyme, Philippe ne parle pas l'Italien, alors que moi je le parle couramment. Ce n'était pas pour qu'il ne comprenne pas, car les deux langues sont proches, comme l'a souligné Julie. Ca s'est fait spontanément et, par cet exercice d'écriture, je n'ai rien caché à Philippe
@ Luc, merci pour cette intervention pertinente qui relativise les choses
@ Clara, je peux confirmer que Luigi n'est pas du tout comme ça. Il n'est pas le macho italien caricatural, il est au contraire un homme cultivé, fin, respectueux. Il a joué ce rôle, pensant ainsi décourager les sentiments qui me poussaient vers lui. Je veux ajouter qu'en temps normal, un tel comportement me révolte moi aussi. Mais dans l'état d'excitation où je me trouvais, j'avais un tout autre comportement
@ Kamel le "no comments" vaut évidemment pour toi aussi. je ne renie ni mes actes, ni mes écrits. Mais le seul qui est en droit den juger, c'est Philippe, certainement pas toi ou Sofiane!

Histoire Libertine
Comment as-tu pu accepté d'être traitée ainsi par Luigi? Son machisme me révolte!
Clara

Histoire Erotique
@ Sofiane, "no comments" elle a dit? Aux lecteurs qui ne la connaissent pas, je conseille de lire les récits suivants, publiés sur HDS:
- "Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (10) : Rachid et Olga", publié le 1er janvier 2017
- "Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (30) : Olga et Hassan." publié le 22 août 2017
- "Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (1)", publié le 27 octobre 2019.
Il s'est passé la même chose cette fois, sauf que Luigi a été assez bête pour ne pas en profiter au-delà de quelques jours.
Ces textes sont édifiants. dans les trois cas, Olga n'avait jamais rencontré Rachid, Hassan ou N, mais s'est offerte à eux et est tombée amoureuse de ces inconnus. Il y a beaucoup d'autres textes très édifiants.
Didier dans son commentaire a utilisé le bon terme pour te qualifier. je le reprends volontiers, mais en enlevant les guillemets.
kamel

Histoire Erotique
Suivant Olga depuis longtemps (ça remonte aux temps de son blog, aujourd'hui disparu), je confirme que ses textes autobiographiques ont toujours été écrits sous le signe de la "catharsis"
Envers Philippe, ce récit ne va pas aussi loin que ce qu'Olga avait écrit et pratiqué avec Rachid, Hassan ou encore N
Luc

Histoire Erotique
Pourquoi ce choix des dialogues en Italien? Pour que Philippe ne comprenne pas?

Histoire Libertine
@ Didier, pour être passée par là, pas question d'en faire le reproche à Olga. Mais on s'éloigne du candaulisme.
J'en veux pour preuve quand Olga dit à Luigi:" Ai nostri amori! Sono tuo. Io amo! (“A nos amours! Je suis à toi. Je t’aime!”)". C'est en Italien, mais c'est sans ambiguités!
Et le fait de faire l'amour avec son amant, alors que Philippe dort profondément, n'est-ce pas de l'adultère?
Ceci étant dit, je le répète, un constat, pas une critique, car c'est bien Philippe qui a provoqué cette situation, qui a pris un grand risque
Steph

Merci à Maurice, Julie, Henri et Didier. Quant à Sofiane, "no comments"!
Comme je l'ai toujours fait dans mes publications autobiographiques, j'ai toujours fait le choix de la transparence, sans rien occulter, y compris quand ça ne m'est pas favorable.
@ Didier, fidèle et attentif lecteur, tu as bien perçu les choses. Ton interprétation est pleine d'indulgence et je t'en remercie car je sais que les apparences sont contre moi

Histoire Erotique
Olga,
En préambule à mon propos merci une fois de plus pour cette totale transparence dont tu fais preuve encore une fois dans cet écrit.
Mais quelle nuit tu nous offres là !!!
Elle est tout autant torride, hardissime dans les ébats que surprenante de par ton attitude.
Rompant avec vos habitudes, tu positionne ton bien-aimé Philippe dans un strict rôle de spectateur pour te consacrer exclusivement à ton nouvel amant Luigi dont tu as tant envie.
Cependant celui-ci, toujours dans un souci de se, de vous protéger de tout sentiment, et surtout de préserver l’harmonie de ton couple atypique, fait preuve envers toi d’une incroyable dureté en se faisant macho et dominateur.
Ne te considérant que comme une véritable, une vulgaire "putain", il te prodigue sans aucune préparation une sodomie autant douloureuse que jouissive, pour enfin et sans aucune hésitation te partager avec Philippe pour une double fellation.
Nullement repue par ces étreintes, tu profites alors, que Luigi endormi soit vulnérable, pour le "violer" afin d'assouvir ton insatiable libido.
Celui-ci surpris, dépassé par ton audace, et ne pouvant revêtir sa "carapace protectrice" de macho dominateur, cède donc à tes assauts en te faisant l'amour une partie de la nuit à côté d'un Philippe endormi.
Malgré ce que certains vont penser, je ne vois point là un adultère mais juste une femme, qui avec l’assentiment de son époux, assouvit à l’extrême son désir de se faire saillir afin de combler de longs mois de frustration.
De plus, dès le réveil n'as-tu pas avoué tes actes à ton grand amour Philippe, sur le coup complaisant et consentant.
Puis ne dit-on pas "faute avouée est à moitié pardonnée... "
Didier

Histoire Libertine
Le fait de reproduire vos échanges en Italien renforce encore l'érotisme torride de ce texte
Merci de nous avoir fourni les traductions, même s'il y a une grande parenté entre les deux langues latines
Julie

Histoire Erotique
Une sodomie d'anthologie! Bravo pour ton courage de raconter dans le moindre détail, même quand ce n'est pas forcément à ton avantage
Henri

Histoire Erotique
Il n'y a pas à dire. Rachid avait le premier compris ton fonctionnement et comment tu aimes qu'un mâle se comporte avec toi
Sofiane

Histoire Erotique
Waouh! C'était chaud!
Maurice



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (5).
Histoire sexe : Une rose rouge
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