Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (6).

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (6). Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2023 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (6).
AVERTISSEMENT

Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin, 16 et 30 juillet ainsi que le 18 août 2023.

RESUME

En ce mois de mai 2023, Philippe et moi nous sommes à Rome, pour revenir sur des lieux qui sont le cadre de mes récits érotico-historiques à l’époque de la Rome impériale, soit déjà écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine ».

Philippe a, comme toujours, tout organisé. Il a soigneusement choisi le programme et le guide. Luigi est docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome impériale. Âgé de 28 ans, il est viril et beau comme un Dieu. Philippe entendait bien en effet que nous profitions du séjour pour renouer avec nos pratiques candaulistes, que nous ne pouvons guère assumer qu’épisodiquement, compte tenu des contraintes de la vie familiale et professionnelle.

Ce que Philippe n’avait pas prévu est que Luigi et moi, malgré une différence d’âge de près de 20 ans, nous puissions « flasher » l’un sur l’autre. Le début du séjour s’est passé dans une très forte tension érotique et sentimentale.

Revenus à l’hôtel, nous venons de passer, Luigi et moi, une nuit torride, en présence de Philippe. Il y avait longtemps que je n’avais pas eu autant de plaisir. Luigi, pour tenter de décourager les sentiments qui me poussent vers lui, s’est comporté en abominable macho, m’infligeant en particulier une sodomie particulièrement brutale. Loin de me décourager, je l’ai peu laissé dormir, le poussant à me faire longuement l’amour jusque tard dans la nuit. Nous avons donc peu dormi, alors que la réception nous a brutalement réveillés, comme Luigi le lui avait demandé la veille au soir. Une longue journée nous attend en effet, alors que nous sommes épuisés par les excès de cette nuit.

***

Prétextant que je ne voulais pas le réveiller, je viens d’obtenir l’indulgence de Philippe pour avoir continué à faire l’amour avec mon amant, alors que mon mari dormait à nos côtés. Il est vrai que je voulais préserver le sommeil de mon mari candauliste, qui dormait profondément après les moments torrides que nous venons de vivre. Mais je voulais aussi profiter de l’autre Luigi et sa vraie personnalité, loin du rôle de macho brutal qu’il affecte de jouer. J’avais adoré ce qu’il m’a fait depuis le début de la soirée, mais j’avais envie d’autre chose. Non plus baiser, mais faire l’amour. Luigi s’est laissé aller et a révélé sa vraie nature, celle qui m’a séduite depuis que je l’ai rencontré et qui me pousse vers lui.

Nous avons pris tout notre temps, échangeant baisers et caresses. Luigi m’a fait l’amour avec beaucoup de douceur et de tendresse. Le plus difficile pour moi fut de retenir mes cris de plaisir, moi qui suis d’habitude très vocale. C’est au fond de mon utérus que mon amant s’est fini, alors que je murmurais à son oreille :

• È così bello quello che mi fai! Io amo! (“C'est si bon, ce que tu me fais! Je t'aime!)

Luigi ne répondit pas. A la façon dont il m’embrassa, son silence ne valait pas approbation, mais témoignait au moins de son trouble.

Au moment où je repense à tout cela, me sentant mal à l’aise envers Philippe et ne sachant pas comment tout cela va se terminer, Luigi me tire sans ménagement hors du lit et me dirige de force vers la douche. Conscient qu’il a eu un moment de faiblesse au cours de la nuit, il veut reprendre le contrôle de la situation et cela passe par le programme qu’il a concocté en tant que guide, les deux prochains jours, sur les traces d’Hadrien et de Faustine, à Tivoli et à Ostie.

Nous prenons chacun une douche réparatrice et je me prépare dans des délais record, le maquillage cachant la fatigue de mes traits. Nous pratiquons moins souvent qu’auparavant ce genre d’excès, sans oublier l’effet de l’âge. Mon anus est encore douloureux de la sodomie brutale d’hier soir. Pour autant, je suis partante pour remettre ça, dès que possible.
Je choisis de mettre un tee-shirt échancré, sans soutien-gorge, et de porter un jeans, avec en dessous un mini-string. Je me dirige vers Luigi, qui abhorre une barbe de deux jours et dont la chemisette est bien ouverte sur une poitrine musclée et velue. Je me serre dans ses bras, ce qui me permet de constater qu’il bande et qu’il ne peut cacher l’effet que je lui fais. Luigi me repousse, assez agacé :

• Tu n’as pas oublié quelque chose ce matin ?
• No, non credo. Solo che ti voglio sempre! (“Non, je ne pense pas. A part que j'ai en permanence envie de toi!”)
• Je t’ai déja dit que Philippe est mon ami et que tu es à lui, seulement à lui. Tu as la chance, parce qu’il t’aime et qu’il est candauliste, qu’il te laisse faire tout ce dont tu as envie, comme hier soir et cette nuit avec moi.
• Philippe est l’homme de ma vie, je le sais et je l’aime. Mais, en ce moment, je me sens attirée par toi.
• Philippe m’a dit et tu me l’as confirmé, que, depuis que vous êtes ensemble, tu l’as chaque matin ou presque gratifié d’une fellation, même quand tu étais amoureuse d’autres hommes, comme Rachid, Hassan ou N.
• C’est vrai. C’est la pratique de notre couple, notre rite. Mais, ce matin, nous sommes pressés, nous devons prendre rapidement notre petit-déjeuner avant qu’on ne nous amène notre véhicule pour Tivoli.
• Philippe doit être ta priorité. Tu vas m’obéir, femme et t’occuper de ton homme !
Philippe écoute, interloqué, un peu choqué de la façon dont Luigi me traite.
• Je te remercie, Luigi, mais je ne veux pas qu’elle soit forcée à le faire. Seulement si elle en a envie.
• Philippe, je veux te faire comprendre comment il faut te comporter avec une telle femme. Sinon, un jour, vous ne tomberez pas sur quelqu’un comme moi, qui suis un homme d’honneur et de parole, mais sur un salaud, comme ce fut le cas avec N. Et votre couple ne s’en remettra pas cette fois. Olga est ta femme, elle adore tailler des pipes. Donc, on ne lui impose rien. On lui fait commencer la journée comme elle a l’habitude de le faire.

S’adressant à moi :
• Affrettarsi! Sulle tue ginocchia! Decomprimi i pantaloni, tira fuori il suo cazzo e succhia! (“Dépêches-toi! A genoux! Ouvre son pantalon, sors sa bite et suce!)

A part Rachid et N, aucun de mes amants ne m’a traité ainsi. Pourtant, je m’exécute, sans discuter. Je me mets à genoux devant Philippe, ouvre sa braguette et sort de son slip sa verge. A ma grande surprise, il a une belle érection. Il est clair que la façon dont Luigi me domine l’excite beaucoup. D’habitude, lors de cette fellation matinale, notre rite est que j’ai l’entière initiative. Cette fois, c’est différent : Philippe me fourgue sa queue bien au fond de la bouche, me tient la tête et commence un véritable coït buccal. Nous sommes proches d’une gorge profonde.

• Oh, chérie, c’est toujours aussi bon ! Comme ta bouche est bonne !
• Crois-moi, il faut que tu apprennes à lui parler comme elle le mérite. Dis-lui ce qu’elle est : une salope, une catin, une cochonne !
• Je ne peux pas lui parler comme ça. Je l’aime. Même si je sais qu’elle est une salope, MA salope !
• Tu as tort. Crois-moi, je vais profiter de ces quelques jours pour te montrer comment elle aime être traitée par un mâle. Si elle ne t’avait pas rencontré, si tu n’avais pas pardonnée son comportement et ses trahisons, elle serait déjà sur le trottoir.

Je ne réagis pas aux propos de Luigi, m’appliquant à faire monter le plaisir de Philippe, qui même dans ces circonstances, vient de me réaffirmer son amour. Et mon mari ne tarde pas en effet à éjaculer, m’envoyant trois puissantes giclées dans la bouche et dans la gorge.

• Ah oui, oh que c’est bon ! Prends ça, salope, avale-tout !

Jamais je n’avais entendu Philippe me parler ainsi, même si je sais qu’il s’est laissé entraîner par Luigi. Philippe me relève et, alors que j’ai soigneusement avalé sa semence, jusqu’à la dernière goutte, il me prend dans ses bras, pour un long baiser amoureux. Luigi me donne une tape sur les fesses.

• È perfetto. È così che voglio che ti comporti. Sei una brava cagnolina! (“C'est parfait. C'est comme ça que je veux que tu te comportes. Tu es une bonne chienne!”)

Puisque Luigi se montre dominateur, je vais, moi aussi, jouer totalement le jeu de la soumission, pour bien lui montrer que je fais tout ce qu’il veut.

• Sei soddisfatto della tua puttana sottomessa? Puoi fare tutto quello che vuoi con me, purché mi scopi. Sono tuo. (“Tu es satisfait de ta putain soumise? Tu peux faire de moi tout ce tu veux, du moment que tu me baises. Je suis à toi.”)

Luigi consent à me donner un rapide baiser sur les lèvres.

• Maintenant que votre rite matinal a été pratiqué et que cette petite garce a eu sa dose de sperme, allons prendre rapidement le breakfast, car nous ne sommes pas en avance.

***

Nous n’avons guère pu profiter du magnifique buffet proposé par l’hôtel, seulement avaler un expresso bien corsé pour affronter cette journée.
Le véhicule de location choisi par Luigi nous attend, non devant l’hôtel, mais au grand parking situé près de la villa Borghèse, sur la via del Muro Torto, car la circulation des voitures dans le centre historique de Rome est interdite du lundi au samedi de 6h30 à 18h. Luigi est fier de présenter le véhicule qu’il a choisi : il s’agit dune nouvelle Fiat 600e, couleur « Sea of Italy » Une fois de plus, Philippe n’a pas lésiné sur le coût, lui qui veut toujours le meilleur pour moi.

• Voilà, Madame, Monsieur. Montez à bord de Nouvelle Fiat 600e, toute électrique et laissez-vous séduire pour vivre intensément la Dolce Vita italienne et vous offrir le plus grand confort, grâce à son habitacle spacieux, ses technologies de pointe ou encore son autonomie de 600 km en cycle urbain.
• Pour ma part, je préfère d’autres aspects de la Dolce Vita, par exemple faire l’amour avec un latin lover.
• A propos de « latin lover » et de nuits blanches ou presque, je ne me sens pas très en forme pour conduire. Philippe, je vais régler le GPS sur sa version française. Ca te dérange si je te laisse le volant ? Je suis désolé, la responsable, c’est elle !
Philippe n’est manifestement pas ravi :
• Ben, tu sais, Luigi, conduire à Rome, ça ne m’enthousiasme pas vraiment !
• Allons chéri, toi qui as l’habitude de conduire à Paris et qui a déjà circulé à Athènes. Ca ne doit pas être pire. Allez, mon amour, dis oui. Comme ça je m’installe à l’arrière avec Luigi.
• Décidément, tu me fais faire des choses incroyables ! OK, puisque tu insistes !
A croire que, pour mon chéri, conduire à Rome était pire que d’accepter que d’autres hommes baisent sa femme ! Philippe prend le volant, essayant de ne pas communiquer son stress. Luigi et moi sommes confortablement installés à l’arrière. Je suis dans les bras de mon amant, réclamant des baisers. Luigi essaie de rassurer le conducteur :
• Ne t’inquiète pas Philippe, l’important c’est que cela circule. Une expression dit : « à Rome, fais comme les Romains ». Alors oublie les priorités, oublie les « stop », passe les feux orange, et, quand tu veux stationner, gare-toi comme les autres. Je plaisante bien sûr, il faut évidemment respecter la loi !
• Pourquoi tes compatriotes klaxonnent-ils tout le temps ?
• L’utilisation du klaxon est normale et ne traduit généralement rien de plus, si ce n’est la présence de quelqu’un. A Rome, on klaxonne comme on parle. Sois prudent, mais pas de stress, les accrochages sont rares.

J’ai bien l’intention de profiter de ce moment avec Luigi, alors que Philippe est au volant. Depuis notre départ, je le harcèle, ma main est posée sur son pantalon de toile et je caresse sa belle queue. Luigi tente de résister, mais déjà il bande :

• Arrête, Olga, s’il te plait ! Je veux me reposer et aussi suivre la route, si Philippe a besoin de moi. Tu n’en n’as donc jamais assez ?
• No, non potrò mai averne abbastanza. Ti voglio sempre. Siccome mi concedi solo pochi giorni, approfitto di ogni momento. Baciami amore mio! (“Non, je n'en ai jamais assez. J'ai tout le temps envie de toi. Comme tu ne m'accordes que quelques jours, je mets à profit chaque instant. Embrasse-moi, mon amour!”)

Philippe règle son rétroviseur de façon à voir ce qui se passe à l’arrière. Luigi se dit que, si Philippe laisse faire, pourquoi se gênerait-il ?

• Mi fai impazzire! Sei la più grande troia che abbia mai incontrato. (“Tu me rends fou! Tu es la plus grande salope que je n'ai jamais rencontrée.”)
• Sono la tua cagna e voglio essere tua moglie. Io amo! (“Je suis ta salope et je veux être ta femme. Je t'aime!”)

Une fois encore, Luigi ne répond pas à ma déclaration. Il se contente, en quelque sorte, de m’embrasser fougueusement. Il me fait enlever mon tee-shirt, afin de pouvoir empoigner à pleines mains mes seins, les caresser, sucer longuement mes tétons. J’ouvre la braguette de Luigi et sort sa queue, pour pouvoir la prendre en bouche.

• Philippe, je sais que ce qui se passe à l’arrière te concerne, t’intéresse et t’excite. Mais fais quand même attention à la circulation. Ce n’est pas le moment d’avoir un accident, même si cette garce serait ravie d’acheter l’indulgence des policiers en s’offrant à eux !

Nous sommes coincés dans un embouteillage, alors que je suis en train de faire une fellation à mon amant. Luigi dit à Philippe :

• Déverrouille et ouvre les fenêtres arrière. Que nos voisins profitent du spectacle !

Mon exhibitionnisme me fait perdre toute retenue. Je me redresse et enlève mon jeans, en me contorsionnant. J’écarte mon mini-string et vient m’empaler sur Luigi. Je me mets d’abord assise sur lui, le dos contre lui, de façon à ce que Philippe puisse voir la montée du plaisir sur mon visage, alors que mon amant prend en main ma poitrine. Le coït se prolonge et est violent. Je change de position, me plaçant cette fois face à Luigi, pour pouvoir l’embrasser. Jamais je n’avais fait ça dans une voiture en pleine circulation et, en plus, avec mon mari au volant.

Au moment où j’atteins un orgasme très violent et où Luigi se vide en moi, nous entendons un grand coup de klaxon et un freinage brutal. Philippe, distrait par le spectacle torride qui se déroule à l’arrière et qu’il a suivi grâce au rétroviseur, a évité de justesse l’accident. Philippe nous dira qu’il a joui, sans même s’être touché. L’autre conducteur, qu’il a failli emboutir à un carrefour, est furieux :

• Cornuto! Non puoi prestare attenzione alla strada invece di guardare cosa fa la puttana dietro? (“Espèce de cocu! Tu ne peux pas faire attention à la route, au lieu de regarder ce que fait cette putain, à l'arrière?)

Je réagis au quart de tour :
• Beh, sì, mi faccio scopare dal mio amante, mentre mio marito guida. In che modo questo ti riguarda? Figurati che piace a mio marito e che, io, ho preso il mio piede! (“Eh bien, oui, je me fais baiser par mon amant, pendant que mon mari conduit. En quoi cela te concerne-t-il ? Figures-toi que mon mari aime ça et que, moi, j'ai pris mon pied !”)

Le type est sidéré. Il redémarre. Nous avons toutefois droit au célèbre « signe des cornes », avec un poing fermé, seuls l'index et l'auriculaire sont tendus. En même temps, nous recevons ses injures, chacun d’entre nous étant en quelque sorte servi :

• Cornuto! Puttana! Gigolo!

Nous éclatons de rire.

• C’est certainement un Napolitain ! Il faut reconnaître que nous l’avons bien cherché. Au moins nous avons évité les « carabinieri ». Mais c’est la première fois que je me fais traiter de gigolo, dit Luigi. Olga, rhabille-toi, il faut s’arrêter à une pharmacie pour acheter un baume apaisant pour ton cul, il serait dommage qu’il ne soit pas opérationnel dans les prochains jours.

Luigi m’accompagne, alors que Philippe reste dans la voiture. Luigi, qui connait le pharmacien, m’évite ainsi des explications un peu délicates :

• Piétro, ho sodomizzato mia moglie un po' brutalmente e il suo ano è irritato. Avremmo bisogno di un balsamo. (“Piétro, j'ai sodomisé ma femme un peu brutalement et son anus est irrité. Nous aurions besoin d'un baume.”)
• Non sapevo avessi una relazione. Congratulazioni! (“Je ne savais pas que tu étais en couple. Félicitations!”)
• Sono infatti la guida di una coppia francese venuta a trascorrere qualche giorno a Roma. Il marito mi ha messo a disposizione la moglie per qualche giorno. (“En fait je suis le guide d'un couple de Français venus passer quelques jours à Rome. Le mari a mis sa femme à ma disposition pour quelques jours.”)
• Mio marito è candaulista. Adora farsi scopare da un altro uomo davanti a lui. (“Mon mari est candauliste. Il adore qu'un autre homme me baise devant lui”)
• Bravo Luigi! Hai ragione ad approfittarne. Sembra molto calda! (“Bravo, Luigi! Tu as bien raison d'en profiter. Elle a l'air très chaude!”)
• Non puoi immaginare quanto! È un vulcano e lei mi sta esaurendo. Chiamami, ho una proposta per te. (“Tu ne peux pas imaginer à quel point! C'est un volcan et elle m'épuise. Téléphone-moi, j'aurais une proposition à te faire”.)

Alors que Luigi me donne une tape sur les fesses, marquant ainsi publiquement sa possession, le pharmacien, avec un sourire égrillard, nous vend du « Baume Q », crème anti-irritation anus – fabriquée par le laboratoire Baûbo. Luigi en profita aussi pour acheter, chez le même fabriquant le « baume vulve soins intimes ». Le pharmacien ne peut s’empêcher d’ajouter :

• La signora ha un culo che ti fa venir voglia di incularla. Ma fallo con moderazione per alcuni giorni! (“La dame a un cul qui donne envie de l'enculer. Mais faites-le avec modération pendant quelques jours !”).

A l’extérieur, j’embrasse Luigi, avant que nous ne reprenions la route pour Tivoli.
• Mi è piaciuto quando hai detto "mia moglie". Stai cambiando idea su di me? E perché hai comprato l'altro balsamo? Non ho problemi con la mia vulva. (“J'ai aimé quand tu as dit "ma femme". Est-ce que tu changes d'avis à mon sujet ? Et pourquoi as-tu acheté l'autre baume? Je n'ai aucun problème avec ma vulve”.)

Alors que nous regagnons la voiture, Luigi passe au Français, pour que Philippe comprenne bien :

• Non je n’ai pas changé d’avis et je n’en changerai pas. Tu rentres bien en France en fin de semaine avec Philippe, comme convenu. Quant au baume vaginal, c’est une précaution, car j’ai une promesse à tenir envers Philippe.

***

La distance entre Rome et Tivoli n’est que 32 kilomètres, mais cela a tout de même nécessité une heure et demie, en prenant l’A24, compte tenu des embouteillages avant de sortir de Rome. Après notre arrêt à la pharmacie, notre voyage fut calme, Philippe conduisait, alors que derrière, Luigi dormait, moi également, sur son épaule.

Philippe nous réveille, car nous sommes enfin arrivés à l’ancienne Tibur. Luigi reprend alors, pour quelques heures, son rôle de guide, délaissant provisoirement celui d’amant. Il excelle dans l’un comme dans l’autre. Au fur et à mesure que nous découvrons les lieux, Luigi nous explique :

• C’est à partir d’une villa d’époque républicaine, propriété de sa femme Sabine, que l’Empereur Hadrien mit en pratique sa passion pour l’architecture. Il fit de Villa Hadriana une résidence aux milles pavillons, disséminés dans un parc magnifique, parsemé de nombreux bassins d’eau et de fontaines.

Je ne suis pas, comme Luigi, Docteur en histoire et en archéologie. Amatrice passionnée par l’histoire de la Rome impériale, ayant lu quantité d’ouvrages en vue de l’écriture de mes textes, je peux pourtant débattre avec Luigi, sous le regard admiratif de Philippe. Je sais qu’il est fier de moi.

• Oui, Hadrien fut un grand voyageur, qui parcourut l’empire. Hadrien a voulu évoquer, parmi les milliers de lieux qu’il avait visités, ceux qui l’ont plus frappé.
• C’est le plus grand complexe jamais construit pour un empereur : 124 hectares. La villa était constituée de plusieurs palais, fontaines, thermes. Une vraie ville. À la mort de l’empereur, la villa est rapidement tombée à l’abandon et a même été pillée pendant la Renaissance. Malgré cela, il reste encore de nombreuses pièces et surtout le jardin, qui rappellent l’immensité et le prestige de ce lieu.

Ce qui est le plus impressionnant, ce sont en effet les somptueux jardins. Les Romains venaient surtout durant les périodes chaudes : les jardins étaient alors aménagés autour de bassins, piscines, fontaines. Encore aujourd’hui ce sont des lieux paisibles, vraiment magnifiques.Nous nous promenons d’abord autour du « bassin Canope », une immense piscine, joliment surplombée de colonnes et de statues. C’est un grand bassin de 119 mètres de long pour 18 mètres de large. Ce bassin, bordé d’un double colonnade, symbolise un antique canal qui reliait les deux villes égyptiennes de Canope et Alexandrie. Luigi poursuit ses explications :

• L’empereur Hadrien a voulu recréer ici un petit morceau d’Egypte. Le canope est également dédié à Antinoüs, le favori d’Hadrien, mort noyé dans le Nil. A ce sujet, je te trouve très audacieuse de prétendre, dans tes « Mémoires de Faustine », que la mère de celle-ci, Faustina Maïor, fut la maîtresse d’Hadrien. Or, celui qu’on surnommait le Graeculus, était homosexuel.

Je me lance alors dans un long et vigoureux plaidoyer pro domo, pour défendre ma thèse. Luigi est stupéfait et Philippe admiratif.

• Mio Caro, je reconnais que l’ouvrage que je suis en train d’écrire est un livre de fiction, que ce sont des mémoires apocryphes. Je pourrais aussi te répondre qu’un lieu comme la Villa Hadriana est un lieu de rêve, où les siècles d’abandon suscitent l’imagination. Certes, on se rappelle l’histoire d’amour d’Hadrien avec le bel Antinoüs, son favori bithynien. Les biographes les plus récents, comme Joël Schmidt ou Yves Roman vont plutôt dans ton sens. Pour défendre ma thèse, je fais surtout référence à un passage de l’Histoire Auguste, que j’ai noté et retenu : « On a beaucoup blâmé dans Hadrien cette curiosité, mais surtout sa passion pour les jeunes gens et ses adultères avec des femmes mariées ». De plus, tout laisse penser qu’Hadrien fut l’amant de l’impératrice Plotine, épouse de son prédécesseur Trajan, laquelle « força » l’adoption d’Hadrien par son mari, alors que celui-ci était agonisant ou peut-être déjà mort. L’historien Jérôme Carcopino estimait aussi qu’Aelius César, le premier héritier d’Hadrien, mort prématurément en janvier 138, était son fils adultérin. Aelis Spartianus et Marius Maximus, à qui on attribue l’écriture dans l’Histoire Auguste la partie consacrée à Hadrien, évoquent « ses adultères avec des femmes mariées », ce qui est bien le cas de Faustine l’ancienne. Certes, je n’ai aucune preuve, il s’agit seulement d’une hypothèse, qui explique aussi pourquoi Hadrien a choisi, in extremis, Antonin, le mari de Faustine l’ancienne, comme successeur. Ma thèse se défend d’autant plus que Faustine l’ancienne, sans être aussi débauchée que sa fille, avait la réputation d’être une épouse infidèle. Alors, ça se défend ! La Villa Hadriana est c’est un lieu de visite magnifique, où on peut vraiment s’imaginer les empereurs venant ici se ressourcer. Et je vois bien Tibur comme le cadre des amours entre Hadrien et Fautina Maïor.
• Bravo, Dottoressa ! Je vois que tu défends ta théorie avec des arguments et pas mal de virulence ! Tu es décidemment aussi érudite, belle Olga, que tu es chaude !

Nous poursuivons la visite, alors que je prends par la main d’un côté mon mari, de l’autre mon amant. Tout nous laisse imaginer la richesse et le luxe des lieux sous le règne d’Hadrien. Luigi nous guide du Canope au Pécile, du Théâtre Maritime aux Hospitalia, de la Place d’Or à la Caserne des Vigiles, des cryptoportiques à la salle des Philosophes, des Grands aux Petits Thermes. Luigi insiste particulièrement sur le Teatro Marittimo.

• Admirez ce petit îlot artificiel, entouré d’un canal, qui servait de lieu de médiation pour l’empereur Hadrien.
• Oui, je ressens un sentiment d’apaisement en visitant ce lieu.
• Si je suis ta thèse et, après tout, pourquoi pas ? C’est sans doute ici qu’Hadrien devait s’isoler avec Faustina Maïor, me concède avec bienveillance Luigi.

Luigi nous propose de profiter de notre passage à Tivoli, pour visiter la Villa d’Este, avec notamment ses somptueux jardins à l’italienne, qui datent de la Renaissance, ainsi que la Villa Gregoriana et ses célèbres cascades du XIXème siècle. Je décline l’offre, désireuse de regagner Rome et de nous reposer à l’hôtel, avant une nouvelle nuit de plaisirs.
Me laissant seule à proximité du Teatro Marritimo, Philippe et Luigi s’éloignent un long moment, avant de revenir, plus complices que jamais, comme de vieux amis. J’entends seulement Philippe dire à notre guide :

• Je te fais une totale confiance. Tu as carte blanche en ce qui concerne Olga.

Qu’ont-ils encore combiné, derrière mon dos, à mon sujet ? Malgré mon insistance, tout le long du chemin de retour, je n’obtiens aucune réponse, ni de la part de mon mari, ni de celle de mon amant. Ils me concèdent seulement que j’aurais des surprises et que je ne serai pas déçue. Je suis du genre impatiente et je me sens frustrée, un peu comme une enfant gâtée qui n’en peut plus d’attendre ses cadeaux.

Je sais que je n’obtiendrai rien de plus, ni de l’un ni de l’autre. Luigi a fermement exigé de Philippe qu’il garde le secret et, à ma grande surprise, mon mari ne cède pas à ma pression.

Le retour est calme, même si je suis à la fois excitée et un peu fâchée de n’avoir pas obtenu que le secret soit levé. Cette fois, c’est Luigi qui conduit. Philippe prend place avec moi à l’arrière. Épuisés, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre. Luigi nous dépose le plus près possible de l’hôtel, à l’entrée de la ZTL, la « Zona a Traffico Limitato » du « Centro storico ». Il garde la voiture pour rentrer chez lui, afin de se reposer et de se changer. Nous aurons encore besoin du véhicule demain pour notre deuxième escapade hors de Rome, à Ostie, cette fois sur les traces de Faustina Minor, l’héroïne de mon livre en cours d’écriture. Luigi précise, à l’intention de Philippe, avec un clin d’œil complice :

• J’ai quelques coups de fils à passer pour demain soir.

Il nous donne rendez-vous pour un diner à l’hôtel à 21h00 et ajoute :

• Cette nuit, je ne reste pas dormir à l’hôtel. Puisque Madame ne sait pas être raisonnable, je dois prendre des mesures strictes. Ca veut dire que je m’en irai à minuit, diner et plaisirs compris.

Je veux protester, mais, déjà, la Fiat 600e démarre sur les chapeaux de roue. Je constate, assez irritée, que c’est désormais Luigi qui décide, et non plus Philippe ou que du moins il a fait avaliser ses vues au mari complice. Cela mérite une explication avec Philippe, dès que nous serons à l’hôtel.

(A suivre)

Les avis des lecteurs

@ Lucie, oui, ton analyse est très pertinente!

Histoire Libertine
Luigi se comporte en vrai alpha. il ordonne le plaisir que tu dois donner à Philippe...son langage est si crue...si excitant à la fois
et ce périple en voiture...il aurait pu se contenter d'une pipe...mais non c'est un male et il te prend...te défonce...te remplie en t’exhibant...
ce passage dans la pharmacie est tout aussi troublant. il est fière de sa nouvelle...possession
Lucie

@ Alfred, grâce au rétro, Philippe ne perdait rien du spectacle de l'arrière. Pour répondre à ta dernière remarque, j'ai toujours aimer m'exhiber.

Histoire Erotique
Pauvre Philippe, réduit à conduire dans les bouchons de Rome, alors que son épouse se fait sauter à l'arrière. En plus tu es une sacrée exhibitionniste!
Alfred

@ La chipie, c'est vrai, c'est pénible. Bonne journée à vous.

Histoire Libertine
Je comprends Olga mais c'est lassant à la longue.

La chipie

Merci La chipie pour cette mise au point, ce cri de colère et de sincérité.
Ceci étant, je n'attache aucune importance aux propos de ces tristes sires!

Histoire Libertine
Pour Steph et JP je vous ai mis 1 commentaire dans le chapitre précédent d'Olga à Rome.

Pour les casos Kamel, Sofiane & co , sans deconner vous n'en n'avez pas marre de venir emmerder le monde, ma parole vous n'avez de vie, pas d'amis que vous etes bloqué sur votre cul devant votre écran à tout le temps critiquer !!!
Quand à Hassan c'est 1 bastard hypocrite , il a adoré comme vous d'ailleurs se descendre 1 française, 1 bourgeoise mais en plus lui il a mis la religion au milieu sans deconner le mec n'a pas de figure.

Vous etes tous 1 belle bande de branquignolle toujours à deblaterer sur tout le quartier , rien que dans vos commentaires sur les histoires précédentes d'Olga on voit et on lit que vous avez 1 ressentiment vis à vis de la France et des français.

Vous etes comme les casos à l'hopital pour 1 simple appendicite vous vendriez vos parents pour de la morphine pauvre choux vous n'arrivez pas à sortir vos culs de vos lits ,vous avez le syndrome méditerranéen inscrit dans vos genes à force de vous branler les couilles au fond du lit à la difference de mecs comme Philippe qui porte ses couilles et assume ses choix !!!!

Quand à l'italien comme disent les gamins de maintenant c'était 1 simple crush donc on se detends du string !!!! Le mec a assuré son role et y a inclut Philippe !!!!


A voir avec HDS mais ça serait bien de faire le ménage dans l'avenir car ça devient lassant à la longue de pondre 1 commentaire pour 1 bande de bastards qui n'a pas fait son deuil sur le fait qu'Olga est heureuse en ménage et qu'ils l'ont dans l'os bien profond jusqu'à la moelle !!!

La chipie

@ Lecteur anonyme, vous avez raison sur ce point, nous avons eu beaucoup de chance. Par contre, même si "techniquement" c'est vrai, je ne supporte pas qu'on qualifie ainsi Philippe. Il est candauliste.
Quant à l'autre commentaire, il ne mérite aucune réponse.

Histoire Erotique
@ Olga, je ne suis pas fier de ce que j'ai fait à l'époque et d'avoir trompé la confiance de mon frère Hassan. Il m'en a beaucoup voulu et pour dire la vérité il m'a mis son poing sur la figure, je l'avais mérité. Mais tu oublies que tu t'es offerte? La vérité est que tu as le feu au c..
Je m'en veux aussi beaucoup de t'avoir partagé avec Philippe, ce cocu qui aime ça depuis tant d'années et que tu as encore bien bafoué, comme il le mérite, lors de ce séjour à Rome
Kamel

Histoire Erotique
J'ai bien aimé la scène avec le Napolitain et son "signe". On peut dire que vous de la chance. Une chance de cocu, en ce qui concerne Philippe?

merci cher lecteur anonyme!

Histoire Erotique
Une belle combinaison entre scènes de sexe et moments culturels. J'ai beaucoup aimé cela.

@ Julie, merci! Même Luigi a fini par reconnaitre que ça tenait la route
@ Paul, je connais ton impatience. Réponse dans les prochains chapitres!

Histoire Libertine
J'avais oublié de saluer comment tu défends ta thèse (romancée) sur une possible liaison entre Hadrien et Faustina Maïor, l''épouse d'Antonin le Pieux. C'est argumenté et crédible. Ca donne envie de lire ton e-book "les Mémoires de Faustine"
Julie

Histoire Erotique
J'ai adoré cet épisode et suis impatient de lire la suite. Luigi finira-t-il par renoncer à ses bonnes résolutions? Car c'est bien lui qui avait toutes les clés en mains
Paul

@ Kamel, je pensais ne pas te répondre, mais il y a des limites. Que je me sois mal comportée envers Philippe et envers Hassan, c'est vrai et eux seuls seraient en droit de me le rapprocher. Surtout pas toi, qui a trahi la confiance de ton frère!

@ Nadine, nous sommes bien d'accord
@ Bernard, merci. Tu as raison au sujet des risques pris!
@ cher lecteur anonyme, merci!

Histoire Erotique
Un vrai talent d écriture..un art consommé de la montée chromatique de l excitation..
Une héroïne autobiographique tout en nuances..
Félicitations..

Histoire Erotique
Toujours aussi passionnants les récits d'Olga! Et j'apprécie autant le style que la fluidité de l'écriture. Le français, ainsi que l'italien sont des langues latines qui ont une "musicalité" que n'ont pas les langues anglo-saxonnes.
Pour en revenir à ce texte, je suis de l'avis de Didier concernant Luigi, et pense qu'il a su rester en-deça des limites qu'il s'était fixées.
Pas bien ton exhib Olga... Comme le dit Daniel, les carabiniers auraient pu intervenir, et ils ne plaisantent pas! Pas plus que les maires des villes! Une mésaventure récente est arrivée à un couple d'Etats-Uniens à Venise, où la célébrité de l'homme (un rappeur) a cru qu'elle servirait de sauf-conduit à toutes les incartades. Mauvaise pioche! Outre l'amende salée - mais à son niveau... - ils ont été bannis à vie de Venise.
Et tu as tellement à nous faire partager sur ce pays et son histoire, Olga!
Et nous sommes nombreux à attendre tes publications...
Bernard

Histoire Libertine
Comme tu décris bien cette merveille. Oui, tu as raison: baisons, encore et encore!
Nadine

@ Luc, tu fais partie, avec Didier, Julie et beaucoup d'autres, de ces fidèles lecteurs, c'est un immense plaisir que de lire tes commentaires, d'autant que tu suis mon parcours depuis longtemps.

Histoire Erotique
@ Olga, en employant le terme salope, ce n'est pas une injure mais un simple constat, que nous avons pu faire pendant la période où tu as été la meuf de Rachid, puis l'épouse d'Hassan. Comment employer un autre terme quand on sait, que venant d'épouser celui-ci en secondes noces, tu l'as trompé le soir de la cérémonie avec ton ex, puis avec d'autres? Hassan ne méritait pas ça, contrairement à Philippe, qui lui, est au courant et qui kiffe de te voir te faire baiser par tes amants.
Kamel

Merci à Henri et à Didier pour votre soutien. "No comments" s'agissant des deux compères, je n'attache aucune importance à leurs commentaires. J'écris pour mes fidèles lecteurs et lectrices, ainsi que pour me livrer à un exercice de "catharsis" qui me fait beaucoup de bien et permet d'échanger avec de belles personnes.
@ Didier, En ce qui concerne mon "érudition" (c'est le terme qu'a employé Luigi), je suis une autodidacte, passionnée d'histoire. Cela demande beaucoup de travail, mais j'adore ça. Je dois dire que j'ai été aussi fière d'avoir suscité l'admiration d'un professionnel de l'histoire, comme Luigi, que le désir que j'ai suscité chez lui en tant que femme.

Histoire Erotique
Olga,
Oui tu as parfaitement raison, ma lecture ne peut être que bienveillante.
En effet, je ne peux qu’admirer tout le courage qu’il te faut pour nous faire partager avec minutie, par ce travail de transparence, tout ce que tu as pu vivre lors de cette escapade à Rome, aussi bien physiquement qu’émotionnellement.
Sans oublier, cette faculté que tu as, à nous transmettre une partie de tes connaissances aussi bien culturelles qu’historiques sur la ville éternelle, et l’empire romain.
Quelle érudition, comme l’ont si bien rappelé Julie et Luc…
De plus et je finirai là-dessus, je n’ai pas l’habitude et surtout je ne vois pas la nécessité d’apporter dans mes commentaires le moindre jugement de valeur, à l’inverse de certains comme Sofiane, ou Kamel, qui eux ne se gênent pas, et n’ont de cesse de le faire…
Qui sommes-ils pour te, vous, juger ainsi? des aigris, des jaloux ???
Didier

Histoire Erotique
@ Je vais piquer ma colère avant que la chipie ne le fasse. Vous pouvez pas lui fiche la paix à Olga?
Henri

@ Daniel, exact. Nous avons eu de la chance. J'avoue que le risque a accru mon excitation

Histoire Erotique
Vous avez fait plus que de l'exhib, c'était un attentat à la pudeur. Vous auriez pu en effet finir chez les carabiniers!
Daniel

@ Sofiane, sauf dans ta bouche, le terme de "salope" n'est pas pour moi une injure!

Histoire Erotique
Décidément, Philippe n'a pas changé depuis l'époque de Rachid, toujours prêt à tout accepter de ta part. Heureusement pour votre couple, Luigi n'est pas comme Rachid, qui lui était de la race des fauves, profitant à fond de ta nymphomanie et du comportement de ton cocu
Quant à toi, tu as été égale à toi-même, en te comportant comme une salope intégrale.
Sofiane

Histoire Erotique
Comme Julie et Didier, j'admire ton érudition historique, qui te permet de discuter à armes égales avec un Docteur en histoire
Et par ailleurs, tu es toujours aussi chaude!
Luc

@ Clara, il est difficile de connaitre parfaitement une personne en quelques jours. Pourtant, vu son comportement à d'autres moments, j'ai la conviction que Luigi n'est pas ainsi, qu'il jouait au macho pour tenter de contrecarrer mes sentiments.
@ Micky, merci. Oui je suis parfaitement bilingue. Mes parents étaient très amis avec un couple italien, Gianni et Maria, que l'on voyait chaque année pendant l'été. C'est d'ailleurs Gianni qui m'a défloré et Maria qui m'a initié au saphisme, comme je l'ai raconté dans mon tout premier texte autobiographique, publié fin 2016 sur HDS. Je confirme par ailleurs que ne suis pas très discrète quand je jouis. Et, avec Luigi, je jouissais énormément! Donc je criais, je hurlais mon plaisir

Je n'avais pas envisagé la voiture électrique sous cet angle... Mais c'est à la fois chaud et drôle. Une promenade dans Rome aux antipodes d'Audrey Hepburn... Je note avec plaisir qu'Olga s'avoue "vocale" dans l'amour. Et bilingue en prime ! Vivement la suite.

Histoire Libertine
@ Olga, tu dis que Luigi jouait un rôle avec ce personnage de macho. N'est-ce pas plutôt sa vraie nature? En tout cas son attitude m'exaspère! Il en fait trop
Clara

Merci à Julie et à Chris
@ Steph et JP, oui une vraie complicité entre eux, comme la suite du récit le confirmera

Histoire Coquine
La complicité entre l'amant et le mari candauliste était particulièrement forte!
Steph et JP

C'est trfès bien ma belle

Histoire Libertine
Luigi a eu raison de dire: "Tu es décidemment aussi érudite, belle Olga, que tu es chaude !"
Entièrement d'accord avec lui
Julie

@ Jacques, rien ne s'est fait sans son accord, même si ce n'est pas comme ça qu'il envisageait les choses au départ. Oui, le retour à la normale n'est jamais facile
@ Maurice, merci!

Philippe est passé par tout les étapes aujourd’hui. De moins que rien à chauffeur et décideur à la fin. Il faut en profiter pendant qu’il est dans ses bonnes grâces. Vous nous l’avez déjà décrit lorsqu’il est d’humeur moins conciliante.
J’espère que vous avez profité de ce beau voyage. Le retour à la normale devrait être difficile.

Histoire Erotique
Waouh, c'est chaud!
Maurice

Merci Didier pour cette lecture toujours attentive et bienveillante. Dans le récit, j'ai souhaité partager toutes mes sensations, y compris culturelles et à justifier mes choix d'auteure.
S’agissant des "Mémoires de Faustine", il s'agit de mémoires apocryphes de l'épouse de l'empereur Marc Aurèle, en partant de sa réputation sulfureuse. A mon modeste niveau, je reprends l'approche de célèbres auteurs, comme Marguerite Yourcenar ("Mémoires d'Hadrien"), Robert Graves ("Moi Claude"), Pierre Grimal ("Mémoires d'Agrippine), pour ne citer que les plus célèbres.
Contrairement à "Matrone et Domina", que j'ai publié ici, ça devrait prendre la forme d'un e-book, c'est un projet qui demande beaucoup de travail et du temps

Histoire Erotique
Olga,
Je trouve très approprié le premier paragraphe de ce chapitre, car il permet de dissiper les derniers doutes qui pourrait subsister chez certains sur le contexte de cette nuit de sexe…
Mais fini, oublié désormais la tendresse de la nuit passée, Luigi, tirant un trait sur son moment de faiblesse, d’égarement nocturne, se fait dès le réveil encore plus dominateur pour préserver ton couple une fois de plus.
Homme d’honneur, d’entrée il rappelle à ton bon souvenir les us et coutumes de ton couple en « t’ordonnant » de pratiquer à ton bien-aimé mari votre rituel matinal quotidien.
Alors que tu œuvres à la tâche, Luigi montre à ton bien-aimé comment il doit te traiter, tout en te martelant que seul ton Philippe et votre amour doivent compter pour toi.
Ceci fait, le programme de la visite reprends ses droits en vous entrainant à Tivoli pour le reste de la journée.
Profitant que ton bien-aimée conduise la voiture, incorrigible insatiable tu te jettes une fois encore sur Luigi, tout en lui renouvelant tes déclarations d’amours. Toujours impassible sur ce sujet, il en profite cependant pour, à ta plus grande joie, exhiber votre ébat aux autres automobilistes.
Après un bref passage à la pharmacie, où tu es heureuse d’entendre Luigi te faire passer pour sa femme, même s’il le réfute immédiatement après, vous arrivez sur les lieux de votre excursion du jour.
Reprenant alors vos rôles respectifs de touriste et de guide, tu te lance avec Luigi dans un vaste débat sur Hadrien, sa villa, sa vie amoureuse, mais aussi sur ton projet de récit « Les mémoires de Faustine »…
Sur la fin de la visite, tu t’aperçois que ton mari et ton amant sont de plus en plus complices et restent très discrets sur la suite des évènements à venir, à ta grande « insatisfaction ».
De quels vont-t-ils être ? J’aurai tendance dire qu’ils seront plus d’ordre sexuels que touristiques !!!
En effet, en achetant ces deux pommades réparatrices et en devant passer tous ces coups de fil Luigi ne serait-t-il pas en train de te préparer une belle pluralité afin d’assouvir ton incroyable appétit sexuel ?
Je terminerai enfin mon commentaire en te disant que les différents lieux de la visite sont magnifiquement bien décrits et que ce débat est fort intéressant et très enrichissant historiquement parlant.
Je t’avouerai aussi que j’ai hâte de découvrir ces « Mémoires de Faustine » dont tu n’as cesse d’évoquer depuis le début
de ce nouveau récit autobiographique. Je n’ai nuls doutes quelles seront autant magistrale que l’a pu l’être ta fabuleuse saga « Matrone et Domina ».
Didier



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (6).
Histoire sexe : Une rose rouge
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