Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (7).

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (7). Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2023 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (7).
AVERTISSEMENT

Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin, 16 et 30 juillet ainsi que les 18 août et 7 septembre 2023.

RESUME

En ce mois de mai 2023, Philippe et moi nous sommes à Rome, pour revenir sur des lieux qui sont le cadre de mes récits érotico-historiques, soit déjà écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine ».

Philippe a, comme toujours, tout organisé. Il a soigneusement choisi le programme et le guide. Luigi est docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome impériale. Âgé de 28 ans, il est viril et beau comme un Dieu. Philippe entendait bien en effet que nous profitions du séjour pour renouer avec nos pratiques candaulistes, que nous ne pouvons guère assumer qu’épisodiquement, compte tenu des contraintes de la vie familiale et professionnelle.

Ce que Philippe n’avait pas prévu est que Luigi et moi, malgré une différence d’âge de près de 20 ans, nous puissions « flasher » l’un sur l’autre. Le début du séjour s’est passé dans une très forte tension érotique et sentimentale.

Nous avons vécu des heures particulièrement torrides à l’hôtel, en présence de Philippe. Il y avait longtemps que je n’avais pas eu autant de plaisir, alors que Luigi, s’est comporté en abominable macho.

Le lendemain, nous avons poursuivi la partie culturelle de séjour, en nous rendant à Tivoli. Le voyage dans les embouteillages romains a été l’occasion d’exprimer mon exhibitionnisme. La visite de la Villa Hadriana a permis à Luigi de retrouver son rôle de guide et à moi de faire étalage de mon érudition.

Juste avant de rentrer à Rome, mon mari et mon amant se sont isolés pour parler hors de ma présence. Je suis agacée de ne pas savoir ce qu’ils ont comploté à mon sujet. Luigi nous a déposés à proximité de l’hôtel, où il doit nous retrouver pour diner. Il a précisé que, cette nuit, il ne dormirait pas avec nous, de façon à pouvoir se reposer suffisamment en vue du voyage prévu le lendemain pour visiter les ruines romaines d’Ostie.

***

Je marche devant Philippe, pressée de regagner notre hôtel. Je veux prendre une douche et me reposer, après cette journée bien remplie, mais qui me laisse un goût d’inachevé, ne sachant pas ce que mes deux hommes ont tramé derrière mon dos. Cela m’a plus qu’agacé et je suis en mode petite fille boudeuse. Philippe me rattrape et me prend la main. Je lâche sa main et lui lance un regard peu amène, pour lui faire comprendre que ce n’est pas le moment. Quand nous serons à l’hôtel, nous nous expliquerons. Je me fais fort de le faire parler.

• Chérie, s’il te plait ! Avant de regagner l’hôtel, j’ai envie d’une promenade. Je veux que nous allions vers la Piazza Di Spagna.
• Philippe, non. Je veux rentrer à l’hôtel. Je n’ai pas envie de faire du shopping.
• Ma chérie, je te demande rarement quelque chose. Viens, tu ne le regretteras pas !
Son insistance m’intrigue et me pousse à céder. Nous arrivons Via di S. Sebastianello, devant une des plus célèbres boutiques Versace du centre de Rome.
• Mon chéri, je te répète que je n’ai pas envie de faire les boutiques.
• Laisse-toi faire !

Philippe me prend par la main. Nous entrons et il demande « Monsieur Alessandro ». Celui-ci nous accueille, en s’exprimant avec un Français impeccable, tout en faisant un numéro qui n’est pas sans me rappeler Mario, propriétaire du magasin de prêt-à-porter de notre ville, personnage bien réel que nous avons évoqué dans l’un des récits fictifs écrits à quatre mains avec Elodie Paris (voir « Olga, Elodie et Philippe 9 - Déjeuner et shopping », paru le 30 janvier 2021). Comme Mario, qui fut mon amant, Alessandro me semble, à la façon dont il me détaille, je devrais plutôt dire me déshabille du regard, un esthète, avec un physique à la Rudolf Valentino.

• Voilà, Alessandro. Je vous avais promis de revenir avec Madame.

Alessandro s’incline, me prend la main et me fait un baisemain impeccable.

• Si je puis me permettre, Monsieur T, et je le dirai en Italien car vous m’avez dit que votre épouse est parfaitement bilingue : La signora è bella. Anche più di quanto hai detto. (“Madame est magnifique. Encore bien plus que vous ne l'avez dit”.)
• Mio marito non è obiettivo e tu sei un adulatore! (“Mon mari n'est pas objectif et vous êtes un flatteur!”)
• Assolutamente no! So solo come riconoscere e ammirare una bella donna. (“Absolument pas! Je sais juste reconnaitre et admirer une jolie femme.”)
• Cher Alessandro, nous ne sommes pas là pour vous entendre débiter des compliments, fort mérités par ailleurs, à mon épouse. Mais pour qu’elle essaie ce que j’ai choisi pour elle.

Je fais semblant d’être fâchée.

• Mon chéri, tu es incorrigible ! Tu ne changeras donc jamais !
• Ah ça, non. Je voudrai toujours ce qu’il y a de mieux et de plus beau pour toi.

Alessandro revient, avec deux autres employées, qui m’apportent une minirobe couleur lilas.
• Notre plus beau modèle, Dua Lipa x Versace, une collection capsule, réalisée en collaboration avec la célèbre mannequin et chanteuse Dua Lipa. Les ornements sont en cristaux, sans manches, avec bretelles, des fermetures par boucle et une fermeture zippée, dissimulée sur le côté.

Il faut toute l’insistance de Philippe pour que j’essaie cette robe, très courte. La nudité du dos, jusqu’à la chute de reins est vertigineuse, de même que le décolleté, très profond, guère caché par une boucle. Évidemment, elle se porte sans soutien-gorge. Il y a quelques années, je n’aurais pu la porter mais, depuis, les maternités ont développé ma poitrine.
Ce n’est pas la première fois que Philippe m’offre une robe ultra-sexy. Mais celle-ci l’est particulièrement.

• Elle est totalement indécente ! Je ne peux pas porter ça.
• Si je puis me permettre, Madame, on croirait qu’elle a été conçue pour vous. Elle magnifie votre silhouette ! Elle repousse les limites de l’ultra-sexy.
• Philippe, quand je parle d’indécence, je pense aussi au prix. Je l’ai demandé à ces jeunes femmes qui m’ont aidé à me changer ! Tu es complètement fou !
• Oui, je suis fou de toi. Laisse-moi faire. Alessandro, soyez franc : quel effet vous fait ma femme dans cette robe. Allez-y, parlez franchement !

Alessandro eut un sourire :
• Puisque vous insistez, Monsieur T. Con questo vestito, Madame mi fa venire l'erezione come un cervo! (“Dans cette robe, Madame me fait bander comme un cerf!”)

Il ne mentait pas. Son pantalon serré cachait mal une formidable érection.

• Dans cette robe, ma chérie, tu vas rendre fou Luigi. Il n’aura qu’une envie : te baiser !

Les deux filles qui m’avaient aidé à passer la minirobe sont plutôt gênées :

• Non siate scioccati, signore. Mio marito sta comprando questo vestito per eccitare il mio amante. Adora che mi faccia scopare davanti a lui. Mi piace compiacere mio marito (“Ne soyez pas choquées, Mesdames. Mon mari achète cette robe pour exciter mon amant. Il adore que je me fasse baiser devant lui. J’aime faire plaisir à mon mari”)

Non seulement Philippe ne proteste pas, mais il m’embrasse sur les lèvres et me dit :
• Oh oui, j’aime ça, je ne m’en lasse pas !

Toujours dans la collection « Dua Lipa x Versace », nous choisissons une paire de sandales à talons aiguilles, couleur bleu clair. Les ornements de ces sandales en cuir métallisé sont avec des papillons à cristaux, elles ont des lacets, un bout carré, une fermeture à boucle réglable.

En connaisseur, Alessandro précise que le modèle accentue ma cambrure. Philippe est plus direct :

• Ça met encore plus en valeur ton joli cul.

J’ai l’impression que la braguette de ce pauvre Alessandro va exploser.
Après avoir payé la facture et demandé que nos achats soient livrés à l’hôtel pour que je puisse les porter ce soir, Philippe donne une carte de visite à Alessandro :

• Voici le numéro de téléphone du Monsieur dont je vous ai parlé. Appelez-le de ma part, il sera ravi !
• Je l’appellerai immédiatement. Merci d’avoir pensé à moi. À demain soir, Monsieur T !
D’instinct, je comprends que tout cela est lié aux manigances entre Philippe et Luigi. À la sortie, Philippe refuse de m’en dire davantage. Je l’embrasse fougueusement et c’est enlacés que nous entrons dans l’hôtel.

***

Après une longue douche réparatrice, prise ensemble, nous nous allongeons, en peignoir, sur le grand lit. Je suis dans les bras de Philippe. Je renonce à le harceler pour en savoir davantage sur ce qu’ils ont convenu Luigi et lui.

• Mon chéri, tu crois qu’on peut faire changer d’avis Luigi, pour qu’il reste dormir avec nous ?
• Je ne pense pas. Il veut pouvoir dormir un minimum pour être en forme demain. Pour notre visite à Ostie. Mais pas seulement.
• Je suis déçue. Car nous n’avons plus que quatre jours avant de quitter Rome. Pourquoi ne pas en profiter au maximum ?
• Dis plutôt que tu veux profiter de Luigi au maximum, ma coquine !
• Tu me connais bien, mon bébé. Oui j’ai en permanence envie de Luigi. Il me manque ! Mais c’est bien que nous soyons un peu seuls, nous pouvons parler.
• Quand nous avons repris notre vie commune après ton aventure avec N, nous nous sommes fixé un certain nombre de règles, en particulier celle de ne rien nous cacher. (Voir en particulier « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (épilogue) », publié le 18 avril 2020)
• Et je n’ai pas l’intention de te cacher quoi que ce soit. D’autant que tu sais si bien lire en moi. Ce que nous vivons, en ce moment, n’est pas une expérience candauliste ordinaire, comme nous en avons tant connues. Philippe, je suis tombée amoureuse de Luigi.
• Figure-toi que je l’avais remarqué et que je ne l’avais évidemment pas anticipé.
• Tu sais pourtant que c’est le risque du candaulisme, que l’épouse s’amourache de l’amant. Tu pensais que cela ne pouvait plus se produire ?
• Bien sûr que je connais ce risque et qu’il a plusieurs fois failli détruire notre couple. Tu es toujours aussi belle, aussi séduisante, aussi sensuelle et donc le risque existe toujours. Je ne pensais pas que cela puisse se produire à l’occasion de ce séjour. D’abord parce tu ne connaissais pas Luigi avant votre rencontre.
• Tu n’as pas oublié pourtant que je suis tombée follement amoureuse de Rachid, d’Hassan et de N dès la première rencontre.
• Comment pourrais-je l’oublier ? Rachid, c’était ma faute, car j’avais mis ce prédateur sur ta route pour assumer mon fantasme candauliste (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (9) : Rachid solution ou prédateur ? » publié le 30 décembre 2016 et « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (10) : Rachid et Olga », publié le 1er janvier 2017)

Nous évoquions les moments les plus douloureux de notre couple.

• Dans le cas d’Hassan, ça nous a valu un divorce, mais j’ai découvert un autre Philippe, qui m’a reconquise de haute lutte. Quant à N, il m’a valu la plus mémorable fessée que tu ne m’aies jamais infligée (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (69) : du candaulisme à l’adultère (5 : la fessée) », paru le 11 mars 2020)
• Je me souviens que tu avais beaucoup aimé ça. Il faudra que je pense à remettre ça !
• Pourquoi pas ? J’ai remarqué que ça t’excite beaucoup, mon vicieux, quand Luigi me domine.
• Je t’adore encore davantage en soumise, ma chérie ! Mais redevenons sérieux. Je ne pensais pas qu’un coup de foudre était possible entre toi et Luigi compte tenu de votre différence d’âge. Tu pourrais être sa mère !
• Merci de me rappeler mon âge ! Tu sais pourtant qu’à 46 ans, ma libido n’a pas changé depuis que j’ai été déflorée, il y a plus de 30 ans. Et puis, affrontons la vérité en face : je ne veux pas me contenter que Luigi soit mon amant pour quelques jours. Je l’aime, je veux être sa femme.
• J’ai compris que dès votre rencontre, Luigi t’a fasciné. Peux-tu expliquer ce qui s’est passé ?
• Il y a évidemment l’attirance physique. Luigi est beau comme un Dieu Grec, musclé et viril. Et quand il me fait l’amour, je suis au paradis. Mais il y a bien plus : sa culture, son intelligence, son caractère, nos centres d’intérêt communs. Sans oublier que j’aime qu’il se comporte en mâle dominant envers moi.
• Je comprends que ce n’est pas une passade et que tu es très éprise. Tu veux me quitter ?
• Tu es fou ? Jamais ! Je t’aime et je l’aime. Je vous veux tous les deux !
• Tu sais bien que ce n’est pas possible, même si je suis prêt à partager, non seulement ton corps, mais ton cœur.
• Et pourquoi ce n’est pas possible ? Le poly amour est rare, mais il est possible entre des êtres exceptionnels. Vous êtes exceptionnels, toi et Luigi. Et ça fait près de 10 ans que je me partage entre toi et Agun.
• Tu oublies juste que nous ne vivons pas tous ensemble sous le même toit et qu’Agun a consenti beaucoup de sacrifices. Il y a surtout les enfants. Malgré nos précautions, les choses ont été compliquées pendant le confinement, lorsqu’Agun est venue vivre quelques semaines dans le petit studio au-dessus de chez nous. As-tu oublié la réaction de notre aînée, Lucie ? (Voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : confinée, déconfinée (1) », publié le 10 juillet 2020). Et tu envisages un autre triangle ? C’est une pure folie !
• Je sais tout cela, mais je ne veux renoncer ni à toi, ni à Luigi. Et pas davantage à Agun, bien entendu. Quand les enfants seront grands, nous pourrons vivre tous ensemble et il y aura assez de place dans mon cœur pour toi, pour Agun, pour Luigi.
• Et lui, tu imagines qu’il soit prêt à accepter de reproduire tout ce à quoi consent la douce Agun ? Luigi m’a avoué son attirance pour toi, mais, comme il te l’a dit, il ne veut pas détruire notre couple.
• Luigi est un gentleman qui veut s’en tenir à vos arrangements candaulistes. Il joue au brutal et au macho, mais j’ai vu hier soir sa vraie personnalité, quand il m’a longuement fait l’amour. Il ne peut cacher ses sentiments pour moi.
• Il ne les cache pas, mais comme moi, il sait qu’un triangle n’est pas possible. Pense aux aspects pratiques. Il est impossible pour moi de trouver un poste ici à Rome et de déménager la famille, y compris Agun.
• Pourquoi Luigi ne viendrait-il pas en France ?
• Il faudra lui poser la question. Je vois que tu persistes dans ton rêve fou. Sache en tout cas que, comme tu l’as toujours été, tu es libre, si Luigi veut de toi et que tu veux vivre avec lui. Il te faudra juste choisir.
• Il n’est pas question que je me sépare de toi. Jamais je ne reproduirai ce que j’ai fait avec Hassan et surtout avec N. J’ai compris alors que je ne pouvais pas vivre sans toi. Je ne perdrai pas une seconde fois l’homme de ma vie.
Philippe comprit immédiatement que je venais de faire allusion à ma rupture avec mon père et au douloureux complexe d’Électre qui m’a tant marqué.
• Et moi, je ne veux pas perdre la femme de ma vie. Nous avons encore quelques jours devant nous pour décider de tout cela. En attendant, Carpe Diem, mon amour, profite de chaque instant de bonheur et de plaisir !

J’avais les larmes aux yeux devant la démonstration d’amour sans limites que venait de faire Philippe. Je lui étais infiniment reconnaissante de cette conversation et de la totale liberté qu’il m’offrait. Je me suis lovée dans ses bras et nous avons fait longuement l’amour, avec une infinie tendresse.

***

Parmi toutes ses qualités, Luigi a celle de l’exactitude. Il se présenta à 20h30 au restaurant de l’hôtel.

Mes deux hommes rivalisaient d’élégance, Philippe dans un costume Hugo Boss noir que je lui avais offert. Je fus plus surprise de voir Luigi dans un superbe costume Armani, lui qui, habituellement, était en jeans et basket. Quant à lui, il semblait être comme le loup de Tex Avery devant mes achats de l’après-midi. Il me prit dans ses bras et m’embrassa longuement, en présence de Philippe et des serveurs.

• Sei bello. Questo vestito è una meraviglia. Sei quasi indecente come se fossi nudo! (“Tu es magnifique. Cette robe est une merveille. Tu es presque aussi indécente que si tu étais nue!”)
• Philippe era certo che ti sarei piaciuto con questo vestito. Mi vuoi? (“Philippe était certain que je te plairai dans cette tenue. Tu as envie de moi?”)
• Ovviamente! Mi fai impazzire! Sto morendo dalla voglia di fotterti. Ti senti come se fossi duro? (“Évidemment! Tu me rends fou! Je meurs d'envie de te baiser. Tu sens comme je bande?”)
• Non vedo l'ora! Sono tuo! Ti amo alla follia! Baciami ancora! Voglio che tutti sappiano che sono tua moglie. (“Je suis impatiente! Je suis à toi! Je t'aime à la folie! Embrasse-moi encore! Je veux que tout le monde sache que je suis ta femme.”)

Une fois de plus, Luigi ne répondit pas à ma déclaration. Mais son baiser valait bien des paroles.
J’ai d’ailleurs entendu le commentaire d’un des serveurs, s’adressant à son collègue :

• Scommetto che il cornuto tornerà a Parigi da solo! (“Je parie que le cocu rentrera seul à Paris!”)

Je me suis retournée vers le type, prête à lui sauter dessus, car je ne supporte pas qu’on parle ainsi de Philippe. Je me suis contentée d’un regard noir, pour ne pas faire d’esclandre.

Pendant le diner, je me suis placée à côté de Luigi. Nous ne cessions pas de nous embrasser, sous l’œil complice de Philippe.

À mon tour je complimentais Luigi pour sa tenue :

• Sei molto elegante. Un vero principe! Sono innamorato! (“Tu es très élégant. Un vrai prince! Je suis amoureuse!”)
• Non dimenticare che sono un aristocratico. Stasera sei la mia principessa! (“N'oublies pas que je suis un aristocrate. Ce soir, tu es ma princesse!”)

Luigi m’embrassa, puis passa au français pour expliquer.

• J’ai suivi les conseils de Philippe, qui avait repéré ce costume bleu marine. Philippe m’a mis en relation avec un certain Alessandro et je répète ce que celui-ci m’a expliqué. Nous avons désormais un ami commun. Cet élégant costume est issu de la gamme Soho. La veste à la coupe slim présente un revers en pointe, une poche poitrine et des poches passepoilées. Il y a une fermeture à simple boutonnage à deux boutons. Le pantalon présente une coupe classique, une ceinture fine avec passants, une fermeture zippée dissimulée et un bouton. Alessandro m’a fait un prix, même si ça m’a coûté un bras.
• Tu es incroyable, mon chéri, m’adressant à Philippe. Tu as poussé le raffinement jusqu’à choisir la tenue des amants !

J’orientais ensuite la conversation sur la carrière de Luigi. Innocemment, je voulais savoir s’il n’aimerait pas vivre et travailler en France. Il reconnut que ses diplômes et son expérience pouvaient lui permettre de postuler au service culturel de l’ambassade.

• Excellente nouvelle, n’est-ce pas chéri ? De ton côté, il faudrait un peu de temps, mais il ne serait pas impossible d’obtenir un poste à Rome.
Philippe et Luigi se regardèrent, gênés, ne sachant quelle attitude adopter. Je me suis ensuite adressée à Luigi :
• In ogni caso non c'è dubbio che la nostra storia finirà in pochi giorni. (“Il n'est en tout cas pas question que notre histoire se termine dans quelques jours.”)

Philippe vient au secours de Luigi :
• Luigi et toi vous en déciderez d’ici la fin de notre séjour. D’ici là, profitez au maximum du temps qui nous reste. Luigi, comme tu nous ass dit que tu voulais dormir quelques heures en vue de la journée de demain, il est temps de monter à notre suite pour que tu fasses l’amour à mon épouse.
• Merci mon ami pour cette proposition ! Ça fait deux heures qu’elle me fait bander. Tu savais ce que tu faisais en lui offrant cette robe incroyable !

***

Arrivés à la suite, il fallut peu de temps pour me mettre à nue, d’autant que je ne portais ni soutien-gorge, ce qui était logique avec cette robe, mais pas davantage de culotte ou de string.

Je me suis installée sur le grand lit, Philippe prit son poste d’observateur sur le fauteuil.

J’eus envie de me comporter avec Luigi comme si nous étions un couple.

Je m’installe sur le lit, couchée sur le dos. J’écarte mes jambes. Luigi comprend que je souhaite qu’il me prenne dans la position du missionnaire, comme un mari le ferait avec son épouse. Il s’allonge sur moi et me pénètre, écartant mes jambes. Nous sommes l’un et l’autre trop excités pour des préliminaires. Cette position classique nous permet de nous embrasser. Entre deux baisers fougueux, je crie mon bonheur :

• Eh si, è buono! Mettilo nel profondo. Andare avanti. Più forte! Più veloce! Ancora! (“Oh oui, que c'est bon! Mets la bien au fond. Vas-y. Plus fort! Plus vite! Encore!”)
• Non ne hai mai abbastanza? Anch'io non mi stanco mai di fare l'amore con te. (“Tu n'en as donc jamais assez? Moi aussi je ne me lasse pas de te faire l'amour.”)
• No, non posso più fare a meno di te e delle tue proiezioni. Oh, amore mio, fottimi di nuovo. Non fermarti! (“Non, je ne peux plus me passer de toi et de tes saillies. Oh, mon amour, baise-moi encore. N'arrêtes pas!”)

La verge de Luigi stimule si bien mon clitoris, qui est en feu. Luigi met ses jambes sur ses épaules, pour que la pénétration soit encore plus profonde.

• Sì come questo! Sono in paradiso! (“Oui, comme ça! Je suis au paradis!”)

Luigi s’adresse à Philippe, qui n’en perd pas une miette :

• Regarde les traits de son visage, on croirait qu’elle souffre. Son regard se voile. Elle a commencé à enchainer les orgasmes.

Avec une voix brisée par le plaisir, je m’adresse à Philippe :
• Oh, mon chéri. C’est inouï ! Et c’est grâce à toi. Approche, j’ai besoin que tu me tiennes la main, j’ai besoin de tes baisers, de tes caresses. Je t’aime !

Au fur et à mesure que monte mon plaisir, je serre les doigts de Philippe, alors que, de son autre main, il me caresse avec une infinie tendresse. Je suis comblée, entre l’amour de ma vie et les saillies de mon étalon.

Luigi va alors varier le scénario, pour donner une autre place, plus active, à Philippe.

• Philippe, puisqu’elle dit qu’elle nous veut tous les deux, viens-me rejoindre dans sa chatte. On va la finir et la remplir ensemble !

Je mesure à ce moment la complicité entre mes deux hommes. Ce n’est certes pas ma première expérience de double vaginale et la verge de Philippe n’a pas le calibre de celle de Luigi. Je comprends maintenant pourquoi Luigi a acheté, en cas de besoin, ce baume en pharmacie ! Je sais aussi que, pour que ça se passe bien, il faut que je sois hyper excitée et bien dilatée. Et c’est le cas après trente minutes de coït avec Luigi.

Je me laisse donc faire et écarte ma vulve le plus possible. Philippe, se baissant, place sa verge contre celle de notre partenaire et pousse, afin de la faire entrer dans le trou distendu. Il me pénètre à son tour alors que Luigi est toujours à l’intérieur de mon vagin !

J’ai l’impression que ma chatte va exploser, je pousse un soupir de surprise et de désir.
Je n’ai pas mal, même s’il me semble que je suis totalement écartelée. Au moment où les deux hommes se mettent en mouvement, je sens une chaleur intense monter au creux de mes reins. Ma chatte se liquéfie, lubrifiant un peu plus les deux sexes plantés en moi. Le plaisir semble partir de l’entrée de mon vagin, comme un point de lumière qui n’en finit pas de grandir. De sentir ces deux mâles en sueur labourer mon corps sans défense me fait se sentir esclave de mes sens. J’aurais donné n’importe quoi pour que ce moment ne s’arrête jamais.

C’est absolument divin, je n’ai jamais rien connu d’aussi délicieux. Je sens que je vais jouir très vite et pour autant j’ai envie que ça dure encore. Je me sens totalement salope avec ces deux bites dans la chatte. Je suis heureuse car le trio que j’appelle de mes vœux semble se concrétiser en cet instant précis. Je suis à leur merci, totalement abandonnée à leurs coups de reins. Je cris sous les coups qui redoublent d’intensité et je les supplie de continuer, passant dans mon délire sensuel du Français à l’Italien :

• Oh oui ! Encore ! Je vous aime ! Vous allez me tuer de plaisir. Proseguire! Vi voglio entrambi! Ti appartengo. Svuotati dentro di me! Fertilizzami! (“Continuez! Je vous veux tous les deux! Je vous appartiens. Videz-vous en moi! Fécondez-moi!”)

Je suis arrivée à un point où les orgasmes se succèdent les uns après les autres, me transportant dans des jouissances insensées. Je hurle comme si on était en train de m’égorger. La réception nous dira qu’ils reçurent des plaintes, malgré l’insonorisation des chambres.
Luigi donne le signal :

• Tu es prêt, Philippe ?
• Oui, je ne peux pas tenir plus longtemps.
• Maintenant !

Nous finissons par jouir à l’unisson, mon ultime orgasme est incroyable, d’une violence inouïe. J’ai l’impression que mon cœur va exploser, que je vais mourir de plaisir, alors que jamais je n’ai reçu au fond de mon vagin de telles quantités de semence. Je me demande alors, si j’avais été en période favorable, quel spermatozoïde aurait rencontré l’ovule.

Après un moment aussi intense, nous restons immobiles, sur le grand lit. Je suis entre mes deux hommes. Nous avons besoin de calme après une telle tempête des sens. Ce sera suivi d’un long moment de tendresse dont je prends l’initiative, en commençant par embrasser Philippe, antériorité oblige et parce que, sans lui, rien ne serait possible. J’embrasse alternativement mon mari et mon amant. Les deux hommes prennent l’initiative, pour me caresser et m’embrasser, ne négligeant aucune partie de mon corps.

Je suis à nouveau excitée, prête à m’offrir à nouveau à eux, quand, soudain, Luigi s’écarte. :
• Mon Dieu, il est plus de minuit. Il faut absolument que je m’en aille, le temps de rentrer chez moi pour dormir un peu. Ici c’est impossible !

J’essaie de le retenir.
• Non mi lascerai così? Voglio ancora. Per favore, fottimi di nuovo! (“Tu ne veux pas me laisser dans cet état? J'ai encore envie. Je t'en prie, baise-moi encore!”)
• Donna, ci obbedirai. Ora basta! Noi decidiamo. («Femme, tu vas nous obéir. Ca suffit maintenant! C'est nous qui décidons.”)

Luigi me repousse asse brutalement sur le lit. Sans plus prêter attention à moi, c’est à Philippe qu’il s’adresse :

• Je suis désolé, Philippe et je te souhaite du courage, car dans l’état d’excitation où elle est, tu n’es pas près de dormir ! Je vous attends demain matin, à 7h00, au grand parking près de la Villa Borghèse. Demain, visite d’Ostie, sur les traces de Faustine !

Et en effet, je n’ai pas laissé Philippe dormir avant tard dans la nuit. Notre libido, à tous les deux, n’avait pas été aussi exacerbée depuis un moment. Et je le harcelais, lui disant :

• Tu vois bien que ce triangle est possible. Je vous veux tous les deux.
Philippe, qui, d’habitude, me fait l’amour avec beaucoup de tendresse, me baisait sans ménagements et entendait garder la maîtrise de la situation :
• Oui, c’est possible ici, pas en temps normal. Arrête avec tes illusions et profite à fond des moments qui nous restent !

Je savais qu’il avait raison et ne changerait pas d’avis. Pourtant, je me disais qu’avant notre départ, je l’amènerai à réviser son point de vue.

Ce fut pour moi la deuxième nuit très courte consécutive, ayant fini par m’endormir dans les bras de Philippe, toujours amoureuse en même temps de deux hommes, mon mari et mon amant.

(À suivre)

Les avis des lecteurs

@ Lucie, Luigi a voulu en quelque sorte renvoyer l'ascenseur à Philippe

Histoire Libertine
la suite de tes aventures se prépare. tu devais être terriblement incendiaire dans cette robe.
tu ne peux plus cacher tes sentiments...tu es déjà à Luigi...
il est ton mâle et te prend...te possède et une fois de plus dirige ton plaisir en t'offrant cette double vaginale...modeste avec Philippe mais délicieuse...surtout avec ce final
Lucie

@ Emmanuel, merci! J'ai en effet vécu, pendant ces quelques jours, des moments exceptionnels, que j'ai essayé de traduire dans ces récits

Histoire Erotique
Cette dernière scène dans la chambre est l'un des recits les plus excitants que j'ai lus.... c'est sublime.
La complexité des sentiments, être sur un fil en permanence, mélanger le cœur et le corps... quel cocktail.
Cette double vaginale est exceptionnelle. Se sentir la salope de deux mâles en rut que l'on aime, hurler sans limite, jouir à répétition, exciter ses deux étalons par des mots très crus, et surtout la double ejaculation simultanée qui vous remplit la chatte de litres de foutres, et les trois orgasmes.... c'est phenomenalement esthétiquement beau, et super excitant.
Merci de ce récit
Emmanuel

@ Alfred, oui j'ai encore mes périodes. Mais à ce moment-là je n'étais pas en "période dangereuse"

Histoire Erotique
Exceptionnelle, la double vaginale! Au fait es-tu encore féconde?
Alfred

Merci Nadia. Je t'avais reconnu, ma belle. Maintenant que tu sais comment ça marche, n'hésites pas à déposer des commentaires, tu sais que j'aime en recevoir. Bisous à toi aussi

Histoire Libertine
Ma chère Olga oui bien sur c'était moi " Nadia " C'est la première fois que je mets un commentaire sur ce site.
Surement que je me suis trompée de casse et cocher celle de "lecteur " mais bon c'est pas grave et ferai mieux la prochaine fois .
Gros bisou partout.
Nadia

@ Nadia, je t'ai reconnu, ma belle. On peut dire ça, ma belle. Et surtout nos maris candaulistes savent, nous soutiennent et aiment ça!

Histoire Erotique
Ouf quelle histoire, dans beaucoup de choses je me retrouve. Mon mari me répète souvent que je suis la pire des salopes mais là après ce que tu dévoiles, je sais qu'on est au moins deux. Bien sur qu'on est des salopes mais on assume et puis on fait beaucoup d'heureux et d'heureuses. Gros bisou ma soeur

@ Paul, ce texte sera ma priorité.
Une chose est certaine: en tant qu'hypersexuelle, en effet, un homme ne me suffit pas.

Histoire Erotique
OK Olga, il faudra bien patienter, mais j'espère que cette suite ira crescendo. Une chose est certaine: un seul homme ne te suffit pas. Luigi pourrait être ce second mâle qui t'apporte la dose de plaisir dont tu as besoin
Paul

Merci Bob. J'aime aussi beaucoup vos textes.

Voilà une bien belle histoire qui nous familiarise avec l'histoire romaine.
J'adore vos histoires !
Bob

@ Paul, toujours impatient! Il me faudra, après ces deux semaines d'absence, un peu de temps pour reprendre le travail d'écriture. Ce sera la prochaine publication sur HDS.

Histoire Erotique
La suite!!!!
Paul

Merci Micky. De mon côté, je ne suis pas prête d'oublier cette double vaginale

C'est la première fois que je lis un récit aussi détaillé et expressif d'une "double vaginale". Collector !

Histoire Libertine
Merci pour l’explication.

La chipie

@ Steph, je n'irai pas jusqu'à dire, pour faire référence au titre du film de Sam Taylor-Wood, sorti en 2015, qu'il y a "50 nuances de candaulisme", mais il y a des manières très différentes. Ce à quoi tu fais référence est appelé par les "spécialistes" du "cuckold", situation où le mari est humilié. Nous avons en effet connu cette phase lors de la période Rachid et et en sommes heureusement sortis.
Pour le reste, tu répondais à un commentaire de La chipie

Histoire Coquine
@ La chipie, c'est le mode de fonctionnement de notre couple. JP en est d'accord et nous nous aimons. Olga, qui connait bien les nuances de candaulisme, sait que cela peut, à certains moments, se passer ainsi. Je me souviens que ce fut la situation d'Olga et de Philippe lors de la période Rachid. Ce qui compte, c'est que le couple surmonte ces crises. ca prouve qu'il est solide et que son lien c'est l'amour.
Steph (je signe mais j'ai soumis le texte à JP pour avis, avant de le publier)

Merci suly1959 pour vos encouragements!La suite ne sera mise en ligne que dans la seconde partie d'octobre, pour cause d'absence pour un voyage (uniquement) touristique.
@ La chipie, je ne me prononce pas sur la partie du commentaire qui s'adresse à Steph et JP. Ils le feront s'ils le souhaitent. Quant au polyamour, oui c'est possible, mais c'est exceptionnel. C'est plus facile peut-être quand les protagonistes ne vivent pas sous le même toit. C'est ce que je vis entre mes "deux couples", le premier avec Philippe, le second avec mon amante, Agun.

Je ne peux que vous dire Bravo pour vos écrits, Merci à Philippe de pouvoir vous laisser vivre toutes vos envies et qui de fait y prends plaisir.

Impatient de lire la suite

Merci ma chère D. Je suis en effet heureuse de susciter, par ces récits, de nombreux commentaires et des débats entre lecteurs.

Histoire Libertine
Pour Steph et JP : Tu sais, j'ai vécu ça. J'ai quitté JP pendant des semaines parce que j'étais tombée raide dingue d'un amant. Je suis revenue chez JP parce que mon amant ne voulait pas que baise avec d'autres hommes, or je ne peux m'en passer.

Je suis surprise dans la façon dont vous vous etes exprimée sur votre couple, on a l'impression que le mari était la cinquième roue du carrosse si je puis dire.

Pour le poly amour je ne pense pas que cela soit si difficile , j'avais flasher sur 1 gamine et ça ne m'aurait pas derangé de gerer 2 vies de famille du moment que tout le monde est d'accord.
Le coeur se divise en plusieurs parties je ne vois pas pourquoi on devrait se limiter à 1 seule personne.

La chipie

Histoire Libertine
Merci à Olga de nous faire partager, encore une fois et crescendo, ses ébats érotiques, tumultueux, parfois acrobatiques, et toujours amoureux. Merci également à Philippe de sa complicité plus qu'affectueuse.
Cet exhibitionnisme cérébral, qui prend le relai du réel pour notre plus grand plaisir, est peut-être moins la catharsis de l'auteure que la nôtre, lecteurs et lectrices, au vu des nombreux et prolixes commentaires que ce texte a suscités. Merci donc aussi à Olga pour cela.
D.

@ Didier, mes remerciements sont tout aussi mérités :)

Histoire Erotique
Olga, tu n'a pas à me remercier car comme je l'ai déjà dit dans un précédent commentaire cette bienveillance est amplement méritée.
Didier

Merci Anne!

Histoire Libertine
@ Olga, c'est à ce texte que je pensais en effet. J'aime beaucoup tes textes historiques, que je trouve passionnants. Enfin, j'aime tes textes en général :-)
Anne

@ La chipie, je n'en doute pas
@ Steph et JP, oui c'est compliqué. Et ce choix, je l'ai fait.

Histoire Coquine
Le polyamour est encore plus difficile que le candaulisme. Quand même un couple aussi uni que celui de Philippe et Olga butte sur cet obstacle!
De notre côté, nous avons aussi vécu des moments compliqués, où Steph a suivi un amant, avant de revenir au domicile conjugal.
Philippe a eu raison de dire qu'il faut à un moment choisir
Steph et JP

Histoire Libertine
Je ne soutiens pas par hypocrisie mais par conviction.

La chipie

@ La chipie, le commentaire est "cash", mais je te remercie (et Philippe avec moi) vivement pour ton soutien

Histoire Libertine
Le récit est sulfureux mais en meme temps c'est normal venant d'Olga T !!!!

Elle savait très bien ce qu'elle faisait et a assumé. Philippe a assumé aussi. Ils sont toujours ensemble c'est tout ce qui importe.

Quand à la notion de poly amour ne soyez pas hypocrite , on en parle des mecs qui sont tarpins de gonzesses , fille mère évidemment et les pères sont tranquilles eux et la CAF paie tout !!!

Donc si pour 1 raison de religion alors que la polygamie est interdite en France l'homme a le droit d'avoir tarpin de femmes , la femme a le droit de revendiquer le polyamour !!!

Bref , je dedis à tous ceux qui parlent trop cette chanson de Dalida: paroles paroles.

Sérieux vous n'en n'avez pas marre de venir lire surtout si c'est ensuite pour descendre en flèche la gonzesse qui se casse la tete à tout écrire !!!

Je tenais à signaler le fait que Philippe porte ses couilles !!!!

Il vaut mieux 1 mec qui fasse preuve d'abnégation comme Philippe plutot qu'un homme bien sous tout rapport, a oublié ses couilles en route et laisse sa famille (femme et enfants) se faire harceler par la bande d'enculer qui lui sert de parents !!!!
Le harcèlement ça fait 16 ans que ça dure donc je sais de quoi je parle !!!


La chipie

Merci Didier, à qui le mot "bienveillance" convient également parfaitement

Merci Jacques pour votre message. Je connais votre bienveillance. Je vous rassure. Tout s'est bien terminé et cela est maintenant derrière nous.

Histoire Erotique
@Jacques, merci pour toutes ces précisions.
A la lecture de la première réponse "anonyme" j'avais deviné que c'était vous.
De mon côté, comme je l'ai déjà écrit, je ne porte aucun jugement de valeur, je ne fais qu'analyser les écrits et essayer d'en sortir l'aspect positif de ce couple atypique.
Sur Sofiane, je partage également votre point de vue.
Didier

Je suis l’auteur du message à Didier. Je ne sais ce qui s’est passé mais il est parti en message anonyme. Désolé!

A ne pas si méprendre! Olga et moi entretenons depuis longtemps une situation assez particulière. Elle sait très bien qu’elle a une place bien positionnée a l’intérieur de mon cœur.
Je considère comme mon devoir de lui faire part de mes commentaires. Elle le sait d’ailleurs. Mes commentaires ne portent pas à confusion. Les seules personnes qui m’intéressent dans mes commentaires est la famille entière de Philippe et Olga.
Je trouverais très triste que cette famille hors de l’ordinaire voit leurs efforts de survie s’envoler en éclats du a un excès de réactions certainement non souhaité.
Quand à Sofiane je n’ai aucune affinité avec votre personne. Vous plaire et rechercher votre assentiment m’importe peu et est purement accidentel

Histoire Erotique
@Didier
Vous savez, je connais Olga depuis très longtemps. Olga est capable de prévoir aussi mes réactions a ses récits. Je suis certain qu’en écrivant ce dernier texte elle connaissait d’avance mon commentaire à paraître.
Je trouve qu’elle joue beaucoup avec le feu. Elle dit des choses dans le feu de l’action que la majorité d’entre nous n ‘accepteraient pas. Philippe semble passer par dessus ces dires. J’en suis heureux pour Olga.
Chose certaine lors de son retour de voyage en Grèce où elle fut humiliée, traitée de moins que rien par le supposé nouvelle amour de sa vie, le fameux “N”, Philippe l’a reprise après de multiples efforts de sa part. Il a été tres clair aucune autre escapade du genre ne sera tolérée.
Quand je l’entends dire qu’elle est amoureuse d’un parfait inconnu qui la fait vibrer un peu, le poil me dresse sur les bras. Je ne peux m’empêcher de penser à Philippe qui lui a pourtant été bien clair. Il accepte de jouer Philippe. Si le jeux dépasse l’entendement, il a été clair:” Il faudra choisir”.
Maintenant, s’amuser avec sa bien aimée et recevoir de telles réflection , est-ce que ça ce peut qu’il décide un jour de changer le mode de jeux? Un peu de variété pourrait certainement replacer les objets à leurs places.

Merci Didier!

Histoire Erotique
@Luc, @Clara merci, je suis heureux de ne pas être le seul à avoir une vision optimiste sur l’amour fusionnel qui lie Olga et Philippe, et surtout sur l’issue de cette escapade romaine.
Didier

Histoire Erotique
@Jacques, je vous trouve très critique envers Olga. Positivez un peu, je suis persuadé qu’elle a tiré la leçon de ses erreurs passées.
Didier

@ Anne, oui il s'agit de ce texte, consacré à Sartre et Beauvoir et paru le 18 février 2021: "Histoire des libertines (77) : Beauvoir et Sartre, couple poly-amoureux ?"
@ lectrice anonyme: il est évident que notre comportement aurait été différent si j'avais été en période "féconde"

Histoire Erotique
@Sofiane, je trouve qu’Olga vous fait trop d’honneur et perds son temps à vous répondre, vous qui ne pouvez-vous empêcher d’être acerbe, et je ne vous dirai qu’une chose sur ce coup-là « courageux mais pas téméraire »…
Didier

Histoire Libertine
Heureusement tu n'étais pas en période féconde, car, en sachant que seul un seul spermatozoïde féconde l'ovule, il aurait fallu faire un test de paternité pour savoir si l'enfant était de Philippe ou de Luigi.

Histoire Libertine
La question que pose ce texte: le polymaour est-il possible? Il me semble, Olga, que tu avais écrit un texte à ce sujet
Anne

@ Daniel, il n'a jamais lésiné, mais cette fois c'était une véritable folie

Histoire Erotique
Philippe ne lésine pas, quand il s'agit de faire plaisir à sa belle et de l'exhiber
Daniel

@ Maurice, ce fut torride en effet
@ Jacques, oui Philippe a toujours été clair. De mon côté, il était et est hors de question que je me sépare de Philippe.
Merci également à Luc et à Clara
Quant à Sofiane, toujours aussi opportuniste pour me tirer dessus

Histoire Erotique
Pour ne pas énerver "La chipie", je vais éviter de dire ce que je pense d'Olga. Je veux seulement féliciter Jacques Canada, qui a bien dit les choses
Sofiane

Histoire Erotique
@ Jacques Canada, je suis comme vous les récits d'Olga depuis longtemps et je vous trouve sévère. Il est vrai que, dans cette histoire, le couple d'Olga et de Philippe est sur la corde raide. Il leur est arrivé ce qui constitue le grand risque du candaulisme, à savoir que l'épouse ne soit éprise de l'amant. Ce que je retiens, comme Didier, est l'amour de Philippe et le fait que, contrairement à ce qui s'était passé avec N, Olga n'envisage à aucun moment de quitter Philippe. En outre, et contrairement à ce qui s'est passé avec N, ils ont cette fois affaire à quelqu'un de correct qui, certes, répond à ce que Philippe souhaitait, à savoir baiser la belle Olga, mais qui n'entend pas en profiter pour briser leur couple.
Luc
Attendons la fin, mais je n'ai pas votre vision pessimiste. Le couple tangue, mais reste à flots en quelque sorte.
Clara

“comme tu l’as toujours été, tu es libre, si Luigi veut de toi et que tu veux vivre avec lui. Il te faudra juste choisir”

Sans mettre en doute l’amour de Philippe, Contrairement à Didier moi je vois dans cette énoncé un message clair et précis.

Histoire Erotique
La scène de la double vaginale est torride!
Maurice

Merci à Paul et à Julie
@ Jacques, attendez de connaitre la fin avant de prononcer un jugement.
@ Didier, merci pour ce commentaire et en particulier de souligner la partie intimiste de ce texte et l'amour incommensurable de Philippe

Histoire Libertine
@ Olga, je ne peux à nouveau que saluer ton courage dans ton exercice de transparence, de catharsis pour reprendre un terme qui t'est cher
Julie

Histoire Erotique
Olga,
Je tiens à commencer par te féliciter une fois de plus pour cet énorme travail de « Catharsis ».
C'est un excellent chapitre, comme je les aime, avec ce mélange de sexe et de réflexions.
Ce qui en ressort le plus à mon avis c'est l'amour que te porte et te prouve Philippe.
Il te le prouve tout d’abord en t’achetant cette robe indécente à double titre, son rendu et son prix, puis une seconde fois lors de votre échange en tête à tête, à l’hôtel.
C’est ce dernier moment, très intimiste en soi, que j'ai trouvé de plus intéressant dans ce chapitre.
Tu y évoque des "errements" passés, le dilemme de cette liaison à trois, l'évocation d'une solution pour une éventuelle vie future comportant néanmoins quelques inconvénients...
Mais ce qui ressort le plus de ce passage, c'est cette magnifique preuve de l’amour incommensurable de Philippe te porte. Il est prêt, s'il le fallait, à se sacrifier, à céder sa place, pour que tu sois heureuse.
Concernant le sexe, ce trio est magnifique et particulièrement bien décrit, aussi bien dans l'action que dans le ressenti. Il confirme une fois de plus la totale complicité de Luigi et Philippe.
J’ai vraiment hâte de lire découvrir suite. En effet, quelles surprises ton amant et ton mari vont-t-ils encore te réserver ?
Didier

Vous me faites penser à une enfant gâtée qui ne pense qu’à son bien-être. Les répercussions de vos actes et de vos pensées sur les autres n’ont aucune importance pour vous. Seule l’atteinte de votre objectif est important a vos yeux. Vos actes et paroles démontrent une irresponsabilité total de votre comportement.
Ayant démontré à Philippe que vous et prête à recommencer l’irréparable votre retour au bercail risque d’être douloureux. Vous vous retrouverez certainement les deux pieds sur terre.
J’espère que Agun ne se fie pas seulement sur vous pour réaliser son futur amoureux. La laisser tomber pour un autre n’est certainement pas difficile pour vous si votre petite personne est satisfaite et contentée.
Les enfants ne sont pas innocents Olga. Ils voient plus que certainement vous pensez. Ils comprennent beaucoup de choses aussi. Pas nécessairement besoin de leurs faire des desseins! L’incertitude et l’insécurité que vous créez dans leurs têtes se refléteront dans leur agissements envers vous plus tard.
Je vous vois faisant partie de la tribu des “ J’aurais donc bien due “ dans un avenir rapproché.
Profitez du présent, comme la cigale, car le futur vous reviendra certainement vous hanter.

Histoire Erotique
Promesse tenue, avec ce texte mis en ligne si rapidement. Je l'ai trouvé particulièrement excitant!
Paul



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (7).
Histoire sexe : Une rose rouge
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