Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (8).

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (8). Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (8).
AVERTISSEMENT

Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin, 16 et 30 juillet, le 18 août ainsi que les 7 et 19 septembre 2023. Ce chapitre est un moment de transition, avant une soirée qui sera intense et que s’annonce le temps des choix, pour moi, Philippe et Luigi.

Il y aura donc une suite….

RESUME

En ce mois de mai 2023, Philippe et moi nous sommes à Rome, pour revenir sur des lieux qui sont le cadre de mes récits érotico-historiques, soit déjà écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine ».

Philippe a, comme toujours, tout organisé. Il a soigneusement choisi le programme et le guide. Luigi est docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome impériale. Âgé de 28 ans, il est viril et beau comme un Dieu. Philippe entendait bien en effet que nous profitions du séjour pour renouer avec nos pratiques candaulistes, que nous ne pouvons guère assumer qu’épisodiquement, compte tenu des contraintes de la vie familiale et professionnelle.

Ce que Philippe n’avait pas prévu est que Luigi et moi, malgré une différence d’âge de près de 20 ans, nous puissions « flasher » l’un sur l’autre. Le séjour se passe dans une très forte tension érotique et sentimentale, avec des moments particulièrement torrides, dans une totale complicité entre mon mari candauliste et mon amant. Prétextant le voyage prévu le lendemain pour visiter les ruines romaines d’Ostie, sous les traces de l’impératrice Faustine, Luigi n’a pas passé la nuit avec nous. La fin prévue de notre séjour approche, alors que je ne veux renoncer ni à mon chéri, ni à mon beau guide dont je suis tombée amoureuse

***

Luigi a quitté l’hôtel peu après minuit, après deux heures de plaisir intensif et surtout une mémorable « double vaginale » avec Philippe. Cela ne m’a pourtant pas suffit. Mon hypersexualité fit, qu’après des mois de « disette », j’étais en feu. Comme à mon habitude, plus je baisais, plus j’avais envie. J’eus, un instant, la tentation de faire venir un serveur du grand hôtel et de m’offrir à lui, devant Philippe. Je résistai, in extremis à cette tentation. Il appartint à Philippe, qui avait créé cette situation, en me faisant rencontrer mon bel étalon italien, de tenter de m’apaiser.

Je n’ai pas laissé Philippe dormir avant tard dans la nuit. Notre libido, à tous les deux, n’avait pas été aussi exacerbée depuis un moment.

Philippe, qui, d’habitude, me fait l’amour avec beaucoup de tendresse, me baisa sans ménagements, me traitant de salope, de cochonne, de chienne. A chaque fois que je suis tombée amoureuse d’un autre homme, comme ce fut le cas le cas avec Rachid, Hassan ou N, Philippe devient un autre amant, exacerbé par l’existence d’un potentiel rival et ce malgré son apparente complicité avec Luigi et la totale loyauté de celui-ci envers mon mari.
A plusieurs reprises, je harcelais Philippe, lui disant :

• Tu vois bien que ce triangle est possible. Je vous veux tous les deux.
Je me faisais chatte, minaudant :
• Allez chéri. Pourquoi tu ne veux pas ? Tu l’avais accepté avec Rachid, qui était un salaud et qui a failli nous détruire. Avec Luigi, c’est différent. C’est quelqu’un de bien. Avec lui et toi, je serai comblée. Je sais que tu adores quand il me baise. Plus besoin de chercher des amants à l’extérieur. Allez, mon bébé, dis « oui ». Rends-moi heureuse !
Philippe entendait garder la maîtrise de la situation :
• Oui, c’est possible ici, pas en temps normal. Arrête avec tes illusions et profite à fond des moments qui nous restent !

Je savais qu’il ne changerait pas d’avis. Pourtant, je ne renonçais pas. Je me disais qu’avant notre départ, je l’amènerai à réviser son point de vue.

Ce fut une deuxième nuit très courte consécutive, ayant fini par m’endormir dans les bras de Philippe. Lorsque la réception, suivant les instructions de Luigi, nous réveilla à 6h00, nous étions épuisés. Il fallait se dépêcher, Luigi nous attendant à 7h00, au grand parking près de la Villa Borghèse.

***

Nous retrouvâmes Luigi à l’extérieur du parking. Le programme du jour étant bien rempli, notre guide souhaitait que nous nous mettions en route immédiatement. C’était sans compter sur moi. Le simple fait de voir Luigi réveillait mes sens. Je me précipitais dans les bras de mon amant, je me serrai contre lui.

• Olga, fermati! Andiamo di fretta. (“Olga, arrête! Nous sommes pressés.)
• Luigi, non mi controllo più quando ti vedo. Mi hai lasciato ieri sera quando ancora ti volevo. Non posso più fare a meno di te. Baciami! (“Luigi, je ne me contrôle plus quand je te vois. Tu m'as laissé hier soir alors que j'avais encore envie de toi. Je ne peux plus me passer de toi. Embrasse-moi!”)
• Sei insopportabile! Mi fai impazzire. Non avrei mai immaginato che potesse esistere una donna come te. (“Tu es insupportable. Tu me rends fou. Jamais, je n’avais imaginé qu’une femme comme toi puisse exister.)

Luigi prit possession de mes lèvres, pour un long baiser fougueux. Sa langue s’enroula autour de la mienne. Nous nous interrompions pour reprendre notre souffle et recommencer. Les mains de Luigi se posèrent sur mes fesses, puis remontèrent pour caresser mon dos nu, car j’avais choisi de porter une robe courte, décolletée, sans soutien-gorge. Ni lui, ni moi, n’avions envie d’arrêter, Philippe étant le témoin silencieux de notre étreinte, d’un moment où tout sembla basculer. Je pensai, un instant, proposer à Luigi que nous retournions à l’hôtel pour que nous fassions l’amour. Je sentis, et Philippe le comprit, que le jeune historien était en train de craquer et que je parvenais à mes fins.

In extremis, Luigi reprit provisoirement le contrôle de la situation.

• Je ne sais plus où j’en suis. Philippe, tu as joué avec le feu et j’ai peur de ne plus rien contrôler. Allons à Ostia, consacrons nous à cette visite pour tenter d’oublier, au moins pour le moment.

Au moment où nous descendions dans le parking pour prendre la voiture, je cherchai à pousser mon avantage.

• Philippe, mon amour, tu veux bien conduire s’il te plait, j’aimerais tant être à l’arrière avec Luigi.

Craignant que Philippe, malgré sa fatigue, n’accède à ma demande, Luigi réagit, avec fermeté :
• Il n’en n’est pas question ! Philippe a très peu dormi la nuit dernière, à cause de toi. Pas question de risquer l’accident. De plus, hier, nous avons eu beaucoup de chance de ne pas avoir été repérés par les carabinieri lorsque nous avons baisé en plein embouteillage (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (6). », publié le 7 septembre 2023) !
• Vraiment, que nous risquions-nous ? Tout au plus une simple amende pour acte obscène !
• Détrompe-toi ! Il y a quelques temps, dans la région de Bella, dans le Nord de l’Italie, deux amoureux, Francesco et Erika, se laissèrent aller à des relations sexuelles sur la place de leur village. Les deux amants s'étaient déshabillés et avaient été surpris complètement nus, l'un sur l'autre, dans leur voiture, par une patrouille de carabiniers. La Cour de cassation confirma la condamnation pénale dont ils avaient écopé, comprise entre trois mois et trois ans de prison. Dans notre cas, un couple illégitime et qui plus est en présence du mari, j’imagine le scandale. Nous aurions pris le maximum. Sans oublier que j’aurais perdu mon travail, tant comme guide que comme enseignant-chercheur. Donc, pas question de jouer à nouveau à ça.
• Moi j’avais pris mon pied ! J’aime le risque et j’adore m’exhiber.
• Ca j’avais remarqué. Sei tanto pazzo quanto pericoloso! (“Tu es aussi folle que dangereuse!”)

***

Je me suis inclinée, de très mauvaise grâce. Nous nous sommes donc installés à l’arrière, avec Philippe, alors que Luigi, au volant dans les embouteillages matinaux de la capitale italienne, tentait de rattraper notre retard. Il était concentré. Luigi nous confirmait que la conduite à l'italienne est tout sauf un mythe. Les feux rouges et les stops ne sont là qu'à titre purement indicatif. Une ligne continue, pour décorer, de même que les rétroviseurs. Le klaxon est copieusement utilisé pour se signaler, sans connotation agressive systématique, sans oublier, les dépassements à des endroits improbables. Luig, qui nous avait habitués à un comportement réservé, était déchainé, montrant un tout autre visage, celui du macho italien, assez caricatural, employant un vocabulaire plutôt fleuri :

• Coglione ! Figlio di puttana! Tu Cornuto! (“Connard! Fils de pute! Espèce de cocu!)
• Adoro quando ti comporti così, tesoro mio. Guidi la macchina come se mi scopassi, con irruenza! (“J'adore quand tu te comportes comme ça, mon chéri. Tu conduis la voiture comme tu me baises, avec impétuosité!”)

Luigi sembla agacé et me répondit avec une certaine brutalité :

• Vuoi stare zitto, stronza? Lasciami guidare tranquillamente. So che ne muori dalla voglia, ma aspetterai fino a stasera per scopare! (“Tu veux bien la fermer, espèce de salope? Laisse-moi conduire tranquillement. Je sais que tu en crèves d'envie, mais tu attendras ce soir pour te faire niquer!”)
• Manca ancora molto tempo fino a stasera. Ho bisogno di farmi venire! (“C'est encore long jusque ce soir. Il faut que je me fasse jouir!”)

J’ai enlevé mon mini-string, déjà bien trempé et je le mis sous le nez de Luigi :

• Hai visto in che stato mi hai messo? Mi masturberò pensando a te. (“Tu as vu dans quel état tu me mets? Je vais me masturber en pensant à toi”). Philippe, mon chéri, tiens-moi la main, embrasse-moi, caresse-moi!

Ma chatte est béante et trempée. Philippe me prend la main droite et je serre sa main, accroissant ma pression au fur et à mesure que monte mon plaisir. De ma main gauche, j’astique mon clito, puis me doigte. Mon excitation est telle qu’au final ce sont quatre doigts que j’enfonce dans mon vagin.

Mes yeux se voilent. Je ralentis ma masturbation quand le plaisir monte.

Il ne me fallut que quelques minutes pour me faire jouir assez violemment, mais cela eut pour effet de me calmer, au point que je finis par m’endormir sur l’épaule de Philippe. Il n’y avait qu’une trentaine de kilomètre entre la Ville éternelle et Ostia Antica, mais il nous fallut près de deux heures pour parvenir à destination, par la voie Ostensiense.

***

Luigi avait prévu un programme de visite très riche, destiné à nous occuper une bonne partie de la journée et, en ce qui le concerne, de se tenir à bonne distance de moi, malgré mes tentatives pour lui prendre la main et se comporter comme si nous étions en couple.
Luigi reprit son rôle de guide-conférencier, en nous rappelant l’histoire d’Ostie, s’adressant à moi en tant que passionnée d’histoire romaine :

• A l’époque qui t’intéresse, celle de Marc-Aurèle et de Faustine, Ostie a compté près de 100.000 habitants.
• J’ai imaginé que c’est ici que Faustine venait s’encanailler avec des marins.
• C’est ce que prétend l’Histoire Auguste. Si cela est vrai, Ostie fut pour Faustine ce que Suburre fut pour Messaline. On ne prête qu’aux riches !
• Que devint ensuite Ostie ?
• Le déclin commença au IVème siècle, puis le site fut abandonné à la chute de l’empire romain. Les dévastations, les inondations du fleuve Tibre, les marécages, la malaria, les incursions des sarrasins en décrétèrent la fin. Mais, dés le début du XXème siècle, des fouilles ont remis à jour Ostie antique. Son destin est étroitement lié à Rome, d’abord comme point de défense à l’embouchure du fleuve ensuite comme port militaire et pour finir comme port commerciale et quartier résidentiel de la Rome antique.

Nous entrâmes en ville par la Porta Romana, précédée par la nécropole qui longe la chaussée antique et suivie par une grande place bordée par la statue de la Victoire Aillée. Par le decumanus (un des deux axes), en longeant les thermes de Neptune, le théâtre et la place des Corporations, les Insula, le thermoplium, les moulins, la caserne des Vigiles, les fullonicae (où laver le linge), nous arrivâmes au forum, dominé par le temple de la Triade. La visite d’Ostie antique se poursuivit par la découverte du musée, du marché aux poissons, des édifices des corporations, de la basilique chrétienne, de la synagogue, des temples aux cultes orientaux.

Du point de vue culturel et historique, j’avais été comblée, ayant pu visualiser les endroits où, dans ma fiction, l’épouse de Marc Aurèle venait se livrer à ses frasques avec les marins d’Ostie. Par contre, je me sentais totalement frustrée par le comportement très distant de Luigi à mon égard, tant pendant la visite que lors du retour à Rome, où, à nouveau, il refusa que Philippe prenne le volant. Peu avant que Luigi ne nous dépose à proximité de notre hôtel, j’osais quémander :

• Luigi, vuoi unirti a noi stasera e passare la notte in albergo? Per favore. Voglio che mi scopi tutta la notte. Abbiamo solo altri due giorni da trascorrere insieme. (“Luigi, cette nuit, tu nous rejoins et tu passes la nuit avec nous à l'hôtel? Je t'en prie. J'ai envie que tu me baises toute la nuit. Nous n'avons plus que deux jours à passer ensemble.”)
Luigi répondit en Français, signe que tout avait été convenu avec Philippe.

• Avec Philippe, nous avons prévu une soirée spéciale. Un chauffeur viendra vous chercher à l’hôtel à 21h00 pour vous conduire dans la banlieue de Rome. Un de mes amis, passionné comme toi par la Rome antique, y possède une magnifique villa, qui te rappellera une Domus, avec un vaste Atrium.
• Avrei voluto passare questa serata con te, amore mio. Con il solo Philippe a testimoniare il nostro piacere. (“J'aurais voulu passer cette soirée seule, avec toi, mon amour. Avec seulement Philippe comme témoin de notre plaisir.”)
• Puisque tu prétends que tu es à moi, tu vas m’obéir, femme, et faire ce que nous avons prévu avec Philippe, pour ton plaisir. Tu n’oublieras pas cette soirée. Philippe te donnera mes consignes en ce qui concerne ta tenue.

Malgré mon insistance, je ne pus en savoir davantage. Sans que je sache pourquoi, Philippe s’absenta une heure avec Luigi, en vue de préparer la soirée.

***

La complicité entre Luigi et Philippe se confirmait. Philippe m’ordonna de porter une robe blanche très sexy, à dos nu, une sorte de tunique, resserrée à la taille par une ceinture, au décolleté vertigineux et qui se portait sans soutien-gorge. J’eus seulement le droit de mettre un string ficelle. Sous le tissu en lin de cette robe tunique, on devinait aisément mes seins, le profond décolleté ne les cachant guère. La tunique était courte et mettait aussi en valeur mes jambes et mes fesses.

Une autre surprise m’attendait. Mon mari et mon amant s’étaient mis d’accord au sujet de mon maquillage. Une plantureuse brune, quadragénaire, à la poitrine voluptueuse, se présenta à notre chambre. Sa façon de se comporter envers Philippe, me déplut immédiatement et vivement. Elle se permit de lui déposer un baiser sur les lèvres.

• Buonasera bell'uomo. È lei quella che devo trasformare in una puttana? Non sarà difficile! (“Bonsoir bel homme. C'est elle que je dois transformer en putain? Ce ne sera pas difficile!)

Je lui jetais un regard noir. Compte tenu de mon comportement au cours de ce séjour à Rome, j’étais mal venue de faire des reproches à Philippe, qui est bien conscient qu’en ce qui le concerne je ne suis pas partageuse. Je sais aussi que Philippe aime ce genre de poitrine généreuse et manifestement il mate sans vergogne le décolleté de l’esthéticienne.
Je me retins cependant de faire un scandale et de mettre cette garce à la porte. Pas question de contrarier Luigi.

• Chérie, je te présente Sophia, une esthéticienne. Nous sommes allés la voir tout à l’heure avec Luigi. La spécialité du salon dont elle est propriétaire, ce sont des maquillages proches de ce qui se pratiquait sous la Rome Antique. Nous lui avons dit que ce soir nous voulions que tu ressembles à Faustine.
• Je vois et je comprends le pourquoi de cette robe qui ressemble à une tunique que portaient les Romaines, sauf qu’il semble que vous n’avez prévu ni stola, ni palla, ni strophium.

Je faisais référence à la tenue que portait toute matrone romaine, à savoir respectivement une robe assez longue. Il n’était pas non plus prévu de palla, cette sorte de très grand châle couvrant les épaules. Et, évidemment, pas non plus de strophium, cette écharpe roulée en un cordon long et partout de même épaisseur, serrée sous la poitrine et qui faisait office de soutien-gorge.

• Habillée ainsi, je ne ressemblerai ni une impératrice, ni à une matrone.
• Ce soir tu seras parée comme Faustine quand elle rejoignait ses gladiateurs et ses marins. Tu seras une lupa, une meretrix.
• Puisque c’est ce que Luigi et toi vous voulez !

M’adressant à Sophia :
• Andiamo a prepararmi, visto che sei qui per questo. Ma ti avverto, stronza, non toccare mio marito. È mio e non lo presto! (“Allons-y, prépare-moi, puisque tu es là pour ça. Mais je te préviens, salope, tu ne touches pas à mon mari. Il est à moi et je ne le prête pas!”)
• Stai zitto. Non hai niente da dire. Luigi decide e tu hai promesso di obbedirgli in tutto. (“Ferme-la. Tu n'as rien à dire. C'est Luigi qui décide et tu as promis de lui obéir en tout.”)

Sophia me transforma en peu de temps, réalisant un maquillage à outrance, semblable à celui des prostituées de Suburre, le quartier chaud de la Rome impériale. Je vis ma transformation dans le miroir. Les lèvres et les joues sont rouges, un rouge vif, provoquant, vulgaire.

Quant au regard, il se devait d’être noir, à l'aide de Khôl. Sophia ajouta un trait noir sous mes yeux afin d'agrandir le regard. Un autre trait de noir allongea mes sourcils, afin de donner l'impression d'un petit front, autre critère de beauté sous la Rome antique.

Elle connaissait parfaitement les critères de l’époque, ses services étant très recherchés par de belles romaines, qui voulaient se travestir en matrones.
Le maquillage fut complété par l'ajout d'un petit grain de beauté. Philippe était particulièrement excité par ma transformation. Il s’adressa à Sophia en Français. Celle-ci ne parlait pas notre langue, mais manifestement elle la comprenait :

• Elle est belle, n’est-ce pas? Elle aurait eu beaucoup de succès à cette époque, comme elle en a aujourd’hui.
• Sì, tua moglie è bella e avrebbe avuto molto successo in epoca romana: ha la vita stretta, i fianchi larghi, le gambe lunghe seno piccolo e paffute e i capelli lunghi. (“Oui, ta femme est belle et aurait beaucoup de succès du temps des Romains: elle a une taille étroite, des hanches larges, de petits seins, des jambes longues et potelées ainsi qu'une longue chevelure”.)

Je traduisis pour Philippe. L’esthéticienne nuança un point :
• Una cosa avrebbe sorpreso i romani. Gli antichi romani apprezzavano le ciglia grandi e folte, considerate segno di castità. Ciò è sorprendente perché, nel tuo caso, dovrebbero cadere quando l'attività sessuale è intensa (“Une chose aurait étonné les Romains. Ils appréciaient les grands cils fournis, considérés comme un signe de chasteté. C'est étonnant car, dans ton cas, ils devraient tomber lorsque l'activité sexuelle est intense.”)

Sophia ajouta :

• Non abbiamo abbastanza tempo perché dovremmo depilarle tutto il corpo, compresa la figa. (“Nous n'avons pas assez de temps car il faudrait lui raser tout le corps, y compris la chatte”.)

Je compris que cette femme aurait aimé s’occuper de ma chatte. Je fus rassurée que Luigi n’avait pas exigé que ma chatte soit glabre, car je n’aime guère cela. Mais Sophia n’en n’avait pas encore fini. Il restait la coiffure. Elle reproduisit la coiffure de Faustine, à savoir une raie médiane et de larges bandeaux ondulés descendants vers les oreilles sans les couvrir, dans la nuque de fines nattes parallèles forment un chignon très serré.

Des sandales complétaient ma préparation, qui me faisait ressembler à Faustine ou à Messaline, non dans leur majesté d’impératrice, mais dans lorsqu’elles se livraient à leurs débauches en se rendant respectivement à Ostie, pour l’épouse de Marc Aurèle ou dans le quartier de Suburre pour l’Augusta Meretrix.

Nous avions à peine terminé ce long travail de préparation que nous reçûmes un appel de la réception, pour nous prévenir qu’un véhicule nous attendait devant l’hôtel pour nous conduire à la soirée.

Nous nous installâmes à l’arrière de la confortable Mercedes classe A, qui nous conduisit dans la banlieue de Rome. J’étais irritée de constater que Sophia nous accompagnait et le fit savoir à Philippe, d’autant plus que celui-ci était assis entre nous-deux et que je constatais, furieuse, que l’esthéticienne ait ostensiblement posé la main sur la braguette de mon mari, lequel ne pouvait cacher son érection.

• Et pourquoi cette garce nous accompagne-t-elle ?
• Ce sont les instructions de Luigi.
• Non vedo l'ora di ricevere la ricompensa che Luigi mi ha promesso. (“Je suis impatiente de recevoir la récompense que Luigi m'a promise”.)

Je compris ce qu’elle voulait. Cette Sophia avait jeté son dévolu sur mon homme. Et elle ne lui était manifestement pas indifférente. Que cherchait Luigi en mettant cette matrone sur la route de Philippe ? A l’évidence à tester mes limites. En temps normal, cette femelle aurait passé un très mauvais quart d’heure. Luigi me mettait à l’épreuve. Et je pensais surtout que j’allais le retrouver, et que la soirée serait longue et chaude.

Elle le fut en effet, même si elle se déroula différemment de ce que j’avais espéré.
(À suivre)

Les avis des lecteurs

@ Lucie, je l'étais en effet. En tout cas, Luigi a apprécié!

Histoire Libertine
je m'amuse toujours autant de voir comme tu grognes devant une femme qui se comporte comme toi...en bonne petite salope qui sait ce qu'elle veut.
Luigi voulait une soirée romaine avec une belle lupa. tu devais être magnifique
Lucie

Histoire Erotique
Un chapitre de transition.
Alfred

merci linsee. Je suis flattée!

trop bon

@ Didier, c'est un plaisir, d'abord de faire partager mes expériences, ensuite de partager mes connaissances et le fruit de mes lectures. je pense également que les commentaires sont aussi l'occasion d'approfondir certains points. J'ai la chance d'avoir des lecteurs et lectrices qui, comme toi, Julie, Bernard et d'autres partagent ma passion pour l'histoire. C'est moi qui vous remercie car votre soutien est un immense encouragement pour moi

Histoire Erotique
@Julie,
Tu as parfaitement raison, Olga est vraiment incroyable.
Ses réponses sont tout autant instructives et intéressantes que l’a pu l’être son écrit lui-même.
Confirmant ainsi ce que je sais depuis longtemps, Olga n’est pas seulement une érudite en Histoire, elle est tout autant perfectionniste que passionnée…
@Olga,
Merci encore d’avoir partagé avec nous, tes fidèles lecteurs, toutes tes précieuses connaissances.
Didier

@ Julie, merci!
@ Bernard, pas de soucis. Dans le cadre des Mémoires de Faustine, en cours d'écriture, j'ai été amené à prendre connaissance de ce que Antonin le Pieux a fait pour Narbonne, après l'incendie qui frappa la ville. Il y a eu également, en décembre 2021, un très intéressant documentaire de Marc Azéma sur la Chaine histoire "Narbo Martius, la fille de Rome"
Et comme j'ai une bonne mémoire :-)

Histoire Erotique
@ Olga,
Oups, tu as raison! Merci de m'avoir corrigé: c'est effectivement Narbo Martius que Narbonne s'appelait.
Soit c'est l'heure tardive de ma saisie qui a provoqué cette erreur, soit c'est ma visite il y a quelques mois dans ce musée qui m'est restée en mémoire...
Bernard

Histoire Libertine
Je connais de longue date ton érudition et tes connaissances historiques. ta réponse à Bernard ne fait que les confirmer! Bravo!
Julie

@ Bernard, merci. Bonne remarque au sujet de la "conduite napolitaine", c'est ce que Luigi nous avait dit. Je n'ose imaginer ce que ça doit être.
Tu as raison de rappeler que la principale ville du sud de la Gaule était Narbonne, qui, il me semble, s'appelait Narbo Martius, fondée en -118, au moment où venait d'être créée la Provincia Romana, devenue sous l'empire la Narbonnaise. Durant les deux premiers siècles de l'ère chrétienne, sa superficie avoisinait 100 hectares, ce qui a amené à estimer sa population aux alentours de 35 000 habitants.Après sa destruction en 145 par un incendie accidentel, Antonin le Pieux fit reconstruire Narbonne.
Cette riche province romaine comptait bien d'autres grandes villes, comme Nimes (Nemausus), Aix en Provence (Aquae Sextiae) et bien Marseille, Massilia, fondée par les Phocéens.
Le grand port de voyageurs en Italie, notamment vers l'Orient était Putéoli (Pouzzoles), dans la baise de Naples, sans oublier Brundisium (Brindes), à destination de la Grèce.J'en parle dans mes œuvres de fictions romaines

Histoire Erotique
Beaucoup de commentaires sur ce texte... Mais comme pour tous les autres que tu écris, tellement ton style est fluide, et très agréable à lire.
Tu dis être impressionnée par la conduite Romaine... Pourtant elle est presque "normale" si on la compare à la conduite Napolitaine!...
Pour l'anecdote, comme tu es allée à Ostie, il reste dans les ruines de l'ancien port des traces des liaisons maritimes régulières de l'époque. En ce qui concerne la Gaule, la seule liaison était avec Narbo Via (Narbonne), et non Massilia comme on aurait pu le croire.
Vivement le prochain texte!
Bernard

@ Nadia, je pense que c'est toi, même si tu n'as pas signé et que tu as publié sous la rubrique "un lecteur"
Merci beaucoup. Nous avons en effet un certain nombre de points en commun. :-)
Bises

@ Laura, c'est vrai et je suis agréablement surprise d'avoir ce nombre de lecteurs et de commentaires
@ Jacques, merci pour votre commentaire, à la fin duquel vous avez souligné un point très important

Histoire Erotique
J'ai adoré, tu as de la chance d'avoir Philippe qui te guide et t'accompagne dans tous tes délires.
Bien sur Luigi aussi est formidable et j'aime bien la façon dont il te traite.
moi c'est pareil j'adore être traitée de la sorte. On se ressemble beaucoup

Je n’en reviens pas comment vous êtes capable de faire ressentir vos désirs a vos lecteurs. Vous écrivez de façon à nous faire tous sentir tout près de vous. Nous ressentons les émotions de tous vos sujets.
Les hommes ont certainement trouvé une belle façon de satisfaire vos pulsions sexuelles.
Il ont trouvé aussi une façon de réduire vos plans futurs. Si c’est bon pour un, c’est bon pour l’autre!

Histoire Libertine
C'est vrai que ce chapitre est moins "sexe" que les précédents. Il y a toutefois une scène de masturbation de toute beauté, où Philippe est ton complice
Laura

@ Daniel, c'était, au moins en partie, une posture, pour me décourager.
@ Henri, je n'en sais rien. ce dont je suis certaine, c'est que Luigi a une grande conscience professionnelle, nous avions un programme à respecter ce jour-là.

Histoire Erotique
Tu écris "Luigi prit possession de mes lèvres, pour un long baiser fougueux. Sa langue s’enroula autour de la mienne. Nous nous interrompions pour reprendre notre souffle et recommencer. Les mains de Luigi se posèrent sur mes fesses, puis remontèrent pour caresser mon dos nu, car j’avais choisi de porter une robe courte, décolletée, sans soutien-gorge. Ni lui, ni moi, n’avions envie d’arrêter, Philippe étant le témoin silencieux de notre étreinte, d’un moment où tout sembla basculer. Je pensai, un instant, proposer à Luigi que nous retournions à l’hôtel pour que nous fassions l’amour."
Que ce serait-il passer si tu l'avais fait? Luigi aurait-il résister? J'en doute!
Henri

@ Steph, je le répète, ce n'était pas si évident car je continuai à aimer Philippe. En fait, je voulais à la fois Luigi et Philippe
@ Didier et La chipie, un grand merci. Mais lui (et son compère) ne méritent aucun intérêt
@ Didier, c'est en effet un exercice de transparence, de "catharsis" auquel je me livre, y compris quand ce n'est pas à mon avantage.

Histoire Erotique
Je n'aime pas la façon dont Luigi te parle désormais, avec un total manque de respect
Daniel

Histoire Erotique
Olga,
Je te remercie pour ton, tes commentaires. Je trouve de plus qu’en répondant aux interrogations de Luc et de moi-même tu fais preuve encore d’une grande transparence.
C’est encore effectivement un formidable travail de « Catharsis » que tu fais en nous avouant là ces sentiments mitigés, prémices de cette soirée qui semble déterminante pour ton avenir, pour ton couple...
J’ai vraiment hâte de découvrir la suite.
Didier

Histoire Libertine
Quand on choisit quelqu’un par intérêt en particulier quand le mec n’est pas 1 ouvrier j’appelle ça 1 pute mon cher Kamel !!!

En attendant vous critiquez mais vous continuez de lire.
C’est de l’hypocrisie.

La chipie

Histoire Erotique
@Kamel, sachez que pouvez également subir les foudres d’autres lecteurs que La Chipie.
Vraiment, vous ne pouvez pas tirer un trait sur le passé, murir un peu et passer à autres choses…
Comme Sofiane, vous en devenez vraiment ridicules en ne pouvant pas l'un comme l'autre vous empêcher constamment d’être acerbe envers Olga.
A vous aussi, je ne vous dirai qu’une chose, sur ce coup-là en répondant à Paul : « courageux mais pas téméraire »…
Didier

Histoire Coquine
Quand on lit attentivement ce texte, il renforce l'impression des précédents chapitres. On n'est plus sur du candaulisme, mais sur une menace existentielle sur votre couple. J'en veux pour preuves ces extraits suivants:
- "Je sentis, et Philippe le comprit, que le jeune historien était en train de craquer"
- Luigi dit à Philippe: "Je ne sais plus où j’en suis. Philippe, tu as joué avec le feu et j’ai peur de ne plus rien contrôler."
- « J'aurais voulu passer cette soirée seule, avec toi, mon amour. Avec seulement Philippe comme témoin de notre plaisir.”
Toute la journée, tu n’as pensé qu’à une chose : faire l’amour avec ton amant.
J’ai tendance à penser que, bien qu’il s’en défende, Luigi soit lui aussi tomber amoureux et que l’intervention de Sophia est là pour neutraliser Philippe.
Steph

Histoire Erotique
Tant pis pour les foudres de La chipie, mais puisqu'Olga a dit qu'elle se moquait de notre avis, je réponds à Paul. Olga a choisi Philippe parce que c'était son intérêt. Elle a toujours fait comme ça
Kamel

@ lectrice anonyme, ce que tu dis est vrai. Oui ile me baisait bien, oui j'étais amoureuse. Mais ce n'était pas si facile. Je n'ai jamais cessé d'aimer Philippe

@ Didier, merci pour tes deux commentaires. Tu soulignes des points importants.
D'abord les références aux nuits de Messaline à Suburre et aux escapades de Faustine à Ostie. Ce sont des références directes à "Matrone et Domina", série fictive publiée sur HDS, et aux "Mémoires de Faustine", en cours d'écriture.
Sur la Rome contemporaine, j'ai été particulièrement marquée par la conduite à l'Italienne, et surtout à la Romaine. Bravo à Philippe, que j'avais obligé, la veille, à prendre le volant, afin d'être à l'arrière avec Luigi!
On m'a souvent dit également que j'aurais eu beaucoup de succès à Rome. A cause de ses visées sur mon homme, j'ai détesté cette Sophia, le mot est faible, mais je dois reconnaitre qu'elle avait fait de moi une sosie de Faustine, telle que les historiens romains l'ont décrite.

Histoire Libertine
Impatiente de lire la suite. J'espère que tu as fini par choisir Luigi. Parce qu'il te baisait bien et que tu étais tombée amoureuse de lui

D'abord merci à tous, pour ces nombreux commentaires alors que le texte vient d'être mis en ligne.
@ La chipie, merci mais ne t'inquiètes pas, les commentaires de ceux à qui tu penses n'ont pour moi aucune importance
@ Norbert, oui, al soirée fut très chaude!
@ Luc et Didier, je vous réponds ensemble car vous avez la même interrogation. La suite apportera la réponse, mais à ce moment précis, je m'interrogeais, les deux interprétation étant possibles et plausibles. Mes sentiments étaient partagés. Il y a avait mon habituelle jalousie, moi qui deviens une tigresse quand une autre femme approche MON Philippe. Je ne suis pas partageuse. Et le sentiment que tout cela changeait la situation. Ma préférence restait le trio, mais si Philippe choisissait Sophia, ne devenais-je pas libre de choisir Luigi? La soirée dans la Domus de l'ami de Luigi devait apporter la réponse
@ Julie, la volonté de Luigi était de faire ressembler à Faustine, mais pas l'impératrice, la lupa qui allait se débaucher à Ostie.

Histoire Erotique
Olga,
Je tiens à souligner également, avec ce second commentaire, qu’historiquement et culturellement parlant, ce chapitre est bien dans la continuité des précédentes évocations faîtes lors de cette escapade romaine.
En effet, et comme le souligne déjà Julie dans son commentaire, pour la ville d’Ostie tu nous fais un intéressant résumé historique, en y ajoutant de plus la description de la visite que vous faîtes, sans oublier bien sur ces bonnes allusions aux frasques de Faustine en ce lieu, mais aussi à celles de Messaline dans le quartier chaud de Rome, Suburre.
Culturellement, tu réussis à nous présenter tout aussi bien des aspects du présent que du passé, forts instructifs en soi.
En effet sur l’Italie actuelle, c’est d’un côté cette drôle d’anecdote démontrant l’intransigeance des carabiniers et de la justice, face à l’exhibitionnisme sexuel, et de l’autre cette excellente présentation de cette conduite, si spéciale et si sportive, prisée des romains…
Et que dire concernant le passé, c’est tout aussi intéressant avec ces diverses allusions sur la tenue des matrones, aux maquillages des prostituées de Suburre. Mais aussi aux critères de beauté des femmes à l’ère romaine, dont tu sembles être une parfaite illustration…
Didier

Histoire Erotique
Olga,
Je le trouve très intéressant ce chapitre, qualifié par toi de « moment de transition », par l’ambiance qui s’en dégage à laquelle s’ajoute un certain suspens sur la suite. Il me semble de plus y percevoir un certain changement dans votre relation.
En effet, après avoir passé une longue nuit de "baise torride" avec ton bien aimé mari Philippe, tu ne désespère toujours pas de pouvoir créer ce triangle amoureux, dont tu as tant envie, avec Luigi.
Cependant, dès vos retrouvailles au matin tu te vois déchanter, Luigi se faisant d’entrée et pour le reste de la journée très distant en faisant passer son travail, la visite avant votre plaisir.
C’est ainsi que pour ne pas céder à la tentatrice que tu es, il n’hésite pas un instant à te rabrouer dès que tu te fais trop insistante. Et donc, pour calmer tes ardeurs, ton envie de sexe, tu te vois te pratiquer une bonne masturbation salvatrice…
A la fin de la journée pensant enfin obtenir ce que tu attends, une nuit de sexe entre vous deux, tu es surprise de découvrir que les deux complices t’ont organisé tout autre chose, une soirée spéciale dans une domus romaine.
Afin d’y participer, tu te vois donc apprêter telle une courtisane, une putain de l’ère romaine, en portant une robe sexy et en étant maquillée à outrance, par Sophia une esthéticienne spécialisée.
Celle-ci, tout le long de ta préparation et lors du trajet vers la soirée, sous le prétexte de suivre les décisions de Luigi s’autorise à "fricoter" avec ton Philippe, pas insensible à ses charmes. Chose que tu vois comme à l’accoutumée d’un très mauvais œil.
Je rejoins Luc dans son questionnement. Mais à quoi joue donc Luigi avec toi ? A te faire languir et à te rendre jalouse pour mieux te conquérir ? Ou à l’inverse à te montrer, te démontrer par les mêmes moyens que seul Philippe doit compter pour toi?
Didier

Histoire Libertine
J'ai évidemment adoré le aspects historiques et culturels, notamment dans le cadre de la visite à Ostie.
Mais aussi ta spectaculaire métamorphose en Faustine. Quelque chose me dit que ce soir-là tu fus plus "lupa" que "matrone"
Julie

Histoire Erotique
Que cherche en effet Luigi en poussant Philippe dans les bras de la voluptueuse Sophia? A te rendre jalouse et à te faire prendre conscience que l'essentiel pour toi, c'est Philippe? Ou, au contraire, à vous séparer, pour que tu sois libre? Luigi est-il loyal ou machiavélique?
Luc

Histoire Erotique
Le texte contient de nombreux passages érotiques, en particulier s'agissant de ta préparation en vue de cette soirée. Il ne contient pas, contrairement de scènes de sexe, mais je suppose que la suite devrait être torride, non?
Norbert

Désolée, Paul, j'ai eu, ces dernières semaines un réel manque de disponibilité. Sans oublier les délais de validation et de publication sur le site.
Réponse à venir dans la suite de ce qui fut notre escapade romaine.

Histoire Libertine
C’est 1 témoignage , on détends du string.
Soit on apprécie soit on ferme sa bouche et on s’abstient de tout commentaire désagréable !!!!

Je préviens par avance hein histoire de gagner du temps !!!!

La chipie

Histoire Erotique
Tu as fait attendre. L'incertitude n'est pas levée. Qu'as-tu finalement décidé en ce qui concerne Luigi et Philippe?
Paul



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (8).
Histoire sexe : Une rose rouge
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