Plongée dans la soumission pour Chrystèle - histoire érotique

A ce stade de nos aventures libertines nous vécûmes une sorte d'emballement. Nous sortions le jeudi pour rencontrer un couple, le vendredi en soirée privée et même parfois le dimanche soir en club. C'était l'occasion de découvrir toutes formes de seins, sexes féminins et masculins avec parfois des surprises sur leur taille, inclinaison, fermeté parfois suspecte qui nous faisaient beaucoup rire. Reconnue pour sa beauté, son 95C, sa grande taille et sa... disponibilité, Chrystèle était très demandée dans les soirées pendant que Léopold, sans être aussi sexy, avait également son succès auprès de femmes qui appréciaient également un brin de conversation. Bref : notre entrée entamée il y a de cela six mois dans le monde libertin se déroulait sous les meilleurs auspices.
Ce soir là nous avions décidé de changer un peu notre approche en répondant à l'invitation d'un couple BDSM. Comme c'est le plus souvent le cas monsieur était dominant, madame soumise et ils se proposaient de nous initier sachant que Chrystèle - en dépit d'un corps qui aurait affolé tous les soumis - aimait plutôt être soumise et que Léopold, sans être vraiment soumis, était tout sauf un maître.
Nous voilà donc devant la maison de nos hôtes d'un soir près de Versailles - merci en passant au GPS que nous avions rebaptisé "guidage pour les salopes" tant il nous permettait de vagabonder dans toute l'Ile de France sans trop nous perdre - dans un charmant village. Une vieille maison en excellent état, un portail, déjà trois autres voitures. A l'intérieur ces dames sont déjà très dénudées et portent, comme Chrystèle, le collier réglementaire et la laisse que tiennent leurs maîtres. Comme les autres soumises Chrystèle prend place sur un coussin au pied de son maitre. Le décor est moderne, les canapés en cuir blanc, les femmes ont plutôt la quarantaine et Chrystèle est la plus jeune.
Notre hôte, qui se fait appeler maître Albert, a une particularité : il est passionné de gynécologie. Ces dames vont donc toutes passer un examen avec lui. Et il est équipé. Fauteuil d'examen, écarteurs, il demande à chacune des quatre femmes présentes de venir successivement subir un examen qui consiste en un long toucher et quelques commentaires circonstanciés sur la qualité de leur vagin et... si elles mouillent bien sûr. Et c'est le cas de trois sur quatre finalement assez excitées. Mais non il ne va pas plus loin. Chacune retourne s'asseoir mais change de maitre. Pour Chrystèle c'est maitre Albert lui même qui est en charge quand, logiquement, Léopold se voit affecter sa femme. Une belle et plantureuse blonde qui s'assoit cérémonieusement à ses pieds.
"Mais emmenons ces dames à leur supplice", propose maitre Albert en tirant Eve vers un pilori. Prestement il lui fait passer les mains et la tête dans les attaches puis s'exclame : "Regardez ces fesses qui n'attendent que ça d'être fessées. Regardez ce sexe qui n'attend que cela d'être pris. Regardez cette belle pouliche que nous amène son maitre pour la dresser. C'est la première fois, chienne, que tu es soumise?
- Pas tout à fait", répond Eve devant un Léopold maintenant assis avec la soumise du maitre à côté d'elle et qui regarde avec admiration ses seins si beaux qui tombent tout en flattant la très lourde poitrine de la soumise qu'on lui a confiée.
"Pas tout à fait. Ton maitre t'a donc déjà confiée à un autre?
- Oui.
- Tu as été attachée?
- Oui.
- Dans un pilori?
- Non une autre machine.
- Tu as été fessée?
- Un peu.
- Baisée?
- Beaucoup." Chrystèle joue le jeu avec le sérieux qui la caractérise. Les quatre autres couples nouvellement constitués entourent le pilori et maître Albert qui s'est emparé de deux martinet et commence à lui flatter les fesses. Avec ses 120 kilos et son mètre 90 il est assez impressionnant. D'autant qu'il a revêtu un ensemble en cuir noir qui moule indécemment un gros sexe et des couilles qui paraissent hors normes. Les gestes se font plus rapides, les martinets effleurent de moins en moins les fesses sublimes de la belle qui prennent petit à petit une belle teinte rouge. Chrystèle ne crie pas, tout au plus sa tête se lève-t-elle quand la douleur se fait sentir. Soudain le maître s'arrête et entreprend de la pénétrer de ses doigts : "Elle mouille bien cette salope. Venez le constater messieurs". Les trois autres hommes se rapprochent, la fouille de leurs doigts, un, deux, trois, flattent sa croupe, Léopold en fait autant. Le maître la détache, lui remet son collier et sa laisse qu'il lui avait enlevés plus un masque: "Nous allons maintenant faire le tour des lieux. Tu dois rester à quatre pattes comme la chienne que tu es. Compris?
- Compris maître.
- Bien tu comprends vite. Tu seras une bonne chienne soumise sous peu. Ton maitre a bien de la chance." Son dit maître hallucine de la voir ainsi tenue en laisse partir dans la maison. Mais il a à son tour à s'occuper de sa soumise. Comme Chrystèle juste avant il la place dans le pilori. Surprise: il se rend compte qu'elle a des anneaux posés sur ses grandes lèvres. Il s'empare à son tour des martinets mais est beaucoup moins adroit. Il n'ose pas trop frapper fort mais un homme lui souffle : "Laisse moi faire. Il lui en faut beaucoup. Pendant ce temps fais toi sucer". Excellent programme. Il fait le tour du pilori et elle entreprend de le sucer avec vigueur. Du moins entre deux coups de martinet. Puis de paddle. Beaucoup plus douloureux. Un autre maitre appelle Léopold : "Viens la prendre". Elle c'est une soumise à peu près la quarantaine également aux seins assez petits et qui attend sa saillie en levrette après, si on en croit la couleur de sa croupe, avoir été abondamment fessée.

Pendant ce temps Chrystèle a dû commencer par sucer chacun des hommes présents avant que maître Albert l'entraine dans son antre où elle est maintenant entravée, les pieds relevés derrière elle, les mains également, seul son buste repose par terre, ses seins sont sur un carrelage froid, il la pénètre avec différents godes, tête l'entrée de son anus. Elle aime cette position de soumise. Espère enfin se faire prendre. Ses sens l'appellent mais elle ne peut rien dire une poire d'angoisse dans la bouche. Soudain il la libère. La caresse. L'embrasse. Tout en douceur il l'emmène sur un canapé pas loin. Sort un sexe assez imposant, y met un préservatif et la pénètre de tout son poids. Libérée elle pousse un vrai cri de plaisir. Lui remonte les mains dans le dos. Le supplie de continuer à la prendre. Léopold et la femme du maître sont venus assister à la saillie et elle le suce à genoux pendant qu'il regarde le spectacle. Il bande comme jamais de la voir ainsi prise. Surtout quand le maître la retourne, la met à quatre pattes vers eux et qu'il peut admirer ses seins qui ballottent sous les coups de boutoir, elle toujours masquée. Soudain il appelle sa femme, la place le vagin devant la bouche de Chrystèle et intime l'ordre à cette dernière de la lécher. Ce dont elle ne se fait pas prier. Le spectacle est hallucinant. Chrystèle lèche, se fait prendre. Albert appelle Léopold: "Vas y fais toi sucer par les deux". Les deux femmes le sucent ensemble, s'embrassent, lui lèchent les couilles. C'est trop. Il n'en peut plus. Il retourne à son tour la soumise du maitre et la prend. Sa jouissance est malheureusement un peu rapide sous l'oeil goguenard d'Albert qui raccompagne Chrystèle au salon. On y sent une odeur de sexe assez remarquable. Le maître propose donc d'ouvrir les fenêtres et de faire sortir ces dames pour les rafraichir. Nous sommes en février et la proposition semble un peu dangereuse tant il fait froid mais elles s'empressent d'obéir. L'influence qu'il a sur chacune d'elles est stupéfiante. On sent qu'elles ont complétement oublié leur conjoint tant il les domine. Quand Léopold a proposé à Chrystèle de la prendre à son tour elle a demandé à maître Albert s'il était d'accord. Il était d'accord. Il l'a prise mais n'a guère manifesté d'enthousiasme.
Là les quatre femmes sont dehors dans le froid et Albert les flatte, touche leurs seins, pénètre leur sexe - elles n'ont que leurs chaussures pour tout habit -, leurs seins pointent. Enfin il les fait rentrer. Frigorifiées elles se blotissent dans les bras de leur compagnon. Il est plus de deux heures du matin. Nous sommes là depuis 22 heures. Chrystèle semble prête à s'endormir. Léopold regarde ses fesses meurtries - le maître ne les a toujours pas autorisées à s'habiller - en se demandant combien de temps il lui faudra pour cicatriser. Mais c'est l'heure du départ. Exténuées ces dames se rhabillent sous l'oeil admiratif de leurs conjoints. Une dernière formalité avant le départ. Chacune doit laisser sa culotte au maitre. Qui les places dans trois boites en acier et verre et nous montre ensuite sa collection. Des centaines de boite pour "autant de femmes qu'il a dominées".

"Ca t'a plu ?
- Désolé mais là je suis trop exténuée pour parler.
- Tu voudras recommencer?
- Un jour mais pas tout de suite."