Plus j'en es, plus j'en veux!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Plus j'en es, plus j'en veux!
Madeleine est une voisine avec qui j’entretiens des relations un peu particulières depuis déjà quelques mois. Nous nous sommes rencontré lors d’une réception vœux du maire du patelin où nous vivons. J’ai tout de suite su qu’il allait se produire quelque chose entre nous. Peut-être en raison de la façon mystérieuse avec laquelle elle me toise. Elle donne l’impression d’être comme un grand rapace, prêt à fondre sur sa proie.
Un soir, en revenant d’une permanence tardive, je la retrouve assise sous sa véranda, toute lumière éteinte. Elle me hèle.
- Ne me dites pas que vous entrez seulement du travail ?
- Eh oui, comme vous voyez.
- Votre dame aussi n’est pas entrée !
- Elle a été réquisitionné par son service pour la nuit !
- Alors venez donc me rejoindre, réclame-t-elle d’une façon qui ne permet guère le refus.
Je m’approche de l’endroit où elle se tient.
- J’avais remarqué que votre voiture n’était pas devant chez vous.
Malgré la demi-obscurité, je m’aperçois qu’elle est nue sur sa chaise. Je n’en crois pas mes yeux, surtout lorsque je vois son entrejambe, couvert d’une belle touffe de poils drus qu’elle exhibe sans complexe.
- Je vous choque Alain ? Demande-t-elle devant mon étonnement.
- C’est que… non, ai-je du mal à lâcher.
- Oh si, je vois bien que je vous choque, insiste-t-elle lourdement. Il m’arrive de me mettre mon aise… À cette heure
Un gros buisson ardent couvre son entrecuisse, une belle touffe épaisse qui n’a probablement jamais vu l’ombre d’un rasoir, en tout cas pas dans les derniers temps. J’ai du mal à me détacher de ce corps qui s’exhibe sans pudeur, d’autant plus que j’ai la nette impression que cette mise en scène a été manigancée dans l’attente de mon retour.
- Je peux me permettre de vous inviter à prendre un café ?
- C’est qu’il se fait tard.
- Alain… Alain, vous ne pouvez pas refuser cela à une vieille dame.
- Bon… Bon, avec plaisir !
- Sous la véranda ou à l’intérieur ?
- Je vous laisse le choix !
Sans aucun complexe, voilà qu’elle se masse doucement le bas-ventre, comme si elle était seule, en hasardant de temps en temps ses doigts dans sa touffe épaisse. Le fait-elle exprès pour m’exciter ?
- Je pense qu’il serait mieux que nous entrions, vous ne croyez pas ?
- Je le pense aussi !
Elle se lève et agite ses seins devant mon nez et m’entraîne à l’intérieur de chez elle passant par la baie vitrée. Madeleine à cet instant éclaire la pièce et ferme les rideaux.
- Pas besoin d’être vue, n’est-ce pas Alain ? Me lance-t-elle, tout en me dévoilant davantage sa profonde vallée et ses fiers mamelons.
Sa peau claire laisse entrevoir le dessin léger de quelques veines d’un bleu à peine esquissé. Sa poitrine généreuse et légèrement tombante, souple comme le sont celles des femmes mûres. À l’extrémité de larges aréoles sombres et des tétons pointus accentuent l’impression de ces fruits succulents qui semblent à point pour se loger entre les lèvres gourmandes d’un homme.
- Restez où vous êtes et déshabillez-vous ! Ordonne Madeleine sans même me regarder.
- Pardon ?
- Vous avez très bien entendu, ne discutez pas et commencez par retirer le pantalon. Je préfère les hommes mariés parce qu’ils ne sont pas tout le temps sur mon dos. Et puis aussi, parce qu’ils cherchent souvent à réaliser des fantasmes qu’ils n’ont pas le loisir de concrétiser avec leurs moitiés, souvent des choses un peu plus hard que ce qu’ils font d’habitude, et qui pourraient choquer madame. Dire que certains d’entre eux sont simplement frustrés parce que leurs épouses refusent la sodomie, alors qu’elles n’ont même jamais pris la peine d’essayer. Il leur suffirait presque de se faire enculer pour ne pas être cocufiées.
Sans autre mot, elle me regarde une seconde dans les yeux et me prend en bouche, tantôt léchant la hampe et les bourses, tantôt m’engouffrant au fond de sa gorge. Je peux sentir ma queue racler son palais et elle déglutir au moment où je touche le fond de sa gorge. Deux ou trois minutes de ce traitement suffisent pour que je me sente prêt à exploser dans sa bouche. Croyant que c’est ce qu’elle veut, je lui prends la tête à deux mains afin de parcourir une dernière fois le chemin de ses lèvres vers le fond de la gorge et d’y expurger tout ce que j’ai dans les couilles.
Mais voilà qu’elle me recrache. Se laisse aller sur le dos sur son lit. Ayant une vue plongeante sur son sexe. Ses seins, gonflés se soulèvent très vite. Je prends tout mon temps. La contemplant d’un air satisfait. Je me rapproche et pose mes mains sur ses genoux. Lui écarte lentement les jambes. L’ouvrant au maximum, l’obligeant à s’exposer complètement. Le sexe s’ouvre en grand. Je me baisse et admire le renflement du mont de Vénus, le rose foncé des muqueuses trempées de mouille, les grandes lèvres bordées de poils fins.
Sa vulve dégouline. Je pose ma main sur son pubis, et lui ouvre la fente d’un doigt. Mes doigts la violent, glissant dans son con ouvert. Terriblement excitée, elle ouvre davantage les cuisses. Ma main va et vient de mouvement lent et rythmé. Elle ouvre la bouche et gémit doucement. Elle pousse son sexe en avant, allant à la rencontre de la main qui l’ouvre encore plus. Mes doigts massent son clitoris. Elle se cambre et relève la tête en se mordant la lèvre. J’accélère mon mouvement autour de son bouton. Elle halète, râle sourdement et se tord entre mes mains.
Je n’ai pas pu résister à la tentation de me pencher pour poser ma bouche sur l’aine de Madeleine, léchant la peau fine. Dilatant mes narines pour m’imprégner de l’odeur violente qui s’en dégage. Ne pouvant non plus m'interdire de lécher dans le sens de la longueur la fente. Un liquide fluide coule entre les petites lèvres.
Plus bas, je remarque que la coquine a un Plug. Pas sans mal, je le retire. Je profite pour fouiller la grotte dilatée par l'introduction du Plug, de ma langue tirée. Appréciant ma caresse, la coquine vient au-devant de ma tendresse. Son anus obéissant à l’influence d’une caresse magnétique. Qui l’attire comme l’aimant attire le fer.
Je lèche quelques instants encore son cul, avant de prendre une autre position et par la même occasion l’autre trou. Plus approprié pour ce que je compte faire. Je pousse ma langue aussi loin que je le pouvais dans le vagin, et cela, plusieurs reprises. Comme si j’y enfonçais mon sexe.
- C’est bon ! Qu’est-ce que c’est bon ! Gémit-elle sourdement.
J’enfonce mon nez entre ses fesses, respirant l’odeur de son anus. Puis d’une langue dure et pointue, j’ai à nouveau violé le cul toujours autant amer. Il est si bien dilaté, que j’avais farci sans difficulté le trou de trois doigts. La cochonne ne peut s’empêcher de gémir. Suite à cette exploration, j’ôte les doigts, et les portais à mon nez. Très satisfait, je les lèche. Faisant exprès de claquer ma langue. Hypnotisée, Madeleine me fixe sans rien dire.
Madeleine me dit d’une voix autoritaire :
- Bon, maintenant, que tu m’as dilaté le cul, j’aimerais que tu me fourres ta queue… Oui, encule-moi !
Elle écarte largement de ses mains ses fesses, les décollant l’une de l’autre, exhibant ainsi un anus luisant de salive. J’approche mon sexe à hauteur de sa cible. À l’aide de mes doigts, je graisse l’ouverture avec son jus, puis le branle en tournant pour dilater le passage royal. Puis les retire pour laisser place à ma verge impatiente à forer le passage. Je n’ai aucune difficulté à l’enfoncer délicatement, mais profondément, entre ses reins si bien lubrifiés. Après un laps de temps d’inaction, je me mets à bouger et ainsi à la labourer joyeusement. L’amplitude de mes mouvements est telle, qu’à chaque butée, mes testicules viennent punir vigoureusement son minou poisseux. D’une main, elle se tripote la poitrine en gémissant. Tout le long de ma longue chevauchée, elle ne cesse de pousser des gémissements d’un plaisir intense visiblement non dissimulé. Jusqu’à ruer de jouissance, tellement fort, qu’elle m’éjecte brutalement de son petit trou.
- Viens, j’ai envie de te sucer.
- Je veux bien, mais elle sort de ton cul !
- Foutaise ! Me dit-elle pour me rassurer.
J’accède à sa requête. Je profite de sa position pour fourrer deux doigts dans son cul dilaté. Que je fais aller et venir profondément. Ma verge est si grosse et si tendue dans sa bouche, que je sens battre le sang accumulé dans mon gland au rythme accéléré de mon pouls.
Il ne m'en faut pas plus pour évacuer le contenu de mes couilles. J’extériorise fortement ma jouissance si forte qu’elle sursaute. Elle se redresse vivement, se dégageant de ma verge active d’où s’écoule encore un jus épais, rouvre la bouche et laisse remonter tout le sperme dans celle-ci.
Elle le mélange à sa propre salive et brusquement reprend mon engin entre ses lèvres, le serrant d’une main dominatrice, massant délicatement mes couilles brûlantes ballonnées et tendues, pour calmer l’agréable douleur qui les étreigne. Elle branle lentement mes bijoux de famille, comme un fermier trait sa vache.
Elle fait de l’autre main, descendre en monter mon prépuce autour du gland. Ce qui a pour effet de nouveau me faire jouir. En criant de plaisir, je laisse frémir convulsivement, par jets successifs, un torrent de sperme qui dévale jusque sur son menton et sur son cou.
Elle se serre de mon jus de jouissance pour se barbouiller les seins puis s’en lèche les doigts avec délectation.
Après avoir repris nos souffles et remis de l’ordre dans nos tenues, il est temps pour moi de prendre congé. C’est l’instant qu’elle choisit pour me lancer :
- Je suis loin à présent à tes yeux de symboliser la sainte ni touche.
- Ce n’est pas pour me déplaire !
- Cela signifie que nous sommes appelé à nous revoir ?
- Cela me va !
Un soir, en revenant d’une permanence tardive, je la retrouve assise sous sa véranda, toute lumière éteinte. Elle me hèle.
- Ne me dites pas que vous entrez seulement du travail ?
- Eh oui, comme vous voyez.
- Votre dame aussi n’est pas entrée !
- Elle a été réquisitionné par son service pour la nuit !
- Alors venez donc me rejoindre, réclame-t-elle d’une façon qui ne permet guère le refus.
Je m’approche de l’endroit où elle se tient.
- J’avais remarqué que votre voiture n’était pas devant chez vous.
Malgré la demi-obscurité, je m’aperçois qu’elle est nue sur sa chaise. Je n’en crois pas mes yeux, surtout lorsque je vois son entrejambe, couvert d’une belle touffe de poils drus qu’elle exhibe sans complexe.
- Je vous choque Alain ? Demande-t-elle devant mon étonnement.
- C’est que… non, ai-je du mal à lâcher.
- Oh si, je vois bien que je vous choque, insiste-t-elle lourdement. Il m’arrive de me mettre mon aise… À cette heure
Un gros buisson ardent couvre son entrecuisse, une belle touffe épaisse qui n’a probablement jamais vu l’ombre d’un rasoir, en tout cas pas dans les derniers temps. J’ai du mal à me détacher de ce corps qui s’exhibe sans pudeur, d’autant plus que j’ai la nette impression que cette mise en scène a été manigancée dans l’attente de mon retour.
- Je peux me permettre de vous inviter à prendre un café ?
- C’est qu’il se fait tard.
- Alain… Alain, vous ne pouvez pas refuser cela à une vieille dame.
- Bon… Bon, avec plaisir !
- Sous la véranda ou à l’intérieur ?
- Je vous laisse le choix !
Sans aucun complexe, voilà qu’elle se masse doucement le bas-ventre, comme si elle était seule, en hasardant de temps en temps ses doigts dans sa touffe épaisse. Le fait-elle exprès pour m’exciter ?
- Je pense qu’il serait mieux que nous entrions, vous ne croyez pas ?
- Je le pense aussi !
Elle se lève et agite ses seins devant mon nez et m’entraîne à l’intérieur de chez elle passant par la baie vitrée. Madeleine à cet instant éclaire la pièce et ferme les rideaux.
- Pas besoin d’être vue, n’est-ce pas Alain ? Me lance-t-elle, tout en me dévoilant davantage sa profonde vallée et ses fiers mamelons.
Sa peau claire laisse entrevoir le dessin léger de quelques veines d’un bleu à peine esquissé. Sa poitrine généreuse et légèrement tombante, souple comme le sont celles des femmes mûres. À l’extrémité de larges aréoles sombres et des tétons pointus accentuent l’impression de ces fruits succulents qui semblent à point pour se loger entre les lèvres gourmandes d’un homme.
- Restez où vous êtes et déshabillez-vous ! Ordonne Madeleine sans même me regarder.
- Pardon ?
- Vous avez très bien entendu, ne discutez pas et commencez par retirer le pantalon. Je préfère les hommes mariés parce qu’ils ne sont pas tout le temps sur mon dos. Et puis aussi, parce qu’ils cherchent souvent à réaliser des fantasmes qu’ils n’ont pas le loisir de concrétiser avec leurs moitiés, souvent des choses un peu plus hard que ce qu’ils font d’habitude, et qui pourraient choquer madame. Dire que certains d’entre eux sont simplement frustrés parce que leurs épouses refusent la sodomie, alors qu’elles n’ont même jamais pris la peine d’essayer. Il leur suffirait presque de se faire enculer pour ne pas être cocufiées.
Sans autre mot, elle me regarde une seconde dans les yeux et me prend en bouche, tantôt léchant la hampe et les bourses, tantôt m’engouffrant au fond de sa gorge. Je peux sentir ma queue racler son palais et elle déglutir au moment où je touche le fond de sa gorge. Deux ou trois minutes de ce traitement suffisent pour que je me sente prêt à exploser dans sa bouche. Croyant que c’est ce qu’elle veut, je lui prends la tête à deux mains afin de parcourir une dernière fois le chemin de ses lèvres vers le fond de la gorge et d’y expurger tout ce que j’ai dans les couilles.
Mais voilà qu’elle me recrache. Se laisse aller sur le dos sur son lit. Ayant une vue plongeante sur son sexe. Ses seins, gonflés se soulèvent très vite. Je prends tout mon temps. La contemplant d’un air satisfait. Je me rapproche et pose mes mains sur ses genoux. Lui écarte lentement les jambes. L’ouvrant au maximum, l’obligeant à s’exposer complètement. Le sexe s’ouvre en grand. Je me baisse et admire le renflement du mont de Vénus, le rose foncé des muqueuses trempées de mouille, les grandes lèvres bordées de poils fins.
Sa vulve dégouline. Je pose ma main sur son pubis, et lui ouvre la fente d’un doigt. Mes doigts la violent, glissant dans son con ouvert. Terriblement excitée, elle ouvre davantage les cuisses. Ma main va et vient de mouvement lent et rythmé. Elle ouvre la bouche et gémit doucement. Elle pousse son sexe en avant, allant à la rencontre de la main qui l’ouvre encore plus. Mes doigts massent son clitoris. Elle se cambre et relève la tête en se mordant la lèvre. J’accélère mon mouvement autour de son bouton. Elle halète, râle sourdement et se tord entre mes mains.
Je n’ai pas pu résister à la tentation de me pencher pour poser ma bouche sur l’aine de Madeleine, léchant la peau fine. Dilatant mes narines pour m’imprégner de l’odeur violente qui s’en dégage. Ne pouvant non plus m'interdire de lécher dans le sens de la longueur la fente. Un liquide fluide coule entre les petites lèvres.
Plus bas, je remarque que la coquine a un Plug. Pas sans mal, je le retire. Je profite pour fouiller la grotte dilatée par l'introduction du Plug, de ma langue tirée. Appréciant ma caresse, la coquine vient au-devant de ma tendresse. Son anus obéissant à l’influence d’une caresse magnétique. Qui l’attire comme l’aimant attire le fer.
Je lèche quelques instants encore son cul, avant de prendre une autre position et par la même occasion l’autre trou. Plus approprié pour ce que je compte faire. Je pousse ma langue aussi loin que je le pouvais dans le vagin, et cela, plusieurs reprises. Comme si j’y enfonçais mon sexe.
- C’est bon ! Qu’est-ce que c’est bon ! Gémit-elle sourdement.
J’enfonce mon nez entre ses fesses, respirant l’odeur de son anus. Puis d’une langue dure et pointue, j’ai à nouveau violé le cul toujours autant amer. Il est si bien dilaté, que j’avais farci sans difficulté le trou de trois doigts. La cochonne ne peut s’empêcher de gémir. Suite à cette exploration, j’ôte les doigts, et les portais à mon nez. Très satisfait, je les lèche. Faisant exprès de claquer ma langue. Hypnotisée, Madeleine me fixe sans rien dire.
Madeleine me dit d’une voix autoritaire :
- Bon, maintenant, que tu m’as dilaté le cul, j’aimerais que tu me fourres ta queue… Oui, encule-moi !
Elle écarte largement de ses mains ses fesses, les décollant l’une de l’autre, exhibant ainsi un anus luisant de salive. J’approche mon sexe à hauteur de sa cible. À l’aide de mes doigts, je graisse l’ouverture avec son jus, puis le branle en tournant pour dilater le passage royal. Puis les retire pour laisser place à ma verge impatiente à forer le passage. Je n’ai aucune difficulté à l’enfoncer délicatement, mais profondément, entre ses reins si bien lubrifiés. Après un laps de temps d’inaction, je me mets à bouger et ainsi à la labourer joyeusement. L’amplitude de mes mouvements est telle, qu’à chaque butée, mes testicules viennent punir vigoureusement son minou poisseux. D’une main, elle se tripote la poitrine en gémissant. Tout le long de ma longue chevauchée, elle ne cesse de pousser des gémissements d’un plaisir intense visiblement non dissimulé. Jusqu’à ruer de jouissance, tellement fort, qu’elle m’éjecte brutalement de son petit trou.
- Viens, j’ai envie de te sucer.
- Je veux bien, mais elle sort de ton cul !
- Foutaise ! Me dit-elle pour me rassurer.
J’accède à sa requête. Je profite de sa position pour fourrer deux doigts dans son cul dilaté. Que je fais aller et venir profondément. Ma verge est si grosse et si tendue dans sa bouche, que je sens battre le sang accumulé dans mon gland au rythme accéléré de mon pouls.
Il ne m'en faut pas plus pour évacuer le contenu de mes couilles. J’extériorise fortement ma jouissance si forte qu’elle sursaute. Elle se redresse vivement, se dégageant de ma verge active d’où s’écoule encore un jus épais, rouvre la bouche et laisse remonter tout le sperme dans celle-ci.
Elle le mélange à sa propre salive et brusquement reprend mon engin entre ses lèvres, le serrant d’une main dominatrice, massant délicatement mes couilles brûlantes ballonnées et tendues, pour calmer l’agréable douleur qui les étreigne. Elle branle lentement mes bijoux de famille, comme un fermier trait sa vache.
Elle fait de l’autre main, descendre en monter mon prépuce autour du gland. Ce qui a pour effet de nouveau me faire jouir. En criant de plaisir, je laisse frémir convulsivement, par jets successifs, un torrent de sperme qui dévale jusque sur son menton et sur son cou.
Elle se serre de mon jus de jouissance pour se barbouiller les seins puis s’en lèche les doigts avec délectation.
Après avoir repris nos souffles et remis de l’ordre dans nos tenues, il est temps pour moi de prendre congé. C’est l’instant qu’elle choisit pour me lancer :
- Je suis loin à présent à tes yeux de symboliser la sainte ni touche.
- Ce n’est pas pour me déplaire !
- Cela signifie que nous sommes appelé à nous revoir ?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas bandant car plein de fautes d’orthographe ou d’accord ! Le tout compensé par des mots rares
Pas crédible
Mathieudu74
Pas crédible
Mathieudu74
Trop veinard j'aimerais avoir une coquine comme ta voisine

