POURQUOI ? (2) - histoire érotique

— Pourquoi, lorsque la sonnette de la grille me réveille, je vais à la fenêtre et que je vois ma mère s’approcher de la voisine accompagnée de sa fille.

Pourquoi, je suis obligée d’accompagner ma fille chez mes voisins ?

— Pourquoi, ma mère les fait entrer et qu’elle m’appelle pour que je descende les rencontrer.

Pourquoi, lorsque Christian ce beau jeune homme à qui j’ai confié ma fille le soir du 14 juillet dernier me fait perdre mes moyens ?

— Pourquoi, lorsque j’ai devant moi ces deux femmes mères et filles à mes yeux il n’y a pas photo entre les deux malgré la différence d’âge.

Pourquoi, lorsque je lui explique le but de notre visite, j’ai honte de ce que je lui dis.

— Pourquoi, Valérie me dit que j’ai fait un enfant à sa fille. Je ne lui ai fait l’amour q’une seule fois dans ma voiture ?

Pourquoi, ne semble-t-il pas comprendre qu’une soirée a suffi pour qu’Aglaé se retrouve avec le gros ventre.

— Pourquoi, m’explique-t-elle que par précaution sachant qu’une soirée peut se tourner vers le sexe, elle avait donné la pilule à sa fille pour éviter ce problème ?

Comment lui dire, que la pilule que ma fille à cru avalé n’était qu’une simple pilule de même forme et de même couleur pour arriver au résultat que l’on constate aujourd’hui.

— Comment, s’il est vrai qu’il est possible de se retrouver enceinte, si je l’écoute, la seule fois où sa fille, c'est fait baiser.

Pourquoi, lorsque j’ai fait cela j’espérais qu’il l’épouse, si ses petites graines se développaient en elle.

— Pourquoi, elle me demande de réparer mon erreur en épousant sa fille ?

Bien sur, j’avais un but en faisant cela. Aglaé n’est pas comme moi chaude de la grotte et sa nouvelle fréquentation me fait peur. Agnès est une lesbienne notoire et je me voyais mal avoir une fille devenir brouteuse de chatte.

— Tout ce qu’elle dit ne cadre pas entièrement avec la réalité.

Ses yeux qui sont très beaux me font craquer, mais il faut que je tienne bon et la seule manière que j’ai pour gagner c’est de lui faire du chantage.

— Nous y sommes, le chantage ou j’épouse sa fille ou lorsque l’enfant naîtra, elle demandera une analyse A.D.N. qui démontrera que je suis le père étant le seul à l’avoir baisé et je serais obligé de payer son éducation jusqu'à sa majorité avec les frais dus à la mère.

J’ai gagné, il accepte de lui passer la bague. Sa mère un peu bigote m’a bien aidé lorsqu’elle lui a dit qu’il devait réparer.

— Voilà devant ce qui a semble être une évidence pour les deux femmes j’accepte d’épouser Aglaé.

Que je suis contente qu’il devienne mon gendre, nous serons proches l’un l’autre.

— L’œil de celle qui va devenir ma belle-mère brille d’une façon différente lorsque je dis oui. Qu’a-t-elle dans la tête !

Pourquoi, je me fais mal en demandant à Aglaé de venir embrasser son futur mari ?

— En plus, elle me force à embrasser cette fille plus grande que moi, qui chaque fois qu’elle avance ses pieds si grands, j’ai peur qu’elle m’écrase les miens.

Pourquoi, lorsque je me suis aperçu que mes règles ne venaient pas ma mère m’a fait croire qu’elles allaient venir dépassant par le fait les semaines permettant un avortement. Maintenant elle veut que j’embrasse celui que j’ai accepté qu’il me baise simplement pour perdre ma virginité.

— Comme le 14 juillet, il faut que je me force pour l’embrasser. Je vais faire tourner ma langue peut-être que je vais la décoincer.

Cette langue dans ma bouche ne me fait aucun plaisir. Alors que celle d’Agnès qui m’a donné la sienne hier au soir avant de me brouter la minette malgré ma grossesse qui commence à se voir alors que je broutais la sienne.

— Elles partent, je vais passer les heures prochaines à mettre tout en place pour le mariage.




J’ai réussi, ils sont là tous les deux devant monsieur le maire. Non seulement, je marie ma fille cette grande, j’ose le dire, « gourde » qui va me donner un petit-fils et un gendre beau comme un dieu.

— Voilà c’est fait, j’ai dit oui. Hélas, elle aussi. Maintenant je vais profiter de la fête préparée par celle que je peux appeler ma belle-mère. Je n’oublie pas que ce soir je vais avoir dans mon lit cette fille qui ne sait qu’écarter les cuisses en attendant mon sexe.

Mince, mon mari vient me signaler que j’ai oublié d’amener les dragées pour tous les invités. Mon mari a trop but et il n’est pas question qu’il conduise.

— La totale, il faut que j’emmène la mère de ma femme à leur pavillon chercher les dragées qu’ils ont oubliées. Dommage, une petite brune tortillant du cul semblait s’intéresser au marié. La mariée, elle, sous couvert de sa grossesse a juste accepté de danser le slow d’ouverture du bal.

Bien jouer le coup des dragées, je suis enfin en tête à tête avec celui que je convoite.

— Nous venons à peine de rentrer dans la cuisine que je me fais mettre la main au sexe par cette femme qui est cent fois plus bandante que ma femme.

J’ai enfin osé, il n’a pas enlevé ma main. Sa verge semble appréciée, elle est déjà prête à me pénétrer.

— Pourquoi, ne pas profiter de son appel ! Quel souvenir pour mes vieux jours ! Baiser la mère avant de retrouver la fille dans mon lit sans envie augmente le mien.
Elle réagit bien la garce, je viens de lui prendre la bouche et sa langue s'est empressée de me rendre se baiser. Sa robe B.C.B.G. qu’elle s’ai fait faire pour l’occasion ne la protège pas contre mon assaut.
La salope, j’ai l’impression qu’elle avait prévu son coup, elle n’a même pas mis de culotte. Sa chatte est toute mouillée. Quelle chance j’ai !

Oui, j’ai tout bon, mes calculs ont bien fonctionné. Non seulement j’ai casé ma fille mais en plus, je retrouve un sexe que j’ai perdu depuis quelques années mon mari étant incapable de bander après une journée de boisson.
Sa main est aux portes de ma grotte, vivement qu’il m’enfile car j’ai une vulve tellement accueillante que lorsqu’il l’aura goûté, il ne pourra plus s’en passer.

— Trois doigts, je lui ai mis trois doigts et sa langue s’activent dans ma bouche. Doué la belle-mère, contrairement à sa fille d’autant qu’elle se baisse en remontant sa robe me laissant voir son vagin appétissant.

Il a été surpris que ma chatte soit nue, surtout que je mouille comme une folle.
Je viens de lui sortir la bite qui est bien proportionnée comme celle de celui que j’ai épousé et qui savait si bien me satisfaire avant de se mettre à la boisson.
Comme il bande bien, ma bouche en est remplie. Quelle bonne sucette !

— Il me la faut, je n’en peux plus d’attendre même si elle me suce divinement. Pourquoi n’a-t-elle pas formé sa fille ?

Il m’a relevé et il vient de m’asseoir sur la table de ma cuisine. Hier lorsque je préparais la patte pour faire une tarte aux pommes que nous avons mangées avec nos invités, je ne pensais pas que j’aurais pu l’étaler avec mes fesses.

— Sur la table de la cuisine, je vais la prendre sur sa table de cuisine. Lorsque je parlais de salope tout à l’heure, c’est une vraie chienne que j’ai dans mes bras.

Comme une chienne, j’aimerais qu’il me pénètre et qu’il reste collé à moi comme un chien ayant bloqué sa verge dans sa femelle. Ma chatte n’a jamais été aussi chaude et mouiller.

— Je suis prêt elle aussi, mon sexe familial, aujourd’hui je peux le dire, je suis à l’entrée de son vagin. Je n’ai pas le temps d’entrer qu’elle donne un grand coup de reins en avant et se pénètre toute seule. Elle est folle, j’ai failli décharger et faire foirer notre copulation.

J’ai été trop gourmande, le coup de rein que j’ai donné a failli le désarçonner et je n’aurai pas eu le temps de jouir. Je le calme en me calmant moi-même.

— Bien, je la lime à un rythme qui va me permettre de la faire partir dans des sommets que je suis sur, elle n’a jamais atteint. Elle va voir que sa fille a épousé un homme qui en a dans la culotte.

J’ai bien choisi mon étalon. En attendant des semaines que ma fille m’annonce que mon stratagème a fonctionné. Que le sexe de mon gendre est à ma disposition sans prendre le risque que nos baises sortent de ma maison, j’ai tout gagné.

— Mon mariage qui aurait pu être un calvaire se transforme en un bouquet de plaisir. Je suis sur que si je vais baiser la mère de ma femme régulièrement.
L’avantage, c’est que je ne prends aucun risque si nous sommes surpris, ma belle-mère semble avoir beaucoup d’influence sur son grand échalas.

Mon ventre se durcit, je sens la boule qui n’est plus monté en moi depuis longtemps même quand je me masturbe n’est pas loin de venir exploser mon sexe.
À quoi pense-t-il, la fille et la mère d’un coup, il vient de réussir un coup de billard à deux bandes grâce à moi. Je ne suis pas sûr qu’il ne rêve pas de nous prendre toutes les deux un jour prochain dans mon lit conjugal en envoyant mon mari regarder la télé au salon.

— Je sens son plaisir qui va éclater, attend encore un peu et tu l’auras à ta main pendant de longs mois. Une femme que tu fais jouir dès la première fois t’est attachée pour un long moment.

Ça y est, ma tête explose, mon sexe coule et coule encore sur ses cuisses.
La femme fontaine qui devait dormir en moi et qui n’avait jamais explosé à ce jour me transporte dans un monde que je ne connaissais pas.
Deux fois la puissance d’une bombe atomique de grosse puissance. Je jouis tellement fort qu’un voile passe devant mes yeux.
Pas de bêtises Valérie, il va falloir retourner près de nos invités car je ne vois pas comment je pourrais expliquer autant de temps pour trouver un carton posé sur une chaise.

— Je lui ai donné son plaisir, ses yeux se sont révulsé et son cri de plaisir est à la limite du nombre de décibels que mes oreilles peuvent supporter sans être endommagé.
Je peux enfin lui remplir la chatte. Mince, je n’ai pas mis de capote. Vu son expérience, elle doit avoir pris la pilule. J’envoie de longs traits de sperme dans la chatte qui a mis au monde ma femme et que j’aimerais bien honorer le plus vite et longtemps possible.

Mon amant et moi nous nous sommes réajusté et je n’oublie pas d’emporter le carton.

— Mince, lorsque je me réajuste, les giclées, que ma femelle m’a envoyé est tombées sur mon pantalon. Il est trempé. Je dois me servir du sèche-cheveux de ma femme pour le sécher.

On va se faire repérer. Il a fallu que je sèche son pantalon. Nous partons vers la salle.

— Ce n'est pas possible elle n’en a jamais assez, elle vient d’ouvrir mon pantalon et m’a sorti la queue. Elle ne va pas oser me sucer en roulant ?

Je lui ai sorti la queue que je prends en bouche, je suis superstitieuse, si j’arrive à le faire éjaculer avant que l’ont arrive, je suis sur que pour nous cela durera.

— Qu’est-ce qu’elle suce bien la garce, une vraie pro. Je suis sur que si je la mets à travailler au bois, avec sa bouche elle me rapportera de quoi vivre sans ne rien faire.

Il doit me prendre pour une pute, mais aucun problème du moment que je bois son sperme, j’ai hâte d’avoir son goût sur la langue.

— 500 mètres, il reste 500 mètres avant que l’on arrive sur le parking de la salle ou ma femme doit m’attendre. Il faut que je jouisse pour qu’elle ne croie pas que je suis impuissant.

Je lui malaxe les couilles, je suis sur que cela va le faire partir.

— Qu’elle est forte, sa main sur mes testicules accélère la monter de mon sperme.
Oui…, je lui remplis la bouche. Elle tient à ce qu’elle soir propre avant de la ranger et de refermer ma braguette. C’est une femme soigneuse.

J’ai gagné, il est à moi pour la vie, il m’a rempli la bouche et j’ai beaucoup apprécié son nectar, du vrai miel. Il a intérêt à m’en fabriquer des litres car je vais le pomper autant que je le peux.



— Pourquoi lorsque je rentre dans la salle la première chose que je vois c’est ma femme qui danse avec son autre voisin noir ?

Pourquoi ma fille danse-t-elle avec celui que j’aurais choisi pour devenir mon amant s’il n’avait pas déjà été marié ?

— Cela va, il ne la colle pas, bien qu’il serait sympathique de la voir dans une partie à trois en tranche de jambon et nos deux baguettes !

Mince mon mari, j’espère qu’il ne va pas m’en vouloir et que ma nuit de noces va être torride. J’ai tous de même un problème, je n’ai pas envie de tromper Agnès.

— Il est l’heure pour les mariés de s’éclipser. Je retourne chez mes beaux-parents, ils ont mis leur chambre à notre disposition. Le calvaire va recommencer.

Tant pis pour Agnès, on a une seule nuit de noces dans sa vie même si je ne me suis pas marié avec la robe blanche.

— Comme pour le retour du 14 juillet, il faut que je biaise et que j’évite de l’honorer. Je voudrais bien lui faire plaisir, mais sa mère m’a vanné. Je suis sur qu’elle ne sera pas privée, le sexe n’a pas l’air de l’intéressé.

Dès que nous sommes arrivés, il s’est déshabillé et après un passage rapide dans la salle d’eau, il plonge dans le lit et s’étire. Un chat, un vrai chat dans la façon de s’étirer.
Dépêche-toi Aglaé, il va te griffer, te déchirer le vagin. Attention à bébé, il faudra que je lui rappelle.
Pourquoi lorsque je sors de la salle avec ma musette achetée par maman.
Il dort……….


n Pourquoi les choses ne se passent jamais comme on le souhaite !…