Première soirée privée
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2021 dans la catégorie Plus on est
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Première soirée privée
Après notre première soirée en club, notre première soirée chez un couple couplée au premier trio de Chrystèle il nous fallait une nouvelle première. Un mois était passé depuis que nous avions rencontré Igor et Ludmila (alias Michel et Marie-Christine). Si nous avions apprécié ces deux premières rencontres nous avions envie de changer et scrutions avec attention les propositions de soirées. L'une reteint rapidement notre attention : Couple-joueur-Paris organisait une soirée ce samedi. Chrystèle hésitait en se demandant si elle serait "opérationnelle" ce soir là. Léopold insistait. Son contact avec le couple recevant était excellent. Ils étaient très beaux, semblaient très sympa et l'idée d'une soirée "cro-magnon" était très sympa. C'est donc vêtus de peaux de bête et très dénudés sous nos manteaux - nous étions en hiver - que nous primes le chemin de la place de la Bastille où habitaient nos hôtes. L'immeuble ne payait pas de mine : une sorte d'entrepôt transformé en appartements. Nous étions quasiment les premiers ce qui nous valut un accueil très chaleureux de notre hôte. Pas très grand, pas très mince, mais un sourire enjoleur qui plut tout de suite à Chrystèle. Moins sans doute que le galbe de ses seins, de son généreux 95 C, de son mètre 72 réhaussé de dix centimètres de talons, de son sourire. Mais abrégeons les présentations. Jean-Louis doit ouvrir aux autres invités.
Dans son immense cuisine - bien 25 m2 - pénètrent bientôt les autres invités. Tous ont joué le jeu de la soirée en peau de bête et nous verrons bientôt que notre hôte a décoré sa chambre en style grotte. Les invités se scrutent. Les hommes admirent les femmes, cherchent leur sourire. Les femmes regardent les hommes, les soupèsent, imaginent la taille de leur sexe, leur force, leur endurance. Les hommes s'interrogent : ces seins tiennent-ils bien, sont-ils aussi gros que leur promesse, sucent-elles bien, acceptent-elles la sodomie...
Nous sympathisons rapidement avec un couple venu de Tours pour l'occasion. Ils sont charmants dans leur peau de bête. Il est assez grand - plus que Léopold qui approche le mètre 80 - alors qu'elle ne doit pas dépasser le mètre 60 et est toute menue. "Cela va me changer de Chrystèle, grande et un peu forte", se dit Léopold quand la dite Chrystèle prend plaisir au doigt de l'homme du couple qui pénètre doucement son intimité.
"Suivez-nous dans la grotte", annonce Jean-Louis maintenant que les dix couples, et trois hommes, sont arrivés. La grotte c'est la chambre du couple. Immense. Bien 50 m2 avec au milieu un lit et autour des canapés. "Voilà le lieu de la compétition", rigole Jean-Louis, accompagné de sa femme, une très belle femme, très petite - 1 m 55 - qui prendra son plaisir avec tous les hommes présents.
Mais revenons au présent. Chrystèle et notre acolyte se sont installés sur un canapé, Léopold et sa femme sur un autre. Face à face ils entreprennent de faire connaissance. Les deux femmes se sont abstenues de mettre des culottes et des doigts intrusifs les rattrapent vite. Elles mettent la tête en arrière, ferment les yeux, profitent de l'intrusion, gémissent doucement. Sans s'être donnés le signal les deux hommes entreprennent maintenant de les lécher. Les femmes se concentrent sur leur plaisir. Les hommes testent les muscles de leur langue. Là aussi il faut être dur et endurant !
Puis il s'agit de passer aux choses sérieuses. Chrystèle interrompt son lécheur : "Prends moi". Elle se retourne, lui montre comment elle veut être prise. L'autre femme est surprise de la voir si entreprenant mais Léopold sait que Chrystèle n'aime pas trop attendre pour se faire prendre. L'homme le comprend et la prend. Son sexe est moyen. Chrystèle retrouve ainsi un calibre proche de Léopold. Et la même endurance. Un peu limitée. Quelque temps après les deux couples en sortent un peu frustrés. C'est le moment de retourner dans la cuisine pour reprendre des forces. Un homme sert le champagne. Il est grand. La quarantaine un peu avancée. Très sur de lui il se rapproche de Chrystèle et lui sert un "Vous semblez déçue du début de la soirée.
- Un peu peut-être. Mais elle ne fait que commencer.
- Oui et des hommes comme moi sont là pour qu'elle finisse en apothéose." jusque là discret Léopold intervient : "Des hommes comme vous?
- Oui. Il y a de cela quelques siècles on nous aurait appelés "boute-en-train". Parce nous sommes capables de prendre le relais des hommes de couple trop fatigués pour honorer leurs femmes." Il rit. Chrystèle semble paralysée. Il la prend dans ses bras. Demande à Léopold : "Voulez-vous que je prenne le relais?
- C'est à Chrystèle d'en décider.
- Elle semble d'accord." Si ses yeux pouvaient dire "prends moi" la réponse ne serait pas plus claire. Il flatte ses seins. "Au fait mon prénom est Sylvain. Et vous?" Nous répondons. Un peu tétanisés par le force virile qu'il possède. Un bon mèetre 90 de muscles. Des bras puissants. Un sexe qui parait énorme dans sa culotte de peau. "Cela vous dérange si je l'emmène?" Et en plus il veut baiser Chrystèle seul comprend soudain Léopold. Mais Chrystèle répond vite : "Oh oui. Laisse nous." La suite de l'histoire est donc de seule voix.
Sylvain m'a pris la main et m'emmène dans la la chambre. Il me prend vite dans les bras, m'embrasse, je lui rends son baiser, je me sens toute petite entre ses bras, il flatte mes fesses, introduit un doigt, trouve mon clitoris pourtant pas si volumineux. C'est dingue, je jouis toute de suite, j'ai l'impression d'être une fontaine qui coule entre ses doigts. Il m'enlève le haut je suis totalement nue. Il prend comme possession de mon corps, me couche sur le lit central où nous sommes seuls. Les autres couples présents nous regardent. Il approche son sexe de ma bouche et je le suce tendrement. Doucement. Je lui caresse les bourses. Le sexe rasé comme tous les hommes ici je profite de leur douceur. Il apprécie le traitement. Ce ne doit pas être le genre d'homme à lécher les femmes. C'est le type dominant. Comme j'aime. Ah si seulement Léopold était plus sur de lui. Parce que Sylvain vient de me pénétrer. Son sexe est fantastique. Il me semble immense. Large. Puissant. Et si dur, dur, dur. Il relève mes jambes. Elles sont maintenant prêtes de mes oreilles et la pénétration est d'une intensité comme j'en ai rarement connue. Enfin pas depuis que je suis avec Léopold. A l'occasion il faudra d'ailleurs que nous vous racontions nos histoires d'avant notre rencontre.
Mais là non c'est trop bon. Je jouis. Encore. Il me retourne. Je ne vois toujours pas Léopold. Sans trop m'inquiéter de ce qu'il fait parce que Sylvain a eu la bonne idée de m'installer en levrette. Ses coups de boutoir sont incroyables. Mais il me fesse en plus; une claque, deux, trois claques. Mais c'est trop bon. Tellement bon que je m'écroule. Il me reprend allongée. Il me tient par le coup. Il demande à l'assemblée du gel. Mais il veut me sodomiser le salop. D'un côté j'ai envie de lui céder pour la jouissance qu'il m'apporte, de l'autre je déteste la sensation. Comme une pouliche rétive il me rassure, m'enduit l'anus de gel, me pénètre des doigts. Je sens enfin son sexe se rapprocher. Il me flatte, me prend les sens à pleine main. Ca y est il entre. C'est un peu difficile au début mais il m'a bien préparée. Il me remet en levrette. Entre petit à petit. En même temps ses doigts me fouillent le vagin. Et oui, c'est bon, c'est bon, c'est bon...
Je resterai de longues minutes sans parler, sans comprendre, épuisée par un orgasme de compétition internationale.
"Ca t'a plu?
- Un peu.
- Un peu?
- Beaucoup.
- Ca m'a fait drôle de te laisser seule avec ce mec.
- Oui. Je te remercie. Je n'aurais pas pu jouir autant si tu avais été là. J'aurais eu trop honte.
- Trop honte.
- Oui il aurait pu me faire faire n'importe quoi. J'étais comme hypnotisée.
- Il t'a...
- Oui. Une autre première.
- Et c'était bon?
- Oui.
- Pas comme avec moi !
- Non. Comment te dire. C'était comme l'apothéose d'un sentiment de soumission absolue.
- Soumission. Tu voudrais qu'on essaye une soirée où tu serais une esclave? Battue. Fessée?
- Peut-être oui."
Dans son immense cuisine - bien 25 m2 - pénètrent bientôt les autres invités. Tous ont joué le jeu de la soirée en peau de bête et nous verrons bientôt que notre hôte a décoré sa chambre en style grotte. Les invités se scrutent. Les hommes admirent les femmes, cherchent leur sourire. Les femmes regardent les hommes, les soupèsent, imaginent la taille de leur sexe, leur force, leur endurance. Les hommes s'interrogent : ces seins tiennent-ils bien, sont-ils aussi gros que leur promesse, sucent-elles bien, acceptent-elles la sodomie...
Nous sympathisons rapidement avec un couple venu de Tours pour l'occasion. Ils sont charmants dans leur peau de bête. Il est assez grand - plus que Léopold qui approche le mètre 80 - alors qu'elle ne doit pas dépasser le mètre 60 et est toute menue. "Cela va me changer de Chrystèle, grande et un peu forte", se dit Léopold quand la dite Chrystèle prend plaisir au doigt de l'homme du couple qui pénètre doucement son intimité.
"Suivez-nous dans la grotte", annonce Jean-Louis maintenant que les dix couples, et trois hommes, sont arrivés. La grotte c'est la chambre du couple. Immense. Bien 50 m2 avec au milieu un lit et autour des canapés. "Voilà le lieu de la compétition", rigole Jean-Louis, accompagné de sa femme, une très belle femme, très petite - 1 m 55 - qui prendra son plaisir avec tous les hommes présents.
Mais revenons au présent. Chrystèle et notre acolyte se sont installés sur un canapé, Léopold et sa femme sur un autre. Face à face ils entreprennent de faire connaissance. Les deux femmes se sont abstenues de mettre des culottes et des doigts intrusifs les rattrapent vite. Elles mettent la tête en arrière, ferment les yeux, profitent de l'intrusion, gémissent doucement. Sans s'être donnés le signal les deux hommes entreprennent maintenant de les lécher. Les femmes se concentrent sur leur plaisir. Les hommes testent les muscles de leur langue. Là aussi il faut être dur et endurant !
Puis il s'agit de passer aux choses sérieuses. Chrystèle interrompt son lécheur : "Prends moi". Elle se retourne, lui montre comment elle veut être prise. L'autre femme est surprise de la voir si entreprenant mais Léopold sait que Chrystèle n'aime pas trop attendre pour se faire prendre. L'homme le comprend et la prend. Son sexe est moyen. Chrystèle retrouve ainsi un calibre proche de Léopold. Et la même endurance. Un peu limitée. Quelque temps après les deux couples en sortent un peu frustrés. C'est le moment de retourner dans la cuisine pour reprendre des forces. Un homme sert le champagne. Il est grand. La quarantaine un peu avancée. Très sur de lui il se rapproche de Chrystèle et lui sert un "Vous semblez déçue du début de la soirée.
- Un peu peut-être. Mais elle ne fait que commencer.
- Oui et des hommes comme moi sont là pour qu'elle finisse en apothéose." jusque là discret Léopold intervient : "Des hommes comme vous?
- Oui. Il y a de cela quelques siècles on nous aurait appelés "boute-en-train". Parce nous sommes capables de prendre le relais des hommes de couple trop fatigués pour honorer leurs femmes." Il rit. Chrystèle semble paralysée. Il la prend dans ses bras. Demande à Léopold : "Voulez-vous que je prenne le relais?
- C'est à Chrystèle d'en décider.
- Elle semble d'accord." Si ses yeux pouvaient dire "prends moi" la réponse ne serait pas plus claire. Il flatte ses seins. "Au fait mon prénom est Sylvain. Et vous?" Nous répondons. Un peu tétanisés par le force virile qu'il possède. Un bon mèetre 90 de muscles. Des bras puissants. Un sexe qui parait énorme dans sa culotte de peau. "Cela vous dérange si je l'emmène?" Et en plus il veut baiser Chrystèle seul comprend soudain Léopold. Mais Chrystèle répond vite : "Oh oui. Laisse nous." La suite de l'histoire est donc de seule voix.
Sylvain m'a pris la main et m'emmène dans la la chambre. Il me prend vite dans les bras, m'embrasse, je lui rends son baiser, je me sens toute petite entre ses bras, il flatte mes fesses, introduit un doigt, trouve mon clitoris pourtant pas si volumineux. C'est dingue, je jouis toute de suite, j'ai l'impression d'être une fontaine qui coule entre ses doigts. Il m'enlève le haut je suis totalement nue. Il prend comme possession de mon corps, me couche sur le lit central où nous sommes seuls. Les autres couples présents nous regardent. Il approche son sexe de ma bouche et je le suce tendrement. Doucement. Je lui caresse les bourses. Le sexe rasé comme tous les hommes ici je profite de leur douceur. Il apprécie le traitement. Ce ne doit pas être le genre d'homme à lécher les femmes. C'est le type dominant. Comme j'aime. Ah si seulement Léopold était plus sur de lui. Parce que Sylvain vient de me pénétrer. Son sexe est fantastique. Il me semble immense. Large. Puissant. Et si dur, dur, dur. Il relève mes jambes. Elles sont maintenant prêtes de mes oreilles et la pénétration est d'une intensité comme j'en ai rarement connue. Enfin pas depuis que je suis avec Léopold. A l'occasion il faudra d'ailleurs que nous vous racontions nos histoires d'avant notre rencontre.
Mais là non c'est trop bon. Je jouis. Encore. Il me retourne. Je ne vois toujours pas Léopold. Sans trop m'inquiéter de ce qu'il fait parce que Sylvain a eu la bonne idée de m'installer en levrette. Ses coups de boutoir sont incroyables. Mais il me fesse en plus; une claque, deux, trois claques. Mais c'est trop bon. Tellement bon que je m'écroule. Il me reprend allongée. Il me tient par le coup. Il demande à l'assemblée du gel. Mais il veut me sodomiser le salop. D'un côté j'ai envie de lui céder pour la jouissance qu'il m'apporte, de l'autre je déteste la sensation. Comme une pouliche rétive il me rassure, m'enduit l'anus de gel, me pénètre des doigts. Je sens enfin son sexe se rapprocher. Il me flatte, me prend les sens à pleine main. Ca y est il entre. C'est un peu difficile au début mais il m'a bien préparée. Il me remet en levrette. Entre petit à petit. En même temps ses doigts me fouillent le vagin. Et oui, c'est bon, c'est bon, c'est bon...
Je resterai de longues minutes sans parler, sans comprendre, épuisée par un orgasme de compétition internationale.
"Ca t'a plu?
- Un peu.
- Un peu?
- Beaucoup.
- Ca m'a fait drôle de te laisser seule avec ce mec.
- Oui. Je te remercie. Je n'aurais pas pu jouir autant si tu avais été là. J'aurais eu trop honte.
- Trop honte.
- Oui il aurait pu me faire faire n'importe quoi. J'étais comme hypnotisée.
- Il t'a...
- Oui. Une autre première.
- Et c'était bon?
- Oui.
- Pas comme avec moi !
- Non. Comment te dire. C'était comme l'apothéose d'un sentiment de soumission absolue.
- Soumission. Tu voudrais qu'on essaye une soirée où tu serais une esclave? Battue. Fessée?
- Peut-être oui."
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