Que du plaisir avec Odile
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Que du plaisir avec Odile
La matinée se passe dans une atmosphère spéciale. Malgré mes nombreuses occupations un tas de questions m'envahissent l'esprit :
Laquelle de mes maîtresses aura aujourd’hui droit à ma visite ?
Et alors que je suis en train de faire quelques course dans l’hypermarché, j’aperçois dans une allé, Hervé, le mari de Odile. Il ne m’a pas vue. Et comme je suis du genre chenapan, que j’adore allé saluer les maris des femmes que je baise, je m’avance jusqu’à lui.
-Bonjour Hervé !
-Tiens Alain, comment vas-tu ?
-Bien merci et toi ?
-Comme tu le vois parfaitement bien.
-Et Odile ? Fais-je pour la forme.
-Très bien elle-aussi, elle est à la maison.
-Tu es de corvée de course à ce que je vois ?
-Oui et non, je pars pour une semaine dans le chalet du frangin.
-Celui de l’étang ?
-Celui-là même. J’ai besoin d’oxygène si tu vois ce que je veux te faire comprendre.
-Odile !
-Je ne sais pas ce qui la piquer. Mais depuis quelques temps, elle est épouvantable.
-Tu ne l’emmène pas ?
-Et puis quoi encore ! Pas question, j’ai besoin de calme. J’ai envie de pêcher en toute tranquillité.
-Bon sur ce, je te souhaite un bon séjour !
-Oui… merci Alain, bonjour à ta mère.
-Je n’y manquerais pas !
Je sais à présent chez qui mon choix se fait ! Avec mes cabas en main, je surveille la sortie d’Hervé. J’ai attendu un bon quart d’heure avant de le voir apparaître, poussant son caddie jusqu’à sa Peugeot. Il prend tout son temps pour placer les articles dans le coffre. Dans ce dernier j’y discerne une valise et le matériel de pêche.
Il n’y a plus aucun doute chez moi, il prend la route tout de suite après. Je passe d’abords chez moi où je dépose mes cabas avant de prendre le chemin qui va me mener jusqu’à chez Odile. Je suis resté sur ma faim avec Maryse. J’ai un grand besoin de foutre une femme.
Odile me reçoit avec un :
-Toi ici, mais il va neiger aujourd’hui !
-Je te sens contente de me voir !
-Aller rentre.
-J’ai vu Hervé.
-Je comprends maintenant pourquoi tu es là.
-Juste pour voir tes seins.
-Arrête tes caprices. Par contre, je ne sais pas pourquoi j’ai passé une de mes plus belles culottes ce matin, et ta visite commence sérieusement à la rendre humide. je m’entends alors lui dire :
-J’exige une preuve.
Et là je sens que je bande dur.
-Tu bandes mon cochon ? Me fait Odile, le regard fixant la bosse que fait mon érection.
-Comme toujours quand je suis avec toi !
-Arrête…arrête veux-tu…
Elle m’embarque jusqu’à son salon. Elle se met en tailleur sur son fauteuil. Sa jupe glisse vers le haut, dévoilant ses cuisses, qu’elle écarte. C’est maintenant, sur un triangle sombre, que j’ai une vue imprenable.
-C’est ce que tu veux voir ? Ma chatte ?
-Tu m’as l’air d’une femme en chaleur.
-C’est la situation qui me fait ça, je suis humide. Fais-moi voir ton sexe, je n’en peux plus d’attendre… j’en rêve même la nuit.
-Et si ton mari venait !
-J’y crois pas un seul instant. Dis, fais-moi voir ta bite.
J’obtempère, j’extrais la chose, raide, de son carcan. Je bande ferme, le pantalon sur les pieds. Je saisis ma bite et la branle doucement. Elle regarde fixement, l’air fasciné.
-T’aimes bien te branler devant une femme ?
-J’adore. Et toi ?
-Ouais, j’aime ça.
-Et te faire bouffer la chatte ?
-Tu pense que j’ai besoin de te le dire. Vas-y, branle-toi bien, mon cochon, t’es raide.
Les mots qui sortent de sa jolie bouche m’excitent à tel point que j’y vais mollo, de peur de cracher mon foutre trop vite. J’approche ma queue de son visage. Elle se recule :
- Non, je ne veux pas te sucer, pas maintenant. Continue à te masturber.
-Je ne te demande pas de me sucer. Crache sur mon gland.
Elle s’approche, place sa bouche à quelques centimètres au-dessus de ma pine que j’ai immobilisée et Odile lâche un long filet de salive qui vient s’étaler sur le bout violacé. Je reprends ma branlette, en matant sa culotte sombre que je devine humide.
-Écarte plus tes cuisses, grosse salope que tu es !
Le mouvement a pour effet de créer un espace entre les bords du bout de tissu et le creux du haut de ses cuisses, d’où des poils, issus d’un sombre milieu, s’échappent.
-Et ouvre ton chemisier, sors tes seins grosse cochonne.
Une fois fait, c’est devant une femme espiègle aux cuisses écartées et aux seins généreux, aux tétons larges et bruns, que je m’astique.
- Ils te plaisent ?
-Oui !
-Et c’est pour ça que tu me rends autant de visite ?
-Oui. Branle-toi la chatte aussi, pas de raison que je ne profite pas du spectacle.
Odile commence à effleurer le bout de tissu. Ses doigts parcourent son entrejambe de haut en bas. Au bout de quelques instants, elle accentue la pression, et la culotte s’enfonce dans les chairs tendres. Elle glisse sa main à l’intérieur, et se masturbe maintenant ouvertement.
-Tu es une belle truie, Odile, tu m’excites. Écarte ta culotte, je veux voir ta chatte.
On ne se touche toujours pas, en se branle mutuellement. Odile écarte de l’autre main le dernier obstacle, dévoilant sa chatte poilue. Je sens mon foutre qui se rue vers la sortie, je ralentis tout de même le rythme pour calmer mes ardeurs.
-Fourre-toi bien, tu m’excites, branle toi bien la chatte.
Elle triture les chairs roses. Ses doigts sont maintenant luisants de mouille. Une odeur musquée monte jusqu’à moi. Elle clôt les paupières par intermittence. Sinon quand elle les a ouverts, elle me regarde directement, dans les yeux. De mon côté, ma queue qui va bientôt livrer son offrande.
Sans essayer de la toucher, je rapproche ma queue à quelques centimètres de sa moule, qu’elle continue à caresser. J’accélère le rythme de ma branlette et au bout de quelques secondes, j’envoie en ahanant, de longues giclées de sperme visqueux sur sa foufoune. Odile m’observe. Elle a l’air étonnée, puis elle sourit. Elle mixtionne la texture poisseuse à ses poils, ça donne un étrange effet vu de haut. Odile porte ensuite ses doigts maculés à sa bouche et, en lèche un puis deux des quatre.
J’arrache sa main de sa bouche pour la transmettre à la mienne. Que je me mets à lécher. J’adore ce goût ! De sa main libre, Odile pince et tire sur un de ses tétons. De l’autre elle écarte son sexe luisant en me regardant dans les yeux.
-Ça te plaît ?
-Oh que oui ça me plaît !
-Alors pourquoi ne pas me rendre plus de visite.
-C’est que je travaille.
-C’est bien ça ! Et après le travail, tu fais quoi ?
Sur ce, Odile se lève, se sépare une fois pour toute de la culotte. Elle l’examine avant de me la coller contre mes narines.
-Respire-là mon grand, sens comme elle sent bon, la culotte de la cochonne que je suis !
Je l’hume, la culotte, et ça, à mon faire péter les poumons. Il s’en dégage d’elle, une bonne odeur musquée qui m’en ivre. Il est copieusement maculé sur le renfort d’une longue trace humide. Je m’écarte pour lui laisser tomber :
-Tu sens bon la cochonne en manque !
-A cause de qui ? Je mérite réparation. Tu ne crois pas ? Me fait-elle en retroussant l’ourlet de sa jupe au-dessus de sa taille.
Puis elle prend appuie sur le divan en écartant aussi grand qu’elle le peut, les jambes. Tendant ainsi vers moi, son cul et sa chatte. Qui dégage une odeur forte, musquée, enivrante.
Je ne me rappel pas avoir débandé, tant la situation était bandante. Dans la position où elle se trouve, son cul parait plus imposant et le renflement de son sexe plus marqué. Je donne de petites tapes sur ses fesses, qui réagissent par de légers tressautements flasques.
-Alors tu me la donnes ma récompense ?
Je sépare les deux globes, dévoilant ainsi son œillet brun et plissé. Je plonge sans plus de cérémonie et lape à grands coups de langue sa raie du cul, son petit trou amer. Odile ronronne.
-T’aime ça que je te bouffe le cul, cochonne ?
-J’aime me faire bouffer le cul, oui. Et tu es jusqu’alors le seul à me le faire. C’est pour ça que je veux te voir plus souvent !
Je force sur sa pastille élastique, qui s’ouvre doucement et laisse le passage à une première phalange. D’un coup de cul, elle se débarrasse de mon doigt. Pour aller s’allonger sur la table basse, en appuie sur les coudes. Odile maintenant offerte, les seins lourds et arrogants et les cuisses largement écartées pour qu’il ne subsiste aucun doute sur ce qu’elle attend de moi.
-Alors ?
-Alors quoi ?
-J’attends, la récompense !
Elle relève encore plus ses jambes ouvertes, accentuant l’invite. Sourire aux lèvres je me laisse allé à m’agenouillé devant elle.
-C’est plus fort que moi, quand je vois une chatte, il faut que j’y mette ma bouche.
-Et ta queue dans ma chatte, alors ?
-Ça attendra !
Et tout de suite après j’immisce ma langue entre les poils poisseux. A son contact ses lèvres s’ouvrent facilement, le goût est acidulé. Mais aussi, A la fois croupissant et tyrannique. Ma langue explore les parois de ses lèvres. S’introduit par la suite, profondément dans son sexe. Odile glisse ses doigts dans mes cheveux et imprime sur ma tête une pression qui vaut approbation.
Je glisse mes lèvres jusqu’à son cul. Où passe ma langue entre les globes charnus. Je darde ma langue sur son petit trou qui frissonne. Je le lèche avidement. Puis pousse ma langue dans l'œillet qui se laisse comme le doigt plus tôt, fléchir facilement. Odile gémit de plaisir.
Il est temps de pensé à ma jouissance. Pour ça je me redresse. Ma queue est impatiente et palpite elle aussi comme le cul d’Odile. Je pose mon gland contre l'anus humecté d’Odile. Je pousse doucement. Elle s'ouvre avec une facilité anormale. Son petit trou est des plus bouillants. Soyeux à souhait. Je glisse sans problème jusqu'à la garde. Mes mains sur ses hanches. Odile m’observe par dessus son épaule. Ses yeux chavirent alors que je commence à la besogner. Bouche entrouverte elle est en évanouissement. Je la prends fermement, la décolle même de la table. Je me retiens de ne pas la prendre fort. Je souhaite pour moi comme pour elle, un plaisir calme. Et je crois que c'est réussi jusqu’alors. Elle ondule, se cambre, tortille son cul. Je dois reconnaitre que peu de femmes sont capables d'autant de sensualité exprimée. Odile est femme, et plus encore.
Cette femme est de la dynamite. Son cul me serre, me relâche au fil des instants qui passent. Je suis si bien dans ce cul. Je glisse mon pouce entre moi et elle et je trouve son sexe béant.
- Oh c'est bon ce que tu me fais. Me dit-elle.
- Oui ma cochonne, c’est bien pour ça que je suis là !
Avec un énorme frisson, je sors de son anus. Qui reste bien ouvert. Elle est d'un rouge foncé. Son anus est magnifique à voir. Bien écarquillé palpitant, prêt à prendre d’autres coups de bite. Trempé elle coule entre ses fesses. Je reviens en elle. Elle pousse un petit cri quand je plonge en elle d'un seul coup.
Je vais et viens doucement, lentement. Je ne me lasse pas de caresser sa chatte. Odile est une femme avec un gros clito. Je la regarde. Les yeux mis clos, elle goûte le plaisir de la pénétration. Alors que je vais et viens toujours dans son cul. Chaque coup de queue fait naître un frisson de plaisir qui se propage en elle. Chaque fois elle se contracte, serre ma queue dans son cul. A ce jeu, elle m'use et je ne suis plus loin de jouir. Mais Odile est également, au bord de la jouissance. Elle râle, se tortille. Je prends un plaisir immense à pousser plus loin mon sexe. Mes couilles battent sur ses fesses. Odile agrippe mes poignets.
- Je Pars… oui je pars… Gémit-elle.
Je la prends maintenant avec une cadence lente, mais en donnant à chaque fois un coup puissant. Je sens que je suis au bout. Mais je veux la décoller avant moi. Je veux être sûr qu'elle prenne son pied. Je la mange des yeux.
Si je ne me retenais pas je me jetterais sur sa chatte pour la sucer et la faire gicler dans ma bouche. Mais j’aime tellement la voir prendre son pied que je fais ce qu’il faut, pour. Mes couilles ont envie de tout lâcher, mais pas mon cerveau. Alors je me retiens, malgré le spectacle qui m'émoustille au plus haut point.
Maintenant ce n'est plus seulement la chatte d’Odile qui tremble. Mais c’est toute sa personne entière. Je la soutiens. Elle quémande encore et encore. Je fais tant bien que mal durer le plaisir. Elle demande grâce. Je la prends au ralenti. Poussant doucement mon sexe dans un corps qui tressaille de la pointe des pieds à la racine des cheveux.
Ses yeux me contemplent j'y discerne du plaisir qui la chavire. Odile est vraiment en train de perdre pied. Elle n’est plus que jouissance. Elle est proche de l'orgasme. Je le devine dans ses prunelles dilatées.
Soudain elle se fige totalement.
- OOUIIIIII ! oh oui…oui…oui c'est bon… C'est bon… je jouis. Crie-t-elle. Que c’est bon de jouir !
Elle est belle superbe, quand elle jouit !
Laquelle de mes maîtresses aura aujourd’hui droit à ma visite ?
Et alors que je suis en train de faire quelques course dans l’hypermarché, j’aperçois dans une allé, Hervé, le mari de Odile. Il ne m’a pas vue. Et comme je suis du genre chenapan, que j’adore allé saluer les maris des femmes que je baise, je m’avance jusqu’à lui.
-Bonjour Hervé !
-Tiens Alain, comment vas-tu ?
-Bien merci et toi ?
-Comme tu le vois parfaitement bien.
-Et Odile ? Fais-je pour la forme.
-Très bien elle-aussi, elle est à la maison.
-Tu es de corvée de course à ce que je vois ?
-Oui et non, je pars pour une semaine dans le chalet du frangin.
-Celui de l’étang ?
-Celui-là même. J’ai besoin d’oxygène si tu vois ce que je veux te faire comprendre.
-Odile !
-Je ne sais pas ce qui la piquer. Mais depuis quelques temps, elle est épouvantable.
-Tu ne l’emmène pas ?
-Et puis quoi encore ! Pas question, j’ai besoin de calme. J’ai envie de pêcher en toute tranquillité.
-Bon sur ce, je te souhaite un bon séjour !
-Oui… merci Alain, bonjour à ta mère.
-Je n’y manquerais pas !
Je sais à présent chez qui mon choix se fait ! Avec mes cabas en main, je surveille la sortie d’Hervé. J’ai attendu un bon quart d’heure avant de le voir apparaître, poussant son caddie jusqu’à sa Peugeot. Il prend tout son temps pour placer les articles dans le coffre. Dans ce dernier j’y discerne une valise et le matériel de pêche.
Il n’y a plus aucun doute chez moi, il prend la route tout de suite après. Je passe d’abords chez moi où je dépose mes cabas avant de prendre le chemin qui va me mener jusqu’à chez Odile. Je suis resté sur ma faim avec Maryse. J’ai un grand besoin de foutre une femme.
Odile me reçoit avec un :
-Toi ici, mais il va neiger aujourd’hui !
-Je te sens contente de me voir !
-Aller rentre.
-J’ai vu Hervé.
-Je comprends maintenant pourquoi tu es là.
-Juste pour voir tes seins.
-Arrête tes caprices. Par contre, je ne sais pas pourquoi j’ai passé une de mes plus belles culottes ce matin, et ta visite commence sérieusement à la rendre humide. je m’entends alors lui dire :
-J’exige une preuve.
Et là je sens que je bande dur.
-Tu bandes mon cochon ? Me fait Odile, le regard fixant la bosse que fait mon érection.
-Comme toujours quand je suis avec toi !
-Arrête…arrête veux-tu…
Elle m’embarque jusqu’à son salon. Elle se met en tailleur sur son fauteuil. Sa jupe glisse vers le haut, dévoilant ses cuisses, qu’elle écarte. C’est maintenant, sur un triangle sombre, que j’ai une vue imprenable.
-C’est ce que tu veux voir ? Ma chatte ?
-Tu m’as l’air d’une femme en chaleur.
-C’est la situation qui me fait ça, je suis humide. Fais-moi voir ton sexe, je n’en peux plus d’attendre… j’en rêve même la nuit.
-Et si ton mari venait !
-J’y crois pas un seul instant. Dis, fais-moi voir ta bite.
J’obtempère, j’extrais la chose, raide, de son carcan. Je bande ferme, le pantalon sur les pieds. Je saisis ma bite et la branle doucement. Elle regarde fixement, l’air fasciné.
-T’aimes bien te branler devant une femme ?
-J’adore. Et toi ?
-Ouais, j’aime ça.
-Et te faire bouffer la chatte ?
-Tu pense que j’ai besoin de te le dire. Vas-y, branle-toi bien, mon cochon, t’es raide.
Les mots qui sortent de sa jolie bouche m’excitent à tel point que j’y vais mollo, de peur de cracher mon foutre trop vite. J’approche ma queue de son visage. Elle se recule :
- Non, je ne veux pas te sucer, pas maintenant. Continue à te masturber.
-Je ne te demande pas de me sucer. Crache sur mon gland.
Elle s’approche, place sa bouche à quelques centimètres au-dessus de ma pine que j’ai immobilisée et Odile lâche un long filet de salive qui vient s’étaler sur le bout violacé. Je reprends ma branlette, en matant sa culotte sombre que je devine humide.
-Écarte plus tes cuisses, grosse salope que tu es !
Le mouvement a pour effet de créer un espace entre les bords du bout de tissu et le creux du haut de ses cuisses, d’où des poils, issus d’un sombre milieu, s’échappent.
-Et ouvre ton chemisier, sors tes seins grosse cochonne.
Une fois fait, c’est devant une femme espiègle aux cuisses écartées et aux seins généreux, aux tétons larges et bruns, que je m’astique.
- Ils te plaisent ?
-Oui !
-Et c’est pour ça que tu me rends autant de visite ?
-Oui. Branle-toi la chatte aussi, pas de raison que je ne profite pas du spectacle.
Odile commence à effleurer le bout de tissu. Ses doigts parcourent son entrejambe de haut en bas. Au bout de quelques instants, elle accentue la pression, et la culotte s’enfonce dans les chairs tendres. Elle glisse sa main à l’intérieur, et se masturbe maintenant ouvertement.
-Tu es une belle truie, Odile, tu m’excites. Écarte ta culotte, je veux voir ta chatte.
On ne se touche toujours pas, en se branle mutuellement. Odile écarte de l’autre main le dernier obstacle, dévoilant sa chatte poilue. Je sens mon foutre qui se rue vers la sortie, je ralentis tout de même le rythme pour calmer mes ardeurs.
-Fourre-toi bien, tu m’excites, branle toi bien la chatte.
Elle triture les chairs roses. Ses doigts sont maintenant luisants de mouille. Une odeur musquée monte jusqu’à moi. Elle clôt les paupières par intermittence. Sinon quand elle les a ouverts, elle me regarde directement, dans les yeux. De mon côté, ma queue qui va bientôt livrer son offrande.
Sans essayer de la toucher, je rapproche ma queue à quelques centimètres de sa moule, qu’elle continue à caresser. J’accélère le rythme de ma branlette et au bout de quelques secondes, j’envoie en ahanant, de longues giclées de sperme visqueux sur sa foufoune. Odile m’observe. Elle a l’air étonnée, puis elle sourit. Elle mixtionne la texture poisseuse à ses poils, ça donne un étrange effet vu de haut. Odile porte ensuite ses doigts maculés à sa bouche et, en lèche un puis deux des quatre.
J’arrache sa main de sa bouche pour la transmettre à la mienne. Que je me mets à lécher. J’adore ce goût ! De sa main libre, Odile pince et tire sur un de ses tétons. De l’autre elle écarte son sexe luisant en me regardant dans les yeux.
-Ça te plaît ?
-Oh que oui ça me plaît !
-Alors pourquoi ne pas me rendre plus de visite.
-C’est que je travaille.
-C’est bien ça ! Et après le travail, tu fais quoi ?
Sur ce, Odile se lève, se sépare une fois pour toute de la culotte. Elle l’examine avant de me la coller contre mes narines.
-Respire-là mon grand, sens comme elle sent bon, la culotte de la cochonne que je suis !
Je l’hume, la culotte, et ça, à mon faire péter les poumons. Il s’en dégage d’elle, une bonne odeur musquée qui m’en ivre. Il est copieusement maculé sur le renfort d’une longue trace humide. Je m’écarte pour lui laisser tomber :
-Tu sens bon la cochonne en manque !
-A cause de qui ? Je mérite réparation. Tu ne crois pas ? Me fait-elle en retroussant l’ourlet de sa jupe au-dessus de sa taille.
Puis elle prend appuie sur le divan en écartant aussi grand qu’elle le peut, les jambes. Tendant ainsi vers moi, son cul et sa chatte. Qui dégage une odeur forte, musquée, enivrante.
Je ne me rappel pas avoir débandé, tant la situation était bandante. Dans la position où elle se trouve, son cul parait plus imposant et le renflement de son sexe plus marqué. Je donne de petites tapes sur ses fesses, qui réagissent par de légers tressautements flasques.
-Alors tu me la donnes ma récompense ?
Je sépare les deux globes, dévoilant ainsi son œillet brun et plissé. Je plonge sans plus de cérémonie et lape à grands coups de langue sa raie du cul, son petit trou amer. Odile ronronne.
-T’aime ça que je te bouffe le cul, cochonne ?
-J’aime me faire bouffer le cul, oui. Et tu es jusqu’alors le seul à me le faire. C’est pour ça que je veux te voir plus souvent !
Je force sur sa pastille élastique, qui s’ouvre doucement et laisse le passage à une première phalange. D’un coup de cul, elle se débarrasse de mon doigt. Pour aller s’allonger sur la table basse, en appuie sur les coudes. Odile maintenant offerte, les seins lourds et arrogants et les cuisses largement écartées pour qu’il ne subsiste aucun doute sur ce qu’elle attend de moi.
-Alors ?
-Alors quoi ?
-J’attends, la récompense !
Elle relève encore plus ses jambes ouvertes, accentuant l’invite. Sourire aux lèvres je me laisse allé à m’agenouillé devant elle.
-C’est plus fort que moi, quand je vois une chatte, il faut que j’y mette ma bouche.
-Et ta queue dans ma chatte, alors ?
-Ça attendra !
Et tout de suite après j’immisce ma langue entre les poils poisseux. A son contact ses lèvres s’ouvrent facilement, le goût est acidulé. Mais aussi, A la fois croupissant et tyrannique. Ma langue explore les parois de ses lèvres. S’introduit par la suite, profondément dans son sexe. Odile glisse ses doigts dans mes cheveux et imprime sur ma tête une pression qui vaut approbation.
Je glisse mes lèvres jusqu’à son cul. Où passe ma langue entre les globes charnus. Je darde ma langue sur son petit trou qui frissonne. Je le lèche avidement. Puis pousse ma langue dans l'œillet qui se laisse comme le doigt plus tôt, fléchir facilement. Odile gémit de plaisir.
Il est temps de pensé à ma jouissance. Pour ça je me redresse. Ma queue est impatiente et palpite elle aussi comme le cul d’Odile. Je pose mon gland contre l'anus humecté d’Odile. Je pousse doucement. Elle s'ouvre avec une facilité anormale. Son petit trou est des plus bouillants. Soyeux à souhait. Je glisse sans problème jusqu'à la garde. Mes mains sur ses hanches. Odile m’observe par dessus son épaule. Ses yeux chavirent alors que je commence à la besogner. Bouche entrouverte elle est en évanouissement. Je la prends fermement, la décolle même de la table. Je me retiens de ne pas la prendre fort. Je souhaite pour moi comme pour elle, un plaisir calme. Et je crois que c'est réussi jusqu’alors. Elle ondule, se cambre, tortille son cul. Je dois reconnaitre que peu de femmes sont capables d'autant de sensualité exprimée. Odile est femme, et plus encore.
Cette femme est de la dynamite. Son cul me serre, me relâche au fil des instants qui passent. Je suis si bien dans ce cul. Je glisse mon pouce entre moi et elle et je trouve son sexe béant.
- Oh c'est bon ce que tu me fais. Me dit-elle.
- Oui ma cochonne, c’est bien pour ça que je suis là !
Avec un énorme frisson, je sors de son anus. Qui reste bien ouvert. Elle est d'un rouge foncé. Son anus est magnifique à voir. Bien écarquillé palpitant, prêt à prendre d’autres coups de bite. Trempé elle coule entre ses fesses. Je reviens en elle. Elle pousse un petit cri quand je plonge en elle d'un seul coup.
Je vais et viens doucement, lentement. Je ne me lasse pas de caresser sa chatte. Odile est une femme avec un gros clito. Je la regarde. Les yeux mis clos, elle goûte le plaisir de la pénétration. Alors que je vais et viens toujours dans son cul. Chaque coup de queue fait naître un frisson de plaisir qui se propage en elle. Chaque fois elle se contracte, serre ma queue dans son cul. A ce jeu, elle m'use et je ne suis plus loin de jouir. Mais Odile est également, au bord de la jouissance. Elle râle, se tortille. Je prends un plaisir immense à pousser plus loin mon sexe. Mes couilles battent sur ses fesses. Odile agrippe mes poignets.
- Je Pars… oui je pars… Gémit-elle.
Je la prends maintenant avec une cadence lente, mais en donnant à chaque fois un coup puissant. Je sens que je suis au bout. Mais je veux la décoller avant moi. Je veux être sûr qu'elle prenne son pied. Je la mange des yeux.
Si je ne me retenais pas je me jetterais sur sa chatte pour la sucer et la faire gicler dans ma bouche. Mais j’aime tellement la voir prendre son pied que je fais ce qu’il faut, pour. Mes couilles ont envie de tout lâcher, mais pas mon cerveau. Alors je me retiens, malgré le spectacle qui m'émoustille au plus haut point.
Maintenant ce n'est plus seulement la chatte d’Odile qui tremble. Mais c’est toute sa personne entière. Je la soutiens. Elle quémande encore et encore. Je fais tant bien que mal durer le plaisir. Elle demande grâce. Je la prends au ralenti. Poussant doucement mon sexe dans un corps qui tressaille de la pointe des pieds à la racine des cheveux.
Ses yeux me contemplent j'y discerne du plaisir qui la chavire. Odile est vraiment en train de perdre pied. Elle n’est plus que jouissance. Elle est proche de l'orgasme. Je le devine dans ses prunelles dilatées.
Soudain elle se fige totalement.
- OOUIIIIII ! oh oui…oui…oui c'est bon… C'est bon… je jouis. Crie-t-elle. Que c’est bon de jouir !
Elle est belle superbe, quand elle jouit !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime vos histoires parce que les dialogues sont majoritaires et il y a peu de descriptions. Ce que peut dire une femme ou un homme m'excite beaucoup.
Vous écrivez : " j’adore saluer les maris des femmes que je baise" C'est tellement vrai, mon épouse (qui s'appelle Odile!) m'a dit que les amants aiment bien connaitre le mari cocu. Moi, ça ne me dérange pas. Pourvu que ça mette Odile de bonne humeur...
Merci encore.
Une dernière chose : j'aime m'occuper des pieds de ma femme et elle aime ça . Vos textes a ce sujet m'excitent beaucoup.
Henri (66 ans bisex , cocu).
Vous écrivez : " j’adore saluer les maris des femmes que je baise" C'est tellement vrai, mon épouse (qui s'appelle Odile!) m'a dit que les amants aiment bien connaitre le mari cocu. Moi, ça ne me dérange pas. Pourvu que ça mette Odile de bonne humeur...
Merci encore.
Une dernière chose : j'aime m'occuper des pieds de ma femme et elle aime ça . Vos textes a ce sujet m'excitent beaucoup.
Henri (66 ans bisex , cocu).