Quoi de mieux?

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Quoi de mieux?
Il m’arrive de temps à autre d’aller aider le voisin à retaper sa grange. Un matin, j’arrive à l’improviste, pour récupérer ma perceuse oubliée la veille. Je sais que Denis, le voisin ne se trouve pas chez lui. Puisque sa voiture n’est pas comme à son habitude stationnée devant chez lui. Je compte sur sa femme Claudine, d’y être afin de reprendre mon bien. Surtout que j’en avais besoin pour un autre chantier. Après avoir récupérer mon outil dans la grange, je m’aperçois que la porte fenêtre menant à leur cuisine est entrouverte. Pour ne pas passer pour un mal élevé, je m’avance jusqu’à l’entrée pour saluer la maîtresse des lieux. Et là, je la surprends entièrement nue dans la cuisine.
- Putain Claudine, cette belle chatte poilue que vous avez là.
C’est partie tout seul !
- Mais… mais Alain, qu’est-ce que tu fais là ?
- Ce que je fais là, ça ne ce voit pas, je suis en admiration devant la plus belle chatte que j’ai eue l’occasion de voir ces derniers temps.
- Il ne faut tout de même pas exagérer, répond-elle, en cachant son intimité avec un torchon.
- Mais non Claudine, j’insiste, c’est bien la plus belle chatte que j’ai eu l’occasion de voir ces derniers temps ! Et je suis sérieux.
Et je ne mentais pas.
Malgré son âge, je trouve cette Claudine consommable. Et voilà que dans mon cerveau germe l’idée de m’exhiber. Je me mets dans l’esprit qu’elle ne serait pas contre de voir une jeune queue. La soupçonnant même d’être en manque de ce côté-là. Je suis aux anges. Je suis au bord de la folie, prêt à tous les risques. Alors sans trop bien réfléchir, je dégrafe alors ma braguette et sors ma queue raide.
Pendant un instant, je me sens même con. Et pourtant, je continue de bander dur. Claudine m’excite exceptionnellement. Le visage de la voisine se colore en rouge, très rouge même. Incontestablement, elle est ébranlée par ce qu’elle voit. Si le scandale devait surgir, c’était alors le moment de se plaindre. Mais elle n’en fait rien.
- Claudine soit gentille, montre-moi ta chatte s’il te plaît !
Et là, elle laisse échapper le torchon de sa main. Et j’ai de nouveau devant mes yeux la chatte à Claudine. Oh, que c’est jouissif ! Oh, que je bande.
J’empoigne ma bite dans la main droite et entame un lent va-et-vient. Quel cran ! Quelle indécence !
Je suis en train de me donner du plaisir devant les yeux, témoins de ma voisine. L’excitation fait vraiment faire de drôle de chose. Ce fut comme un déclic chez la voisine. Venant s’agenouiller immédiatement devant moi.
- Alain… Alain… Tu me fais perdre la tête. Je suis dans l’incapacité de me retenir ! Je suis comme possédée, aimantée par ce que m’exhibe !
- Et bien, laisse-toi aller… Cela restera entre-nous ! Il ne faut jamais résister à la tentation. Et il n’est pas interdit de se faire du bien…
Tandis qu’elle taquine ma queue, elle commence à raconter sa carence d’expérience sexuelle avec Denis. Elle arrête sa confession afin de me donner un petit coup de langue sur le bout de mon gland tout écarlate. Je tressaille un peu, c’est très efficace.
Puis elle gobe ma verge entre ses lèvres et commence une splendide fellation, jouant vicieusement de la langue autour de ma tige veinée. Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps à un tel traitement. Je serre les dents. Il y a des choses auxquelles il faut songer dans pareil cas, pour éviter d’éjaculer.
Mais Claudine est du genre coquin, à sentir que son partenaire est au bord de la jouissance. Alors, elle s’active vicieusement. J’ai même des difficultés à me retenir. En parfaite experte, elle empoigne mes couilles et les masses avec vigilance tandis que sa bouche se fait encore plus ensorceleuse. Je laisse partir un premier jet de sperme. Sa langue caresse charnellement mon gland, je halète. Un autre jet bondit dans cette bouche si accueillante. J’expulse le restant de ma jouissance. Je me sens transporté vers un autre monde, nettement plus ravissant que celui où je vis en ce moment !
Claudine sait y faire avec sa bouche, continuant à choyer ma queue après qu’elle se soit entièrement vidée.
- Je pense qu’il serait bien que tu partes à présent, Alain…
- Pas avant t’avoir rendu un hommage.
- Tu entends quoi à un hommage.
- Je veux sucer ta chatte jusqu’à plus soif !
- Tu blagues ?
- Pas le moins du monde… C’est bien grâce à elle que nous en sommes arrivées là ? Non, je me trompe ?
- C’est que Denis… Peu arriver d’un moment à l’autre…
- Laisse tombé avec Denis, je lui réponds, tout en m’agenouillant devant la belle chatte, humant sa fragrance piquante.
La réaction à mes caresses est assez rapide sur sa personne. Déjà, la cyprine humecte ses lèvres intimes. Je me fais un plaisir d’aller boire à cette source. Claudine soupire d’aise. Ses plaintes ne laissent aucun doute sur la nature de ses émotions. Elles ont ces plaintes quelque chose de rythmique de saccadé elles s’enflent et décroissent brusquement pour remonter aussitôt de plus en plus aiguës.
Mes doigts remplacent ma langue, et commencent à taquiner un petit bouton rose qui s’avère être très sensible. Mon nez remonte dans le sillon fessier où je déniche un petit trou palpitant. J’y fourre ma langue. C’est acide, la sueur me picote la langue et une autre saveur plus amère celle-là. À force de caresse, l’anus cède tout de suite. Je n’ai qu’à pousser un peu. Ma langue glisse comme un suppositoire. Tout cela m’excite, au moins autant que le contact du rectum brûlant qui m’enveloppe ma langue. Sans aucun préavis de sa part, voilà qu’elle m’échappe.
- Viens allons dans la chambre.
-Et Denis ?
-Nous avons du temps !
Encouragé par ses mots, je me laisse entraîner jusqu’à la chambre. Où elle me fait m’installer sur le lit conjugal. Avec une souplesse incroyable pour une femme de son âge, elle vient s’empaler sur moi. Elle ondule autour de ma queue rivée en elle. Visiblement, elle apprécie beaucoup.
- Je ne regrette pas de cocufier mon Denis !
J’aime voir se peindre petit à petit sur son visage la couleur du plaisir puis celle de la jouissance. Je la laisse profiter de moi encore quelques instants. Elle ferme les yeux pour mieux profiter du plaisir qu’elle s’inflige.
- Cela t’ennuierait que je me la mette… Enfin…
- Dans le cul ?
- Oui… C’est ça !
- C’est la première fois ?
- Non… Enfin pas avec un vrai, si tu vois ce que je veux te faire comprendre.
- Je pige, oui !
Toutefois, elle guide sans que mon gland ne faiblisse vers sa sombre entrée, puis quand enfin, elle pense avoir trouvé le bon angle, elle s’assied posément dessus, le faisant entrer lentement, mais sûrement dans ses profondeurs. Elle pousse divers soupirs au fur et à mesure que ma verge disparaît en elle. Puis arrive le moment où tout a été englouti en elle. Elle soupire longuement, l’anus écarté, ses entrailles envahies. Elle demande :
- Toute votre belle verge est enfin en moi…
- C’est très bien ! La sens-tu ?
- Oh oui, je la sens bien ! Elle m’écartèle ! C’est… Ooh ! Puissant ! !
- Très bien ! Maintenant, j’exige que vous remuiez dessus, qu’elle entre et qu’elle sorte, qu’elle aille en toi dans le moindre recoin. Et interdiction de te masturber ! Seulement lors de mon autorisation !
Elle pivote, ondule, se tord autour de mon pieu de chair. Elle le fait sortir un peu pour mieux replonger dessus. Elle halète, elle soupire longuement, mais elle ne faiblit pas, malgré son âge. Soudain, elle accélère son va-et-vient autour de ma verge qui commence à souffrir un peu de ce massage forcené. Elle se pistonne carrément sur ma queue. Comme elle le ferait avec son gode, ou sur un légume !
- Je remue bien mon cul, Alain ?
- Bien, Madame !
- Je vais profiter de ton joujou bien dur pour me défoncer le cul ! Tu ne vois pas d’inconvénient à ça ?
- Humm, non !
- Tu vas me prendre pour une sale petite garce ! Je me trompe ?
- Pas du tout. C’est seulement que tu en as une grosse envie voilà tout ! Tu profites de l’occasion !
-On dira ça !
Et une incroyable chevauchée commence. Autant de mon côté que de l’ardeur qu’elle y met !
Au bout d’un certain temps, je préfère lui demander de se retirer, car je crains que ma queue finisse par subir bien des mortifications, tant cette chevauchée est diabolique !
Claudine libère ma queue. Et s’installe correctement afin de conclure avec sa bouche ! La morte de soif s’exécute à m’offrir une délicieuse sucette. Qui me permet de reprendre contenance et surtout faire que ma verge ne soit plus soumise à un traitement forcené !
Par la suite, j’ai aimé lui donner du plaisir, comme je l’adore elle-même. D’ailleurs autant que sa chatte est poilue. Sans oublier ses lèvres et sa langue, qui sont elles aussi, très douces !
- Putain Claudine, cette belle chatte poilue que vous avez là.
C’est partie tout seul !
- Mais… mais Alain, qu’est-ce que tu fais là ?
- Ce que je fais là, ça ne ce voit pas, je suis en admiration devant la plus belle chatte que j’ai eue l’occasion de voir ces derniers temps.
- Il ne faut tout de même pas exagérer, répond-elle, en cachant son intimité avec un torchon.
- Mais non Claudine, j’insiste, c’est bien la plus belle chatte que j’ai eu l’occasion de voir ces derniers temps ! Et je suis sérieux.
Et je ne mentais pas.
Malgré son âge, je trouve cette Claudine consommable. Et voilà que dans mon cerveau germe l’idée de m’exhiber. Je me mets dans l’esprit qu’elle ne serait pas contre de voir une jeune queue. La soupçonnant même d’être en manque de ce côté-là. Je suis aux anges. Je suis au bord de la folie, prêt à tous les risques. Alors sans trop bien réfléchir, je dégrafe alors ma braguette et sors ma queue raide.
Pendant un instant, je me sens même con. Et pourtant, je continue de bander dur. Claudine m’excite exceptionnellement. Le visage de la voisine se colore en rouge, très rouge même. Incontestablement, elle est ébranlée par ce qu’elle voit. Si le scandale devait surgir, c’était alors le moment de se plaindre. Mais elle n’en fait rien.
- Claudine soit gentille, montre-moi ta chatte s’il te plaît !
Et là, elle laisse échapper le torchon de sa main. Et j’ai de nouveau devant mes yeux la chatte à Claudine. Oh, que c’est jouissif ! Oh, que je bande.
J’empoigne ma bite dans la main droite et entame un lent va-et-vient. Quel cran ! Quelle indécence !
Je suis en train de me donner du plaisir devant les yeux, témoins de ma voisine. L’excitation fait vraiment faire de drôle de chose. Ce fut comme un déclic chez la voisine. Venant s’agenouiller immédiatement devant moi.
- Alain… Alain… Tu me fais perdre la tête. Je suis dans l’incapacité de me retenir ! Je suis comme possédée, aimantée par ce que m’exhibe !
- Et bien, laisse-toi aller… Cela restera entre-nous ! Il ne faut jamais résister à la tentation. Et il n’est pas interdit de se faire du bien…
Tandis qu’elle taquine ma queue, elle commence à raconter sa carence d’expérience sexuelle avec Denis. Elle arrête sa confession afin de me donner un petit coup de langue sur le bout de mon gland tout écarlate. Je tressaille un peu, c’est très efficace.
Puis elle gobe ma verge entre ses lèvres et commence une splendide fellation, jouant vicieusement de la langue autour de ma tige veinée. Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps à un tel traitement. Je serre les dents. Il y a des choses auxquelles il faut songer dans pareil cas, pour éviter d’éjaculer.
Mais Claudine est du genre coquin, à sentir que son partenaire est au bord de la jouissance. Alors, elle s’active vicieusement. J’ai même des difficultés à me retenir. En parfaite experte, elle empoigne mes couilles et les masses avec vigilance tandis que sa bouche se fait encore plus ensorceleuse. Je laisse partir un premier jet de sperme. Sa langue caresse charnellement mon gland, je halète. Un autre jet bondit dans cette bouche si accueillante. J’expulse le restant de ma jouissance. Je me sens transporté vers un autre monde, nettement plus ravissant que celui où je vis en ce moment !
Claudine sait y faire avec sa bouche, continuant à choyer ma queue après qu’elle se soit entièrement vidée.
- Je pense qu’il serait bien que tu partes à présent, Alain…
- Pas avant t’avoir rendu un hommage.
- Tu entends quoi à un hommage.
- Je veux sucer ta chatte jusqu’à plus soif !
- Tu blagues ?
- Pas le moins du monde… C’est bien grâce à elle que nous en sommes arrivées là ? Non, je me trompe ?
- C’est que Denis… Peu arriver d’un moment à l’autre…
- Laisse tombé avec Denis, je lui réponds, tout en m’agenouillant devant la belle chatte, humant sa fragrance piquante.
La réaction à mes caresses est assez rapide sur sa personne. Déjà, la cyprine humecte ses lèvres intimes. Je me fais un plaisir d’aller boire à cette source. Claudine soupire d’aise. Ses plaintes ne laissent aucun doute sur la nature de ses émotions. Elles ont ces plaintes quelque chose de rythmique de saccadé elles s’enflent et décroissent brusquement pour remonter aussitôt de plus en plus aiguës.
Mes doigts remplacent ma langue, et commencent à taquiner un petit bouton rose qui s’avère être très sensible. Mon nez remonte dans le sillon fessier où je déniche un petit trou palpitant. J’y fourre ma langue. C’est acide, la sueur me picote la langue et une autre saveur plus amère celle-là. À force de caresse, l’anus cède tout de suite. Je n’ai qu’à pousser un peu. Ma langue glisse comme un suppositoire. Tout cela m’excite, au moins autant que le contact du rectum brûlant qui m’enveloppe ma langue. Sans aucun préavis de sa part, voilà qu’elle m’échappe.
- Viens allons dans la chambre.
-Et Denis ?
-Nous avons du temps !
Encouragé par ses mots, je me laisse entraîner jusqu’à la chambre. Où elle me fait m’installer sur le lit conjugal. Avec une souplesse incroyable pour une femme de son âge, elle vient s’empaler sur moi. Elle ondule autour de ma queue rivée en elle. Visiblement, elle apprécie beaucoup.
- Je ne regrette pas de cocufier mon Denis !
J’aime voir se peindre petit à petit sur son visage la couleur du plaisir puis celle de la jouissance. Je la laisse profiter de moi encore quelques instants. Elle ferme les yeux pour mieux profiter du plaisir qu’elle s’inflige.
- Cela t’ennuierait que je me la mette… Enfin…
- Dans le cul ?
- Oui… C’est ça !
- C’est la première fois ?
- Non… Enfin pas avec un vrai, si tu vois ce que je veux te faire comprendre.
- Je pige, oui !
Toutefois, elle guide sans que mon gland ne faiblisse vers sa sombre entrée, puis quand enfin, elle pense avoir trouvé le bon angle, elle s’assied posément dessus, le faisant entrer lentement, mais sûrement dans ses profondeurs. Elle pousse divers soupirs au fur et à mesure que ma verge disparaît en elle. Puis arrive le moment où tout a été englouti en elle. Elle soupire longuement, l’anus écarté, ses entrailles envahies. Elle demande :
- Toute votre belle verge est enfin en moi…
- C’est très bien ! La sens-tu ?
- Oh oui, je la sens bien ! Elle m’écartèle ! C’est… Ooh ! Puissant ! !
- Très bien ! Maintenant, j’exige que vous remuiez dessus, qu’elle entre et qu’elle sorte, qu’elle aille en toi dans le moindre recoin. Et interdiction de te masturber ! Seulement lors de mon autorisation !
Elle pivote, ondule, se tord autour de mon pieu de chair. Elle le fait sortir un peu pour mieux replonger dessus. Elle halète, elle soupire longuement, mais elle ne faiblit pas, malgré son âge. Soudain, elle accélère son va-et-vient autour de ma verge qui commence à souffrir un peu de ce massage forcené. Elle se pistonne carrément sur ma queue. Comme elle le ferait avec son gode, ou sur un légume !
- Je remue bien mon cul, Alain ?
- Bien, Madame !
- Je vais profiter de ton joujou bien dur pour me défoncer le cul ! Tu ne vois pas d’inconvénient à ça ?
- Humm, non !
- Tu vas me prendre pour une sale petite garce ! Je me trompe ?
- Pas du tout. C’est seulement que tu en as une grosse envie voilà tout ! Tu profites de l’occasion !
-On dira ça !
Et une incroyable chevauchée commence. Autant de mon côté que de l’ardeur qu’elle y met !
Au bout d’un certain temps, je préfère lui demander de se retirer, car je crains que ma queue finisse par subir bien des mortifications, tant cette chevauchée est diabolique !
Claudine libère ma queue. Et s’installe correctement afin de conclure avec sa bouche ! La morte de soif s’exécute à m’offrir une délicieuse sucette. Qui me permet de reprendre contenance et surtout faire que ma verge ne soit plus soumise à un traitement forcené !
Par la suite, j’ai aimé lui donner du plaisir, comme je l’adore elle-même. D’ailleurs autant que sa chatte est poilue. Sans oublier ses lèvres et sa langue, qui sont elles aussi, très douces !
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Un agréable moment avec une vraie femme pleine de désirs
Cyrille
Cyrille
Nul

