Retrouvailles

- Par l'auteur HDS phidnsx -
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Récit libertin : Retrouvailles Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retrouvailles
Cette histoire s’est déroulée il y a quelques années. Je suis conscient que la mise en place de l’histoire peut être un peu longue, mais j’avais envie qu’elle fasse entièrement partie du récit.

Moi, Marc, habitais à Lille. J’y avais emménagé une année auparavant pour suivre ma copine de l’époque avec qui j’étais en couple depuis plus de 10 ans. Malheureusement, nous avons perdu un peu la flamme et c’est après mûre réflexion que nous avons décidé communément de nous séparer. Bref, ce n’est pas le sujet de l’histoire.

A ce moment-là, j’ai 31 ans. Je suis assez sportif et cela m’aide à garder la ligne. Physiquement, je suis brun, 185cm pour 75kg. Style plutôt classique, voire banal. Je ne me mets rarement en avant et je suis assez discret et timide. Je suis ingénieur en micromécanique, ce qui me permet de voyager régulièrement pour le travail.
Comme je ne suis pas originaire de Lille, il m’arrive régulièrement de retourner dans mon village natal de Haute-Savoie.

Lorsque j’étais adolescent, j’étais sorti avec Aline, une fille de mon école. On avait alors 14 ans, l’âge de nos premiers baisers. Elle m’avait alors quitté parce que ses parents trouvaient qu’elle était trop jeune pour avoir un copain et qu’ils lui menaient la vie dure.
Quoi qu’il en soit, on s’est recroisés plusieurs fois dans les années qui suivirent et il y a toujours eu une certaine tension entre nous, comme s’il y avait un champ magnétique qui nous attirait. Comme j’étais en couple, il ne s’est pourtant jamais rien passé. Néanmoins, ma copine en avait peur et pour la rassurer je lui ai promis que je ferai tout pour l’éviter.
Comme je disais, il m’arrivait régulièrement de revenir en Haute-Savoie pour voir ma famille. Après ma rupture, lors d’un de mes retours, des anciens camarades de classe avaient organisé un dîner de retrouvailles. Tous les anciens élèves de la classe étaient invités. Je me suis donc joins à eux pour remémorer les bons souvenirs partagés ensemble. Secrètement, j’espérais également que Aline serait là.

Arrivé sur place, j’ai retrouvé tous mes anciens camarades. Aline était également de la partie. Je la trouvais belle. Cheveux châtain clair (elle n’aime pas qu’on dise qu’elle est blonde), très fine (1m68 pour 55kg) et des yeux bleus qui vous transpercent. Après des études en Sciences Sociales, elle a complètement changé de voie pour ouvrir un cabinet d’esthéticienne.

J’ai salué une à une les personnes présentes et me suis installé avec des amis à un coin de table pour prendre l’apéro. J’observais les gens autour de moi, particulièrement Aline. Elle, de son côté, ne semblait pas me prêter plus d’attention que ça.

Au fil de la soirée, des petits groupes se sont formés selon les affinités. Je suis sorti fumer une cigarette avec deux autres personnes. On discutait dehors lorsque Aline est sortie avec une copine. Elles se sont intégrées à la discussion et pour la première fois de la soirée elle m’a adressé la parole directement. Mon corps s’est électrisé et j’ai à nouveau ressenti ce magnétisme entre nous, bien que la discussion était tout à fait banale.
J’ai appris qu’elle avait eu un enfant et qu’elle habitait avec son copain, toujours dans notre village natal. J’ai également annoncé à tout le monde ma rupture récente. Ça a choqué pas mal de monde qui voyaient en nous le vieux couple solide et indélogeable. Bref, la soirée a continué puis nous sommes rentrés chacun de notre côté.

Quelques jours plus tard, je suis retourné à Lille pour reprendre le cours de ma vie. Lors de mon séjour, j’avais pas mal réfléchi et j’avais décidé que plus rien ne me retenait à Lille et que j’aimerais revenir dans ma région natale. J’ai cherché du travail et j’en ai trouvé un à Annecy. Comme j’étais encore contractuellement bloqué à Lille pour quelques mois, j’ai fait plusieurs allers-retours entre les deux villes.

Lors d’un de ces trajets, j’ai été surpris de recevoir un SMS de Aline. « Hello Marc. Ça m’a fait plaisir de te revoir l’autre soir même si on n’a pas beaucoup parlé. Je suis désolé pour ta rupture mais, maintenant que tu es plus avec ton ex, est-ce que ça te dit qu’on se revoie une fois pour boire un verre et parler peu plus longuement ? »

Je ne savais pas trop quoi répondre à ce message. D’un côté, elle avait un copain et un enfant. D’un autre, ce message n’avait rien d’explicite, si ce n’est qu’elle trouvait sympa qu’on puisse se reparler librement. D’un autre côté (oui, il n’y a pas que deux côtés, ok ?), est-ce qu’elle avait aussi ressenti la même chose que moi, cette petite tension entre nous ? Finalement, je me suis dit que ça ne m’engageait à rien de lui répondre. « Hello. Moi aussi ça m’a fait plaisir. Oui on peut se voir pour un café si ça te dit ? Je rentre semaine prochaine voir mes parents. On peut se capter à ce moment-là ? ». C’est ainsi qu’on s’est donné rendez-vous au café du coin.

On se voit donc le jour J au café. On discute, on rigole, on refait un peu l’historique des 10 années passées sans se voir. La conversation est fluide, il n’y a pas de malaise entre nous. J’en viens à penser que je m’étais fait des films. Au moment de partir, il s’est mis à pleuvoir. Comme elle était venue à pieds, je lui propose de la ramener chez elle. Elle accepte. En cours de route, elle me dit qu’elle aimerait bien qu’on discute encore un peu et propose un tour en voiture. La conversation dérive sur notre relation passée, sur les regrets d’une histoire qu’on n’a pas eue, sur « et si on avait été plus âgés quand on s’est rencontrés ? », etc… On s’est ensuite garés dans un petit chemin forestier et on a discuté encore pendant de longues minutes. Elle a posé sa tête sur mon épaule et on a continué à parler de tout et de rien. Cette proximité m’électrisait, mais je ne savais pas comment réagir. Ma timidité et ma réserve ont pris le dessus et je suis resté impassible. Je l’ai ensuite ramenée chez elle et on s’est quitté par une bise.

Lorsque je suis arrivé à la maison, j’avais déjà reçu un message qui disait simplement « Merci » avec un smiley qui rougit. Je lui ai répondu que c’était chouette et que j’étais encore là quelques jours si elle avait du temps et qu’elle avait envie qu’on se revoie.
Je crois que c’est là que ça a commencé à déraper quelque peu. Elle m’a avoué qu’elle avait ressenti quelque chose en ma présence. Je lui ai avoué que moi aussi j’avais ressenti cette tension, que ce n’était pas nouveau et que ça me faisait ça à chaque fois que je la voyais, depuis notre adolescence.

Je lui ai donc suggéré qu’on coupe les liens, que c’était mieux pour tout le monde car sa famille était le plus important.

Quelques semaines sont passées et je n’ai plus eu de nouvelles de Aline. J’allais bientôt m’installer à Annecy quand j’ai reçu à nouveau un message. « Hello. Je voulais juste te dire que depuis la dernière fois qu’on s’est vus il s’est passé pas mal de choses. Mon copain m’a quittée pour une autre et j’ai déménagé dans un autre appart avec Elias (son enfant). Je sais pas si tu es dans la région ou pas, mais si jamais tu passes par là fais-moi signe et on peut se voir si tu veux ?».

Je lui ai répondu que j’étais dans le Nord et que je n’avais pas prévu de revenir avant 3 semaines, quand je m’installerai à Annecy. Mais que si je revenais au village je lui ferai signe. S’en suivirent une série de SMS, de plus en plus fréquents, de plus en plus intimes aussi.

J’ai ainsi appris que son copain l’avait trompée, qu’elle se sentait délaissée depuis la naissance de leur fils. Elle n’avait plus beaucoup de désir pour son copain non plus, qu’il n’était pas le seul fautif. Je lui ai raconté que mon ex avait été la seule femme que j’avais intimement connue, et que nos relations sexuelles étaient relativement simples et dénuées de fantaisie. Au fil des conversations, elle a laissé entendre qu’elle n’aurait pas refusé un baiser lorsque nous étions dans la voiture. Que l’histoire qu’on n’avait laissée de côté à notre adolescence lui trottait dans la tête. Elle y pensait de plus en plus souvent. Je lui ai dit que je ressentais à peu près les mêmes choses qu’elle et que de mon côté il y avait indéniablement quelque chose qui se passait à chaque fois que je la voyais, à chaque fois que je la lisais.

Un matin, je me réveille avec ce message « J’ai rêvé de toi cette nuit… C’était… Mmmmh ». C’était la première fois que j’avais un message aussi… explicite. « Ha ouais ? et qu’est-ce qui était si… mmmmh ? ». « Tu m’avais préparé un p’tit dèj, c’était extra ! », suivi d’un emoji diable. « ha. C pas vraiment ce que j’imaginais ☹ ». Plus de réponses pendant un moment. Puis…
« Mais non, tu te doutes bien que c’était pas ça… »
« Alors vas-y. T’en as déjà trop dit pour ne pas continuer »
« Il pleuvait, on était dans ta voiture sur la route forestière. J’avais ma tête sur ton épaule. Tu as posé ta main sur la mienne et tu as caressé doucement ma main. J’ai relevé la tête et j’ai croisé ton regard. Je t’ai fixé de mes grands yeux. Tu m’as regardée, puis tu as approché ton visage. Nos nez se touchaient presque. Tu as doucement fermé les yeux et… je me suis réveillée »
« Quoi ? non c’est pas vrai, suis sûr que tu mens »
« Ha bon ? Pk ? Tu crois qu’il s’est passé quoi ensuite alors ? »
« Okay… je ferme doucement les yeux. Mes lèvres se rapprochent des tiennes. Je t’embrasse, mais je suis hésitant. Un baiser. Puis un autre. J’attends que tu réagisses, d’être sûr qu’on soit sur la même longueur d’ondes. A ton tour, tu t’approches, m’embrasses, passe ta main derrière ma nuque. Ça y est. On s’embrasse vraiment. Un baiser doux mais fougueux à la fois. Comme quand on était ados ou presque. Je change de position pour pouvoir passer ma main dans ton dos, atteindre ta nuque. Ma bouche quitte te lèvres et embrassent ta joue, puis ton cou. Tu frissonnes et… ton téléphone sonne… Quel dommaaaaaaaaage ^^ »
« Je raccroche ce putain de téléphone et je le mets sur silence. Tu reprends tes baisers sur ma nuque. Je te caresse le dos, la nuque. Ma main passe sous ton t-shirt. Je sens la chaleur de ta peau sous mes doigts. Je sens aussi un frisson te traverser le corps. Tout en continuant tes baisers, tu remontes mon t-shirt et me l’enlèves. J’en fais de même pour toi. Ta bouche descend encore le long de mon épaule, sur l’avant de mon buste. Tu passes la main gauche par-dessus mon corps et agrippes la poignée du dossier du siège passager. D’un coup, je me retrouve allongée sur le dos. Tu te penches sur moi et… Une voiture arrive par l’arrière ! »
« Ha ouais c’est vrai, y a une voiture. Bon, je te ramène chez toi alors… »
« Hééééééé ! t’as pas le droit de finir ça comme ça… »
« Ben j’y peux rien, y avait une voiture… »
« Okay. Alors tu me ramènes. Arrivée à la maison, je m’allonge sur mon lit et je retrouve ma chenille préférée. Tant pis pour toi ! »
« Ta chenille ? »
« Fais travailler ton imagination… »
« Mhhh. Mon imagination m’a emmené loin dans mon plaisir solitaire en tout cas. »
« Pareil. Bonne nuit ^^ »

Les jours suivants, on ne s’est échangé que quelques banalités, mais avec beaucoup plus de tendresse qu’auparavant.

J’ai finalement emménagé à Annecy. Ça m’a permis de me rapprocher à nouveau de ma famille et, par la même occasion, de Aline. Je lui ai annoncé que je passerai ce week-end chez mes parents. Du coup, si elle voulait et qu’elle pouvait, on pourrait se voir. Elle m’a proposé d’aller faire un tour en voiture. J’ai immédiatement dit oui, en repensant à nos échanges précédents.

Le jour J, je passe la chercher devant son institut. On parle de choses et d’autres, de banalités, du temps, du travail, etc… Elle me dit également qu’elle essaie de se faire un fichier Excel pour la gestion de ses client(e)s. Ayant quelques connaissances en Excel, je lui propose donc mon aide pour mettre en place son fichier. On continue notre route. On emprunte des petites routes et on roule tranquillement au fil des virages. A un moment, sa main vient se poser sur la mienne. Une décharge électrique me traverse tout le corps par ce simple contact. Elle prend ma main et la pose sur sa cuisse. On ne dit plus un mot, mais la tension se ressent dans toute la voiture. Je décide de me garer dans un petit chemin de campagne, où la circulation est quasi nulle. A peine le moteur éteint, elle m’embrasse goulûment. Le baiser est fougueux, passionné. Je recule le siège conducteur et elle se met à califourchon au-dessus de moi. Pendant que nous continuons à nous embrasser, mes mains se baladent dans son dos, contre sa peau douce et chaude. Elle retire son pull mais garde son t-shirt. Mes mains continuent d’explorer son dos, dégrafent son soutien-gorge. Elles descendent pour atteindre ses fesses. Son jeans n’est pas très serré et j’arrive aisément à passer ma main dessous. Elle trouve un tanga en dentelles. Mes doigts parcourent la lisière du tissu et je sens sous mes doigts son corps réagir par de légers frissons.

Pour sa part, Aline a réussi à faufiler sa main sous mon t-shirt et me caresse le torse. Elle est de plus en plus entreprenante et ses mains descendent sur mon ventre, à la bordure de mon jeans, où je commence à être un peu à l’étroit. Elle ouvre le bouton et le zip. Elle passe sa main sur mon boxer et caresse pour la première fois mon sexe en érection.

A mon tour, je déboutonne son jeans et le descends aussi bas que la position le permette. Je relève un peu son corps pour faciliter la manœuvre et me retrouve avec mon visage à la haute de sa poitrine. J’en profite pour remonter son t-shirt et enlever entièrement son soutien-gorge. Ses seins ne sont pas très gros, mais garnis de larges aréoles et de tétons bien durs. Je tends la pointe de la langue pour titiller encore plus ces pointes érigées. Pendant que ma bouche s’occupe de ses seins, ma main est passée entre nous deux. Sous mes doigts, je sens la chaleur et l’humidité au travers du fin tissu. Mes doigts se promènent le long de l’élastique, puis passent en-dessous. Je rencontre un mont de vénus complètement lisse. Je continue à descendre jusqu’à trouver des grandes lèvres gorgées de sang. Lorsque mon index s’insinue entre celles-ci, Aline pousse un gros soupir et passe sa main sous mon caleçon. La douceur de sa main, l’excitation et la situation ont fait que j’ai failli avoir un orgasme directement. J’ai heureusement réussi à me contrôler et à me calmer.

Pour éviter de venir trop vite, j’ai calmé un peu la situation en lui demandant de retourner sur son siège. J’ai reculé, puis baissé le siège au maximum. Elle s’est retrouvée allongée sur le dos, t-shirt remonté jusqu’au cou, jeans baissé jusqu’aux genoux. A mon tour, je me suis mis au-dessus d’elle. Je l’ai embrassée, puis me lèvres sont descendues le long de sa nuque, son épaule. J’ai continué vers son sein droit. Ma langue a fait un tour de son téton. Puis j’ai repris mes baisers. Je suis descendu vers son ventre, son nombril. Je suis remonté entre ses seins. Mes lèvres ont entouré son téton droit que j’ai légèrement suçoté. J’ai ensuite à nouveau embrassé son ventre et je suis descendu encore plus bas. J’ai passé mes mains sous l’élastique de son tanga, que j’ai commencé à baisser doucement. A chaque centimètre, je léchouille, j’embrasse, je souffle, je frôle sa peau. Je vois sa chair de poule, je sens son souffle qui s’accélère, qui s’impatiente. Je baisse encore son ultime rempart jusqu’à découvrir entièrement le fruit de mon désir. Ma langue s’insinue lentement entre les lèvres. Plus je descends, plus je sens la chaleur et l’humidité de son sexe. Je descends très, très lentement. Aline a arrêté de respirer. Au moment où j’atteins enfin son clitoris, toute la tension accumulée, toute la frustration se déchargent dans un râle de contentement qui m’excite encore davantage. Je ne suis plus dans la retenue. Je lèche, j’aspire, je goûte le jus de ce fruit si délicieux. Mes doigts me viennent en aide et s’enfoncent facilement dans sa chatte. Ils entrent, sortent, caressent l’entrée, entrent à nouveau, explorent l’intérieur, caressent, toujours à la recherche de ses réactions, toujours en quête de ce nouveau corps que je veux apprendre à connaître. Aline me tient maintenant plaqué contre son clitoris. Je fais de mon mieux pour continuer à lui donner ce plaisir. Le travail commun de mes doigts et de ma langue finit par la faire exploser dans un dernier râle de jouissance, accompagné des longues contractions de tout son corps.

Je retourne sur mon siège conducteur, tout en caressant doucement ses cuisses, son ventre, son visage. Je l’embrasse tendrement et lui fais savoir que je la trouve belle, qu’elle a un pouvoir érotique complètement déstabilisant pour moi.

Après un retour au calme plein de tendresse, il est l’heure de la ramener chez elle. Un baiser plus tard, je la regarde s’éloigner de ma voiture. Putain qu’elle est belle.
J’espère que cette histoire vous a plu. Si c’est le cas, je me ferai un plaisir de vous raconter la suite de cette histoire dans une prochaine publication.

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