Saga Africa pour Olga (2)

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Saga Africa  pour Olga (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Saga Africa pour Olga (2)
Série « Textes en commun »

Chapitre 2 : deux couples complices


Avertissement : le chapitre 1er de ce texte en commun est paru sous la signature de Micky, le 17 mars 2023.

***

Après cette entrée en matière de leur séjour très chaude, Philippe et Olga se promènent dans les environs de l'hôtel pour reconnaitre les lieux. Ils croisent le couple belge qui procède à la même reconnaissance et Philippe décide de faire le premier pas en les abordant. Il a entendu leur nom à la réception, M. et Mme Lambert. La glace se rompt très vite en vacances... surtout par temps chaud. Elle s'appelle Frida, lui Eddy "comme Merckx" dit-il en souriant. Ils sont Flamands, vivent à Gand. Ils sont bilingues. Ils ont pris eux aussi le temps de se changer. On ne peut pas dire qu'ils soient très élégants. Il porte un bermuda qui découvre ses jambes fortes mais blanches et poilues; elle une robe bustier qui fait remonter sa poitrine opulente, moule son fessier rebondi et révèle également des cuisses puissantes. Olga se sent un peu frêle et menue en comparaison. Mais comme souvent les Belges, ils sont ouverts et le contact se fait rapidement.

Tout en marchant vers l'hôtel, les deux couples se confient. Les Lambert sont habitués de l'Afrique et découvrent eux aussi cet hôtel et ce lieu magique. Lorsque Philippe leur demande ce qui leur plait particulièrement au Sénégal, Frida lui adresse un sourire mutin :

• Les hommes et les femmes. Ils sont très beaux.

Philippe et Olga opinent du chef. Voilà au moins des touristes qui ne sont pas racistes.
Au dîner, ils décident de faire table commune. La conversation devient plus abondante, plus intime même. Olga est frappée par le regard de Frida dès qu'un serveur s'approche d'eux. Il est luisant de désir, elle semble captivée. Olga comprend que la Belge n'est pas seulement venue en Casamance pour les beaux paysages. Et tout porte à croire qu'Eddy ne fera rien pour la contrarier. Olga décide de se jeter à l'eau tandis que les deux hommes parlent en aparté :

• Ce serveur est magnifique. J'en ferais bien mon quatre heures.

Frida la regarde, l'œil brillant :

• Je vois qu'on a les mêmes goûts. Moi, ce serait plutôt un cinq à sept. Pour en profiter un max.
• J'en conclus que vous avez une certaine expérience en la matière.

Frida glousse. Et dit presque en chuchotant.

• Vue la tournure que prend notre conversation, je crois qu'on peut se tutoyer. Oui, je ne suis pas venue ici uniquement pour bronzer. En fait, on est là pour les trois b : bronzer, bouffer et baiser.
• Nous aussi, répond Olga, mezzo voce, à tel point que les deux hommes ont interrompu leur conversation.
• Qu'est-ce qu'elles se racontent, nos femmes ? demande Philippe.
• Des histoires de femmes, répond Olga.
• Alors, ça doit être coquin pour que vous soyez aussi discrètes.

Les deux épouses rient de bon cœur, sans démentir. Puis la conversation reprend sur des bases plus classiques. Mais Olga sait désormais qu'elle aura avec Frida une complicité qui donnera du sel à son séjour.
Après le repas, ils vont dans le salon écouter un pianiste de jazz. Mais Olga remarque qu'Eddy se lève et va discuter avec le serveur. Il revient tout sourire et dit succinctement à son épouse :

• Madame sera servie.

Sans plus d'explication à l'intention de l'autre couple. Mais Olga a compris.
L'heure est venue d'aller se coucher. La nuit est tombée vite, comme toujours sous les tropiques. Après avoir regardé un programme de télévision sans intérêt, Olga va profiter sur la terrasse de l'air si particulier de l'Afrique le soir. Elle sait que la suite des deux Belges est contiguë à la leur. En se penchant, elle voit que leur baie vitrée est également ouverte. En tendant l'oreille, elle perçoit des bruits qu'elle connait bien. A l'évidence, on fait l'amour à l'intérieur. Mais les halètements, les soupirs émanant d'une gorge féminine se muent rapidement en exclamations, en cris de plaisir. Frida baise, mais avec qui ? Tout s'éclaire quand elle entend la voix d'Eddy :

• Mets-la dans son cul maintenant !

Le serveur, puisque ça doit être lui, baise Frida devant son mari candauliste. Révélation... et confirmation. La Belge couine, s'exclame :

• Oui, oui, vas-y, encore, c'est bon !

Le rapport sexuel est si fougueux qu'Olga entend clairement le claquement des peaux. Elle prend son pied, la Frida ! Olga sent alors une main s'insinuer entre ses cuisses. Philippe est venu dans son dos pour profiter lui aussi de la scène érotique autant qu'auditive dans la pièce voisine.

• Dis donc, ça te fait de l'effet, ce qui se passe à côté, dit-il à son épouse à l'oreille. Tu aimerais bien être à la place de Frida, hein, avoue-le.

Comment le démentir ? Olga ruisselle littéralement. Elle se retourne et découvre Philippe nu, en érection. Elle s'accroupit et le pompe avec la même énergie que quelques heures plus tôt, tout en entendant Eddy dire :

• Allez, encule-la, elle aime ça, cette salope !

Cette fois, Olga n'y tient plus. La pipe, c'est bon un moment mais il lui faut maintenant du concret, du dur. Et Philippe est dur. Elle l'entraine sur le vaste lit, nue à son tour et la sarabande commence. Pendant que Philippe la besogne, elle clame son plaisir suffisamment fort pour que les protagonistes de la suite voisine l’entendent. Elle prend les choses en main, si on ose dire, en déclarant à haute et intelligible voix comment son mari doit la baiser. Elle veut que les Belges les entendent jouir. Et comment ils jouissent. Pas question de sembler en retrait. Olga dira aussi "encule-moi" à Philippe. Il est probable que le serveur noir s'est déjà éclipsé quand le couple français achève ses ébats. Olga force un peu sur le râle de satisfaction et complimente bruyamment Philippe :

• Merci chéri, c'était génial ! Tu es un amant merveilleux.

Très probable qu'Eddy et Frida auront entendu cet hommage à la virilité de leur voisin. Et c'est le cœur léger, le corps apaisé, qu'ils s'endormiront quelques minutes plus tard.

***

Alors qu’Olga, satisfaite, s’était endormie rapidement, Philippe avait eu du mal à trouver le sommeil. Il était très fier de sa prestation de ce soir. Olga avait pris son pied comme rarement, même s’il savait que ça ne lui suffirait pas et qu’il faudrait très vite passer à la vitesse supérieure. Mais s’il avait choisi ce lieu de vacances, c’était pour ça. Il avait d’ailleurs lui aussi envie de voir sa chérie se faire démonter par des mâles vigoureux. Il comptait bien qu’elle n’ait guère de répit dans sa recherche du plaisir.

Philippe n’avait que rarement rencontré un autre couple qui, comme lui et Olga pratiquait le candaulisme. C’était le cas d’Eddy et Frida. Et puis, il devait le reconnaitre, lui qui appréciait les femmes à forte poitrine, Frida l’attirait. Il était certain qu’elle devait exceller dans la pratique de la branlette espagnole et la cravate de notaire. Or, Olga, même si seins, très érogènes, s’étaient développés avec ses grossesses, affichait du 90B. Philippe se demandait quelle était la taille de la poitrine de Frida. Alors qu’il bandait, il se dit que ça devait être au moins du 100D. Seulement, il allait falloir jouer serrer, car, si lui partageait bien volontiers la belle Olga, il n’y avait pas de réciproque. Olga était envers lui possessive, très jalouse, une vraie tigresse. Il se souvenait de précédents qui avaient failli très mal finir.

Comme dans toutes ces régions tropicales, le lever du jour intervient tôt au Sénégal. En ce mois de février, c’était un peu avant 7h30, pour un jour qui durait un peu moins de 12h00. Olga dormait encore profondément. Philippe renonça avec regret à sa pipe matinale. Sans faire de bruit, il se prépara, se vêtit d’un short et d’une chemisette. La température était supportable. Au bord de la grande piscine, Eddy, seul lui aussi, prenait déjà son petit déjeuner, en fait s’était abondamment servi au buffet. Il fit des grands signes à Philippe. Avec son accent, son ventre bedonnant et son short à fleur, Eddy n’était pas du genre discret :

• Salut, Philippe, viens donc t’assoir avec moi !

Philippe le trouva lourd dans tous les sens du terme, mais Eddy était un passage obligé et un complice pour ce séjour. La veille, il lui avait expliqué qu’ils venaient chaque année et donc connaissait tout le monde à l’hôtel et au village à proximité. Il avait ajouté, avec un rire gras :

• Tu peux pas imaginer le nombre qui sont passés sur ma Frida !

Philippe accepta donc l’invitation d’Eddy, se contenant de commander un café. Il prendrait le petit déjeuner plus tard, avec Olga.

• Frida dort encore ?
• Normal, avec ce qu’Issa lui a mis hier soir ! Deux heures qu’il l’a démontée. Des vraies forces de la nature ces types.
• Nous avons entendu. Ca a émoustillé Olga !
• Et tu en as bien profité, mon salaud !
• C’était super, mais je sais qu’elle a besoin d’autre chose, de plus. Je suis venu ici pour ça ! Je veux qu’elle en profite à fond. Mais, dis-moi, tu as un sacré appétit le matin !
• Que veux-tu ? Moi, je viens ici pour bouffer, Frida, c’est pour baiser !
• Elle a un sacré caractère ta Frida.
• Tu veux dire qu’elle n’en a jamais assez, plutôt. Mais, de ce que tu m’as dit hier, j’ai compris que ton Olga il ne faut pas lui en promettre non plus !
• Pour un candauliste comme toi et moi, avoir une épouse hypersexuelle, c’est une chance !
• Il y a bien fallu que j’accepte, je ne veux pas qu’elle me quitte. Je fais donc tout pour répondre à ses besoins. Et à ce propos, j’ai un truc à te demander.
• Je t’écoute.
• Je vais être direct : tu lui as tapé dans l’œil, à ma Frida ! Elle m’a dit hier soir « le Français, je le veux »
• Frida est le genre de femmes qui m’attire. Il y a juste un problème, mais il est de taille : Olga n’est pas partageuse ! Elle n’accepte pas que j’ai de relations avec d’autres femmes.
• C’est un problème, mais il y a peut-être une solution : faudrait qu’elle soit bien occupée, si tu vois ce que je veux dire.
• Je vois. Que proposes-tu ?
• A l’hôtel, Olga a été très remarquée. Issa nous en as parlé hier soir. Il nous a dit texto « la Française nous fait tous bander »
• A la bonne heure !
• J’ai le numéro de mobile d’Issa. Si tu en as besoin, il attend ton coup de fil
• J’en ai besoin, ou plutôt Olga en a besoin. Et quelle plus belle manière de la réveiller que de lui offrir un étalon ?
• Et je peux te dire de notre expérience qu’Issa est un excellent choix.

Et Philippe, ayant récupéré le numéro, appela Issa. Le Belge lui avait promis de faire l’intermédiaire et lui avait garanti que le mari l’appellerait. Issa informa Philippe qu’il était libre, ne reprenant le service qu’en fin d’après-midi. Philippe lui demanda de venir dès que possible. Il serait là dans moins d’une demi-heure.

• Affaire vite conclue, bravo Philippe ! J’aimerais te demander une chose.
• Vu le service que tu viens de me rendre, n’hésite pas !
• C’est un peu particulier. Tu crois qu’Olga serait contre si Frida et moi on venait dans votre suite pour mater ?
• Au contraire, dans ces moments-là, Olga aime avoir des témoins de son plaisir, se donner en spectacle.

Issa n’a pas laisser passer l’occasion et il est fier d’être le premier à se faire la jolie Française qui fait fantasmer le personnel masculin.

Issa a une vingtaine d’années, il mesure près de deux mètres, il est musclé et, sous son short, c’est un engin impressionnant qui est déjà au garde-à-vous !

***

Discrètement, pour ne pas se faire repérer, Issa suit Philippe vers la grande suite. Philippe ouvre la porte sans faire de bruit, fait signe à Issa d’entrer, puis referme la porte derrière eux, sans omettre de placer le panonceau « do not disturb ». Il ouvre légèrement la baie vitrée pour que, le moment
Venu, Eddy et Frida puissent venir et bénéficier du spectacle.

Olga dort encore. Son réveil va être chaud ! A voix basse, Philippe dit à Issa :

• Mets-toi à poils  et approche du lit !

Philippe enlève doucement le drap, découvrant le corps de son épouse qui dort nue. Philippe commence par donner de petits bisous sur le visage et les lèvres d’Olga, alors que ses mains caressent le corps de la belle quadragénaire.

• Hum, mon chéri, tu es un monstre de ne pas me laisser dormir ! Tu n’en n’as donc jamais assez !
• J’ai une surprise pour toi, mon amour !

***
Encore dans les brumes du sommeil, Olga sursaute. Un homme noir est assis sur son lit ! Nu ! La présence derrière lui de Philippe la rassure aussitôt, d'autant qu'elle reconnait le serveur. Son premier réflexe est de tirer sur le léger drap pour recouvrir son corps dénudé.
• Chérie, voilà Issa, pour te servir, glousse Philippe.

Alors, Olga comprend. La spectaculaire érection du serveur ne laisse aucun doute sur ses intentions. Posée sur un coude, Olga prend le temps de détailler le corps du jeune homme. Sa bandaison est surmontée d'un damier abdominal comme elle a peu vu dans son lit. Vraiment un torse superbe avec des pectoraux saillants en prime. Le sourire éclatant du Noir évacue le peu de réticences qui lui restent. Le drap a glissé, révélant ses seins aux pointes érigées. Issa glisse une main sous le drap à la recherche du sexe d'Olga. Elle regrette de ne pas avoir eu le temps de prendre une douche mais ce n'est pas le genre de considération qui va freiner le désir du jeune Africain. Ni le sien, qui monte en flèche.

Vivement, elle repousse le drap, se met à genoux sur le matelas, prend entre deux doigts le pénis plantureux, en apprécie la dureté, se penche et embouche le gland, non sans difficulté tant il est volumineux. Pourquoi faire des manières ? C'est aussi ce que Philippe veut, non ? Elle n'est pas venue pour ça au Sénégal ?

Précisément, Philippe est passé derrière elle et pendant qu'elle pompe, a glissé une main entre ses cuisses pour la préparer à l'introduction massive qui suivra inéluctablement. Quel réveil ! Olga jubile déjà. Tout en suçant, elle soupèse les couilles extraordinairement lourdes du serveur. De quelles quantités de sperme sont-elles remplies ! Puis Olga se redresse, offre son premier baiser aux lèvres charnues du jeune Noir et lui dit :

• Prends-moi maintenant. Je suis prête.
Elle bascule en travers du lit, cuisses ouvertes, regarde Philippe tendre un préservatif à Issa qui l'enfile non sans difficulté tant son chibre est gonflé. Elle le taquine du bout de ses orteils et dit :

• Tu es magnifiquement monté. Mais ne jouis pas trop vite, hein ?

Issa pose ses mains de chaque côté de la tête Olga et trouve facilement sa cible, comme si la tête chercheuse a été aimantée par la vulve offerte. Il sait doser sa pénétration, résiste à la pression des talons d'Olga sur ses reins qui le veut en entier et laboure savamment, sans hâte, mais profondément. Etonnante maturité sexuelle chez un si jeune homme. En Afrique, on sait faire l'amour, pense Olga. Philippe voit sa femme écarquiller les yeux, ouvrir grand la bouche et lâcher quelques borborygmes qui témoignent de l'intensité de cette pénétration. Les "floc floc" des deux sexes joints constituent désormais le fond sonore avec les jappements d'Olga, laquelle fixe le regard du jeune Noir pour y lire le plaisir qu'elle y prend elle-même.

Pendant qu'Issa besogne dur, les deux Belges se sont glissés aisément dans la terrasse voisine de la leur et découvrent l'accouplement par la baie vitrée préalablement ouverte par Philippe. Olga ne les voit qu'au moment où elle se met à quatre pattes pour se faire prendre par derrière. Cette présence fait monter d'un cran son excitation. Elle va démontrer à Frida qu'elle n'est pas la seule à jouir des peaux d'ébène. Elle croise son regard au moment où Eddy a relevé sa courte robe pour glisser sa main entre ses cuisses et la caresser. La Belge a la langue entre les lèvres et se triture les pointes de seins qu'elle a découverts. Olga lui sourit avant de lâcher une exclamation de plaisir. Issa a été très loin en elle et la secoue de sa bite puissante.

• Oui, c'est ça, comme ça, vas-y, t'arrête pas ! Parvient-elle à articuler.

Une bite tendue vint alors à hauteur de sa bouche. Celle de Philippe. Olga l'embouche aussitôt. Elle adore être prise ainsi par les deux bouts de son corps, surtout quand son mari est l'un des protagonistes. Il devait être très excité car il éjacule vite dans sa bouche et elle avale le tout avec volupté. Puis elle continue à remuer sa belle croupe avec ardeur, allant à la rencontre de la grosse bite qui la fouille tout en jetant un œil sur le couple belge, qui s'apprête visiblement à copuler sur la terrasse. Frida a la robe retroussée à la hauteur de ses gros seins et Eddy est collé derrière elle, peut-être déjà fiché en elle.

Mais tout évolue quand Olga bascule sa tête entre ses bras pour découvrir par en-dessous le travail de la bite d'Issa, source de son plaisir. Elle voit les grosses couilles balloter en cadence et cette vision lui déclenche illico un violent orgasme. Elle se cabre, gémit, son corps de couvre de chair de poule et entraine en même temps l'éjaculation massive d'Issa, qui couine drôlement. Le couple reste encore uni dans cette position, ce qui permet à Olga de vérifier sa supposition, à savoir qu'Eddy, short aux chevilles, baise Frida debout en lui pétrissant les nichons dans l'ouverture de la baie vitrée, la femme se cramponnant au montant pour ne pas basculer en avant. Coït fougueux, acrobatique, mais bref. Eddy répand son sperme sur son short baissé tandis que Frida éclate de rire devant la situation, il est vrai peu banale.

Tout le monde se retrouve dans la chambre, plus ou moins habillé, pour commenter ces ébats matinaux. Issa s'est déjà éclipsé, laissant les clients entre eux. Olga file à la douche, suivie de Philippe, tandis que les deux Belges réintègrent leur bercail. Ils se sont donné rendez-vous dans la salle du petit-déjeuner.

C'est devant thé et café qu'ils évoqueront le reste de leur journée. Comment l'occuper ? Olga et Philippe s'en remettent à l'expérience africaine des deux Belges. Le tourisme peut-il s'accompagner d'activité sexuelle renouvelée ? C'est ce qui trotte dans la tête du couple français.

(A suivre)

Les avis des lecteurs

Merci Micky!

Merci aux commentateurs (trices) de leurs avis bienveillants. Le chapitre 3 (le dernier) a été envoyé et paraitra ces prochaines semaines. Patience !

Merci Luc!

Histoire Erotique
Avoir, sur un même texte, la plume d'Olga et de Micky, quel bonheur!
Luc

Steph et JP, ravie de vous revoir ici!

Histoire Coquine
Waouh, ça donne envie!
Steph et JP (de retour, rien que pour les textes d'Olga)

Merci Julie!

Histoire Libertine
Micky et Olga, deux des meilleurs auteures de ce site!
Merci pour ce texte en commun
Julie

@ Didier, comme toujours des commentaires très pertinents. Merci beaucoup
Oui le prochain chapitre permettra de savoir si la complicité va perdurer entre les deux couples candaulistes ou s'il va y avoir un clash, car je ne suis pas partageuse

Histoire Erotique
Olga, Micky,
C’est une très belle suite, très torride.
Il n’a pas fallu longtemps pour que les deux couples fassent connaissance et deviennent complices.
Le hasard faisant bien les choses, les belges sont aussi candaulistes.
Habitués des lieux, ceux-ci ne tardent pas à entrer en action le soir même avec un autochtone.
Philippe, ayant dans le même temps réussi à contenter son Olga, n’est pas en reste et offre à sa bien-aimée son premier amant dès le lendemain matin, sous le regard voyeur et connaisseur des belges.
Comme la question est posée, de comment s’occuper désormais, Olga et Frida n’auront-t-elle pas une relation saphique entre deux ébats candaulistes?
Avec son « Les hommes et les femmes. Ils sont très beaux. » Frida ne serait-t-elle pas elle aussi bisexuelle ?
Cependant une question me taraude, cette complicité, va-t-elle durer ?
Ne va-t-il pas y avoir dès lors une compétition, une rivalité opposant Olga et Frida pour avoir le plus d’amants possible?
De plus, pressentant qu’Eddy va tout faire pour satisfaire l’envie de Frida dans son désir de conquérir un Philippe pas si insensible à ses charmes, cela ne risque-t-il pas de provoquer la fureur d’une Olga connue pour être d’une excessive jalousie ?
J’ai vraiment hâte de lire le prochain chapitre afin de découvrir la suite de cette épopée africaine…
Didier

Je rappelle que, selon le principe d'alternance, le chapitre 1 est paru sur la page de Micky et que la suite paraîtra chez elle. Je redis le plaisir que j'ai eu à écrire é avec elle ce texte de fiction.



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