Samedi 16 juin 1986 - Matilde
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Samedi 16 juin 1986 - Matilde
Je n’avais aucune raison et aucune chance de revoir Mathilde. Mais en juin 1986, alors que nous étions en pleins travaux sur l’autoroute et que j’étais à mon bureau, la secrétaire à l’accueil me demande si je peux recevoir Mme Matilde D, …. Choc – que vient faire Matilde ici – « Oui, bien sûr, je l’attends »A peine entrée, un joli sourire aux lèvres : « Bonjour Jean, j’espère ne pas te déranger, … »Wouah, surprise, Mathilde, presque méconnaissable, … vêtue d’un manteau sport beige, et surtout chaussée d’escarpins, alors que je l’avais toujours connue en connu en ballerine, elle avait encore embellie par rapport à mes souvenirs qui remontèrent à toutes vitesses à la surface.
Moi : « Non, bien sûr, content de te voir, tu es toujours aussi belle, … non, de plus en plus belle, … »Matilde : « C’est gentil, …t’es toujours aussi flatteur, … mais, j’espérais mieux, … » et ouvrant sa veste, qui dégagea le joli décolleté de son corsageMoi : « Oui, … tu es toujours aussi désirable, …Matilde : « C’est mieux, … mais j’attends mieux de toi, … » ouvrant un autre bouton de son corsageMoi : « Bon, … tu as gagné, … tu es toujours aussi baisable, … c’est ce que tu voulais entendre, … » et là elle se précipita dans mes bras avec : « Oui, … si tu le penses vraiment, …j’attendais ça, … serres moi fort dans tes bras, … oui, … très fort, … » Nous étions scotchés l’un à l’autre et elle leva son joli museau, les lèvres légèrement ouvertes et me dit : « Embrasses moi, … OH, … embrasses moi, … » Nos lèvres se rencontrèrent et se retrouvèrent, ainsi que nos langues. Elle était ouverte : « En me préparant pour venir, … j’ai pensé à toi, … je me suis préparé pour toi, … et J’ai une surprise pour toi, … on ne sera pas dérangé, … »Moi : « Non, … le samedi on est tranquille, ne t’inquiètes pas, … mais qu’as-tu manigancé, … »Matilde : « Le troisième bouton de ma jupe, … » Je devinais un peu, mais, … je glissais une main jusqu’au troisième bouton et le défaisais, ce qui me permit de rentrer dans la jupe et là, j’arrivais au niveau de son minou qui vint se poser dans le creux de ma main. Les jambes s’écartèrent et j’eu ainsi accès à sa chatte, ses grosses lèvres semblaient gonflées et étaient légèrement humides : « Tu vois, … je me suis préparée pour toi, … caresses moi, … j’en ai tant envie, … » et je m‘exécutais avec plaisir, pensant que si elle était comme elle semblait être, c’est à dire prête, ouverte et surtout demandeuse, ce serait agréable de passer un moment ou plus avec elle. C’était le moment de la satisfaire et de la faire jouir, car elle était venue pour ça. Après quelques caresses du bout des doigts, ce que j’attendais arriva : « Arrêtes prends moi, … rentres, … je n’attends que ça, … oui, … » exécution et les cuisses s’ouvrant encore, deux doigts la pénétrèrent, alors que son bassin se poussait vers mes doigts, je commençais à la masturber d’abord doucement, le temps que je sente que sa chatte soit bien mouillée et bien ouverte et qu’elle demande : « Oui, … j’aime te sentir, … fais-moi jouir, ... je suis venue pour ça, … OOOOHHHH, … OUIIIIII, … continues, … OUIIIII, … » et son bassin se propulsa sur mes doigts alors qu’elle était saisie d’un brutal spasme, que ses cuisses s’ouvraient et se refermaient sur ma main. Enfin, tout se calma, cramponnée à moi elle reprit son souffle : « Embrasses moi, … j’ai aimé, … je vais m’occuper de toi, … »Moi : « Ici, cela me parait impossible, … »Matilde : « Tu ne veux pas, … tu n’as pas envie, … »Moi « Bien sûr que si, … on verra plus tard, … assieds-toi, … un café, … »De retour avec deux cafés, assise à la table de réunions, elle s’était calmée.
Moi : « Dis-moi comment tu es ici, … je croyais que Paul avait été muté à Lille, … »Matilde : « Oui, … Quand tu es parti, le chantier de Paul devait se terminer vers juillet, en mars, nous avons eu la confirmation de deux informations. Il y a eu l’avenant qui prolongeait notre séjour pour pratiquement deux ans, à condition que Paul reste comme responsable travaux, … »Moi : « Donc bonne nouvelle, et , … »Matilde : « Confirmation que j’étais enceinte, … »Moi : « Vous deviez être contents, … »Matilde : « Content d’un côté, oui, … d’un autre non, … car à six mois, donc en juin, toi tu étais parti fin décembre, je devais rentrer en France pour accoucher en septembre, … alors que Paul serait reparti, … »Moi : « Et à quoi ressemble ta progéniture, … »Matilde : « Une fille, … très mignonne, … et toi que deviens-tu, … »Moi : « Rien, … le chantier, le chantier, … »Matilde : « J’ai cru entendre que AL et toi vous vous étiez séparé, … »Moi : « Exact, … mais on reparlera plus tard, … si tu veux, … mais comment se fait-il que tu sois ici, … »Matilde : « En arrivant à Lille, après notre installation, j’ai repris mon travail d’infirmière, … et j’ai la possibilité de faire une spécialisation en anesthésie, … à Lyon, … »Moi : « Félicitations, … »Matilde : « Lille – Lyon plus de 700 km, … en regardant la carte, … un arrêt à Nancy serait le bienvenu, et comme a dit Paul, si tu vois Jean, remercies le pour son aide et ses conseils … »Moi : « Tu remercieras Paul, Mais je n’y suis pour rien, c’est son travail. Tu envisages de partir quand, … »Matilde : « C’est toi qui décides, … »Moi : « Arrêtes de jouer, … bon, à quel moment es-tu obligée de partir, pour être à tes cours, … »Matilde : « Je dois être Lundi matin à Lyon, … en partant Dimanche, je serais dans les temps, … »Moi : « Cela veut dire que tu peux rester jusqu’à dimanche après-midi, … »Matilde avec un large sourire : « Tu raisonnes juste, … mais tout dépend de toi, … »Moi me levant et passant derrière elle et prenant ses seins à pleines mains : « Je pense que je vais te donner une fessée, … tu loges où, … » Matilde : « Au Newhôtel, …chambre 212, … »Moi : « Je serais là-bas vers 6,00 heures et je t’invite à diner, … »Matilde se levant et venant contre moi : « Je t’attends, … je vais me préparer pour toi, … et je m’occuperais de toi, … comme tu aimes, … je t’attends avec impatience, … » et refermant sa veste, elle partit en remuant de façon suggestive son joli cul.
Honnêtement en attendant la débauche à 5,00 heures je ne fis pas grand-chose.
L’heure ayant sonnée, je filais dans mon appartement, douche, tenue décontractée, … enfin plus présentable que pour le chantier, et à 6,00 heures j’étais à l’hôtel et je me dirigeais vers la 212. Arrivé devant cette porte, je frappais et entendis : « Entres c’est ouvert, … »Ce que je fis et OH surprise au fond de la chambre coté fenêtre, la lampe de bureau allumée, je vis Matilde dans sa blouse blanche d’infirmière, debout dans un déhanché suggestif et aguichant, un décolleté, bien repli, à faire rêver, qui en cachait moins qu’il n’en laissait voir, la taille bien prise et la jupe ouverte laissant voir, pratiquement, le haut des bas.
Moi en m’approchant : « Wouah, … quel style, … si tu te présentes comme ça à l’hôpital, il va y avoir de nombreux infarctus parmi tes malades, … » Matilde : « J’ai pensé que c’était la tenue appropriée pour te soigner, … car il me semble que tu as une bosse qu’il va me falloir examiner, … » puis m’enlevant un peu brutalement la chemise et faisant glisser pantalon et caleçon, elle s’accroupit et saisit mon engin qui pointait fièrement. Après quelques caresses du bout des doigts : « J’aime quand tu es comme ça, … dur, … oui, j’aime quand tu bandes, … » et sans plus attendre ses lèvres douces prirent mon gland le suçant, alors que le bout de sa langue le titillait avec ardeur, ce qui ne fit qu’augmenter mon envie de cette belle femelle et je lui demandais d’arrêter, ce qu’elle fit en disant : « Dommage, … » et finissant d’ouvrir sa blouse elle se laissa tomber sur le lit bras et jambes largement écartées en disant : « Viens, … je suis nue pour toi, … c’est à toi, … fais-moi l’amour, … prends moi, … prends ton plaisir avec moi, … je sais que tu m’en donneras, … viens, … baises moi, … baises moi fort, … » Je me laissais tomber sur cette jolie femme offerte, à peine sur elle, elle s’était saisie de ma bite et l’avait guidée vers et dans sa chatte, dans laquelle je m’enfonçais d’un bon coup de rein, ce qui fut accueilli par un : « Oh, … Oui, … prends moi, … depuis que j’en rêve, … » et je m’activais avec énergie, elle était venue pour baiser, je devais la satisfaire pleinement. Elle en voulait tellement et elle était tellement chaude qu’elle ne mit pas longtemps à gémir de plaisir et en demander plus : « Oui, … continues, … c’est bon, … je sens que ça vient, … ne t’arrêtes pas, … oh, … oui, continues, … continues, … OOOOHHHH, … OUIIIII, … OUIIII, … » au premier Oui, elle s’était cambrée et avait même réussi à me soulever, pendant que je me vidais dans sa chatte ouverte, chaude et accueillante, …et ensuite pour s’affaisser, un peu écrasée par mon poids. Je me laissais aller sur le côté, pendant que nous récupérions nos esprits, car ce premier rapport avait été assez brutal. Enfin, elle se mit sur son coude et se posa sur moi et alors que je la caressais : « Je savais que ce serait bon, … as-tu aimé, … bon, … donnes moi cinq minutes, …j’ai une faim de loup, … j’ai réservé une table, … » et elle se leva, directions la salle de bains, alors que je me rhabillais.
Elle sortit complètement nue tout en disant : « Pas de bêtises, … je vais m’habiller … » et elle s’installa pour mettre se bas, … hum, … c’était tentant, … puis passa un corsage et sa jupe au boutonnage pratique. Chaussée d’escarpins elle se leva, fit un tour sur elle-même, plus sexy que jamais… « Je te plais toujours, … on va diner, … » Te voir comme ça me donne des idées, … très précises, … »Matilde : « Tout ce que tu voudras, après le diner, … pourquoi penses-tu que je suis venu, … pour non seulement te donner des idées, … mais aussi pour que tu les appliques, ... tu sais que je suis gourmande, … viens, … donnes moi le bras, … » C’est ce que je fis, et une fois de plus je n’ai pas vu venir la chose. Me prenant le bras pendant tout le trajet jusqu’au restaurant son sein droit se frotta à mon bras, … agréable.
Au repas, la conversation s’oriente, naturellement, vers la séparation d’avec ALMatilde : « Si vous vous êtes séparés, j’espère que ce n’est pas ma faute, enfin de notre faute, qu’elle ne sait rien de nous deux… »Moi : « Ne t’inquiètes pas, … de toutes les façons même si elle avait su quelque chose là-dessus j’avais de quoi lui répondre, … »Matilde : « Ah bon, … »Moi : « Oui, en effet, … disons que vous vous entendiez bien, … même très bien, … »Matilde : « Que veux-tu dire, … »Moi : « Tu te souviens, vous êtes venu, à la maison, pour Noël. Je pense la veille, ou l’avant-veille, Paul et moi sommes partis, lui pour la direction, moi pour le chantier, en chemin, je me suis rendu compte que j’avais oublié des documents, je suis donc revenu. En allant vers mon bureau, j’ai entendu comme des soupirs qui venaient de notre chambre, j’ai donc écouté avec plus d’attention et j’ai entendu AL dire : « tu n’en portes plus » et toi de répondre « Non, depuis que tu me l’as dit ». Je suis donc allé à la salle de bains, où il y a un petit fenestron que j’avais plus ou moins fermé et qui date de la construction. Je l’ai légèrement ouvert et je vous ai vu, toi allongé sur le lit, la jupe relevée, les cuisses largement écartées et AL la tête entre tes cuisses à s’occuper de ta chatte, … tu semblais bien apprécier ce traitement, … et je suis persuadé que ce genre de jeu ne datait pas d’hier, … je suppose même que c’était ce que vous pratiquiez quand avec Paul on faisait un tour de chantier, … »Matilde : « Oh, … non, … tu savais, … et tu n’as rien dit, … »Moi : « Que voulais-tu que je dise, … »Matilde : « Je ne sais pas, … je ne sais plus où me mettre, … je ne me sens pas bien, … »Moi : « Pourquoi, … ne t’inquiètes pas, … si j’avais eu le temps, je serais peut-être venu pour participer à vos jeux, … cela étant vous êtes de belles femmes, non de belles femelles, qui aimez les jeux et les plaisirs du sexe, profitez-en, … de toutes les façons, ma belle tu n’es pas une exclusivité pour moi, … alors pas de soucis, … »Matilde : « Bon, … mais quand même, … »Moi : « Ne t’inquiètes pas, tu n’y es pour rien, … la cause date de beaucoup plus loin, … de l’époque du bac, … tu vois, … mais oublions cette affaire, on est tous les deux. On est là pour profiter l’un de l’autre, … et moi, je veux profiter de toi au maximum, … »Matilde : « Oui, … on est tous les deux, … dis-moi, … comme je te l’ai dit, … je suis venu pour profiter de toi, … et si tu veux de moi, … »Moi : « Continues à dire des bêtises et je vais te donner une fessée, … » et Matilde avec un large sourire : « Oh, … OUI, … c’est une bonne idée, … ici, en public, … »Moi : « Écoutes, on se connaît depuis longtemps, on ne va pas se cacher, … tu es une belle femme, et comme on disait quand j’étais étudiant, tu as tout ce qu’il faut, là où il faut, tu es venue pour le plaisir de me voir certes, mais aussi pour voir si ton charme, tes charmes étaient toujours aussi tentants, … Je pense que tu as eu la réponse tout à l’heure, … Oui, tu es toujours aussi belle et aussi tentante qu’il y a quelques années, … tu es satisfaite, … »Matilde : « Oui, j’avais envie de te voir, … oui, je voulais savoir si tu te souvenais de moi, … oui, je voulais savoir si tu avais toujours envie de moi, … »Moi : « Tu sais j’ai toujours en mémoire, ce matin, au camp, où étant au bureau, tu m’as apporté un café, et où j’ai eu une vue splendide sur ta jolie poitrine et ensuite comme tout s’est enchainée. Pour les vacances de Noël alors que vous logiez à la maison, je n’avais plus aucun espoir et la nuit, alors que tu buvais un verre d’eau, j’ai eu soif et tout à repris, … Oui, tu es belle et désirable, … »Matilde : « T’es gentil, … t’es un amour, … oui j’ai envie de toi, …tu me tournes la tête, … »Moi : « Tu sais ce qu’on va faire, … »Matilde : « Non, ce que tu veux, … j’ai reculée de trois ans, … je t’ai obéis, …tu voulais que je te fasse un strip-tease dans la hutte, … ça m’avait excitée, … j’ai envie, … de t’obéir, … de faire ce que tu veux, … ce que tu aimes, … dis-moi, … on dit que j’ai mauvais caractère, … mais avec toi, je suis heureuse de t’obéir, … de te dire oui, … ce que tu veux, …»Moi : « Enfonces toi un peu dans la chaise, oui comme ça, … tu écartes tes jolies cuisses, … et tu mets ta main droite entre et tu ouvres ta jupe, … troisième bouton, … ta main sur ta cuisse, … tu remontes vers ton minou, … »Matilde : « Qu’est ce que tu veux faire, … »Moi : « Fais ce que je te dis, … quand tu m’as obéis, … je ne t’ai jamais déçu, … fais ce que je te dis, … » Et ayant fait exactement ce que je lui demandais : « Arrêtes, … tu es fou, …on va nous voir, … »Moi : « Mais non, … tu vas remonter discrètement jusqu’à ta chatte, … avec ta jupe, on ne voit rien, … tu en es ou, … »Matilde : « Non, … arrêtes, … je ne peux pas faire ça, … »Moi : « Mais si tu peux, … mais sI tu as envie de t’arrêter, … tu peux, … mais tu es déjà au-dessus des bas, … je suis sûr que déjà tu mouilles, … le bout de tes doigts caresses ta peau douce, … et ce soir, tu écarteras largement tes cuisses et je te lécherais, là juste au-dessus des bas, … t’aimes te caresser là, … »Matilde : « Tu es un monstre, …oh, … oui, au-dessus des bas, …dis-moi d’arrêter, … »Moi : « Mais non, … car tu arrives à ton joli minou, … il mouille, … tu es excitée, …tu es sur ta chatte, … elle est mouillée, … »Matilde les lèvres légèrement entrouvertes et les yeux me fixant intensément : « Oui, … je ne peux pas continuer, … stp, Jean, … arrêtes moi, … je ne vais pas tenir, … »Moi : « Mouilles un doigt, … non deux, … juste un peu, … pour récupérer ton odeur, … tu me feras gouter, … je deviens dur, … comme tu aimes, … tu aimeras être prise ainsi, … »Matilde : « NON, … OH, … je suis mouillée, … je ne peux plus, … » et je sentis que ses cuisses se refermaient et que sa main arriva sur la table. Je la prenais et la sentais, : « Tu sens bon, … on a fini de diner, … viens on sort prendre l’air, … et je vais goûter à ta chatte, … »Matilde : « Pourquoi dehors, … »Moi : « Il fait bon, on a besoin de prendre l’air, … et puis je veux gouter tes doigts tranquillement, ... » Matilde : « Pour une fois, … s’il te plait, … on va dans la chambre, …j’ai envie de toi, … je suis folle de désir, … Jean s’il te plait, … » Pour une fois, je sentis qu’il y avait urgence, pour elle et honnêtement pour moi, … qu’il me fallait céder et direction la chambre, qui fut vite rejointe, à peine entrés, Matilde se retrouva nue, corsage et jupe ayant été jeté dans un coin de la chambre, alors que je m’étais débarrassée de ma chemise, j’avais des difficultés avec le pantalon, alors Matilde me poussa vers et sur le lit, sur lequel je m’affalais, alors qu’elle disait : « Laisses moi, … faire, … » et de tirer le pantalon et le caleçon, ce qui libéra ma trique bandante et dure, voyant ça, elle se laissa aller sur le lit et sans hésiter pris mon engin en main : «J’aime te voir comme ça, … je vais m’en occuper, … je te veux dans ma bouche, … » et elle commença à s’en occuper à coups de langue rapide et excitant. Voyant ça, ou plutôt sentant ça, je réussis à la cramponner et à l’amener vers moi, pour enfin, ayant compris ce que je voulais sur moi, sa chatte à disposition de ma bouche, et chacun de nous s’occupant de l’autre à coups de langue. Et Matilde me prit entièrement en bouche et commença à me pomper quant à moi, je lui bouffais la chatte avec plaisir et mes mains lui caressaient les fesses et par moment arrivant à jouer avec sa rosette, mais ces petits jeux firent que ne tenant plus, je lui remplissais la bouche de mon sperme ce qu’elle accepta avec un grognement de plaisir alors que de son côté elle coulait de cyprine et m’en inondait la bouche. Quelques minutes de calme, et elle tourna sur elle-même et vint se coller contre moi : « Tu sais me donner du plaisir, … j’ai aimé te donner ma bouche, … prends moi dans tes bras, … on a encore toute la nuit, … » et calmement on s’endormit.
Dans le courant de la nuit Matilde eut la mauvaise idée d’avoir soif et pour se faire de prendre une bouteille d’eau dans le frigidaire qui fit un certain bruit, ce qui me réveilla instantanément. Alors, elle alluma la lampe de bureau, je pus voir de nouveau Matilde se mouvoir, mais entièrement nue. Je profitais du spectacle et également pour me désaltérer. Puis passant devant moi, j’en profitais pour lui caresser, gentiment, sa belle paire de fesses en lui disant : « T’as toujours un beau et joli cul, … »Et en minaudant, : « Me dirais tu que tu en as envie, … »Moi : « Quelle question, … me réveiller en pleine nuit, … et te voir te balader nue, … c’est tenter le pauvre homme que je suis, … »Matilde : « Alors qu’attends tu, pour me dire que tu as envie de moi, … que tu veux me prendre par-là, … »Moi : « Oui, … Tournes toi, … je veux prendre ton joli cul, … »Matilde : « Oh, oui, … prends moi par derrière, … oui, encules moi, … c’est ça que tu veux entendre, … sale types, … ça me manquait, … j’en avais envie, … oui, … » et docilement se tournant ce qui fit jaillir son cul bien rond, elle mit ses mains sur ses fesses pour les écarter : « Oui, … c’est à toi, … encules moi, … donnes moi du plaisir, … tu m’as fait aimer ça, … tu te souviens que c’est toi, le premier, …et depuis que je sais que je viens je me suis préparé pour ça, … pour toi,…» Oh oui, je me souvenais de cette après-midi où elle s’était offerte à moi, simplement. Bien placée, je n’avais qu’à me placer sur sa rosette et l’investir avec douceur et fermeté. Il ne fallu pas longtemps pour réussir à l’investir entièrement : « Oui, … j’étais prête, … oui, … prends moi fort, … » et de lui dire, : « Occupes toi de ta chatte, …. Elle s’ennuye, …caresses toi, … je suis sûr que tu en as envie, … » et pratiquement aussitôt sa main droite se glissa vers sa chatte et elle l’investit avec un soupir de plaisir : « Oui, … encules moi fort, … je suis ta salope, … j’aime que tu me prennes comme ça, … » … « et tu aimes te caresser en même temps, … » « Oui, … c’est toi qui m’a appris ça, … je sens que, … OUI, … OOOOHHH, … OUIIIIII, … » elle se mit à jouir alors que j’emplissais son petit trou de mon plaisir. Et de nouveau l’un contre l’autre : « Je suis contente d’être venue, … dors bien, … »
Moi : « Non, bien sûr, content de te voir, tu es toujours aussi belle, … non, de plus en plus belle, … »Matilde : « C’est gentil, …t’es toujours aussi flatteur, … mais, j’espérais mieux, … » et ouvrant sa veste, qui dégagea le joli décolleté de son corsageMoi : « Oui, … tu es toujours aussi désirable, …Matilde : « C’est mieux, … mais j’attends mieux de toi, … » ouvrant un autre bouton de son corsageMoi : « Bon, … tu as gagné, … tu es toujours aussi baisable, … c’est ce que tu voulais entendre, … » et là elle se précipita dans mes bras avec : « Oui, … si tu le penses vraiment, …j’attendais ça, … serres moi fort dans tes bras, … oui, … très fort, … » Nous étions scotchés l’un à l’autre et elle leva son joli museau, les lèvres légèrement ouvertes et me dit : « Embrasses moi, … OH, … embrasses moi, … » Nos lèvres se rencontrèrent et se retrouvèrent, ainsi que nos langues. Elle était ouverte : « En me préparant pour venir, … j’ai pensé à toi, … je me suis préparé pour toi, … et J’ai une surprise pour toi, … on ne sera pas dérangé, … »Moi : « Non, … le samedi on est tranquille, ne t’inquiètes pas, … mais qu’as-tu manigancé, … »Matilde : « Le troisième bouton de ma jupe, … » Je devinais un peu, mais, … je glissais une main jusqu’au troisième bouton et le défaisais, ce qui me permit de rentrer dans la jupe et là, j’arrivais au niveau de son minou qui vint se poser dans le creux de ma main. Les jambes s’écartèrent et j’eu ainsi accès à sa chatte, ses grosses lèvres semblaient gonflées et étaient légèrement humides : « Tu vois, … je me suis préparée pour toi, … caresses moi, … j’en ai tant envie, … » et je m‘exécutais avec plaisir, pensant que si elle était comme elle semblait être, c’est à dire prête, ouverte et surtout demandeuse, ce serait agréable de passer un moment ou plus avec elle. C’était le moment de la satisfaire et de la faire jouir, car elle était venue pour ça. Après quelques caresses du bout des doigts, ce que j’attendais arriva : « Arrêtes prends moi, … rentres, … je n’attends que ça, … oui, … » exécution et les cuisses s’ouvrant encore, deux doigts la pénétrèrent, alors que son bassin se poussait vers mes doigts, je commençais à la masturber d’abord doucement, le temps que je sente que sa chatte soit bien mouillée et bien ouverte et qu’elle demande : « Oui, … j’aime te sentir, … fais-moi jouir, ... je suis venue pour ça, … OOOOHHHH, … OUIIIIII, … continues, … OUIIIII, … » et son bassin se propulsa sur mes doigts alors qu’elle était saisie d’un brutal spasme, que ses cuisses s’ouvraient et se refermaient sur ma main. Enfin, tout se calma, cramponnée à moi elle reprit son souffle : « Embrasses moi, … j’ai aimé, … je vais m’occuper de toi, … »Moi : « Ici, cela me parait impossible, … »Matilde : « Tu ne veux pas, … tu n’as pas envie, … »Moi « Bien sûr que si, … on verra plus tard, … assieds-toi, … un café, … »De retour avec deux cafés, assise à la table de réunions, elle s’était calmée.
Moi : « Dis-moi comment tu es ici, … je croyais que Paul avait été muté à Lille, … »Matilde : « Oui, … Quand tu es parti, le chantier de Paul devait se terminer vers juillet, en mars, nous avons eu la confirmation de deux informations. Il y a eu l’avenant qui prolongeait notre séjour pour pratiquement deux ans, à condition que Paul reste comme responsable travaux, … »Moi : « Donc bonne nouvelle, et , … »Matilde : « Confirmation que j’étais enceinte, … »Moi : « Vous deviez être contents, … »Matilde : « Content d’un côté, oui, … d’un autre non, … car à six mois, donc en juin, toi tu étais parti fin décembre, je devais rentrer en France pour accoucher en septembre, … alors que Paul serait reparti, … »Moi : « Et à quoi ressemble ta progéniture, … »Matilde : « Une fille, … très mignonne, … et toi que deviens-tu, … »Moi : « Rien, … le chantier, le chantier, … »Matilde : « J’ai cru entendre que AL et toi vous vous étiez séparé, … »Moi : « Exact, … mais on reparlera plus tard, … si tu veux, … mais comment se fait-il que tu sois ici, … »Matilde : « En arrivant à Lille, après notre installation, j’ai repris mon travail d’infirmière, … et j’ai la possibilité de faire une spécialisation en anesthésie, … à Lyon, … »Moi : « Félicitations, … »Matilde : « Lille – Lyon plus de 700 km, … en regardant la carte, … un arrêt à Nancy serait le bienvenu, et comme a dit Paul, si tu vois Jean, remercies le pour son aide et ses conseils … »Moi : « Tu remercieras Paul, Mais je n’y suis pour rien, c’est son travail. Tu envisages de partir quand, … »Matilde : « C’est toi qui décides, … »Moi : « Arrêtes de jouer, … bon, à quel moment es-tu obligée de partir, pour être à tes cours, … »Matilde : « Je dois être Lundi matin à Lyon, … en partant Dimanche, je serais dans les temps, … »Moi : « Cela veut dire que tu peux rester jusqu’à dimanche après-midi, … »Matilde avec un large sourire : « Tu raisonnes juste, … mais tout dépend de toi, … »Moi me levant et passant derrière elle et prenant ses seins à pleines mains : « Je pense que je vais te donner une fessée, … tu loges où, … » Matilde : « Au Newhôtel, …chambre 212, … »Moi : « Je serais là-bas vers 6,00 heures et je t’invite à diner, … »Matilde se levant et venant contre moi : « Je t’attends, … je vais me préparer pour toi, … et je m’occuperais de toi, … comme tu aimes, … je t’attends avec impatience, … » et refermant sa veste, elle partit en remuant de façon suggestive son joli cul.
Honnêtement en attendant la débauche à 5,00 heures je ne fis pas grand-chose.
L’heure ayant sonnée, je filais dans mon appartement, douche, tenue décontractée, … enfin plus présentable que pour le chantier, et à 6,00 heures j’étais à l’hôtel et je me dirigeais vers la 212. Arrivé devant cette porte, je frappais et entendis : « Entres c’est ouvert, … »Ce que je fis et OH surprise au fond de la chambre coté fenêtre, la lampe de bureau allumée, je vis Matilde dans sa blouse blanche d’infirmière, debout dans un déhanché suggestif et aguichant, un décolleté, bien repli, à faire rêver, qui en cachait moins qu’il n’en laissait voir, la taille bien prise et la jupe ouverte laissant voir, pratiquement, le haut des bas.
Moi en m’approchant : « Wouah, … quel style, … si tu te présentes comme ça à l’hôpital, il va y avoir de nombreux infarctus parmi tes malades, … » Matilde : « J’ai pensé que c’était la tenue appropriée pour te soigner, … car il me semble que tu as une bosse qu’il va me falloir examiner, … » puis m’enlevant un peu brutalement la chemise et faisant glisser pantalon et caleçon, elle s’accroupit et saisit mon engin qui pointait fièrement. Après quelques caresses du bout des doigts : « J’aime quand tu es comme ça, … dur, … oui, j’aime quand tu bandes, … » et sans plus attendre ses lèvres douces prirent mon gland le suçant, alors que le bout de sa langue le titillait avec ardeur, ce qui ne fit qu’augmenter mon envie de cette belle femelle et je lui demandais d’arrêter, ce qu’elle fit en disant : « Dommage, … » et finissant d’ouvrir sa blouse elle se laissa tomber sur le lit bras et jambes largement écartées en disant : « Viens, … je suis nue pour toi, … c’est à toi, … fais-moi l’amour, … prends moi, … prends ton plaisir avec moi, … je sais que tu m’en donneras, … viens, … baises moi, … baises moi fort, … » Je me laissais tomber sur cette jolie femme offerte, à peine sur elle, elle s’était saisie de ma bite et l’avait guidée vers et dans sa chatte, dans laquelle je m’enfonçais d’un bon coup de rein, ce qui fut accueilli par un : « Oh, … Oui, … prends moi, … depuis que j’en rêve, … » et je m’activais avec énergie, elle était venue pour baiser, je devais la satisfaire pleinement. Elle en voulait tellement et elle était tellement chaude qu’elle ne mit pas longtemps à gémir de plaisir et en demander plus : « Oui, … continues, … c’est bon, … je sens que ça vient, … ne t’arrêtes pas, … oh, … oui, continues, … continues, … OOOOHHHH, … OUIIIII, … OUIIII, … » au premier Oui, elle s’était cambrée et avait même réussi à me soulever, pendant que je me vidais dans sa chatte ouverte, chaude et accueillante, …et ensuite pour s’affaisser, un peu écrasée par mon poids. Je me laissais aller sur le côté, pendant que nous récupérions nos esprits, car ce premier rapport avait été assez brutal. Enfin, elle se mit sur son coude et se posa sur moi et alors que je la caressais : « Je savais que ce serait bon, … as-tu aimé, … bon, … donnes moi cinq minutes, …j’ai une faim de loup, … j’ai réservé une table, … » et elle se leva, directions la salle de bains, alors que je me rhabillais.
Elle sortit complètement nue tout en disant : « Pas de bêtises, … je vais m’habiller … » et elle s’installa pour mettre se bas, … hum, … c’était tentant, … puis passa un corsage et sa jupe au boutonnage pratique. Chaussée d’escarpins elle se leva, fit un tour sur elle-même, plus sexy que jamais… « Je te plais toujours, … on va diner, … » Te voir comme ça me donne des idées, … très précises, … »Matilde : « Tout ce que tu voudras, après le diner, … pourquoi penses-tu que je suis venu, … pour non seulement te donner des idées, … mais aussi pour que tu les appliques, ... tu sais que je suis gourmande, … viens, … donnes moi le bras, … » C’est ce que je fis, et une fois de plus je n’ai pas vu venir la chose. Me prenant le bras pendant tout le trajet jusqu’au restaurant son sein droit se frotta à mon bras, … agréable.
Au repas, la conversation s’oriente, naturellement, vers la séparation d’avec ALMatilde : « Si vous vous êtes séparés, j’espère que ce n’est pas ma faute, enfin de notre faute, qu’elle ne sait rien de nous deux… »Moi : « Ne t’inquiètes pas, … de toutes les façons même si elle avait su quelque chose là-dessus j’avais de quoi lui répondre, … »Matilde : « Ah bon, … »Moi : « Oui, en effet, … disons que vous vous entendiez bien, … même très bien, … »Matilde : « Que veux-tu dire, … »Moi : « Tu te souviens, vous êtes venu, à la maison, pour Noël. Je pense la veille, ou l’avant-veille, Paul et moi sommes partis, lui pour la direction, moi pour le chantier, en chemin, je me suis rendu compte que j’avais oublié des documents, je suis donc revenu. En allant vers mon bureau, j’ai entendu comme des soupirs qui venaient de notre chambre, j’ai donc écouté avec plus d’attention et j’ai entendu AL dire : « tu n’en portes plus » et toi de répondre « Non, depuis que tu me l’as dit ». Je suis donc allé à la salle de bains, où il y a un petit fenestron que j’avais plus ou moins fermé et qui date de la construction. Je l’ai légèrement ouvert et je vous ai vu, toi allongé sur le lit, la jupe relevée, les cuisses largement écartées et AL la tête entre tes cuisses à s’occuper de ta chatte, … tu semblais bien apprécier ce traitement, … et je suis persuadé que ce genre de jeu ne datait pas d’hier, … je suppose même que c’était ce que vous pratiquiez quand avec Paul on faisait un tour de chantier, … »Matilde : « Oh, … non, … tu savais, … et tu n’as rien dit, … »Moi : « Que voulais-tu que je dise, … »Matilde : « Je ne sais pas, … je ne sais plus où me mettre, … je ne me sens pas bien, … »Moi : « Pourquoi, … ne t’inquiètes pas, … si j’avais eu le temps, je serais peut-être venu pour participer à vos jeux, … cela étant vous êtes de belles femmes, non de belles femelles, qui aimez les jeux et les plaisirs du sexe, profitez-en, … de toutes les façons, ma belle tu n’es pas une exclusivité pour moi, … alors pas de soucis, … »Matilde : « Bon, … mais quand même, … »Moi : « Ne t’inquiètes pas, tu n’y es pour rien, … la cause date de beaucoup plus loin, … de l’époque du bac, … tu vois, … mais oublions cette affaire, on est tous les deux. On est là pour profiter l’un de l’autre, … et moi, je veux profiter de toi au maximum, … »Matilde : « Oui, … on est tous les deux, … dis-moi, … comme je te l’ai dit, … je suis venu pour profiter de toi, … et si tu veux de moi, … »Moi : « Continues à dire des bêtises et je vais te donner une fessée, … » et Matilde avec un large sourire : « Oh, … OUI, … c’est une bonne idée, … ici, en public, … »Moi : « Écoutes, on se connaît depuis longtemps, on ne va pas se cacher, … tu es une belle femme, et comme on disait quand j’étais étudiant, tu as tout ce qu’il faut, là où il faut, tu es venue pour le plaisir de me voir certes, mais aussi pour voir si ton charme, tes charmes étaient toujours aussi tentants, … Je pense que tu as eu la réponse tout à l’heure, … Oui, tu es toujours aussi belle et aussi tentante qu’il y a quelques années, … tu es satisfaite, … »Matilde : « Oui, j’avais envie de te voir, … oui, je voulais savoir si tu te souvenais de moi, … oui, je voulais savoir si tu avais toujours envie de moi, … »Moi : « Tu sais j’ai toujours en mémoire, ce matin, au camp, où étant au bureau, tu m’as apporté un café, et où j’ai eu une vue splendide sur ta jolie poitrine et ensuite comme tout s’est enchainée. Pour les vacances de Noël alors que vous logiez à la maison, je n’avais plus aucun espoir et la nuit, alors que tu buvais un verre d’eau, j’ai eu soif et tout à repris, … Oui, tu es belle et désirable, … »Matilde : « T’es gentil, … t’es un amour, … oui j’ai envie de toi, …tu me tournes la tête, … »Moi : « Tu sais ce qu’on va faire, … »Matilde : « Non, ce que tu veux, … j’ai reculée de trois ans, … je t’ai obéis, …tu voulais que je te fasse un strip-tease dans la hutte, … ça m’avait excitée, … j’ai envie, … de t’obéir, … de faire ce que tu veux, … ce que tu aimes, … dis-moi, … on dit que j’ai mauvais caractère, … mais avec toi, je suis heureuse de t’obéir, … de te dire oui, … ce que tu veux, …»Moi : « Enfonces toi un peu dans la chaise, oui comme ça, … tu écartes tes jolies cuisses, … et tu mets ta main droite entre et tu ouvres ta jupe, … troisième bouton, … ta main sur ta cuisse, … tu remontes vers ton minou, … »Matilde : « Qu’est ce que tu veux faire, … »Moi : « Fais ce que je te dis, … quand tu m’as obéis, … je ne t’ai jamais déçu, … fais ce que je te dis, … » Et ayant fait exactement ce que je lui demandais : « Arrêtes, … tu es fou, …on va nous voir, … »Moi : « Mais non, … tu vas remonter discrètement jusqu’à ta chatte, … avec ta jupe, on ne voit rien, … tu en es ou, … »Matilde : « Non, … arrêtes, … je ne peux pas faire ça, … »Moi : « Mais si tu peux, … mais sI tu as envie de t’arrêter, … tu peux, … mais tu es déjà au-dessus des bas, … je suis sûr que déjà tu mouilles, … le bout de tes doigts caresses ta peau douce, … et ce soir, tu écarteras largement tes cuisses et je te lécherais, là juste au-dessus des bas, … t’aimes te caresser là, … »Matilde : « Tu es un monstre, …oh, … oui, au-dessus des bas, …dis-moi d’arrêter, … »Moi : « Mais non, … car tu arrives à ton joli minou, … il mouille, … tu es excitée, …tu es sur ta chatte, … elle est mouillée, … »Matilde les lèvres légèrement entrouvertes et les yeux me fixant intensément : « Oui, … je ne peux pas continuer, … stp, Jean, … arrêtes moi, … je ne vais pas tenir, … »Moi : « Mouilles un doigt, … non deux, … juste un peu, … pour récupérer ton odeur, … tu me feras gouter, … je deviens dur, … comme tu aimes, … tu aimeras être prise ainsi, … »Matilde : « NON, … OH, … je suis mouillée, … je ne peux plus, … » et je sentis que ses cuisses se refermaient et que sa main arriva sur la table. Je la prenais et la sentais, : « Tu sens bon, … on a fini de diner, … viens on sort prendre l’air, … et je vais goûter à ta chatte, … »Matilde : « Pourquoi dehors, … »Moi : « Il fait bon, on a besoin de prendre l’air, … et puis je veux gouter tes doigts tranquillement, ... » Matilde : « Pour une fois, … s’il te plait, … on va dans la chambre, …j’ai envie de toi, … je suis folle de désir, … Jean s’il te plait, … » Pour une fois, je sentis qu’il y avait urgence, pour elle et honnêtement pour moi, … qu’il me fallait céder et direction la chambre, qui fut vite rejointe, à peine entrés, Matilde se retrouva nue, corsage et jupe ayant été jeté dans un coin de la chambre, alors que je m’étais débarrassée de ma chemise, j’avais des difficultés avec le pantalon, alors Matilde me poussa vers et sur le lit, sur lequel je m’affalais, alors qu’elle disait : « Laisses moi, … faire, … » et de tirer le pantalon et le caleçon, ce qui libéra ma trique bandante et dure, voyant ça, elle se laissa aller sur le lit et sans hésiter pris mon engin en main : «J’aime te voir comme ça, … je vais m’en occuper, … je te veux dans ma bouche, … » et elle commença à s’en occuper à coups de langue rapide et excitant. Voyant ça, ou plutôt sentant ça, je réussis à la cramponner et à l’amener vers moi, pour enfin, ayant compris ce que je voulais sur moi, sa chatte à disposition de ma bouche, et chacun de nous s’occupant de l’autre à coups de langue. Et Matilde me prit entièrement en bouche et commença à me pomper quant à moi, je lui bouffais la chatte avec plaisir et mes mains lui caressaient les fesses et par moment arrivant à jouer avec sa rosette, mais ces petits jeux firent que ne tenant plus, je lui remplissais la bouche de mon sperme ce qu’elle accepta avec un grognement de plaisir alors que de son côté elle coulait de cyprine et m’en inondait la bouche. Quelques minutes de calme, et elle tourna sur elle-même et vint se coller contre moi : « Tu sais me donner du plaisir, … j’ai aimé te donner ma bouche, … prends moi dans tes bras, … on a encore toute la nuit, … » et calmement on s’endormit.
Dans le courant de la nuit Matilde eut la mauvaise idée d’avoir soif et pour se faire de prendre une bouteille d’eau dans le frigidaire qui fit un certain bruit, ce qui me réveilla instantanément. Alors, elle alluma la lampe de bureau, je pus voir de nouveau Matilde se mouvoir, mais entièrement nue. Je profitais du spectacle et également pour me désaltérer. Puis passant devant moi, j’en profitais pour lui caresser, gentiment, sa belle paire de fesses en lui disant : « T’as toujours un beau et joli cul, … »Et en minaudant, : « Me dirais tu que tu en as envie, … »Moi : « Quelle question, … me réveiller en pleine nuit, … et te voir te balader nue, … c’est tenter le pauvre homme que je suis, … »Matilde : « Alors qu’attends tu, pour me dire que tu as envie de moi, … que tu veux me prendre par-là, … »Moi : « Oui, … Tournes toi, … je veux prendre ton joli cul, … »Matilde : « Oh, oui, … prends moi par derrière, … oui, encules moi, … c’est ça que tu veux entendre, … sale types, … ça me manquait, … j’en avais envie, … oui, … » et docilement se tournant ce qui fit jaillir son cul bien rond, elle mit ses mains sur ses fesses pour les écarter : « Oui, … c’est à toi, … encules moi, … donnes moi du plaisir, … tu m’as fait aimer ça, … tu te souviens que c’est toi, le premier, …et depuis que je sais que je viens je me suis préparé pour ça, … pour toi,…» Oh oui, je me souvenais de cette après-midi où elle s’était offerte à moi, simplement. Bien placée, je n’avais qu’à me placer sur sa rosette et l’investir avec douceur et fermeté. Il ne fallu pas longtemps pour réussir à l’investir entièrement : « Oui, … j’étais prête, … oui, … prends moi fort, … » et de lui dire, : « Occupes toi de ta chatte, …. Elle s’ennuye, …caresses toi, … je suis sûr que tu en as envie, … » et pratiquement aussitôt sa main droite se glissa vers sa chatte et elle l’investit avec un soupir de plaisir : « Oui, … encules moi fort, … je suis ta salope, … j’aime que tu me prennes comme ça, … » … « et tu aimes te caresser en même temps, … » « Oui, … c’est toi qui m’a appris ça, … je sens que, … OUI, … OOOOHHH, … OUIIIIII, … » elle se mit à jouir alors que j’emplissais son petit trou de mon plaisir. Et de nouveau l’un contre l’autre : « Je suis contente d’être venue, … dors bien, … »
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