Sandrine et le chat maigre
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2024 dans la catégorie Plus on est
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Sandrine et le chat maigre
Allez savoir pourquoi. La libraire Sandrine passait pour homosexuelle dans sa petite ville. Etait-ce à cause de ses cheveux ultra courts, prématurément grisonnants alors qu'elle venait tout juste d'avoir 40 ans ? Parce qu'on ne lui connaissait pas de mari ou de compagnon mâle ? Parce que sa meilleure copine Maud, une blonde aussi filiforme que Sandrine était charnue, se trouvait elle aussi sans homme ? Rien ne justifiait pourtant ces à priori malveillants, d'autant que Sandrine était aimable, compétente et bien intégrée dans la cité.
En fait, Sandrine menait une vie double. Elle séparait étroitement vie professionnelle et personnelle. Et dans le privé, elle était une vraie femme à homme. Un mâle un peu averti l'aurait deviné en plongeant son regard dans un de ses généreux décolletés dévoilant deux seins gorgés de sève et croisant ensuite ses yeux malicieux et complices. Mais ça n'allait jamais plus loin.
Divorcée comme son amie Maud et également sans enfant, Sandrine s'était juré de ne plus frayer dans la conjugalité. Elle vivrait pour elle, seulement pour elle. Mais sans pour autant tomber dans la chasteté. Elle avait toujours des besoins sexuels à assouvir. L'amour se réduisait pour elle à une saillie plus ou moins programmée et en tout cas en dehors de son cadre professionnel. La librairie étant fermée le week-end et en période de vacances, elle en profitait pour s'éloigner dans les grandes villes à proximité. Elle y recherchait le partenaire de circonstance qui remarquerait cette femme isolée à une terrasse de café, dans un night club ou même dans la rue. Elle y déployait ses appâts, deux seins lourds et un fessier rebondi qui tentaient de faire oublier sa crinière grisonnante, encore qu'elle considérait celle-ci comme un atout parce que naturelle. Son amie Maud l'accompagnait parfois pour chasser en duo, ce qui constituait pour Sandrine un avantage car la belle quadra attirait immanquablement les regards mâles. Mais pour baiser la blonde, il fallait baiser la poivre et sel, c'était obligatoire, si bien que le comportement sexuel des deux amies n'avait plus aucun secret l'une pour l'autre puisque leurs ébats avaient alors lieu dans la même chambre avec des amants de circonstance.
L'été, elles louaient un petit appartement au bord de la mer et bronzaient nues sur une plage naturiste. Le corps splendide de Maud n'y passait pas inaperçu mais la chair opulente de Sandrine attirait aussi les regards mâles. Beaucoup d'entre eux les croyaient lesbiennes mais quand un jeune homme audacieux osait la drague, et quand il était récompensé par la libraire l'entrainant au vu et au su de tous sous les frondaisons derrière la plage pour le bonheur de deux voyeurs, le doute n'était plus permis. Ces deux copines aimaient la bite. Elles appartenaient l'une et l'autre à la catégorie des "femmes qui baisent".
Sandrine revenait ensuite à sa librairie, repue de sexe pour un ou deux mois. Elle ne se concentrait plus alors qu'à son métier, le réassort de livres,, le conseil de lecture, la comptabilité de son commerce. Si les dames d'un certain âge, habituées du lieu, avaient su que quelques jours plus tôt, leur libraire favorite s'était fait prendre en double anale-vaginale dans une chambre d'hôtel en bramant de plaisir sous le regard complice de la cliente blonde qu'elles rencontraient souvent, elles auraient quitté la librairie en criant d'effroi. Mais Sandrine cachait bien son jeu.
*****
Ce jour là, Maud passa comme souvent à la librairie pour échanger avec son amie.
- Dis-donc, ça fait un moment qu'on ne s'est pas offert une vadrouille. Que fais-tu pour les ponts de mai ? Tu fermes ou pas ?
- Je ferme quatre jours. De toute façon, il n'y aura personne.
- Bon, alors on fait quelque chose. J'ai des fourmis dans le... bon tu m'as comprise.
- Moi aussi, ça commence à me travailler. Hier, un beau jeune homme est venu acheter une BD. J'ai failli le draguer.
- Tu as une idée ?
- Pas vraiment. Mais please, pas de club échangiste. La dernière fois, c'était lugubre.
- J'ai mieux. Laurence, l'ancienne maitresse de mon ex, qu'elle a quitté, organise une soirée dans sa maison de campagne avec son mari. Elle a besoin de femmes, m'a-t-elle dit. Tu vois le genre.
- Justement, c'est quel genre, cette Laurence ?
- Elle et son mari sont toubibs. Libertins assumés. La cinquantaine.
- Donc, elle organise une partouze.
- Oh le vilain mot. Disons une soirée entre adultes consentants. Mais elle m'a assuré qu'il n'y aura pas que des vieux. Trois jeunes sportifs fringants sont prévus. Sans leurs copines.
- Tu me donnes envie. La dernière fois, nos deux partenaires étaient un peu mous.
- Ouais, le mien a éjaculé en cinq minutes.
- Et le mien n'arrivait pas à jouir. Il était en nage et m'arrosait de sa sueur. Très désagréable.
- Bon, je crois qu'on risque moins cette fois. Alors, tu en es ?
- Oui. Je vais me raser les poils des jambes et tailler mon triangle des Bermudes.
- Mais pourquoi ne te rases-tu pas le pubis comme moi ?
- Pas question. D'abord, ça fait très mal et ensuite, je tiens à mon barbu. Cela fait partie de ma personnalité et certains aiment.
- Bon, si tu y tiens, alors... Prends aussi du gel, ça peut servir dans ce genre de soirée.
- Toujours très poétique, Maud...
Les deux amies éclatèrent de rire et devisèrent sur la manière de s'habiller. Maud opta pour une tenue minimaliste, short court pour montrer ses belles jambes et débardeur pour mettre ses épaules en valeur. Un peu complexée par son corps, Sandrine préféra son habituelle robe longue très décolletée "mais je serai à poil dessous", précisa-t-elle.
Le jour J, ou plutôt le soir S, elles débarquèrent dans la grande maison bourgeoise du couple hôte. Une dizaine de personnes étaient déjà présente dont deux couples d'âge mûr et trois jeunes gars fins et musclés au look sportif. Une autre femme seule, la soixantaine, prénommée Magali et le couple hôte, Laurence et son mari Albert, complétaient l'ensemble. Un buffet avait été préparé et on aurait pu croire qu'il s'agissait d'une soirée classique, à la fois bourgeoise et mondaine, si le trio des sportifs n'avait pas un peu détonné. Il toucha peu au buffet et préféra profiter de la piscine dans le vaste jardin en se déshabillant entièrement avant de plonger. Les femmes présentes purent apprécier leur plastique impeccable, laissant déjà leur esprit vagabonder. Ces étalons étaient là pour les baiser et elles en salivaient à l'avance.
- Je me ferais bien le petit brun, murmura la sexagénaire à l'oreille de Sandrine.
Celle-ci était épatée qu'une femme de cet âge puisse intégrer ce qui s'annonçait comme une authentique partouze. Il est vrai que son corps menu, tonique, semblait encore parfaitement adapté aux rapports sexuels, nonobstant les filets blancs dans ses cheveux abondants. A côté d'elle, Sandrine se sentit un peu grosse.
Puis Laurence, l'hôtesse, nue elle aussi, révélant un corps bien proportionné, plongea à son tour et invita la compagnie à la rejoindre. Les vêtements volèrent, chacun exposant désormais sa nudité intégrale. Sandrine nota avec satisfaction que les deux femmes des couples mûrs avaient aussi des chairs abondantes. L'une , prénommée Roselyne, semblait même fière d'exposer ses seins lourds et sa large croupe tandis que l'autre, Mylène, un peu plus mince mais au fessier très bombé, se mettait déjà en condition en caressant le sexe de son compagnon tout en l'embrassant.
Sandrine se glissa dans l'onde avec volupté et à peine avait-elle commencé à nageotter qu'un des trois chats maigres l'aborda :
- Je vous trouve très belle. J'aime votre style naturel. Je m'appelle Rachid. On peut se tutoyer ?
Sandrine fut flattée de cet intérêt rapide de la part d'un des trois garçons qui n'était pas le moins sexy, loin de là. Il vint contre elle, dans son dos, debout dans l'eau peu profonde, et lui empauma les seins. Elle sentit son sexe durci contre ses fesses, ce qui l'électrisa. Habilement, il prolongea le moment en l'embrassant dans le cou. Elle fondait. Dans la piscine et autour, les couples se formaient déjà. Maud se faisait elle aussi peloter par Albert, le maitre de céans, également dans l'eau. Allongées sur un bain de soleil, Roselyne et Mylène se faisaient lécher le sexe par les conjoints de l'une et de l'autre, en échange. Fidèle à son intention, Magali suçait le petit brun en étant debout dans l'eau, le garçon assis au bord, les pieds dans l'onde, observant la pipe. Le troisième larron s'occupait de Laurence, l'hôtesse, déjà allongée au bord de la piscine, en faisant courir sa langue sur l'ensemble de son corps offert, cuisses déjà ouvertes, en attente d'une pénétration imminente.
Mais Sandrine ferma les yeux et se laissa emporter par les caresses de plus en plus précises de Rachid, très habile pour son âge, pensa-t-elle. Cette masturbation aquatique la mit au bord de l'orgasme, d'autant qu'il sut ne pas se presser. Il savait y faire, le bougre. Quand elle rouvrit les yeux quelques minutes plus tard, bien décidées à aller plus loin en sortant de l'eau, elle découvrit que les choses avaient évolué autour d'elle. Elle chercha Maud des yeux mais elle n'était plus dans la piscine. Sur les bains de soleil, les deux matrones étaient désormais pénétrées, les pieds en l'air, et piaillaient sous les assauts des conjoints échangés, faisant grincer les bains de soleil malmenés. Coincée dans l'eau contre le mur de la piscine par le petit brun qu'elle encerclait de ses jambes et de ses bras, la sexagénaire tressautait sur la bite au point de provoquer des remous. Sur le bord, Laurence se trouvait prise en levrette par un des trois jeunes, seins pendants, cul mouvant, sa chevelure blonde balançant au rythme des coups de boutoir de son partenaire. Sandrine croisa son regard un peu vitreux, signe de l'abandon total à la bite puissante qui la fouillait. Il était temps qu'elle s'y mette aussi. Il y avait trop longtemps qu'elle n'avait pas été baisée.
******
Elle entraina Rachid à l'intérieur de la maison, bien décidée à trouver une couche plus confortable pour satisfaire ce beau mâle. En traversant le salon, elle reconnut les pieds de Maud qui talonnaient le cul poilu d'Albert, l'hôte des lieux, en train de la pilonner sur le sofa, couilles ballottantes. Après avoir attrapé un préservatif dans son sac à main, Sandrine chercha une chambre libre à l'étage, il n'en manquait pas. Le premier lit qui se présenta accueillit le couple nu et encore humide de la piscine. A peine Rachid fut-il coiffé d'une capote qu'il pénétra la plantureuse quadragénaire, aussi impatiente que lui de copuler. Elle l'adjura aussitôt de se retenir, craignant qu'il se laisse emporter par sa vigueur. Mais le jeune homme était endurant et la baisa longuement. Le moment le plus jouissif de Sandrine fut quand elle le chevaucha. Le torse superbe de Rachid la plongea dans une extase rare. Qu'un aussi beau mec puisse la baiser, elle avec ses rondeurs, sa chevelure poivre et sel et ses quarante balais bien sonnés, cela valait vraiment le coup de se laisser entrainer dans cette partouze.
Elle se fit fort de lui rendre tout ce qu'il lui donnait, par le verbe en célébrant sa bite, par ses roulements de hanches pendant qu'il la sodomisait, par l'agilité de sa langue autour de son gland, sur ses couilles et à l'intérieur de son anus, par la pression de ses mains sur ses fesses ou de sa nuque pendant qu'il explorait sa broussaille, bref tout mettre en oeuvre pour qu'il sache qu'elle était une vraie baiseuse, pour ne pas dire une grandiose salope, ce qu'il avait compris quand elle lui avait léché le petit trou. Quand il fut sur le point d'éjaculer, elle lui prit la queue et la glissa entre ses gros seins pour qu'il puisse l'asperger de son sperme, capote retirée. Une fin à la hauteur, dont il la remercia à sa façon :
- Tu es un coup en or massif, merci Sandrine.
- C'est gentil merci mais tu m'as aussi magnifiquement servie.
Sur ces amabilités réciproques, ils quittèrent la chambre et descendirent l'escalier, toujours nus, pour récupérer leurs vêtements laissés au bord de la piscine.
Arrivés dans le salon, ils découvrirent qu'un petit attroupement s'était créé autour du sofa. En glissant sa tête, Sandrine découvrit un spectacle étonnant. Sa copine Maud et la sexa sexy se tenaient à quatre pattes, côte à côte, les mains sur le dossier du sofa où elles se faisaient tringler par deux jeunes culs : celui du petit brun pour Maud et celui du troisième larron, un grand maigre, pour Magali la sexa. Les hommes se masturbaient et les femmes se caressaient en les regardant. Sandrine sentit son excitation à peine éteinte envahir à nouveau son bas-ventre au spectacle de ces deux jeunes mâles si virils dont les coups de boutoir suscitaient des "oh", des "ah", des "ouiii" dans la bouche des deux possédées en levrette.
D'un commun accord, les deux couples se dissocièrent, et choisirent de s'unir de manière que les jeunes hommes fussent assis et les deux femmes empalées sur eux. Maud fit face au petit brun, offrant au spectateur la vision de son cul bombé en mouvement alors que Magali se tourna vers l'assistance en virevoltant pieds au sol sur la bite du grand maigre avec force exclamations, la chevelure défaite, le visage déformé par la jouissance. A nouveau, Sandrine fut épatée par la santé sexuelle de cette sexagénaire au tempérament de feu : "elle me donne de l'espoir pour l'avenir", pensa-t-elle en regardant son petit corps se gaver de la grosse queue verticale. Elle sentit que dans son dos, une main coquine s'insinuait entre ses cuisses. Sans se retourner, la sienne glissa vers l'arrière et rencontra une queue tendue.
- Viens avec moi dans la cuisine, lui souffla la voix à l'oreille. Celle d'Albert, l'hôte.
Sandrine se rendit compte qu'elle n'était pas totalement rassasiée de sexe. Mais aussi, elle n'avait pas envie d'être en retrait de Maud, baisée au moins deux fois dans cette soirée. Elle suivit Albert qui la tenait par la main et la fit asseoir sur la table de la cuisine.
- J'aime les femmes non épilées, lui souffla-t-il, en tirant une chaise devant la table pour s'asseoir devant ses cuisses dodues, bien ouvertes.
Sandrine eut alors droit à un des meilleurs cunnis depuis des lustres. Albert était un expert. Elle était tellement chaude qu'elle connut un premier orgasme, accentué par le pétrissage de ses seins par le lécheur. Quand celui-ci se releva, il rencontra un regard humide, reconnaissant et implorant.
- Vite, baise-moi, j'en peux plus, gémit-elle.
L'homme s'enfonça debout avec délectation dans cette quadragénaire au sexe trempé en plongeant ses yeux dans les siens, se régalant au spectacle de ses seins largement étalés et mouvants au rythme de ses coups de bite.
- Tu aimes ça, hein, lui dit-il.
- Oh oui, j'adore, je te sens bien.
Ils poursuivirent ces petits échanges qui les excitaient mutuellement, elle lui parlant de sa bite, lui de sa chatte. Comme il avait déjà éjaculé dans Maud, il se sentait endurant.
- Tu as un cul magnifique, j'ai envie de t'enculer, lui dit-il.
Ayant été tout juste sodomisée par Rachid, Sandrine avait l'anus encore bien ouvert. Debout et coudes sur la table, elle accueillit sans difficulté Albert dont la peau du ventre claqua sur celle de ses fesses. C'est ce bruit éminemment érotique, ajouté au contact dans son rectum, qui la fit jouir une nouvelle fois, couvrant son dos de chair de poule. Surexcité par ce corps vraiment fait pour l'amour, l'enculeur expulsa quelques gouttes de sperme sur le sacrum en grognant. Sandrine se retourna et l'embrassa, un peu flageolante. Deux coïts aussi rapprochés, elle n'en avait plus l'habitude. Ils gagnèrent la piscine où les autres protagonistes se trouvaient déjà, comme pour laver leurs turpitudes. Ils applaudirent à leur arrivée car tous avaient évidemment jeté un oeil sur la cuisine. Curieusement, Sandrine se sentit flattée de cet accueil, comme si elle avait réussi une performance... Elle et Maud ne couchèrent pas sur place, contrairement aux autres. Elles éprouvaient le besoin d'une bonne nuit de sommeil.
- Tu es une vraie salope ! glissa la blonde à la conductrice sur le chemin du retour.
- Tu ne t'es pas vue. Ni entendue, lui fut-il répondu. Et elles éclatèrent de rire.
******
Plusieurs semaines s'écoulèrent et la vie routinière reprit son cours dans la librairie. Maud passait une tête de temps en temps et un jour ou l'autre, elle recommencerait à proposer une "vadrouille" à son amie pour se faire "péter les hormones". Mais ce jour là, c'est un jeune homme qui entra dans le local. Sandrine ne le reconnut pas immédiatement mais quand il lui demanda conseil pour un livre, elle s'aperçut qu'il s'agissait de Rachid, son jeune amant d'un soir. Un frisson parcourut son corps, de ses cheveux à ses orteils. Durant leurs échanges livresques, une onde de chaleur courut dans son bas-ventre et elle sentit les pointes de ses seins durcir. C'était tous les symptômes chez elle du désir sexuel. Quand, après avoir payé son livre, il fit mine de sortir, elle l'arrêta :
- Je vais fermer dans dix minutes. Tu veux qu'on déjeune ensemble ?
Il accepta. Et un peu plus tard, la librairie demeura inhabituellement fermée. A l'étage au-dessus, Sandrine et Rachid baisaient.
En fait, Sandrine menait une vie double. Elle séparait étroitement vie professionnelle et personnelle. Et dans le privé, elle était une vraie femme à homme. Un mâle un peu averti l'aurait deviné en plongeant son regard dans un de ses généreux décolletés dévoilant deux seins gorgés de sève et croisant ensuite ses yeux malicieux et complices. Mais ça n'allait jamais plus loin.
Divorcée comme son amie Maud et également sans enfant, Sandrine s'était juré de ne plus frayer dans la conjugalité. Elle vivrait pour elle, seulement pour elle. Mais sans pour autant tomber dans la chasteté. Elle avait toujours des besoins sexuels à assouvir. L'amour se réduisait pour elle à une saillie plus ou moins programmée et en tout cas en dehors de son cadre professionnel. La librairie étant fermée le week-end et en période de vacances, elle en profitait pour s'éloigner dans les grandes villes à proximité. Elle y recherchait le partenaire de circonstance qui remarquerait cette femme isolée à une terrasse de café, dans un night club ou même dans la rue. Elle y déployait ses appâts, deux seins lourds et un fessier rebondi qui tentaient de faire oublier sa crinière grisonnante, encore qu'elle considérait celle-ci comme un atout parce que naturelle. Son amie Maud l'accompagnait parfois pour chasser en duo, ce qui constituait pour Sandrine un avantage car la belle quadra attirait immanquablement les regards mâles. Mais pour baiser la blonde, il fallait baiser la poivre et sel, c'était obligatoire, si bien que le comportement sexuel des deux amies n'avait plus aucun secret l'une pour l'autre puisque leurs ébats avaient alors lieu dans la même chambre avec des amants de circonstance.
L'été, elles louaient un petit appartement au bord de la mer et bronzaient nues sur une plage naturiste. Le corps splendide de Maud n'y passait pas inaperçu mais la chair opulente de Sandrine attirait aussi les regards mâles. Beaucoup d'entre eux les croyaient lesbiennes mais quand un jeune homme audacieux osait la drague, et quand il était récompensé par la libraire l'entrainant au vu et au su de tous sous les frondaisons derrière la plage pour le bonheur de deux voyeurs, le doute n'était plus permis. Ces deux copines aimaient la bite. Elles appartenaient l'une et l'autre à la catégorie des "femmes qui baisent".
Sandrine revenait ensuite à sa librairie, repue de sexe pour un ou deux mois. Elle ne se concentrait plus alors qu'à son métier, le réassort de livres,, le conseil de lecture, la comptabilité de son commerce. Si les dames d'un certain âge, habituées du lieu, avaient su que quelques jours plus tôt, leur libraire favorite s'était fait prendre en double anale-vaginale dans une chambre d'hôtel en bramant de plaisir sous le regard complice de la cliente blonde qu'elles rencontraient souvent, elles auraient quitté la librairie en criant d'effroi. Mais Sandrine cachait bien son jeu.
*****
Ce jour là, Maud passa comme souvent à la librairie pour échanger avec son amie.
- Dis-donc, ça fait un moment qu'on ne s'est pas offert une vadrouille. Que fais-tu pour les ponts de mai ? Tu fermes ou pas ?
- Je ferme quatre jours. De toute façon, il n'y aura personne.
- Bon, alors on fait quelque chose. J'ai des fourmis dans le... bon tu m'as comprise.
- Moi aussi, ça commence à me travailler. Hier, un beau jeune homme est venu acheter une BD. J'ai failli le draguer.
- Tu as une idée ?
- Pas vraiment. Mais please, pas de club échangiste. La dernière fois, c'était lugubre.
- J'ai mieux. Laurence, l'ancienne maitresse de mon ex, qu'elle a quitté, organise une soirée dans sa maison de campagne avec son mari. Elle a besoin de femmes, m'a-t-elle dit. Tu vois le genre.
- Justement, c'est quel genre, cette Laurence ?
- Elle et son mari sont toubibs. Libertins assumés. La cinquantaine.
- Donc, elle organise une partouze.
- Oh le vilain mot. Disons une soirée entre adultes consentants. Mais elle m'a assuré qu'il n'y aura pas que des vieux. Trois jeunes sportifs fringants sont prévus. Sans leurs copines.
- Tu me donnes envie. La dernière fois, nos deux partenaires étaient un peu mous.
- Ouais, le mien a éjaculé en cinq minutes.
- Et le mien n'arrivait pas à jouir. Il était en nage et m'arrosait de sa sueur. Très désagréable.
- Bon, je crois qu'on risque moins cette fois. Alors, tu en es ?
- Oui. Je vais me raser les poils des jambes et tailler mon triangle des Bermudes.
- Mais pourquoi ne te rases-tu pas le pubis comme moi ?
- Pas question. D'abord, ça fait très mal et ensuite, je tiens à mon barbu. Cela fait partie de ma personnalité et certains aiment.
- Bon, si tu y tiens, alors... Prends aussi du gel, ça peut servir dans ce genre de soirée.
- Toujours très poétique, Maud...
Les deux amies éclatèrent de rire et devisèrent sur la manière de s'habiller. Maud opta pour une tenue minimaliste, short court pour montrer ses belles jambes et débardeur pour mettre ses épaules en valeur. Un peu complexée par son corps, Sandrine préféra son habituelle robe longue très décolletée "mais je serai à poil dessous", précisa-t-elle.
Le jour J, ou plutôt le soir S, elles débarquèrent dans la grande maison bourgeoise du couple hôte. Une dizaine de personnes étaient déjà présente dont deux couples d'âge mûr et trois jeunes gars fins et musclés au look sportif. Une autre femme seule, la soixantaine, prénommée Magali et le couple hôte, Laurence et son mari Albert, complétaient l'ensemble. Un buffet avait été préparé et on aurait pu croire qu'il s'agissait d'une soirée classique, à la fois bourgeoise et mondaine, si le trio des sportifs n'avait pas un peu détonné. Il toucha peu au buffet et préféra profiter de la piscine dans le vaste jardin en se déshabillant entièrement avant de plonger. Les femmes présentes purent apprécier leur plastique impeccable, laissant déjà leur esprit vagabonder. Ces étalons étaient là pour les baiser et elles en salivaient à l'avance.
- Je me ferais bien le petit brun, murmura la sexagénaire à l'oreille de Sandrine.
Celle-ci était épatée qu'une femme de cet âge puisse intégrer ce qui s'annonçait comme une authentique partouze. Il est vrai que son corps menu, tonique, semblait encore parfaitement adapté aux rapports sexuels, nonobstant les filets blancs dans ses cheveux abondants. A côté d'elle, Sandrine se sentit un peu grosse.
Puis Laurence, l'hôtesse, nue elle aussi, révélant un corps bien proportionné, plongea à son tour et invita la compagnie à la rejoindre. Les vêtements volèrent, chacun exposant désormais sa nudité intégrale. Sandrine nota avec satisfaction que les deux femmes des couples mûrs avaient aussi des chairs abondantes. L'une , prénommée Roselyne, semblait même fière d'exposer ses seins lourds et sa large croupe tandis que l'autre, Mylène, un peu plus mince mais au fessier très bombé, se mettait déjà en condition en caressant le sexe de son compagnon tout en l'embrassant.
Sandrine se glissa dans l'onde avec volupté et à peine avait-elle commencé à nageotter qu'un des trois chats maigres l'aborda :
- Je vous trouve très belle. J'aime votre style naturel. Je m'appelle Rachid. On peut se tutoyer ?
Sandrine fut flattée de cet intérêt rapide de la part d'un des trois garçons qui n'était pas le moins sexy, loin de là. Il vint contre elle, dans son dos, debout dans l'eau peu profonde, et lui empauma les seins. Elle sentit son sexe durci contre ses fesses, ce qui l'électrisa. Habilement, il prolongea le moment en l'embrassant dans le cou. Elle fondait. Dans la piscine et autour, les couples se formaient déjà. Maud se faisait elle aussi peloter par Albert, le maitre de céans, également dans l'eau. Allongées sur un bain de soleil, Roselyne et Mylène se faisaient lécher le sexe par les conjoints de l'une et de l'autre, en échange. Fidèle à son intention, Magali suçait le petit brun en étant debout dans l'eau, le garçon assis au bord, les pieds dans l'onde, observant la pipe. Le troisième larron s'occupait de Laurence, l'hôtesse, déjà allongée au bord de la piscine, en faisant courir sa langue sur l'ensemble de son corps offert, cuisses déjà ouvertes, en attente d'une pénétration imminente.
Mais Sandrine ferma les yeux et se laissa emporter par les caresses de plus en plus précises de Rachid, très habile pour son âge, pensa-t-elle. Cette masturbation aquatique la mit au bord de l'orgasme, d'autant qu'il sut ne pas se presser. Il savait y faire, le bougre. Quand elle rouvrit les yeux quelques minutes plus tard, bien décidées à aller plus loin en sortant de l'eau, elle découvrit que les choses avaient évolué autour d'elle. Elle chercha Maud des yeux mais elle n'était plus dans la piscine. Sur les bains de soleil, les deux matrones étaient désormais pénétrées, les pieds en l'air, et piaillaient sous les assauts des conjoints échangés, faisant grincer les bains de soleil malmenés. Coincée dans l'eau contre le mur de la piscine par le petit brun qu'elle encerclait de ses jambes et de ses bras, la sexagénaire tressautait sur la bite au point de provoquer des remous. Sur le bord, Laurence se trouvait prise en levrette par un des trois jeunes, seins pendants, cul mouvant, sa chevelure blonde balançant au rythme des coups de boutoir de son partenaire. Sandrine croisa son regard un peu vitreux, signe de l'abandon total à la bite puissante qui la fouillait. Il était temps qu'elle s'y mette aussi. Il y avait trop longtemps qu'elle n'avait pas été baisée.
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Elle entraina Rachid à l'intérieur de la maison, bien décidée à trouver une couche plus confortable pour satisfaire ce beau mâle. En traversant le salon, elle reconnut les pieds de Maud qui talonnaient le cul poilu d'Albert, l'hôte des lieux, en train de la pilonner sur le sofa, couilles ballottantes. Après avoir attrapé un préservatif dans son sac à main, Sandrine chercha une chambre libre à l'étage, il n'en manquait pas. Le premier lit qui se présenta accueillit le couple nu et encore humide de la piscine. A peine Rachid fut-il coiffé d'une capote qu'il pénétra la plantureuse quadragénaire, aussi impatiente que lui de copuler. Elle l'adjura aussitôt de se retenir, craignant qu'il se laisse emporter par sa vigueur. Mais le jeune homme était endurant et la baisa longuement. Le moment le plus jouissif de Sandrine fut quand elle le chevaucha. Le torse superbe de Rachid la plongea dans une extase rare. Qu'un aussi beau mec puisse la baiser, elle avec ses rondeurs, sa chevelure poivre et sel et ses quarante balais bien sonnés, cela valait vraiment le coup de se laisser entrainer dans cette partouze.
Elle se fit fort de lui rendre tout ce qu'il lui donnait, par le verbe en célébrant sa bite, par ses roulements de hanches pendant qu'il la sodomisait, par l'agilité de sa langue autour de son gland, sur ses couilles et à l'intérieur de son anus, par la pression de ses mains sur ses fesses ou de sa nuque pendant qu'il explorait sa broussaille, bref tout mettre en oeuvre pour qu'il sache qu'elle était une vraie baiseuse, pour ne pas dire une grandiose salope, ce qu'il avait compris quand elle lui avait léché le petit trou. Quand il fut sur le point d'éjaculer, elle lui prit la queue et la glissa entre ses gros seins pour qu'il puisse l'asperger de son sperme, capote retirée. Une fin à la hauteur, dont il la remercia à sa façon :
- Tu es un coup en or massif, merci Sandrine.
- C'est gentil merci mais tu m'as aussi magnifiquement servie.
Sur ces amabilités réciproques, ils quittèrent la chambre et descendirent l'escalier, toujours nus, pour récupérer leurs vêtements laissés au bord de la piscine.
Arrivés dans le salon, ils découvrirent qu'un petit attroupement s'était créé autour du sofa. En glissant sa tête, Sandrine découvrit un spectacle étonnant. Sa copine Maud et la sexa sexy se tenaient à quatre pattes, côte à côte, les mains sur le dossier du sofa où elles se faisaient tringler par deux jeunes culs : celui du petit brun pour Maud et celui du troisième larron, un grand maigre, pour Magali la sexa. Les hommes se masturbaient et les femmes se caressaient en les regardant. Sandrine sentit son excitation à peine éteinte envahir à nouveau son bas-ventre au spectacle de ces deux jeunes mâles si virils dont les coups de boutoir suscitaient des "oh", des "ah", des "ouiii" dans la bouche des deux possédées en levrette.
D'un commun accord, les deux couples se dissocièrent, et choisirent de s'unir de manière que les jeunes hommes fussent assis et les deux femmes empalées sur eux. Maud fit face au petit brun, offrant au spectateur la vision de son cul bombé en mouvement alors que Magali se tourna vers l'assistance en virevoltant pieds au sol sur la bite du grand maigre avec force exclamations, la chevelure défaite, le visage déformé par la jouissance. A nouveau, Sandrine fut épatée par la santé sexuelle de cette sexagénaire au tempérament de feu : "elle me donne de l'espoir pour l'avenir", pensa-t-elle en regardant son petit corps se gaver de la grosse queue verticale. Elle sentit que dans son dos, une main coquine s'insinuait entre ses cuisses. Sans se retourner, la sienne glissa vers l'arrière et rencontra une queue tendue.
- Viens avec moi dans la cuisine, lui souffla la voix à l'oreille. Celle d'Albert, l'hôte.
Sandrine se rendit compte qu'elle n'était pas totalement rassasiée de sexe. Mais aussi, elle n'avait pas envie d'être en retrait de Maud, baisée au moins deux fois dans cette soirée. Elle suivit Albert qui la tenait par la main et la fit asseoir sur la table de la cuisine.
- J'aime les femmes non épilées, lui souffla-t-il, en tirant une chaise devant la table pour s'asseoir devant ses cuisses dodues, bien ouvertes.
Sandrine eut alors droit à un des meilleurs cunnis depuis des lustres. Albert était un expert. Elle était tellement chaude qu'elle connut un premier orgasme, accentué par le pétrissage de ses seins par le lécheur. Quand celui-ci se releva, il rencontra un regard humide, reconnaissant et implorant.
- Vite, baise-moi, j'en peux plus, gémit-elle.
L'homme s'enfonça debout avec délectation dans cette quadragénaire au sexe trempé en plongeant ses yeux dans les siens, se régalant au spectacle de ses seins largement étalés et mouvants au rythme de ses coups de bite.
- Tu aimes ça, hein, lui dit-il.
- Oh oui, j'adore, je te sens bien.
Ils poursuivirent ces petits échanges qui les excitaient mutuellement, elle lui parlant de sa bite, lui de sa chatte. Comme il avait déjà éjaculé dans Maud, il se sentait endurant.
- Tu as un cul magnifique, j'ai envie de t'enculer, lui dit-il.
Ayant été tout juste sodomisée par Rachid, Sandrine avait l'anus encore bien ouvert. Debout et coudes sur la table, elle accueillit sans difficulté Albert dont la peau du ventre claqua sur celle de ses fesses. C'est ce bruit éminemment érotique, ajouté au contact dans son rectum, qui la fit jouir une nouvelle fois, couvrant son dos de chair de poule. Surexcité par ce corps vraiment fait pour l'amour, l'enculeur expulsa quelques gouttes de sperme sur le sacrum en grognant. Sandrine se retourna et l'embrassa, un peu flageolante. Deux coïts aussi rapprochés, elle n'en avait plus l'habitude. Ils gagnèrent la piscine où les autres protagonistes se trouvaient déjà, comme pour laver leurs turpitudes. Ils applaudirent à leur arrivée car tous avaient évidemment jeté un oeil sur la cuisine. Curieusement, Sandrine se sentit flattée de cet accueil, comme si elle avait réussi une performance... Elle et Maud ne couchèrent pas sur place, contrairement aux autres. Elles éprouvaient le besoin d'une bonne nuit de sommeil.
- Tu es une vraie salope ! glissa la blonde à la conductrice sur le chemin du retour.
- Tu ne t'es pas vue. Ni entendue, lui fut-il répondu. Et elles éclatèrent de rire.
******
Plusieurs semaines s'écoulèrent et la vie routinière reprit son cours dans la librairie. Maud passait une tête de temps en temps et un jour ou l'autre, elle recommencerait à proposer une "vadrouille" à son amie pour se faire "péter les hormones". Mais ce jour là, c'est un jeune homme qui entra dans le local. Sandrine ne le reconnut pas immédiatement mais quand il lui demanda conseil pour un livre, elle s'aperçut qu'il s'agissait de Rachid, son jeune amant d'un soir. Un frisson parcourut son corps, de ses cheveux à ses orteils. Durant leurs échanges livresques, une onde de chaleur courut dans son bas-ventre et elle sentit les pointes de ses seins durcir. C'était tous les symptômes chez elle du désir sexuel. Quand, après avoir payé son livre, il fit mine de sortir, elle l'arrêta :
- Je vais fermer dans dix minutes. Tu veux qu'on déjeune ensemble ?
Il accepta. Et un peu plus tard, la librairie demeura inhabituellement fermée. A l'étage au-dessus, Sandrine et Rachid baisaient.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Micky,
c'est encore une belle histoire comme je les aime, que celle-ci.
Une véritable ode aux femmes qui assument leur libre sexualité...
Didier
c'est encore une belle histoire comme je les aime, que celle-ci.
Une véritable ode aux femmes qui assument leur libre sexualité...
Didier
Micky raconte mieux que quiconque l'épopée des "femmes qui baisent". Que c'est bon et que ça fait envie!