Sans filtre

- Par l'auteur HDS CDuvert -
Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Sans filtre Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sans filtre
Oh, bon Dieu, écoutez ça, je vais vous raconter cette soirée dingue en boîte de nuit, comme si j'y étais encore, avec tous les détails qui me reviennent, et croyez-moi, je ne vais pas lésiner sur les trucs chauds, parce que c'était torride, vraiment torride. Imaginez-moi, là, en train de vous le dire à voix haute, avec ma voix un peu essoufflée, comme si je revivais chaque seconde. Allez, on y va.

La musique, putain, elle pulse partout dans cette boîte. Un rythme sourd, profond, qui vibre dans mes veines comme un cœur qui s'affole, qui bat la chamade. Les lumières stroboscopiques clignotent comme des folles, elles dansent sur tous ces corps en sueur qui se trémoussent sur la piste, se collent, se frottent sans gêne. L'air est lourd, chargé d'odeurs qui vous prennent aux tripes : des parfums sucrés qui se mélangent à la transpiration salée, à l'alcool âcre qui imprègne tout, qui colle à la peau.

Moi, je suis là, toute seule au bar, accoudée à ce comptoir collant, poisseux de verres renversés. Je sirote un cocktail trop sucré, un truc sirupeux qui colle à mes lèvres, qui laisse un goût de fruit artificiel sur ma langue. Mes yeux balaient la foule dense, ces ombres mouvantes qui se pressent, se touchent, cherchent le contact, l'étincelle. Et puis, bam, je le vois. Lui. Grand, imposant, avec des épaules larges qui tendent son tee-shirt noir moulant, qui laisse deviner des muscles saillants dessous. Un sourire en coin, malicieux, qui promet du danger, de l'interdit, du genre qui vous fait mouiller direct. Nos regards se croisent, s'accrochent. Une étincelle, un feu qui s'allume. Il s'approche, il fend la marée humaine avec une assurance dingue, comme s'il possédait l'endroit. "Salut, beauté. Tu danses ?" Sa voix rauque, grave, qui couvre à peine le bruit assourdissant de la basse, qui vibre dans mes oreilles.

Je hoche la tête, un frisson glacé me parcourt l'échine, descend jusqu'à mes reins, me fait trembler un peu. Mon pouls s'accélère, il cogne fort dans ma poitrine. On se dirige vers la piste, main dans la main, sa paume chaude contre la mienne, rugueuse, qui envoie des picotements partout. La musique change soudain. Un slow. Lent, sensuel, comme une caresse auditive qui glisse sur la peau. Ses bras m'entourent, m'enlacent avec une force contenue, mais possessive. Il m'attire contre lui. Fort. Proche. Trop proche, putain, ça m'excite déjà.

Ses mains se posent sur ma taille, fermes, possessives, comme s'il marquait son territoire. Je sens sa chaleur irradier à travers ma robe fine, légère, qui moule mes courbes, mes seins ronds, mes hanches larges. Mon cœur bat plus vite, cognant dans ma poitrine comme un tambour de guerre, prêt à exploser. Nos corps se collent. Premier contact. Électrique. Une décharge qui me traverse de la tête aux pieds, allume un feu en moi, un brasier qui commence à brûler entre mes cuisses.

Ses lèvres frôlent les miennes. À peine. Un effleurement subtil, doux, provoquant, qui me fait frémir des pieds à la tête. Je ferme les yeux, m'abandonne à la sensation, laisse mon corps fondre. Sa bouche effleure ma joue, glisse lentement vers mon cou, laisse une traînée humide sur ma peau, une trace de salive chaude qui me donne des frissons. Je respire son odeur. Musc masculin, puissant, mêlé à une sueur légère, fraîche, qui sent le mâle en rut. Excitant. Enivrant. Mon corps réagit instantanément. Mes seins se tendent sous le tissu fin de ma robe, mes tétons durcissent, pointent comme des petits boutons durs, réclament l'attention, frottent contre le tissu qui les irrite délicieusement.

Je presse mes hanches contre lui, instinctive, animale. Et là, je le sens. Son sexe dur. Contre mon ventre. À travers son jean épais. Épais, rigide, palpitant, comme une barre de fer qui pulse. Il bande déjà. Pour moi. Une vague de chaleur monte en moi, irradie de mon bas-ventre, fait contracter mes muscles intimes, ma chatte qui se serre, se mouille. Humide. Déjà. Mon string colle à ma peau, imprégné de mon excitation naissante, de ce jus tiède qui commence à couler.

"Tu me rends fou", murmure-t-il à mon oreille, sa voix grave, chaude, comme un ronronnement animal qui vibre contre mon tympan. Ses mains descendent sur mes fesses, les empoignent. Il serre. Fort. Presque brutal, ses doigts qui s'enfoncent dans ma chair molle, qui me font mal un peu, mais putain que c'est bon. Je gémis doucement, un son étouffé qui se perd dans le vacarme ambiant, les basses qui couvrent tout.

Personne n'entend. Personne ne voit. Ou peut-être que si, et ça m'excite encore plus, l'idée qu'on nous mate. Je presse mon entrejambe contre sa cuisse. Dur, musclé, tendu sous le tissu. Je frotte. Lentement. Délibérément. Mon clitoris gonflé, sensible, contre le tissu rugueux de son pantalon, qui gratte juste comme il faut. Friction délicieuse, qui envoie des ondes de plaisir dans tout mon corps, des éclairs qui remontent jusqu'à mes tétons. Mon string est trempé, complètement, dégoulinant. Je sens l'humidité couler, tiède, le long de mes cuisses, qui glisse sur ma peau lisse. Mes lèvres intimes s'ouvrent, se gonflent, roses et humides, prêtes à accueillir plus, prêtes à tout, à se faire écarter, remplir.

On danse. Ou plutôt, on ondule. Nos corps se meuvent en rythme, collés, fusionnés, comme si on baisait déjà avec nos vêtements. Ses hanches poussent contre moi, insistantes, rythmées. Son érection appuie plus fort, se frotte contre mon ventre avec une urgence croissante, qui me fait imaginer sa queue en détail : grosse bite tendue, veines saillantes qui pulsent, prépuce retroussé, gland luisant de précum, prêt à me remplir, à m'écarteler, à me faire hurler. Je frotte plus vite. Ma chatte contre sa jambe.

Le jean rugueux excite mes lèvres, les irrite délicieusement, fait monter la sève, mon jus qui coule abondamment, imbibe le tissu, laisse une marque humide, visible peut-être pour ceux qui regardent. Il grogne, un son primal, guttural. "Je te sens, t’arrêtes pas." Ses lèvres capturent les miennes. Baiser profond, vorace. Sa langue envahit ma bouche, explore, domine, fouille chaque recoin. Goût de bière amère, de désir brut, salé. Je suce sa langue, avidement, comme je sucerais sa queue, l'aspirant, la léchant jusqu'à la faire exploser, imaginant le goût de son sperme chaud.

Le désir monte. Brûlant. Incendiaire. Il consume tout, me fait fondre de l'intérieur. Mes mains glissent sous son tee-shirt, effleurent sa peau chaude, moite, couverte d'une fine pellicule de sueur. Muscles durs, sculptés, qui se contractent sous mes doigts, qui roulent comme des vagues. Je griffe légèrement, laisse des traces rouges sur son torse, des marques qui le font haleter plus fort. Sa respiration s'accélère, haletante, chaude contre mon cou. Sa main remonte ma robe. Discrètement. Ou pas tant que ça, putain, on s'en fout, l'exhibition m'excite.

Doigts sur ma cuisse nue, remontent lentement, tracent un sillon de feu sur ma peau sensible. Il touche mon string. Mouillé. Dégoulinant, collant à mes lèvres gonflées. "T'es trempée pour moi." Oui, je hoche la tête, mordille sa lèvre inférieure, tire dessus avec mes dents, le fais grogner. Il écarte le tissu fin, trempé, le tire sur le côté. Un doigt effleure mon clito. Cercle lent, précis. Tourbillonnant, qui appuie juste là où il faut. Je halète, le souffle court, mes jambes tremblantes, qui flageolent sous l'assaut, prêtes à céder. La musique couvre mes gémissements, les avale dans son tumulte, mais je sens tout. Chaque rotation de son doigt, chaque pression qui fait pulser mon clitoris, gonfler mes lèvres, envoyer des spasmes dans ma chatte qui se contracte, vide, affamée.

***

Imaginez-moi, là, sur la piste de danse, collée à ce mec que je viens juste de rencontrer. La musique slow nous enveloppe comme une couverture chaude et moite, mais on n'est plus en train de danser innocemment, non. Nos corps se frottent, se cherchent, deviennent de plus en plus osés. Sa main, elle est toujours planquée sous ma robe courte, invisible pour les autres danseurs qui tournoient autour de nous, mais pour moi, putain, elle est partout.

Son doigt, il tourne encore autour de mon clito, il accélère un peu, appuie plus fort sur ce bouton sensible qui me fait fondre. Je sens la pression monter, comme une vague qui grossit dans mon ventre. Je me cambre contre lui, je presse mes seins gonflés contre son torse dur. Mes tétons, ils sont durs comme des cailloux, ils frottent contre le tissu fin de ma robe, envoyant des décharges électriques directes jusqu'à mon entrejambe trempé. Ça picote, ça brûle, ça me rend folle.

"Continue", je murmure, la voix rauque, presque un grognement. Il me regarde avec ce sourire dangereux, ce sourire qui dit qu'il sait exactement ce qu'il fait. "T'aimerais ça, hein ? Mes doigts dans ta petite chatte en chaleur." Ses mots crus, ils me transpercent, ils m'excitent encore plus. Je hoche la tête, je mordille ma lèvre inférieure pour étouffer un cri qui veut sortir. L'odeur de nos corps se mélange dans l'air lourd de la boîte : sa sueur musquée, virile, qui sent le mâle en rut ; mon excitation humide, ce parfum sucré et salé qui monte de ma chatte ; et tout autour, l'air chargé d'alcool, de phéromones, de transpiration des autres corps qui dansent. C'est enivrant, ça me donne le tournis.

Il en ajoute un deuxième, de doigt. Il le glisse le long de mes lèvres trempées, ces lèvres gonflées et ouvertes qui suintent déjà. Il les écarte doucement, avec une lenteur qui me torture, qui me fait haleter. Puis il entre. Lentement. Profondément. Mes parois intimes se contractent autour de ses doigts, avides, comme si ma chatte voulait les avaler tout entiers. Je sens chaque millimètre, chaque articulation qui me fouille, qui explore mes replis humides. Il commence à pomper, doucement d'abord, un va-et-vient langoureux qui me fait gémir. Puis plus vite, plus fort, ses doigts qui plongent et ressortent avec un rythme infernal. Les bruits humides, obscènes, ces étouffements mouillés qui résonnent entre nous, couverts à peine par la musique pulsée.

Mon jus coule sur sa main, dégouline le long de ses doigts, imbibe le tissu de ma culotte inexistante. "Écoute ça, t'es une fontaine", rit-il doucement à mon oreille, sa voix grave qui vibre contre ma peau. Je gémis, je ferme les yeux, la tête me tourne comme si j'étais ivre de désir. Et cette exhibition subtile : des regards nous frôlent, des danseurs proches pourraient deviner ce qui se passe sous ma robe, voir mes hanches qui tressautent imperceptiblement. Ça m'excite, putain, l'idée d'être vue, presque prise sur le fait, comme une salope qui se fait baiser en public.

Ses lèvres reviennent sur mon cou, elles mordillent la peau tendre, envoient une petite douleur aiguë qui se mêle au plaisir comme un cocktail explosif. Masochiste, ouais, j'aime ça, cette pointe de souffrance qui rend tout plus intense. Avec son autre main, il serre plus fort mes fesses, enfonce ses ongles dans ma chair molle, marque ma peau de petites griffures rouges. Je pousse un petit cri, étouffé contre son épaule, mais ça ne fait qu'attiser le feu. Le désir grimpe, escalade, devient insoutenable, comme une pression qui va exploser.

Mes hanches bougent d'elles-mêmes, se frottent contre sa main intrusive, cherchent plus de friction, plus de profondeur. Je sens son érection toujours dure, pressée contre mon ventre, cette barre rigide qui palpite, prête à exploser dans son pantalon. "Je vais te faire jouir ici, devant tout le monde", souffle-t-il à mon oreille, son haleine chaude qui me chatouille. L'idée me fait frissonner de la tête aux pieds, un mélange de peur et d'excitation pure. Bondage invisible : ses bras me retiennent, me contrôlent, comme des liens qui m'attachent à lui, me rendent captive de son toucher. Je suis à lui, complètement, offerte sur cette piste bondée.

Mais attendez, ça ne s'arrête pas là. Ses doigts continuent leur danse infernale à l'intérieur de moi, ils courbent, cherchent ce point sensible, ce point G qui me fait voir des étoiles. Je sens la pression monter, mes muscles se contracter autour de lui, ma chatte qui pulse, qui suce ses doigts comme une bouche affamée. "Oh merde, oui, comme ça", je halète, ma voix perdue dans la musique. Il accélère, ajoute un troisième doigt maintenant, étire mes parois, me remplit d'une façon qui me fait gémir plus fort.

Les bruits sont plus forts, plus sales, mon jus qui gicle presque, qui coule le long de mes cuisses. L'odeur de ma mouille envahit l'air, mélange de sel et de désir brut. Autour de nous, je sens les yeux des autres, ces regards curieux qui s'attardent, qui devinent peut-être que je suis en train de me faire baiser par ses doigts au milieu de la foule. Exhibitionniste, moi ? Ouais, ça me rend dingue, l'idée qu'ils pourraient voir ma robe relevée, mes lèvres écartées, ses doigts qui plongent.

Et lui, il ne s'arrête pas. Sa bouche descend sur mon épaule, mord plus fort, laisse des marques, une petite douleur sadique qui me fait cambrer encore plus. J'aime ce mélange, ce masochisme qui rend le plaisir plus vif. Sa main libre glisse maintenant vers l'arrière, effleure mon anus, taquine ce petit trou serré. "Tu veux que je te prenne là aussi ?" murmure-t-il, et je hoche la tête, excitée comme jamais. Il humidifie son doigt avec mon jus abondant, le presse contre mon cul, entre lentement, millimètre par millimètre. Double pénétration avec ses doigts, devant tout le monde. Mes sensations explosent : devant, ma chatte remplie, pompée ; derrière, cette intrusion qui me fait haleter, qui envoie des ondes de plaisir mêlées à une brûlure délicieuse. Je me frotte contre lui, contre son sexe dur qui frotte mon clito à travers le tissu. "Baise-moi plus fort", je supplie, et il obéit, ses doigts qui accélèrent, qui fouillent, qui me font monter vers l'orgasme.

L'ambiance est électrique : la musique qui pulse comme un cœur en rut, les odeurs de sueur et de sexe qui imprègnent l'air, les lumières stroboscopiques qui flashent sur nos corps enlacés. Mon humeur ? Je suis en feu, possessive, soumise, une salope qui en redemande. Ses bras me serrent comme des chaînes, je sens l'orgasme approcher, cette vague qui grossit, qui va me submerger.

***

Soudain, voilà qu’il retire ses doigts de ma chatte. Lentement, oh si lentement, comme s'il voulait me torturer avec chaque millimètre qui s'échappe. Ses doigts glissent hors de moi, couverts de mon jus épais, collant, qui brille sous les lumières tamisées de la salle. Je me sens vide d'un coup, pantelante, mes parois intimes qui se contractent sur rien, cherchant désespérément à retenir quelque chose, n'importe quoi.

Mon corps tremble, mes cuisses serrées l'une contre l'autre pour essayer de combler ce manque. Je proteste d'un gémissement long, rauque, qui sort de ma gorge comme un cri étouffé. "Aaaah... non, pas ça..." Mais lui, il sourit, ce salaud sadique. "Patience, salope," qu'il me dit, sa voix basse, autoritaire, qui me fait frissonner encore plus. Il porte ses doigts à ma bouche, ces doigts luisants de mon excitation, dégoulinants de ce mélange acide et salé qui est tout moi, tout mon désir accumulé.

"Goûte-toi," il ordonne, et je ne résiste pas. J'ouvre les lèvres, grandes ouvertes, comme une pute affamée, et je suce avidement. Ma langue tourne autour de ses doigts, lèche chaque goutte, aspire ce goût de moi-même – acide, salé, un peu musqué, comme du miel corrompu par le vice. C'est délicieux, putain, ça m'excite encore plus, mais c'est humiliant aussi, de me goûter comme ça devant lui, de montrer ma soumission.

Excitant au possible, mon clito qui pulse rien qu'à cette idée. Ses yeux brillent de sadisme pur, il me regarde sucer, et je sens son regard me percer, me dominer. Autour de nous, l'ambiance est lourde : des rires étouffés dans la pièce bondée, de la musique comme un cœur en rut, des verres qui tintent, et cette odeur – sueur, sexe, désir qui imprègne l'air, mélange de parfums bon marché et de phéromones en ébullition.

Il me plaque plus fort contre lui, son corps dur contre le mien, sa cuisse musclée qui s'insinue entre les miennes, écartant mes jambes sans ménagement. Et que je te frotte encore, oh oui, je me masturbe sur lui comme une chienne en chaleur, mon clitoris gonflé qui glisse sur le tissu rude de son jean. La friction est brutale, rugueuse, chaque mouvement envoie des éclairs de plaisir-douleur dans tout mon bas-ventre. Je sens mes lèvres intimes s'ouvrir, se frotter contre la couture, mon jus qui imbibe le tissu, le rend glissant. "Continue, frotte-toi comme une salope," il murmure à mon oreille, son souffle chaud qui me chatouille le cou. Je gémis en réponse, "Oui... putain, oui..." Mon corps entier réagit : mes seins tendus, pointes dures comme des diamants qui frottent contre son torse, ma chatte dégoulinante qui coule sur sa jambe, et même mon anus qui palpite, qui se contracte en imaginant ce qu'il pourrait y faire.

Je l'imagine me prendre là, maintenant, dans cette foule. Vaginal d'abord, sa queue épaisse qui s'enfonce dans ma chatte trempée, me remplissant jusqu'à la garde, cognant contre mon col. Puis anal, oh merde, son gland qui force mon trou serré, étirant mes chairs, me faisant hurler de cette douleur exquise qui se mue en plaisir fou. Tout, je veux tout : qu'il me baise partout, qu'il me remplisse de son sperme chaud. "Baise-moi," je murmure, suppliante, ma voix cassée par le désir. Il rit, un rire grave, moqueur. "Bientôt, petite pute. Pas encore."

Sa main revient, pas pour caresser, non, pour pincer mon clito. Fort, putain, si fort que la douleur explose, mélange de feu et d'extase. Je halète, je tremble de partout, mes genoux qui flanchent. "Aïe... oh oui... plus fort..." L'orgasme approche, inéluctable, une vague immense qui enfle dans mon ventre, qui monte, monte, me submergeant. Les sons autour amplifient tout : rires complices de ceux qui nous matent peut-être, musique qui vibre dans mes os, verres qui tintent comme des cloches de vice. Odeurs intenses : mon sexe qui pue le désir, sueur salée sur sa peau, un désir pur qui colle à l'air.

***

Après ça, j’ai toujours pas joui, hein, alors on s'écarte un peu de la piste. Lentement, pas comme des bourrins. Discrètement, pour pas alerter tout le monde d'un coup. On glisse vers ce coin sombre de la boîte, là où les lumières stroboscopiques clignotent à peine, comme des éclairs timides qui osent pas trop s'aventurer dans l'obscurité épaisse. C'est de l'exhibition quand même, vous voyez ? Des regards nous matent de loin, des yeux avides, curieux, qui devinent ce qu'on va faire. Des mecs et des nanas qui nous fixent, imaginant le pire, le meilleur.

Ça m'excite grave. Beaucoup plus que si on était seuls. Mon pouls s'emballe, genre un tambour dans ma poitrine, et mon corps tremble d'anticipation, comme si j'allais exploser avant même qu'il me touche. L'idée d'être vue, jugée, désirée par ces inconnus, ça allume un feu vicieux en moi, un truc qui brûle direct entre mes cuisses. Je sens ma chatte inondée, mes tétons qui pointent sous ma robe fine. Putain, j'adore ça, être exposée comme une chienne en chaleur.

Il me plaque contre le mur, brutal, sans ménagement. Bam ! Le béton froid contre mon dos nu, à travers le tissu fin de ma robe rouge qui colle à ma peau en sueur. Contraste saisissant avec la chaleur de sa peau à lui, brûlante, moite. Ses mains sont partout, possessives, voraces. Sur mes hanches, il serre fort, comme pour marquer sa territoire. Puis sur mes cuisses, il remonte lentement, écartant un peu mes jambes, frottant contre ma peau douce, rasée de près. Et sur mes seins, oh merde, il les malaxe sans pitié, sentant mes courbes fermes sous ses paumes.

Je halète déjà, mon souffle court, excitée par cette brutalité. Il tire sur le décolleté de ma robe, d'un coup sec, dévoilant un sein, le gauche. Mon mamelon dur, rose, érigé comme un petit pic sensible, pointant fièrement dans l'air chargé. Il le pince, fort, entre son pouce et son index, tordant la chair tendre. Douleur exquise qui irradie dans tout mon corps, comme une décharge électrique qui me fait gémir. Masochiste, ouais, j'aime ça profondément, cette morsure qui me fait mouiller encore plus.

"T'aimes ça, hein ? T'es une petite maso qui en redemande", qu'il me dit, sa voix rauque, moqueuse, avec un sourire sadique aux lèvres. Oui, putain oui ! Je cambre le dos, offre mon sein plus encore, le poussant vers sa bouche. Il suce mon téton, aspire fort, comme s'il voulait l'avaler tout entier. Puis il mordille la chair tendre, tiraille avec les dents, étirant la peau sensible. Vagues de plaisir descendent direct à ma chatte, électriques, brûlantes. Mon clitoris bat, gonflé, sensible au moindre frottement de mon string trempé. Mes lèvres intimes se contractent, humides, prêtes à exploser à nouveau, suintant de cyprine qui coule le long de mes cuisses. Je sens l'odeur de ma propre excitation, musquée, qui se mélange à l'air ambiant.

L'air est chargé, lourd, comme une soupe épaisse. Odeur de sueur fraîche, de sexe naissant qui imprègne tout, mêlée à l'alcool renversé et aux parfums bon marché des danseurs autour. La musique pulse toujours, basse sourde qui vibre dans mes os, me faisant trembler de l'intérieur. Des rires lointains, des verres qui tintent, des voix excitées qui bourdonnent. Mais ici, dans ce recoin, c'est notre bulle. Sale, interdite, où on peut se lâcher sans filtre. Des gens passent pas loin, jettent des coups d'œil, certains s'arrêtent même pour mater discrètement. Ça m'excite encore plus, cette exhibition, savoir qu'ils voient mon sein à l'air, qu'ils imaginent ce qui va suivre.

Je descends ma main, lentement, pour faire monter la tension. Sur son jean tendu, je caresse sa bite dure à travers le tissu épais. Longue, épaisse, elle palpite sous mes doigts, comme un serpent vivant qui se tortille. Je sens les veines saillantes qui pulsent, gonflées de sang, prêtes à exploser. Putain, c'est dur comme du bois, et chaud, même à travers le denim. Je défais la braguette, lentement, pour le provoquer. Le zip descend avec un bruit métallique discret, zipppp, libérant enfin son sexe. Il jaillit, chaud dans ma paume, brûlant contre ma peau. Peau douce, veloutée, contrastant avec la rigidité ferme, veinée.

Je le branle, doucement, haut en bas, mouvements lents, rythmés, sentant chaque centimètre glisser sous mes doigts. Il gémit, grave, profond, "Continue, salope. Branle-moi bien." Ouais, je continue, accélérant un peu, serrant plus fort autour de son gland humide, gonflé, qui luit de pré-sperme. Une perle tiède coule sur mes doigts, visqueuse, collante. Je porte ma main à ma bouche, lèche lentement, goût salé, musqué, délicieux, addictif. Ça m'excite plus, mon string colle, trempé, frottant contre mon clito enflé. Je sens ma chatte qui dégouline, mes lèvres gonflées qui s'ouvrent, prêtes pour plus.

Imaginez ça, là, dans ce club sombre, l'air chargé d'odeurs de sueur et de parfums bon marché, la musique qui pulse comme un cœur affolé, et lui, ce type que j'avais croisé à peine cinq minutes avant, qui me plaque contre le mur sans un mot. Brutal, oui, sans ménagement, et j'adore ça. Mon dos s'écrase contre la surface froide et rugueuse, genre brique mal finie qui me gratte les fesses, et je sens déjà mon corps qui réagit, qui tremble d'anticipation.

Mais voilà qu’Il me retourne d'un coup sec, ses mains comme des étaux sur mes épaules. "T'es à moi maintenant, petite salope," il grogne à mon oreille, sa voix rauque, sadique, qui me fait frissonner jusqu'aux orteils. Et hop, il attrape mes poignets, les plaque haut contre le mur d'une seule main, ferme et puissante, comme s'il voulait me briser les os – mais non, c'est juste assez pour m'immobiliser, pour me rendre vulnérable, à sa merci totale. Je ne peux plus bouger, mes bras tendus au-dessus de ma tête, mon visage pressé contre le mur, mon cul tendu en arrière, et putain, ça m'excite déjà tellement que je sens ma chatte qui commence à mouiller, les lèvres qui gonflent, prêtes à tout.

Avec son autre main, il descend lentement, oh si lentement, glissant sur mes cuisses nues sous ma jupe courte. Il les écarte d'un geste autoritaire, large, me forçant à ouvrir les jambes comme une pute en exposition. Vulnérable, oui, complètement offerte, et l'air frais du club caresse ma peau, me fait frissonner. Puis, sans prévenir, il attrape mon string – ce petit bout de tissu noir qui me couvrait à peine – et l'arrache d'un geste sec, violent.

Le bruit du tissu qui se déchire, net et tranchant, résonne dans mes oreilles, et il le jette par terre comme un trophée abandonné, piétiné par les pieds des danseurs autour. Maintenant, ma chatte est nue, exposée à l'air, ventilée sur mes lèvres gonflées, mon clitoris dressé comme un petit bouton dur qui pulse déjà. Un frisson délicieux me traverse, de la tête aux pieds, et je sens l'humidité couler le long de mes cuisses intérieures.

Il se colle contre moi, frotte sa queue dure contre mes fesses, glissant dans ma raie, son gland chaud qui taquine mon anus, le frôle, le presse juste assez pour me faire gémir. "Je vais te baiser ici, te remplir comme une chienne en chaleur," il dit, sa voix qui commande, sadique, autoritaire, avec ce ton qui me fait fondre. J'adore, putain, ça me fait mouiller encore plus, mon jus qui dégouline sans arrêt. "Oui, baise-moi. Prends-moi fort," je murmure, suppliante, ma voix étouffée contre le mur, le cœur qui bat la chamade.

***

Et là, sans attendre, ses doigts entrent en moi. Deux d'un coup, profonds, directs, qui s'enfoncent dans ma chatte avide. Elle se contracte autour d'eux, serre fort, avec ces bruits de succion obscènes, humides, qui résonnent dans ce coin sombre du club. L'odeur de sexe monte dans l'air, acre et enivrante, mélangée à la sueur de nos corps, à l'humidité ambiante. Il pompe vite, un rythme effréné, ses doigts qui touchent mon point G avec précision, chaque coup qui envoie des décharges électriques dans tout mon corps. Je crie presque, mais c'est étouffé contre le mur, mes jambes écartées au maximum, exhibée aux yeux des autres.

Oh, et il y a ce type au loin, un mec avec un sourire vicieux, qui sirote sa bière en nous matant, ses yeux rivés sur ma chatte doigtée comme ça, en public. Ça décuple mon excitation, être vue comme une pute, humiliée, masochiste, avec cette vague de honte qui se mélange au plaisir pur. Mes tétons durcissent sous mon top, frottent contre le tissu, et je sens mon anus qui se contracte aussi, comme s'il réclamait son tour.

Il continue à me doigter, ajoute un troisième doigt maintenant, étirant mes parois, me remplissant plus, et je halète, "Oh oui, plus fort, défonce-moi avec les doigts," je murmure, les dents serrées. Les sons sont dégoûtants, humides, comme un piston dans de la boue chaude, et l'odeur de ma mouille se répand, musquée, excitante. Il tourne ses doigts, frotte les parois intérieures, touche des zones sensibles que je ne connaissais même pas, et mon corps tremble, mes genoux flanchent presque, mais ses mains me tiennent ferme.

Enfin, il retire ses doigts, lentement, oh si lentement, me laissant vide et pantelante, ma chatte qui palpite, qui en redemande. Il les porte à ma bouche, "Suce encore. Goûte à nouveau ta chatte de salope," il ordonne, et j'obéis avidement, ouvrant les lèvres pour les engloutir, suçant fort, léchant chaque centimètre. Le goût de moi, acide et excitant, mêlé à son odeur de peau, délicieux, salé, qui me fait gémir. "C'est bon, hein ? Ta petite chatte de pute," il ricane, et je hoche la tête, la langue qui tournoie autour de ses doigts.

Puis, il positionne sa bite à l'entrée de ma chatte. Son gland large, brûlant, qui presse contre mes lèvres gonflées. Il pousse lentement, m'emplit centimètre par centimètre, étirant mes parois intimes, un plaisir intense mêlé à une douleur légère qui pince, parfaite, qui me fait cambrer le dos. "T'es serrée, putain, quelle chatte étroite," il grogne, haletant, sa voix rauque contre mon cou. Je pousse en arrière, l'engloutis tout entier jusqu'à la garde, sentant ses couilles poilues contre mes lèvres, chaudes et lourdes.

Il commence à bouger, des coups de reins lents et profonds au début, chaque va-et-vient qui frotte mon clito, une friction divine qui me fait voir des étoiles. Je sens ses couilles claquer contre moi, ce bruit obscène, humide, comme des claques sur de la chair mouillée. L'odeur de sueur et de sexe brut envahit tout, et sur la piste, la foule danse, certains ignorants, d'autres avec des regards insistants, exhibition totale qui me rend folle. "Regarde-les, ils te matent en train de te faire baiser comme une chienne," il murmure, et ça m'excite encore plus.

Il accélère, plus fort, sadique, une main qui glisse sur ma gorge, serre légèrement, me coupant l'air juste assez pour un vertige érotique, masochiste. Mon corps tremble, je jouis presque, la vague qui monte, enfle dans mon ventre. "Pas encore, petite pute," il dit, et il sort brutalement, me laissant vide à nouveau.

Il me retourne d'un coup, me force à genoux, mes poignets encore sensibles du bondage. Sa bite devant mon visage, luisante de mes jus, épaisse, veineuse, avec des veines qui pulsent. J'ouvre la bouche, engloutis avidement, ma langue sur le gland qui tournoie, lèche le pré-sperme salé, aspire fort. Il attrape mes cheveux, tire violemment, force plus profond, gorge profonde qui me fait tousser, larmes aux yeux, un plaisir douloureux qui me submerge.

Il baise ma bouche rapidement, coups de reins qui cognent au fond de ma gorge. "Avale tout, salope. Suce comme une pro," il grogne, et je gémis autour de sa queue, bave qui coule sur mon menton, odeur musquée de son pubis qui m'enivre. Les sons de succion, gargouillis, et ces ombres autour qui nous regardent, excitées, des mains qui se glissent peut-être dans leurs pantalons.

Oh, et il ne s'arrête pas là, il tire plus fort sur mes cheveux, me force à avaler plus profond, ma gorge qui se contracte autour de lui, et je sens son gland qui gonfle, prêt à exploser, mais il retient, sadique, prolongeant le tourment. "T'aimes ça, hein, être ma petite pute à genoux ?" il demande, et je marmonne un "oui" étouffé, les yeux levés vers lui, suppliante pour plus. L'ambiance est électrique, les basses de la musique qui vibrent dans mon corps, l'odeur de son sexe qui domine tout, et ces regards vicieux qui nous entourent, comme si on était le spectacle principal de la soirée.

***

Donc, après tout ce qui s'était passé avant – mais on y reviendra pas, hein, on se concentre sur la suite – il me relève d'un coup. Brutal, comme un animal en rut. Ses mains puissantes m'attrapent par les hanches, me soulèvent sans effort, et bam, il me plaque de nouveau contre le mur froid de ce coin sombre. Le choc me coupe le souffle un instant, mes seins écrasés contre la surface rugueuse, mes tétons durcis qui frottent douloureusement. Mais putain, ça m'excite encore plus. Cette fois, c'est clair, il vise l'anal. Pas de chichis, direct au cul. Je sens son corps massif derrière moi, sa queue encore raide qui tape contre mes fesses, chaude et pulsante.

Il crache sur ses doigts, un bruit cru, humide, comme un claquement de langue obscène qui résonne dans l'air chargé d'odeurs de sueur et de sexe. Ce son me fait frissonner, un mélange de dégoût et d'excitation pure. Il étale sa salive sur mon cul, glisse lentement sur l'anneau serré de mon anus. Je contracte instinctivement, mais il insiste, ses doigts rugueux qui massent, qui lubrifient. Puis, un doigt entre. Doucement d'abord, mais ferme. Ça étire, ça brûle, une douleur vive qui me fait grimacer, les dents serrées. Pourtant, c'est délicieux, cette brûlure qui se transforme en plaisir chaud, qui irradie dans tout mon bas-ventre. Je pousse un gémissement bas, comme un ronronnement de chatte en chaleur.

Il ne s'arrête pas là. Il ajoute un deuxième doigt. Pompe à un rythme régulier qui me fait haleter. Chaque mouvement étire mes chairs, frotte contre les parois sensibles de mon anus. La douleur initiale fond en un plaisir lancinant, comme une vague qui monte, qui inonde tout. Je gémis plus fort, ma voix qui tremble, qui se brise. "Prends-moi... Encule-moi maintenant", je supplie, la voix cassée, rauque, comme si j'étais au bord des larmes de désir. Mes mots sortent en un souffle, entrecoupés de petits cris. L'ambiance est lourde, la musique au loin qui pulse comme un cœur affolé, et cette odeur musquée qui commence à se répandre, mélange de sueur et de quelque chose de plus primal.

Il retire ses doigts, et je sens le vide un instant, frustrant, avant qu'il positionne sa queue. Son gland épais, gonflé, pressé contre mon anus. Il pousse, lentement, oh si lentement. Mon anus s'ouvre, résiste d'abord, puis cède sous la pression. Une douleur vive, qui pince, qui déchire, comme si on me fendait en deux. Je crie, un son étouffé contre le mur, mes ongles qui grattent la surface. Mais putain, ensuite, c'est le plaisir pur, intense, qui explose. Il entre tout, centimètre par centimètre, me remplit complètement. Sa bite épaisse qui glisse dans mon cul serré, étirant chaque millimètre, frottant des zones que je ne connaissais pas.

Il commence à coups lents, profonds. Chaque mouvement étire, frotte des coins sensibles à l'intérieur, envoyant des décharges électriques dans tout mon corps. Je sens sa queue palpiter, chaude, veineuse, qui va et vient avec une précision cruelle. Mes fesses claquent contre ses hanches à chaque poussée, un bruit sourd, rythmé, qui se mélange à nos respirations haletantes. L'odeur de sexe anal s'intensifie, musquée, terreuse, comme une terre humide après la pluie, mais en plus vicieux, en plus intime.

Pendant qu'il me pilonne le cul, je ne peux pas m'empêcher de me toucher. Ma main glisse entre mes cuisses, trouve mon clito gonflé, sensible. Masturbation frénétique, mes doigts qui tournent, pincent, tirent sur ce petit bouton de plaisir. Ça brûle, ça pulse, pendant qu'il me défonce par derrière. La tension monte, brûlante, insupportable, comme un feu qui consume tout. Ses grognements animaux, graves, bestiaux, vibrent contre mon dos. Mes cris étouffés contre le mur, des "oui" et des "plus fort" qui sortent malgré moi.

Il voit que je me branle, alors il m’attrappe les poignets, les plaque au-dessus de ma tête contre le mur pour que j’arrête. Ses mains comme des menottes vivantes, qui me maintiennent en place. Je suis à sa merci, exposée, et ça m'excite follement. Puis, les claques sur mes fesses. Fortes, sèches, qui claquent comme des coups de fouet. Ma peau rougit, brûle, devient rouge, brûlante. Chaque impact envoie une onde de douleur-plaisir qui se propage jusqu'à mon cul rempli, amplifiant tout. Sado-maso parfait, cette danse entre la souffrance et l'extase.

"T'aimes te faire enculer, chienne ?" il grogne, sa voix rauque, essoufflée, pleine de domination.

"Oui, plus fort ! Baises-moi !" je halète en réponse, ma voix qui tremble, suppliante. Je me cambre pour en recevoir plus, mes fesses qui ondulent sous les impacts.

La musique couvre tout, un battement sourd qui masque nos bruits, mais je sens des regards vicieux qui persistent. Des ombres dans la salle, des yeux qui nous matent, excités par notre exhibition sadique. Ça ajoute à la tension, cette sensation d'être vue, jugée, désirée, comme une pute en pleine performance. L'air est chargé d'odeurs – sueur salée, musc anal, et ce parfum de perversion qui flotte partout.

La tension grimpe, grimpe, comme une spirale infernale. Mon corps tremble, mes muscles se contractent autour de sa queue qui me laboure le cul sans relâche. Il a enfin libéré mes mains et je peux recommencer à me toucher. Mes doigts sur mon clito accélèrent, tournent en cercles frénétiques, pincent jusqu'à la limite de la douleur. Je sens mon jus, tiède, abondant, qui dégouline sur mes cuisses, rendant tout glissant, collant.

L'orgasme arrive enfin, une vague immense, déferlante, qui me submerge. Ma chatte convulse, vide mais pulsant comme si elle était remplie, des spasmes qui secouent tout mon corps. Le jus coule en ruisseaux chauds sur mes jambes, une sensation humide, libératrice. Lui, il jouit en moi, son sperme chaud gicle, remplit mon cul, brûlant, visqueux, qui déborde presque. On tremble ensemble, essoufflés, nos corps collés, suants, glissants de fluides.

La musique continue, pulsante, comme si le monde entier battait au rythme de notre extase. Le monde tourne autour de nous, flou, insignifiant. On s'embrasse alors, sauvage, langues qui se battent, mordillent, se sucent avec voracité. Ses dents qui pincent ma lèvre, ma langue qui explore sa bouche, promesse de plus. De nuits entières à explorer ces perversions infinies, à repousser les limites encore et encore.

Voilà, c'est comme ça que ça s'est passé, dans les moindres détails, et putain, j'en frissonne encore rien qu'à le raconter.

***

Après cette baise dingue dans le coin sombre de la boîte, on s'est rhabillés à la va-vite. Ma robe toute chiffonnée, collante de sueur et de jus. Mon cul encore brûlant, avec son sperme qui coulait un peu à l'intérieur, tu sais, cette sensation chaude et gluante qui me rend folle. Lui, il remontait son jean, avec ce sourire sadique aux lèvres. "T'es une vraie salope, putain, j'adore comment t'as pris ma bite dans ton cul."

Je rigole, essoufflée, le cœur qui tape encore comme un marteau. "Ouais, et toi t'es un bon enculeur, j'en veux encore." On se tient la main, on retourne au bar comme si de rien n'était. Mais je sens son sperme suinter entre mes fesses, ça glisse sur mes cuisses, et l'odeur de sexe nous suit partout – musquée, salée, mélangée à la transpiration et à l'alcool qui imprègne l'air. La musique pulse toujours, basse lourde qui vibre dans mes os, et les gens autour dansent, ignorants ou pas.

Au bar, lumières tamisées, verres qui s'entrechoquent, rires gras dans le fond. On commande deux bières, bien fraîches, avec la mousse qui déborde et coule sur le comptoir collant. Je bois une gorgée, glacée, ça rafraîchit ma gorge irritée par tous ces gémissements étouffés. Lui, il me fixe avec ses yeux brillants de désir. "T'as aimé ça, hein ?" me murmure-t-il à l'oreille, sa voix rauque qui me fait frissonner. Je hoche la tête, je m'approche plus près, pose ma main sur sa cuisse sous le bar. "Ouais, c'était brutal, parfait. Ton sperme coule encore en moi, ça m'excite grave." Mon clito palpite toujours, sensible, gonflé, et je sens ma chatte qui mouille à nouveau juste en y repensant.

Et là, je repère son copain. Assis pas loin, grand type brun avec des tatouages qui courent sur ses bras musclés, genre bad boy qui te déshabille du regard. Il flashe direct sur moi, ses yeux qui glissent sur mes seins, mes jambes, comme s'il imaginait déjà me baiser. "Salut, mec, c'est qui cette bombe ?" qu'il lance à mon gars, voix grave et amusée. Mon mec rit, me serre la taille. "Ma conquête du soir, chaude comme la braise, elle vient de se faire démonter." Le copain s'approche, me mate sans gêne. "Enchanté, beauté, t'es canon, putain."

Je souris, coquine, et c'est moi qui prends l'initiative – je pose ma main sur son bras, effleure ses tatouages du bout des doigts. "Moi aussi, enchantée. T'as l'air d'un mec qui sait s'amuser." L'idée d'un plan à trois me trotte dans la tête, ça m'allume direct, deux bites pour moi, double dose de plaisir sadique et maso. Je suis d'accord, même plus, c'est moi qui lance : "Et si on s'amusait à trois ? J'ai envie de vous sentir tous les deux en moi."

Ils se regardent, sourient comme des loups, excités. "Putain, ouais, t'es une salope géniale." Dit le copain. Mon mec hoche la tête. "Allons dehors, par derrière, on va te faire hurler." On paie vite fait, et on sort par la porte de service, moi qui les tire presque par la main, impatiente.

Dehors, la ruelle est sordide, putain, peu de lumières, juste un néon qui clignote au loin, jetant des ombres zarbi. Poubelles qui débordent, odeur d'urine rance et de déchets pourris qui pique le nez, air frais et humide sur ma peau moite. Bruits lointains de la boîte, basse qui vibre encore dans l'air, et peut-être des pas qui traînent au bout de la rue. Exhibition totale, quelqu'un pourrait nous mater, et ça m'excite grave, cette idée d'être vue comme une pute en train de se faire prendre. Ils m'entourent, deux corps chauds, massifs, qui me coincent contre le mur froid et crade. Leurs mains se posent direct, sur mes hanches, mes fesses, caresses à travers les vêtements, douces au début, puis plus insistantes, par-dessus ma chatte trempée.

C'est moi qui prends l’initiative, je glisse mes mains sous leurs tee-shirts, caresse leurs torses durs, griffe légèrement leurs abdos. "Touchez-moi, bande de salauds, je suis déjà trempée pour vous." Le copain glisse une main sous ma jupe, frotte mon clito gonflé. "C’est vrai que t'es trempée, salope, une vraie fontaine." Murmure-t-il, et je gémis, presse mes cuisses contre sa main pour plus de friction.

Mon mec, lui, pince mes tétons à travers mon t-shirt, dur, tord un peu, douleur exquise qui me fait cambrer le dos. "T'aimes ça, hein ? Être tripotée comme une pute dans une ruelle pourrie." Je hoche la tête, haletante. "Ouais, pince plus fort, fais-moi mal." Masochiste, j'adore cette brûlure qui descend direct à ma chatte, fait couler plus de jus. L'odeur de ma mouille monte, acide et excitante, mêlée à leur sueur masculine et à la puanteur des poubelles.

Je descends mes mains sur leurs braguettes, caresse leurs bites dures à travers les jeans, longues et épaisses qui palpitent. "Vous bandez dur pour moi, hein ? Laissez-moi vous sortir." Ils grognent, excités. Le copain frotte plus vite mon clito, j’écarte un peu mes cuisses pour qu’il effleure mes lèvres nues, gonflées, humides. Il enfonce un doigt, profond, fait des cercles lents qui me font trembler les jambes.

"Écoute ce bruit, ta chatte qui suce mon doigt." Je crie doucement, pousse mes hanches contre lui. Mon mec embrasse mon cou, mordille fort, laisse des marques rouges sur ma peau. "On va te baiser fort, à deux, te remplir comme une chienne." Sa voix me fait frissonner, et je réponds : "Oui, baisez-moi, mais d'abord, laissez-moi vous sucer tous les deux."

Tension qui monte, progressive, brûlante, mon corps en feu, chatte dégoulinante, anus qui palpite encore de la baise d'avant. Ils sortent leurs queues, dures, veineuses, glands luisants de pré-sperme qui perle comme des gouttes tièdes. Je m'agenouille direct sur le sol sale, graviers qui crissent sous mes genoux, poubelles autour qui puent la pourriture, mais ça ajoute au truc crade et excitant. Double fellation, c'est moi qui décide de l'ordre. J'attrape les deux bites, une dans chaque main, branle doucement, haut en bas, peau douce et chaude qui glisse sous mes paumes. "Suce-nous, salope, montre-nous ta bouche de pute." Ordonne mon mec, mais c'est moi qui mène : "Attends, je commence par toi, pour te remercier de m'avoir enculée tout à l'heure."

J'engloutis sa queue, profond, gorge qui se contracte autour, je tousse un peu, larmes aux yeux de l'effort, mais plaisir douloureux, maso pur. Je suce avidement, langue qui tournoie sur le gland, aspire fort le pré-sperme salé, délicieux. Il tire mes cheveux, force plus loin. "Avale tout, chienne." Je gémis autour de sa bite, bave qui coule sur mon menton, odeur musquée de son pubis qui envahit mes narines. Puis je passe au copain, sa bite plus épaisse, je lèche le gland lentement, goûte son pré-sperme, plus amer, excitant. "Putain, t'es bonne, continue." Grogné-t-il. J'alterne, une bite en bouche, l'autre branlée frénétiquement, sons de succion obscènes, gargouillis humides, bave partout. Bruits de pas au loin, quelqu'un qui approche peut-être, nous mate dans l'ombre, ça décuple mon excitation, me fait sucer plus vite, plus profond.

Ils se retiennent, couilles qui se contractent sous mes doigts, mais je sens qu'ils vont craquer. "Pas encore, les gars, je veux plus." je dis, en relevant la tête. Ils me relèvent brutal, me plaquent contre une poubelle froide qui sent le métal rouillé et les ordures. Mon mec improvise, sort sa ceinture, attache mes poignets derrière mon dos, serré, cuir qui mord la peau. "T'es à nous, salope, immobilisée." Je ris, excitée. "Ouais, attachez-moi, mais baisez-moi fort maintenant."

Ils soulèvent mon t-shirt, dévoilent mes seins nus, tétons durs et roses qui pointent dans l'air frais. Pincent, tordent fort, douleur vive qui me fait gémir, plaisir pur qui irradie ma chatte. Relèvent ma jupe jusqu'à la taille, m'exposent complètement. Air frais sur ma chatte nue, dégoulinante, lèvres ouvertes et gonflées, clito dressé qui pulse. "Regardez cette salope, toute mouillée et prête." Rit le copain, et je réponds : "Touchez-moi, doigtez-moi d'abord." Exhibition totale, le néon clignote, nous éclaire par flashes, des ombres pourraient voir, et ça me rend folle.

Mon mec se place derrière, en levrette, queue qui s'enfonce direct dans ma chatte, profond, étire mes parois serrées, plaisir intense avec une pointe de douleur parfaite. "T'es serrée, putain, une vraie chatte de pute." Grogne-t-il, coups de reins lents au début, puis rapides, profonds, ses couilles qui claquent contre mes lèvres avec un bruit humide, obscène. Pendant ça, je suce l'autre, la bite du copain devant mon visage, luisante de ma bave, j'engloutis avidement, langue sur le gland, aspire fort pendant qu'il me baise la bouche, tire mes cheveux pour aller en gorge profonde. Je tousse, ma bave coule, mais je pousse ma tête plus loin pour le prendre entier.

Tension qui grimpe, brûlante, insupportable, mon clito frotte contre le bord de la poubelle, friction rude, et je me tortille pour le doigter d'une main, même attachée, masturbation frénétique pendant qu'ils me pilonnent. Sons : grognements animaux, mes cris étouffés autour de la bite, odeur de sexe brut, sueur acide, poubelles pourries. Sadique : mon mec claque mes fesses fort, peau qui rougit, brûle, marques rouges. "Prends ça, chienne, hurle pour nous." Je gémis plus fort. "Oui, frappe plus, encule-moi après si tu veux !" Maso parfait, douleur qui amplifie tout.

Son copain, devant moi, me tient le menton, force ma bouche à rester ouverte pour sa bite épaisse qui va et vient. Fellation profonde, mes lèvres étirées autour de son gland gonflé, ma langue qui lèche les veines saillantes, goût salé de sa peau moite. Je suce avidement, gémissant autour de sa queue, pendant que mon mec me pilonne la chatte par derrière. Pénétration vaginale rythmée, sa bite dure qui s'enfonce profond, frottant mes parois intimes, étirant ma vulve trempée. Chaque coup de reins claque contre mes fesses, un bruit humide, obscène, qui résonne dans la ruelle. Odeur de sexe brute, mélange de sueur aigre, de cyprine musquée et de cette puanteur urbaine qui rend tout plus vicieux.

Je sens la tension grimper, brûlante, dans mon ventre. Mes seins ballottent, tétons durs qui frottent contre le jean déchiré du copain. Il pince mes mamelons, tord, tire, une douleur aiguë qui se mue en plaisir lancinant – masochisme délicieux. "Avale-moi plus profond, chienne", il ordonne, poussant ses hanches pour que sa bite touche le fond de ma gorge. Je tousse, bave, mais j'obéis, mes yeux larmoyants levés vers lui, suppliants. Mon mec, derrière, accélère, ses doigts qui glissent vers mon clito, masturbation frénétique qu'il m'impose, cercles rapides sur ce bouton sensible qui pulse. "T'aimes ça, te faire remplir des deux côtés ?", il ricane, claquant ma fesse d'une main libre. La peau brûle, rougit, chaque claque amplifie les vagues de plaisir qui montent.

Pour pimenter, mon mec me tire les bras en arrière, m'arquant plus. Cuir qui mord la peau, marques rouges qui brûlent, douleur qui m'envoie des décharges de plaisir. "Regarde-toi, exposée comme une pute de rue", il dit, claquant mes fesses encore, fort, laissant des empreintes chaudes. Exhibition totale : un type passe au bout de la ruelle, s'arrête pour mater, son regard vicieux qui nous excite tous. Le copain rit, "Viens voir, mec, elle adore être vue en train de se faire baiser". Je gémis plus fort, le corps offert, l'humiliation amplifie tout.

Ils accélèrent, synchronisés, une bite dans ma chatte, l'autre dans ma bouche. Caresses partout : mains qui pétrissent mes seins, pincent les tétons, descendent pour frotter mon clito en cercles insistants. Je me tortille, supplie, "Plus fort, frappez-moi, remplissez-moi !". Claques sur mes cuisses, morsures sur l'épaule – masochisme qui pousse la tension au bord du gouffre. L'ambiance est crade, moite, la ruelle qui pue, mais ça rend le tout plus réel, plus torride. Mon mec dominateur, grognant de plaisir ; le copain vicelard, riant ; moi, soumise mais affamée, haletant des "oui" et des "encore".

Ça y est, la vague immense déferle. Tout mon corps se tend, ma chatte convulse autour de la bite de mon mec ; le copain force ma bouche, fellation goulue où je lèche, suce, avale sa longueur entière.

L'orgasme arrive, brutal. Vague immense qui déferle, me submerge. Ma chatte convulse autour de sa bite, spasmes violents qui serrent, pulsent, jus qui gicle abondant sur mes cuisses, tiède et collant, ruisseaux chauds qui coulent le long de mes jambes tremblantes. Sensation de libération, de feu liquide qui explose. Ils jouissent en jets puissants, chauds : mon mec remplit ma chatte de sperme brûlant, visqueux, qui déborde, mélange à mon jus ; le copain dans ma bouche, salé et épais, que j'avale goulûment, gorge qui se contracte, goût amer qui envahit tout.

On tremble tous ensemble, essoufflés, corps collés et suants dans cette ruelle crade. Peaux glissantes, odeurs de sperme frais, de sueur acre, de sexe accompli. La nuit tourne autour de nous, floue, promesse de plus, de perversions sans fin – nuits entières à explorer, à se faire attacher, baiser en public, mélanger douleur et extase. Putain, c'était dingue, je te jure, un moment gravé dans ma chair, qui me fait encore frissonner. T'imagines si ça recommençait ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bien mais beaucoup trop long !



Texte coquin : Sans filtre
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