Se faire mettre par 31 : un jour de l’an libertin
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Se faire mettre par 31 : un jour de l’an libertin
« Ca te dérange si on monte ? » Il était bien loin de minuit quand Chrystèle demanda à Léopold si elle pouvait suivre à l’étage l’homme qui la draguait insolemment pratiquement depuis leur arrivée à cette soirée de Nouvel an. Le lieu : un beau pavillon de la banlieue parisienne. Les hôtes : un couple tout ce qu’il y a de banal. Elle un peu forte, lui assez mince, la quarantaine. Les invités : une vingtaine de couples, cinq ou six hommes seuls dont Luis, un Espagnol râblé mais juste entreprenant comme Chrystèle les appréciait. Chrystèle : 1m75 sans les talons, les « plus beaux seins du circuit » selon Ethan co-organisateur de la soirée, un cul à vous damner, un beau 95C qui déborde de son fourreau rouge, presque 30 ans. Léopold enfin : 1m80 de charme pas très viril, un corps mince et glabre, la jeune trentaine.
« Non vas-y. On aurait pu attendre minuit mais si tu y tiens.
- Et ça ne te dérange pas d’attendre ici. Je me sens plus libre quand tu n’es pas là. »Ni une ni deux Chrystèle se lève, suivie de Luis qui ne tarde pas à lui prendre la main. Léopold se sent soudain si seul et rejoint d’autres convives qui discutent sous la véranda en mangeant quelques huitres et en buvant du champagne. Un brin amusés d’avoir vu sa compagne se précipiter dans le stupre avant l’ouverture programmée des hostilités. Il est 23 h 15. Léopold espère qu’elle sera redescendue avant minuit.
La suite de la soirée est racontée par Chrystèle : « Il m’avait tout de suite plu. Pas très beau mais costaud. Et surtout entreprenant. A côté du buffet il avait commencé par me faire des compliments sur ma robe mais surtout à me dire que j’étais "très jolie". Comprenez moi. Des compliments sur mes fesses ou mes seins j’en ai entendus des centaines en un peu plus d’un an de libertinage. Mais sur ma beauté beaucoup moins. Je sais que je suis jolie mais j’ai toujours eu un sentiment d’infériorité vis à vis de filles vraiment belles. Au visage parfait. Je ne suis que très jolie même si je sais aussi que je fascine bien des garçons avec une beauté un peu décollée.
Bref quand Luis m’a dit que j’étais belle j’ai tout de suite craqué. Lui n’était effectivement pas top. En tout cas pas le genre d’homme que Léopold aime me voir baiser. Mais il me plaisait. Quand il m’a dit à l’oreille "on monte, tu veux" j’ai d’abord hésité, je savais que Léopold n’allait pas être content, mais quand Luis a remonté sa main le long de ma jambe, quand il a effleuré mon sexe – je ne mets plus de culotte dans les soirées, on les perd ou des fétichistes vous les volent – je n’ai plus réfléchi…Quelques instants plus tard Luis me prenait la main puis me suivait dans l’escalier où je m’amusais à balancer mes fesses sous son regard que j’imaginais bien salace. Quelques instants encore et nous entrions dans une grande chambre, celle de nos hôtes j’imagine, où une lumière tamisée incitait à la débauche. Je regardais par la fenêtre quand Luis se colla à mes fesses. Je sentais qu’il bandait déjà. C’est tellement plus agréable de sentir un mec excité. De ne pas se dire qu’il faudrait le sucer pour avoir un résultat. Que je ne le sucerai que pour le plaisir et pour le rendre encore plus dur.
Quelques instants plus tard, après que Luis ait descendu ma robe pour me prendre les seins – en soirée je ne mets pas non plus de soutien gorge, vous savez pourquoi – je me retournai pour sortir son sexe. Pour une femme c’est toujours une énigme : a-t-il une grosse bite, moyenne, petite, droite, recourbée ? Et ses couilles sont-elles petites, moyennes, énormes ? En l’occurrence Luis était dans la bonne moyenne. Une belle bite, bien droite, des couilles rasées, douces, que j’appréciais de lécher. Sans être très dirigiste il m’avait mis les mains sur la tête et m’incitait à le prendre le plus loin possible dans ma bouche : "Oui, c’est bien, tu suces bien".
Quelques instants plus tard il m’avait fait me coucher sur le lit – grand dessus de lit bleu, très large -, avait remonté ma robe et me léchait avec l’application d’un jeune chiot. Sans plus de talent. Des figures imposées d’une soirée libertine le fait de me faire lécher le sexe par des hommes peu adroits m’avait toujours semblé le moins intéressant. Mais bon, il fallait bien qu’ils justifient la pipe qu’on leur avait ou qu’on allait leur faire. Et Luis voulait se justifier à défaut d’avoir le moindre talent en cunnilingus. Mais viens me prendre pensais-je…Quelques instants plus tard il se décidait. Allez : mets ta capote. Oui. Léopold doit déjà en avoir marre. Pourvu qu’il ne monte pas. Je préfère baiser quand il est ailleurs. Pour me lâcher.
Oui Luis me prend. C’est bon. Ces premiers instants où tu prends conscience de la taille du sexe de ton partenaire. Où il prend son rythme. Qu’il écarte tes jambes. Non pas trop haut, je ne suis pas si souple. Quand il t’embrasse. Que tu réponds à son baiser. Qu’il te prend plus vite. Oh j’aime ça. Oui retourne moi. Oui écarte moi les jambes. Ah zut il est un peu petit pour bien me prendre en levrette. "Tu peux un peu te baisser s’il te plait". Je suis maintenant en levrette face à la porte. Luis me pilonne. J’aime ça. Je prends mon pied. Mais pourquoi Léopold n’a-t-il jamais été capable de me baiser comme ce Luis ? »
Léopold a fini par monter pour rappeler à Chrystèle que minuit approche. Les cheveux tombés sur les yeux elle ne le voit pas. Toute entière concentrée sur sa jouissance et les coups de boutoir de Luis, qui jette un regard malicieux à Léopold, style « je vais te la rendre mais elle ne m’oubliera pas ». Léopold qui regarde et décide de redescendre. Quelques minutes plus tard Chrystèle et Luis en font autant. Elle a le feu au joue. « C’était bien ? », lui demande Léopold. « Oui. Il est bon ! Endurant. » Elle l’embrasse : « Tu vois, il n’est pas tout à fait minuit »Quelques instants plus tard il est minuit. Chrystèle embrasse passionnément Léopold qui ne peut s’empêcher de penser qu’il a seulement quelques instants c’étaient la langue et la bite d’un autre qui avaient ce privilège… Quant à Luis il a rejoint une femme qui semble être son épouse. Ou une copine qui l’accompagnait ? D’autres hommes, d’autres femmes, viennent embrasser Léopold et Chrystèle. Les caresses fusent, les hommes touchent les seins des femmes, palpent leurs fesses. Les femmes se laissent faire. Peu prennent des initiatives. Pourtant l’une fait plus que se rapprocher de Léopold. Pas très grande, très mince, très jolie, sans doute 35 ans, elle lui glisse dans l’oreille : « J’ai envie de toi.
- Moi aussi.
- Montons. » A ce stade de la soirée les couples montent les uns après les autres. Les quelques hommes seuls rodent et Léopold voit Ethan discuter avec Chrystèle. Sans remords il l’a laisse pour accompagner celle qui lui dit s’appeler Vanessa.
C’est donc Léopold qui raconte la suite : « Vanessa est très jolie, très mince, je ne vois pas trop qui est son mari, peut-être est-elle seule mais je m’en fiche complétement en regardant ses jolies fesses monter l’escalier devant moi. A peine dans une chambre, pas très grande, l’autre est déjà envahie, nous nous embrassons. Pour une fois dans ces soirées j’ai l’impression de vivre une soirée classique. Elle est très mince, pas trop de formes, cela me fait drôle d’être avec une femme beaucoup moins grande que Chrystèle. Je suis beaucoup plus grand et c’est agréable de l’embrasser comme dans un film de John Wayne, le grand cow-boy et la femme amoureuse.
Je prends ses fesses, je la déshabille. Sa robe, tout droit sortie d’un sex shop, est très décolletée mais pas facile à enlever. Comme Chrystèle elle ne porte ni culotte ni soutien gorge. Ouf j’y suis. Je la lèche. Elle semble apprécier. Pas comme Chrystèle. Allongée sur le lit elle me prend les cheveux et me serre contre elle. J’adore lécher, pénétrer un sexe de ma langue, la sentir fatiguée. J’adore que les femmes me tiennent par les cheveux…Elle se relève : "Viens, je vais te sucer". Je me déshabille. Je bande bien. Elle me fait me coucher sur le lit. Des couples passent la tête par la porte et nous regardent. Elle me suce. Un peu trop vite pour moi. Je préfère le rythme très doux de Chrystèle. Je débande un peu. "Va moins vite s’il te plait". Je lui palpe ses petits seins. Mais pourquoi les femmes croient-elles qu’il faut pomper les mecs en mode marteau pilon ? C’est tellement meilleur quand c’est doux, long. Vanessa le comprend. Elle monte et descend le long de mon sexe. Je lui met la main sur la tête. Docile elle suit mes indications.
Et là je la prends ; classique en missionnaire. Elle m’embrasse, me prend la tête à pleine main, je sens ses mains dans le dos, sur mes fesses, j’adore mais je ne veux pas jouir trop vite. Je tiens le coup. Je la retourne. La couche dans le lit. J’adore les pénétrations comme cela avec une femme bien excitée, mon sexe qui coulisse. Elle gémit. Elle jouit. Moi aussi.
C’est l’heure du câlin. J’ai rapidement placé le préservatif usagé dans un mouchoir. Nous nous embrassons encore. Nous avons vraiment bien fait l’amour et je sais que Vanessa est fière de m’avoir fait jouir. Elle part prendre une douche. Partout les couples sont nus. Les femmes impudiques.
« Ca t’a plu ?
- Oui mais il n’y avait pas 31 mecs pour me prendre. Seulement deux avec Ethan. Tu m’a abusé. »
« Non vas-y. On aurait pu attendre minuit mais si tu y tiens.
- Et ça ne te dérange pas d’attendre ici. Je me sens plus libre quand tu n’es pas là. »Ni une ni deux Chrystèle se lève, suivie de Luis qui ne tarde pas à lui prendre la main. Léopold se sent soudain si seul et rejoint d’autres convives qui discutent sous la véranda en mangeant quelques huitres et en buvant du champagne. Un brin amusés d’avoir vu sa compagne se précipiter dans le stupre avant l’ouverture programmée des hostilités. Il est 23 h 15. Léopold espère qu’elle sera redescendue avant minuit.
La suite de la soirée est racontée par Chrystèle : « Il m’avait tout de suite plu. Pas très beau mais costaud. Et surtout entreprenant. A côté du buffet il avait commencé par me faire des compliments sur ma robe mais surtout à me dire que j’étais "très jolie". Comprenez moi. Des compliments sur mes fesses ou mes seins j’en ai entendus des centaines en un peu plus d’un an de libertinage. Mais sur ma beauté beaucoup moins. Je sais que je suis jolie mais j’ai toujours eu un sentiment d’infériorité vis à vis de filles vraiment belles. Au visage parfait. Je ne suis que très jolie même si je sais aussi que je fascine bien des garçons avec une beauté un peu décollée.
Bref quand Luis m’a dit que j’étais belle j’ai tout de suite craqué. Lui n’était effectivement pas top. En tout cas pas le genre d’homme que Léopold aime me voir baiser. Mais il me plaisait. Quand il m’a dit à l’oreille "on monte, tu veux" j’ai d’abord hésité, je savais que Léopold n’allait pas être content, mais quand Luis a remonté sa main le long de ma jambe, quand il a effleuré mon sexe – je ne mets plus de culotte dans les soirées, on les perd ou des fétichistes vous les volent – je n’ai plus réfléchi…Quelques instants plus tard Luis me prenait la main puis me suivait dans l’escalier où je m’amusais à balancer mes fesses sous son regard que j’imaginais bien salace. Quelques instants encore et nous entrions dans une grande chambre, celle de nos hôtes j’imagine, où une lumière tamisée incitait à la débauche. Je regardais par la fenêtre quand Luis se colla à mes fesses. Je sentais qu’il bandait déjà. C’est tellement plus agréable de sentir un mec excité. De ne pas se dire qu’il faudrait le sucer pour avoir un résultat. Que je ne le sucerai que pour le plaisir et pour le rendre encore plus dur.
Quelques instants plus tard, après que Luis ait descendu ma robe pour me prendre les seins – en soirée je ne mets pas non plus de soutien gorge, vous savez pourquoi – je me retournai pour sortir son sexe. Pour une femme c’est toujours une énigme : a-t-il une grosse bite, moyenne, petite, droite, recourbée ? Et ses couilles sont-elles petites, moyennes, énormes ? En l’occurrence Luis était dans la bonne moyenne. Une belle bite, bien droite, des couilles rasées, douces, que j’appréciais de lécher. Sans être très dirigiste il m’avait mis les mains sur la tête et m’incitait à le prendre le plus loin possible dans ma bouche : "Oui, c’est bien, tu suces bien".
Quelques instants plus tard il m’avait fait me coucher sur le lit – grand dessus de lit bleu, très large -, avait remonté ma robe et me léchait avec l’application d’un jeune chiot. Sans plus de talent. Des figures imposées d’une soirée libertine le fait de me faire lécher le sexe par des hommes peu adroits m’avait toujours semblé le moins intéressant. Mais bon, il fallait bien qu’ils justifient la pipe qu’on leur avait ou qu’on allait leur faire. Et Luis voulait se justifier à défaut d’avoir le moindre talent en cunnilingus. Mais viens me prendre pensais-je…Quelques instants plus tard il se décidait. Allez : mets ta capote. Oui. Léopold doit déjà en avoir marre. Pourvu qu’il ne monte pas. Je préfère baiser quand il est ailleurs. Pour me lâcher.
Oui Luis me prend. C’est bon. Ces premiers instants où tu prends conscience de la taille du sexe de ton partenaire. Où il prend son rythme. Qu’il écarte tes jambes. Non pas trop haut, je ne suis pas si souple. Quand il t’embrasse. Que tu réponds à son baiser. Qu’il te prend plus vite. Oh j’aime ça. Oui retourne moi. Oui écarte moi les jambes. Ah zut il est un peu petit pour bien me prendre en levrette. "Tu peux un peu te baisser s’il te plait". Je suis maintenant en levrette face à la porte. Luis me pilonne. J’aime ça. Je prends mon pied. Mais pourquoi Léopold n’a-t-il jamais été capable de me baiser comme ce Luis ? »
Léopold a fini par monter pour rappeler à Chrystèle que minuit approche. Les cheveux tombés sur les yeux elle ne le voit pas. Toute entière concentrée sur sa jouissance et les coups de boutoir de Luis, qui jette un regard malicieux à Léopold, style « je vais te la rendre mais elle ne m’oubliera pas ». Léopold qui regarde et décide de redescendre. Quelques minutes plus tard Chrystèle et Luis en font autant. Elle a le feu au joue. « C’était bien ? », lui demande Léopold. « Oui. Il est bon ! Endurant. » Elle l’embrasse : « Tu vois, il n’est pas tout à fait minuit »Quelques instants plus tard il est minuit. Chrystèle embrasse passionnément Léopold qui ne peut s’empêcher de penser qu’il a seulement quelques instants c’étaient la langue et la bite d’un autre qui avaient ce privilège… Quant à Luis il a rejoint une femme qui semble être son épouse. Ou une copine qui l’accompagnait ? D’autres hommes, d’autres femmes, viennent embrasser Léopold et Chrystèle. Les caresses fusent, les hommes touchent les seins des femmes, palpent leurs fesses. Les femmes se laissent faire. Peu prennent des initiatives. Pourtant l’une fait plus que se rapprocher de Léopold. Pas très grande, très mince, très jolie, sans doute 35 ans, elle lui glisse dans l’oreille : « J’ai envie de toi.
- Moi aussi.
- Montons. » A ce stade de la soirée les couples montent les uns après les autres. Les quelques hommes seuls rodent et Léopold voit Ethan discuter avec Chrystèle. Sans remords il l’a laisse pour accompagner celle qui lui dit s’appeler Vanessa.
C’est donc Léopold qui raconte la suite : « Vanessa est très jolie, très mince, je ne vois pas trop qui est son mari, peut-être est-elle seule mais je m’en fiche complétement en regardant ses jolies fesses monter l’escalier devant moi. A peine dans une chambre, pas très grande, l’autre est déjà envahie, nous nous embrassons. Pour une fois dans ces soirées j’ai l’impression de vivre une soirée classique. Elle est très mince, pas trop de formes, cela me fait drôle d’être avec une femme beaucoup moins grande que Chrystèle. Je suis beaucoup plus grand et c’est agréable de l’embrasser comme dans un film de John Wayne, le grand cow-boy et la femme amoureuse.
Je prends ses fesses, je la déshabille. Sa robe, tout droit sortie d’un sex shop, est très décolletée mais pas facile à enlever. Comme Chrystèle elle ne porte ni culotte ni soutien gorge. Ouf j’y suis. Je la lèche. Elle semble apprécier. Pas comme Chrystèle. Allongée sur le lit elle me prend les cheveux et me serre contre elle. J’adore lécher, pénétrer un sexe de ma langue, la sentir fatiguée. J’adore que les femmes me tiennent par les cheveux…Elle se relève : "Viens, je vais te sucer". Je me déshabille. Je bande bien. Elle me fait me coucher sur le lit. Des couples passent la tête par la porte et nous regardent. Elle me suce. Un peu trop vite pour moi. Je préfère le rythme très doux de Chrystèle. Je débande un peu. "Va moins vite s’il te plait". Je lui palpe ses petits seins. Mais pourquoi les femmes croient-elles qu’il faut pomper les mecs en mode marteau pilon ? C’est tellement meilleur quand c’est doux, long. Vanessa le comprend. Elle monte et descend le long de mon sexe. Je lui met la main sur la tête. Docile elle suit mes indications.
Et là je la prends ; classique en missionnaire. Elle m’embrasse, me prend la tête à pleine main, je sens ses mains dans le dos, sur mes fesses, j’adore mais je ne veux pas jouir trop vite. Je tiens le coup. Je la retourne. La couche dans le lit. J’adore les pénétrations comme cela avec une femme bien excitée, mon sexe qui coulisse. Elle gémit. Elle jouit. Moi aussi.
C’est l’heure du câlin. J’ai rapidement placé le préservatif usagé dans un mouchoir. Nous nous embrassons encore. Nous avons vraiment bien fait l’amour et je sais que Vanessa est fière de m’avoir fait jouir. Elle part prendre une douche. Partout les couples sont nus. Les femmes impudiques.
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- Oui mais il n’y avait pas 31 mecs pour me prendre. Seulement deux avec Ethan. Tu m’a abusé. »
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