Série insolite. Épisode 18 « Sarah » : Perdue et partagée lors d’une partie de poker. Partie 9/13

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Série insolite. Épisode 18 « Sarah » : Perdue et partagée lors d’une partie de poker. Partie 9/13 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série insolite. Épisode 18 « Sarah » : Perdue et partagée lors d’une partie de poker. Partie 9/13
Je m’appelle Sarah, lors de la cinquième partie de mon histoire, dans la série insolite N°17, je vous ai expliqué comment mon chéri m’avait fait découvrir le fabuleux sexe de mon nouvel amant d’origine tchadienne. Je vais donc poursuivre mon récit. Après cette fameuse nuit de folie passée avec Gédéon le chauffeur, William avait décidé qu’il serait désormais mon amant régulier, pour mon plus grand plaisir. Ce fut le cas pendant l’année précédent notre mariage, prévu en juin 2016.

En étant le PDG de la société, mon homme tenait absolument que je ne travaille plus, je fus donc remplacée dix mois avant notre union, par une jeune fille de 22 ans qui comme moi, trois ans auparavant, fut choisie pour ses compétences mais également parce qu’elle était prête à tout pour obtenir ce poste, même à coucher. Depuis un mois, William avait acheté une belle propriété dans les Yvelines où dès le vendredi soir, nous nous y retrouvions pour passer nos week-end. Tous les soirs de la semaine nous vivions dans l’appartement de fonction, au dernier étage de l’immeuble de la société.

Le sexe était devenu primordial dans notre couple, ce fut bien moi qui avais proposé à William d’être sa petite salope soumise. Avant lui, je détestais les éjaculations faciales, les insultes, les pénétrations trop viriles et la sodomie. Pourtant depuis que nous vivions ensemble, désirant le satisfaire pleinement, je m’étais libérée pour devenir une femme libertine accroc au sexe, offrant mon corps par amour, à des partenaires devant les yeux de mon futur mari. Lorsque celui-ci me proposa Gédéon comme amant régulier, je ne savais pas ce qui m’attendait, ce jeune africain m’apportait tant de plaisir que c’était un vrai régal pour moi mais également pour William.

Si les délires et les jeux avec mon chéri ne se déroulaient que tous les quinze jours, dès la première semaine, ce fut une nuit sur trois que le jeune tchadien venait dans notre lit et me baisait magistralement, devant mon homme qui nous regardais sans avoir la permission de me toucher avant que nous nous endormions. Avec Gédéon, ma vie de libertine pris un nouveau virage. En effet, si William était tendre, amoureux et non violent, ce n’était pas le cas avec le jeune africain. Il m’imposa immédiatement à ne plus porter de petite culotte sous mes jupes ou mes robes. Je détestais cela mais mon chéri était ravi et de me savoir sans protection.

Ne travaillant plus, William m’avait confiée la décoration de notre nouvelle maison. Le vendredi, Gédéon me conduit au magasin de bricolage, le trajet était long, il m’avait imposé de le sucer dans la voiture. Ce jour-là, j’étais un peu malade et je ne fus pas très performante mais j’étais parvenue à le faire éjaculer dans ma bouche. Lorsque nous étions devant le rayon des lustres, il s’était permis de me doigter sous ma robe devant les clients et le vendeur qui avaient dû s’apercevoir que je ne portais pas de petite culotte. J’étais fâchée d’être traitée comme une vulgaire pute, cependant ne désirant pas faire d’esclandre dans le magasin et même si cela m’avait quelque peu émoustillée, je le lui avais reproché une fois montée dans la voiture.

Je pensais que tout était oublié car sur le chemin du retour il m’avait excitée en me fouillant les orifices, j’avais hâte de faire l’amour avec lui. Cependant, une fois arrivés à la maison de campagne, il me retira un à un mes vêtements et une fois entièrement nue, j’étais trempée d’excitation. Il s’assis sur le fauteuil et m’attira à lui : « Tu n’as pas été gentille cet après-midi, tu mérites une petite punition. » Il me tira par ma queue de cheval, m’obligeant à me coucher sur ses genoux. J’aimais les nouveaux jeux et j’obéis volontiers, cela me faisait penser à mon père lorsqu’il mettait une fessée à mon grand-frère par le passé.

Il me mit deux claques sur chacune de mes fesses en me reprochant ma mauvaise fellation. Il ne m’avait pas tapé très fort, néanmoins j’avais ressenti une certaine douleur : « J’oublie cela car tu es parvenue à un bon résultat. » Me dit-il, en me caressant de sa main douce, là où j’avais mal. Cela m’excita un moment mais soudainement, il me remit deux claques, pas très puissantes mais suffisamment fortes pour que ma peau me brûle : « Ça c’est parce que tu as laissé couler du sperme sur le siège que je dois nettoyer à présent. Excuse-toi ! »
Je lui demandai pardon puis il passa délicatement ses mains sur ma peau endolorie. J’avoue qu’une petite coulée d’excitation suinta de mon vagin, ce jeu me plaisait. Gédéon avait compris, il me donna quatre claques, à la suite pour mes reproches dans la voiture. Cette fois-ci j’avais mal, mes fesses étaient toutes bouillantes, je m’excusai avant qu’il me le demande, je voulais qu’il caresse ma peau qui me brûlait un peu trop : « C’est bien ! tu commences à comprendre. » Rétorqua-t-il, en me caressant et en me léchant la peau de mes fesses. Il me fit mettre à quatre pattes, me lécha l’anus et m’embrassa le derrière, de la cyprine s’écoulait sur mes cuisses. Il n’attendit pas plus longtemps pour me sodomiser puissamment, j’avais encore joui énormément.

Autant Gédéon écoutait au doigt et à l’œil son patron, autant qu’il avait pris l’ascendant sur William pendant nos moments d’intimité. Lorsque je lui avais raconté en détail l’après-midi passé dans les bras de mon amant, même si mon futur mari était totalement contre toute forme de violence, le récit de la fessée le fit bander encore plus. Les choses s’étaient enchainées très vite car la semaine suivante, mon jeune amant m’imposa de me livrer à d’autres hommes sans même demander l’accord préalable à son patron. Quand j’en avais parlé à William, celui-ci n’étant pas contre, j’avais accepté sans crainte. J’avais déjà connu avec Helmut et mon chéri une expérience de la sorte, j’étais prête à tout, pour les satisfaire.

Pendant quatre mois, Gédéon me trouva de nombreux partenaires, je n’avais pas mon mot à dire sur leur physique, la seule chose que William et moi imposions, était qu’ils soient tous cleans (VIH). Rapidement, j’avais adoré être donnée ainsi en pâture à ces parfaits inconnus que mon jeune amant africain choisissait pour leurs performances sexuelles. J’aimais sentir leurs caresses partout sur le corps, les cunnilingus, les insultes, les séances de fessée, les fellations, les doubles pénétrations et surtout être sodomisée par le gros sexe de Gédéon.

L’imprévu et ces jeux m’excitaient beaucoup, la rencontre avec les types que je ne connaissais pas et qui allaient me toucher, me caresser et me pénétrer faisait monter l’adrénaline. La présence de mon amant ou de mon futur mari me rassurait et je me livrais totalement. J’aimais sentir plusieurs sexes envahir mon intimité et investir tout à la fois mon ventre, mes reins et ma bouche. Je prenais plaisir à être dominée, punie, quelques fois humiliée et possédée en me pliant aux ordres de mes partenaires qui me baisaient sans retenu et sans sentiments.

Tout avait commencé le lundi suivant, vers treize heures Gédéon était venu me chercher à la maison pour m’emmener dans l’appartement. Il était très en retard mais nous nous étions tout de même arrêtés déjeuner dans une brasserie sur le bord de la nationale. Avant de quitter les lieux, après avoir payé l’addition au comptoir, Gédéon me fit m’assoir à côté de deux hommes buvant leur café, probablement le père et le fils, tellement ils se ressemblaient. Mis à part le patron et ses deux types, il n’y avait plus que la serveuse qui débarrassait.

Gédéon me donna l’ordre de me dévoiler en plein milieu du bistrot, il montra mes cuisses et mes fesses offertes puis leur dit : « Ça vous dirait de prendre un peu de bon temps ? » Sous le regard si souriant de Gédéon, les deux types me caressèrent sans retenu, le tenancier était partant lui aussi, il était passé de l’autre côté du comptoir, cependant ne désirant pas être à la vue de tous, il nous invita dans la cave de la brasserie. Malgré l’indécence de cette proposition, ces cinq minutes furent magiques, jamais je n’avais vécu une situation pareille et malgré cette humiliation, mon excitation fut démentielle.

Cette cave humide où les cagettes de fruits et légumes et les caisses de vin s’entassaient, était lugubre et froide. Cependant je n’eus pas le temps de geler, ces trois types étaient déjà très excités à l’idée de me baiser, ils bandaient fortement. Gédéon ne les connaissant pas du tout, distribua des préservatifs même pour la fellation que je fis immédiatement au patron de la brasserie. Pendant que j’étais penchée sur le sexe du tenancier, le père me léchait par derrière et le fils me malaxait la poitrine.

Ne pouvant plus se retenir, très vite ils échangèrent leur position. Le patron du bar me prenait sauvagement par derrière pendant que je suçais le plus vieux. Après les avoir tous sucé, ils me prirent à tour de rôle plusieurs fois, j’étais devenue une simple poupée gonflable pour ces trois types et pour terminer notre petit jeu, ce fut Gédéon qui me sodomisa pendant que les autres se vidaient les bourses. Je jouis fortement lorsque je ressentis au fond de mon rectum l’éjaculation de mon jeune amant tchadien pendant que je recevais sur mon visage une quantité énorme de sperme que m’envoyait les trois inconnus qui s’éclipsèrent sans même me dire merci.

William était aux anges lorsqu’il entendit cette histoire, lui aussi adorait les rencontres imprévues et remercia Gédéon et l’invita à poursuivre ses innovations. Dès lors, je prenais un malin plaisir à être punie, fessée, souillée, sodomisée, insultée, humiliée, j’étais devenue une vraie chienne soumise, baisée par tous les trous, dans des endroits très insolites, dans des soirées où je me livrais totalement avec joie. Avec Gédéon mes tenues vestimentaires furent renouvelées dans un look très “pute“, je devais porter de petites jupes noires en latex, très courtes, des petits chemisiers blanc cintrée en dentelles, déboutonné sur le haut afin d’afficher un grand décolleté, des bas noirs avec porte jarretelles et des escarpins à talons aiguilles. Un joli maquillage de mes yeux et mes paupières était bien plus prononcé et mes lèvres étaient recouvertes d’un rouge écarlate brillant.

Un mois plus tard environ, Gédéon, avait invité William à une soirée chez des amis et il avait tenu que je les accompagne habillée en tenue très coquine. En arrivant dans cet appartement en plein Paris, je m’aperçus qu’il n’y avait que des hommes présents. Mis à part le septuagénaire qui nous recevait chez lui, les trois autres types, étaient de très beaux spécimens entre trente et quarante ans. Je me léchais déjà les babines, me doutant bien ce qui m’attendait, le gang band était un de mes fantasmes. Gédéon après avoir fait les présentations nous quitta en disant qu’il nous attendait dans la voiture. Nous avions pris une petite collation, en faisant connaissance, j’attendais avec impatience le moment où ces quatre messieurs passeraient à l’action.

Néanmoins au lieu de cela, William proposa à René, le propriétaire des lieux, de débuter la partie de poker. À l’unisson les trois autres types, Patrice, Julio et Remy, s’installèrent autour de la table pendant que je me m’installai sur le canapé en regardant le téléviseur où un film X était diffusé à l’écran. Je vous passe des commentaires et les insultes que j’entendais de la part des joueurs. Pensant que cela faisait partie du jeu, je n’avais rien dit et leur partie débuta. Je n’eus pas à attendre bien longtemps, dix minutes à peine après la première main, j’entendis William dire : « J’ai perdu hélas, comme promis, Sarah est à vous, je viendrai la chercher demain matin. »
Lorsque je vis mon futur mari quitter à son tour l’appartement, je fus très surprise qu’il n’assiste pas à notre jeu. Le fait d’être aux prises à quatre hommes ne me faisait pas peur, bien au contraire, cependant j’appréhendais, je n’avais plus personne pour me protéger : « Bon ! On suspend la partie. » dit René en attrapant son caméscope : « Ouais occupons-nous de sa pute. » Rétorqua Patrice avec l’approbation des deux autres. Le septuagénaire filma toutes les scènes et devait fournir la vidéo à William qui prendrait un grand plaisir à visionner cette partie de sexe par la suite.

« Seule avec trois beaux mâles qui allaient s’occuper de moi. » Voilà ce que je pensais à présent car ces types ne me semblaient pas menaçants, ça m’excitait déjà. René nous avait invité à le suivre dans la chambre, j’étais debout près du lit et les trois apollons avaient commencé leur branlette en me matant dans ma tenue plus que sexy. Alléchée par ces beaux garçons bien foutus avec leur joli pénis dans leur main, je m’étais déjà installée à quatre pattes sur le lit pour commencer à sucer avec gourmandise Julio, le mieux monté. Je lui pompais le gland avec délectation. J’appréciais déjà cette belle queue bandante s’enfonçant dans ma bouche.

Pendant ce temps, Patrice sur le côté, continuait à se branler tout en caressant ma poitrine et Remy derrière moi malaxait mes fesses explorant toutes mes courbes d’une de ses mains et de l’autre il vénérait mon intimité du clitoris à l’anus. Quelle chance d’avoir trois étalons rien que pour moi?! Ma chatte se trempait de cyprine sous les mains agiles des deux types qui me pelotaient sachant qu’ils bandaient pour moi. Je mouillais fortement, mon excitation était décuplée en entendant les commentaires crus de René le caméraman. Le gang bang était bien parti, comme je l’avais espéré, Patrice approcha sa verge de ma bouche pour se faire sucer à son tour.

J’avais deux jolis phallus tendus à souhait sous mon nez. Je pris la sienne dans ma bouche, pendant que Julio prenait ma main afin que je continue à le masturber. René filmait toujours la scène en faisant des gros plans. J’aimais cette situation en alternant chacune des queues dans ma bouche et en recevant les doigts et la langue de Remy qui allait bientôt me faire jouir. Je me laissais aller au plaisir du sexe, les deux mains accrochées aux pénis de mes deux partenaires, je pris mon orgasme en arrosant copieusement la bouche du troisième, de toute ma jouissance.

Rémy se releva derrière-moi pour étendre mon jus sur mes fesses et ma fente. René avait filmé mon éjaculation : « Baise-là cette coquine. » Lui dit-il. Pendant que les deux autres faisaient courir leurs mains sur ma nuque, Patrice attrapait ma chevelure pour guider mes mouvements de tête, je continuais toujours de les sucer, les lécher alternativement. Ils me tenaient parfois si fermement, qu’ils me baisaient la bouche littéralement et leur vigueur et leur excitation débordante intensifiaient la mienne, j’avais hâte qu’ils me prennent d’autres orifices.

Sous les conseils du caméraman, Remy me prenait le vagin en levrette, coulissant sa queue facilement dans ma mouille, ses va-et-vient répondaient à mes attentes, au même rythme que mes propres mouvements de tête, ma bouche s’était déformée avec les deux queues que j’avais en même temps entre les lèvres. Six mains se baladaient à présent sur mon corps, mes hanches, mon cul, mes seins, mon cou et mes cheveux. Je ne pouvais que m’offrir à eux, j’étais leur chose pour notre plaisir à chacun. J’étais en plein extase, même avec deux bites obstruant ma bouche active, la cyprine entre mes cuisses et mes gémissements, trahissaient mon excitation.

Les bourses de Rémy claquaient mon cul pendant qu’il me baisait, je m’activais tout en essayant de satisfaire tout ce beau monde. Cependant, je ne pus suivre le reste dans les détails, car ils échangèrent tous de position. Rémy s’allongea sur le matelas et me demanda de le sucer, Patrice avait dû me prendre par derrière, je ne voyais plus rien, René riait tout en filmant cette partouze. Je me retrouvais en double vaginale avec les deux queues qui me prenaient la bouche quelques minutes plus tôt.

Ils tournèrent encore et je fus prise par les trois orifices en même temps. Je connu ce soir-là ma première double anale. J’avais joui plusieurs fois sans savoir lequel des trois, m’avait le mieux honoré, ils étaient tous à égalité. Alors que mes trois champions se masturbaient sur mes fesses et sur mon dos, René le septuagénaire baissa son pantalon pour laisser apparaitre son pénis raide comme une barre de fer et me demanda de le sucer pendant qu’il me filmait. Je reçus avec une grande satisfaction un feu d’artifice de sperme et avalai toute la jouissance du vieil homme qui râlait fortement en éjaculant. Il essuya toute ma souillure et me remercia, stupéfait de mes performances.

Je pris une nouvelle collation pendant qu’ils reprirent leur partie de cartes. Après une demi-heure de repos, je pus constater que mes trois beaux étalons avaient retrouvé la forme, nous avions remis le couvert avant une dernière main pour connaitre avec lequel j’allais passer la nuit. Patrice gagna le gros lot et je n’en fus pas déçue, malgré la fessée qu’il m’avait administrée sans raison et la brutalité de nos rapports, je dois dire qu’il fut encore à la hauteur de mes espérances. J’avais aimé faire l’amour avec lui, seul dans le lit sans être filmée cette fois-ci.

Gédéon était venu me chercher que le lendemain à dix heures, c’était la première fois depuis que je connaissais William que je découchais. Notre mariage arrivait à grand pas et je n’en avais pas fini de nos petits jeux. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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