Série insolite. Épisode 20 « Sarah » : Baisée par surprise par ses propres agents de sécurité. Parti
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série insolite. Épisode 20 « Sarah » : Baisée par surprise par ses propres agents de sécurité. Parti
Je m’appelle Sarah, ça faisait plus dix mois que j’avais rencontré William, nous nous aimions profondément, il était charmant et ne savait pas quoi faire pour me faire plaisir. Il désirait me voir heureuse, comblée et épanouie, me faisant très souvent de joli cadeau, cela allait de la simple rose jusqu’au bijou. Nous étions très complémentaires malgré notre différence d’âge, notre quotidien était exceptionnel. Ce fut sans doute la raison pour laquelle j’avais accepté son candaulisme. Je compris que notre bonheur passait par là. Nous étions heureux de partager notre vie et nous avions décidé de nous marier.
Par contre, avec Gédéon, ce fut tout à fait différent, j’étais tombée sous l’emprise de mon amant, j’en étais presque soumise n’osant jamais lui refuser toutes ses demandes. Sexuellement, j'avais envie de lui et de son sexe. Immédiatement j’avais remarqué que ce jeune chauffeur africain me faisait prendre un plaisir incroyable, je me sentais petite, fragile et protégée.
J’écoutais William lorsqu’il me disait d’être docile avec lui, mais je ne me forçais pas, je n’avais pas envie de le décevoir afin qu’en retour il me procure le plaisir dont j’avais besoin.
Lors de la septième partie de mon histoire, dans la série insolite N°19, je vous avais expliqué que William mon futur mari sous l’influence de Gédéon mon amant, me demanda de me faire séduire par le gérant d’un sexshop. Depuis ce jour, je me doutais que mon jeune amant désirait me punir. À trois mois jour pour jour de notre mariage, William m’emmena à une réception un peu spéciale chez des connaissances libertines. J’étais donc venue très sexy, avec un maquillage prononcé, je portais pour l’occasion la petite robe noire à effet mouillé très courte qu’il m’avait acheté au sexshop qui garantissait un très profond décolleté.
Tous ces messieurs étaient très élégants et accompagnés de jolies femmes toutes très peu vêtues. La soirée s’annonçait bien, j’avais hâte de faire plaisir à mon homme qui allait probablement me partager. Peu après notre arrivée, nous avions discuté avec Mohamed le gérant du sexshop puis mon chéri vint vers moi et me reprocha de baiser avec lui en cachette. Ce n’était pas faux, cependant je niais les faits, j’étais en colère, seulement je ne pouvais pas faire d’esclandre, je m’insurgeais car William n’avait aucune preuve et je savais que le magrébin n’avait pas vendu pas la mèche.
Cependant j’insistais tellement pour me défendre que mon chéri se fâcha après moi, en me disant que nous aurions une discussion sérieuse, dès le lendemain puis il téléphona au chauffeur qui nous attendait dans la cour : « Gédéon ! Ramène Sarah à l’appartement et reviens ici immédiatement. » Je ne comprenais vraiment pas ce qu’il se passait. Avant de monter dans la voiture, je l’expliquai à Gédéon qui me rassura en me certifiant qu’il nierait également les faits.
Je pleurais sur le siège passager, gentiment mon jeune amant me caressa les cheveux pour me consoler : « C’est bon ! Ne t’en fait pas. » Puis comme à son habitude Gédéon me demanda une petite gâterie : « Ça te changera les idées. » Je m’étais penchée sur son sexe en m’appliquant à lui faire ce qu’il attendait de moi. Cette fois, je n’en fis pas tomber une seule goutte. Pendant tout le reste voyage, il me fit de savantes caresses intimes. Mais lorsqu’il me déposa dans la cour, j’étais très déçue de rentrer seule : — Monte Gédéon, j’ai besoin de toi, je suis trempée.
— Désolé mais je dois exécuter les ordres du patron.
Je devais me résoudre à dormir seule dans mon lit avant de pouvoir m’expliquer le lendemain matin, c’était sans doute ma punition. Dans le hall de l’entrée, je pris l’ascenseur privé sans passer par le bureau des agents de gardiennage. Arrivée dans notre appartement, après avoir enlevé mon imper, je m’étais servi un grand verre de jus de fruit. Lorsque j’étais à la cuisine, j’entendis du bruit sur le palier. J’avais omis de fermer à clé, intriguée, je me dirigeai rapidement dans le couloir, je vis alors au-dessus de la porte d’entrée, clignoter le voyant de l’alarme silencieuse. Je fus très surprise, je n’avais pas remarqué en sortant que William avait enclenché l’alarme, nous ne la mettions en fonction que lorsque nous nous absentions pour le week-end ou pour les congés.
J’allais la couper lorsqu’au même moment, j’aperçus trois agents de sécurité foncer sur moi, ces trois hommes m’étaient totalement inconnus. Le chef se nommait Simon, un homme de plus de soixante ans, un petit gros, assez laid, mal rasé, il était assez bizarre avec son visage violacé. Le second Jérôme était plutôt un bel homme d’une petite quarantaine d’années, grand et de belle carrure, cheveux très courts, avec sa moustache et son air sévère, il me faisait penser à un CRS. Tandis que Karim, un jeune trentenaire, grand très mince, à la limite de la maigreur, avec ses cheveux noirs frisés et un visage tailler à coups de serpe, me semblait tout aussi rigoureux que ses collègues. Ce fut Karim qui coupa l’alarme pendant que leur responsable, d’un ton très menaçant m’interpella :— Qu’est-ce tu fous là sale pute ?
— Mais enfin, je suis chez-moi, je suis la compagne de Mr W F— Montre-nous tes papiers ! Me lança Jérôme tel un flic.
— Écoutez, je vais vous expliquer…— Ta gueule ! Tu venais cambrioler ! Dit Jérôme.
Tout alla très vite, le responsable demanda à Karim de faire le tour de l’appartement afin de s’assurer que le patron ne se trouvait pas chez lui pendant que Jérôme, me maintenait les poignets dans mon dos : « Menotte-la, on va la questionner. » Ordonna Simon.
— Je suis la future épouse du PDG, si vous ne voulez pas avoir d'ennuis avec votre supérieur, je vous conseille de me laisser et de partir immédiatement de chez-moi. Répondis-je excédée.
— Tu vas la fermer ta gueule sale pute. Me cria le CRS.
Karim revint en disant que j’étais seule. Ils se regardèrent un instant sans rien dire, Jérôme m’avait jeté sur le canapé sans ménagement, je me retrouvais avachi sur les coussins avec ma robe courte entièrement relevée.
Me voyant ainsi, le jeune maghrébin s’exclama : « Regardez la salope ! sa culotte est percée. » Dit-il en passant sa main sur mon entrejambe : « Elle est toute mouillée en plus. » Dès qu’il m’avait touché, je voulus crier mais Simon me maintenait le cou en mettant sa main sur ma bouche. À partir de ce moment, je ne pouvais plus bouger, les menottes me maintenaient les bras dans le dos. Les deux plus jeunes ne se gênèrent pas, pour me palper, les mains de Jérôme remontaient sur mes jambes gainées, pendant que Karim me flattait la poitrine sous mon décolleté.
Je me débattais, donnais des coups de pieds, ma robe se retrouvait enroulée autour de ma taille. Ils me maintenaient les jambes, je compris vite que j’étais impuissante contre ces trois agents de sécurité et qu’il ne servait à rien de résister. Je vous avoue que j’eus très peur, je savais qu’ils allaient me violer car les mains du jeune maghrébin étaient sur mes seins et celles du CRS me fouillaient déjà mon intimité. Ne voulant pas avoir mal, je ne voulais plus les contrarier pensant qu’ils allaient interrompre leur agression. Lorsque Simon sentit que je ne me débattais plus, il relâcha la pression et me dit :— On ne dira rien mais tu dois te laisser faire. OK sale pute ?
— Ouais ! On va la baiser comme une salope, c’est qu’une putain.
— Elle est à notre disposition, profitons-en. Rétorqua Karim.
Ces paroles dites sur un ton froid et tellement sérieuses, me firent appréhender la suite, je m’étais mise à trembler. Il n’était pas encore minuit, je me sentais foutue, pas moyen de prendre mon smartphone, William ne rentrerait pas avant deux heures du matin, les seules personnes pouvant venir à mon secours étaient les agents de sécurité, malheureusement ceux-ci m’agressaient. Ne pouvant pas résister à trois hommes, je ne voyais aucune issue, pouvais-je faire autrement que de subir leurs assauts, je n’avais pas envie qu’ils me martyrisent. Je me sentais humiliée mais je devais faire face. Je me laissais donc caresser, peloter en ayant l’espoir que cette agression se déroule du mieux possible.
Jérôme m’avait déjà retiré ma robe, je me retrouvais en soutien-gorge redresse-seins laissant voir les tétons et les aréoles par transparence, en petite culotte noire à dentelle super sexy, ouverte devant et derrière et en porte-jarretelles assorti. Je devais donc jouer à la bonne petite pute afin de les satisfaire au plus vite. Dès que je pus ouvrir la bouche, je répondis :— Je vous fais une pipe et vous partez. D’accord ?
Avec un grand sourire, Simon me mit une bonne claque sur la cuisse, en m’ordonnant de les sucer : « Cette salope va nous faire jouir. » Puis il me remit une claque sur l’autre cuisse en continuant :— Allez salope, montre-nous de suite ton talent ! Et en s’adressant à ses compères : Regardez bien ! Karim prépare-toi.
Le jeune maghrébin sortit sa queue de son pantalon, il ne bandait pas encore totalement mais sa bite était très longue et d’un diamètre bien plus que respectable, cette verge dénotait par rapport à son corps si mince. Je m’étais agenouillée devant lui, j’avais penché la tête sous ses couilles telle une soumise, je léchais sa verge, suçais doucement, faisant très vite bander sa belle queue. J’avalais, je le gobais, cependant n’étant pas très à l’aise les mains dans le dos, je demandai que l’on m’enlève les menottes. Soudain je reçu deux nouvelles claques sur mes fesses nues : — Ta gueule ! Fais ça les mains dans le dos, montre à mes collègues comment tu m’obéis. Suce-le fond ! Cria Simon.
Voulant en finir au plus vite, sans rien dire de plus, je m’exécutai et fis une gorge profonde, je le suçais comme il désirait, sans les mains mais avec difficulté, son dard d’une bonne vingtaine de centimètres m’étouffait :— Vas-y salope, je vais gicler. Dit Karim en me tenant la tête afin qu’il éjacule dans ma bouche.
Il avait expédié tellement de foutre d’un seul coup que je fus dans l’incapacité d’avaler tout. Lorsqu’il ressortit sa longue verge de ma bouche, un liquide visqueux composé de sperme, de salive et de glaire, sortait de mes lèvres et dégoulinait sur ma poitrine. Je reçus deux nouvelles claques sur le cul : « Qu’est-ce que tu fous bon Dieu ? » S’insurgea Simon : — Allez chef c’est à ton tour. Criait Jérôme.
C’était bien la première fois que je faisais des pipes sans prendre de plaisir, ce vieux me dégoutait. Sa verge était de taille moyenne mais épaisse, il bandait déjà lorsque je l’avais prise dans la bouche. Quelques secondes plus tard, il me tira fortement par les cheveux pour ressortir sa queue et me gifla : « Putain fais gaffe ! Tu me fais mal avec tes dents ! » Jérôme placé derrière moi, me triturait les seins et les fesses, pendant que je suçais Simon bien profond. Le vieux très excité n’avait pas attendu longtemps, il était au bord de l’explosion, il m’avait maintenu la tête, sa verge était au fond de ma gorge lorsque je ressentis son éjaculation. Ne voulant plus être frappée, je m’appliquai à tout avaler sans aucun plaisir :— Vous avez vu les gars ! Elle sera docile comme ça toute la soirée maintenant. Allez Jérôme, c’est à son tour de profiter de sa bouche. Et fais ça bien salope ! Dit le vieux Simon en me giflant sur l’autre joue.
— Arrête Simon ! Pas si fort Bon dieu ! Nous ne sommes pas payés pour ça. Dit Karim en lui maintenant le bras.
Sur le moment, sous la douleur des claques sur mon cul et mes joues, je n’avais pas fait attention aux propos du jeune maghrébin. Ce ne fut que lorsque je suçais le CRS que je compris que toute la mise en scène fut orchestrée par Gédéon pour le plaisir de William. Karim n’était absolument pas violent, de ses mains douces, il me flattait la poitrine sensuellement et Jérôme parlait pendant la fellation : « Regarde les vidéos sont en fonction, tout est filmé, applique-toi et avale. J’envoie la sauce ! » En effet, il éjacula à son tour me maintenant par les deux joues qu’il caressa en se retirant. Puis il me fit une bise et demanda à Karim de me retirer les menottes : « Nous sommes payés pour te baiser la chatte, le cul et la bouche. Maintenant nous pouvons jouer ensemble ! »
D’un seul coup, mon cerveau tournait à plein régime, ma peur qui s’était emparée de moi depuis plus d’une demi-heure se transforma en une grande excitation. Même si je fus angoissée un long moment, ce que m’avait organisé mon chéri était magnifique, Gédéon fut ingénieux sur le coup. Les trois hommes masturbaient leur pénis quelque peu ramolli, afin de pouvoir reprendre de la vigueur. J’étais bien décidée à prendre moi aussi du plaisir : — Oui bien-sûr ! Je commence par qui alors ?
Après les avoir tous branlés, sucés et léchés une nouvelle, les trois faux agents de sécurité étaient en érection, je me tournai et me penchai en avant devant Simon, j’écartais les cuisses, présentant juste devant les yeux du gros bonhomme, ma chatte ouverte à quelques centimètres du visage. Il était assis sur le canapé, les deux autres c’étaient levés et me pelotaient déjà. Il attendait, sa bite dressée dans sa main. Je lui enfilai une capote, puis lui faisant face, je le chevauchai, m’empalant d’un seul coup sur sa queue. Je remuais du bassin d’avant en arrière, de haut en bas en jouant de mes muscles les plus intimes :— Prenez-moi tous les trois, je suis à vous. Dis-je très excitée.
— Putain quelle sacrée salope ! Je vais l’enculer. Répondis Karim.
Pendant que Jérôme me faisait face derrière le sofa, il me présenta sa queue devant mes lèvres. Il me maintenait la nuque fermement, il enfonçait sa verge dans la bouche en faisant des aller et retour. Le phallus de Karim rentrait et sortait violemment de mon anus dilaté, très vite j’entendis râler Simon, il venait de jouir dans le latex. Prise ainsi, je jouis pour la première fois de la soirée. Les deux plus jeunes échangèrent leur position, Karim s’affala sur le canapé, j’étais couchée sur lui de dos, il me sodomisait en m’insultant pendant que Jérôme remplaça le vieux chef en me prenant le vagin de sa belle queue, tout en me léchant le visage.
Pendant que j’étais prise en une double pénétration, Simon me martyrisait les tétons et me claquait les seins. Très excités, Jérôme se retira enleva la capote et m’envoya toute sa semence entre mes deux seins. Étant sur Karim, il ne put se relever, il sortit sa bite recouverte de latex, de mon anus, enleva son préservatif, il n’eut pas le temps de faire autre chose que d’éjaculer son sperme entre mes cuisses. Je venais à mon tour de jouir et mon orgasme fut matérialisé par de longs jets s’éjectant de mon intimité. Simon n’en avait pas loupé une seule miette, il regardait mais ne bandait plus assez pour participer. Ce fut probablement la raison pour laquelle il me claquait les fesses :— Allez suce-moi salope et remets-moi en forme.
Je n’en avais pas fini pour autant, ces hommes étaient résistants et très performants, pendant plus de deux heures, je leur servis d’objet sexuel, pour mon plus grand plaisir. Entre fellation, gorges profondes, cunnilingus, doigtés en tous genre, pénétrations diverses, vaginales, anales, double et triples. Mais aussi, fessées, tirage de cheveux, gifles sur les joues, claques sur les fesses, sur les seins et triturage des tétons, j’avais connu plusieurs orgasmes. Malgré la rudesse de Jérôme le CRS qui ne fut pas très tendre avec moi, me baisant avec force et détermination, ce fut lui que j’avais apprécié le plus car il me respectait.
Karim était raciste, il m’insultait, ne pensant qu’à enculer une salope de française. Il fut assez violent, me prenant uniquement le cul bien trop bestialement et toujours en me traitant de petite « bourge de merde ». Quant à Simon, il fut de loin le plus brutal et le plus méchant, dépassant souvent les limites, notamment lorsqu’il m’avait mis une fessée, avec ses grosses paluches calleuses, il m’avait fait vraiment mal. Je me souviendrai de cette expérience car avec eux, malgré la douleur, j’avais pris du plaisir à jouer mon rôle de « pute soumise » devant les caméras en pensant au bonheur que j’allais procurer à mon chéri.
Lorsque William était rentré dans l’appartement, j’étais entièrement nue avec mes bas filés et mes escarpins encore aux pieds. J’étais épuisée, allongée sur le tapis et au milieu du salon se trouvaient mon soutien-gorge en deux morceaux, mon string déchiré et ma jolie robe complètement fichue pendant que les trois agents étaient assis en train de boire une bière en attendant leur boss. Mon chéri sortit une enveloppe de sa poche qu’il tendit à Jérôme en lui demandant :— Alors ? Comment ça s’est passé ?
— Super ! Vous verrez, Sarah a été magnifique, elle a vraiment cru qu’elle allait se faire violer. Si vous avez encore besoin de moi, je suis partant. Dit-il pendant que les deux autres dirent à l’unisson « Oh Oui moi aussi. »— C’est noté, merci messieurs !
William fut très fier de sa petite Sarah, il adorait que mes partenaires fassent des éloges sur moi et me complimentent. Il vint m’embrasser et me dit : « Je t’aime ma chérie, je regarderai la vidéo demain, je suis crevé et toi aussi je suppose. » Toujours à l’écoute de mes désirs, il me demanda de réfléchir à ce que je désirais encore faire avant notre mariage. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Par contre, avec Gédéon, ce fut tout à fait différent, j’étais tombée sous l’emprise de mon amant, j’en étais presque soumise n’osant jamais lui refuser toutes ses demandes. Sexuellement, j'avais envie de lui et de son sexe. Immédiatement j’avais remarqué que ce jeune chauffeur africain me faisait prendre un plaisir incroyable, je me sentais petite, fragile et protégée.
J’écoutais William lorsqu’il me disait d’être docile avec lui, mais je ne me forçais pas, je n’avais pas envie de le décevoir afin qu’en retour il me procure le plaisir dont j’avais besoin.
Lors de la septième partie de mon histoire, dans la série insolite N°19, je vous avais expliqué que William mon futur mari sous l’influence de Gédéon mon amant, me demanda de me faire séduire par le gérant d’un sexshop. Depuis ce jour, je me doutais que mon jeune amant désirait me punir. À trois mois jour pour jour de notre mariage, William m’emmena à une réception un peu spéciale chez des connaissances libertines. J’étais donc venue très sexy, avec un maquillage prononcé, je portais pour l’occasion la petite robe noire à effet mouillé très courte qu’il m’avait acheté au sexshop qui garantissait un très profond décolleté.
Tous ces messieurs étaient très élégants et accompagnés de jolies femmes toutes très peu vêtues. La soirée s’annonçait bien, j’avais hâte de faire plaisir à mon homme qui allait probablement me partager. Peu après notre arrivée, nous avions discuté avec Mohamed le gérant du sexshop puis mon chéri vint vers moi et me reprocha de baiser avec lui en cachette. Ce n’était pas faux, cependant je niais les faits, j’étais en colère, seulement je ne pouvais pas faire d’esclandre, je m’insurgeais car William n’avait aucune preuve et je savais que le magrébin n’avait pas vendu pas la mèche.
Cependant j’insistais tellement pour me défendre que mon chéri se fâcha après moi, en me disant que nous aurions une discussion sérieuse, dès le lendemain puis il téléphona au chauffeur qui nous attendait dans la cour : « Gédéon ! Ramène Sarah à l’appartement et reviens ici immédiatement. » Je ne comprenais vraiment pas ce qu’il se passait. Avant de monter dans la voiture, je l’expliquai à Gédéon qui me rassura en me certifiant qu’il nierait également les faits.
Je pleurais sur le siège passager, gentiment mon jeune amant me caressa les cheveux pour me consoler : « C’est bon ! Ne t’en fait pas. » Puis comme à son habitude Gédéon me demanda une petite gâterie : « Ça te changera les idées. » Je m’étais penchée sur son sexe en m’appliquant à lui faire ce qu’il attendait de moi. Cette fois, je n’en fis pas tomber une seule goutte. Pendant tout le reste voyage, il me fit de savantes caresses intimes. Mais lorsqu’il me déposa dans la cour, j’étais très déçue de rentrer seule : — Monte Gédéon, j’ai besoin de toi, je suis trempée.
— Désolé mais je dois exécuter les ordres du patron.
Je devais me résoudre à dormir seule dans mon lit avant de pouvoir m’expliquer le lendemain matin, c’était sans doute ma punition. Dans le hall de l’entrée, je pris l’ascenseur privé sans passer par le bureau des agents de gardiennage. Arrivée dans notre appartement, après avoir enlevé mon imper, je m’étais servi un grand verre de jus de fruit. Lorsque j’étais à la cuisine, j’entendis du bruit sur le palier. J’avais omis de fermer à clé, intriguée, je me dirigeai rapidement dans le couloir, je vis alors au-dessus de la porte d’entrée, clignoter le voyant de l’alarme silencieuse. Je fus très surprise, je n’avais pas remarqué en sortant que William avait enclenché l’alarme, nous ne la mettions en fonction que lorsque nous nous absentions pour le week-end ou pour les congés.
J’allais la couper lorsqu’au même moment, j’aperçus trois agents de sécurité foncer sur moi, ces trois hommes m’étaient totalement inconnus. Le chef se nommait Simon, un homme de plus de soixante ans, un petit gros, assez laid, mal rasé, il était assez bizarre avec son visage violacé. Le second Jérôme était plutôt un bel homme d’une petite quarantaine d’années, grand et de belle carrure, cheveux très courts, avec sa moustache et son air sévère, il me faisait penser à un CRS. Tandis que Karim, un jeune trentenaire, grand très mince, à la limite de la maigreur, avec ses cheveux noirs frisés et un visage tailler à coups de serpe, me semblait tout aussi rigoureux que ses collègues. Ce fut Karim qui coupa l’alarme pendant que leur responsable, d’un ton très menaçant m’interpella :— Qu’est-ce tu fous là sale pute ?
— Mais enfin, je suis chez-moi, je suis la compagne de Mr W F— Montre-nous tes papiers ! Me lança Jérôme tel un flic.
— Écoutez, je vais vous expliquer…— Ta gueule ! Tu venais cambrioler ! Dit Jérôme.
Tout alla très vite, le responsable demanda à Karim de faire le tour de l’appartement afin de s’assurer que le patron ne se trouvait pas chez lui pendant que Jérôme, me maintenait les poignets dans mon dos : « Menotte-la, on va la questionner. » Ordonna Simon.
— Je suis la future épouse du PDG, si vous ne voulez pas avoir d'ennuis avec votre supérieur, je vous conseille de me laisser et de partir immédiatement de chez-moi. Répondis-je excédée.
— Tu vas la fermer ta gueule sale pute. Me cria le CRS.
Karim revint en disant que j’étais seule. Ils se regardèrent un instant sans rien dire, Jérôme m’avait jeté sur le canapé sans ménagement, je me retrouvais avachi sur les coussins avec ma robe courte entièrement relevée.
Me voyant ainsi, le jeune maghrébin s’exclama : « Regardez la salope ! sa culotte est percée. » Dit-il en passant sa main sur mon entrejambe : « Elle est toute mouillée en plus. » Dès qu’il m’avait touché, je voulus crier mais Simon me maintenait le cou en mettant sa main sur ma bouche. À partir de ce moment, je ne pouvais plus bouger, les menottes me maintenaient les bras dans le dos. Les deux plus jeunes ne se gênèrent pas, pour me palper, les mains de Jérôme remontaient sur mes jambes gainées, pendant que Karim me flattait la poitrine sous mon décolleté.
Je me débattais, donnais des coups de pieds, ma robe se retrouvait enroulée autour de ma taille. Ils me maintenaient les jambes, je compris vite que j’étais impuissante contre ces trois agents de sécurité et qu’il ne servait à rien de résister. Je vous avoue que j’eus très peur, je savais qu’ils allaient me violer car les mains du jeune maghrébin étaient sur mes seins et celles du CRS me fouillaient déjà mon intimité. Ne voulant pas avoir mal, je ne voulais plus les contrarier pensant qu’ils allaient interrompre leur agression. Lorsque Simon sentit que je ne me débattais plus, il relâcha la pression et me dit :— On ne dira rien mais tu dois te laisser faire. OK sale pute ?
— Ouais ! On va la baiser comme une salope, c’est qu’une putain.
— Elle est à notre disposition, profitons-en. Rétorqua Karim.
Ces paroles dites sur un ton froid et tellement sérieuses, me firent appréhender la suite, je m’étais mise à trembler. Il n’était pas encore minuit, je me sentais foutue, pas moyen de prendre mon smartphone, William ne rentrerait pas avant deux heures du matin, les seules personnes pouvant venir à mon secours étaient les agents de sécurité, malheureusement ceux-ci m’agressaient. Ne pouvant pas résister à trois hommes, je ne voyais aucune issue, pouvais-je faire autrement que de subir leurs assauts, je n’avais pas envie qu’ils me martyrisent. Je me sentais humiliée mais je devais faire face. Je me laissais donc caresser, peloter en ayant l’espoir que cette agression se déroule du mieux possible.
Jérôme m’avait déjà retiré ma robe, je me retrouvais en soutien-gorge redresse-seins laissant voir les tétons et les aréoles par transparence, en petite culotte noire à dentelle super sexy, ouverte devant et derrière et en porte-jarretelles assorti. Je devais donc jouer à la bonne petite pute afin de les satisfaire au plus vite. Dès que je pus ouvrir la bouche, je répondis :— Je vous fais une pipe et vous partez. D’accord ?
Avec un grand sourire, Simon me mit une bonne claque sur la cuisse, en m’ordonnant de les sucer : « Cette salope va nous faire jouir. » Puis il me remit une claque sur l’autre cuisse en continuant :— Allez salope, montre-nous de suite ton talent ! Et en s’adressant à ses compères : Regardez bien ! Karim prépare-toi.
Le jeune maghrébin sortit sa queue de son pantalon, il ne bandait pas encore totalement mais sa bite était très longue et d’un diamètre bien plus que respectable, cette verge dénotait par rapport à son corps si mince. Je m’étais agenouillée devant lui, j’avais penché la tête sous ses couilles telle une soumise, je léchais sa verge, suçais doucement, faisant très vite bander sa belle queue. J’avalais, je le gobais, cependant n’étant pas très à l’aise les mains dans le dos, je demandai que l’on m’enlève les menottes. Soudain je reçu deux nouvelles claques sur mes fesses nues : — Ta gueule ! Fais ça les mains dans le dos, montre à mes collègues comment tu m’obéis. Suce-le fond ! Cria Simon.
Voulant en finir au plus vite, sans rien dire de plus, je m’exécutai et fis une gorge profonde, je le suçais comme il désirait, sans les mains mais avec difficulté, son dard d’une bonne vingtaine de centimètres m’étouffait :— Vas-y salope, je vais gicler. Dit Karim en me tenant la tête afin qu’il éjacule dans ma bouche.
Il avait expédié tellement de foutre d’un seul coup que je fus dans l’incapacité d’avaler tout. Lorsqu’il ressortit sa longue verge de ma bouche, un liquide visqueux composé de sperme, de salive et de glaire, sortait de mes lèvres et dégoulinait sur ma poitrine. Je reçus deux nouvelles claques sur le cul : « Qu’est-ce que tu fous bon Dieu ? » S’insurgea Simon : — Allez chef c’est à ton tour. Criait Jérôme.
C’était bien la première fois que je faisais des pipes sans prendre de plaisir, ce vieux me dégoutait. Sa verge était de taille moyenne mais épaisse, il bandait déjà lorsque je l’avais prise dans la bouche. Quelques secondes plus tard, il me tira fortement par les cheveux pour ressortir sa queue et me gifla : « Putain fais gaffe ! Tu me fais mal avec tes dents ! » Jérôme placé derrière moi, me triturait les seins et les fesses, pendant que je suçais Simon bien profond. Le vieux très excité n’avait pas attendu longtemps, il était au bord de l’explosion, il m’avait maintenu la tête, sa verge était au fond de ma gorge lorsque je ressentis son éjaculation. Ne voulant plus être frappée, je m’appliquai à tout avaler sans aucun plaisir :— Vous avez vu les gars ! Elle sera docile comme ça toute la soirée maintenant. Allez Jérôme, c’est à son tour de profiter de sa bouche. Et fais ça bien salope ! Dit le vieux Simon en me giflant sur l’autre joue.
— Arrête Simon ! Pas si fort Bon dieu ! Nous ne sommes pas payés pour ça. Dit Karim en lui maintenant le bras.
Sur le moment, sous la douleur des claques sur mon cul et mes joues, je n’avais pas fait attention aux propos du jeune maghrébin. Ce ne fut que lorsque je suçais le CRS que je compris que toute la mise en scène fut orchestrée par Gédéon pour le plaisir de William. Karim n’était absolument pas violent, de ses mains douces, il me flattait la poitrine sensuellement et Jérôme parlait pendant la fellation : « Regarde les vidéos sont en fonction, tout est filmé, applique-toi et avale. J’envoie la sauce ! » En effet, il éjacula à son tour me maintenant par les deux joues qu’il caressa en se retirant. Puis il me fit une bise et demanda à Karim de me retirer les menottes : « Nous sommes payés pour te baiser la chatte, le cul et la bouche. Maintenant nous pouvons jouer ensemble ! »
D’un seul coup, mon cerveau tournait à plein régime, ma peur qui s’était emparée de moi depuis plus d’une demi-heure se transforma en une grande excitation. Même si je fus angoissée un long moment, ce que m’avait organisé mon chéri était magnifique, Gédéon fut ingénieux sur le coup. Les trois hommes masturbaient leur pénis quelque peu ramolli, afin de pouvoir reprendre de la vigueur. J’étais bien décidée à prendre moi aussi du plaisir : — Oui bien-sûr ! Je commence par qui alors ?
Après les avoir tous branlés, sucés et léchés une nouvelle, les trois faux agents de sécurité étaient en érection, je me tournai et me penchai en avant devant Simon, j’écartais les cuisses, présentant juste devant les yeux du gros bonhomme, ma chatte ouverte à quelques centimètres du visage. Il était assis sur le canapé, les deux autres c’étaient levés et me pelotaient déjà. Il attendait, sa bite dressée dans sa main. Je lui enfilai une capote, puis lui faisant face, je le chevauchai, m’empalant d’un seul coup sur sa queue. Je remuais du bassin d’avant en arrière, de haut en bas en jouant de mes muscles les plus intimes :— Prenez-moi tous les trois, je suis à vous. Dis-je très excitée.
— Putain quelle sacrée salope ! Je vais l’enculer. Répondis Karim.
Pendant que Jérôme me faisait face derrière le sofa, il me présenta sa queue devant mes lèvres. Il me maintenait la nuque fermement, il enfonçait sa verge dans la bouche en faisant des aller et retour. Le phallus de Karim rentrait et sortait violemment de mon anus dilaté, très vite j’entendis râler Simon, il venait de jouir dans le latex. Prise ainsi, je jouis pour la première fois de la soirée. Les deux plus jeunes échangèrent leur position, Karim s’affala sur le canapé, j’étais couchée sur lui de dos, il me sodomisait en m’insultant pendant que Jérôme remplaça le vieux chef en me prenant le vagin de sa belle queue, tout en me léchant le visage.
Pendant que j’étais prise en une double pénétration, Simon me martyrisait les tétons et me claquait les seins. Très excités, Jérôme se retira enleva la capote et m’envoya toute sa semence entre mes deux seins. Étant sur Karim, il ne put se relever, il sortit sa bite recouverte de latex, de mon anus, enleva son préservatif, il n’eut pas le temps de faire autre chose que d’éjaculer son sperme entre mes cuisses. Je venais à mon tour de jouir et mon orgasme fut matérialisé par de longs jets s’éjectant de mon intimité. Simon n’en avait pas loupé une seule miette, il regardait mais ne bandait plus assez pour participer. Ce fut probablement la raison pour laquelle il me claquait les fesses :— Allez suce-moi salope et remets-moi en forme.
Je n’en avais pas fini pour autant, ces hommes étaient résistants et très performants, pendant plus de deux heures, je leur servis d’objet sexuel, pour mon plus grand plaisir. Entre fellation, gorges profondes, cunnilingus, doigtés en tous genre, pénétrations diverses, vaginales, anales, double et triples. Mais aussi, fessées, tirage de cheveux, gifles sur les joues, claques sur les fesses, sur les seins et triturage des tétons, j’avais connu plusieurs orgasmes. Malgré la rudesse de Jérôme le CRS qui ne fut pas très tendre avec moi, me baisant avec force et détermination, ce fut lui que j’avais apprécié le plus car il me respectait.
Karim était raciste, il m’insultait, ne pensant qu’à enculer une salope de française. Il fut assez violent, me prenant uniquement le cul bien trop bestialement et toujours en me traitant de petite « bourge de merde ». Quant à Simon, il fut de loin le plus brutal et le plus méchant, dépassant souvent les limites, notamment lorsqu’il m’avait mis une fessée, avec ses grosses paluches calleuses, il m’avait fait vraiment mal. Je me souviendrai de cette expérience car avec eux, malgré la douleur, j’avais pris du plaisir à jouer mon rôle de « pute soumise » devant les caméras en pensant au bonheur que j’allais procurer à mon chéri.
Lorsque William était rentré dans l’appartement, j’étais entièrement nue avec mes bas filés et mes escarpins encore aux pieds. J’étais épuisée, allongée sur le tapis et au milieu du salon se trouvaient mon soutien-gorge en deux morceaux, mon string déchiré et ma jolie robe complètement fichue pendant que les trois agents étaient assis en train de boire une bière en attendant leur boss. Mon chéri sortit une enveloppe de sa poche qu’il tendit à Jérôme en lui demandant :— Alors ? Comment ça s’est passé ?
— Super ! Vous verrez, Sarah a été magnifique, elle a vraiment cru qu’elle allait se faire violer. Si vous avez encore besoin de moi, je suis partant. Dit-il pendant que les deux autres dirent à l’unisson « Oh Oui moi aussi. »— C’est noté, merci messieurs !
William fut très fier de sa petite Sarah, il adorait que mes partenaires fassent des éloges sur moi et me complimentent. Il vint m’embrasser et me dit : « Je t’aime ma chérie, je regarderai la vidéo demain, je suis crevé et toi aussi je suppose. » Toujours à l’écoute de mes désirs, il me demanda de réfléchir à ce que je désirais encore faire avant notre mariage. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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