Série insolite. Épisode 27 « Aurélien » : pourquoi ne baiserait-il pas Patricia, et les autres…6/15

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Récit libertin : Série insolite. Épisode 27 « Aurélien » : pourquoi ne baiserait-il pas Patricia, et les autres…6/15 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série insolite. Épisode 27 « Aurélien » : pourquoi ne baiserait-il pas Patricia, et les autres…6/15
Le lundi 29 décembre, Sabine voulant une explication et surtout se retrouver seule avec Aurélien, se rendit chez-lui. Elle fermait sa voiture lorsqu’elle vit Aurélien faisant la bise sur la bouche à une femme qui sortait de la maison. Au départ, elle appréhendait, elle pensait sincèrement que c’était Judith, elle fut rassurée lorsque cette femme se retourna pour quitter la propriété. Elle attendit quelques minutes avant de se diriger à la porte, durant lesquelles, elle fustigeait, se disant qu’Aurélien emmenait des femmes dans leur nid d’amour. Elle appuya sur la sonnette :
— Bonjour Aurel, on peut parler ?

Ce fut une drôle de surprise de voir Sabine devant la porte, les deux femmes de sa vie s’étaient-elles données le mot ? En effet le matin même, Judith l’avait appelé, elle voulait, elle aussi, le rencontrer le mardi soir pour une explication. Aurélien ne pouvait plus reculer, son appartement étant sens dessus dessous, il emmena Sabine en ville. Ils discutèrent pendant plus d’une heure à bâton rompu, avant de diner et la discussion se poursuivit. Il était évident qu’Aurélien tenait beaucoup à sa jeune princesse, elle lui avait beaucoup manqué mais il était incapable de vivre avec elle :
— Écoute ma puce, tu as tes études, moi mon travail. Je te propose que tu viennes chez-moi tous les week-end. Qu’en dis-t-tu ?

Sabine en voulait plus, elle le voulait pour elle toute seule mais elle savait qu’elle venait de faire un grand pas vers une réconciliation et qu’après quelques temps, elle parviendrait à le faire changer d’avis. Aurélien l’avait raccompagné et avait couché chez elle. Malgré la folle après-midi qu’il avait passé avec Sophie, il était parvenu avec beaucoup de tendresse et d’amour, à apporter que du bonheur à sa jeune amie qui jouit plusieurs fois dans ses bras.

Le plus difficile était fait se disait Aurélien, il devait maintenant convaincre Judith, il ne désirait pas la perdre. « Serait-elle partageuse ? » Se demandait-il. En effet, la jeune vendeuse l’avait invité à son domicile afin d’avoir une explication, sur la suite à donner à leur relation. Bien entendu, la discussion avait à peine commencé, qu’ils se dévêtirent, ils avaient très envie de se sentir, de se toucher, de se caresser, de s’embrasser et de faire l’amour. Ce fut épuisés par le plaisir prit en commun, qu’ils dinèrent ensemble. Après le repas, il lui proposa de vivre avec elle du lundi au jeudi soir :
— Ma chérie, je ferai ce que tu veux, mais tu dois me laisser les week-end, je ne suis pas encore prêt.
— Ce n’est pas sérieux Aurel, j’ai envie de toi tous les jours.
— Nous avons vécu huit mois en cachette à baiser à la sauvette, j’ai promis à Sabine que je la verrais que du vendredi au dimanche. Je ne peux pas faire mieux. S’il te plait accepte.

À son réveil le mercredi 31 décembre 2003, Aurélien était tout heureux d’avoir réalisé l’exploit de conserver les deux femmes de son cœur, il savait que cela allait être difficile, mais il était parvenu tant bien que mal à retrouver un certain équilibre et qu’il devait faire des efforts afin que son bonheur soit parfait. Judith passait le réveillon chez ses parents et Sabine avec des amis étudiants. Le mercredi après-midi, Véronique était de repos, le sachant seul pour la nuit de la Saint Sylvestre, elle en profita pour venir le voir à la maison afin de l’inviter. Aurélien et elle, étaient complices depuis plusieurs années, installés tous les deux au salon, Véro se mit à pleurer dans ses bras. Plusieurs minutes s’écoulèrent, après qu’il lui ait demandé ce qui la rendait si triste, elle parvint en sanglot à lui répondre :
— Je crois que Thom me trompe, il ne me touche plus depuis plus d’un mois. Tu sais quelque chose ?

Bien entendu, il savait que son meilleur pote lui avait dit que la pulpeuse Carine s’était réfugiée dans ses bras depuis qu’Aurélien ne touchait plus les clientes. Il était triste pour son amie, cependant il ne pouvait vendre la mèche, il allait en parler à Thom. Véro lui faisait toujours de l’effet et de l’avoir dans ses bras, ses seins contre son torse et son bassin contre lui, une forte érection se mit en place entre ses jambes qu’il ne put dissimuler. Véro le remarqua, elle ferma les yeux et se colla un peu plus contre lui.

Malgré leur promesse, elle s’avachi sur lui et l’embrassa à pleine bouche, tout en lui massant l’entrejambe. C’en était trop pour Aurélien qui comprit que Véro était venu chercher un peu de réconfort dans une partie de sexe torride. Les mains, les doigts, la langue et le membre épais d’Aurélien firent le reste, Comme toujours, il sut lui apporter un plaisir immense. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait plus connu l’orgasme et elle était repartie de chez lui en ayant joui trois fois. Comme auparavant, il se promirent de ne pas recommencer.

À partir de janvier 2004, Aurélien menait sa double vie. Si Judith connaissait sa liaison du week-end, Sabine ne savait rien de sa vie en semaine, cela la minait, elle espérait toujours qu’il change d’avis et qu’ils se marient enfin, à la fin de ses études. Cependant, ni l’une ni l’autre ne savait que Véro n’avait pu tenir sa promesse, elle recouchait avec son amant. Elle était devenue accroc à son ami proche qui parvenait à la faire jouir comme une folle, en la sodomisant. Au moins deux fois par semaine, les matins avant l’ouverture de la station. Dans l’arrière salle du bureau d’Aurélien, elle le mettait en condition en lui imposant une petite fellation avant qu’il ne la fasse jouir de sa langue.

C’était toujours le même rituel, il s’agenouillait, la suçait, la léchait puis il s’occupait du petit trou, Véro adorait ça, elle tremblait et gémissait sous sa bouche. Elle plaçait alors ses mains sur le bureau tout en se cambrant, en lui offrant ses fesses. De son doigt, il caressait et dilatait son œillet tendre et brûlant, plaçait et entrait son gland turgescent dans son anus, puis enfonçait son pénis jusqu’à la garde. Véro étouffait quelques petits cris, elle s’étonnait toujours que ça passe aussi bien, vu la grosseur de la verge d’Aurélien. Il allait et venait, en assenant de grands coups de reins, tout en la maintenant par les hanches, comme s’il avait peur qu’elle s’en aille. Véro l’encourageait de vive voix, tout en titillant son clito puis laissait libérer sa jouissance pendant qu’il se vidait dans son rectum.

Pendant six mois, hormis les périodes de congé où il avait fallu qu’Aurélien jongle pour partager son temps, tout se déroulait plus ou moins bien. Toutefois, Sabine se doutait bien que son chéri la trompait la semaine, elle ne pouvait le tolérer. En revenant de vacances, elle annonça à Aurélien qu’elle était enceinte. La discussion fut houleuse, ce soir-là, il n’acceptait pas qu’elle ait pu lui faire ça, elle avait arrêté la pilule sans lui dire, depuis quatre mois sans penser aux conséquences. Sabine voulait garder le bébé absolument, même s’il lui restait une année d’étude afin d’obtenir son diplôme car elle voulait qu’ils se marient.

Aurélien insistait pour l’avortement, elle balayait d’un seul coup, toute sa vie. Ce n’était pas le fait d’avoir un bébé qui le gênait, mais il serait dans l’obligation de se séparer de Judith. Pour Paul Prévost, il n’y avait pas d’alternative, sa fille enceinte devait se marier, il était hors de question que Sabine soit fille-mère. Ce fut Judith qui trancha, en femme intelligente, elle savait qu’Aurélien aimait sa petite princesse, elle s’effaça en demandant sa mutation. La séparation fut très douloureuse, en septembre, elle avait changé de région.

Sabine avait-elle gagné pour autant ? Bien sûr, elle s’était mariée en octobre 2004, elle avait un magnifique petit garçon nommé Axel, né en février 2005. Mais son homme n’était plus le même depuis qu’il n’avait plus son équilibre, Judith lui manquait énormément. Il était nostalgique, avait perdu sa joie de vivre et l’insouciance de la jeunesse. Lors des disputes, Sabine lui reprochait de lui avoir caché sa double vie et Aurélien l’accusait de lui avoir fait un bébé dans le dos et d’avoir négliger ses études. Toutefois l’amour du petit Axel renforçait l’union. Aurélien murit et se consacra à son travail. Après tout, le garage qu’il rêvait d’avoir lui reviendrait à la mort de Paul Prévost son beau-père.

Pendant un an, Aurélien resta sérieux et fidèle, Sabine était tellement comblée sexuellement par son mari qu’elle ne s’efforçait pas à le satisfaire. Thomas et Véronique furent présents à leurs côtés pendant la période difficile de la séparation. Les deux couples se retrouvaient le plus souvent possible, ils passaient pratiquement tous les week-end ensemble. Lors des travaux d’agrandissement et de rénovation de leur maison, Aurélien fit la connaissance d’Alban Tessier, l’artisan peintre. Celui-ci devant changer de contrat pour ses véhicules d’entreprise, changea de concessionnaire pour les acheter auprès du garage Prévost.

Par la même occasion, en 2006, Thomas avait pris cet artisan pour construire leur maison. Lors des négociations pour l’achat, l’entretien et le carburant de plusieurs véhicules utilitaires de leur société de peinture, Aurélien devait s’entretenir avec Madame Tessier. L’épouse d’Alban était le type de femme qu’il affectionnait et lorsque qu’il la rencontra pour la première fois, il crut rêver, elle ressemblait étrangement à Judith. En plus âgée, elle avait 43 ans mais le même physique, le même sourire, la seule différence était qu’elle ne se mettait pas en valeur, elle avait tiré ses cheveux en une queue de cheval toute simple, juste un peu de maquillage et vêtu d’un jean, sweat pas très sexy.

Malgré cela, Aurélien fut très vite attiré par cette femme, ses vieux démons ressurgissaient. Patricia de son côté ne fut pas insensible au charme de son interlocuteur, elle était en instance de divorce. En effet, elle était mariée avec Alban Tessier depuis 20 ans, avait un garçon de 16 ans et une petite fille de 5 ans. Mais depuis la naissance d’Agathe, des tensions étaient survenues lorsqu’elle s’était aperçue que son mari était un coureur de jupons, il la trompait régulièrement. Néanmoins, elle restait actionnaire de l’entreprise et s’occupait de toute la gestion administrative.

Il n’avait pas fallu longtemps à Aurélien pour séduire Patricia, cela était venu tout simplement. À la fin de leur première rencontre, ils s’étaient rapprochés tous les deux se retrouvant face à face, se fixant dans les yeux. Lors de la poignée de main, Aurélien garda celle de sa nouvelle partenaire professionnelle et elle ne la retira pas. Ils restèrent main dans la main pendant plusieurs secondes, avant de se quitter. À la deuxième rencontre, le vendredi suivant, dans le bureau de l’épouse de l’artisan peintre, Aurélien compris qu’il se passait quelque chose. Lorsque Patricia lui ouvrit la porte, il la trouva magnifique, elle s’était maquillée légèrement avec gout et habillée d’une jolie robe à fleur. Sa large ceinture sur sa taille mince mettait en valeur sa poitrine, ses jambes étaient gainées de bas autofixants et ses escarpins à talons hauts cambraient son fessier parfait.

Pendant toute l’entrevue, leurs regards se croisaient, yeux dans les yeux, ils se faisaient de petits sourires, se demandant lequel des deux ouvrirait les hostilités. Mais ils surent restés professionnels jusqu’à la fin, tout était consignés par écrit, il ne restait à Patricia de les faire viser par son mari. Au moment du départ d’Aurélien, aucun d’entre eux n’avait fait le premier pas. Dans le hall d’entrée, Patricia ouvrit la bouche :
— Nous venons donc lundi au garage pour la signature des contrats. C’est bien ça ?
— Oui ! Le plus tôt sera le mieux. Je dois malheureusement vous quitter, le devoir m’appelle. S’aventura-t-il en espérant une petite allusion de sa part.

Habituellement, Aurélien n’aurait pas hésité une seule seconde pour aller plus loin, mais Patricia n’était pas comme toutes les femmes faciles, qu’il avait pu connaitre, elle l’impressionnait et avait peur de sa réaction. Elle de son côté, n’attendait qu’une chose, qu’il la prenne dans ses bras et l’embrasse, elle n’aurait pas refusé son baiser. Ils se tenaient toujours la main, Aurélien ne voulant pas en rester là, osa prendre les initiatives, il déposa un petit baiser à l’intérieur de sa paume en disant.
— Deux jours sans vous voir, ça va être un supplice. Devons-nous attendre lundi pour nous revoir ?
Patricia eut des frissons, il venait de lui faire une déclaration simple et directe, elle s’était rapprochée de lui, elle passa sa deuxième main sur celle d’Aurélien qui ne l’avait pas lâché, en le fixant droit dans les yeux. Elle allait lui répondre « Moi aussi, j’en meure d’envie » lorsqu’elle entendit la voiture de son mari :
— Vous êtes très gentil Aurélien, mais vous connaissez ma situation. Voilà justement Alban. Dit-elle en retirant ses mains.
— Salut Aurélien, tu as apporté tous les documents. Tout est en ordre ?
Demanda Alban au garagiste en lui serrant la main puis en dévisageant sa femme, d’un regard ironique et malveillant, il lui dit :
— Tu t’es habillée comme une salope pour recevoir notre jeune ami, tu crois encore plaire aux jeunes à ton âge.

Le jeune mécano regarda Patricia gêné, il lui fit un petit sourire pour la réconforter mais elle ne le vit pas, elle était devenue rouge comme une tomate. Elle tourna les talons en bredouillant un petit au « revoir Monsieur Mercier ». Aurélien eut envie de gifler le peintre et lui dire ses quatre vérités, mais il se retint, la raison lui fit changer d’avis, c’était un bon client et il ne devait pas se mêler de sa vie privée. D’autant plus que cet artisan connaissait beaucoup de monde et lui annonça qu’il lui apportait sur un plateau : l’artisan maçon avec ses six véhicules et le père Dumas le boulanger qui cherchait à changer ses deux utilitaires pour les tournées.

Dans sa voiture sur le chemin du retour, Aurélien n’était pas encore arrivé au garage lorsqu’il reçut un SMS :
— Pour moi aussi, ça va être long mais tu sais tant que mon divorce ne sera pas prononcé, il sera difficile pour moi de te voir. Pourtant je t’avoue que j’en meure d’envie. « Bisous ». Patricia.
Il n’avait pas encore répondu au message, qu’il reçut un nouvel SMS :
— Dans un mois, c’est le jugement. As-tu une voiture d’occasion pour moi ? Je pourrai passer à la concession demain matin. « Bisous »

À partir de là, Aurélien ne cessait de penser à Patricia, il lui avait téléphoné en lui disant qu’il avait hâte d’être à demain et qu’il avait exactement ce qu’il lui fallait comme véhicule. Le samedi matin, Patricia était venue en jean, elle avait fait un petit chignon et avait comme maquillage, un peu de mascara sur ses longs cils et du rose sur ses lèvres pulpeuses. Elle était ravissante ainsi, c’était un petit bout de femme d’un mètre soixante, bien proportionnée avec des petites fesses charnues et une petite poitrine ferme, haute et ronde.

Aurélien s’était occupé personnellement de la voiture, vu le contrat qu’il venait de passer avec l’entreprise de peinture, cette occasion fut vendue sans aucune marge bénéficiaire. Bien entendu, voulant être seule avec Patricia, il lui fit essayer le véhicule. Ils n’avaient pas roulé très longtemps, mais leurs mains s’effleuraient, se touchaient. À chaque occasion ils se souriaient sans parler de ce qui s’était passé la veille. Il l’avait emmené dans son antre le long du canal, il la fit se stationner dans la cour, c’était l’endroit parfait pour se retrouver en toute intimité. Avant de descendre, Aurélien lança :
— J’ai une folle envie de t’embrasser Patricia. Descends, nous serons tranquilles dans ma petite tanière.
— Moi aussi. Répondit-elle en ouvrant la portière.

Dans la petite pièce aménagée derrière l’atelier, ils s’étaient retrouvés bouches soudés, langues contre langues dans un baiser passionné. Patricia était toute tremblante d’appréhension et d’excitation sous les caresses de son jeune amant si habile de ses mains qui lui enlevait un par un, ses vêtements. Elle était dans un état d’excitation qu’elle n’avait plus peur de ce qu’elle était en train de réaliser. En vingt ans, elle n’avait connu qu’un seul homme, Alban son mari. Ce fut dans une joute amoureuse pleine de tendresse avec un brin de passion qu’Aurélien la fit jouir plusieurs fois en trente minutes, elle n’avait jamais connu d’orgasmes aussi puissants, ce fut un réel bonheur de faire l’amour avec ce jeune mécano qui n’avait pensé qu’à lui procurer du plaisir. Il y était parvenu en un temps record, elle n’avait qu’une hâte, c’était de renouveler l’expérience.

Jusqu’au divorce, les deux amants ne s’étaient pas revus, ils avaient hâte de se retrouver pour faire l’amour, chacun d’eux avait vécu une expérience inoubliable. Ils s’appelaient au téléphone au moins une fois par jour et s’envoyaient de nombreux textos enflammés. Ayant obtenu la garde sans partage des enfants, Alban fut contraint de déménager, il avait trouvé une petite maison juste en face du dépôt de son entreprise de peinture. Par la même occasion, il était devenu le voisin de droite de la maison de Claire et Paul Prévost.

Patricia quant à elle, avait conservé le domicile conjugal où elle vivait avec sa fille de cinq ans et son fils de seize ans. Ne voulant pas qu’Aurélien ne vienne à la maison tout de suite, les deux amants se retrouvaient le long du canal. Leurs étreintes amoureuses, étaient de plus en plus chaudes, Patricia revivait, elle avait enfin trouvé l’homme qui lui apportait beaucoup de plaisir, Aurélien lui faisait tellement bien l’amour, qu’elle ne pouvait plus se passer de lui. Pourtant un mois plus tard, un grain de sable vint enrayer la machine.

La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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