Série insolite. Épisode 4 : De son dépucelage à la photo érotique, « Martine » se découvre. Partie 1
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série insolite. Épisode 4 : De son dépucelage à la photo érotique, « Martine » se découvre. Partie 1
Née en 1955, Martine était la fille unique d’un couple d’enseignants et fut confiée à Thérèse la voisine, devenue sa nourrice. Durant toute sa prime jeunesse, elle passa beaucoup de temps avec Philippe le dernier fils des voisins, malgré qu’il ait deux ans de plus, ils étaient inséparables, tels des frères et sœurs. Étant toujours ensemble, les deux jeunes firent la découverte de leur corps en jouant souvent au docteur. À treize ans, Philippe lui montra les poils qui poussait sur son pubis, Martine intriguée et très curieuse lui avait fait connaitre sa première éjaculation. Deux ans plus tard, alors qu’elle venait de fêter ses treize ans, elle connut avec lui, sa première masturbation. En retour, elle lui avait fait sa première fellation.
Il faut dire que Martine était bien en avance pour son âge, en 1970 René le grand frère de Philippe, âgé à l’époque de 25 ans avait emmené Martine faire un tour dans sa voiture, elle était fière de se promener avec lui, un garçon qui n’avait rien à voir avec ses copains de classe. Elle était en admiration devant lui et lorsqu’il lui avait posé la main sur le haut de sa cuisse tout en conduisant, elle en eut des frissons mais avait aimé ce contact. La voyant peu farouche, il lui dit alors qu’il était au courant de ce qu’elle faisait à son jeune frère et voulait bien qu’elle en fasse de même avec lui.
René l’emmena dans les bois loin des regards indiscret et l’avait embrassé. Il avait étendu une couverture sur le sol pour s’y allonger tous les deux. Martine était aux anges, elle n’aurait jamais pensé qu’un homme de son âge pouvait s’intéresser à sa jeune personne. Elle se laissa caresser, peloter et lorsqu’il l’avait dénudé, elle était trempée, sous les caresses intimes qui lui avait prodiguées. Elle n’hésita pas une seconde à accéder à sa demande, elle le suça de longues minutes avant qu’il ne la déflore. Même si de ce jour-là, elle n’en avait pas gardé un grand souvenir, elle était heureuse d’être devenue une femme.
Le samedi suivant, elle fit connaitre à son petit copain Philippe la joie de la pénétration, elle ne lui avait jamais dit qu’elle fut dépucelée trois jours auparavant avec son grand frère. Étant fiancé, elle n’avait jamais refait l’amour avec René et ce fut à son mariage, au printemps 1971 qu’elle rencontra Alain le photographe. Ce célibataire trentenaire ne l’avait pas quitté de toute l’après-midi, il fit d’innombrables photos d’elle en lui disant qu’elle était magnifique, qu’il aimerait la prendre en photo dans son studio. Il lui avait donné rendez-vous, le lundi à la sortie du lycée. Martine ne l’avait pas dit à ses parents mais appréhendant de venir seule, elle avait demandé à Joëlle sa copine, de l’accompagner.
Alain avait montré aux deux jeunes filles les tirages du mariage qu’il avait développé, en renouvelant les compliments sur sa beauté et la finesse de son corps. Ce jour-là, il passa une petite heure à la photographier, mais les clichés furent toujours, soit des portraits ou des poses traditionnelles et naturelles. Avant de les raccompagner, il proposa discrètement à Martine de repasser seule en lui faisant miroiter qu’elle avait une réelle possibilité de devenir célèbre. Dans la semaine, elle en parla à son amie et celle-ci insistait pour qu’elle tente sa chance, Joëlle aussi la trouvait magnifique.
Martine se décida donc de l’appeler pour obtenir un rendez-vous. Ayant de bonnes relations dans le monde du showbiz, Alain lui proposa de faire du mannequinat. Si elle avait tout de suite accepté de faire un press-book et des essais, elle devait le dire à ses parents. Malheureusement, son père lui interdit de revoir ce type pour le moment, elle devait passer son Bac avant toute chose. Martine avait désobéi, sans l’accord de ses parents, elle alla à la sortie du lycée, retrouver Alain dans son studio. Avec son joli visage, son 1,75 pour 56 kg, ses mensurations presqu’idéales 90-63-92, Martine pouvait espérer devenir mannequin.
Ce fut le début d’une belle histoire d’amour. Alain fut tendre et doux, à la fin de la première séance intime où il avait pris ses mensurations, Martine fit le premier pas en l’enlaçant et en l’embrassant à pleine bouche. Après des préliminaires très longs, il l’avait longuement possédée avec beaucoup de délicatesse et de passion. Elle avait rompu toute relation avec Philippe qui avait d’autres copines, Alain venait tous les soirs la chercher à la sortie du lycée et l’emmenait au studio où ils vécurent librement, pendant quatre mois leur amour.
Son press-book terminé, Alain avait pris contact avec des agences mais aucune de celles-ci l’avait choisie, prétextant toutes, que sa poitrine était un tout petit peu, trop volumineuse. Si son 90C plaisait aux hommes, il n’en était pas de même pour la haute couture. Martine en fut très déçue, son rêve de se voir un jour porter de très belles tenues de grandes marques, dans des somptueux défilés de mode, tombait à l’eau. Elle mit plusieurs mois à s’en remettre, surtout qu’en février 1973, elle perdit ses parents dans un tragique accident de voiture. N’étant pas majeure, elle dut quitter sa région pour aller vivre chez son oncle à Bordeaux.
Elle avait tout perdu en quelques mois, ses rêves, ses parents et son amour. Martine vécut un peu comme un zombie pendant presque deux ans, ce qui ne l’avait pas empêchée d’obtenir enfin son Bac. Elle avait entretenu une correspondance écrite avec sa nourrice Thérèse et surtout avec son chéri Alain, néanmoins il ne lui répondait plus aussi souvent qu’au début. Par chance, le gouvernement avait abaissé l’âge de la majorité, en été 1975 elle était revenu chez Thérèse, Philippe s’était fiancé et elle n’avait pas manqué l’occasion d’aller revoir son photographe. Elle eut une nouvelle désillusion lorsqu’elle avait appris que celui-ci était marié.
Cependant, désirant reprendre des séances photos, Alain lui donna rendez-vous où elle avait fait la connaissance de Cindy la jeune mariée et de Pierre son beau-père, spécialisé dans le domaine de la mode. Après les prises de vue, Mr Berger un bel homme très élégant de soixante ans fut conquis par Martine et l’invita à diner. Il l’amena dans un grand restaurant de la ville où elle lui avait expliqué sa triste aventure. Très compatissant, il lui promit de s’occuper d’elle et fit tout pour la séduire. Tellement enchanteur, Martine était tombée sous son charme, elle était sur un nuage et lorsqu’il l’invita à monter dans sa chambre d’hôtel, elle se sentait prête à se donner à cet homme qui la faisait vibrer.
Dans la chambre, Pierre lui avait demandé de reprendre quelques poses en déshabillé, elle savait au fond d’elle-même qu’il avait envie d’elle. Cependant c’était réciproque, ce sexagénaire l’attirait beaucoup malgré l’énorme différence d’âge. Il s’était dévêtu et se plaça derrière elle, debout devant le divan, il embrassa ses épaules et son cou, elle releva légèrement ses fesses et sentis rapidement son sexe contre elle. Machinalement elle écarta les cuisses, elle sentit son gland glisser dans sa raie, elle frissonna, son sexe avait l’air énorme. Sans aucun préliminaire, sans aucun baiser non plus, Pierre la saisit par les hanches et la fit se pencher en avant.
Les avant-bras de Martine reposant sur le canapé la tête plongée sur les coussins, elle offrait son fessier à son partenaire. Le grand et épais pénis de Pierre la pénétra lentement, tellement il était gros que c’était pour elle, qui n’avait pas fait l’amour depuis longtemps, comme une première fois. Sa verge remplissait entièrement sa petite chatte mouillée et étroite. Jamais elle n’avait ressenti une telle sensation. Penché sur elle, il commença par de lents vas-et-viens tout en lui chuchotant à l’oreille :— Tu es à moi ma jolie ! Bientôt tu ne pourras plus te passer de ma queue. Je ferai de toi ma petite salope.
Martine ne comprenait le sens de ses propos, tous les hommes traitaient leur partenaire de salope, elle était tellement en effervescence que la situation et ses mots l’excitaient encore plus. Elle sentit monter au creux de ses reins un orgasme. Elle se laissait aller au plaisir, sous les coups de reins acharnés de Pierre qui devenaient plus puissants et plus profonds. Elle avait l’impression que son sexe gonflait encore dans sa chatte, elle explosa dans une jouissance intense, tous ses membres et tous son corps, remuaient dans tous les sens. Il se retira et la retourna, elle s’allongea sur le sofa, Pierre se positionna au-dessus de Martine.
Elle voyait enfin ce sexe qui l’avait fait jouir, ce phallus était digne d’un grand black, elle regardait avec attention le gourdin de Pierre prêt à exploser sa semence. Devant ses yeux, il se masturbait lentement au-dessus de sa poitrine et continuait inlassablement. Martine reçut soudain le premier jet de sperme sur son menton, elle ouvrit la bouche et la seconde saccade vint s’étaler sur sa langue. Puis il jouit abondamment entre ses seins qu’elle massait avec la semence, avant de déposer ses doigts dans sa bouche. Pierre approcha sa grosse verge vers le visage de Martine afin que celle-ci l’avale entre ses lèvres pour lui lécher le surplus de sperme.
Elle passa une nuit magique, ce sexagénaire était un dieu, il l’avait fait jouir comme jamais. Toute la semaine, elle vécut avec lui ce qu’elle n’avait jamais connu auparavant. Le plus difficile, ce fut la sodomie, mais après de longues préparations intimes, elle fut comblée, son orgasme fut inimaginable lorsqu’il lui avait dépuceler sa rondelle étoilée. Pierre avait tenu ses promesses, dès la semaine suivante, il lui demanda de passer chez lui, il avait son premier contrat. Si la haute couture ne voulait pas d’elle, cet homme lui avait trouvé une entreprise de vente à distance qui l’engagea comme mannequin.
À partir de ce jour, tout s’enchaîna très vite, elle obtint de nombreux autres contrats, avec des marques de prêt-à-porter, principalement des sous-vêtements. Puis bientôt des marques de renom s’intéressèrent à elle, Martine portait avec grâce aussi bien des robes de mariée que les collections d’été ou d’hivers de ces différentes marques. Pendant deux ans, elle fut sur les quatre chemins, en studios ou salons, elle n’avait plus beaucoup de temps à elle. Pierre était son agent, il était follement amoureux de sa jeune princesse mais en voulait plus, il lui avait dit que ses formes la rendaient pulpeuse et lui conseilla : « Tu devrais faire des photos érotiques. » Elle était tellement sous sa coupe professionnellement, qu’elle ne put refuser sa proposition.
En 1977, Pierre téléphona à plusieurs de ses amis et avait obtenu un rendez-vous. Il l’avait emmené à Paris dans le studio du photographe et l’avait laissé seule en lui disant : « Fais exactement ce qu’il te dit et surtout tu lui obéis, Raoul est un véritable ami. » Ce jour-là, ce professionnel de la photo érotique lui avait fait enfiler ses sous-vêtements et l’invita à prendre des poses lascives, et sensuelles. Rapidement Martine se prêta au jeu, jouant avec l'objectif. Les f1ashs crépitaient de toute part sous le déclencheur, la jeune fille s’amusait, cela lui plaisait beaucoup, elle était prête à faire n’importe quoi pour son mentor. Raoul lui dit alors d'aller un peu plus loin et de retirer ses sous-vêtements.
Cela l’avait gênée, cependant ne désirant pas avoir des reproches de la part de son homme, elle s’exécuta. Nue devant lui, elle reprenait ses poses lascives, Raoul tournant autour d’elle avec son appareil. Au départ, il lui demanda de cacher ses seins et son sexe avec ses mains puis rapidement, elle exposait toute son intimité à l’objectif pendant qu’il l'encourageait. La séance toucha à sa fin, il avait suffisamment de clichés. Il l’avait prise dans ses bras, lui déposa une bise sur les lèvres avant de l’embrasser. Elle eut un moment de recul mais celui-ci insista : — Pierre a dû te dire que si tu veux réussir il faut en passer par là, c’est la vie ma petite chérie. Tu m’as bien fait bander. Suce-moi !
Martine ne savait pas quoi penser, elle n’avait pas peur de faire des fellations, au contraire elle appréciait beaucoup mais elle ne savait pas si cela allait plaire à Pierre mais en repensant à ce qu’il lui avait dit « obéis-lui » Elle s’accroupit défit son pantalon et le suça et le branla avec une grande application. Sa gorge profonde fit très vite son effet, il éjacula au fond de sa bouche en la remerciant. Fière de sa séance, elle en fit part à Pierre qui la gifla en l’insultant, très jaloux celui-ci la jeta dehors et rompit en cachette tous les contrats qu’elle avait en cours.
Retournée chez elle où elle avait hérité de la maison de ses parents, elle n’avait plus de travail. En quelques mois elle avait pris un peu de poids et sa poitrine était passée au 95C, ce qui plaisait beaucoup à son médecin traitant. Martine qui ne pouvait pas se passer de sexe, avec Pierre elle avait compris qu’elle affectionnait les hommes d’un âge mûr et ce docteur de 55 ans ne tarda pas à se retrouver dans le lit de sa patiente. En parlant avec lui qui connaissait ce qu’elle faisait et avec le corps qu’elle avait, il lui conseilla également de se tourner vers les photos érotiques.
Alain qui l’avait aimé, avait appris ce qui s’était passé avec son beau-père, il lui avait obtenu un rendez-vous avec un professionnel, qu’elle alla rencontrer dans la foulée. Hubert était un homme de 50 ans, petit et trapu. Il n’avait vraiment rien du play-boy. Martine lorsqu’elle l’avait vu, avait eu envie de repartir tellement il lui faisait peur. Après quelques paroles et ses explications, elle comprit qu’il était très professionnel et ne pensait plus à lui. Heureusement, il avait pour lui, une belle voix, il donnait les informations et la jeune fille s’exécutait. En sous-vêtements très coquins, pendant plus de trente minutes, elle l’écoutait et fit de nombreuses poses subjectives et très sensuelles dont elle avait pris l’habitude de faire.
Hubert commença une nouvelle série sur le canapé, ne faisant pas exactement ce qu’il voulait, il s’était approché d’elle et en haussant le ton, il lui dit sèchement : « Je veux que tu poses ta main là sur ta cuisse comme ça et l’autre sur ta poitrine comme ceci. » Tout ça en prenant ses mains et les posant sur son corps. Martine fut très impressionnée, elle n’était plus très à l’aise. À chaque pose il venait prendre ses mains et les posait au meilleur endroit pour la rendre plus photogénique. En même temps, il en profitait pour la toucher, aussi bien les seins que les cuisses et ses mains étaient si douces que Martine appréciait.
Elle, si dominatrice avec son amant le docteur, se sentit toute petite avec Hubert qui la dominait. Elle n’osait pas le contredire, elle avait peur qu’il la dispute, elle se croyait revenir dix ans en arrière, surtout qu’il s’en était aperçu. Toute la détermination, toute son expérience et ses propos à la limite de l’agressivité impressionnaient la jeune femme. Il se prenait pour Dieu, elle se sentait très mal, elle avait honte car elle était très excitée, cet homme avait pris le dessus, il la faisait mouiller sa petite culotte. Ses mains étaient de plus en plus présentes sur son corps. Il devenait de plus en plus exigeant.
La séance se termina alors que Martine était adossée contre le mur, debout, un pied posé sur une chaise, une main dans ses cheveux, l’autre le long de ses cuisses, le regard provoquant l’objectif, la bouche entrouverte. Il s’approcha d’elle, posa ses mains sur ses hanches et lui dit :— Tu es super ! Une vraie petite cochonne. Je veux te revoir la semaine prochaine.
Pour le moment, il n’eut pas de résultats, cependant Hubert ne perdait pas espoir, il lui soutenait que cela allait venir. Plus les séances passaient, plus les poses devenaient érotiques, il la forçait à se caresser, la main dans sa petite culotte et l’autre triturant son téton, tout ceci devant l’objectif. Lorsque Martine s’y prenait mal, il prenait son doigt dans sa main et lui montrait comment faire, avant de reprendre son appareil photo. Puis il l’avait carrément masturbée, jusqu’à ce qu’elle jouisse sur ses doigts.
— Suce-moi maintenant ! Dit-il en enlevant son pantalon.
« Décidément, les photographes sont tous les mêmes » se disait-elle, Elle était tellement impressionnée par cet homme mais en même temps excitée qu’elle n’avait esquissé aucun refus et l’avait sucé, léché, aspiré jusqu’au moment où il la coucha à plat ventre sur l’accoudoir du divan et la sodomisa avec force, la prenant sauvagement par derrière. Elle en était à le détester, cependant elle avait pris son pied : « Il faut fêter ça Marty ! » Lui avait-il dit avec un large sourire. En effet, elle était heureuse d’apprendre que certaines de ses photos allaient paraitre dans le magazine de charme masculin à la mode, Hubert lui avait fait signer un contrat d’exclusivité, trois semaines plus tard.
Je continuerai à vous raconter la suite mercredi dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Martine, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Il faut dire que Martine était bien en avance pour son âge, en 1970 René le grand frère de Philippe, âgé à l’époque de 25 ans avait emmené Martine faire un tour dans sa voiture, elle était fière de se promener avec lui, un garçon qui n’avait rien à voir avec ses copains de classe. Elle était en admiration devant lui et lorsqu’il lui avait posé la main sur le haut de sa cuisse tout en conduisant, elle en eut des frissons mais avait aimé ce contact. La voyant peu farouche, il lui dit alors qu’il était au courant de ce qu’elle faisait à son jeune frère et voulait bien qu’elle en fasse de même avec lui.
René l’emmena dans les bois loin des regards indiscret et l’avait embrassé. Il avait étendu une couverture sur le sol pour s’y allonger tous les deux. Martine était aux anges, elle n’aurait jamais pensé qu’un homme de son âge pouvait s’intéresser à sa jeune personne. Elle se laissa caresser, peloter et lorsqu’il l’avait dénudé, elle était trempée, sous les caresses intimes qui lui avait prodiguées. Elle n’hésita pas une seconde à accéder à sa demande, elle le suça de longues minutes avant qu’il ne la déflore. Même si de ce jour-là, elle n’en avait pas gardé un grand souvenir, elle était heureuse d’être devenue une femme.
Le samedi suivant, elle fit connaitre à son petit copain Philippe la joie de la pénétration, elle ne lui avait jamais dit qu’elle fut dépucelée trois jours auparavant avec son grand frère. Étant fiancé, elle n’avait jamais refait l’amour avec René et ce fut à son mariage, au printemps 1971 qu’elle rencontra Alain le photographe. Ce célibataire trentenaire ne l’avait pas quitté de toute l’après-midi, il fit d’innombrables photos d’elle en lui disant qu’elle était magnifique, qu’il aimerait la prendre en photo dans son studio. Il lui avait donné rendez-vous, le lundi à la sortie du lycée. Martine ne l’avait pas dit à ses parents mais appréhendant de venir seule, elle avait demandé à Joëlle sa copine, de l’accompagner.
Alain avait montré aux deux jeunes filles les tirages du mariage qu’il avait développé, en renouvelant les compliments sur sa beauté et la finesse de son corps. Ce jour-là, il passa une petite heure à la photographier, mais les clichés furent toujours, soit des portraits ou des poses traditionnelles et naturelles. Avant de les raccompagner, il proposa discrètement à Martine de repasser seule en lui faisant miroiter qu’elle avait une réelle possibilité de devenir célèbre. Dans la semaine, elle en parla à son amie et celle-ci insistait pour qu’elle tente sa chance, Joëlle aussi la trouvait magnifique.
Martine se décida donc de l’appeler pour obtenir un rendez-vous. Ayant de bonnes relations dans le monde du showbiz, Alain lui proposa de faire du mannequinat. Si elle avait tout de suite accepté de faire un press-book et des essais, elle devait le dire à ses parents. Malheureusement, son père lui interdit de revoir ce type pour le moment, elle devait passer son Bac avant toute chose. Martine avait désobéi, sans l’accord de ses parents, elle alla à la sortie du lycée, retrouver Alain dans son studio. Avec son joli visage, son 1,75 pour 56 kg, ses mensurations presqu’idéales 90-63-92, Martine pouvait espérer devenir mannequin.
Ce fut le début d’une belle histoire d’amour. Alain fut tendre et doux, à la fin de la première séance intime où il avait pris ses mensurations, Martine fit le premier pas en l’enlaçant et en l’embrassant à pleine bouche. Après des préliminaires très longs, il l’avait longuement possédée avec beaucoup de délicatesse et de passion. Elle avait rompu toute relation avec Philippe qui avait d’autres copines, Alain venait tous les soirs la chercher à la sortie du lycée et l’emmenait au studio où ils vécurent librement, pendant quatre mois leur amour.
Son press-book terminé, Alain avait pris contact avec des agences mais aucune de celles-ci l’avait choisie, prétextant toutes, que sa poitrine était un tout petit peu, trop volumineuse. Si son 90C plaisait aux hommes, il n’en était pas de même pour la haute couture. Martine en fut très déçue, son rêve de se voir un jour porter de très belles tenues de grandes marques, dans des somptueux défilés de mode, tombait à l’eau. Elle mit plusieurs mois à s’en remettre, surtout qu’en février 1973, elle perdit ses parents dans un tragique accident de voiture. N’étant pas majeure, elle dut quitter sa région pour aller vivre chez son oncle à Bordeaux.
Elle avait tout perdu en quelques mois, ses rêves, ses parents et son amour. Martine vécut un peu comme un zombie pendant presque deux ans, ce qui ne l’avait pas empêchée d’obtenir enfin son Bac. Elle avait entretenu une correspondance écrite avec sa nourrice Thérèse et surtout avec son chéri Alain, néanmoins il ne lui répondait plus aussi souvent qu’au début. Par chance, le gouvernement avait abaissé l’âge de la majorité, en été 1975 elle était revenu chez Thérèse, Philippe s’était fiancé et elle n’avait pas manqué l’occasion d’aller revoir son photographe. Elle eut une nouvelle désillusion lorsqu’elle avait appris que celui-ci était marié.
Cependant, désirant reprendre des séances photos, Alain lui donna rendez-vous où elle avait fait la connaissance de Cindy la jeune mariée et de Pierre son beau-père, spécialisé dans le domaine de la mode. Après les prises de vue, Mr Berger un bel homme très élégant de soixante ans fut conquis par Martine et l’invita à diner. Il l’amena dans un grand restaurant de la ville où elle lui avait expliqué sa triste aventure. Très compatissant, il lui promit de s’occuper d’elle et fit tout pour la séduire. Tellement enchanteur, Martine était tombée sous son charme, elle était sur un nuage et lorsqu’il l’invita à monter dans sa chambre d’hôtel, elle se sentait prête à se donner à cet homme qui la faisait vibrer.
Dans la chambre, Pierre lui avait demandé de reprendre quelques poses en déshabillé, elle savait au fond d’elle-même qu’il avait envie d’elle. Cependant c’était réciproque, ce sexagénaire l’attirait beaucoup malgré l’énorme différence d’âge. Il s’était dévêtu et se plaça derrière elle, debout devant le divan, il embrassa ses épaules et son cou, elle releva légèrement ses fesses et sentis rapidement son sexe contre elle. Machinalement elle écarta les cuisses, elle sentit son gland glisser dans sa raie, elle frissonna, son sexe avait l’air énorme. Sans aucun préliminaire, sans aucun baiser non plus, Pierre la saisit par les hanches et la fit se pencher en avant.
Les avant-bras de Martine reposant sur le canapé la tête plongée sur les coussins, elle offrait son fessier à son partenaire. Le grand et épais pénis de Pierre la pénétra lentement, tellement il était gros que c’était pour elle, qui n’avait pas fait l’amour depuis longtemps, comme une première fois. Sa verge remplissait entièrement sa petite chatte mouillée et étroite. Jamais elle n’avait ressenti une telle sensation. Penché sur elle, il commença par de lents vas-et-viens tout en lui chuchotant à l’oreille :— Tu es à moi ma jolie ! Bientôt tu ne pourras plus te passer de ma queue. Je ferai de toi ma petite salope.
Martine ne comprenait le sens de ses propos, tous les hommes traitaient leur partenaire de salope, elle était tellement en effervescence que la situation et ses mots l’excitaient encore plus. Elle sentit monter au creux de ses reins un orgasme. Elle se laissait aller au plaisir, sous les coups de reins acharnés de Pierre qui devenaient plus puissants et plus profonds. Elle avait l’impression que son sexe gonflait encore dans sa chatte, elle explosa dans une jouissance intense, tous ses membres et tous son corps, remuaient dans tous les sens. Il se retira et la retourna, elle s’allongea sur le sofa, Pierre se positionna au-dessus de Martine.
Elle voyait enfin ce sexe qui l’avait fait jouir, ce phallus était digne d’un grand black, elle regardait avec attention le gourdin de Pierre prêt à exploser sa semence. Devant ses yeux, il se masturbait lentement au-dessus de sa poitrine et continuait inlassablement. Martine reçut soudain le premier jet de sperme sur son menton, elle ouvrit la bouche et la seconde saccade vint s’étaler sur sa langue. Puis il jouit abondamment entre ses seins qu’elle massait avec la semence, avant de déposer ses doigts dans sa bouche. Pierre approcha sa grosse verge vers le visage de Martine afin que celle-ci l’avale entre ses lèvres pour lui lécher le surplus de sperme.
Elle passa une nuit magique, ce sexagénaire était un dieu, il l’avait fait jouir comme jamais. Toute la semaine, elle vécut avec lui ce qu’elle n’avait jamais connu auparavant. Le plus difficile, ce fut la sodomie, mais après de longues préparations intimes, elle fut comblée, son orgasme fut inimaginable lorsqu’il lui avait dépuceler sa rondelle étoilée. Pierre avait tenu ses promesses, dès la semaine suivante, il lui demanda de passer chez lui, il avait son premier contrat. Si la haute couture ne voulait pas d’elle, cet homme lui avait trouvé une entreprise de vente à distance qui l’engagea comme mannequin.
À partir de ce jour, tout s’enchaîna très vite, elle obtint de nombreux autres contrats, avec des marques de prêt-à-porter, principalement des sous-vêtements. Puis bientôt des marques de renom s’intéressèrent à elle, Martine portait avec grâce aussi bien des robes de mariée que les collections d’été ou d’hivers de ces différentes marques. Pendant deux ans, elle fut sur les quatre chemins, en studios ou salons, elle n’avait plus beaucoup de temps à elle. Pierre était son agent, il était follement amoureux de sa jeune princesse mais en voulait plus, il lui avait dit que ses formes la rendaient pulpeuse et lui conseilla : « Tu devrais faire des photos érotiques. » Elle était tellement sous sa coupe professionnellement, qu’elle ne put refuser sa proposition.
En 1977, Pierre téléphona à plusieurs de ses amis et avait obtenu un rendez-vous. Il l’avait emmené à Paris dans le studio du photographe et l’avait laissé seule en lui disant : « Fais exactement ce qu’il te dit et surtout tu lui obéis, Raoul est un véritable ami. » Ce jour-là, ce professionnel de la photo érotique lui avait fait enfiler ses sous-vêtements et l’invita à prendre des poses lascives, et sensuelles. Rapidement Martine se prêta au jeu, jouant avec l'objectif. Les f1ashs crépitaient de toute part sous le déclencheur, la jeune fille s’amusait, cela lui plaisait beaucoup, elle était prête à faire n’importe quoi pour son mentor. Raoul lui dit alors d'aller un peu plus loin et de retirer ses sous-vêtements.
Cela l’avait gênée, cependant ne désirant pas avoir des reproches de la part de son homme, elle s’exécuta. Nue devant lui, elle reprenait ses poses lascives, Raoul tournant autour d’elle avec son appareil. Au départ, il lui demanda de cacher ses seins et son sexe avec ses mains puis rapidement, elle exposait toute son intimité à l’objectif pendant qu’il l'encourageait. La séance toucha à sa fin, il avait suffisamment de clichés. Il l’avait prise dans ses bras, lui déposa une bise sur les lèvres avant de l’embrasser. Elle eut un moment de recul mais celui-ci insista : — Pierre a dû te dire que si tu veux réussir il faut en passer par là, c’est la vie ma petite chérie. Tu m’as bien fait bander. Suce-moi !
Martine ne savait pas quoi penser, elle n’avait pas peur de faire des fellations, au contraire elle appréciait beaucoup mais elle ne savait pas si cela allait plaire à Pierre mais en repensant à ce qu’il lui avait dit « obéis-lui » Elle s’accroupit défit son pantalon et le suça et le branla avec une grande application. Sa gorge profonde fit très vite son effet, il éjacula au fond de sa bouche en la remerciant. Fière de sa séance, elle en fit part à Pierre qui la gifla en l’insultant, très jaloux celui-ci la jeta dehors et rompit en cachette tous les contrats qu’elle avait en cours.
Retournée chez elle où elle avait hérité de la maison de ses parents, elle n’avait plus de travail. En quelques mois elle avait pris un peu de poids et sa poitrine était passée au 95C, ce qui plaisait beaucoup à son médecin traitant. Martine qui ne pouvait pas se passer de sexe, avec Pierre elle avait compris qu’elle affectionnait les hommes d’un âge mûr et ce docteur de 55 ans ne tarda pas à se retrouver dans le lit de sa patiente. En parlant avec lui qui connaissait ce qu’elle faisait et avec le corps qu’elle avait, il lui conseilla également de se tourner vers les photos érotiques.
Alain qui l’avait aimé, avait appris ce qui s’était passé avec son beau-père, il lui avait obtenu un rendez-vous avec un professionnel, qu’elle alla rencontrer dans la foulée. Hubert était un homme de 50 ans, petit et trapu. Il n’avait vraiment rien du play-boy. Martine lorsqu’elle l’avait vu, avait eu envie de repartir tellement il lui faisait peur. Après quelques paroles et ses explications, elle comprit qu’il était très professionnel et ne pensait plus à lui. Heureusement, il avait pour lui, une belle voix, il donnait les informations et la jeune fille s’exécutait. En sous-vêtements très coquins, pendant plus de trente minutes, elle l’écoutait et fit de nombreuses poses subjectives et très sensuelles dont elle avait pris l’habitude de faire.
Hubert commença une nouvelle série sur le canapé, ne faisant pas exactement ce qu’il voulait, il s’était approché d’elle et en haussant le ton, il lui dit sèchement : « Je veux que tu poses ta main là sur ta cuisse comme ça et l’autre sur ta poitrine comme ceci. » Tout ça en prenant ses mains et les posant sur son corps. Martine fut très impressionnée, elle n’était plus très à l’aise. À chaque pose il venait prendre ses mains et les posait au meilleur endroit pour la rendre plus photogénique. En même temps, il en profitait pour la toucher, aussi bien les seins que les cuisses et ses mains étaient si douces que Martine appréciait.
Elle, si dominatrice avec son amant le docteur, se sentit toute petite avec Hubert qui la dominait. Elle n’osait pas le contredire, elle avait peur qu’il la dispute, elle se croyait revenir dix ans en arrière, surtout qu’il s’en était aperçu. Toute la détermination, toute son expérience et ses propos à la limite de l’agressivité impressionnaient la jeune femme. Il se prenait pour Dieu, elle se sentait très mal, elle avait honte car elle était très excitée, cet homme avait pris le dessus, il la faisait mouiller sa petite culotte. Ses mains étaient de plus en plus présentes sur son corps. Il devenait de plus en plus exigeant.
La séance se termina alors que Martine était adossée contre le mur, debout, un pied posé sur une chaise, une main dans ses cheveux, l’autre le long de ses cuisses, le regard provoquant l’objectif, la bouche entrouverte. Il s’approcha d’elle, posa ses mains sur ses hanches et lui dit :— Tu es super ! Une vraie petite cochonne. Je veux te revoir la semaine prochaine.
Pour le moment, il n’eut pas de résultats, cependant Hubert ne perdait pas espoir, il lui soutenait que cela allait venir. Plus les séances passaient, plus les poses devenaient érotiques, il la forçait à se caresser, la main dans sa petite culotte et l’autre triturant son téton, tout ceci devant l’objectif. Lorsque Martine s’y prenait mal, il prenait son doigt dans sa main et lui montrait comment faire, avant de reprendre son appareil photo. Puis il l’avait carrément masturbée, jusqu’à ce qu’elle jouisse sur ses doigts.
— Suce-moi maintenant ! Dit-il en enlevant son pantalon.
« Décidément, les photographes sont tous les mêmes » se disait-elle, Elle était tellement impressionnée par cet homme mais en même temps excitée qu’elle n’avait esquissé aucun refus et l’avait sucé, léché, aspiré jusqu’au moment où il la coucha à plat ventre sur l’accoudoir du divan et la sodomisa avec force, la prenant sauvagement par derrière. Elle en était à le détester, cependant elle avait pris son pied : « Il faut fêter ça Marty ! » Lui avait-il dit avec un large sourire. En effet, elle était heureuse d’apprendre que certaines de ses photos allaient paraitre dans le magazine de charme masculin à la mode, Hubert lui avait fait signer un contrat d’exclusivité, trois semaines plus tard.
Je continuerai à vous raconter la suite mercredi dans un prochain récit.
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