Série l’adultère : (Partie 11) Julien trompe sa femme avec une petite salope
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série l’adultère : (Partie 11) Julien trompe sa femme avec une petite salope
Je me nomme Julien, j’avais à l’époque 30 ans, j’étais mariée à Audrey depuis 5 ans, sans enfant. Je ne suis pas Richard Gire, mais j’ai un beau visage et un physique tout à fait correct : 1,80 m pour 76 kilos. Avec mes cheveux châtains coupés courts, mes yeux marrons. J’étais très bien avec mon épouse, nous nous aimions comme au premier jour, jamais je ne m’imaginais pouvoir un jour, la tromper, néanmoins c’était bien ce qu’il arriva.
Je travaillais dans une entreprise de service, ayant son siège à côté d’un lycée, mes horaires correspondaient à la sortie des classes. Depuis quelques temps, j’avais l’impression d’être observé en prenant ma voiture sur le parking. En effet, cette jeune fille d’une vingtaine d’années se plaçait à l’angle de la rue et attendait mon passage pour aller prendre son bus. Elle était très belle et très bien faite, plutôt sexy et très attirante. Son corps me plaisait, mais son sourire et ses yeux malicieux en disaient long sur ses pensées. Je sentis tout de suite qu’elle me trouvait beau et à son goût, car elle faisait exprès de me mater de la tête aux pieds à chaque fois que je la croisais et elle restait là, me dévisageant en me souriant.
Il n’y avait aucun doute, elle m’allumait, voire m’aguichait, moi, un homme marié de 30 ans. Jusqu’où pouvait-elle aller, me draguait-elle ou était-ce un jeu ? Je n’avais aucune envie de le savoir même si j’admirais son cul et ses seins qui me paraissaient magnifiques. Pour tenter une expérience, ce soir-là, je m’arrêtai au bar d’en face. Me voyant attablé à la terrasse du café, elle ne prit pas le bus et vint s’installer à une table voisine se retrouvant ainsi, pile en face de moi. La jeune fille ne me quittait pas des yeux, elle me souriait à chaque fois que je relevais la tête de mon journal :— Comment t’appelles-tu ? Lui demandais-je en restant assis.
— Lucie ! et toi ? Me répondit-elle en se levant et en se mettant assise à ma table.
— Je m’appelle Julien. Pourquoi me regardes-tu comme ça tous les jours ? Tu sais ça me gêne.
— Je vous trouve trop beau, vous me plaisez beaucoup Julien. Vous savez les garçons de mon âge ne m’intéresse guère, je préfère les hommes mûrs.
Je ne rêvais pas, Lucie me draguait ouvertement, elle m’excitait avec sa mini-jupe et son décolleté laissant entrevoir sa belle poitrine. Je changeai de conversation en appelant le serveur qui passait devant nous. J’avais payé ma consommation et son diabolo, au garçon de café, je m’apprêtais à partir :— Tu peux me ramener chez moi, j’ai loupé mon bus.
— Tu habites où ? Ma voiture est là. Lui dis-je en montrant ma Ford garée sur le parking.
— Oui je sais ! Je n’habite pas loin de chez toi, je t’ai déjà vu avec ta femme au guignol.
J’étais stupéfait, elle savait où j’habitais et que j’étais marié et pourtant Lucie était prête à monter avec moi. Je lui avais demandé de me rejoindre discrètement sur le parking que l’on ne me voit avec elle. Lorsque nous fument dans la voiture sur le chemin du retour, nous avions fait un peu plus connaissance, Lucie s’était volontairement vieillie de deux ans, elle m’avoua qu’elle avait 18 ans et qu’elle passait son bac en fin d’année.
— Tu sais, je suis majeure Julien. Me dit-elle en me montrant sa carte d’identité.
Je lui avais dit que j’étais marié et que j’aimais ma femme et que pour le moment malheureusement, je n’avais pas la chance de connaitre la paternité. Je ne lui dis pas que c’était la raison pour laquelle notre couple commençait à battre de l’aile. Après dix minutes de route, Lucie prit ma main posée sur le levier de vitesse pour la mettre sur la peau du haut de sa cuisse. Machinalement, je l’enlevai pour passer la cinquième alors que je ne devais pas rétrograder. Ce fut elle qui posa la sienne sur ma cuisse, j’étais maintenant en pleine érection, Lucie était trop bandante.
Elle me caressait et remontait sa main au fur et à mesure, jusqu’à avoir sa main sur mon sexe au-dessus de mon pantalon :— Pour un mec qui ne veut pas tromper sa femme ! Me dit-elle en appuyant fermement ma verge dans sa main.
— Arrête Lucie, ce n’est pas sérieux. Oui ! Tu me fais bander mais je ne peux pas faire l’amour avec toi.
— Arrête-toi là sur ce petit parking, alors ! Je vais te faire une gâterie et peut être que demain tu voudras aller plus loin.
Lucie n’avait pas attendu que ma voiture soit stationnée, elle déboucla ma ceinture, descendit le zip de la fermeture éclair et commença à passer sa main dans mon boxer. Je m’appuyai sur les jambes afin qu’elle puisse descendre l’ensemble à mi-cuisse. Elle me suça quelques minutes, j’avais trop envie pour lui refuser, lorsque j’avais senti que mon plaisir allait venir, je lui dis de prendre un mouchoir sur le tableau de bord puis elle me finit à la main, éjaculant dans le papier qu’elle avait mis sous ma queue. Je la relevai de sa position, je lui pris la tête avec mes deux mains et nous nous sommes embrassés :— Tu as été formidable Lucie, merci mais je préfère en rester là.
Je l’avais raccompagnée jusqu’à chez elle, nous avions parlé, elle me posait des questions intimes sur la vie de couple et je lui demandai :— Et toi, tu as déjà fait l’amour Lucie ?
— Bien sûre ! J’ai l’air d’une pucelle ? Je ne suis pas jeanne d’Arc.
J’avais pensé à elle toute la soirée et toute la journée du lendemain me demandant si j’allais la voir le soir, sachant que j’avais refusé de coucher avec elle la veille. Mais, il n’y eut pas de suspense, elle était bien au même endroit le lendemain, attendant ma venue. Après nous être fait la bise discrètement, elle me demanda de la raccompagner une nouvelle fois. J’allais refuser, je savais ce qu’il allait arriver, elle me ferait encore une fellation et je ne pourrais pas refuser, Lucie me fascinait par sa beauté mais aussi par sa capacité d’être une jeune vicieuse comme pas deux :— Je te jure que tu ne regretteras pas, je n’aurai pas besoin de mouchoir ce soir, j’avalerai tout. Allez emmène-moi.
Nous nous étions arrêtés au même endroit, elle était gourmande de ma queue qu’elle prit dans la bouche, sans que je lui demande. Elle me léchait me suçait goulument, puis je m’excitai à l’intérieur de sa bouche, mes allers et retours devenaient plus profonds jusqu’à ce que je reste au fond en poussant un râle de plaisir. Elle avait des difficultés à respirer, lorsqu’elle sentit ce liquide chaud couler au fond de sa gorge, elle leva les yeux pour me regarder en buvant pour la première fois mon sperme. Elle en était fière :— Tu as aimé, t’as vu, j’ai tout avalé jusqu’à la dernière goutte.
En effet, Lucie n’avait pas menti, elle avait bu tout mon sperme et semblait prendre du plaisir à le faire après une fellation d’enfer. Elle tissait sa toile, bientôt, « elle va me demander de la baiser », j’en étais quasiment sûr, mais comment refuser ? elle avait un don de persuasion qu’aucun homme ne pouvait rester de marbre. J’aimais ma femme, je ne voulais pas la tromper. Toute la semaine, se passa comme ça, je lui avais tout de même, donner du plaisir en la masturbant, elle jouit très facilement.
Le lundi soir, comme à son habitude, Lucie caressa mon sexe juste après avoir pris place dans la Ford. N’ayant pas eu beaucoup de rapport avec Audrey ce week-end, nous nous étions plus ou moins disputé la veille, j’avais très envie de ma petite lycéenne qui m’avait déjà excité en m’embrassant quelques minutes plus tôt, ce qui en disait long sur ses intentions. Elle s’était frottée contre moi tout en me prenant la main pour que je caresse les seins.
Je posai ma main sur sa cuisse, elle en profita pour les écarter au maximum en venant au plus près de moi, afin que j’atteigne le but, elle savait comment cela se passait dans une voiture et qu’est-ce qu’elle attendait de moi quelques minutes plus tard. Voyant que ma jeune passagère gémissait sous mes doigts pendant qu’elle me triturait le tissu de mon pantalon, je n’avais qu’une envie c’était de m’arrêter : — Ne prends pas ce parking, Je connais un endroit plus tranquille. Me dit-elle. En gémissant un peu plus.
Arrivé à un kilomètre de son domicile Lucie m’avait fait prendre un chemin et me montra un bâtiment désaffecté où je vins me garer.
— Tu as envie de moi, ce soir mon chéri ?
— Tout ce que tu voudras, je suis très excité.
— Je t’aime Julien.
Elle enleva sa ceinture de sécurité et elle sauta à mon cou. Nous nous étions embrassés sensuellement, Lucie n’avait pas eu besoin de faire la même chose que la semaine passée, je lui plaisais vraiment. Il faisait très chaud ce jour-là, après quelques caresses intimes, voulant être plus à l’aise :— Viens dehors Julien nous y seront plus à l’aise.
C’était elle qui prenait toutes les initiatives, elle était déjà sortie et passa de mon côté afin que je sorte de la Ford. Elle me prit la main et m’emmena devant la voiture. Lucie dos à la Ford baissa mon pantalon avant de se coucher sur le capot encore chaud. Elle remonta sa jupe jusqu’à la taille, pendant que je lui descendis sa culotte. Je m’accroupis devant elle et je lui fis un cunnilingus comme j’aimais faire, très vite elle eut un orgasme, elle me serrait la tête fortement contre son pubis, elle n’avait pas envie que je retire ma langue. Mais mon excitation était à son paroxysme, mouillée comme elle l’était, je n’eus aucune difficulté à la pénétrer, elle était prête pour que ma verge aille et vienne dans sa petite chatte trempée de désir.
J’avais les mains sur ses hanches, elle essayait de m’attirer le plus possible, je résistais en retardant le maximum, j’étais profondément en elle lorsque je sentis venir ma jouissance, je retirai mon préservatif et j’éjaculai sur son ventre, elle en avait partout, jusqu’à son décolleté, son chemisier était souillé :— Putain mon chéri tu as envoyé la sauce, je n’ai jamais rien vu de pareil.
— J’avais trop envie de te baiser ma puce.
Je sortis la boite de mouchoirs en papier, lui en tendit et m’essuyai le pénis avant de me revêtir. Nous nous embrassâmes puis je l’avais ramenée jusque devant son domicile : — On se revoit demain, je te prends.
— Oui ! je t’aime Julien, viens me chercher le matin aussi, j’ai envie d’être avec toi tout le temps.
Ce fut ainsi que commença mon adultère avec la jeune Lucie qui commençait très vite à devenir amoureuse de son prince charmant. Ses copines à l’école étaient toutes jalouses et tous les garçons de son âge bavaient en la voyant monter dans ma voiture, celle d’un vieux, ils auraient tant aimé être à ma place pour la sauter.
Lucie profitait pleinement de moi, elle prenait beaucoup de plaisir à m’apporter son savoir-faire malgré son âge. Moi je nageais dans le bonheur, surpris par cette jeune femme qui me faisait des caresses très érotiques et des fellations magistrales. Je profitais d’elle matin et soir, moi aussi, je ne pouvais plus me passer de ma jeune maitresse qui se faisait prendre dans toutes les positions, même les plus inconfortables quelques fois, vu l’étroitesse de l’habitacle d’une automobile.
En effet, je n’étais pas du tout satisfait sur le plan sexuel, Audrey ma femme, était obligée de s’enduire le sexe d’un hydratant et ne faisait l’amour avec moi qu’une fois par semaine et en position unique, celle du missionnaire. Elle ne connaissait pas l’orgasme, à croire qu’elle ne couchait avec moi que pour la procréation. Alors qu’avec Lucie, je vivais nos jouissances pleinement. Elle m’avait avoué que la première fois qu’elle eut son premier orgasme, c’était sur le capot de ma Ford, mes doigts la fouillaient, elle mouillait abondamment. D’un seul coup, elle sentit monter en elle le plaisir, elle tremblait, elle était comme électrisée puis des jets puissants sortirent de sa chatte, elle éjacula en criant son bonheur. Depuis, elle jouissait de cette façon à chaque fois que je la caressais ou je la pénétrais, elle m’aimait, je la rendais heureuse.
Pendant plusieurs mois, nous vivions sereinement notre aventure, Lucie était éprise, tandis que je vivais des moments formidables entre ses cuisses ou dans sa bouche. Mais le drame arriva, le jour où je lui annonçai notre séparation. Audrey avait eu un doute, elle avait le sentiment que je la trompais. Un soir à la sortie de travail, elle m’avait suivi et m’avait vu devant le lycée monter une jeune femme dans ma voiture. Elle n’était pas allée plus loin car elle nous avait vus nous embrasser et cela lui suffisait pour me menacer. Elle était enceinte de six semaines et me posa un ultimatum. Lucie fut très triste, elle ne comprenait pas mon choix, elle venait de me perdre. Je venais de choisir de rester avec ma femme. Ce fut son premier chagrin amour.
Moi aussi, j’eus des difficultés à m’en remettre, le temps passait et Lucie me manquait énormément mais je savais qu’elle deviendrait vite une petite salope. Heureusement, Audrey qui avait compris pourquoi je l’avais trompée, ne voulant pas me perdre pour une seconde fois, fit le maximum pour mon plaisir sexuel et trouva son bonheur également.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Julien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Je travaillais dans une entreprise de service, ayant son siège à côté d’un lycée, mes horaires correspondaient à la sortie des classes. Depuis quelques temps, j’avais l’impression d’être observé en prenant ma voiture sur le parking. En effet, cette jeune fille d’une vingtaine d’années se plaçait à l’angle de la rue et attendait mon passage pour aller prendre son bus. Elle était très belle et très bien faite, plutôt sexy et très attirante. Son corps me plaisait, mais son sourire et ses yeux malicieux en disaient long sur ses pensées. Je sentis tout de suite qu’elle me trouvait beau et à son goût, car elle faisait exprès de me mater de la tête aux pieds à chaque fois que je la croisais et elle restait là, me dévisageant en me souriant.
Il n’y avait aucun doute, elle m’allumait, voire m’aguichait, moi, un homme marié de 30 ans. Jusqu’où pouvait-elle aller, me draguait-elle ou était-ce un jeu ? Je n’avais aucune envie de le savoir même si j’admirais son cul et ses seins qui me paraissaient magnifiques. Pour tenter une expérience, ce soir-là, je m’arrêtai au bar d’en face. Me voyant attablé à la terrasse du café, elle ne prit pas le bus et vint s’installer à une table voisine se retrouvant ainsi, pile en face de moi. La jeune fille ne me quittait pas des yeux, elle me souriait à chaque fois que je relevais la tête de mon journal :— Comment t’appelles-tu ? Lui demandais-je en restant assis.
— Lucie ! et toi ? Me répondit-elle en se levant et en se mettant assise à ma table.
— Je m’appelle Julien. Pourquoi me regardes-tu comme ça tous les jours ? Tu sais ça me gêne.
— Je vous trouve trop beau, vous me plaisez beaucoup Julien. Vous savez les garçons de mon âge ne m’intéresse guère, je préfère les hommes mûrs.
Je ne rêvais pas, Lucie me draguait ouvertement, elle m’excitait avec sa mini-jupe et son décolleté laissant entrevoir sa belle poitrine. Je changeai de conversation en appelant le serveur qui passait devant nous. J’avais payé ma consommation et son diabolo, au garçon de café, je m’apprêtais à partir :— Tu peux me ramener chez moi, j’ai loupé mon bus.
— Tu habites où ? Ma voiture est là. Lui dis-je en montrant ma Ford garée sur le parking.
— Oui je sais ! Je n’habite pas loin de chez toi, je t’ai déjà vu avec ta femme au guignol.
J’étais stupéfait, elle savait où j’habitais et que j’étais marié et pourtant Lucie était prête à monter avec moi. Je lui avais demandé de me rejoindre discrètement sur le parking que l’on ne me voit avec elle. Lorsque nous fument dans la voiture sur le chemin du retour, nous avions fait un peu plus connaissance, Lucie s’était volontairement vieillie de deux ans, elle m’avoua qu’elle avait 18 ans et qu’elle passait son bac en fin d’année.
— Tu sais, je suis majeure Julien. Me dit-elle en me montrant sa carte d’identité.
Je lui avais dit que j’étais marié et que j’aimais ma femme et que pour le moment malheureusement, je n’avais pas la chance de connaitre la paternité. Je ne lui dis pas que c’était la raison pour laquelle notre couple commençait à battre de l’aile. Après dix minutes de route, Lucie prit ma main posée sur le levier de vitesse pour la mettre sur la peau du haut de sa cuisse. Machinalement, je l’enlevai pour passer la cinquième alors que je ne devais pas rétrograder. Ce fut elle qui posa la sienne sur ma cuisse, j’étais maintenant en pleine érection, Lucie était trop bandante.
Elle me caressait et remontait sa main au fur et à mesure, jusqu’à avoir sa main sur mon sexe au-dessus de mon pantalon :— Pour un mec qui ne veut pas tromper sa femme ! Me dit-elle en appuyant fermement ma verge dans sa main.
— Arrête Lucie, ce n’est pas sérieux. Oui ! Tu me fais bander mais je ne peux pas faire l’amour avec toi.
— Arrête-toi là sur ce petit parking, alors ! Je vais te faire une gâterie et peut être que demain tu voudras aller plus loin.
Lucie n’avait pas attendu que ma voiture soit stationnée, elle déboucla ma ceinture, descendit le zip de la fermeture éclair et commença à passer sa main dans mon boxer. Je m’appuyai sur les jambes afin qu’elle puisse descendre l’ensemble à mi-cuisse. Elle me suça quelques minutes, j’avais trop envie pour lui refuser, lorsque j’avais senti que mon plaisir allait venir, je lui dis de prendre un mouchoir sur le tableau de bord puis elle me finit à la main, éjaculant dans le papier qu’elle avait mis sous ma queue. Je la relevai de sa position, je lui pris la tête avec mes deux mains et nous nous sommes embrassés :— Tu as été formidable Lucie, merci mais je préfère en rester là.
Je l’avais raccompagnée jusqu’à chez elle, nous avions parlé, elle me posait des questions intimes sur la vie de couple et je lui demandai :— Et toi, tu as déjà fait l’amour Lucie ?
— Bien sûre ! J’ai l’air d’une pucelle ? Je ne suis pas jeanne d’Arc.
J’avais pensé à elle toute la soirée et toute la journée du lendemain me demandant si j’allais la voir le soir, sachant que j’avais refusé de coucher avec elle la veille. Mais, il n’y eut pas de suspense, elle était bien au même endroit le lendemain, attendant ma venue. Après nous être fait la bise discrètement, elle me demanda de la raccompagner une nouvelle fois. J’allais refuser, je savais ce qu’il allait arriver, elle me ferait encore une fellation et je ne pourrais pas refuser, Lucie me fascinait par sa beauté mais aussi par sa capacité d’être une jeune vicieuse comme pas deux :— Je te jure que tu ne regretteras pas, je n’aurai pas besoin de mouchoir ce soir, j’avalerai tout. Allez emmène-moi.
Nous nous étions arrêtés au même endroit, elle était gourmande de ma queue qu’elle prit dans la bouche, sans que je lui demande. Elle me léchait me suçait goulument, puis je m’excitai à l’intérieur de sa bouche, mes allers et retours devenaient plus profonds jusqu’à ce que je reste au fond en poussant un râle de plaisir. Elle avait des difficultés à respirer, lorsqu’elle sentit ce liquide chaud couler au fond de sa gorge, elle leva les yeux pour me regarder en buvant pour la première fois mon sperme. Elle en était fière :— Tu as aimé, t’as vu, j’ai tout avalé jusqu’à la dernière goutte.
En effet, Lucie n’avait pas menti, elle avait bu tout mon sperme et semblait prendre du plaisir à le faire après une fellation d’enfer. Elle tissait sa toile, bientôt, « elle va me demander de la baiser », j’en étais quasiment sûr, mais comment refuser ? elle avait un don de persuasion qu’aucun homme ne pouvait rester de marbre. J’aimais ma femme, je ne voulais pas la tromper. Toute la semaine, se passa comme ça, je lui avais tout de même, donner du plaisir en la masturbant, elle jouit très facilement.
Le lundi soir, comme à son habitude, Lucie caressa mon sexe juste après avoir pris place dans la Ford. N’ayant pas eu beaucoup de rapport avec Audrey ce week-end, nous nous étions plus ou moins disputé la veille, j’avais très envie de ma petite lycéenne qui m’avait déjà excité en m’embrassant quelques minutes plus tôt, ce qui en disait long sur ses intentions. Elle s’était frottée contre moi tout en me prenant la main pour que je caresse les seins.
Je posai ma main sur sa cuisse, elle en profita pour les écarter au maximum en venant au plus près de moi, afin que j’atteigne le but, elle savait comment cela se passait dans une voiture et qu’est-ce qu’elle attendait de moi quelques minutes plus tard. Voyant que ma jeune passagère gémissait sous mes doigts pendant qu’elle me triturait le tissu de mon pantalon, je n’avais qu’une envie c’était de m’arrêter : — Ne prends pas ce parking, Je connais un endroit plus tranquille. Me dit-elle. En gémissant un peu plus.
Arrivé à un kilomètre de son domicile Lucie m’avait fait prendre un chemin et me montra un bâtiment désaffecté où je vins me garer.
— Tu as envie de moi, ce soir mon chéri ?
— Tout ce que tu voudras, je suis très excité.
— Je t’aime Julien.
Elle enleva sa ceinture de sécurité et elle sauta à mon cou. Nous nous étions embrassés sensuellement, Lucie n’avait pas eu besoin de faire la même chose que la semaine passée, je lui plaisais vraiment. Il faisait très chaud ce jour-là, après quelques caresses intimes, voulant être plus à l’aise :— Viens dehors Julien nous y seront plus à l’aise.
C’était elle qui prenait toutes les initiatives, elle était déjà sortie et passa de mon côté afin que je sorte de la Ford. Elle me prit la main et m’emmena devant la voiture. Lucie dos à la Ford baissa mon pantalon avant de se coucher sur le capot encore chaud. Elle remonta sa jupe jusqu’à la taille, pendant que je lui descendis sa culotte. Je m’accroupis devant elle et je lui fis un cunnilingus comme j’aimais faire, très vite elle eut un orgasme, elle me serrait la tête fortement contre son pubis, elle n’avait pas envie que je retire ma langue. Mais mon excitation était à son paroxysme, mouillée comme elle l’était, je n’eus aucune difficulté à la pénétrer, elle était prête pour que ma verge aille et vienne dans sa petite chatte trempée de désir.
J’avais les mains sur ses hanches, elle essayait de m’attirer le plus possible, je résistais en retardant le maximum, j’étais profondément en elle lorsque je sentis venir ma jouissance, je retirai mon préservatif et j’éjaculai sur son ventre, elle en avait partout, jusqu’à son décolleté, son chemisier était souillé :— Putain mon chéri tu as envoyé la sauce, je n’ai jamais rien vu de pareil.
— J’avais trop envie de te baiser ma puce.
Je sortis la boite de mouchoirs en papier, lui en tendit et m’essuyai le pénis avant de me revêtir. Nous nous embrassâmes puis je l’avais ramenée jusque devant son domicile : — On se revoit demain, je te prends.
— Oui ! je t’aime Julien, viens me chercher le matin aussi, j’ai envie d’être avec toi tout le temps.
Ce fut ainsi que commença mon adultère avec la jeune Lucie qui commençait très vite à devenir amoureuse de son prince charmant. Ses copines à l’école étaient toutes jalouses et tous les garçons de son âge bavaient en la voyant monter dans ma voiture, celle d’un vieux, ils auraient tant aimé être à ma place pour la sauter.
Lucie profitait pleinement de moi, elle prenait beaucoup de plaisir à m’apporter son savoir-faire malgré son âge. Moi je nageais dans le bonheur, surpris par cette jeune femme qui me faisait des caresses très érotiques et des fellations magistrales. Je profitais d’elle matin et soir, moi aussi, je ne pouvais plus me passer de ma jeune maitresse qui se faisait prendre dans toutes les positions, même les plus inconfortables quelques fois, vu l’étroitesse de l’habitacle d’une automobile.
En effet, je n’étais pas du tout satisfait sur le plan sexuel, Audrey ma femme, était obligée de s’enduire le sexe d’un hydratant et ne faisait l’amour avec moi qu’une fois par semaine et en position unique, celle du missionnaire. Elle ne connaissait pas l’orgasme, à croire qu’elle ne couchait avec moi que pour la procréation. Alors qu’avec Lucie, je vivais nos jouissances pleinement. Elle m’avait avoué que la première fois qu’elle eut son premier orgasme, c’était sur le capot de ma Ford, mes doigts la fouillaient, elle mouillait abondamment. D’un seul coup, elle sentit monter en elle le plaisir, elle tremblait, elle était comme électrisée puis des jets puissants sortirent de sa chatte, elle éjacula en criant son bonheur. Depuis, elle jouissait de cette façon à chaque fois que je la caressais ou je la pénétrais, elle m’aimait, je la rendais heureuse.
Pendant plusieurs mois, nous vivions sereinement notre aventure, Lucie était éprise, tandis que je vivais des moments formidables entre ses cuisses ou dans sa bouche. Mais le drame arriva, le jour où je lui annonçai notre séparation. Audrey avait eu un doute, elle avait le sentiment que je la trompais. Un soir à la sortie de travail, elle m’avait suivi et m’avait vu devant le lycée monter une jeune femme dans ma voiture. Elle n’était pas allée plus loin car elle nous avait vus nous embrasser et cela lui suffisait pour me menacer. Elle était enceinte de six semaines et me posa un ultimatum. Lucie fut très triste, elle ne comprenait pas mon choix, elle venait de me perdre. Je venais de choisir de rester avec ma femme. Ce fut son premier chagrin amour.
Moi aussi, j’eus des difficultés à m’en remettre, le temps passait et Lucie me manquait énormément mais je savais qu’elle deviendrait vite une petite salope. Heureusement, Audrey qui avait compris pourquoi je l’avais trompée, ne voulant pas me perdre pour une seconde fois, fit le maximum pour mon plaisir sexuel et trouva son bonheur également.
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