Série l’adultère : (Partie 6). Alexandra trompe son futur mari avant son mariage.1/4
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série l’adultère : (Partie 6). Alexandra trompe son futur mari avant son mariage.1/4
Je m’appelle Alexandra, je vais vous raconter mes liaisons adultères. La première se passa un an avant mon mariage mais je sortais déjà avec Armand mon futur mari depuis trois.
Aujourd’hui, je suis une femme de 42 ans, mariée depuis 15 ans, à un PDG d’une très importante société de la région, proche de la soixantaine. Armand mon époux de 18 ans mon ainé m’avait donné deux beaux enfants : Élisa l’aînée une charmante petite fille de 12 ans et Gaétan un adorable petit garçon de 9 ans. En quinze années de mariage, je n’avais jamais trompé mon mari, ce n’était pourtant pas les occasions qui m’avaient manquée, mais je l’aimais beaucoup. Je l’avais connu lors d’une séance de photos alors que j’étais encore étudiante.
Pour des raisons financières afin de payer mes études, je posais pour une marque de lingerie féminine, lorsque j’avais rencontré Armand le frère du photographe. Étant veuf très jeune, il avait à peine 40 ans lorsque nous nous sommes connus, j’allais sur ma 22e année. Sortant d’un chagrin d’amour six mois auparavant, je me suis laissée bercer, sous le charme de ce beau parleur. Il était riche et bel homme, c’était comme dans un conte de fée, je devenais une princesse. Ce quadragénaire me sortait dans de beaux restaurants, m’achetait des vêtements de marque, m’offrait des bijoux, me payait mes études, j’étais aux anges. J’étais à cent lieues d’être amoureuse mais je me plaisais beaucoup avec lui puis au fur et à mesure, mes sentiments sont devenus plus forts, après mon mariage, je pouvais dire que je l’aimais profondément.
Je mesure 1,69 m, des jambes assez longues, un fessier galbé, une jolie petite poitrine ferme pour la quarantaine et mes deux enfants. Mes cheveux ondulés châtains sont coupés assez courts, et j’entretiens beaucoup mon visage, mes yeux sont bleu foncé, ma bouche un peu pulpeuse et mon sourire me rendent plus malicieuse. Mon rang d’épouse d’un homme d’affaires, m’oblige à rester toujours élégante mais j’aime le naturel, je porte les tenues confortables et un maquillage discret. Côté vestimentaire, je suis capable de me vêtir d’un jean, baskets blanches, d’une jupe au-dessus du genou, ou un tailleur avec un chemisier, avec aux pieds des chaussures classes. Mais lors des réceptions mondaines, je sais porter des robes de soirée très chic, avec des escarpins à talons hauts.
À cette époque, j’avais vingt-six ans, j’avais fini mes études, mon mari Armand étant beaucoup pris par son entreprise, me demanda de lui donner un coup de main. Je l’aidais dans certains rendez-vous d’affaire, les moins importantes qu’il ne pouvait gérer lui-même par manque de temps car il tenait que son personnel s’occupe à fond de leurs tâches pour lesquelles il était rémunéré et ne se dispersent pas pour des futilités qui ne les concernaient pas.
Ce jour-là, je sortais d’une entorse que je m’étais faites lors de mon footing matinal une bonne quinzaine de jours plus tôt. Mais je ne pouvais pas encore conduire, le médecin me l’avait fortement déconseillé. J’avais rendez-vous pour la signature d’un contrat de location, avec un bayeur à 50 kilomètres d’où j’habitais. Armand tenait beaucoup à cet immeuble, il l’avait déjà visité trois fois. Le patron de l’agence, sachant que je ne pouvais pas prendre mon véhicule et ne pouvant venir me chercher lui-même, m’envoya un chauffeur qui n’était autre que son fils.
J’étais vêtue uniquement d’une petite robe d’été blanche à liserés roses m’arrivant bien au-dessus du genou. Lorsque le fils du bailleur était arrivé dans la cour de notre domicile, je l’attendais avec ma mallette et mon blaser sur le bras. Il était descendu de la voiture et m’ouvrit la portière arrière afin que je range mes affaires sur le siège. Machinalement, je me suis penchée pour placer mon sac et étant assez maniaque, je pris mon temps pour ne pas froisser mon vêtement.
J’étais debout, les jambes droites, légèrement écartées et mon buste disparaissait dans l’habitacle. Il avait devant ses yeux mon arrière train que j’offrais à sa vue, sans le vouloir. « Il me dit au retour que lorsqu’il m’avait vu ainsi une envie de m’enculer lui était venue. » Ce jeune homme d’à peine 19 ans, m’avait subjuguée, j’avais littéralement craqué pour lui, il était magnifique avec sa chevelure noire mi longue, légèrement en bataille, ses yeux clairs et sa barbe de 3 jours, il était beau comme un dieu. Il se nommait David et semblait assez timide. J’étais montée dans la voiture et j’avais essayé de lui parler pendant les trente minutes de trajet par autoroute, mais il ne répondait à peine, il était impressionné mais n’arrêtait pas de me reluquer.
Étant donné la jupe courte que je portais, mes jambes étaient largement dénudées, mes cuisses étaient libres de tout tissu. Dans le peu de conversation que l’on avait eu, connaissant déjà mon mari, il avait cru que j’étais probablement sa fille, il m’avait même dit qu’il me croyait plus jeune, lorsque je lui avais dit que j’avais déjà 26 ans. Au départ, il pensait me draguer, mais tout ceci l’avait un peu refroidi. Ce qui ne l’empêchait pas de continuer à me regarder avec envie, surtout que mon décolleté était assez prononcé et que mes jambes étaient suffisamment dénudées.
Arrivés au rendez-vous, Sophie la collaboratrice d’Armand ne connaissant pas les lieux tenait absolument à tout visiter, pour ma part, ne pouvant pas marcher et connaissant les lieux, je m’étais installé dans un fauteuil dans le hall d’entrée en attendant la signature du contrat. David qui devait au préalable partir retrouver ses amis, ne voulant pas me laisser seule, son père lui demanda s’il pouvait me tenir compagnie. Il avait accepté sans discuter, il avait bien l’intention de le lui demander. Je m’étais installée dans le fauteuil en face afin qu’il puisse avoir une vue imprenable sur mon entrejambe, malgré que je fisse attention de ne dévoiler qu’un tout petit peu de mes jambes.
Au fur et à mesure de la discussion, il rougissait lorsque je lui parlais de sa petite amie et forcément je craquais pour lui, j’écartais légèrement les jambes pour finir carrément à lui dévoiler le haut de mon entrejambe, il eut même le privilège de connaitre le coloris de mon string. Cette situation avait duré une bonne demi-heure, puis nous nous sommes dirigés dans le bureau du père afin de finaliser le contrat, Sophie ayant donné son aval et ayant un autre RDV était repartie.
À cet instant, David dit à son père qu’il voulait bien me raccompagner chez moi, ce n’était pas prévu comme cela mais j’avais adoré sa proposition. J’étais tombée dans mon propre piège, j’avais une réelle attirance par ce jeune garçon qui me faisait vibrer, je mouillais le fond de ma petite culotte, je l’avoue bien volontiers.
J’avais immédiatement compris que David voulait rester un peu en ma compagnie. Au retour, sur le siège passager, j’avais bien remonté ma robe afin de dévoiler mes cuisses entièrement. Il ne parvenait pas à détourner les yeux du spectacle que je lui offrais, je n’avais pas cessé de lancer de petites allusions mais je voyais qu’il avait des difficultés de me draguer, pourtant j’étais sûre et certaine qu’il avait envie de moi. J’étais exactement dans le même cas, je voulais lui faire l’amour, j’avais pris ma décision de ne pas laisser échapper une telle occasion. Je me disais que je n’étais pas encore mariée et je ne prenais pas cela comme une infidélité. Mais avec le recul, je n’aurais certainement pas accepté qu’Armand fasse la même chose.
Je lui avais demandé de ne pas prendre l’autoroute, je pensai qu’il avait compris et devait me prendre pour une salope. Après une dizaine de kilomètres, arrivée dans le centre d’une petite ville, je lui demandai de m’arrêter à une pharmacie. Nous avions roulé jusqu’à la sortie du village, je lui avais demandé de s’arrêter une nouvelle fois sur le parking d’un petit hôtel. Il était devenu rouge écarlate, il ne pouvait plus reculer mais il n’y croyait pas vraiment. Je détachai ma ceinture, me tourna légèrement pour lui faire face et lui dit en le fixant droit dans les yeux :— Comme tu es beau David ! Lui dis-je sensuellement.
— Et vous donc, vous êtes un vrai canon.
Je me penchai vers lui, pour l’embrasser, il se pencha également mais sa ceinture de sécurité l’empêcha d’avancer. Je me mis à rire et lui dit :— Descends, nous serons bien mieux à l’intérieur dans une chambre. Si tu en as envie bien sûr.
— Je crois rêver ! me dit-il, je n’aurais jamais imaginé que cela puisse être possible.
Notre baiser avait duré une éternité. Comme par magie, d’un habitacle d’une auto à une chambre d’hôtel, nous nous sommes vite retrouvés à poil sur ce lit, il n’avait de cesse de m’embrasser. Il me caressait avec des gestes délicats, ses mains parcouraient mon corps comme je lui ordonnais. Sa main se retrouva sur la peau de mes cuisses, j’écartais un peu plus les jambes afin qu’il puisse accéder à destination :— Oui David continue, n’ait pas peur, fais-moi du bien.
Je mouillais ses doigts tellement j’étais dans un état d’excitation, il m’embrassait les seins, puis passa sa langue sur mon sexe, mais il était temps, j’avais peur d’arriver en retard, je pris donc l’initiative. Je me mis à genoux sur le lit, appuyant fermement sur son épaule afin qu’il soit à son tour, à plat dos. Je me glissai entre ses jambes, baissai la tête, je n’avais pas besoin de le branler, sa verge était raide et bien droite. Je lui fis une fellation, en lui massant fortement son ventre et son torse et de temps à autres ses bourses pleines. David fermait les yeux, il était en plein rêve, c’était la première fois qu’il ressentait un plaisir et un désir comme celui-là.
Après quelques minutes, je m’étais penchée sur la table de nuit, attrapant mon sac et je lui mis un préservatif sur sa queue en érection, elle était si belle que je n’avais pas envie de lui enfiler mais, il valait mieux rester prudente. Je m’étais remise en position de cavalière, me relevai et enfourchai mon jeune amant qui souriait comme un enfant. Je lui imposais une danse infernale avec mon bassin. Je lui pris les mains pour les poser sur mes seins, il les massait, les caressait fortement, me pinçait les tétons. De temps en temps je l’embrassais à pleine langue. J’accélérais le mouvement. Il n’en pouvait plus, il se cambra, je me contractai sur sa verge et avant le dernier sursaut, je lui dis :— Sur mes seins mon petit chéri…
Il se retira rapidement en enlevant la capote et éjacula sur ma poitrine par saccades, plusieurs jets de sperme entre mes deux seins. De longues coulées de jouissance coula sur mes cuisses. Nous avons connu un instant magique. Nous sommes allongés quelques temps, nos baisers et nos caresses reprirent, puis comme mon envie de refaire l’amour avec lui me taraudait le ventre, je le caressais au bon endroit :— Tu as encore le temps ? Me demanda-t-il ?
— Normalement non ! Mais je trouverai une excuse, ne t’inquiète pas. Fais-moi encore l’amour.
Ce jeune étalon était d’une résistance et d’une puissance incroyable, après avoir repris nos esprits en parlant d’amour et en nous embrassant, nous avions une nouvelle fois fait l’amour mais il avait tenu à prendre les directives, ce qui ne m’avait pas du tout déplu, j’avais, une fois encore jouie puissamment en inondant les draps. Quel bonheur pour moi… Mais cette fois, j’allais être en retard.
Nous nous sommes retrouvés sous la douche ensemble et surprenant de sa part, il me parla de sodomie. Je lui dis que je n’avais jamais tenté l’expérience et que j’avais peur d’avoir mal. Il me dit : « Ne t’inquiète pas entre jeune, nous utilisons tous cette pratique sexuelle, c’est un bon moyen de contraception, je te promets que tu n’auras pas mal bien au contraire ».
Il m’expliqua que la préparation était importante, il m’avait fait me pencher en avant, laissant ma croupe bien en évidence puis en écartant mes fesses, il avait plaqué le jet fort et mince de la pomme de douche sur mon anus, j’avais ressenti un effet très agréable de l’eau tiède qui rentrait dans mon ventre. David rebandait de plus belle, je me suis essuyée et il me dit de m’installer à quatre pattes sur le lit.
Je regardais ma montre, cette fois c’était trop tard, je serais en retard mais je m’en moquais trop impatiente de connaitre cette pratique, David m’excitait. Il s’installa derrière moi et m’avait caressé avec sa langue, mouillé l’anus avec sa salive et enfilait tour à tour un doigt, puis deux en écartant délicatement mon sphincter pour finalement mettre le troisième, ce qui permit de me dilater entièrement.
Lorsqu’il me sodomisa, non seulement je n’avais pas eu mal mais j’ai pris mon pied. Mon orgasme malgré qu’il ne fût pas comme d’habitude, fut gigantesque, je connaissais autre chose, tout mon corps s’était mis à frissonner, j’en avais la chair de poule et mon plaisir fut total.
Malheureusement, tout avait une fin, nous devions tous les deux rentrer. Mais cette fin fut tragique, à quelques kilomètres de chez-moi, j’avais vraiment envie de le revoir, ne serait-ce que quelques fois, il m’annonça, lorsque je lui avais demandé son numéro de téléphone :— Je suis vraiment désolé… Je pars demain, je vais habiter à Bordeaux pour mes études, je crains que nous ne nous revoyions plus.
Je restai bouche bée, je ne pouvais plus parler, je lui avais, en quelque sorte, servi de cadeau d’adieu, il continua :— Tu as été super géniale et tu seras mon plus beau souvenir. Tu es magnifique Alex et je ne t’oublierai jamais.
Lorsqu’il m’avait raccompagné devant la maison, il voulut m’embrasser, je fus contrainte de le repousser, il l’avait compris, mon mari m’attendait, je suis sortie de la voiture, je ne voulais pas le regarder, j’avais très envie de pleurer mais j’avais pourtant fixé mon regard sur sa voiture qui disparaissait dans la nuit. Je me demande si Armand avait cru à mon histoire de bouchon sur la route, vu la tête que j’avais faite et la sienne pendant toute la soirée, je pense même qu’il s’était douté que je l’avais trompé.
Je continuerai à vous conter la suite, malgré cette petite faute, je suis restée fidèle pendant 14 ans. Depuis j’ai connu bien d’autres aventures afin de satisfaire mes envies sexuelles.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Alexandra vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Aujourd’hui, je suis une femme de 42 ans, mariée depuis 15 ans, à un PDG d’une très importante société de la région, proche de la soixantaine. Armand mon époux de 18 ans mon ainé m’avait donné deux beaux enfants : Élisa l’aînée une charmante petite fille de 12 ans et Gaétan un adorable petit garçon de 9 ans. En quinze années de mariage, je n’avais jamais trompé mon mari, ce n’était pourtant pas les occasions qui m’avaient manquée, mais je l’aimais beaucoup. Je l’avais connu lors d’une séance de photos alors que j’étais encore étudiante.
Pour des raisons financières afin de payer mes études, je posais pour une marque de lingerie féminine, lorsque j’avais rencontré Armand le frère du photographe. Étant veuf très jeune, il avait à peine 40 ans lorsque nous nous sommes connus, j’allais sur ma 22e année. Sortant d’un chagrin d’amour six mois auparavant, je me suis laissée bercer, sous le charme de ce beau parleur. Il était riche et bel homme, c’était comme dans un conte de fée, je devenais une princesse. Ce quadragénaire me sortait dans de beaux restaurants, m’achetait des vêtements de marque, m’offrait des bijoux, me payait mes études, j’étais aux anges. J’étais à cent lieues d’être amoureuse mais je me plaisais beaucoup avec lui puis au fur et à mesure, mes sentiments sont devenus plus forts, après mon mariage, je pouvais dire que je l’aimais profondément.
Je mesure 1,69 m, des jambes assez longues, un fessier galbé, une jolie petite poitrine ferme pour la quarantaine et mes deux enfants. Mes cheveux ondulés châtains sont coupés assez courts, et j’entretiens beaucoup mon visage, mes yeux sont bleu foncé, ma bouche un peu pulpeuse et mon sourire me rendent plus malicieuse. Mon rang d’épouse d’un homme d’affaires, m’oblige à rester toujours élégante mais j’aime le naturel, je porte les tenues confortables et un maquillage discret. Côté vestimentaire, je suis capable de me vêtir d’un jean, baskets blanches, d’une jupe au-dessus du genou, ou un tailleur avec un chemisier, avec aux pieds des chaussures classes. Mais lors des réceptions mondaines, je sais porter des robes de soirée très chic, avec des escarpins à talons hauts.
À cette époque, j’avais vingt-six ans, j’avais fini mes études, mon mari Armand étant beaucoup pris par son entreprise, me demanda de lui donner un coup de main. Je l’aidais dans certains rendez-vous d’affaire, les moins importantes qu’il ne pouvait gérer lui-même par manque de temps car il tenait que son personnel s’occupe à fond de leurs tâches pour lesquelles il était rémunéré et ne se dispersent pas pour des futilités qui ne les concernaient pas.
Ce jour-là, je sortais d’une entorse que je m’étais faites lors de mon footing matinal une bonne quinzaine de jours plus tôt. Mais je ne pouvais pas encore conduire, le médecin me l’avait fortement déconseillé. J’avais rendez-vous pour la signature d’un contrat de location, avec un bayeur à 50 kilomètres d’où j’habitais. Armand tenait beaucoup à cet immeuble, il l’avait déjà visité trois fois. Le patron de l’agence, sachant que je ne pouvais pas prendre mon véhicule et ne pouvant venir me chercher lui-même, m’envoya un chauffeur qui n’était autre que son fils.
J’étais vêtue uniquement d’une petite robe d’été blanche à liserés roses m’arrivant bien au-dessus du genou. Lorsque le fils du bailleur était arrivé dans la cour de notre domicile, je l’attendais avec ma mallette et mon blaser sur le bras. Il était descendu de la voiture et m’ouvrit la portière arrière afin que je range mes affaires sur le siège. Machinalement, je me suis penchée pour placer mon sac et étant assez maniaque, je pris mon temps pour ne pas froisser mon vêtement.
J’étais debout, les jambes droites, légèrement écartées et mon buste disparaissait dans l’habitacle. Il avait devant ses yeux mon arrière train que j’offrais à sa vue, sans le vouloir. « Il me dit au retour que lorsqu’il m’avait vu ainsi une envie de m’enculer lui était venue. » Ce jeune homme d’à peine 19 ans, m’avait subjuguée, j’avais littéralement craqué pour lui, il était magnifique avec sa chevelure noire mi longue, légèrement en bataille, ses yeux clairs et sa barbe de 3 jours, il était beau comme un dieu. Il se nommait David et semblait assez timide. J’étais montée dans la voiture et j’avais essayé de lui parler pendant les trente minutes de trajet par autoroute, mais il ne répondait à peine, il était impressionné mais n’arrêtait pas de me reluquer.
Étant donné la jupe courte que je portais, mes jambes étaient largement dénudées, mes cuisses étaient libres de tout tissu. Dans le peu de conversation que l’on avait eu, connaissant déjà mon mari, il avait cru que j’étais probablement sa fille, il m’avait même dit qu’il me croyait plus jeune, lorsque je lui avais dit que j’avais déjà 26 ans. Au départ, il pensait me draguer, mais tout ceci l’avait un peu refroidi. Ce qui ne l’empêchait pas de continuer à me regarder avec envie, surtout que mon décolleté était assez prononcé et que mes jambes étaient suffisamment dénudées.
Arrivés au rendez-vous, Sophie la collaboratrice d’Armand ne connaissant pas les lieux tenait absolument à tout visiter, pour ma part, ne pouvant pas marcher et connaissant les lieux, je m’étais installé dans un fauteuil dans le hall d’entrée en attendant la signature du contrat. David qui devait au préalable partir retrouver ses amis, ne voulant pas me laisser seule, son père lui demanda s’il pouvait me tenir compagnie. Il avait accepté sans discuter, il avait bien l’intention de le lui demander. Je m’étais installée dans le fauteuil en face afin qu’il puisse avoir une vue imprenable sur mon entrejambe, malgré que je fisse attention de ne dévoiler qu’un tout petit peu de mes jambes.
Au fur et à mesure de la discussion, il rougissait lorsque je lui parlais de sa petite amie et forcément je craquais pour lui, j’écartais légèrement les jambes pour finir carrément à lui dévoiler le haut de mon entrejambe, il eut même le privilège de connaitre le coloris de mon string. Cette situation avait duré une bonne demi-heure, puis nous nous sommes dirigés dans le bureau du père afin de finaliser le contrat, Sophie ayant donné son aval et ayant un autre RDV était repartie.
À cet instant, David dit à son père qu’il voulait bien me raccompagner chez moi, ce n’était pas prévu comme cela mais j’avais adoré sa proposition. J’étais tombée dans mon propre piège, j’avais une réelle attirance par ce jeune garçon qui me faisait vibrer, je mouillais le fond de ma petite culotte, je l’avoue bien volontiers.
J’avais immédiatement compris que David voulait rester un peu en ma compagnie. Au retour, sur le siège passager, j’avais bien remonté ma robe afin de dévoiler mes cuisses entièrement. Il ne parvenait pas à détourner les yeux du spectacle que je lui offrais, je n’avais pas cessé de lancer de petites allusions mais je voyais qu’il avait des difficultés de me draguer, pourtant j’étais sûre et certaine qu’il avait envie de moi. J’étais exactement dans le même cas, je voulais lui faire l’amour, j’avais pris ma décision de ne pas laisser échapper une telle occasion. Je me disais que je n’étais pas encore mariée et je ne prenais pas cela comme une infidélité. Mais avec le recul, je n’aurais certainement pas accepté qu’Armand fasse la même chose.
Je lui avais demandé de ne pas prendre l’autoroute, je pensai qu’il avait compris et devait me prendre pour une salope. Après une dizaine de kilomètres, arrivée dans le centre d’une petite ville, je lui demandai de m’arrêter à une pharmacie. Nous avions roulé jusqu’à la sortie du village, je lui avais demandé de s’arrêter une nouvelle fois sur le parking d’un petit hôtel. Il était devenu rouge écarlate, il ne pouvait plus reculer mais il n’y croyait pas vraiment. Je détachai ma ceinture, me tourna légèrement pour lui faire face et lui dit en le fixant droit dans les yeux :— Comme tu es beau David ! Lui dis-je sensuellement.
— Et vous donc, vous êtes un vrai canon.
Je me penchai vers lui, pour l’embrasser, il se pencha également mais sa ceinture de sécurité l’empêcha d’avancer. Je me mis à rire et lui dit :— Descends, nous serons bien mieux à l’intérieur dans une chambre. Si tu en as envie bien sûr.
— Je crois rêver ! me dit-il, je n’aurais jamais imaginé que cela puisse être possible.
Notre baiser avait duré une éternité. Comme par magie, d’un habitacle d’une auto à une chambre d’hôtel, nous nous sommes vite retrouvés à poil sur ce lit, il n’avait de cesse de m’embrasser. Il me caressait avec des gestes délicats, ses mains parcouraient mon corps comme je lui ordonnais. Sa main se retrouva sur la peau de mes cuisses, j’écartais un peu plus les jambes afin qu’il puisse accéder à destination :— Oui David continue, n’ait pas peur, fais-moi du bien.
Je mouillais ses doigts tellement j’étais dans un état d’excitation, il m’embrassait les seins, puis passa sa langue sur mon sexe, mais il était temps, j’avais peur d’arriver en retard, je pris donc l’initiative. Je me mis à genoux sur le lit, appuyant fermement sur son épaule afin qu’il soit à son tour, à plat dos. Je me glissai entre ses jambes, baissai la tête, je n’avais pas besoin de le branler, sa verge était raide et bien droite. Je lui fis une fellation, en lui massant fortement son ventre et son torse et de temps à autres ses bourses pleines. David fermait les yeux, il était en plein rêve, c’était la première fois qu’il ressentait un plaisir et un désir comme celui-là.
Après quelques minutes, je m’étais penchée sur la table de nuit, attrapant mon sac et je lui mis un préservatif sur sa queue en érection, elle était si belle que je n’avais pas envie de lui enfiler mais, il valait mieux rester prudente. Je m’étais remise en position de cavalière, me relevai et enfourchai mon jeune amant qui souriait comme un enfant. Je lui imposais une danse infernale avec mon bassin. Je lui pris les mains pour les poser sur mes seins, il les massait, les caressait fortement, me pinçait les tétons. De temps en temps je l’embrassais à pleine langue. J’accélérais le mouvement. Il n’en pouvait plus, il se cambra, je me contractai sur sa verge et avant le dernier sursaut, je lui dis :— Sur mes seins mon petit chéri…
Il se retira rapidement en enlevant la capote et éjacula sur ma poitrine par saccades, plusieurs jets de sperme entre mes deux seins. De longues coulées de jouissance coula sur mes cuisses. Nous avons connu un instant magique. Nous sommes allongés quelques temps, nos baisers et nos caresses reprirent, puis comme mon envie de refaire l’amour avec lui me taraudait le ventre, je le caressais au bon endroit :— Tu as encore le temps ? Me demanda-t-il ?
— Normalement non ! Mais je trouverai une excuse, ne t’inquiète pas. Fais-moi encore l’amour.
Ce jeune étalon était d’une résistance et d’une puissance incroyable, après avoir repris nos esprits en parlant d’amour et en nous embrassant, nous avions une nouvelle fois fait l’amour mais il avait tenu à prendre les directives, ce qui ne m’avait pas du tout déplu, j’avais, une fois encore jouie puissamment en inondant les draps. Quel bonheur pour moi… Mais cette fois, j’allais être en retard.
Nous nous sommes retrouvés sous la douche ensemble et surprenant de sa part, il me parla de sodomie. Je lui dis que je n’avais jamais tenté l’expérience et que j’avais peur d’avoir mal. Il me dit : « Ne t’inquiète pas entre jeune, nous utilisons tous cette pratique sexuelle, c’est un bon moyen de contraception, je te promets que tu n’auras pas mal bien au contraire ».
Il m’expliqua que la préparation était importante, il m’avait fait me pencher en avant, laissant ma croupe bien en évidence puis en écartant mes fesses, il avait plaqué le jet fort et mince de la pomme de douche sur mon anus, j’avais ressenti un effet très agréable de l’eau tiède qui rentrait dans mon ventre. David rebandait de plus belle, je me suis essuyée et il me dit de m’installer à quatre pattes sur le lit.
Je regardais ma montre, cette fois c’était trop tard, je serais en retard mais je m’en moquais trop impatiente de connaitre cette pratique, David m’excitait. Il s’installa derrière moi et m’avait caressé avec sa langue, mouillé l’anus avec sa salive et enfilait tour à tour un doigt, puis deux en écartant délicatement mon sphincter pour finalement mettre le troisième, ce qui permit de me dilater entièrement.
Lorsqu’il me sodomisa, non seulement je n’avais pas eu mal mais j’ai pris mon pied. Mon orgasme malgré qu’il ne fût pas comme d’habitude, fut gigantesque, je connaissais autre chose, tout mon corps s’était mis à frissonner, j’en avais la chair de poule et mon plaisir fut total.
Malheureusement, tout avait une fin, nous devions tous les deux rentrer. Mais cette fin fut tragique, à quelques kilomètres de chez-moi, j’avais vraiment envie de le revoir, ne serait-ce que quelques fois, il m’annonça, lorsque je lui avais demandé son numéro de téléphone :— Je suis vraiment désolé… Je pars demain, je vais habiter à Bordeaux pour mes études, je crains que nous ne nous revoyions plus.
Je restai bouche bée, je ne pouvais plus parler, je lui avais, en quelque sorte, servi de cadeau d’adieu, il continua :— Tu as été super géniale et tu seras mon plus beau souvenir. Tu es magnifique Alex et je ne t’oublierai jamais.
Lorsqu’il m’avait raccompagné devant la maison, il voulut m’embrasser, je fus contrainte de le repousser, il l’avait compris, mon mari m’attendait, je suis sortie de la voiture, je ne voulais pas le regarder, j’avais très envie de pleurer mais j’avais pourtant fixé mon regard sur sa voiture qui disparaissait dans la nuit. Je me demande si Armand avait cru à mon histoire de bouchon sur la route, vu la tête que j’avais faite et la sienne pendant toute la soirée, je pense même qu’il s’était douté que je l’avais trompé.
Je continuerai à vous conter la suite, malgré cette petite faute, je suis restée fidèle pendant 14 ans. Depuis j’ai connu bien d’autres aventures afin de satisfaire mes envies sexuelles.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
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