Série l’adultère : Alexandra (Partie 8 Hugo, le jeune serveur du restaurant « au plaisir gourmand ».
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série l’adultère : Alexandra (Partie 8 Hugo, le jeune serveur du restaurant « au plaisir gourmand ».
Je m’appelle Alexandra. Petit récapitulatif : Je suis une femme de 42 ans, mariée depuis 15 ans, à Armand un riche industriel de18 ans mon ainé qui m’avait fait deux beaux enfants. Comme je vous l’avais déjà expliqué lors de mon premier récit, j’étais un ancien mannequin occasionnel posant pour de la lingerie féminine. Mes formes étaient avantageuses : 1,69 m pour 58 kilos, une poitrine 85B. Avec mes cheveux ondulés châtains, coupés assez courts, mon visage, mes yeux bleu foncé, ma bouche un peu pulpeuse et mon sourire beaucoup d’hommes se retournaient sur mon passage ou les plus téméraires me faisaient carrément la cour. Encore aujourd’hui, j’ai conservé ma silhouette de mannequin.
Je croyais vraiment aimer mon mari, mais aujourd’hui, cela ressemblait plus à de l’amitié, à de l’affection en compensation de tout ce qu’il m’avait apporté, professionnellement et sentimentalement. J’avais toujours assumé mes devoirs conjugaux et même si je n’avais pas d’orgasmes foudroyant, je prenais un certain plaisir dans ces actes sexuels qu’il me faisait vivre, je parvenais à succomber dans ses bras. Si les joutes amoureuses étaient régulièrement de trois fois par semaines, Armand ayant passé la soixantaine, était beaucoup moins performant au lit, celles-ci s’étaient espacées et à mon plus grand désarroi, elles étaient aujourd’hui d’une seule fois par semaine, voire même tous les quinze jours, souvent les samedis soir après un repas au restaurant ou après les sorties mondaines chez l’un ou chez l’autre, de ses connaissances hauts-placés.
Bien entendu, nos relations sexuelles, étaient devenues, elles aussi une routine, rien ne venait me surprendre pour donner un peu de piquant. C’était toujours le même rituel toujours dans le lit conjugal, je me couchais toujours avant lui et ma chemise de nuit était loin d’être sexy. Lorsqu’il arrivait auprès de moi, je m’allongeais sur le ventre et dès qu’Armand s’allongeait de trois-quarts à mes côtés, je lui demandais de me masser le dos. C’était pour moi un vrai bonheur, ce massage durait plusieurs minutes, je sentais qu’il s’impatientait lorsqu’il essayait vainement de passer sa main sous moi afin de me prendre le sein plaqué sur les draps, ayant les bras le long de mon corps, il s’approchait pour que son sexe soit au niveau de ma main. À ce moment, je sentais son érection prendre forme mais je le suppliais de poursuivre son massage tout en enfilant ma main dans son slip pour lui tripoter sa hampe et ses testicules.
À partir de là, voyant que je ne pourrais plus le faire patienter longtemps, je lui demandais un massage de fesses, il était si doux et ses mains si expertes, il parvenait à atteindre mon intimité et la faire mouiller quelques peu, j’avais du désir. C’était toujours à ce moment que je me plaçais de trois-quarts et plaçais mes fesses contre son sexe durci. Après avoir saisi ma poitrine et avoir pincé mes tétons, il s’occupait de mon ventre puis ses doigts s’insinuaient dans ma petite culotte et caressait ma vulve et mon clitoris. C’était le moment que je choisissais pour enlever ma culotte et attendait qu’il fasse de même, je savais, grâce à mes caresses sur sa verge qu’il n’allait pas résister longtemps à l’intérieur de mon vagin. Il caressait alors délicatement ma fente devenue humide afin de finir de la préparer puis introduisait son pénis raide et me pénétrait doucement, ce qui m’arrachait un léger soupir, j’ondulais mes fesses contre lui. Je gémissais et lui disait doucement : « Vas-y mon chéri. » Transporté, il me pressait contre lui plus fort. Aussitôt, je savais qu’il ne tiendrait plus, avec un petit cri, je m’arc-boutais contre lui en enfonçant mes ongles dans sa cuisse. Mon homme, en râlant, libérait sa semence dans mon ventre, son visage enfoui au creux de mon épaule. J’en avais fini, j’étais satisfaite, j’avais mon compte sans avoir pris un véritable orgasme, je pensais que cela me suffisait, mon plaisir était là et Armand était content d’avoir satisfait son épouse.
J’étais donc une femme comme beaucoup d’autre, sincèrement, je croyais que je n’avais pas besoin d’autres relations sexuelles pour être heureuse et épanouie, mon mari m’apportait suffisamment. Je ne pensais pas être portée sur le sexe, mais depuis ma première liaison adultère pendant les vacances d’été, Gaël, le maitre-nageur avait réveillé en moi ce petit plus qui me brulait les entrailles, j’avais connu avec lui la vraie jouissance. Dès septembre, ma vie avait repris ses droits, avec toute la routine en somme, travail, enfants, mari, était mon quotidien.
Néanmoins, depuis quelques temps, inconsciemment, je recherchais du piment à ma vie. Je l’avais trompée et j’avais pris un tel plaisir que je ne le regrettais pas et n’hésiterais pas à renouveler l’expérience, sans toutefois le rechercher vraiment. Mais si l’occasion se représentait, pourquoi pas. Six mois plus tard, je ne me souvenais pas en quinze ans de mariage, d’avoir désiré un autre homme que mon mari.
Ce matin-là, nous étions en février, étant la secrétaire d’Armand, je fis entrer deux jeunes ingénieurs dans son bureau. Ils étaient venus présenter leur projet à mon mari afin de trouver un investisseur. Le midi, ils nous avaient invités au restaurant. Le « plaisir gourmand » était beaucoup moins chique que ceux que nous fréquentions habituellement mais beaucoup plus intime. Nous étions installés dans un endroit calme car les négociations n’étaient pas encore terminées.
Lorsque le serveur était venu prendre la commande de l’apéritif, je crus tomber à la renverse, il ressemblait comme deux gouttes d’eau à Gaël mon maitre-nageur, le type d’homme même qui me faisait fantasmer. Je m’étais vite rendu compte, que lui aussi avait flashé sur moi, il n’arrêtait pas de me regarder et de me sourire. J’étais assise à côté d’Armand et le jeune trentenaire en face de moi, laissait son collègue discuter avec mon mari pendant que lui me parlait. Je compris qu’il ne savait pas que j’étais l’épouse du patron, vu notre différence d’âge mais uniquement sa secrétaire qu’il aimerait bien mettre dans son lit
En effet, mine de rien, il me draguait ouvertement pendant que le serveur me regardait. D’un côté, je fus très attirée par le garçon de salle mais les jeux de jambes de mon voisin sous la table, m’émoustillaient, j’adorais que l’on me désire, que l’on me courtise. Et ce jour-là, j’étais servie car à chaque occasion, le serveur venait, me frôlait l’épaule ou la main lorsqu’il faisait le service pendant que le pied du voisin me caressait le mollet. Le plus étonnant, c’était que je laissais faire, jusqu’au moment où le jeune ingénieur en ramassant sa serviette mis sa main sur ma cuisse.
Je me suis levée pour aller aux toilettes, en le fusillant du regard, je pensai qu’il avait compris qu’il ne fallait surtout pas me suivre. En passant devant le petit comptoir, le serveur m’interpella :— Vous cherchez les toilettes Madame ? C’est de l’autre côté, suivez-moi.
— Excusez-moi de vous importuner, jeune homme, avez-vous un frère ? Gaël ?
— Non Madame, moi c’est Hugo, pour vous servir. J’ai vu que ce Monsieur vous importunait, voulez-vous que j’intervienne ?
— Non Hugo ! Vous êtes gentil mais je sais me défendre. Moi, c’est Alexandra.
— Et ce monsieur c’est votre patron.
— C’est mon patron, je suis sa secrétaire. Merci Hugo.
En revenant, je demandai à mon mari d’intervertir les places, j’avais prétexté vouloir être contre le mur pour éviter le courant d’air de la climatisation. Pendant le restant du repas, le jeune ingénieur n’avait plus continué à me toucher la jambe ou le pied, même s’il insistait en posant son regard sur moi, il avait réintégré la discussion avec son collègue et Armand. Hugo quant à lui, entre deux clients, me souriait, je le trouvais très beau mais je n’avais aucun moyen de l’approcher, je savais qu’il allait se passer quelque chose entre nous. Mais la situation était bien plus périlleuse que pendant les vacances.
Je ne sais pas ce qu’il se passait dans ma tête, ni dans mon ventre, mais j’étais submergée par des vagues de désir qui augmentaient devant cet étalon de vingt-cinq ans. Placés au fond de la salle, nous n’avions personne derrière nous. J’avais mis ma main dans ma culotte, je me tortillais sur ma chaise en regardant Hugo, pendant qu’Armand discutait toujours, lorsqu’il me vit dans cet état, il me demanda ce que faisais.
— Oh, non, rien, ne t’inquiète pas mon amour, c’est probablement le vin blanc. Dis-je en retirant discrètement ma main. Je n’ai plus faim, et toi ?
Nous finissions le dessert, Hugo me regardait, je lui souris une énième fois, j’avais pris une décision, je ne savais pas si elle était la bonne, mais je devais la tenter. Je m’étais excusée pour me diriger une nouvelle fois aux toilettes, je ne le quittais pas des yeux, j’espérais qu’il me comprenne mais ne voulant pas rater le coche, en passant devant lui je lui susurrai à l’oreille :— Rejoins-moi aux toilettes.
Sans attendre sa réponse, je filai vers les WC. Hugo n’en revenait pas, il avait dû me prendre pour une vraie salope. Il avait certainement raison car aucune femme dite normale agirait de la sorte. Lui aussi de me voir ainsi, l’avait mis dans un état d’érection maximale. Depuis mon arrivée, il n’avait pensé qu’à moi, me voyant nue dans ses bras en train de me faire l’amour. Quelques instants plus tard, il entra à ma suite.
— Alexandra, dit-il d’une voix essoufflée. Vite, je travaille.
— Ferme la porte derrière toi.
Hugo me pris dans ses bras et m’embrassa furtivement, il n’avait que peu de temps. Il me retourna, je me retrouvais face au mur, j’avais les mains sur le carrelage. Ses mains se posèrent sur mes seins puis alternaient entre les flancs, le ventre puis revenaient sur ma poitrine pour la caresser et la malaxer. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, de son bassin il me poussait, je sentais son sexe en érection contre mes fesses, je me frottais contre lui en remuant le bassin. Une de ses deux mains se trouvait sous ma jupe, ses doigts avaient pris possession de ma chatte mouillée par l’excitation, je me mordais les lèvres, j’attendais qu’il me prenne là, maintenant dans ces toilettes.
je me mis à geindre et à soupirer fortement, plaquer contre le mur je tremblais de peur et d’excitation. Sa main gauche parcourait ma cuisse droite jusqu’à ma fesse, pendant que l’autre me caressait le clitoris et me faisait frissonner. Hugo releva enfin ma jupe, je ne bougeais plus, ma respiration s’accélérait. Il m’embrasait dans le cou, j’avais la tête en arrière tant ça me faisait du bien. Je me cambrais afin de sentir encore plus, sa queue contre mon cul. Un de ses doigts s’insérait de nouveau en moi, je gémissais— Tu aimes ?
J’acquiesçai de la tête, je n’en pouvais plus, je voulais le sentir en moi, qu’il me prenne sauvagement. Il déboutonna son pantalon et le laissa tomber sur ses jambes et d’un geste précis, il écarta le fin tissu de mon string et plaça sa douce bite sur ma vulve, je frissonnais. Il appuya ses mains sur mon dos afin que je me baisse et tendre mon derrière, mes mains glissèrent le long du carrelage. Il me pénétra sans plus attendre, je le sentais dans mes entrailles aller et venir, des petits flux de cyprine suintaient à l’extérieur. Il était profondément ancré dans mon vagin, le remplissant entièrement puis se retira lorsque mon orgasme me fit « crier en silence ».
Il enleva son préservatif et laissa son sperme jaillir en s’étalant sur mes fesses pour dégouliner dans ma raie, souillant ainsi mon string. Il prit un mouchoir en papier s’essuya puis en prit un autre pour nettoyer mes fesses. Ce fut très bref, mais très intense, je me sentais vidée mais en même temps, j’avais envie de recommencer.
Il m’embrassa sur la joue, me remercia, se rhabilla et quitta les lieux. Je sortis après m’être refaite une beauté, frustrée de n’avoir connu qu’un orgasme, en espérant de tout cœur que je puisse un jour, jouir de nouveau avec ce jeune serveur. En retournant à table, Hugo finissait de nous apporter les tasses de café, lorsque dans la conversation je dis aux deux ingénieurs :— Nous serions heureux avec mon mari Armand de poursuivre dans notre discussion dans nos locaux.
Le trentenaire et Hugo me regardèrent comme deux ronds de flanc. Le serveur se précipita pour retourner débarrasser les tables pendant que le jeune ingénieur s’excusa. Les trois hommes quittaient l’établissement, lorsque je m’approchai d’Hugo qui ne croyait plus me revoir, j’avais glissé dans sa main, un billet de 20 euros et mon numéro de portable personnel.
Lorsque la réunion fut terminée, Armand me demanda pourquoi le jeune ingénieur s’était excusé se doutant de ce qui avait pu se produire :— Tu vois Alex, il faut peut-être que tu changes tes tenues vestimentaires, elles sont bien trop aguichantes.
— Pourquoi dis-tu cela mon chéri ? Il m’avait simplement touché le pied. Que vas-tu encore imaginer, arrête tes crises de jalousie.
— Je vois bien tous ces hommes te regarder avec de mauvaises pensées. Tu es si belle, c’est normal qu’il te mate.
— Et comme ça tu crois que je te trompe ? Lui dis-je en le prenant pas le cou. C’est toi que j’aime, jamais je ne ferai ça.
L’après-midi même, je reçu un texto d’Hugo qui m’invitait chez lui. Il était libre avant de reprendre le service du soir. Moi, je ne l’étais pas et avec la petite crise de jalousie d’Armand, j’avais refusé sa proposition. Je continuerai à vous conter la suite, dans un autre récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Alexandra vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Je croyais vraiment aimer mon mari, mais aujourd’hui, cela ressemblait plus à de l’amitié, à de l’affection en compensation de tout ce qu’il m’avait apporté, professionnellement et sentimentalement. J’avais toujours assumé mes devoirs conjugaux et même si je n’avais pas d’orgasmes foudroyant, je prenais un certain plaisir dans ces actes sexuels qu’il me faisait vivre, je parvenais à succomber dans ses bras. Si les joutes amoureuses étaient régulièrement de trois fois par semaines, Armand ayant passé la soixantaine, était beaucoup moins performant au lit, celles-ci s’étaient espacées et à mon plus grand désarroi, elles étaient aujourd’hui d’une seule fois par semaine, voire même tous les quinze jours, souvent les samedis soir après un repas au restaurant ou après les sorties mondaines chez l’un ou chez l’autre, de ses connaissances hauts-placés.
Bien entendu, nos relations sexuelles, étaient devenues, elles aussi une routine, rien ne venait me surprendre pour donner un peu de piquant. C’était toujours le même rituel toujours dans le lit conjugal, je me couchais toujours avant lui et ma chemise de nuit était loin d’être sexy. Lorsqu’il arrivait auprès de moi, je m’allongeais sur le ventre et dès qu’Armand s’allongeait de trois-quarts à mes côtés, je lui demandais de me masser le dos. C’était pour moi un vrai bonheur, ce massage durait plusieurs minutes, je sentais qu’il s’impatientait lorsqu’il essayait vainement de passer sa main sous moi afin de me prendre le sein plaqué sur les draps, ayant les bras le long de mon corps, il s’approchait pour que son sexe soit au niveau de ma main. À ce moment, je sentais son érection prendre forme mais je le suppliais de poursuivre son massage tout en enfilant ma main dans son slip pour lui tripoter sa hampe et ses testicules.
À partir de là, voyant que je ne pourrais plus le faire patienter longtemps, je lui demandais un massage de fesses, il était si doux et ses mains si expertes, il parvenait à atteindre mon intimité et la faire mouiller quelques peu, j’avais du désir. C’était toujours à ce moment que je me plaçais de trois-quarts et plaçais mes fesses contre son sexe durci. Après avoir saisi ma poitrine et avoir pincé mes tétons, il s’occupait de mon ventre puis ses doigts s’insinuaient dans ma petite culotte et caressait ma vulve et mon clitoris. C’était le moment que je choisissais pour enlever ma culotte et attendait qu’il fasse de même, je savais, grâce à mes caresses sur sa verge qu’il n’allait pas résister longtemps à l’intérieur de mon vagin. Il caressait alors délicatement ma fente devenue humide afin de finir de la préparer puis introduisait son pénis raide et me pénétrait doucement, ce qui m’arrachait un léger soupir, j’ondulais mes fesses contre lui. Je gémissais et lui disait doucement : « Vas-y mon chéri. » Transporté, il me pressait contre lui plus fort. Aussitôt, je savais qu’il ne tiendrait plus, avec un petit cri, je m’arc-boutais contre lui en enfonçant mes ongles dans sa cuisse. Mon homme, en râlant, libérait sa semence dans mon ventre, son visage enfoui au creux de mon épaule. J’en avais fini, j’étais satisfaite, j’avais mon compte sans avoir pris un véritable orgasme, je pensais que cela me suffisait, mon plaisir était là et Armand était content d’avoir satisfait son épouse.
J’étais donc une femme comme beaucoup d’autre, sincèrement, je croyais que je n’avais pas besoin d’autres relations sexuelles pour être heureuse et épanouie, mon mari m’apportait suffisamment. Je ne pensais pas être portée sur le sexe, mais depuis ma première liaison adultère pendant les vacances d’été, Gaël, le maitre-nageur avait réveillé en moi ce petit plus qui me brulait les entrailles, j’avais connu avec lui la vraie jouissance. Dès septembre, ma vie avait repris ses droits, avec toute la routine en somme, travail, enfants, mari, était mon quotidien.
Néanmoins, depuis quelques temps, inconsciemment, je recherchais du piment à ma vie. Je l’avais trompée et j’avais pris un tel plaisir que je ne le regrettais pas et n’hésiterais pas à renouveler l’expérience, sans toutefois le rechercher vraiment. Mais si l’occasion se représentait, pourquoi pas. Six mois plus tard, je ne me souvenais pas en quinze ans de mariage, d’avoir désiré un autre homme que mon mari.
Ce matin-là, nous étions en février, étant la secrétaire d’Armand, je fis entrer deux jeunes ingénieurs dans son bureau. Ils étaient venus présenter leur projet à mon mari afin de trouver un investisseur. Le midi, ils nous avaient invités au restaurant. Le « plaisir gourmand » était beaucoup moins chique que ceux que nous fréquentions habituellement mais beaucoup plus intime. Nous étions installés dans un endroit calme car les négociations n’étaient pas encore terminées.
Lorsque le serveur était venu prendre la commande de l’apéritif, je crus tomber à la renverse, il ressemblait comme deux gouttes d’eau à Gaël mon maitre-nageur, le type d’homme même qui me faisait fantasmer. Je m’étais vite rendu compte, que lui aussi avait flashé sur moi, il n’arrêtait pas de me regarder et de me sourire. J’étais assise à côté d’Armand et le jeune trentenaire en face de moi, laissait son collègue discuter avec mon mari pendant que lui me parlait. Je compris qu’il ne savait pas que j’étais l’épouse du patron, vu notre différence d’âge mais uniquement sa secrétaire qu’il aimerait bien mettre dans son lit
En effet, mine de rien, il me draguait ouvertement pendant que le serveur me regardait. D’un côté, je fus très attirée par le garçon de salle mais les jeux de jambes de mon voisin sous la table, m’émoustillaient, j’adorais que l’on me désire, que l’on me courtise. Et ce jour-là, j’étais servie car à chaque occasion, le serveur venait, me frôlait l’épaule ou la main lorsqu’il faisait le service pendant que le pied du voisin me caressait le mollet. Le plus étonnant, c’était que je laissais faire, jusqu’au moment où le jeune ingénieur en ramassant sa serviette mis sa main sur ma cuisse.
Je me suis levée pour aller aux toilettes, en le fusillant du regard, je pensai qu’il avait compris qu’il ne fallait surtout pas me suivre. En passant devant le petit comptoir, le serveur m’interpella :— Vous cherchez les toilettes Madame ? C’est de l’autre côté, suivez-moi.
— Excusez-moi de vous importuner, jeune homme, avez-vous un frère ? Gaël ?
— Non Madame, moi c’est Hugo, pour vous servir. J’ai vu que ce Monsieur vous importunait, voulez-vous que j’intervienne ?
— Non Hugo ! Vous êtes gentil mais je sais me défendre. Moi, c’est Alexandra.
— Et ce monsieur c’est votre patron.
— C’est mon patron, je suis sa secrétaire. Merci Hugo.
En revenant, je demandai à mon mari d’intervertir les places, j’avais prétexté vouloir être contre le mur pour éviter le courant d’air de la climatisation. Pendant le restant du repas, le jeune ingénieur n’avait plus continué à me toucher la jambe ou le pied, même s’il insistait en posant son regard sur moi, il avait réintégré la discussion avec son collègue et Armand. Hugo quant à lui, entre deux clients, me souriait, je le trouvais très beau mais je n’avais aucun moyen de l’approcher, je savais qu’il allait se passer quelque chose entre nous. Mais la situation était bien plus périlleuse que pendant les vacances.
Je ne sais pas ce qu’il se passait dans ma tête, ni dans mon ventre, mais j’étais submergée par des vagues de désir qui augmentaient devant cet étalon de vingt-cinq ans. Placés au fond de la salle, nous n’avions personne derrière nous. J’avais mis ma main dans ma culotte, je me tortillais sur ma chaise en regardant Hugo, pendant qu’Armand discutait toujours, lorsqu’il me vit dans cet état, il me demanda ce que faisais.
— Oh, non, rien, ne t’inquiète pas mon amour, c’est probablement le vin blanc. Dis-je en retirant discrètement ma main. Je n’ai plus faim, et toi ?
Nous finissions le dessert, Hugo me regardait, je lui souris une énième fois, j’avais pris une décision, je ne savais pas si elle était la bonne, mais je devais la tenter. Je m’étais excusée pour me diriger une nouvelle fois aux toilettes, je ne le quittais pas des yeux, j’espérais qu’il me comprenne mais ne voulant pas rater le coche, en passant devant lui je lui susurrai à l’oreille :— Rejoins-moi aux toilettes.
Sans attendre sa réponse, je filai vers les WC. Hugo n’en revenait pas, il avait dû me prendre pour une vraie salope. Il avait certainement raison car aucune femme dite normale agirait de la sorte. Lui aussi de me voir ainsi, l’avait mis dans un état d’érection maximale. Depuis mon arrivée, il n’avait pensé qu’à moi, me voyant nue dans ses bras en train de me faire l’amour. Quelques instants plus tard, il entra à ma suite.
— Alexandra, dit-il d’une voix essoufflée. Vite, je travaille.
— Ferme la porte derrière toi.
Hugo me pris dans ses bras et m’embrassa furtivement, il n’avait que peu de temps. Il me retourna, je me retrouvais face au mur, j’avais les mains sur le carrelage. Ses mains se posèrent sur mes seins puis alternaient entre les flancs, le ventre puis revenaient sur ma poitrine pour la caresser et la malaxer. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, de son bassin il me poussait, je sentais son sexe en érection contre mes fesses, je me frottais contre lui en remuant le bassin. Une de ses deux mains se trouvait sous ma jupe, ses doigts avaient pris possession de ma chatte mouillée par l’excitation, je me mordais les lèvres, j’attendais qu’il me prenne là, maintenant dans ces toilettes.
je me mis à geindre et à soupirer fortement, plaquer contre le mur je tremblais de peur et d’excitation. Sa main gauche parcourait ma cuisse droite jusqu’à ma fesse, pendant que l’autre me caressait le clitoris et me faisait frissonner. Hugo releva enfin ma jupe, je ne bougeais plus, ma respiration s’accélérait. Il m’embrasait dans le cou, j’avais la tête en arrière tant ça me faisait du bien. Je me cambrais afin de sentir encore plus, sa queue contre mon cul. Un de ses doigts s’insérait de nouveau en moi, je gémissais— Tu aimes ?
J’acquiesçai de la tête, je n’en pouvais plus, je voulais le sentir en moi, qu’il me prenne sauvagement. Il déboutonna son pantalon et le laissa tomber sur ses jambes et d’un geste précis, il écarta le fin tissu de mon string et plaça sa douce bite sur ma vulve, je frissonnais. Il appuya ses mains sur mon dos afin que je me baisse et tendre mon derrière, mes mains glissèrent le long du carrelage. Il me pénétra sans plus attendre, je le sentais dans mes entrailles aller et venir, des petits flux de cyprine suintaient à l’extérieur. Il était profondément ancré dans mon vagin, le remplissant entièrement puis se retira lorsque mon orgasme me fit « crier en silence ».
Il enleva son préservatif et laissa son sperme jaillir en s’étalant sur mes fesses pour dégouliner dans ma raie, souillant ainsi mon string. Il prit un mouchoir en papier s’essuya puis en prit un autre pour nettoyer mes fesses. Ce fut très bref, mais très intense, je me sentais vidée mais en même temps, j’avais envie de recommencer.
Il m’embrassa sur la joue, me remercia, se rhabilla et quitta les lieux. Je sortis après m’être refaite une beauté, frustrée de n’avoir connu qu’un orgasme, en espérant de tout cœur que je puisse un jour, jouir de nouveau avec ce jeune serveur. En retournant à table, Hugo finissait de nous apporter les tasses de café, lorsque dans la conversation je dis aux deux ingénieurs :— Nous serions heureux avec mon mari Armand de poursuivre dans notre discussion dans nos locaux.
Le trentenaire et Hugo me regardèrent comme deux ronds de flanc. Le serveur se précipita pour retourner débarrasser les tables pendant que le jeune ingénieur s’excusa. Les trois hommes quittaient l’établissement, lorsque je m’approchai d’Hugo qui ne croyait plus me revoir, j’avais glissé dans sa main, un billet de 20 euros et mon numéro de portable personnel.
Lorsque la réunion fut terminée, Armand me demanda pourquoi le jeune ingénieur s’était excusé se doutant de ce qui avait pu se produire :— Tu vois Alex, il faut peut-être que tu changes tes tenues vestimentaires, elles sont bien trop aguichantes.
— Pourquoi dis-tu cela mon chéri ? Il m’avait simplement touché le pied. Que vas-tu encore imaginer, arrête tes crises de jalousie.
— Je vois bien tous ces hommes te regarder avec de mauvaises pensées. Tu es si belle, c’est normal qu’il te mate.
— Et comme ça tu crois que je te trompe ? Lui dis-je en le prenant pas le cou. C’est toi que j’aime, jamais je ne ferai ça.
L’après-midi même, je reçu un texto d’Hugo qui m’invitait chez lui. Il était libre avant de reprendre le service du soir. Moi, je ne l’étais pas et avec la petite crise de jalousie d’Armand, j’avais refusé sa proposition. Je continuerai à vous conter la suite, dans un autre récit.
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