Série l’adultère : Angèle (Partie 10). surprise par l’imprimeur.
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série l’adultère : Angèle (Partie 10). surprise par l’imprimeur.
Je m’appelle Angèle, j’étais à l’époque, une femme de 35 ans (aujourd’hui 45), mariée depuis 10 ans, à Johan un artisan électricien de 40 ans, président du club de Handball de notre ville où ma fille Léa joue dans la section jeune. Je ne suis pas un mannequin, mais j’ai un beau visage et des formes avantageuses : 1,65 m pour 58 kilos, une poitrine 95B. Avec mes cheveux blonds ondulés coupés au carré, mes yeux bleu clair, ma bouche toujours souriante, dans la rue beaucoup d’hommes se retournent sur moi. J’étais très bien avec mon mari, nous nous aimions comme au premier jour, jamais je ne m’imaginais pouvoir un jour, le tromper, néanmoins c’était bien ce qu’il arriva.
Ayant vécu une vie tumultueuse avec de nombreuses relations sexuelles avant son mariage. Angèle n’avait plus du tout l’envie d’avoir des amants, elle vivait à fond les parties de sexe avec Johan, son époux et celles-ci lui suffisaient amplement. Son passé où elle couchait avec presque le premier venu qui lui plaisait lorsqu’elle les rencontrait en discothèque ou dans des soirées privées, cette période était définitivement révolue. Cette femme très en vue dans cette ville de province était connue, jamais personne ne pouvait se douter de son infidélité.
Ce jour-là, M Fort le chef de projet pour un imprimeur devait être reçu par le Président l’association Hand-club afin d’établir un devis définitif et de laisser quelques exemples d’affiches pour la fête de fin d’année. Johan étant en retard sur son chantier, la faute à l’absence d’un de ses ouvriers, ne pouvait pas assurer son rendez-vous avec l’imprimeur. Il avait tout préparé et demanda à sa femme de rencontrer cet homme, pour lui donner tous les éléments nécessaires et recueillir les informations que l’imprimeur devait laisser. À l’accueil, ce fut la secrétaire de l’entreprise qui le reçut, dès son arrivée Marie appela le bureau du patron en disant : — Votre rendez-vous est là.
— Fais-le entré ! Merci ! répondit Angèle.
L’homme en pénétrant dans le bureau, resta un instant immobile, bouche bée. Il ne s’attendait pas à être reçu par une femme qu’il trouva très en beauté. Son élégance et son charme lui fit marquer le pas, il fut très impressionné et surtout agréablement surpris. Marc était un homme à femme, il était divorcé et avait d’innombrable maitresses. Sans se lever Angèle lui tendit la main en l’invitant à s’assoir :— Monsieur Fort, je suppose. Dit-elle. Je suis Angèle Dupont.
— Enchanté, en effet, je suis bien Marc Fort. Je ne savais pas que Monsieur Dupont avait une aussi ravissante et jeune épouse.
Angèle comme beaucoup de femme fut conquise par un si beau compliment.
Cet homme d’à peine quarante ans, était grand et sans surpoids, ce devait être un sportif ou faisait des activités physiques intenses. Ses cheveux étaient coupés très courts, le front entièrement dégarni. Il avait le visage rond, les yeux marron clair, un nez assez long. Son bouc bien taillé formé d’une barbiche accompagnée d’une moustache lui cachait légèrement la bouche. Lui aussi avait du charme et un certain charisme. Il respirait la bonne humeur, il devait avoir beaucoup d’humour. D’ailleurs Angèle s’en aperçut tout au long de la discussion.
En effet, pendant les quarante minutes d’entretien, Marc fit non seulement parfaitement son travail en donnant le maximum d’informations, sans rien négliger mais n’arrêta pas de complimenter, de blaguer sans jamais être grossier ou vulgaire, il fit tout pour rester le plus courtois possible. Au moment de partir, Angèle lui dit que le devis pour la plaquette était très urgent et que son mari désirait ce document pour le lendemain afin de ne pas prendre de retard de fabrication :— Je peux l’envoyer ce soir par mail et venir le chercher demain.
— Il ne sera pas là, notre employé est en maladie.
— Cela me donnera l’occasion de vous revoir, c’est toujours un plaisir d’être en charmante compagnie. Je vous apporterai un modèle d’affiche pour votre manifestation.
Cet homme plut tout de suite à Angèle, il avait ce petit quelque chose qui l’attirait. Elle resta pensive après son départ. Venait-elle de tomber sous son charme ? Elle eut le sentiment que cet homme, était le type même qu’elle voyait dans ses fantasmes les plus érotiques. Était-il marié ? Il n’en avait fait aucune allusion et elle s’en moquait royalement car très vite elle reprit conscience qu’elle était mariée et qu’elle ne tomberait pas dans le panneau. Elle était toutefois heureuse de le revoir le lendemain. Ce jour-là, c’était le jour de repos de Marie, la secrétaire, je laisse Angèle vous narrer la suite.
Je pensais que la venue de Marc(l’imprimeur), n’était qu’un prétexte pour me rencontrer, car tout ceci pouvait se faire par mail, c’était ce que m’avait dit mon mari. Elle se demandait maintenant s’il ne venait pas uniquement pour moi. Aurais-je montré mon attirance pour lui ? Ai-je dit ou fais quelque chose que je ne devais pas faire ? Je n’en savais rien mais il était vrai, cette nuit j’avais rêvé à une aventure avec ce bel imprimeur dans le bureau de mon mari. J’avais mis un chemisier rose suffisamment décolleté qui laissait apparaitre la dentelle de mon soutien-gorge rouge. Je portais un tailleur noir classique, fendu sur le côté, qui dévoilait le haut de ma jambe revêtue de bas auto-fixant noirs. Aux pieds, j’avais des chaussures noires à talon mi hauts. J’arborais un collier de perles blanches qui habillait avec grâce mon cou et excitait encore davantage mes admirateurs.
Lorsqu’il était entré après avoir frappé à la porte, mon cœur se mit à tambouriner dans ma poitrine. J’étais debout, adossée sur le côté de mon bureau pour lui faire face. Je vis dans son regard une lueur de fauve qui me laissait pantoise. Il fit les quelques pas qui nous séparaient et me prit la main qu’il garda un bon moment enfin plus longtemps qu’une poignée de main traditionnelle, tout en plongeant son regard sur le décolleté où il avait une belle vue sur la naissance de mes seins.
— J’étais tellement pressée de vous revoir. Avez-vous bien dormi ?
— Oui !... Très bien merci. Pourquoi me demandez-vous cela ?
— Je ne vous cache pas, que j’ai rêvé de vous. Me dit-il sans gêne en poursuivant. Vous êtes magnifique aujourd’hui, tout en beauté.
— Euh…Merci…Balbutiais-je
Je ne savais plus où me mettre, j’avais dû exagérer dans ma tenue, elle était beaucoup trop sexy pour ce genre de rendez-vous. Mes yeux se posèrent machinalement sur son entrejambe, je m’aperçus que sous son pantalon marine se dressait une érection plus que probable. Et moi, mon intimité devenait de plus en plus humide, il n’y avait rien à faire, cet homme me fascinait. S’il faisait la moindre avance, je succombais et tombais dans ses bras, pensais-je.
C’était exactement ce qu’il fit, il devait connaitre les femmes par cœur, il s’assis sur le fauteuil de mon bureau, me prit la main et me tira vers lui, je me retrouvais assise sur ses cuisses puis il m’embrassa. Sa langue força légèrement le passage mais pas beaucoup, je lui rendis son baiser. Nous étions restés quelques minutes ainsi, puis il me força à m’agenouiller entre ses jambes, sans réfléchir, j’enlevai la boucle de sa ceinture, et ouvris la fermeture éclair de sa braguette afin de libérer son sexe. Je me mordillais la lèvre inférieure en remarquant qu’il est déjà prêt à l’emploi, je m’étais penchée afin de l’avaler goulument dans ma bouche humide :— Si quelqu’un arrive ? S’inquiéta-t-il— La secrétaire est en repos aujourd’hui.
Je repris sa verge entre mes lèvres, il était aux anges. De la main droite, je coulissais habillement sur sa hampe, accompagnant les mouvements de ma bouche, tandis que ma main gauche malaxait avec douceur ses testicules. Il gémissait de plaisir lorsque je faisais glisser ma langue le long de son pénis pour venir aspirer avec avidité son phallus entre mes lèvres. Il attrapa ma tête entre ses deux mains et la pressa un peu plus contre son bas ventre en disant :— Continu, salope. C’est trop bon ! Ouiii…comme ça.
Rapidement, je sentais qu’il était sur le point d’éjaculer. Il me redressa la tête, repoussa d’un mouvement du bras les quelques chemises cartonnées qui se trouvaient sur mon bureau et me releva. Il enleva les boutons de mon chemisier et défit mon soutien-gorge tout en me malaxant les seins et en embrassant délicieusement mes tétons qui pointaient déjà :— Tu es une sacrée catin, je l’ai su tout de suite. Je vais te baiser comme tu le mérites, t’es trop bonne.
Il m’humiliait mais ça ne m’étonnait pas, j’étais comme transporter, j’avais qu’une envie c’était qu’il me prenne. Je m’assis sur le bureau, il me coucha dessus, laissant mon ventre tourné vers lui. J’écartai les jambes légèrement. Il se pencha sur moi et m’embrassa. Il fit glisser mon tailleur qui tomba au sol, il se baissa à son tour et m’embrassa les fesses avec passion, l’une après l’autre, il les pétrissait entre ses larges mains calleuses.
Il descendit ma petite culotte afin de mettre à nu mon intimité. Mettant ses mains sur mes hanches, il enfila directement sa langue dans ma petite chatte trempée, et fouilla à l’intérieur pour se délecter de mon jus. Je m’étais immobilisée et ne pouvais pas vraiment me débattre, je poussais de petits gémissements. Il sortit sa langue de mon vagin et descendit légèrement afin de titiller et de lécher avec malice mon petit trou de balle. Cela m’arracha un cri de surprise et je le suppliai d’arrêter, même si au fond de moi, cela avait allumé la flamme d’un désir, la sodomie était devenue pour moi le summum.
Il joua avec mon clitoris. J’avais les jambes relevées, légèrement écartées, mais retenues l’une à l’autre par ma petite culotte. Glissant un doigt, puis deux dans ma chatte chaude et humide, il accélérait les mouvements de sa langue sur mon bouton du plaisir, je mordais mes lèvres pour éviter de hurler. Mes mains s’activaient à triturer les deux tétons rosés qui pointaient fortement. Il insistait pendant quelques minutes, jusqu’au moment où, cédant à l’orgasme, je me cambrai sur le bureau et laissa échapper trois giclées de cyprine qui venaient mouiller son avant-bras. Cela l’excita beaucoup, il se précipita pour enfiler son préservatif et vint poser le gland de sa verge à l’entrée de mon vagin qui le réclamait : — Je vais te baiser sale catin, c’est ce que tu veux salope…
Le fait d’utiliser ses mots crus me donna envie de le recevoir mais en même temps le fait d’être dominée me perturbait, j’étais tellement pressée de recevoir son sexe que je ne répondis que part un signe de tête en le regardant. La situation que je vivais, me procurait un plaisir supplémentaire, le fait de tromper son mari avec un inconnu et la peur de l’interdit était tellement jouissif. Il s’introduis en moi lentement, délicatement sans aucune difficulté, je sentais son membre gonflé qui me remplissait toute entière et venait buter dans le fond de mon intimité, à intervalles réguliers. Ses longs mouvements, délicats et profonds me faisait gémir de plaisir.
Ses mains parcouraient mon corps, caressaient mes jambes, mes cuisses relevées, mes hanches, mon ventre et pétrissaient mes seins gonflés par le désir, il accélérait la cadence, jusqu’au point de l’orgasme, j’envoyai une nouvelle salve de bonheur qui mouilla l’intérieur de mes cuisses. Je venais de crier en jouissant une nouvelle fois mais j’en voulais toujours plus : — Arrête Marc ! prends-moi par derrière.
— Tu veux que je t’encule ?
— Oui ! Viens …
Il exécuta mes ordres, j’en étais fière mais comment pouvait-il refuser, tous les hommes ne rêvent que de cela. Il présenta sa queue sur mon orifice qui se préparait à le recevoir. Son sexe en pleine érection entra doucement sans aucune résistance dans mon rectum. J’étais comblée, je gémissais toujours et encore avec plus d’intensité, alors qu’il accélérait la cadence avec de véritables coups de boutoir, je me tordais dans tous les sens, mes jambes reposant sur ses épaules, il me malaxait ma poitrine avec force en prenant soin de torturer mes mamelons. A mesure qu’il augmentait le rythme, ma main s’activait sur mon clitoris, je sentais un nouvel orgasme monter en moi. Afin d’éviter de crier dans le bureau, je l’embrassais goulument. Soudain, un orgasme foudroyant que je n’avais pas encore connu, me remplit. Ce n’était pas comme d’habitude, il semblait provenir des profondeurs de mon corps, je me cambrai une dernière fois, puis mon corps tout entier fut parcouru d’une vibration étrange.
A son tour, il n’en pouvait plus, il sentait que l’éjaculation montait en lui, il me le dit, tout de suite je lui répondis :— Non ! Pas dans la capote, je veux que tu gicles sur mon ventre.
Aussi tôt, il arracha le préservatif de son sexe, je le regardais comme une véritable chienne qui voulait se faire arroser de semence. Sa main s’activa avec force sur ma hampe en se branlant, je le regardais dans les yeux.
Ne pouvant résister, il jouit à son tour, il posa sa verge sur mon ventre et déversa sur moi, les flux de son sperme qui venaient s’étaler de mes seins jusqu’à mon pubis, mon nombril en était recouvert. Pendant que Marc s’essuyait et se rhabillait, je restais couchée sur le bureau en m’étalant le sperme sur toute ma poitrine. J’étais épuisée mais totalement libérée, les yeux toujours fermés, je ne pensais à rien.
— C’était pas mal, tu baises bien. Tu diras à ton mari que je lui téléphonerai dès que le travail sera prêt. Qu’il m’envoie le bon à tirer pour les affiches. Salut. Dit Marc en refermant la porte derrière lui.
« Goujat ! Quel salaud ! Connard ! » Me dis-je. Il était parti sans même me dire un petit mot gentil, qu’un « salut » comme seule politesse. Ce fut là que je revins sur terre, je venais de tromper mon mari avec un crétin fini. J’avais honte de moi, « Comment ai-je pu être aussi conne ? ». J’avais sur le coup oublié tout le plaisir qu’il m’avait apporté car je lui en voulais et en voulais surtout à moi-même.
J’ai décidé de ce jour-là que jamais plus je prendrai un amant aussi beau qu’il fut. Dix ans sont passés depuis cet adultère et jamais plus, je n’ai osé recommencer. Je ne l’ai toujours pas dit à mon mari, je pense qu’il ne doit pas le savoir car cela pourrait sans aucun doute nous faire du mal.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Angèle vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. J’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Ayant vécu une vie tumultueuse avec de nombreuses relations sexuelles avant son mariage. Angèle n’avait plus du tout l’envie d’avoir des amants, elle vivait à fond les parties de sexe avec Johan, son époux et celles-ci lui suffisaient amplement. Son passé où elle couchait avec presque le premier venu qui lui plaisait lorsqu’elle les rencontrait en discothèque ou dans des soirées privées, cette période était définitivement révolue. Cette femme très en vue dans cette ville de province était connue, jamais personne ne pouvait se douter de son infidélité.
Ce jour-là, M Fort le chef de projet pour un imprimeur devait être reçu par le Président l’association Hand-club afin d’établir un devis définitif et de laisser quelques exemples d’affiches pour la fête de fin d’année. Johan étant en retard sur son chantier, la faute à l’absence d’un de ses ouvriers, ne pouvait pas assurer son rendez-vous avec l’imprimeur. Il avait tout préparé et demanda à sa femme de rencontrer cet homme, pour lui donner tous les éléments nécessaires et recueillir les informations que l’imprimeur devait laisser. À l’accueil, ce fut la secrétaire de l’entreprise qui le reçut, dès son arrivée Marie appela le bureau du patron en disant : — Votre rendez-vous est là.
— Fais-le entré ! Merci ! répondit Angèle.
L’homme en pénétrant dans le bureau, resta un instant immobile, bouche bée. Il ne s’attendait pas à être reçu par une femme qu’il trouva très en beauté. Son élégance et son charme lui fit marquer le pas, il fut très impressionné et surtout agréablement surpris. Marc était un homme à femme, il était divorcé et avait d’innombrable maitresses. Sans se lever Angèle lui tendit la main en l’invitant à s’assoir :— Monsieur Fort, je suppose. Dit-elle. Je suis Angèle Dupont.
— Enchanté, en effet, je suis bien Marc Fort. Je ne savais pas que Monsieur Dupont avait une aussi ravissante et jeune épouse.
Angèle comme beaucoup de femme fut conquise par un si beau compliment.
Cet homme d’à peine quarante ans, était grand et sans surpoids, ce devait être un sportif ou faisait des activités physiques intenses. Ses cheveux étaient coupés très courts, le front entièrement dégarni. Il avait le visage rond, les yeux marron clair, un nez assez long. Son bouc bien taillé formé d’une barbiche accompagnée d’une moustache lui cachait légèrement la bouche. Lui aussi avait du charme et un certain charisme. Il respirait la bonne humeur, il devait avoir beaucoup d’humour. D’ailleurs Angèle s’en aperçut tout au long de la discussion.
En effet, pendant les quarante minutes d’entretien, Marc fit non seulement parfaitement son travail en donnant le maximum d’informations, sans rien négliger mais n’arrêta pas de complimenter, de blaguer sans jamais être grossier ou vulgaire, il fit tout pour rester le plus courtois possible. Au moment de partir, Angèle lui dit que le devis pour la plaquette était très urgent et que son mari désirait ce document pour le lendemain afin de ne pas prendre de retard de fabrication :— Je peux l’envoyer ce soir par mail et venir le chercher demain.
— Il ne sera pas là, notre employé est en maladie.
— Cela me donnera l’occasion de vous revoir, c’est toujours un plaisir d’être en charmante compagnie. Je vous apporterai un modèle d’affiche pour votre manifestation.
Cet homme plut tout de suite à Angèle, il avait ce petit quelque chose qui l’attirait. Elle resta pensive après son départ. Venait-elle de tomber sous son charme ? Elle eut le sentiment que cet homme, était le type même qu’elle voyait dans ses fantasmes les plus érotiques. Était-il marié ? Il n’en avait fait aucune allusion et elle s’en moquait royalement car très vite elle reprit conscience qu’elle était mariée et qu’elle ne tomberait pas dans le panneau. Elle était toutefois heureuse de le revoir le lendemain. Ce jour-là, c’était le jour de repos de Marie, la secrétaire, je laisse Angèle vous narrer la suite.
Je pensais que la venue de Marc(l’imprimeur), n’était qu’un prétexte pour me rencontrer, car tout ceci pouvait se faire par mail, c’était ce que m’avait dit mon mari. Elle se demandait maintenant s’il ne venait pas uniquement pour moi. Aurais-je montré mon attirance pour lui ? Ai-je dit ou fais quelque chose que je ne devais pas faire ? Je n’en savais rien mais il était vrai, cette nuit j’avais rêvé à une aventure avec ce bel imprimeur dans le bureau de mon mari. J’avais mis un chemisier rose suffisamment décolleté qui laissait apparaitre la dentelle de mon soutien-gorge rouge. Je portais un tailleur noir classique, fendu sur le côté, qui dévoilait le haut de ma jambe revêtue de bas auto-fixant noirs. Aux pieds, j’avais des chaussures noires à talon mi hauts. J’arborais un collier de perles blanches qui habillait avec grâce mon cou et excitait encore davantage mes admirateurs.
Lorsqu’il était entré après avoir frappé à la porte, mon cœur se mit à tambouriner dans ma poitrine. J’étais debout, adossée sur le côté de mon bureau pour lui faire face. Je vis dans son regard une lueur de fauve qui me laissait pantoise. Il fit les quelques pas qui nous séparaient et me prit la main qu’il garda un bon moment enfin plus longtemps qu’une poignée de main traditionnelle, tout en plongeant son regard sur le décolleté où il avait une belle vue sur la naissance de mes seins.
— J’étais tellement pressée de vous revoir. Avez-vous bien dormi ?
— Oui !... Très bien merci. Pourquoi me demandez-vous cela ?
— Je ne vous cache pas, que j’ai rêvé de vous. Me dit-il sans gêne en poursuivant. Vous êtes magnifique aujourd’hui, tout en beauté.
— Euh…Merci…Balbutiais-je
Je ne savais plus où me mettre, j’avais dû exagérer dans ma tenue, elle était beaucoup trop sexy pour ce genre de rendez-vous. Mes yeux se posèrent machinalement sur son entrejambe, je m’aperçus que sous son pantalon marine se dressait une érection plus que probable. Et moi, mon intimité devenait de plus en plus humide, il n’y avait rien à faire, cet homme me fascinait. S’il faisait la moindre avance, je succombais et tombais dans ses bras, pensais-je.
C’était exactement ce qu’il fit, il devait connaitre les femmes par cœur, il s’assis sur le fauteuil de mon bureau, me prit la main et me tira vers lui, je me retrouvais assise sur ses cuisses puis il m’embrassa. Sa langue força légèrement le passage mais pas beaucoup, je lui rendis son baiser. Nous étions restés quelques minutes ainsi, puis il me força à m’agenouiller entre ses jambes, sans réfléchir, j’enlevai la boucle de sa ceinture, et ouvris la fermeture éclair de sa braguette afin de libérer son sexe. Je me mordillais la lèvre inférieure en remarquant qu’il est déjà prêt à l’emploi, je m’étais penchée afin de l’avaler goulument dans ma bouche humide :— Si quelqu’un arrive ? S’inquiéta-t-il— La secrétaire est en repos aujourd’hui.
Je repris sa verge entre mes lèvres, il était aux anges. De la main droite, je coulissais habillement sur sa hampe, accompagnant les mouvements de ma bouche, tandis que ma main gauche malaxait avec douceur ses testicules. Il gémissait de plaisir lorsque je faisais glisser ma langue le long de son pénis pour venir aspirer avec avidité son phallus entre mes lèvres. Il attrapa ma tête entre ses deux mains et la pressa un peu plus contre son bas ventre en disant :— Continu, salope. C’est trop bon ! Ouiii…comme ça.
Rapidement, je sentais qu’il était sur le point d’éjaculer. Il me redressa la tête, repoussa d’un mouvement du bras les quelques chemises cartonnées qui se trouvaient sur mon bureau et me releva. Il enleva les boutons de mon chemisier et défit mon soutien-gorge tout en me malaxant les seins et en embrassant délicieusement mes tétons qui pointaient déjà :— Tu es une sacrée catin, je l’ai su tout de suite. Je vais te baiser comme tu le mérites, t’es trop bonne.
Il m’humiliait mais ça ne m’étonnait pas, j’étais comme transporter, j’avais qu’une envie c’était qu’il me prenne. Je m’assis sur le bureau, il me coucha dessus, laissant mon ventre tourné vers lui. J’écartai les jambes légèrement. Il se pencha sur moi et m’embrassa. Il fit glisser mon tailleur qui tomba au sol, il se baissa à son tour et m’embrassa les fesses avec passion, l’une après l’autre, il les pétrissait entre ses larges mains calleuses.
Il descendit ma petite culotte afin de mettre à nu mon intimité. Mettant ses mains sur mes hanches, il enfila directement sa langue dans ma petite chatte trempée, et fouilla à l’intérieur pour se délecter de mon jus. Je m’étais immobilisée et ne pouvais pas vraiment me débattre, je poussais de petits gémissements. Il sortit sa langue de mon vagin et descendit légèrement afin de titiller et de lécher avec malice mon petit trou de balle. Cela m’arracha un cri de surprise et je le suppliai d’arrêter, même si au fond de moi, cela avait allumé la flamme d’un désir, la sodomie était devenue pour moi le summum.
Il joua avec mon clitoris. J’avais les jambes relevées, légèrement écartées, mais retenues l’une à l’autre par ma petite culotte. Glissant un doigt, puis deux dans ma chatte chaude et humide, il accélérait les mouvements de sa langue sur mon bouton du plaisir, je mordais mes lèvres pour éviter de hurler. Mes mains s’activaient à triturer les deux tétons rosés qui pointaient fortement. Il insistait pendant quelques minutes, jusqu’au moment où, cédant à l’orgasme, je me cambrai sur le bureau et laissa échapper trois giclées de cyprine qui venaient mouiller son avant-bras. Cela l’excita beaucoup, il se précipita pour enfiler son préservatif et vint poser le gland de sa verge à l’entrée de mon vagin qui le réclamait : — Je vais te baiser sale catin, c’est ce que tu veux salope…
Le fait d’utiliser ses mots crus me donna envie de le recevoir mais en même temps le fait d’être dominée me perturbait, j’étais tellement pressée de recevoir son sexe que je ne répondis que part un signe de tête en le regardant. La situation que je vivais, me procurait un plaisir supplémentaire, le fait de tromper son mari avec un inconnu et la peur de l’interdit était tellement jouissif. Il s’introduis en moi lentement, délicatement sans aucune difficulté, je sentais son membre gonflé qui me remplissait toute entière et venait buter dans le fond de mon intimité, à intervalles réguliers. Ses longs mouvements, délicats et profonds me faisait gémir de plaisir.
Ses mains parcouraient mon corps, caressaient mes jambes, mes cuisses relevées, mes hanches, mon ventre et pétrissaient mes seins gonflés par le désir, il accélérait la cadence, jusqu’au point de l’orgasme, j’envoyai une nouvelle salve de bonheur qui mouilla l’intérieur de mes cuisses. Je venais de crier en jouissant une nouvelle fois mais j’en voulais toujours plus : — Arrête Marc ! prends-moi par derrière.
— Tu veux que je t’encule ?
— Oui ! Viens …
Il exécuta mes ordres, j’en étais fière mais comment pouvait-il refuser, tous les hommes ne rêvent que de cela. Il présenta sa queue sur mon orifice qui se préparait à le recevoir. Son sexe en pleine érection entra doucement sans aucune résistance dans mon rectum. J’étais comblée, je gémissais toujours et encore avec plus d’intensité, alors qu’il accélérait la cadence avec de véritables coups de boutoir, je me tordais dans tous les sens, mes jambes reposant sur ses épaules, il me malaxait ma poitrine avec force en prenant soin de torturer mes mamelons. A mesure qu’il augmentait le rythme, ma main s’activait sur mon clitoris, je sentais un nouvel orgasme monter en moi. Afin d’éviter de crier dans le bureau, je l’embrassais goulument. Soudain, un orgasme foudroyant que je n’avais pas encore connu, me remplit. Ce n’était pas comme d’habitude, il semblait provenir des profondeurs de mon corps, je me cambrai une dernière fois, puis mon corps tout entier fut parcouru d’une vibration étrange.
A son tour, il n’en pouvait plus, il sentait que l’éjaculation montait en lui, il me le dit, tout de suite je lui répondis :— Non ! Pas dans la capote, je veux que tu gicles sur mon ventre.
Aussi tôt, il arracha le préservatif de son sexe, je le regardais comme une véritable chienne qui voulait se faire arroser de semence. Sa main s’activa avec force sur ma hampe en se branlant, je le regardais dans les yeux.
Ne pouvant résister, il jouit à son tour, il posa sa verge sur mon ventre et déversa sur moi, les flux de son sperme qui venaient s’étaler de mes seins jusqu’à mon pubis, mon nombril en était recouvert. Pendant que Marc s’essuyait et se rhabillait, je restais couchée sur le bureau en m’étalant le sperme sur toute ma poitrine. J’étais épuisée mais totalement libérée, les yeux toujours fermés, je ne pensais à rien.
— C’était pas mal, tu baises bien. Tu diras à ton mari que je lui téléphonerai dès que le travail sera prêt. Qu’il m’envoie le bon à tirer pour les affiches. Salut. Dit Marc en refermant la porte derrière lui.
« Goujat ! Quel salaud ! Connard ! » Me dis-je. Il était parti sans même me dire un petit mot gentil, qu’un « salut » comme seule politesse. Ce fut là que je revins sur terre, je venais de tromper mon mari avec un crétin fini. J’avais honte de moi, « Comment ai-je pu être aussi conne ? ». J’avais sur le coup oublié tout le plaisir qu’il m’avait apporté car je lui en voulais et en voulais surtout à moi-même.
J’ai décidé de ce jour-là que jamais plus je prendrai un amant aussi beau qu’il fut. Dix ans sont passés depuis cet adultère et jamais plus, je n’ai osé recommencer. Je ne l’ai toujours pas dit à mon mari, je pense qu’il ne doit pas le savoir car cela pourrait sans aucun doute nous faire du mal.
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