Série l’adultère « Audrey » : (Partie 24). Elle trompe son mari, malgré elle et y prend du plaisir.
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série l’adultère « Audrey » : (Partie 24). Elle trompe son mari, malgré elle et y prend du plaisir.
Bertrand et Audrey étaient mariés depuis dix ans et très heureux d’avoir deux enfants de sept et quatre ans. Toutefois, depuis la naissance du deuxième, Bertrand était très frustré. Si sa femme était une maman et une ménagère parfaite, côté sexe, elle était devenue au fil du temps beaucoup trop sage et négligeait ses devoirs conjugaux, un peu trop à son gout. En effet, elle n’accordait à son mari le droit de la toucher qu’une fois par mois, voire deux mais exceptionnellement et lors de leurs rapports qui se déroulaient toujours dans la chambre, elle faisait l’amour par obligation, sans prendre la moindre initiative, toujours pressée que cela se termine. Elle attendait patiemment que son mari éjacule dans son vagin, avant de s’essuyer et de se retourner pour s’endormir.
Avant son mariage, Audrey était une belle et plantureuse femme. Mais aujourd’hui à 32 ans, son regard était vide, malgré ses beaux yeux bleus légèrement enfoncés, ses traits étaient fins, son visage rond, ses cheveux blonds étaient coiffés en arrière dégageant ses fines oreilles. Elle était assez grande avec ses 1,65 m mais avait quelques kilos en trop. Elle avait une poitrine généreuse légèrement tombante, due à sa forte corpulence et aux deux naissances successives.
Sans négliger son hygiène, elle ne taillait les poils de sa chatte, trop fournie que tous les mois, au grand désespoir de son mari. C’était une bonne ménagère qui aimait cuisiner, elle entretenait très bien sa maison et s’occupait très bien de ses enfants qu’elle chérissait. Elle était douce, calme et gentille. Cette maman idéale s’habillait le plus souvent avec des vêtements amples, sans forcément suivre la mode actuelle mais qui avait l’avantage de cacher ses petites rondeurs. Pourtant, même sans maquillage, elle plaisait aux nombreux hommes qui la regardait avec envie.
Comme cet agent de la police municipale qui devant l’école l’attendait afin de parler un peu avec elle mais celle-ci faisait toujours sa mijaurée en répondant uniquement à son « bonjour » et tournait les talons sans demander son reste. Il y avait également l’entraineur de son ainé qui lui faisait les yeux doux, comme précédemment, mis à part une conversation concernant les activités sportive de son fils, elle ne remarquait pas les avances que lui prodiguait cet éducateur. Le directeur de l’école était lui aussi très attiré par cette femme, étant divorcé il aurait bien aimé qu’elle le regarde autrement.
Par le passé, avant le mariage, Bertrand était parvenu avec grande insistance à se faire faire quelques fellations, elle avait même essayé d’avaler son sperme mais avait tout recraché avec dégout. À la même époque, il n’avait pu la sodomiser que deux fois lors de ses règles, là encore ce ne fut pas une réussite. Une fois mariés, impossible de recommencer, le mari se contentait de la prendre en levrette ou dans la position de la cuiller. Malheureusement, même ce temps-là était bel et bien révolu depuis la naissance du dernier. Le rapport sexuel n’était plus qu’une corvée pour elle qui n’y prenait aucun plaisir à le faire, n’ayant jamais connu la jouissance.
Ce fut la raison pour laquelle, Bertrand regardait régulièrement en cachette des films X après qu’Audrey se soit endormie et se masturbait devant l’écran. Il n’avait pas encore trompé son épouse, mais si l’occasion se présentait, il n’hésiterait pas à le faire. Ce qui arriva deux ans auparavant, ce jour-là sa belle-sœur dont le couple n’était pas aux plus beaux jours, lui montra quelques intérêts. En effet, son mari découchant une nouvelle fois, Sandrine se retrouvant seule à la maison avait une fuite d’eau sous l’évier.
Après avoir téléphoné à Audrey, celle-ci demanda à son mari d’aller la dépanner. En discutant avec lui, elle lui avoua qu’elle était en manque et qu’elle se posait des questions sur une possible séparation :— Tu sais Bertrand, Cédric n’est pas du tout l’homme que j’attendais, il me néglige et n’en fait qu’à sa tête et me trompe tous les jours avec sa collègue. Il ne rentre pas avant 22 heures.
— Ta sœur c’est tout le contraire si tu veux savoir. Depuis la venue de Gaétan, elle ne baise plus, elle n’aime pas ça.
— Je ne la croyais pas comme ça. Moi, j’adore, si tu veux ...
Sandrine installée à côté de son beau-frère en disant cela, frôlait de la main une de ses cuisses. C’en était trop pour lui qui avait compris ce que sa belle-sœur voulait. Ils s’embrassèrent fougueusement et firent l’amour comme cela ne leur était pas arrivé depuis bien longtemps. Depuis ce jour et pendant un an et demi, jusqu’à son divorce, Bertrand venait un soir sur deux contenter la sœur d’Audrey et partait tout heureux d’avoir éjaculé dans le vagin ou le rectum ou la bouche de la belle-sœur. Tous les deux, avaient trouvé le moyen de satisfaire leur besoin sexuel.
Seulement, Sandrine connu quelqu’un et depuis deux mois tout était à refaire. Bertrand reprenait ses masturbations nocturnes pour se vider les bourses. À la maison, Audrey avait forcément vu la différence, elle s’apercevait que depuis quelques semaines son mari était grognon et de plus en plus demandeur de sexe. Ces envies de faire l’amour lui reprenait et cela la perturbait. Lorsqu’elle lui en avait parlé, il lui avoua qu’il avait eu une maitresse et que si elle ne changeait pas son comportement, il ne se gênerait pas d’en trouver une nouvelle :— Tu m’as trompé ? Tu ne m’aimes plus ?
— Mais si je t’aime mais tu ne comprends pas, le problème, c’est toi…ma chérie.
Après une longue discussion, ils s’étaient dit tout ce qu’ils avaient sur le cœur sans jamais élever la voix, ils étaient restés calmes et posés. Cela ne leur était jamais arrivé, jusqu’à ce soir, ils n’avaient jamais abordé le sujet de la sexualité. Audrey se remit en question, elle pensait que ce qu’elle donnait à son mari un dimanche par mois était suffisant pour lui aussi. Mais lorsqu’elle apprit qu’il se branlait presque tous les soirs devant la télé, elle comprit qu’elle était fautive et avait promis de faire des efforts.
Toute la semaine suivante, dès qu’elle se retrouvait seule, pendant que Bertrand était à la télé, elle se mettait devant l’ordinateur et alla, elle aussi, regarder des films porno pour femme. Elle consultait aussi les forums pour savoir si certaines femmes étaient comme elle et ce qu’elles faisaient pour résoudre ce genre de problème. Elle s’était toutefois découverte un petit secret, elle était excitée lorsqu’elle voyait une femme en train de faire l’amour avec un homme en uniforme. La veille, en regardant une dernière vidéo, avec un gendarme, elle glissa sa main dans sa culotte et sentit qu’elle mouillait fortement.
Elle avait attendu que son homme monte au lit et vint se blottir sans qu’il lui demande, elle glissa sa main dans son slip et le caressa. Ils avaient fait l’amour en levrette, même si elle n’avait pas atteint l’orgasme, elle eut plaisir à le faire, rendant son mari fier de ce qu’il lui arrivait. Elle l’embrassa sur la bouche, se retourna en disant : « bonne nuit mon chéri », avant de s’endormir. Bertrand n’eut pas besoin de se relever cette nuit-là, il n’en revenait pas. Qu’avait fait sa femme pour lui demander de baiser. La petite conversation de l’autre soir portait ses fruits et il en était heureux.
Mais cela ne se reproduisit plus, la routine s’emparait de nouveau de ce couple au grand dam du mari qui cherchait désespérément une maitresse. Cela était très difficile pour lui, à son travail, il n’y avait que des hommes et lorsqu’il emmenait les enfants au sport, il n’avait pas l’occasion de faire de belles rencontres. Sandrine ne voulait plus coucher avec lui non plus, même si elle avait adoré les moments passés avec lui. Elle ne voulait pas retomber dans un adultère qui lui serait forcément néfaste un jour ou l’autre.
Ce ne fut pas le cas de sa femme, cette maman qui était à mille lieues de baiser avec quelqu’un d’autre que son mari. Et pourtant, il y avait de cela un mois, elle était très en retard pour emmener les enfants à l’école. En effet, elle s’était levée un peu plus tard que d’habitude et le dernier lui avait donné du fil à retorde. Mais enfin, elle avait attaché les deux enfants sur leur siège auto et s’était dirigée vers le centre, descendit les enfants et les fit traverser la rue avant de les conduire dans la cour juste à la sonnerie.
Elle remonta dans sa petite voiture dont elle avait besoin car habitant à l’extérieur, elle ne pouvait pas aller à pied faire ses courses, aller chez le coiffeur ou chez le médecin, ni même au super marché se trouvant à l’autre bout de la ville. Ce jour-là, elle avait rendez-vous chez le docteur à 10 heures et devait rentrer se préparer. Il était déjà 8h45 donc très en retard. Elle démarrait la voiture, lorsque la sonnerie de son portable se mit à retentir. Machinalement, elle décrocha, passa la seconde et pris à droite sans marquer véritablement le stop.
Malheureusement, un agent de ville se trouvant sur place, lui fit signe de s’arrêter, la fit garer sur un emplacement de stationnement et vint la contrôler. Elle connaissait cet agent de la police municipale, il essayait toujours de l’aborder depuis son arrivée dans ce village. Il s’approcha de la vitre et lui demanda ses papiers. Elle se tourna dans tous les sens, posa son portable dans le vide poche mais ne trouvant pas son sac à main, elle se rappelait qu’elle l’avait oublié sur la table de la cuisine.
— Je suis vraiment désolée Monsieur l’agent, mes papiers sont à la maison. Nous pouvons y aller et je vous montrerai mon permis.
— Savez-vous pour quelles raisons je vous ai arrêtée ?
— Non ! Un contrôle je suppose. Dit-elle en sachant très bien qu’elle avait le tel à la main. Mais l’avait-il vu se demanda-t-elle.
— Vous avez brulé un stop, vous n’avez pas votre ceinture et de surcroit, vous téléphoniez en conduisant. Allons voir vos papiers, je vous suis et n’essayez surtout pas de me semer, je vous connais.
C’était la catastrophe, elle reconnaissait tous les faits et se demandait ce qu’il lui était passé par la tête pour en être arrivé là. Il n’y avait qu’une seule solution, c’était d’être le plus agréable possible avec cet agent qui la connaissait depuis un moment. Elle l’invita donc à entrer et lui proposa un café. Il sortit son document, un stylo et les posa sur la table de la cuisine en vérifiant permis de conduire et carte verte de l’assurance :— Bon ! De ce côté-là, tout va bien, je ne vous verbalise pas pour non présentation de papiers.
— Merci Monsieur l’agent. Dit-elle en lui remplissant sa tasse.
— Ne me remerciez pas Madame X, pour le reste, vous savez que vous allez perdre de nombreux points.
— Non ! S’il vous plait ! J’en ai déjà perdu trois pour des excès de vitesses de mon mari. Vous avez bien vu qu’il n’y avait personne lorsque je suis passée au stop. Ne faites pas cela je vous en supplie. Implora-t-elle en faisant mine de pleurer, se prenant la tête à deux mains.
— Ceinture 3 points, téléphone 3 points et le stop 4 points. Si je compte bien, vous n’avez plus de permis Madame.
Il prit son stylo et commença à remplir la contravention. Cet homme semblait maniaque, il s’appliquait. Son bras gauche posé sur la table, sa main droite, écrivait en essayant de faire sa plus belle écriture. Audrey restée debout, imaginant le pire, ne savait plus quoi faire, l’agent n’avait pas l’air de se soucier de son problème.
Tout d’un coup, elle se remémora la fille qui s’était faite arrêter par le gendarme dans une vidéo X, celle-ci n’avait pas hésité de le séduire et de baiser avec lui afin qu’il la laisse repartir. Elle fixa le visage du policier municipal et s’aperçut qu’il avait quelques ressemblances avec l’acteur porno de ce film. Serait-elle dans l’obligation d’en arriver là ? En était-elle au moins capable ? Se demanda-t-elle. Puis en réfléchissant un peu plus, elle se dit : « Tu le fais bien avec ton mari, même si tu n’aimes pas »
Audrey se jeta à l’eau, elle ne pouvait pas imaginer une seule seconde de perdre son permis de conduire, elle en avait trop besoin. Elle se mit assise à côté de l’agent et le regarda écrire. Leurs regards se croisèrent et elle posa ses deux mains sur celle qui n’écrivait pas :— Dites-moi ! Que pourrais-je faire pour que vous fermiez les yeux. Lui demanda-t-elle en prenant son plus beau sourire.
— Et vous ? Qu’êtes-vous prête à faire pour que je déchire la contravention ?
L’agent posa son stylo sur la table, déboucla sa ceinture, enleva son bouton et descendit sa fermeture éclair :— Ça vous dit une petite fellation en gorge profonde ?
Audrey savait désormais ce que cela voulait dire, elle ne l’avait jamais fait à son mari et le sperme la dégoutait mais son permis était en jeu :— Vous me promettez que vous ne me verbaliserez pas ?
— Tout dépend de vous, une pipe et je supprime le téléphone et plus, je déchire tout, je vous le garantis.
Sans répondre, Audrey savait qu’elle devrait faire bien plus avec lui, il n’avait pas l’air à se faire manier à la baguette. Ce fut contrainte et pratiquement forcée, qu’elle s’agenouilla devant lui et sortit son sexe qui commençait à prendre forme. Heureusement pour elle, il n’était pas monté comme un éléphant, elle devrait parvenir en le rentrer entièrement dans sa bouche, pensait-elle. Elle commença à prendre son pénis dans la main et fit de longs mouvements coulissant le long de sa hampe afin qu’il obtienne un début d’érection. Puis elle avala son gland décalotté en aspirant et en tournant sa langue tout autour. L’agent municipal fermait les yeux en poussant de petits gémissements, il avait l’air d’apprécier.
Il lui tenait le derrière du crâne sans forcer, lui caressant plutôt sa chevelure. Au fur et à mesure qu’elle le branlait et qu’elle l’enfonçait un peu plus en bouche, sa verge se durcissait et lorsqu’elle l’avala entièrement avec un haut le cœur, elle sentit couler de sa chatte un peu de cyprine. Audrey était très excitée, ce qu’elle était en train de faire au policier semblait lui plaire.
Elle fut contrainte de ressortir sa queue, la branla et l’avala de nouveau tout en faisant des va et vient avec sa tête. Elle avait dans ses pensées les images de ce film et s’en inspirait. Le policier se retira, la regarda et déposa un baiser sur ses lèvres :— C’était bien ? Demanda-t-elle timidement.
— Tu es une belle cochonne ma petite. Maintenant tu es prête à quoi ? Tu ne vas pas me laisser dans cet état. Répondit-il en montrant son érection. Relève-toi et embrasse-moi.
Audrey ne faisait plus semblant, elle mouillait énormément et avait envie de baiser avec cet homme en uniforme. Elle se releva et vint se coller à lui, posa sa bouche sur la sienne, sa langue força le passage et tourna tout autour de la sienne, elle devenait chaude comme de la braise. Toutefois, elle ne savait pas s’il fallait qu’elle prenne les devants, elle attendait plutôt que son amant d’un jour lui indique la marche à suivre. D’autant plus que lorsqu’il lui donnait des ordres, elle appréciait énormément.
— Couche toi sur la table. Lui dit-il d’un ton sec.
Se rappelant des propos tenus par l’actrice, elle releva entièrement sa robe, laissant son postérieur à la merci du policier puis elle répéta :— Oui ! Prends-moi comme ça. Par derrière c’est bon.
Il ne pouvait plus attendre, il baissa sa culotte jusqu’à ses chevilles, présenta son sexe entre ses deux lèvres, s’apercevant que la fente suintait :— Mais tu mouilles terriblement ma salope, tu voulais une bite. Dit-il en la pénétrant.
— Oh ! Oh ! Ouah ! C’est bon ! Oui plus fort. Gémissait-elle sans faire semblant.
Audrey sentait comme une brûlure lui monter dans le ventre, à chaque coup de reins du policier, c’était de plus en plus évident elle allait atteindre l’orgasme :— Encore ! Oui ! Je viens ! Oh ! Oui….
Pour la première fois de sa vie, elle connut la jouissance, c’était terriblement bon, tout son corps se tendit et un torrent de mouille coula inondant la verge de l’agent qui venait de sortir de sa chatte. Il enleva sa capote et envoya son sperme sur les fesses de la jeune femme qui se relevait. Elle se retourna et vint une nouvelle fois l’embrasser avant de lui demander :— Comment c’est ton petit nom. Moi c’est Audrey.
— Martial, pour te servir. Dis-moi on peut se revoir ?
Sans hésitation, Audrey dit : « oui », elle avait hâte de renouveler l’expérience avec lui. Il déchira la contravention et quitta la maison après lui avoir fait une dernière bise et échangé son numéro de portable. Malheureusement, confinement oblige, leur liaison secrète ne put se prolonger. Elle n’avait plus revu son partenaire d’un jour et après le confinement, elle avait avoué à son mari son adultère. Celui-ci se précipita pour acheter un uniforme et ils avaient fait l’amour ainsi reproduisant le même scénario. Une nouvelle fois, Audrey pris son pied, elle n’avait plus besoin Martial et tout le monde y trouva son compte.
Chères lectrices et chers lecteurs, n’hésitez pas à laisser votre commentaire. Je vous en remercie par avance, je compte sur vous.
Si comme Audrey et Bertrand, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Avant son mariage, Audrey était une belle et plantureuse femme. Mais aujourd’hui à 32 ans, son regard était vide, malgré ses beaux yeux bleus légèrement enfoncés, ses traits étaient fins, son visage rond, ses cheveux blonds étaient coiffés en arrière dégageant ses fines oreilles. Elle était assez grande avec ses 1,65 m mais avait quelques kilos en trop. Elle avait une poitrine généreuse légèrement tombante, due à sa forte corpulence et aux deux naissances successives.
Sans négliger son hygiène, elle ne taillait les poils de sa chatte, trop fournie que tous les mois, au grand désespoir de son mari. C’était une bonne ménagère qui aimait cuisiner, elle entretenait très bien sa maison et s’occupait très bien de ses enfants qu’elle chérissait. Elle était douce, calme et gentille. Cette maman idéale s’habillait le plus souvent avec des vêtements amples, sans forcément suivre la mode actuelle mais qui avait l’avantage de cacher ses petites rondeurs. Pourtant, même sans maquillage, elle plaisait aux nombreux hommes qui la regardait avec envie.
Comme cet agent de la police municipale qui devant l’école l’attendait afin de parler un peu avec elle mais celle-ci faisait toujours sa mijaurée en répondant uniquement à son « bonjour » et tournait les talons sans demander son reste. Il y avait également l’entraineur de son ainé qui lui faisait les yeux doux, comme précédemment, mis à part une conversation concernant les activités sportive de son fils, elle ne remarquait pas les avances que lui prodiguait cet éducateur. Le directeur de l’école était lui aussi très attiré par cette femme, étant divorcé il aurait bien aimé qu’elle le regarde autrement.
Par le passé, avant le mariage, Bertrand était parvenu avec grande insistance à se faire faire quelques fellations, elle avait même essayé d’avaler son sperme mais avait tout recraché avec dégout. À la même époque, il n’avait pu la sodomiser que deux fois lors de ses règles, là encore ce ne fut pas une réussite. Une fois mariés, impossible de recommencer, le mari se contentait de la prendre en levrette ou dans la position de la cuiller. Malheureusement, même ce temps-là était bel et bien révolu depuis la naissance du dernier. Le rapport sexuel n’était plus qu’une corvée pour elle qui n’y prenait aucun plaisir à le faire, n’ayant jamais connu la jouissance.
Ce fut la raison pour laquelle, Bertrand regardait régulièrement en cachette des films X après qu’Audrey se soit endormie et se masturbait devant l’écran. Il n’avait pas encore trompé son épouse, mais si l’occasion se présentait, il n’hésiterait pas à le faire. Ce qui arriva deux ans auparavant, ce jour-là sa belle-sœur dont le couple n’était pas aux plus beaux jours, lui montra quelques intérêts. En effet, son mari découchant une nouvelle fois, Sandrine se retrouvant seule à la maison avait une fuite d’eau sous l’évier.
Après avoir téléphoné à Audrey, celle-ci demanda à son mari d’aller la dépanner. En discutant avec lui, elle lui avoua qu’elle était en manque et qu’elle se posait des questions sur une possible séparation :— Tu sais Bertrand, Cédric n’est pas du tout l’homme que j’attendais, il me néglige et n’en fait qu’à sa tête et me trompe tous les jours avec sa collègue. Il ne rentre pas avant 22 heures.
— Ta sœur c’est tout le contraire si tu veux savoir. Depuis la venue de Gaétan, elle ne baise plus, elle n’aime pas ça.
— Je ne la croyais pas comme ça. Moi, j’adore, si tu veux ...
Sandrine installée à côté de son beau-frère en disant cela, frôlait de la main une de ses cuisses. C’en était trop pour lui qui avait compris ce que sa belle-sœur voulait. Ils s’embrassèrent fougueusement et firent l’amour comme cela ne leur était pas arrivé depuis bien longtemps. Depuis ce jour et pendant un an et demi, jusqu’à son divorce, Bertrand venait un soir sur deux contenter la sœur d’Audrey et partait tout heureux d’avoir éjaculé dans le vagin ou le rectum ou la bouche de la belle-sœur. Tous les deux, avaient trouvé le moyen de satisfaire leur besoin sexuel.
Seulement, Sandrine connu quelqu’un et depuis deux mois tout était à refaire. Bertrand reprenait ses masturbations nocturnes pour se vider les bourses. À la maison, Audrey avait forcément vu la différence, elle s’apercevait que depuis quelques semaines son mari était grognon et de plus en plus demandeur de sexe. Ces envies de faire l’amour lui reprenait et cela la perturbait. Lorsqu’elle lui en avait parlé, il lui avoua qu’il avait eu une maitresse et que si elle ne changeait pas son comportement, il ne se gênerait pas d’en trouver une nouvelle :— Tu m’as trompé ? Tu ne m’aimes plus ?
— Mais si je t’aime mais tu ne comprends pas, le problème, c’est toi…ma chérie.
Après une longue discussion, ils s’étaient dit tout ce qu’ils avaient sur le cœur sans jamais élever la voix, ils étaient restés calmes et posés. Cela ne leur était jamais arrivé, jusqu’à ce soir, ils n’avaient jamais abordé le sujet de la sexualité. Audrey se remit en question, elle pensait que ce qu’elle donnait à son mari un dimanche par mois était suffisant pour lui aussi. Mais lorsqu’elle apprit qu’il se branlait presque tous les soirs devant la télé, elle comprit qu’elle était fautive et avait promis de faire des efforts.
Toute la semaine suivante, dès qu’elle se retrouvait seule, pendant que Bertrand était à la télé, elle se mettait devant l’ordinateur et alla, elle aussi, regarder des films porno pour femme. Elle consultait aussi les forums pour savoir si certaines femmes étaient comme elle et ce qu’elles faisaient pour résoudre ce genre de problème. Elle s’était toutefois découverte un petit secret, elle était excitée lorsqu’elle voyait une femme en train de faire l’amour avec un homme en uniforme. La veille, en regardant une dernière vidéo, avec un gendarme, elle glissa sa main dans sa culotte et sentit qu’elle mouillait fortement.
Elle avait attendu que son homme monte au lit et vint se blottir sans qu’il lui demande, elle glissa sa main dans son slip et le caressa. Ils avaient fait l’amour en levrette, même si elle n’avait pas atteint l’orgasme, elle eut plaisir à le faire, rendant son mari fier de ce qu’il lui arrivait. Elle l’embrassa sur la bouche, se retourna en disant : « bonne nuit mon chéri », avant de s’endormir. Bertrand n’eut pas besoin de se relever cette nuit-là, il n’en revenait pas. Qu’avait fait sa femme pour lui demander de baiser. La petite conversation de l’autre soir portait ses fruits et il en était heureux.
Mais cela ne se reproduisit plus, la routine s’emparait de nouveau de ce couple au grand dam du mari qui cherchait désespérément une maitresse. Cela était très difficile pour lui, à son travail, il n’y avait que des hommes et lorsqu’il emmenait les enfants au sport, il n’avait pas l’occasion de faire de belles rencontres. Sandrine ne voulait plus coucher avec lui non plus, même si elle avait adoré les moments passés avec lui. Elle ne voulait pas retomber dans un adultère qui lui serait forcément néfaste un jour ou l’autre.
Ce ne fut pas le cas de sa femme, cette maman qui était à mille lieues de baiser avec quelqu’un d’autre que son mari. Et pourtant, il y avait de cela un mois, elle était très en retard pour emmener les enfants à l’école. En effet, elle s’était levée un peu plus tard que d’habitude et le dernier lui avait donné du fil à retorde. Mais enfin, elle avait attaché les deux enfants sur leur siège auto et s’était dirigée vers le centre, descendit les enfants et les fit traverser la rue avant de les conduire dans la cour juste à la sonnerie.
Elle remonta dans sa petite voiture dont elle avait besoin car habitant à l’extérieur, elle ne pouvait pas aller à pied faire ses courses, aller chez le coiffeur ou chez le médecin, ni même au super marché se trouvant à l’autre bout de la ville. Ce jour-là, elle avait rendez-vous chez le docteur à 10 heures et devait rentrer se préparer. Il était déjà 8h45 donc très en retard. Elle démarrait la voiture, lorsque la sonnerie de son portable se mit à retentir. Machinalement, elle décrocha, passa la seconde et pris à droite sans marquer véritablement le stop.
Malheureusement, un agent de ville se trouvant sur place, lui fit signe de s’arrêter, la fit garer sur un emplacement de stationnement et vint la contrôler. Elle connaissait cet agent de la police municipale, il essayait toujours de l’aborder depuis son arrivée dans ce village. Il s’approcha de la vitre et lui demanda ses papiers. Elle se tourna dans tous les sens, posa son portable dans le vide poche mais ne trouvant pas son sac à main, elle se rappelait qu’elle l’avait oublié sur la table de la cuisine.
— Je suis vraiment désolée Monsieur l’agent, mes papiers sont à la maison. Nous pouvons y aller et je vous montrerai mon permis.
— Savez-vous pour quelles raisons je vous ai arrêtée ?
— Non ! Un contrôle je suppose. Dit-elle en sachant très bien qu’elle avait le tel à la main. Mais l’avait-il vu se demanda-t-elle.
— Vous avez brulé un stop, vous n’avez pas votre ceinture et de surcroit, vous téléphoniez en conduisant. Allons voir vos papiers, je vous suis et n’essayez surtout pas de me semer, je vous connais.
C’était la catastrophe, elle reconnaissait tous les faits et se demandait ce qu’il lui était passé par la tête pour en être arrivé là. Il n’y avait qu’une seule solution, c’était d’être le plus agréable possible avec cet agent qui la connaissait depuis un moment. Elle l’invita donc à entrer et lui proposa un café. Il sortit son document, un stylo et les posa sur la table de la cuisine en vérifiant permis de conduire et carte verte de l’assurance :— Bon ! De ce côté-là, tout va bien, je ne vous verbalise pas pour non présentation de papiers.
— Merci Monsieur l’agent. Dit-elle en lui remplissant sa tasse.
— Ne me remerciez pas Madame X, pour le reste, vous savez que vous allez perdre de nombreux points.
— Non ! S’il vous plait ! J’en ai déjà perdu trois pour des excès de vitesses de mon mari. Vous avez bien vu qu’il n’y avait personne lorsque je suis passée au stop. Ne faites pas cela je vous en supplie. Implora-t-elle en faisant mine de pleurer, se prenant la tête à deux mains.
— Ceinture 3 points, téléphone 3 points et le stop 4 points. Si je compte bien, vous n’avez plus de permis Madame.
Il prit son stylo et commença à remplir la contravention. Cet homme semblait maniaque, il s’appliquait. Son bras gauche posé sur la table, sa main droite, écrivait en essayant de faire sa plus belle écriture. Audrey restée debout, imaginant le pire, ne savait plus quoi faire, l’agent n’avait pas l’air de se soucier de son problème.
Tout d’un coup, elle se remémora la fille qui s’était faite arrêter par le gendarme dans une vidéo X, celle-ci n’avait pas hésité de le séduire et de baiser avec lui afin qu’il la laisse repartir. Elle fixa le visage du policier municipal et s’aperçut qu’il avait quelques ressemblances avec l’acteur porno de ce film. Serait-elle dans l’obligation d’en arriver là ? En était-elle au moins capable ? Se demanda-t-elle. Puis en réfléchissant un peu plus, elle se dit : « Tu le fais bien avec ton mari, même si tu n’aimes pas »
Audrey se jeta à l’eau, elle ne pouvait pas imaginer une seule seconde de perdre son permis de conduire, elle en avait trop besoin. Elle se mit assise à côté de l’agent et le regarda écrire. Leurs regards se croisèrent et elle posa ses deux mains sur celle qui n’écrivait pas :— Dites-moi ! Que pourrais-je faire pour que vous fermiez les yeux. Lui demanda-t-elle en prenant son plus beau sourire.
— Et vous ? Qu’êtes-vous prête à faire pour que je déchire la contravention ?
L’agent posa son stylo sur la table, déboucla sa ceinture, enleva son bouton et descendit sa fermeture éclair :— Ça vous dit une petite fellation en gorge profonde ?
Audrey savait désormais ce que cela voulait dire, elle ne l’avait jamais fait à son mari et le sperme la dégoutait mais son permis était en jeu :— Vous me promettez que vous ne me verbaliserez pas ?
— Tout dépend de vous, une pipe et je supprime le téléphone et plus, je déchire tout, je vous le garantis.
Sans répondre, Audrey savait qu’elle devrait faire bien plus avec lui, il n’avait pas l’air à se faire manier à la baguette. Ce fut contrainte et pratiquement forcée, qu’elle s’agenouilla devant lui et sortit son sexe qui commençait à prendre forme. Heureusement pour elle, il n’était pas monté comme un éléphant, elle devrait parvenir en le rentrer entièrement dans sa bouche, pensait-elle. Elle commença à prendre son pénis dans la main et fit de longs mouvements coulissant le long de sa hampe afin qu’il obtienne un début d’érection. Puis elle avala son gland décalotté en aspirant et en tournant sa langue tout autour. L’agent municipal fermait les yeux en poussant de petits gémissements, il avait l’air d’apprécier.
Il lui tenait le derrière du crâne sans forcer, lui caressant plutôt sa chevelure. Au fur et à mesure qu’elle le branlait et qu’elle l’enfonçait un peu plus en bouche, sa verge se durcissait et lorsqu’elle l’avala entièrement avec un haut le cœur, elle sentit couler de sa chatte un peu de cyprine. Audrey était très excitée, ce qu’elle était en train de faire au policier semblait lui plaire.
Elle fut contrainte de ressortir sa queue, la branla et l’avala de nouveau tout en faisant des va et vient avec sa tête. Elle avait dans ses pensées les images de ce film et s’en inspirait. Le policier se retira, la regarda et déposa un baiser sur ses lèvres :— C’était bien ? Demanda-t-elle timidement.
— Tu es une belle cochonne ma petite. Maintenant tu es prête à quoi ? Tu ne vas pas me laisser dans cet état. Répondit-il en montrant son érection. Relève-toi et embrasse-moi.
Audrey ne faisait plus semblant, elle mouillait énormément et avait envie de baiser avec cet homme en uniforme. Elle se releva et vint se coller à lui, posa sa bouche sur la sienne, sa langue força le passage et tourna tout autour de la sienne, elle devenait chaude comme de la braise. Toutefois, elle ne savait pas s’il fallait qu’elle prenne les devants, elle attendait plutôt que son amant d’un jour lui indique la marche à suivre. D’autant plus que lorsqu’il lui donnait des ordres, elle appréciait énormément.
— Couche toi sur la table. Lui dit-il d’un ton sec.
Se rappelant des propos tenus par l’actrice, elle releva entièrement sa robe, laissant son postérieur à la merci du policier puis elle répéta :— Oui ! Prends-moi comme ça. Par derrière c’est bon.
Il ne pouvait plus attendre, il baissa sa culotte jusqu’à ses chevilles, présenta son sexe entre ses deux lèvres, s’apercevant que la fente suintait :— Mais tu mouilles terriblement ma salope, tu voulais une bite. Dit-il en la pénétrant.
— Oh ! Oh ! Ouah ! C’est bon ! Oui plus fort. Gémissait-elle sans faire semblant.
Audrey sentait comme une brûlure lui monter dans le ventre, à chaque coup de reins du policier, c’était de plus en plus évident elle allait atteindre l’orgasme :— Encore ! Oui ! Je viens ! Oh ! Oui….
Pour la première fois de sa vie, elle connut la jouissance, c’était terriblement bon, tout son corps se tendit et un torrent de mouille coula inondant la verge de l’agent qui venait de sortir de sa chatte. Il enleva sa capote et envoya son sperme sur les fesses de la jeune femme qui se relevait. Elle se retourna et vint une nouvelle fois l’embrasser avant de lui demander :— Comment c’est ton petit nom. Moi c’est Audrey.
— Martial, pour te servir. Dis-moi on peut se revoir ?
Sans hésitation, Audrey dit : « oui », elle avait hâte de renouveler l’expérience avec lui. Il déchira la contravention et quitta la maison après lui avoir fait une dernière bise et échangé son numéro de portable. Malheureusement, confinement oblige, leur liaison secrète ne put se prolonger. Elle n’avait plus revu son partenaire d’un jour et après le confinement, elle avait avoué à son mari son adultère. Celui-ci se précipita pour acheter un uniforme et ils avaient fait l’amour ainsi reproduisant le même scénario. Une nouvelle fois, Audrey pris son pied, elle n’avait plus besoin Martial et tout le monde y trouva son compte.
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