Série l’adultère « Élodie » (Partie 29) : Je suis bien une salope maintenant je le sais. Partie 2/3
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série l’adultère « Élodie » (Partie 29) : Je suis bien une salope maintenant je le sais. Partie 2/3
Je m’appelle Élodie D, cette histoire est la suite de l’épisode 7 dans Série « Les voisins » du même auteur où j’avais raconté ma prime jeunesse.
Suite à mon avortement, j’entrai en dépression, non seulement on m’obligea à ne pas garder mon enfant mais je venais de perdre mon grand amour de jeunesse. En maladie, j’avais beaucoup perdu de temps et fus dans l’obligation de redoubler. À partir de ce moment, mon comportement se modifia, je séchais les cours, je ne voulais plus rien faire à l’école. Désirant me faire remarquer et appréciant le regard des hommes sur moi, je me maquillais beaucoup plus pour me vieillir et je sortais en aguichant les nombreux garçons que je rencontrais. Il faut dire que physiquement tous les lycéens et les gars du village, couraient après moi mais pas que. Même si je ne couchais pas avec tous mes prétendants, j’avais une sérieuse réputation.
Mon père n’avait jamais accepté mon comportement, si sa petite Élodie était sa princesse depuis ma naissance, après cet épisode qui avait terni l’image de la famille et de son entreprise, il m’en voulait beaucoup, ne me cédait plus rien. Il ne comprenait pas que je veuille arrêter mes études. Il s’était alors beaucoup plus rapproché de ma sœur et de son mari. Malgré cela, ma mère Sylvie désirait m’aider, elle savait que sa fille se sentait mal et vivait des moments difficiles. Étant très estimée dans cette ville, elle m’avait trouvé un emploi d’apprentie au supermarché de notre commune. Si le travail me convenait, je sortais toujours autant les soirs et les week-end.
Si Mme G la femme du gérant ne m’appréciait pas beaucoup, j’avais vite compris que son mari n’avait d’yeux que pour moi. Pendant un an, il ne me quittait pas, hormis quelques tout petits attouchements discrets afin de m’aider soi-disant à monter ou à descendre d’un escabeau, il n’avait pas tenté de me faire des avances. Cependant, j’aimais sa présence ses regards en coins lorsqu’il matait mon décolleté ou sa ma robe dans l’escalier. Jusqu’au jour où je le mis dans une situation où il ne put faire autrement que d’accepter mes avances.
Nous étions dans la réserve, ayant un certain embonpoint, il me fit monter sur une caisse afin d’attraper un carton. Il me tenait par les hanches, j’avais les fesses sous son nez, le contact de ses mains fermes sur mon corps et la situation, m’excitèrent aussitôt. Je me laissai tomber, il me rattrapa et je me retrouvai dans ses bras, mon visage à quelques centimètres du sien :— Merci Mr G. Lui dis-je en lui déposant une bise sur ses lèvres.
Son réflexe fut de regarder tout autour de lui pour s’assurer que sa femme ou un des employés ne nous voient pas, il m’attrapa et m’embrassa. Nos langues tournoyèrent un moment puis il m’attira dans son bureau. Il tira les rideaux et ferma à clé avant de me reprendre dans ses bras. Je n’avais pas eu à faire une longue fellation, il bandait déjà bien fort. Je sortis un préservatif de ma poche et lui tendit puis je baissai ma culotte et je m’étais allongée à plat ventre sur le bureau en lui présentant mes fesses. Le pauvre cinquantenaire devait se demander ce qu’il lui arrivait, cela ne l’avait pas empêché de bien me baiser, j’avais joui en même temps qu’il remplissait sa capote. Depuis toutes les semaines, je lui faisais ce petit cadeau.
Ce qui me permit deux ans plus tard, à la fin de mon apprentissage, d’être très appréciée par le gérant, qui décida son épouse de m’embaucher en CDI. Au départ, tout en continuant à lui offrir ma bouche ou mon sexe, je mettais en rayon et étais employée à des diverses tâches. Afin d’amadouer sa femme, je n’hésitais pas à répéter à ma patronne tout ce que je voyais dans le magasin. Quelques mois plus tard, à la suite de l’absence d’une employée, après un essai fructueux je devins hôtesse de caisse. Depuis lors, nous avions été contraints de stopper notre relation sexuelle d’autant plus que Mme G avait trouvé une capote usagée dans les WC privés. Elle ne savait pas avec qui il l’avait utilisée mais elle le surveillait de près. Ce fut à ce poste en septembre 2005 que je fis la connaissance d’Anthony F.
Résidant dans la commune dans le grand lotissement sur le plateau, à la sortie de la ville, je n’avais jamais fait attention à ce beau garçon. Ce jour-là, lorsque je l’ai vu, mon cœur s’était mis à battre la chamaille et lorsqu’il me parla, je n’osais même pas lui répondre, j’avais littéralement craqué pour ce garçon qui me dit avant de partir : « Vous êtes très séduisante Mlle. Que faites-vous ce soir ? Ça vous dirait un petit cinéma ? » Je n’étais pourtant pas farouche mais je n’avais pu m’empêcher de répondre avec une voix chevrotante : « …Ouais ! À quelle heure ? » Une cliente impatience avait déposé ses courses, il me tendit un post-it ou figurait son N° de téléphone, en disant : Moi c’est Anthony, appelle-moi dès que tu es prête.
J’avais pensé à lui toute l’après-midi, je l’avais appelé à la pause et il accepta de venir me chercher à la fin de mon service. Il l’avait emmené dans son studio chez sa mère où nous avions mangé une pizza qu’il s’était faite livrer mais nous n’étions pas allés au cinéma. Nous nous étions retrouvés sur le canapé de son salon où tout en me déshabillant, il fit la découverte de mon corps. Avec ses mains douces et sa langue chaude, il me procura plusieurs orgasmes de suite, il était d’une tendresse que je n’avais pas encore connue. Avec lui tout était simple, contrairement aux autres types avec lesquels j’avais baisés, il ne me demanda pas de lui faire une fellation, il m’avait seulement prise en missionnaire mais c’était si bon que je jouis une autre fois, juste avant qu’il prenne plaisir à son tour. Nous avions fini la nuit dans sa chambre où nous avions refait l’amour passionnément.
Le temps passait très vite, nous aimions nous retrouver ensemble et notre relation devint sérieuse. Néanmoins Anthony étant encore à la FAC et n’ayant pas encore ses examens, il n’avait pas beaucoup d’argent. Sa mère divorcée vivant seule ne pouvait pas subvenir à toutes ses sorties. De plus, se donnant à fond dans ses études, nous ne nous voyions pas tous les jours, cela ne me plaisait pas beaucoup. Après un an, je le mis au pied du mur, même si je l’aimais, j’avais toujours ce besoin de sexe, ce n’était pas pour rien que certains disaient de moi que j’avais « le feu au cul ».
Anthony était lui aussi amoureux, il s’efforçait à céder à tous mes caprices, afin de me satisfaire sexuellement et en sorties en tout genre. Au niveau financier, il travaillait quelques heures par semaine comme barman à Nancy, cependant, ça le fatiguait et c’était au détriment de ses études. Ne me plaisant plus du tout chez mes parents, j’étais impatiente de vivre en couple avec lui. Cependant après deux ans, avec ses études et son petit job, nous ne faisions plus beaucoup l’amour. Je commençai à me lasser et tout en restant avec mon petit ami, je voyais un des garçons de la bande que je fréquentais par le passé, pendant qu’Anthony préparait ses examens.
Nicolas G me connaissait et savait ce que j’étais capable de faire en matière de sexe, avec lui c’était bestial, il me baisait comme un sauvage et cela me plaisait car je n’en avais plus l’habitude, je venais chez lui au moins deux fois par semaine, je ne l’aimais pas du tout mais j’en avais besoin. Ce qui ne m’empêchait pas d’être aimante avec mon Anthony lorsque nous nous retrouvions, il était si gentil avec moi que je regrettais de le tromper ainsi. À chaque fois, en sortant de chez mon amant, je me disais que c’était la dernière fois mais lorsque mes pulsions revenaient au galop, je filais le retrouver afin qu’il me prenne comme une salope que j’étais devenue.
Intelligent, autonome, et doté d’une bonne élocution, Anthony désireux de me faire plaisir car je le harcelais sans cesse afin que nous nous installions ensemble dans notre propre logement, ne trouvant pas d’emploi dans sa branche malgré tous ses diplômes, en août 2008 il avait accepté à contre cœur, un petit travail en attendant mieux. Je fus à l’origine de ce choix car avec deux salaires, même peu élevés, nous étions parvenus à louer un petit appartement dans le vieux village où nous vivions épanouis et heureux. Je ne le trompais plus, même si nous manquions d’argent, tout se passait bien entre nous. Cependant tout cela allait changer car en avril 2009, il trouva un travail à sa convenance dans sa branche, comme commercial où il était bien mieux rémunéré.
Le problème était qu’il avait un grand secteur à s’occuper et devait faire beaucoup de route pour démarcher les clients. En revanche, notre situation financière s’était tout de suite améliorée pour ma plus grande joie. Il n’en restait pas moins qu’étant dans l’obligation de prendre une chambre d’hôtel quelques jours par semaine, cela ne me plaisait pas, sans doute par cupidité je n’en fis pas la remarque à Anthony. Néanmoins, restée seule pendant plusieurs jours mes pulsions sexuelles refaisaient surface. Un matin à 10 heures, je m’apprêtais à partir en course avant d’aller au travail, j’étais dans ma cour lorsque j’aperçus David, mon beau-frère avec lequel j’avais perdu ma virginité :— Qu'est-ce que tu fais là David ? Lui demandais-je.
— J’aimerais que l’on parle. M’avait-t-il répondu d'un ton bizarre.
— C’est-à-dire que je suis assez pressée.
Je m’étais avancée, bien décidée à monter dans ma voiture, je n’avais pas beaucoup de temps je lui dis de revenir plus tard mais il m’avait plaquée contre ma portière : « Viens rentrons chez toi quelques instants. » J’avais 24 ans, j’étais heureuse et mesurais pas les conséquences, mais sachant que c’était le mari de Magali, je l’avais invité à boire un café sans arrière-pensée, c’était uniquement pour discuter. Une fois à la maison, il appuyait de tout son poids sur mon corps pour que je ne puisse plus bouger :— Ta sœur ne vaut rien au lit, je sais que t’as baisé avec Nico, tu ne vas pas t'en tirer comme ça, salope !
— Tu te prends pour qui ? Lâche-moi David ! je ne lui ai tailler qu’une petite pipe.
— Il m’a dit qu’il t’avait baisée comme une chienne.
— Ne fais pas le con, pense à Magali et à tes gosses.
Au lieu de répondre, il m’avait embrassée et j’avais répondu à son baiser brutal et bestial ce qui me rendit aussitôt brûlante, je commençais à mouiller, ma langue tournoyait autour de la sienne. Je sentais déjà sa queue en érection contre ma cuisse. Sans hésitation, il avait baissé mon collant et il avait fait glisser mon string le long de mes cuisses, je l’avais même aidé un peu, la situation m’excitait énormément, c’était presque un viol. Puis il baissa son pantalon et son slip, attrapa mes cuisses et me souleva avec force, pour me tenir, j’avais enroulé mes jambes autour de sa taille. Lorsqu’il avait enfoncé sa verge bien au fond de ma chatte, je ne pensais plus qu’à prendre du plaisir en me faisant baiser debout.
Il m’avait labourée comme une brute, il me remplissait le vagin complètement et me le dilatait un peu plus à chacun de ses coups de boutoir. J’avais l'impression de me faire baiser par un taureau en furie et j'adorais ça. Ses va et viens rapides, violents et profonds, son souffle dans mon cou, ses doigts s'enfonçant dans la peau de mes cuisses, me firent jouir :— Il te baise ainsi, ton Jules ? Me glissa-t-il dans mon oreille.
— Non ! Vas-y baise moi plus fort.
— T'aimes ça salope. Hein ! D’avoir ma queue dans la chatte ?
— Oui...encore
Soudain il m’avait reposée sur le sol et il m’avait retournée dos à lui en relevant ma jupe. Son gland gonflé et tout mouillé appuya contre mon anus.
— Je vais t’enculer, ta sœur ne veux pas le faire cette pute. Tu aimes ça toi, hein ?
— Oui !!! Sodomise-moi David.
Il m’avait perforé mon petit trou avec sa bite bien au fond de mes fesses sans préparation, ce fut un peu douloureux, cependant après quelques petits allers-retours, je m’y étais vite habituée car j’appréciait ça. C'était si intense et si puissant, que je jouis bien avant lui. Il accéléra, il me défonçait le derrière, il ne lui avait pas fallu longtemps avant qu’il n’éjacule. Il était sorti rapidement avait retiré sa capote et je sentis son sperme chaud couler entre ma raie. Il s’était empressé de se revêtir et sortit de la maison sans même me dire à plus tard. Je m’étais laissé aller au plaisir et le recevais certains matins quand mon homme n’était pas là.
Mon passé m’avait bien rattrapé, à tour de rôle, les deux ou trois jours où Anthony était en déplacement, Nicolas la nuit ou David le matin, venaient me baiser comme une chienne, j’étais dans l’incapacité de leur dire non. Tout ceci dura plusieurs mois, j’avais envie que cela s’arrête, j’avais des remords envers Anthony que j’aimais, cependant je ne parvenais pas à lui avouer ma faute. Pourtant dans la même semaine, je perdais mes deux amants. Un mercredi matin, mon mari était parti depuis deux jours, j’étais dans mon lit avec David, lorsque nous avions entendu tambouriner à la porte. Prise de panique croyant qu’Anthony revenait, j’enfilai un peignoir pour aller ouvrir et mon amant se rhabillait prévoyant une fuite par la fenêtre.
C’était Nicolas, je le fis entrer discrètement et rassurai David. Nous avons bu le café, Nico passait m’annoncer qu’il quittait la région et désirait me baiser une dernière fois. Il m’avait fait m’assoir sur ses genoux, il avait glissé une main sur ma poitrine, l’autre sur le haut de ma cuisse. Je pensais que David allait nous laisser mais celui-ci nous dit : « Allons-nous installer sur le lit, on y sera plus à l'aise. » J’étais en manque de sexe et cette idée d’être à trois me plut et m’excita encore plus. Je me levai tout de suite et les invita à me suivre.
Je n’avais jamais eu de relation avec deux hommes, très vite, nous nous étions retrouvés nus, je ne sais même plus sur qui se posaient mes mains, je ne savais même plus qui m'embrassait où me caressait. C'était très euphorisant d'être avec ces deux hommes. Nos bouches se mélangeaient tour à tour et la chaleur s'intensifiait de plus en plus. Mes mains caressaient un sexe, puis un autre, ils me pelotaient et me léchaient la fente dans une ambiance très bestiale. J’étais chaude, je mouillais, j’avais envie qu’ils me baisent, je commençais à prendre goulument leur queue dans ma bouche. Après plusieurs minutes, ma chatte était trempée et mon anus était dilaté par les doigts experts qui s’y enfonçaient.
Je sortis deux capotes et leur avait recouvert le sexe de latex, pressée de vivre une toute nouvelle expérience, j’en étais toute excitée. J’étais venue m'enfoncer doucement sur le sexe de Nicolas. Ses mains agrippaient mes hanches, il rythmait les mouvements pour me faire aller et venir sur sa belle queue. Je me cambrai car les mains de David empoignaient chacune de mes fesses en les écartant. Après avoir salivé de nouveau l’entrée de ma rondelle déjà bien humidifié, je sentis son gland pénétrer sans effort dans mon petit trou en exerçant de petits mouvements. Il s’était inséré avec douceur dans mon anus et me sodomisait en me limant le rectum : « Hum ! »
Quelle formidable sensation d’être empalée sur une queue, la chatte remplie pendant qu'une autre verge pilonne le cul. Je n’avais jamais connu cette expérience et ne la regrette pas. Je gémissais de plus en plus fort sous les effets de ces deux queues qui me baisaient par alternance les deux trous. Nicolas accéléra la cadence, sa queue entrait profondément dans mon vagin sous ses grands coups de boutoir. Le rythme rapide eut raison de lui, il ne put se retirer et jouit dans sa capote, son plaisir avait déclenché celui de David qui jouit à son tour avant que quelques secondes plus tard, j’étais secouée par un orgasme puissant.
Après cette fabuleuse expérience, j’avais perdu Nicolas, un amant formidable mais j’allais plus tard perdre le second. En effet, mon père ayant entendu des rumeurs, prit David à part, ne pouvant admettre que son gendre puisse tromper Magali, sa première fille chérie, le menaça. Ayant choisi de reprendre l’entreprise D, mon deuxième amant décida de ne plus venir me voir. J’étais quelque peu affectée par cette situation mais très soulagée, je pouvais enfin retrouver une vie normale et pendant six mois, mise à part les quelques branlettes que je faisais toujours à mon vieux patron, pendant mes pauses, quelques fois par mois, j’étais restée fidèle. Jusqu’au jour où… Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai mercredi dans un autre récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Élodie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Suite à mon avortement, j’entrai en dépression, non seulement on m’obligea à ne pas garder mon enfant mais je venais de perdre mon grand amour de jeunesse. En maladie, j’avais beaucoup perdu de temps et fus dans l’obligation de redoubler. À partir de ce moment, mon comportement se modifia, je séchais les cours, je ne voulais plus rien faire à l’école. Désirant me faire remarquer et appréciant le regard des hommes sur moi, je me maquillais beaucoup plus pour me vieillir et je sortais en aguichant les nombreux garçons que je rencontrais. Il faut dire que physiquement tous les lycéens et les gars du village, couraient après moi mais pas que. Même si je ne couchais pas avec tous mes prétendants, j’avais une sérieuse réputation.
Mon père n’avait jamais accepté mon comportement, si sa petite Élodie était sa princesse depuis ma naissance, après cet épisode qui avait terni l’image de la famille et de son entreprise, il m’en voulait beaucoup, ne me cédait plus rien. Il ne comprenait pas que je veuille arrêter mes études. Il s’était alors beaucoup plus rapproché de ma sœur et de son mari. Malgré cela, ma mère Sylvie désirait m’aider, elle savait que sa fille se sentait mal et vivait des moments difficiles. Étant très estimée dans cette ville, elle m’avait trouvé un emploi d’apprentie au supermarché de notre commune. Si le travail me convenait, je sortais toujours autant les soirs et les week-end.
Si Mme G la femme du gérant ne m’appréciait pas beaucoup, j’avais vite compris que son mari n’avait d’yeux que pour moi. Pendant un an, il ne me quittait pas, hormis quelques tout petits attouchements discrets afin de m’aider soi-disant à monter ou à descendre d’un escabeau, il n’avait pas tenté de me faire des avances. Cependant, j’aimais sa présence ses regards en coins lorsqu’il matait mon décolleté ou sa ma robe dans l’escalier. Jusqu’au jour où je le mis dans une situation où il ne put faire autrement que d’accepter mes avances.
Nous étions dans la réserve, ayant un certain embonpoint, il me fit monter sur une caisse afin d’attraper un carton. Il me tenait par les hanches, j’avais les fesses sous son nez, le contact de ses mains fermes sur mon corps et la situation, m’excitèrent aussitôt. Je me laissai tomber, il me rattrapa et je me retrouvai dans ses bras, mon visage à quelques centimètres du sien :— Merci Mr G. Lui dis-je en lui déposant une bise sur ses lèvres.
Son réflexe fut de regarder tout autour de lui pour s’assurer que sa femme ou un des employés ne nous voient pas, il m’attrapa et m’embrassa. Nos langues tournoyèrent un moment puis il m’attira dans son bureau. Il tira les rideaux et ferma à clé avant de me reprendre dans ses bras. Je n’avais pas eu à faire une longue fellation, il bandait déjà bien fort. Je sortis un préservatif de ma poche et lui tendit puis je baissai ma culotte et je m’étais allongée à plat ventre sur le bureau en lui présentant mes fesses. Le pauvre cinquantenaire devait se demander ce qu’il lui arrivait, cela ne l’avait pas empêché de bien me baiser, j’avais joui en même temps qu’il remplissait sa capote. Depuis toutes les semaines, je lui faisais ce petit cadeau.
Ce qui me permit deux ans plus tard, à la fin de mon apprentissage, d’être très appréciée par le gérant, qui décida son épouse de m’embaucher en CDI. Au départ, tout en continuant à lui offrir ma bouche ou mon sexe, je mettais en rayon et étais employée à des diverses tâches. Afin d’amadouer sa femme, je n’hésitais pas à répéter à ma patronne tout ce que je voyais dans le magasin. Quelques mois plus tard, à la suite de l’absence d’une employée, après un essai fructueux je devins hôtesse de caisse. Depuis lors, nous avions été contraints de stopper notre relation sexuelle d’autant plus que Mme G avait trouvé une capote usagée dans les WC privés. Elle ne savait pas avec qui il l’avait utilisée mais elle le surveillait de près. Ce fut à ce poste en septembre 2005 que je fis la connaissance d’Anthony F.
Résidant dans la commune dans le grand lotissement sur le plateau, à la sortie de la ville, je n’avais jamais fait attention à ce beau garçon. Ce jour-là, lorsque je l’ai vu, mon cœur s’était mis à battre la chamaille et lorsqu’il me parla, je n’osais même pas lui répondre, j’avais littéralement craqué pour ce garçon qui me dit avant de partir : « Vous êtes très séduisante Mlle. Que faites-vous ce soir ? Ça vous dirait un petit cinéma ? » Je n’étais pourtant pas farouche mais je n’avais pu m’empêcher de répondre avec une voix chevrotante : « …Ouais ! À quelle heure ? » Une cliente impatience avait déposé ses courses, il me tendit un post-it ou figurait son N° de téléphone, en disant : Moi c’est Anthony, appelle-moi dès que tu es prête.
J’avais pensé à lui toute l’après-midi, je l’avais appelé à la pause et il accepta de venir me chercher à la fin de mon service. Il l’avait emmené dans son studio chez sa mère où nous avions mangé une pizza qu’il s’était faite livrer mais nous n’étions pas allés au cinéma. Nous nous étions retrouvés sur le canapé de son salon où tout en me déshabillant, il fit la découverte de mon corps. Avec ses mains douces et sa langue chaude, il me procura plusieurs orgasmes de suite, il était d’une tendresse que je n’avais pas encore connue. Avec lui tout était simple, contrairement aux autres types avec lesquels j’avais baisés, il ne me demanda pas de lui faire une fellation, il m’avait seulement prise en missionnaire mais c’était si bon que je jouis une autre fois, juste avant qu’il prenne plaisir à son tour. Nous avions fini la nuit dans sa chambre où nous avions refait l’amour passionnément.
Le temps passait très vite, nous aimions nous retrouver ensemble et notre relation devint sérieuse. Néanmoins Anthony étant encore à la FAC et n’ayant pas encore ses examens, il n’avait pas beaucoup d’argent. Sa mère divorcée vivant seule ne pouvait pas subvenir à toutes ses sorties. De plus, se donnant à fond dans ses études, nous ne nous voyions pas tous les jours, cela ne me plaisait pas beaucoup. Après un an, je le mis au pied du mur, même si je l’aimais, j’avais toujours ce besoin de sexe, ce n’était pas pour rien que certains disaient de moi que j’avais « le feu au cul ».
Anthony était lui aussi amoureux, il s’efforçait à céder à tous mes caprices, afin de me satisfaire sexuellement et en sorties en tout genre. Au niveau financier, il travaillait quelques heures par semaine comme barman à Nancy, cependant, ça le fatiguait et c’était au détriment de ses études. Ne me plaisant plus du tout chez mes parents, j’étais impatiente de vivre en couple avec lui. Cependant après deux ans, avec ses études et son petit job, nous ne faisions plus beaucoup l’amour. Je commençai à me lasser et tout en restant avec mon petit ami, je voyais un des garçons de la bande que je fréquentais par le passé, pendant qu’Anthony préparait ses examens.
Nicolas G me connaissait et savait ce que j’étais capable de faire en matière de sexe, avec lui c’était bestial, il me baisait comme un sauvage et cela me plaisait car je n’en avais plus l’habitude, je venais chez lui au moins deux fois par semaine, je ne l’aimais pas du tout mais j’en avais besoin. Ce qui ne m’empêchait pas d’être aimante avec mon Anthony lorsque nous nous retrouvions, il était si gentil avec moi que je regrettais de le tromper ainsi. À chaque fois, en sortant de chez mon amant, je me disais que c’était la dernière fois mais lorsque mes pulsions revenaient au galop, je filais le retrouver afin qu’il me prenne comme une salope que j’étais devenue.
Intelligent, autonome, et doté d’une bonne élocution, Anthony désireux de me faire plaisir car je le harcelais sans cesse afin que nous nous installions ensemble dans notre propre logement, ne trouvant pas d’emploi dans sa branche malgré tous ses diplômes, en août 2008 il avait accepté à contre cœur, un petit travail en attendant mieux. Je fus à l’origine de ce choix car avec deux salaires, même peu élevés, nous étions parvenus à louer un petit appartement dans le vieux village où nous vivions épanouis et heureux. Je ne le trompais plus, même si nous manquions d’argent, tout se passait bien entre nous. Cependant tout cela allait changer car en avril 2009, il trouva un travail à sa convenance dans sa branche, comme commercial où il était bien mieux rémunéré.
Le problème était qu’il avait un grand secteur à s’occuper et devait faire beaucoup de route pour démarcher les clients. En revanche, notre situation financière s’était tout de suite améliorée pour ma plus grande joie. Il n’en restait pas moins qu’étant dans l’obligation de prendre une chambre d’hôtel quelques jours par semaine, cela ne me plaisait pas, sans doute par cupidité je n’en fis pas la remarque à Anthony. Néanmoins, restée seule pendant plusieurs jours mes pulsions sexuelles refaisaient surface. Un matin à 10 heures, je m’apprêtais à partir en course avant d’aller au travail, j’étais dans ma cour lorsque j’aperçus David, mon beau-frère avec lequel j’avais perdu ma virginité :— Qu'est-ce que tu fais là David ? Lui demandais-je.
— J’aimerais que l’on parle. M’avait-t-il répondu d'un ton bizarre.
— C’est-à-dire que je suis assez pressée.
Je m’étais avancée, bien décidée à monter dans ma voiture, je n’avais pas beaucoup de temps je lui dis de revenir plus tard mais il m’avait plaquée contre ma portière : « Viens rentrons chez toi quelques instants. » J’avais 24 ans, j’étais heureuse et mesurais pas les conséquences, mais sachant que c’était le mari de Magali, je l’avais invité à boire un café sans arrière-pensée, c’était uniquement pour discuter. Une fois à la maison, il appuyait de tout son poids sur mon corps pour que je ne puisse plus bouger :— Ta sœur ne vaut rien au lit, je sais que t’as baisé avec Nico, tu ne vas pas t'en tirer comme ça, salope !
— Tu te prends pour qui ? Lâche-moi David ! je ne lui ai tailler qu’une petite pipe.
— Il m’a dit qu’il t’avait baisée comme une chienne.
— Ne fais pas le con, pense à Magali et à tes gosses.
Au lieu de répondre, il m’avait embrassée et j’avais répondu à son baiser brutal et bestial ce qui me rendit aussitôt brûlante, je commençais à mouiller, ma langue tournoyait autour de la sienne. Je sentais déjà sa queue en érection contre ma cuisse. Sans hésitation, il avait baissé mon collant et il avait fait glisser mon string le long de mes cuisses, je l’avais même aidé un peu, la situation m’excitait énormément, c’était presque un viol. Puis il baissa son pantalon et son slip, attrapa mes cuisses et me souleva avec force, pour me tenir, j’avais enroulé mes jambes autour de sa taille. Lorsqu’il avait enfoncé sa verge bien au fond de ma chatte, je ne pensais plus qu’à prendre du plaisir en me faisant baiser debout.
Il m’avait labourée comme une brute, il me remplissait le vagin complètement et me le dilatait un peu plus à chacun de ses coups de boutoir. J’avais l'impression de me faire baiser par un taureau en furie et j'adorais ça. Ses va et viens rapides, violents et profonds, son souffle dans mon cou, ses doigts s'enfonçant dans la peau de mes cuisses, me firent jouir :— Il te baise ainsi, ton Jules ? Me glissa-t-il dans mon oreille.
— Non ! Vas-y baise moi plus fort.
— T'aimes ça salope. Hein ! D’avoir ma queue dans la chatte ?
— Oui...encore
Soudain il m’avait reposée sur le sol et il m’avait retournée dos à lui en relevant ma jupe. Son gland gonflé et tout mouillé appuya contre mon anus.
— Je vais t’enculer, ta sœur ne veux pas le faire cette pute. Tu aimes ça toi, hein ?
— Oui !!! Sodomise-moi David.
Il m’avait perforé mon petit trou avec sa bite bien au fond de mes fesses sans préparation, ce fut un peu douloureux, cependant après quelques petits allers-retours, je m’y étais vite habituée car j’appréciait ça. C'était si intense et si puissant, que je jouis bien avant lui. Il accéléra, il me défonçait le derrière, il ne lui avait pas fallu longtemps avant qu’il n’éjacule. Il était sorti rapidement avait retiré sa capote et je sentis son sperme chaud couler entre ma raie. Il s’était empressé de se revêtir et sortit de la maison sans même me dire à plus tard. Je m’étais laissé aller au plaisir et le recevais certains matins quand mon homme n’était pas là.
Mon passé m’avait bien rattrapé, à tour de rôle, les deux ou trois jours où Anthony était en déplacement, Nicolas la nuit ou David le matin, venaient me baiser comme une chienne, j’étais dans l’incapacité de leur dire non. Tout ceci dura plusieurs mois, j’avais envie que cela s’arrête, j’avais des remords envers Anthony que j’aimais, cependant je ne parvenais pas à lui avouer ma faute. Pourtant dans la même semaine, je perdais mes deux amants. Un mercredi matin, mon mari était parti depuis deux jours, j’étais dans mon lit avec David, lorsque nous avions entendu tambouriner à la porte. Prise de panique croyant qu’Anthony revenait, j’enfilai un peignoir pour aller ouvrir et mon amant se rhabillait prévoyant une fuite par la fenêtre.
C’était Nicolas, je le fis entrer discrètement et rassurai David. Nous avons bu le café, Nico passait m’annoncer qu’il quittait la région et désirait me baiser une dernière fois. Il m’avait fait m’assoir sur ses genoux, il avait glissé une main sur ma poitrine, l’autre sur le haut de ma cuisse. Je pensais que David allait nous laisser mais celui-ci nous dit : « Allons-nous installer sur le lit, on y sera plus à l'aise. » J’étais en manque de sexe et cette idée d’être à trois me plut et m’excita encore plus. Je me levai tout de suite et les invita à me suivre.
Je n’avais jamais eu de relation avec deux hommes, très vite, nous nous étions retrouvés nus, je ne sais même plus sur qui se posaient mes mains, je ne savais même plus qui m'embrassait où me caressait. C'était très euphorisant d'être avec ces deux hommes. Nos bouches se mélangeaient tour à tour et la chaleur s'intensifiait de plus en plus. Mes mains caressaient un sexe, puis un autre, ils me pelotaient et me léchaient la fente dans une ambiance très bestiale. J’étais chaude, je mouillais, j’avais envie qu’ils me baisent, je commençais à prendre goulument leur queue dans ma bouche. Après plusieurs minutes, ma chatte était trempée et mon anus était dilaté par les doigts experts qui s’y enfonçaient.
Je sortis deux capotes et leur avait recouvert le sexe de latex, pressée de vivre une toute nouvelle expérience, j’en étais toute excitée. J’étais venue m'enfoncer doucement sur le sexe de Nicolas. Ses mains agrippaient mes hanches, il rythmait les mouvements pour me faire aller et venir sur sa belle queue. Je me cambrai car les mains de David empoignaient chacune de mes fesses en les écartant. Après avoir salivé de nouveau l’entrée de ma rondelle déjà bien humidifié, je sentis son gland pénétrer sans effort dans mon petit trou en exerçant de petits mouvements. Il s’était inséré avec douceur dans mon anus et me sodomisait en me limant le rectum : « Hum ! »
Quelle formidable sensation d’être empalée sur une queue, la chatte remplie pendant qu'une autre verge pilonne le cul. Je n’avais jamais connu cette expérience et ne la regrette pas. Je gémissais de plus en plus fort sous les effets de ces deux queues qui me baisaient par alternance les deux trous. Nicolas accéléra la cadence, sa queue entrait profondément dans mon vagin sous ses grands coups de boutoir. Le rythme rapide eut raison de lui, il ne put se retirer et jouit dans sa capote, son plaisir avait déclenché celui de David qui jouit à son tour avant que quelques secondes plus tard, j’étais secouée par un orgasme puissant.
Après cette fabuleuse expérience, j’avais perdu Nicolas, un amant formidable mais j’allais plus tard perdre le second. En effet, mon père ayant entendu des rumeurs, prit David à part, ne pouvant admettre que son gendre puisse tromper Magali, sa première fille chérie, le menaça. Ayant choisi de reprendre l’entreprise D, mon deuxième amant décida de ne plus venir me voir. J’étais quelque peu affectée par cette situation mais très soulagée, je pouvais enfin retrouver une vie normale et pendant six mois, mise à part les quelques branlettes que je faisais toujours à mon vieux patron, pendant mes pauses, quelques fois par mois, j’étais restée fidèle. Jusqu’au jour où… Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai mercredi dans un autre récit.
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