Série « Les voisins » Épisode 7 : Élodie est une salope mais ne le sais pas encore.
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série « Les voisins » Épisode 7 : Élodie est une salope mais ne le sais pas encore.
Mercredi 24 mars 10 heures
Je m’appelle Élodie D, j’habitais depuis toujours dans une petite bourgade de 6500 habitants, se situant à une quinzaine de kilomètres, au nord de la préfecture de département, sur les bords d’une grande rivière. Mes parents possédant une petite entreprise dans le bâtiment qui nous faisait vivre confortablement, ne faisaient pas parties des notables de cette ville, néanmoins ils étaient respectés et appréciés par les habitants et commerçants de la commune. Je suis venue au monde en 1985 après ma sœur Magali de trois ans mon ainée.
Dans cette petite ville dortoir calme et paisible, trois garçons du même âge, nés en 1981, se connaissant depuis l’école maternelle, étaient devenus inséparables. Ils résidaient dans le même quartier que nous, en bas du village, David T, Guillaume M et Nicolas G avaient fait les quatre cent coups ensemble, ils étaient allés en primaire puis au collège, avant d’aller au lycée et prendre des voix différentes. Cela ne les avait nullement empêchés de poursuivre leur amitié. Dès leur adolescents, leur petite bande s’agrandit avec l’arrivée de Jérôme B et des trois voisines et néanmoins amies, nées en 1982 : ma sœur Magali, Sabrina et Audrey.
Depuis ma plus tendre enfance, j’avais toujours aimé mon voisin Guillaume M puis à mon adolescence, j’en étais follement amoureuse, mais c’était le petit copain de sa sœur. Malheureusement pour moi, celui-ci ne me regardait pas comme la jeune fille que j’étais devenue mais me considérait toujours et encore comme une enfant. En 2001, alors que je venais de fêter mes seize ans, j’étais jalouse de Magali qui m’empêchait de faire partie de la bande à Guillaume. Bien entendu, à cet âge, je ne restais pas inactive, j’avais de nombreux petits copains avec lesquels je flirtais aisément mais ce qui m’importait était de coucher avec un garçon et celui que j’avais choisi pour perdre ma virginité était mon voisin chéri.
Désirant me rapprocher de lui, je devais utiliser un autre moyen. À cette époque, je les voyais tous les jours et le seul garçon de leur clan qui me regardait comme une jolie jeune fille était David T. En effet, depuis qu’il avait rompu avec sa copine, je n’avais aucun doute, il avait des vues sur moi. Comme il était beau garçon, je n’avais plus qu’à me laisser séduire, ainsi je ferais partie de leur bande et je pourrais enfin me montrer comme une femme auprès de mon amoureux. À chaque occasion, je riais avec lui, je lui souriais, je l’aguichais en lui donnant l’espoir que j’étais prête à sortir avec lui.
Le lundi matin nous prenions tous le train afin de nous rendre au lycée, j’avais décidé d’agir. C’était, très courant les matins et les soirs de voir les jeunes flirter sur les banquettes de la Micheline. Je m’étais précitée afin de me mettre assise à côté de lui : « Je peux m’assoir ici David ? » Avec un grand sourire, il me regarda et tapa de sa main sur le coussin voisin en disant : « Je t’attendais. » Il m’avait déjà vu flirter dans le train avec l’un ou l’autre des garçons de mon âge, il se disait de moi dans la commune que je n’étais pas farouche. David avec ses quatre ans de plus était sûr de lui, je l’avais laissé passer son bras autour de mes épaules, je n’avais pas hésité un instant à lui tendre mes lèvres pour qu’il m’embrasse et me pelote pendant la vingtaine de minutes de trajet.
Désirant aller beaucoup plus loin, David ne pensait pas que j’étais encore vierge, d’ailleurs tous les membres de la bande le croyaient aussi. Il m’avait invitée à la fête qu’il organisait au bord de la rivière avec tous ses copains et copines, pour son vingtième anniversaire. Ce jour-là, je n’avais pas l’intention de perdre mon pucelage que je réservais à mon Guillaume. Néanmoins pour ne pas décevoir mon nouveau copain qui me permettait d’incorporer leur bande, lors d’une balade au bord de l’eau, nous nous étions allongés sur une plage à l’abri des regards et je m’étais laissée peloter et doigter en prenant du plaisir.
Après avoir joui, j’avais bien l’intention de rendre la pareille à mon nouvel amant en lui faisant une magnifique fellation (d’après ses dires). Il avait éjaculé sur mon cou et ma poitrine. Un peu plus tard, il bandait encore sous mon petit massage lorsque j’aperçus au loin ma sœur. Je me retournai contre lui et avais son pénis entre mes cuisses pour le plus grand bonheur de David qui fut à deux doigt de me pénétrer. Malheureusement, Magali ne me voyant pas revenir, était intervenue à temps nous empêchant de passer à l’acte. (Enfin c’était ce qu’ils croyaient tous les deux.)
J’étais enfin parvenue à mes fins, je faisais dorénavant partie du cercle d’amis et mes parents me laissaient sortir, sous la surveillance de sa grande sœur Magali. En effet, des quatre filles, j’étais la seule qui n’hésitait pas à se faire bronzer seins nus, lorsque nous nous retrouvions au bord de l’eau. Forcément avec ma jolie poitrine et mes belles jambes, je montrais à mes copains et surtout à Guillaume que je n’étais plus une enfant. David était tombé sous mon charme, il avait eu le coup de foudre, après qu’il me fasse jouir avec ses doigts et sa langue, je lui offrais ma bouche, je le faisais éjaculer en le branlant entre mes seins ou entre mes cuisses sans qu’il ait l’occasion de pénétrer ma petite chatte, à son grand regret.
J’avais eu de la suite dans les idées, cependant à force de jouer avec le feu, je m’étais fait surprendre et il fallait s’y attendre. David à 20 ans n’avait qu’une idée en tête, celle de me posséder. Ce fut au bal du 14 juillet que je m’étais rendu compte que je n’étais plus vierge, mon hymen, je l’avais sans doute perdu lors de mes nombreuses masturbations lorsque j’utilisais le manche arrondi de ma brosse à cheveux car ce soir-là, David qui campait avec ses potes au bord de l’eau, m’avait attirée dans sa tante. Je pensais une nouvelle fois y échapper, mais après l’avoir sucé, je lui offrais ma poitrine mais il m’écarta les cuisses avec force et détermination et me baisa sans que je puisse crier car ma sœur était à côté et mon père ne voulait pas que je vienne ici avec eux la nuit.
Quand je ressentis sa queue bien dure, me remplir la chatte trempée de ma jouissance précédente, je n’avais ressenti que du bonheur. J’avais joui aussitôt et après ses longs va et viens dans mon ventre, mon désir refaisait surface, je pris un autre orgasme lorsqu’il se retira pour envoyer ses longs jets de sperme sur mon pubis. Il m’avait ramenée chez moi et lorsque nous nous embrassions en nous caressant, notre excitation était belle et bien revenu au galop. Nous nous avions une nouvelle fois fait l’amour dans sa voiture avant que je me mette au lit.
Notre relation n’avait pas duré longtemps, trois jours plus tard, je n’étais pas parvenue à convaincre mes parents de rester avec ma sœur qui ne fit rien afin de m’empêcher de partir en vacances avec eux. Cependant, je ne l’avais pas regretté, j’avais rencontré là-bas un groupe de jeune de vingt-deux ans avec qui j’ai pris beaucoup de plaisir. Quand j’étais revenue, après le 15 août. Étant toujours amoureuse de Guillaume, je voulais le prendre à ma sœur, David fut très déçu lorsque j’avais rompu. À cette époque, Jérôme B vivait une véritable histoire d’amour avec Audrey L, pendant que Nicolas G et Sabrina L ne se quittait plus, tandis que Guillaume M et Magali D se fréquentaient sans vraiment s’aimer.
Ce samedi 18 août 2001, ce que j’attendais avec impatience arriva cet après-midi-là. David faisait la tête et n’était pas venu, ma grande sœur était à sa leçon de conduite, pendant que les deux couples d’amoureux, étaient partis main dans la main, faire une petite balade le long de la rivière. J’étais sur ma serviette seins nus avec mon petit bas échancré. Guillaume en short et torse nu, se retrouvant seul, me demanda s’il pouvait s’installer à mes côtés. Je voyais qu’il admirait mes formes avec envie. J’en profitai pour engager la conversation : — Tu sais Guillaume, je n’ai jamais osé te le dire mais tu me plais beaucoup. Je suis amoureuse de toi.
— Toi, tu as bien changé, tu es canon maintenant. Je peux te toucher ? Me répondit-il et sans attendre la réponse, il posa sa main sur mon sein et le malaxa.
— Fais ce que tu veux, je ne suis plus une pucelle. Lui dis-je pour me vanter.
Je m’étais retournée et je vins m’allongeai sur lui, nous nous étions embrassés un long moment. Ainsi sur lui, je ressentais sur mon pubis qu’il bandait déjà et sa verge ne me semblait pas petite, ma sœur ne devait pas s’ennuyer « la salope » pensais-je. Immédiatement après, j’avais pris les devants, je n’avais pas attendu qu’il me fasse un cunnilingus, je lui retirai son short laissant apparaitre cette belle queue épaisse et bien raide puis l’avalai comme une vraie gourmande. Je ne pouvais pas lui offrir ma virginité, mais je décidai de lui offrir ma première éjaculation buccale.
Après ma savante fellation, lorsqu’il voulut ressortir son engin, je l’avais agrippé par les fesses afin qu’il éjacule dans ma bouche. J’avais tout avalé et j’avoue que cela m’avait bien plus :— T’es une sacrée salope en fait ! C’est la première fois qu’une gonzesse qui me fait ça. Me dit-il tout étonné.
— Alors tu as aimé ! C’est vrai ? Lui répondis-je toute heureuse de lui avoir fait plaisir.
— Ouais ! Magali n’aime pas faire des pipes, elle me fait mal avec ses dents et les autres ne veulent pas qu’une seule goutte de sperme vienne dans leur bouche.
Afin de reprendre le dessus et montrer sa domination, il me mit une claque ses les fesses et me demanda de me mettre à quatre pattes. À genoux derrière moi, une main sur ma poitrine, il mit sa tête entre mes cuisses et commença à me lécher et sucer le minou, sa langue était épaisse et longue, je mouillais fortement, plus il jouait avec mon clitoris et mon téton, plus je devenais folle, je sentais mon désir venir. Très vite j’atteins un orgasme incroyable, ça coulait de partout. Là encore il n’avait jamais vu une fille jouir de la sorte, son majeur toujours planté dans ma vulve, en faisant des aller retours à toute vitesse, il me regardait me trémousser, ma jouissance sortait de mon vagin par grand jets :— Putain ! T’es incroyable ! Tu n’es vraiment pas comme ta sœur.
— C’est la première fois que je mouille autant, c’est grâce à toi.
En prenant un peu de mouille sur ses doigts et passant le bout d’un de ceux-ci sur ma rondelle étoilée : — Par là aussi, tu l’as déjà fait ? Me demanda-t-il, en enfonçant une phalange dans mon anus. Je n’avais pas pensé, que cela en arriverait là, je n’avais pas très envie d’essayer mais je voulais le conquérir et si je devais en passer par là, je lui donnerais ce privilège :— Non ! Mais je veux bien t’offrir le droit d’être le premier.
— Quelle salope tu fais ! Tu me fais bander regarde ma bite elle est déjà au garde à vous.
Cette après-midi-là, je fus sauvée par le gong, ne désirant pas trop s’afficher avec moi devant ses amis, lorsque nous les avons vu arrivés au loin revenir de balade (Enfin c’était ce qu’ils disaient), nous nous sommes sagement remis à lire pour Guillaume et à bronzer pour moi. Cependant, ce ne fut que partie remise, le soir même il m’avait demandé de venir dans sa chambre cette nuit à partir de 23 heures. Son petit appartement, était au rez-de-chaussée, à l’arrière de la maison de sa mère. La fenêtre de ma chambre donnait sur la petite cour séparant les deux habitations, je n’avais jute qu’à passer par là pour ne pas me faire voir par mes parents.
J’avais appréhendé toute la soirée, j’avais déjà lu un article sur la sodomie et j’avais compris l’importance de la préparation. Après le diner, j’étais passé à la salle de bain et avec le jet puissant de la pomme de douche, je m’étais nettoyée au mieux le rectum. Seule dans ma chambre, je fis le nécessaire pour me dilater au mieux l’anus, heureusement j’avais pris dans le tiroir du chevet de ma mère le lubrifiant qu’elle utilisait. Lorsque j’étais arrivé chez lui, Guillaume m’attendait, j’étais qu’en chemise de nuit. Il me prit dans ses bras et sans m’embrasser, il caressa ma poitrine avant de m’attirer dans sa chambre, il n’avait jamais sodomisé une fille et avait hâte de connaitre cette fierté pour un garçon. Rien que d’y penser, il bandait déjà comme un taureau.
Il me retira ma chemise de nuit et ma petite culotte et plongea sa tête entre mes jambes, de mon clito à ma rondelle. Il aspirait délicieusement mon bouton d’amour, suçait ma fente humide, jouait avec la peau tendre de mon anus qu’il força avec sa langue bien raide et pénétra légèrement le conduit. Il me fit mettre à genoux, fesses offertes, m’écarta les cuisses, me lécha encore une fois la rondelle, avant de m’enduire de lubrifiant, ses doigts assouplirent le conduit, le liquide aida la pénétration de deux doigts, mon anus était bien dilaté, je mouillais comme une folle rien qu’à l’idée de m’offrir ainsi à lui.
J’avais accepté qu’il ne mette pas de capote, je désirais vraiment, ne rien lui refuser. Lorsque qu’il posa son gland lubrifié sur ma rondelle, avant de l’enfoncer, il vérifia si j’avais bien l’intention qu’il continue. Me voyant écarter mes fesses de mes deux mains, il poussa sa verge à l’intérieur, son gland n’était pas encore entré entièrement, je ressentais de la douleur, je serrais les dents ne voulant pas lui montrer que j’avais mal. Heureusement, il y était allé doucement par étapes, il entra son gland puis la hampe épaisse, il me sodomisait.
Lorsque j’avais senti son bas ventre contre mes fesses et ses couilles cogner sur mes cuisses, la douleur s’était déjà atténuée, je sentais en moi son chibre qui me ramonait, il m’enculait comme il me disait. C’était pour moi un peu salissant mais très excitant, d’avoir sa bite au fond de mes entrailles. Je n’avais plus du tout mal, cependant je n'éprouvais pas non plus de jouissance comme lorsqu’un sexe me remplissait le vagin. C’était une étrange sensation qui me faisait mouiller, c’était sans doute la situation qui m’excitait beaucoup. Guillaume, certainement très excité également, ne tarda pas, après quelques va et vient, il éjacula puissamment. Je sentis ces jets à l’intérieur de mon rectum, les secousses de son bassin et la vibration de son sexe ancré dans mon cul, faillirent me faire jouir.
Enfin il pensa à moi, s’apercevant que je n’avais pas encore joui, toujours profondément fiché dans mon ventre, il me caressa la vulve puis introduit ses doigts dans ma chatte. Je l’avais sentis venir de très loin cet orgasme, je me cambrai en bandant tous mes muscles et lâcha prise. « Oh oui ! Vas-y, reste en moi ». Ma jouissance fut intense, par jets puissants, je n’en finissais pas de me tordre de spasmes pendant que Guillaume avait repris ses vas et vient avec sa queue et ses doigts. J’avais trempé son lit, il se retira, je m’étais relevée ruisselante, ma jouissance et son sperme coulait le long de mes cuisses. Je désirais à présent qu’il me prenne la chatte :— Quelle salope tu es toi ! Je dois rejoindre ta sœur, tu ne vas pas me vider les couilles.
— Je t’aime Guillaume, reste avec moi.
— Je plains ton futur mari, c’est un cocu assuré. Allez barre-toi, je dois me sauver.
J’étais partie de chez lui en pleurant et j’avais continué une bonne partie de la nuit. Pourtant, tellement amoureuse de lui, cela ne m’empêchait pas de venir dans sa chambre à chaque fois qu’il me le demandait. Je lui servais de vide couilles et j’en étais presque contente, je pensais que cela voulait dire qu’il tenait à moi. J’étais prête à tout pour lui faire plaisir, je fus même assez conne pour le laisser me baiser sans préservatif. Un soir j’étais venue le retrouver chez lui et je fus très surprise de voir qu’il avait invité ses trois potes. Il m’avait forcé à le sucer devant les autres et lorsque j’avais tout avalé, il leur dit : « Alors suis-je un menteur ? Cette salope va vous pomper maintenant. Vas-y Élodie montre leur tes talents. »
Non seulement, je les avais sucés à fond tous les trois, mais après que Guillaume m’ait sodomisée sous leurs yeux, ils m’avaient tous baisée tour à tour. Après quelques mois début 2002, alors que je n’avais pas encore dix-sept ans, j’étais tombée enceinte. Je voulais absolument garder mon enfant afin de pouvoir me marier à Guillaume. Néanmoins ce n’était pas son avis, ni celui de ses parents, ni celui des miens. Je fus contrainte d’avorter et de rompre avec mon voisin qui me quitta sur le champ.
Je continuerai Samedi à vous raconter la suite dans un prochain récit dans la série l’adultère du même auteur.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Élodie, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Je m’appelle Élodie D, j’habitais depuis toujours dans une petite bourgade de 6500 habitants, se situant à une quinzaine de kilomètres, au nord de la préfecture de département, sur les bords d’une grande rivière. Mes parents possédant une petite entreprise dans le bâtiment qui nous faisait vivre confortablement, ne faisaient pas parties des notables de cette ville, néanmoins ils étaient respectés et appréciés par les habitants et commerçants de la commune. Je suis venue au monde en 1985 après ma sœur Magali de trois ans mon ainée.
Dans cette petite ville dortoir calme et paisible, trois garçons du même âge, nés en 1981, se connaissant depuis l’école maternelle, étaient devenus inséparables. Ils résidaient dans le même quartier que nous, en bas du village, David T, Guillaume M et Nicolas G avaient fait les quatre cent coups ensemble, ils étaient allés en primaire puis au collège, avant d’aller au lycée et prendre des voix différentes. Cela ne les avait nullement empêchés de poursuivre leur amitié. Dès leur adolescents, leur petite bande s’agrandit avec l’arrivée de Jérôme B et des trois voisines et néanmoins amies, nées en 1982 : ma sœur Magali, Sabrina et Audrey.
Depuis ma plus tendre enfance, j’avais toujours aimé mon voisin Guillaume M puis à mon adolescence, j’en étais follement amoureuse, mais c’était le petit copain de sa sœur. Malheureusement pour moi, celui-ci ne me regardait pas comme la jeune fille que j’étais devenue mais me considérait toujours et encore comme une enfant. En 2001, alors que je venais de fêter mes seize ans, j’étais jalouse de Magali qui m’empêchait de faire partie de la bande à Guillaume. Bien entendu, à cet âge, je ne restais pas inactive, j’avais de nombreux petits copains avec lesquels je flirtais aisément mais ce qui m’importait était de coucher avec un garçon et celui que j’avais choisi pour perdre ma virginité était mon voisin chéri.
Désirant me rapprocher de lui, je devais utiliser un autre moyen. À cette époque, je les voyais tous les jours et le seul garçon de leur clan qui me regardait comme une jolie jeune fille était David T. En effet, depuis qu’il avait rompu avec sa copine, je n’avais aucun doute, il avait des vues sur moi. Comme il était beau garçon, je n’avais plus qu’à me laisser séduire, ainsi je ferais partie de leur bande et je pourrais enfin me montrer comme une femme auprès de mon amoureux. À chaque occasion, je riais avec lui, je lui souriais, je l’aguichais en lui donnant l’espoir que j’étais prête à sortir avec lui.
Le lundi matin nous prenions tous le train afin de nous rendre au lycée, j’avais décidé d’agir. C’était, très courant les matins et les soirs de voir les jeunes flirter sur les banquettes de la Micheline. Je m’étais précitée afin de me mettre assise à côté de lui : « Je peux m’assoir ici David ? » Avec un grand sourire, il me regarda et tapa de sa main sur le coussin voisin en disant : « Je t’attendais. » Il m’avait déjà vu flirter dans le train avec l’un ou l’autre des garçons de mon âge, il se disait de moi dans la commune que je n’étais pas farouche. David avec ses quatre ans de plus était sûr de lui, je l’avais laissé passer son bras autour de mes épaules, je n’avais pas hésité un instant à lui tendre mes lèvres pour qu’il m’embrasse et me pelote pendant la vingtaine de minutes de trajet.
Désirant aller beaucoup plus loin, David ne pensait pas que j’étais encore vierge, d’ailleurs tous les membres de la bande le croyaient aussi. Il m’avait invitée à la fête qu’il organisait au bord de la rivière avec tous ses copains et copines, pour son vingtième anniversaire. Ce jour-là, je n’avais pas l’intention de perdre mon pucelage que je réservais à mon Guillaume. Néanmoins pour ne pas décevoir mon nouveau copain qui me permettait d’incorporer leur bande, lors d’une balade au bord de l’eau, nous nous étions allongés sur une plage à l’abri des regards et je m’étais laissée peloter et doigter en prenant du plaisir.
Après avoir joui, j’avais bien l’intention de rendre la pareille à mon nouvel amant en lui faisant une magnifique fellation (d’après ses dires). Il avait éjaculé sur mon cou et ma poitrine. Un peu plus tard, il bandait encore sous mon petit massage lorsque j’aperçus au loin ma sœur. Je me retournai contre lui et avais son pénis entre mes cuisses pour le plus grand bonheur de David qui fut à deux doigt de me pénétrer. Malheureusement, Magali ne me voyant pas revenir, était intervenue à temps nous empêchant de passer à l’acte. (Enfin c’était ce qu’ils croyaient tous les deux.)
J’étais enfin parvenue à mes fins, je faisais dorénavant partie du cercle d’amis et mes parents me laissaient sortir, sous la surveillance de sa grande sœur Magali. En effet, des quatre filles, j’étais la seule qui n’hésitait pas à se faire bronzer seins nus, lorsque nous nous retrouvions au bord de l’eau. Forcément avec ma jolie poitrine et mes belles jambes, je montrais à mes copains et surtout à Guillaume que je n’étais plus une enfant. David était tombé sous mon charme, il avait eu le coup de foudre, après qu’il me fasse jouir avec ses doigts et sa langue, je lui offrais ma bouche, je le faisais éjaculer en le branlant entre mes seins ou entre mes cuisses sans qu’il ait l’occasion de pénétrer ma petite chatte, à son grand regret.
J’avais eu de la suite dans les idées, cependant à force de jouer avec le feu, je m’étais fait surprendre et il fallait s’y attendre. David à 20 ans n’avait qu’une idée en tête, celle de me posséder. Ce fut au bal du 14 juillet que je m’étais rendu compte que je n’étais plus vierge, mon hymen, je l’avais sans doute perdu lors de mes nombreuses masturbations lorsque j’utilisais le manche arrondi de ma brosse à cheveux car ce soir-là, David qui campait avec ses potes au bord de l’eau, m’avait attirée dans sa tante. Je pensais une nouvelle fois y échapper, mais après l’avoir sucé, je lui offrais ma poitrine mais il m’écarta les cuisses avec force et détermination et me baisa sans que je puisse crier car ma sœur était à côté et mon père ne voulait pas que je vienne ici avec eux la nuit.
Quand je ressentis sa queue bien dure, me remplir la chatte trempée de ma jouissance précédente, je n’avais ressenti que du bonheur. J’avais joui aussitôt et après ses longs va et viens dans mon ventre, mon désir refaisait surface, je pris un autre orgasme lorsqu’il se retira pour envoyer ses longs jets de sperme sur mon pubis. Il m’avait ramenée chez moi et lorsque nous nous embrassions en nous caressant, notre excitation était belle et bien revenu au galop. Nous nous avions une nouvelle fois fait l’amour dans sa voiture avant que je me mette au lit.
Notre relation n’avait pas duré longtemps, trois jours plus tard, je n’étais pas parvenue à convaincre mes parents de rester avec ma sœur qui ne fit rien afin de m’empêcher de partir en vacances avec eux. Cependant, je ne l’avais pas regretté, j’avais rencontré là-bas un groupe de jeune de vingt-deux ans avec qui j’ai pris beaucoup de plaisir. Quand j’étais revenue, après le 15 août. Étant toujours amoureuse de Guillaume, je voulais le prendre à ma sœur, David fut très déçu lorsque j’avais rompu. À cette époque, Jérôme B vivait une véritable histoire d’amour avec Audrey L, pendant que Nicolas G et Sabrina L ne se quittait plus, tandis que Guillaume M et Magali D se fréquentaient sans vraiment s’aimer.
Ce samedi 18 août 2001, ce que j’attendais avec impatience arriva cet après-midi-là. David faisait la tête et n’était pas venu, ma grande sœur était à sa leçon de conduite, pendant que les deux couples d’amoureux, étaient partis main dans la main, faire une petite balade le long de la rivière. J’étais sur ma serviette seins nus avec mon petit bas échancré. Guillaume en short et torse nu, se retrouvant seul, me demanda s’il pouvait s’installer à mes côtés. Je voyais qu’il admirait mes formes avec envie. J’en profitai pour engager la conversation : — Tu sais Guillaume, je n’ai jamais osé te le dire mais tu me plais beaucoup. Je suis amoureuse de toi.
— Toi, tu as bien changé, tu es canon maintenant. Je peux te toucher ? Me répondit-il et sans attendre la réponse, il posa sa main sur mon sein et le malaxa.
— Fais ce que tu veux, je ne suis plus une pucelle. Lui dis-je pour me vanter.
Je m’étais retournée et je vins m’allongeai sur lui, nous nous étions embrassés un long moment. Ainsi sur lui, je ressentais sur mon pubis qu’il bandait déjà et sa verge ne me semblait pas petite, ma sœur ne devait pas s’ennuyer « la salope » pensais-je. Immédiatement après, j’avais pris les devants, je n’avais pas attendu qu’il me fasse un cunnilingus, je lui retirai son short laissant apparaitre cette belle queue épaisse et bien raide puis l’avalai comme une vraie gourmande. Je ne pouvais pas lui offrir ma virginité, mais je décidai de lui offrir ma première éjaculation buccale.
Après ma savante fellation, lorsqu’il voulut ressortir son engin, je l’avais agrippé par les fesses afin qu’il éjacule dans ma bouche. J’avais tout avalé et j’avoue que cela m’avait bien plus :— T’es une sacrée salope en fait ! C’est la première fois qu’une gonzesse qui me fait ça. Me dit-il tout étonné.
— Alors tu as aimé ! C’est vrai ? Lui répondis-je toute heureuse de lui avoir fait plaisir.
— Ouais ! Magali n’aime pas faire des pipes, elle me fait mal avec ses dents et les autres ne veulent pas qu’une seule goutte de sperme vienne dans leur bouche.
Afin de reprendre le dessus et montrer sa domination, il me mit une claque ses les fesses et me demanda de me mettre à quatre pattes. À genoux derrière moi, une main sur ma poitrine, il mit sa tête entre mes cuisses et commença à me lécher et sucer le minou, sa langue était épaisse et longue, je mouillais fortement, plus il jouait avec mon clitoris et mon téton, plus je devenais folle, je sentais mon désir venir. Très vite j’atteins un orgasme incroyable, ça coulait de partout. Là encore il n’avait jamais vu une fille jouir de la sorte, son majeur toujours planté dans ma vulve, en faisant des aller retours à toute vitesse, il me regardait me trémousser, ma jouissance sortait de mon vagin par grand jets :— Putain ! T’es incroyable ! Tu n’es vraiment pas comme ta sœur.
— C’est la première fois que je mouille autant, c’est grâce à toi.
En prenant un peu de mouille sur ses doigts et passant le bout d’un de ceux-ci sur ma rondelle étoilée : — Par là aussi, tu l’as déjà fait ? Me demanda-t-il, en enfonçant une phalange dans mon anus. Je n’avais pas pensé, que cela en arriverait là, je n’avais pas très envie d’essayer mais je voulais le conquérir et si je devais en passer par là, je lui donnerais ce privilège :— Non ! Mais je veux bien t’offrir le droit d’être le premier.
— Quelle salope tu fais ! Tu me fais bander regarde ma bite elle est déjà au garde à vous.
Cette après-midi-là, je fus sauvée par le gong, ne désirant pas trop s’afficher avec moi devant ses amis, lorsque nous les avons vu arrivés au loin revenir de balade (Enfin c’était ce qu’ils disaient), nous nous sommes sagement remis à lire pour Guillaume et à bronzer pour moi. Cependant, ce ne fut que partie remise, le soir même il m’avait demandé de venir dans sa chambre cette nuit à partir de 23 heures. Son petit appartement, était au rez-de-chaussée, à l’arrière de la maison de sa mère. La fenêtre de ma chambre donnait sur la petite cour séparant les deux habitations, je n’avais jute qu’à passer par là pour ne pas me faire voir par mes parents.
J’avais appréhendé toute la soirée, j’avais déjà lu un article sur la sodomie et j’avais compris l’importance de la préparation. Après le diner, j’étais passé à la salle de bain et avec le jet puissant de la pomme de douche, je m’étais nettoyée au mieux le rectum. Seule dans ma chambre, je fis le nécessaire pour me dilater au mieux l’anus, heureusement j’avais pris dans le tiroir du chevet de ma mère le lubrifiant qu’elle utilisait. Lorsque j’étais arrivé chez lui, Guillaume m’attendait, j’étais qu’en chemise de nuit. Il me prit dans ses bras et sans m’embrasser, il caressa ma poitrine avant de m’attirer dans sa chambre, il n’avait jamais sodomisé une fille et avait hâte de connaitre cette fierté pour un garçon. Rien que d’y penser, il bandait déjà comme un taureau.
Il me retira ma chemise de nuit et ma petite culotte et plongea sa tête entre mes jambes, de mon clito à ma rondelle. Il aspirait délicieusement mon bouton d’amour, suçait ma fente humide, jouait avec la peau tendre de mon anus qu’il força avec sa langue bien raide et pénétra légèrement le conduit. Il me fit mettre à genoux, fesses offertes, m’écarta les cuisses, me lécha encore une fois la rondelle, avant de m’enduire de lubrifiant, ses doigts assouplirent le conduit, le liquide aida la pénétration de deux doigts, mon anus était bien dilaté, je mouillais comme une folle rien qu’à l’idée de m’offrir ainsi à lui.
J’avais accepté qu’il ne mette pas de capote, je désirais vraiment, ne rien lui refuser. Lorsque qu’il posa son gland lubrifié sur ma rondelle, avant de l’enfoncer, il vérifia si j’avais bien l’intention qu’il continue. Me voyant écarter mes fesses de mes deux mains, il poussa sa verge à l’intérieur, son gland n’était pas encore entré entièrement, je ressentais de la douleur, je serrais les dents ne voulant pas lui montrer que j’avais mal. Heureusement, il y était allé doucement par étapes, il entra son gland puis la hampe épaisse, il me sodomisait.
Lorsque j’avais senti son bas ventre contre mes fesses et ses couilles cogner sur mes cuisses, la douleur s’était déjà atténuée, je sentais en moi son chibre qui me ramonait, il m’enculait comme il me disait. C’était pour moi un peu salissant mais très excitant, d’avoir sa bite au fond de mes entrailles. Je n’avais plus du tout mal, cependant je n'éprouvais pas non plus de jouissance comme lorsqu’un sexe me remplissait le vagin. C’était une étrange sensation qui me faisait mouiller, c’était sans doute la situation qui m’excitait beaucoup. Guillaume, certainement très excité également, ne tarda pas, après quelques va et vient, il éjacula puissamment. Je sentis ces jets à l’intérieur de mon rectum, les secousses de son bassin et la vibration de son sexe ancré dans mon cul, faillirent me faire jouir.
Enfin il pensa à moi, s’apercevant que je n’avais pas encore joui, toujours profondément fiché dans mon ventre, il me caressa la vulve puis introduit ses doigts dans ma chatte. Je l’avais sentis venir de très loin cet orgasme, je me cambrai en bandant tous mes muscles et lâcha prise. « Oh oui ! Vas-y, reste en moi ». Ma jouissance fut intense, par jets puissants, je n’en finissais pas de me tordre de spasmes pendant que Guillaume avait repris ses vas et vient avec sa queue et ses doigts. J’avais trempé son lit, il se retira, je m’étais relevée ruisselante, ma jouissance et son sperme coulait le long de mes cuisses. Je désirais à présent qu’il me prenne la chatte :— Quelle salope tu es toi ! Je dois rejoindre ta sœur, tu ne vas pas me vider les couilles.
— Je t’aime Guillaume, reste avec moi.
— Je plains ton futur mari, c’est un cocu assuré. Allez barre-toi, je dois me sauver.
J’étais partie de chez lui en pleurant et j’avais continué une bonne partie de la nuit. Pourtant, tellement amoureuse de lui, cela ne m’empêchait pas de venir dans sa chambre à chaque fois qu’il me le demandait. Je lui servais de vide couilles et j’en étais presque contente, je pensais que cela voulait dire qu’il tenait à moi. J’étais prête à tout pour lui faire plaisir, je fus même assez conne pour le laisser me baiser sans préservatif. Un soir j’étais venue le retrouver chez lui et je fus très surprise de voir qu’il avait invité ses trois potes. Il m’avait forcé à le sucer devant les autres et lorsque j’avais tout avalé, il leur dit : « Alors suis-je un menteur ? Cette salope va vous pomper maintenant. Vas-y Élodie montre leur tes talents. »
Non seulement, je les avais sucés à fond tous les trois, mais après que Guillaume m’ait sodomisée sous leurs yeux, ils m’avaient tous baisée tour à tour. Après quelques mois début 2002, alors que je n’avais pas encore dix-sept ans, j’étais tombée enceinte. Je voulais absolument garder mon enfant afin de pouvoir me marier à Guillaume. Néanmoins ce n’était pas son avis, ni celui de ses parents, ni celui des miens. Je fus contrainte d’avorter et de rompre avec mon voisin qui me quitta sur le champ.
Je continuerai Samedi à vous raconter la suite dans un prochain récit dans la série l’adultère du même auteur.
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