Série « Les voisins » Épisode 9 : Claire découvre que son amie Évelyne est une véritable salope qui

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Récit libertin : Série « Les voisins » Épisode 9 :  Claire découvre que son amie Évelyne est une véritable salope qui Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série « Les voisins » Épisode 9 : Claire découvre que son amie Évelyne est une véritable salope qui
Je m’appelle Claire, je suis une femme de 55 ans vivant en couple avec un homme charmant de 10 ans mon ainée. Je vais vous raconter comment tout à basculer dans ma vie de femme comblée. Je m’étais mariée à 23 ans avec Jean-Pierre que j’aimais profondément, avec lequel nous avions eu deux enfants. Il avait un métier qui nous permettait de subvenir à tous nos besoins, dans la vie de tous les jours, nous nous entendions bien et sur le plan sexuel, je n’étais pas de celles qui refusait un petit câlin, au contraire. Nous avions donc tout pour être heureux.

Je n’aurais jamais pensé qu’une très bonne amie pouvait devenir votre pire ennemie et détruire ainsi tout ce que vous avez construit pendant plus de quatorze ans. En effet, je connaissais Evelyne depuis la primaire, nous étions inséparables depuis qu’elle s’était mariée elle avait quitté la région. Deux ans plus tard, son mari ayant perdu son emploi, elle m’avait demandé si Jean-Pierre pouvait, avec sa notoriété, lui trouver quelque chose. En effet, mon mari avait fait embaucher Didier à la commune et depuis, nous avions repris notre amitié comme par le passé. Ils avaient même acheté la maison voisine à la nôtre, huit ans plus tard.

À cette époque en 2003, je venais de fêter mes 38 ans, nos enfants : Hugo et Anaïs avaient respectivement 13 et 11 ans, nos voisins étaient sur le point de rompre, ils ne s’entendaient plus, cela faisait trois ans que Didier soupçonnait Évelyne de le tromper. Pourtant moi qui la connaissait bien et avec laquelle nous parlions de tout, à aucun moment, elle ne m’avait fait aucune allusion à un quelconque amant. J’étais persuadé que Didier se trompait et quand nous en parlions en aparté, je le lui disais, j’avais envie que leur couple se réconcilie et revive comme auparavant.

Cette semaine-là, je m’ennuyais, Jean-Pierre était parti en séminaire pour son travail et en y réfléchissant de plus près, je m’apercevais que pour moi aussi la routine s’était installée dans notre couple, JP ne me procurait plus de plaisir, il était plus distant et me câlinait beaucoup moins. Ma mère m’avait dit que c’était l’épreuve des 14 ans où les couples s’éloignent un peu afin de mieux se retrouver. Je ne savais pas encore à cette époque que mon mari couchait régulièrement avec ma meilleure amie depuis trois ans et qu’ils envisageaient de s’installer ensemble. Sachant que mes enfants étaient chez mes parents, Évelyne m’avait invitée à venir diner le mardi soir.

Me retrouvant toute seule dans ma grande maison, j’avais accepté l’invitation. Lorsque j’étais arrivée, pensant être uniquement en compagnie de mes voisins, je fus surprise de voir qu’un autre homme était également présent. Patrick était un collègue d’Évelyne, élégant, la quarantaine, courtois mais très charmeur. Jamais l’idée d’être infidèle ne mettait passé par la tête, pourtant mon amie avait tout fait pour. À l’apéritif, elle avait eu la main un peu lourde, me servant cocktail sur cocktail pendant que ce beau mec assis à mes côtés essayait de me séduire discrètement. Ce fut la même chose lors du repas, sauf que Patrick devenait un peu plus entreprenant, sans jamais être trop direct.

Avec l’alcool, j’avais très apprécié d’être courtisée, surtout que j’étais un peu en manque d’affection. Évelyne avait tout prévu dans mon dos, elle savait que son ami (probablement un ex amant), était très séduisant beau parleur et qu’en insistant un peu, il avait des chances de me séduire. Elle m’avait fait boire plus que de raison, j’étais euphorique et heureuse que l’on s’occupe de ma petite personne. Lorsque nous les avons quittés, je riais aux éclats pour un oui ou pour un non, je n’étais pas dans mon état normal et je ne marchais plus droit. Tout naturellement, Évelyne demanda à Patrick de m’amener jusqu’à ma porte, je lui avais pris le bras afin que je ne tombe pas en rentrant chez-moi.

Je ne sais plus très bien comment cela s’était passé exactement, si je l’avais invité à rentrer ou s’il avait forcé ma porte mais dans un moment de lucidité, je m’aperçus que je me retrouvais en sous-vêtements dans ses bras sur canapé. Lui était torse nu et en boxer, nous nous embrassions à pleine bouche, nous nous caressions intimement : « Patrick ! Non ! Je ne peux pas enfin que faisons-nous ? » Sans répondre, il reprit possession de ma bouche et sans savoir pourquoi, je l’avais laissé se coucher sur moi. L’alcool sans doute, son beau corps chaud qui pesait sur moi, ses mains baladeuses et son odeur étaient de véritables aphrodisiaques. Sa langue tourbillonnant autour de la mienne et sa main m’enlevant ma petite culotte, me faisaient frémir de plaisir.

Des frissons parcouraient mon corps en attente, je sentis sa verge en érection au bord de mon intimé, son gland au contact de ma fente mouillée par le désir me fit couler un peu plus de cyprine, j’avais quitté ce monde, à mille lieues de penser à mon mari, à mes amis, je ne me rappelais même pas le prénom de mon partenaire. Doucement il entra son sexe petit à petit et s’enfonçait toujours plus loin me remplissant entièrement le bas ventre. Soudain je contractai tous les muscles de mon vagin, se crispant autour de sa queue que je ressentais très dure et si puissante.

Je m’abandonnai complètement, c’était un plaisir indescriptible de sentir sa verge aller et venir en moi. Mes mains tremblaient en serrant les coussins, mon cœur battait la chamade, ma respiration haletait, je gémissais tellement, qu’encouragé par mon comportement, il accéléra ses va et vient. Ils devenaient maintenant puissants, plus brutaux et je sentais à nouveau cette fameuse chaleur qui envahissait tout mon corps. Je serrai ses belles fesses entre mes mains et je lui demandai de me prendre plus fort encore. Je savais que l’orgasme n’était plus très loin. Après quelques coups de reins bien maitrisés, je jouis avec bonheur avec un sexe dans ma fente, bien plus gros que celui de JP, cela ne m’était pas arrivé depuis un long moment.

Très peu de temps après, Patrick éjacula abondamment dans mon intimité. J’étais heureuse de sentir au fond de moi son sperme chaud couler dans mes entrailles. Nous nous étions enlacés et embrassés. Je n’avais jamais pensé qu’un jour, je puisse tromper mon mari et pourtant c’était ce que je venais de faire. À cet instant, du sperme coulait sur l’intérieur de mes cuisses, j’avais entièrement repris mes esprits et je me rendis compte de l’horreur de mon geste irréparable. Je me désolais car je ne pouvais plus revenir en arrière. Je fus très en colère qu’il n’ait pas pris la peine de mettre un préservatif et le jetai dehors sans ménagement, sachant très bien qu’il n’était pas le seul fautif.

J’avais vécu un calvaire les trois jours suivants en attendant avec impatience le retour de Jean-Pierre. Je n’avais pas peur de tomber enceinte, je prenais la pilule mais avec les maladies sexuellement transmissibles, je n’étais pas rassurée. Ce qui me gênait le plus en fin de compte, étaient les énormes remords sur mon infidélité et je ne savais pas s’il fallait que je me taise ou l’avouer à mon mari. Si dix jours plus tard, le test VIH fut négatif, ce qui me rassura de ce côté-là, ce fut une toute autre histoire le samedi matin au retour de JP. Il avait attendu que nos enfants soient partis à l’école pour m’annoncer qu’il avait l’intention de divorcer. Je venais de recevoir un coup de masse sur le crâne. Ce fut avec d’énormes difficultés que je lui avais demandé pourquoi ?

— Écoute chérie, j’ai rencontré quelqu’un il y a trois ans, maintenant nous désirons vivre ensemble.
— Ce n’est pas possible enfin ! Qui c’est ? Je la connais ? Tu ne peux pas me faire ça. Tu me trompes depuis trois ans avec qui ? M’énerve-je.
— Évelyne ! m’avoua-t-il tout de suite avant de reprendre. Elle est en train de dire la même chose à Didier en ce moment, nous nous installerons ensemble après le divorce.

Je n’avais pas attendu la suite, j’étais partie dans la chambre pour pleurer et je ne l’avais pas quitté jusqu’au soir. JP avait emmené les enfants chez mes parents et leur avait annoncé la nouvelle, j’étais abattue. Je n’en voulais pas trop à Jean-Pierre, il était tombé amoureux ce que je pouvais comprendre, il resta très correct. Heureusement, ne pouvant rester cachés, ils avaient décidé de s’installer dans leur nouvel appartement, deux mois plus tard, ce qui m’avait permis de reprendre ma vie auprès de mes enfants. D’autant plus que quittant le domicile conjugal, je pensais avoir tous les bénéfices du divorce.

Ce ne fut pas le cas, Évelyne avait pris une photo de mon adultère, sur celle-ci, je ne pouvais nier l’évidence. Si sur le cliché on ne savait pas qui était mon partenaire de dos, on voyait bien mon visage lorsque j’étais chevauchée par mon amant d’un soir de cuite. Cette nouvelle trahison de ma meilleure amie fut insupportable à vivre. Malgré cela, JP avait consenti de me laisser la maison, de me verser une pension et me laissa la garde des enfants qu’il ne prenait que quelques week-end et pendant les vacances. Ce ne fut pas le cas pour elle, Didier avait fait en sorte qu’elle perde tous ses droits. Côté financier, étant la propriétaire d’une boutique de prêt à porter et mon mari, gérant de sa société, ils n’avaient pas de problème d’argent.

Didier avait vendu la maison très rapidement et je ne voulais plus entendre parler de voisins, je vivais en solitaire entre mon travail, mes enfants et mes parents, cela me suffisait amplement. Après le départ de JP, j’avais pris l’habitude de me passer des hommes, seulement quelques mois plus tard, j’avais très envie de faire l’amour, n’ayant aucun amant, j’avais téléphoné à Patrick qui m’avait laissé sa carte. Là encore j’avais regretté, il fut pourtant un bon amant, mais je n’avais pas pris un plaisir immense et nous n’avions rien en commun, nous n’avions aucun sujet de conversation hormis le sexe.

À partir de là, je décidai de faire une croix sur les hommes qui ne pensaient qu’au sexe car j’avais besoin de sentiments pour faire l’amour, j’attendais donc le prince charmant afin qu’il vienne me délivrer. Ne désirant pas tomber dans le célibat et dans la morosité, j’avais toujours gardé l’espoir de trouver cette perle rare. Pour cela, j’aimais me mettre en valeur en m’habillant toujours un peu sexy. Je pouvais dire d’après mes collègues et le nombre de clients qui me courtisaient régulièrement que j’étais une femme qui plaisait à la gente masculine. Je soignais mon joli minois, mes yeux bleus et ma chevelure blonde mi longue étaient un atout.

Malgré mes deux enfants, mon corps n’en avait pas trop souffert, je n’avais pas une poitrine très opulente, cependant mes seins étaient encore fermes. Mes longues jambes fines et musclées d’une femme de 1,68 m, sur les talons hauts que je portais, mettaient en valeur la cambrure de mon fessier. En juin 2006, soit deux ans après mon divorce, je venais de fêter mon quarantième anniversaire, lorsque j’avais rencontré Pierre, un très bel homme de mon âge, un client que j’avais conseillé, dans le rayon librairie du supermarché où je travaillais. Il était venu plusieurs fois dans la même semaine, je n’en étais pas tombée amoureuse mais incontestablement, cet homme me plaisait et m’attirait.

Avant d’accepter sa première invitation à boire un verre en ville après mon service, j’avais attendu deux semaines entières où il était venu me voir spécialement tous les jours. Pierre était particulièrement cultivé et notre conversation fut très courtoise. J’étais donc retournée le lendemain avec lui dans la même brasserie après mon travail. Il montrait son intérêt pour moi mais restait très correct, il se montrait très patient, il attendait que je sois prête. Je m’apercevais que je ne m’ennuyais pas avec lui, il était parvenu après le troisième rendez-vous, à que j’accepte enfin son invitation au restaurant où ce soir-là, je m’étais dévoilée sur ma vie sentimentale et lorsqu’il m’avait raccompagné, nous nous étions embrassés pour la première fois, avant que je rentre sans lui proposer de venir boire un dernier verre.

Je n’avais aucune intention de lui montrer que j’étais une femme facile. S’il voulait me mettre dans son lit, je le saurais rapidement car j’avais décidé de le faire languir, même si ce soir-là, il m’avait émoustillée à tel point que je m’étais masturbée en rentrant en pensant à lui. De cinéma, en restaurant, les mardis et vendredis soir, lorsque les enfants dormaient chez mes parents, Pierre devait se languir, cela faisait un mois et demi que nous sortions ensemble et nous ne faisions que de flirter en nous caressant un peu, comme deux adolescents. Le moment était venu pour moi de céder à ses avances avant qu’il ne m’abandonne.

J’étais arrivée à un point où j’avais très envie de faire l’amour avec lui, je ne l’aimais toujours pas d’amour avec un grand A, cependant j’étais éprise car je pensais à lui très souvent. Je désirais donc m’offrir à lui, avant les congés d’été car si je le laissais partir en vacances, il y avait de fortes chances que je ne le revoie plus. Ce week-end-là, mon ex avait les enfants, j’en avais profité pour l’inviter à sortir en discothèque. Sur le moment, il ne m’avait pas dit oui tout de suite mais il était parvenu à se libérer. J’avais mis tous les atouts de mon côté, je portais une petite robe courte en mousseline blanche très affriolante, j’étais super sexy avec mes hauts talons, mes bas et mon porte-jarretelles.

Nous nous étions rendus dans une discothèque située à une dizaine de kilomètres de chez moi. Le club que je ne connaissais était dans une grande bâtisse, un ancien magasin restauré en plein centre-ville. Après avoir déposé nos affaires au vestiaire, à l’intérieur la musique résonnait, la soirée battait son plein. Pendant que Pierre prenait nos consommations au bar, je me dirigeai sur la piste où beaucoup de monde se trémoussait déjà, avec une majorité de jeunes de 25 à 30 ans. Je faisais partie des plus âgées dans cette clientèle plutôt hétéroclite. Pourtant je me déhanchais, j’avais retrouvé mes vingt ans, quelques garçons dansaient autour de moi, ils me frôlaient, leurs mains me touchaient pendant que je continuais à me déhancher.

La musique était vraiment entraînante, j’avais envie de danser, un garçon plutôt beau gosse en train de se déhancher à côté de moi m’entraina vers un des deux podiums de danse. Les spots dirigés sur cette mini piste de danse rendaient ma petite robe blanche légère presque transparente, laissant apercevoir ma lingerie fine. Le jeune danseur se frottait à présent conte moi, cela m’excitait, nous dansions, tout en nous touchant de nos mains de nos fesses de nos sexes, c’était vraiment très érotiques, les danseurs nous regardaient et nous encourageaient.

Je m’étais retrouvée à me trépigner devant mon partenaire, il avait son bas ventre contre mes fesses, sa main droite à plat juste au-dessus de mon pubis, sa gauche sur mon flanc, ses doigts sur mon sein, pendant que mes bras levés lui enserraient la tête, je ne pensais à rien d’autre que de danser même si ces caresses m’excitaient. Soudain une main me saisit la cheville, surprise je baissai mon regard et vit Pierre avec les deux verres dans son autre main m’invitant à le rejoindre, il avait trouvé deux poufs de libre. Je fus très déçue d’être interrompue dans ma danse avec ce jeune garçon, il m’avait semblé que Pierre n’avait pas très apprécié ma prestation.

En effet, il me fit une petite scène avant de m’inviter à danser pour un slow où ses mains posées fermement sur mes fesses, me plaquant à lui, j’avais ressenti contre mon ventre toute son envie de me posséder. À la fin de la chanson, il me demanda de rentrer : « Viens ! Allons chez toi. » pour moi, il en n’était pas question, j’avais très envie de finir la nuit avec lui, je l’avais bien prévu mais son comportement m’avait agacé et il n’était que minuit et demi. J’avais refusé gentiment, prétextant que je voulais encore danser. Avec un regard ténébreux, il finit son verre et quitta la discothèque sans même me saluer.

Après son départ, j’avais bien essayé de poursuivre ma soirée telle que je l’avais commencé, mais le cœur n’y était plus. Je n’avais plus revu mon jeune cavalier et me retrouvant seule, j’en voulais à Pierre qui venait de me gâcher la fête, j’étais très en colère après lui et après tous les hommes. Une semaine plus tard, il m’avait semblé l’avoir vu dans les rayons du supermarché. J’avais attendu ma pause et m’était dirigée dans la direction où je l’avais aperçu. En effet, je le vis avec une femme, jolie la trentaine, il tenait son bambin de deux ans, dans les bras pendant que sa jeune épouse poussait le caddie. Je m’approchai d’eux et innocemment, je dis : — Salut Pierre ! Ah ! Es-tu marié ? C’est ton gosse ?
— Heu ! … Oui … Heu ! je te présente… Bafouilla-t-il la tête déconfite ne sachant comment se sortir de cette impasse.
— Tu aurais pu me le dire avant de m’inviter à sortir avec toi. Rassurez-vous Mme, je n’ai pas voulu coucher avec lui, il en mourrait pourtant d’envie. Dis-je en tournant les talons.

Je continuerai à vous raconter la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Claire, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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