Série « Textes en commun » Olga et le docteur, chapitre premier : le cabinet
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série « Textes en commun » Olga et le docteur, chapitre premier : le cabinet
AVERTISSEMENT
Nous sommes toutes les deux des auteures HDS. Nous avons appris à nous connaitre en découvrant nos publications réciproques. Avec respectivement 201 textes publiés à ce jour pour Micky et 256 pour Olga, nous avons l’une et l’autre un public fidèle sur HDS.
Il nous est venu l’idée d’écrire ensemble des textes fictifs, pour les publier sur HDS.
Ce récit FICTIF a été construit en fonction d’un fantasme d’Olga. Il s’appuie sur ses expériences vécues et sur la plume et l’imagination de Micky.
Pour bien comprendre ce texte et les suivants, il est recommandé de lire ou relire les textes autobiographiques d’Olga, publiés sur HDS depuis le 21 novembre 2016, sous la rubrique « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle »
Bonne lecture !
Micky et Olga
********Olga est une quadragénaire d’origine grecque, une brune volcanique qui assume son hypersexualité exacerbée, tout en s'efforçant de la maitriser. Elle y est encouragée par son mari Philippe, avec qui elle vit depuis plus de 20 ans, qui peut, avec elle, vivre pleinement ses envies candaulistes.
Dans son premier récit publié sur HDS, Olga se décrit ainsi « Je suis une jolie brune de 1m70 et de 56 kilos, avec de petits seins très sensibles. J'ai des longs cheveux noirs. »
Le couple de Philippe et Olga repose sur cet équilibre explosif entre candaulisme et hypersexualité. Il a connu des moments extrêmes, qui l’ont conduit à la limite de la rupture. Au cours des dernières années, Philippe et Olga s’efforcent de mieux respecter de bonnes résolutions et d’éviter de nouveaux dérapages. Il est en particulier convenu que c’est le mari candauliste et lui seul qui a l’initiative de proposer à son épouse des rencontres, qui doivent permettre d’apaiser la libido de Madame.
Avec les confinements qui se succèdent depuis le printemps 2020, cet équilibre fonctionne plus difficilement, à la grande frustration d’Olga. Celle-ci ne peut durablement se contenter des étreintes de son mari, quels que soient les efforts de celui-ci. Elle n’est pas apaisée non plus par sa liaison saphique avec Agun, jeune masseuse d’origine thaïe, avec laquelle elle a construit un couple parallèle depuis plusieurs années, en total accord avec son mari. Olga est également une pratiquante « assidue » de la masturbation, mais cela ne parvient pas non plus à l’apaiser.
Non, décidément, la belle Olga vit de plus en plus mal cette situation de pénurie, elle parle même à ce sujet de disette. Elle s’en est bien entendu ouverte à Philippe, qui, de son côté est conscient du problème, mais ne voit pas de solution rapide et surtout sans risques.
De son côté, Olga sait qu’elle ne peut pas, comme dans le passé, faire n’importe quoi, partir « à la chasse », s’offrir à des inconnus. Trop dangereux, compte tenu du contexte sanitaire, mais aussi pour son couple ! De même, elle doit faire attention à son comportement dans leur immeuble. Ses excès passés les avaient contraints, il y a quelques années, à changer de domicile, pour, en quelque sorte, se refaire une virginité, ce qui est un comble pour Olga !
Après une tentative désastreuse qui s’était soldée par un adultère avec son chef, Olga avait fini par renoncer à reprendre une vie professionnelle.
Dans de telles conditions, la situation sanitaire limitait encore ses contacts sociaux.
Alors comment sortir de cette impasse et d’une frustration de plus en plus difficile à supporter ?
Olga avait eu l’idée de jeter son dévolu sur leur médecin de famille, le Docteur Dominique W. Ce quinquagénaire était viril et sportif, mais il était surtout un ami de Philippe. Bref, cela aurait été contraire à tous les accords convenus avec Philippe, qui excluaient des relations avec des proches ou des connaissances.
C’est alors qu’Olga s’est souvenue de ce médecin dont lui avait parlé son amie Christelle, le Docteur Joseph Martin. C’était un médecin généraliste, mais qui était aussi connu dans les domaines de la chiropratique et de l’ostéopathie. Christelle lui avait aussi fait l’éloge du charme et de la virilité du docteur Martin.
Les piscines et les salles de sport étant fermées dans sa ville, placée en zone d’alerte renforcée, Olga a dû cesser brutalement ses pratiques sportives habituelles et intensives, en particulier la natation. Et cela a eu pour conséquence de réveiller les problèmes de dos qu’elle rencontre depuis sa dernière grossesse.
Le prétexte pour consulter le Docteur Martin est donc tout trouvé. La décision d’Olga est prise. Elle veut mettre fin à sa « diète » et a porté son dévolu sur le Docteur Martin. Olga associera Philippe dans le cadre de leurs accords candaulistes, mais elle le fera plus tard. Elle est consciente que c’est une violation de leur « pacte », mais elle ne peut faire autrement.
******
Le docteur Joseph Martin vivait une période particulièrement éprouvante. La pandémie précipitait à son cabinet une flopée de personnes au mieux inquiètes, au pire déstabilisées par le confinement et ses conséquences. Nombre de jeunes, privés de cannabis, "décompensaient" et il devait les envoyer dare-dare dans les services d'urgences psychiatriques. Mais aussi, il devait compter avec plusieurs cas de maltraitance, tant chez les enfants que chez les femmes.
Il se trouvait donc démuni et désemparé. Il rentrait chez lui épuisé et Karine, son épouse, ne l'aidait pas car elle était aussi tendue que lui, étant infirmière. Ils avaient tenté de faire l'amour pour s'ôter du stress mais, malgré sa raideur, Joseph avait senti peu de répondant. Depuis quelques mois, Karine se "refroidissait" alors que lui ressentait plus que jamais le besoin de sexe dans ce contexte éprouvant pour les nerfs. Il en arrivait même à regarder d'un œil autre que professionnel quelques jeunes filles juteuses, venues chercher une ordonnance pour des tests PCR, entre autres. Il sentait bien qu'il n'aurait pas eu à faire beaucoup d'efforts pour culbuter notamment une petite blonde qui promenait ses gros seins sous son nez pendant qu'il procédait à des examens de routine. Mais un vieux fond de déontologie et surtout un appétit moyen pour les tendrons lui avaient permis de résister.
Il en alla tout autrement lorsque débarqua dans son cabinet une splendide brune à peau ambrée, quadra comme lui, venue le consulter pour des problèmes de dos. Vêtue d'une mini robe découvrant largement ses cuisses fuselées, arborant sans complexe l'absence de soutien-gorge, ce qui faisait pointer ses seins menus sous la toile légère, mais dotée surtout d'un regard de braise où n'importe quel homme pouvait déceler un formidable appétit sexuel, elle tétanisa le docteur Martin la première fois qu'il la vit. Elle expliqua qu’elle était venue pour ses problèmes de dos, dont elle souffrait depuis sa dernière grossesse et qui s’étaient aggravés depuis qu’elle ne pouvait pratiquer les séances de piscine et de gymnastique qui lui faisaient beaucoup de bien.
Troublé par cette femme, le Docteur Martin bredouilla ses consignes, expliquant qu’il voulait prescrire des examens complémentaires, notamment des radios. Il écrivit d’une main tremblante son ordonnance, ce qui amusa son interlocutrice. Celle-ci, parfaitement consciente de son charme et de son impact sur les hommes normalement constitués, n'était pas non plus insensible à la virilité du médecin, solidement charpenté, brun aux yeux azur, et doté de mains fines faites pour la caresse. Mais comme il n'était pas dans sa tête, il ne s'en rendit pas compte. En tout cas, Olga se dit que son amie Christelle lui avait donné un excellent conseil.
La consultation eut beau durer dix minutes à peine, elle laissa le toubib tellement troublé qu'il attendit quelques minutes avant d'appeler le patient suivant, un gros homme terrifié par la perspective d'attraper le Covid et venu chercher un traitement inconnu. Joseph Martin gardait encore dans la rétine la démarche chaloupée de la jeune femme quittant son cabinet et dont il savait désormais le nom et le prénom, mais pas plus. Olga, c'était russe ? Il se demanda s'il la reverrait un jour mais dans la négative, ça valait mieux pour son couple. Cette femme, cette femelle plutôt, était une vraie diablesse. Il en bandait encore sous son bureau.
********
Olga était bien décidée à dérouler son plan et procéda rapidement aux examens et radios prescrites par le Docteur Martin. Elle l’appela ensuite pour prendre un nouveau rendez-vous. La voix de Joseph révélait son trouble. Olga était convaincue de parvenir à ses fins.
Olga commença par veiller à sa tenue et soigner son apparence : elle choisit une jupe crayon, courte, moulante, noire, avec boutons en métal sur le devant. Comme dessous, elle ne portera qu’un mini-string, qui ne cache pas ses fesses. Elle sait ainsi que cette tenue met en valeur ses jambes et ses jolies fesses. Elle choisit enfin un débardeur blanc, en « V », sans manches, avec bretelles croisées. Ses bras et ses épaules sont donc nues et sa poitrine mise en valeur. Et bien entendu pas de soutien-gorge sous ce débardeur.
Compte tenu de la saison, et pour dissimuler cette tenue plutôt provocante, Olga mettra un imperméable fin. Elle a complété son apparence, selon ses habitudes, avec un trait de khôl pour accentuer la profondeur de ses yeux noirs et en appliquant sur ses lèvres un lipstick classique, rose.
Compte tenu du contexte sanitaire, les patients ont tous pris rendez-vous et sont installés dans la salle d’attente, à des distances qui respectent les gestes barrière. Il fait chaud dans cette pièce, ce qui contraint Olga à enlever son imperméable. Sa tenue attire immédiatement la convoitise des hommes et, de la part de certaines femmes, un regard réprobateur. Derrière son masque, Olga ne peut sourire aux premiers mais son regard est parlant, encourageant envers les hommes et ironique envers les mégères jalouses. La pandémie n’a eu raison ni de son exhibitionnisme, ni de son côté volontiers provocateur.
En faisant assoir Olga en face de son bureau, Joseph se dit qu’elle était encore plus sexy que la dernière fois. Il reprend ses esprits, c’est le médecin qui est dans cette pièce et doit l’emporter sur le mâle qui, inévitablement est attiré par le sex-appeal exacerbé de cette femme.
• J’ai eu les résultats des radios et des examens. Il n’y a rien de grave. Je vais vous faire quelques manipulations, ça vous soulagera. Passons à côté, à la salle d’examens.
Joseph réalise alors la situation et exprime son embarras :
• Euh, comment vous dire, Madame T, vous n’avez pas choisi la tenue la plus adéquate pour un examen et une manipulation.
• Vous êtes Docteur, ça ne pose pas de problèmes, dit Olga, en enlevant sans hésitation sa jupe et son débardeur.
Elle n’a plus que son mini-string, qui ne cachait en effet pas grand-chose.
Joseph fait son possible pour masquer son trouble, mais, la nature étant ce qu’elle est, il ne peut dissimuler une formidable érection. « La salope, pense-t-il, elle me provoque ! »
• Mettez-vous sur le ventre, je vais vous examiner et commencer la manipulation.
Joseph est un professionnel et il fait tous les efforts possibles pour se concentrer sur ce qu’il a à faire. Il prend tout son temps pour l’examen et commencer la manipulation.
• Vous avez des douleurs ici, n’est-ce pas ?
• Hum oui, Docteur, c’est ça ! Continuez à me toucher, vos mains sur moi, ça me fait beaucoup de bien.
Et en effet l’excitation d’Olga ne cesse de croître. Elle sent que les pointes de ses seins deviennent durs et que sa chatte s’humidifie. Olga connait bien sa libido. Elle a une envie irrésistible que ce mâle la prenne.
L’exercice avait été compliqué pour Joseph mais il savait y faire, il ne pensait à rien d’autre et surtout pas à ce que cette femme provoquait chez lui, à savoir un désir animal.
• Il me reste un dernier exercice à faire. Pour cela, vous devez être debout. Je me place derrière vous, je vous serre contre moi, mes bras vous tiennent et vous serrent, je tire jusqu‘à ce qu’on entende un craquement.
C’était ce qu’Olga attendait et espérait bien que cela permette de passer à une autre forme de traitement. Elle ne peut s’empêcher d’ajouter :
• Vous allez donc me tirer ? J’en ai très envie en effet !
• Oh, Madame T ! Pour cet exercice, vous pouvez vous rhabiller.
• Ca ne me dérange pas de rester ainsi. Au contraire !
• Moi je préfère !
Olga obtempéra, avec regret.
Joseph se place derrière elle, ses bras devant elle, avec une serviette. Olga sent contre elle la formidable érection de l’homme. Il a lui aussi envie d’elle. En experte, elle est bien décidée à ce que les choses se fassent.
Le médecin finit son travail. La patiente allait pouvoir laisser la place à la femme, bien décidée à être prise.
Joseph fait le geste prévu. On entend un craquement, qui marque la fin de la manipulation et, pour Joseph, la fin d’un supplice, car il ne peut en effet nier ce que cette diablesse provoque chez lui.
Mais avant qu’il ait eu le temps de la lâcher, Olga porte sa main sur la braguette du Docteur et commence à le caresser à travers le jeans.
• Merci beaucoup, Joseph. Mais j’ai encore envie d’autre chose et toi aussi, n’est-ce pas ?
Elle avait enlevé ses vêtements, ne gardant provisoirement que le string qui était trempé par son excitation. Elle venait de l’appeler par son prénom et de le tutoyer. Le désir d’Olga était sans ambigüités. Elle n’avait pas l’intention de sortir de ce cabinet avant que cet homme ne l’ait honoré.
******
Joseph Martin était en train de perdre complètement le contrôle de la situation. Certes, ce n'était pas la première fois qu'une patiente lui faisait du charme. Mais aucune ne l'avait mise dans cet état. Et quand la somptueuse brune, quasiment nue, se mit accroupie devant sa braguette ouverte, saisissant son dard tendu pour le porter à sa bouche, il était dans l'incapacité de lui résister. Une langue veloutée s'empara de son gland survitaminé alors que son pantalon tombait sur ses chevilles et que la femelle tirait en même temps son slip vers le bas. Il eut une brève pensée vers Karine, son épouse, et vers la salle d'attente où d'autres patients étaient loin de se douter de ce qui se passait dans le cabinet de leur médecin. Mais ces scrupules s'évanouirent quand la belle brune se retourna, coudes posés sur la table d'examen, jambes légèrement écartées, et lui souffla, après avoir enlevé son string :
• Viens maintenant, j'ai envie.
Joseph Martin avait trop envie de s'enfoncer en elle pour résister. Si sa tête sonnait encore l'alarme, son pénis réclamait un soulagement immédiat. Les jambes légèrement fléchies, les mains posées sur les hanches de sa patiente au cul en l'air, il se laissa guider par la main habile de celle-ci et s'enfonça d'un coup, jusqu'à la garde.
Ce fut un coït bref mais intense. Accompagné par les coups de cul de sa partenaire impromptue, le médecin baiseur lui délivra une rafale de pénétrations qui auraient provoqué une bruyante extase de la part de la récipiendaire, si celle-ci ne s'était pas mordue la main pour étouffer ses cris. Il croisa son regard énamouré quand elle se retourna brièvement vers lui et cette vision lui fit accélérer son rythme, à tel point qu'il la décolla presque du sol.
• Oh, que c’est bon. Que ça m’a manqué ! Vas-y ! Mets-la-moi bien profond !
Olga jouissait et enchaînait les orgasmes, ses cris emplissaient le cabinet, dont les portes étaient heureusement bien capitonnées.
Ce besoin de copuler avait été si puissant que Joseph Martin en avait oublié toute précaution et omis de coiffer un préservatif, un comble pour un toubib. Un éclair de lucidité lui fit se retirer au moment de l'éjaculation, qui éclaboussa le dos brun de la patiente, laquelle se retourna vivement pour « nettoyer » de sa langue le gland encore palpitant.
Le regard de feu de la jolie brune indiquait qu’elle aurait volontiers remis le couvert, mais le Docteur ne pouvait prolonger davantage cette « consultation ».
Confus, mais apaisé, le médecin eut alors un mot stupide en se reculottant :
• Excusez-moi madame.
• De rien, docteur, tout le plaisir était pour moi.
Pendant que la patiente se rhabillait, si l'on peut dire, vue sa tenue, Joseph Martin reprit peu à peu contenance et gribouilla une ordonnance quasiment illisible. Inutile de dire que la consultation fut gratuite... Et Olga T. sortit du cabinet d'un air détaché sous l'œil courroucé de la salle d'attente, qui avait trouvé un peu longue cette consultation. Le patient suivant était une grosse femme en proie à des rhumatismes, qui ramenèrent illico le médecin à la réalité de son métier.
****
En regagnant son domicile, Olga se sentait apaisée. Elle avait enfin comblé ce manque terrible qui la travaillait depuis des semaines. Elle était consciente qu’elle venait de déroger gravement, en s’offrant à un inconnu, fut-il médecin, aux accords passés avec son mari Philippe, puisque celui-ci n’avait pas donné son accord préalable et n’avait même pas été informé des frasques de sa volcanique épouse.
Olga entendait bien ne pas rester sur cette situation. Elle raconterait à Philippe, sans omettre le moindre détail, tout ce qui s’était passé. Et puis, dans le contexte actuel, et pour satisfaire les fantasmes de son époux, Olga comptait bien remettre ça, mais dans un autre cadre.
Elle voulait transformer ce qui était un adultère en une séance candauliste. Restait à savoir si le Docteur Joseph Martin se prêterait à ce jeu !
Nous sommes toutes les deux des auteures HDS. Nous avons appris à nous connaitre en découvrant nos publications réciproques. Avec respectivement 201 textes publiés à ce jour pour Micky et 256 pour Olga, nous avons l’une et l’autre un public fidèle sur HDS.
Il nous est venu l’idée d’écrire ensemble des textes fictifs, pour les publier sur HDS.
Ce récit FICTIF a été construit en fonction d’un fantasme d’Olga. Il s’appuie sur ses expériences vécues et sur la plume et l’imagination de Micky.
Pour bien comprendre ce texte et les suivants, il est recommandé de lire ou relire les textes autobiographiques d’Olga, publiés sur HDS depuis le 21 novembre 2016, sous la rubrique « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle »
Bonne lecture !
Micky et Olga
********Olga est une quadragénaire d’origine grecque, une brune volcanique qui assume son hypersexualité exacerbée, tout en s'efforçant de la maitriser. Elle y est encouragée par son mari Philippe, avec qui elle vit depuis plus de 20 ans, qui peut, avec elle, vivre pleinement ses envies candaulistes.
Dans son premier récit publié sur HDS, Olga se décrit ainsi « Je suis une jolie brune de 1m70 et de 56 kilos, avec de petits seins très sensibles. J'ai des longs cheveux noirs. »
Le couple de Philippe et Olga repose sur cet équilibre explosif entre candaulisme et hypersexualité. Il a connu des moments extrêmes, qui l’ont conduit à la limite de la rupture. Au cours des dernières années, Philippe et Olga s’efforcent de mieux respecter de bonnes résolutions et d’éviter de nouveaux dérapages. Il est en particulier convenu que c’est le mari candauliste et lui seul qui a l’initiative de proposer à son épouse des rencontres, qui doivent permettre d’apaiser la libido de Madame.
Avec les confinements qui se succèdent depuis le printemps 2020, cet équilibre fonctionne plus difficilement, à la grande frustration d’Olga. Celle-ci ne peut durablement se contenter des étreintes de son mari, quels que soient les efforts de celui-ci. Elle n’est pas apaisée non plus par sa liaison saphique avec Agun, jeune masseuse d’origine thaïe, avec laquelle elle a construit un couple parallèle depuis plusieurs années, en total accord avec son mari. Olga est également une pratiquante « assidue » de la masturbation, mais cela ne parvient pas non plus à l’apaiser.
Non, décidément, la belle Olga vit de plus en plus mal cette situation de pénurie, elle parle même à ce sujet de disette. Elle s’en est bien entendu ouverte à Philippe, qui, de son côté est conscient du problème, mais ne voit pas de solution rapide et surtout sans risques.
De son côté, Olga sait qu’elle ne peut pas, comme dans le passé, faire n’importe quoi, partir « à la chasse », s’offrir à des inconnus. Trop dangereux, compte tenu du contexte sanitaire, mais aussi pour son couple ! De même, elle doit faire attention à son comportement dans leur immeuble. Ses excès passés les avaient contraints, il y a quelques années, à changer de domicile, pour, en quelque sorte, se refaire une virginité, ce qui est un comble pour Olga !
Après une tentative désastreuse qui s’était soldée par un adultère avec son chef, Olga avait fini par renoncer à reprendre une vie professionnelle.
Dans de telles conditions, la situation sanitaire limitait encore ses contacts sociaux.
Alors comment sortir de cette impasse et d’une frustration de plus en plus difficile à supporter ?
Olga avait eu l’idée de jeter son dévolu sur leur médecin de famille, le Docteur Dominique W. Ce quinquagénaire était viril et sportif, mais il était surtout un ami de Philippe. Bref, cela aurait été contraire à tous les accords convenus avec Philippe, qui excluaient des relations avec des proches ou des connaissances.
C’est alors qu’Olga s’est souvenue de ce médecin dont lui avait parlé son amie Christelle, le Docteur Joseph Martin. C’était un médecin généraliste, mais qui était aussi connu dans les domaines de la chiropratique et de l’ostéopathie. Christelle lui avait aussi fait l’éloge du charme et de la virilité du docteur Martin.
Les piscines et les salles de sport étant fermées dans sa ville, placée en zone d’alerte renforcée, Olga a dû cesser brutalement ses pratiques sportives habituelles et intensives, en particulier la natation. Et cela a eu pour conséquence de réveiller les problèmes de dos qu’elle rencontre depuis sa dernière grossesse.
Le prétexte pour consulter le Docteur Martin est donc tout trouvé. La décision d’Olga est prise. Elle veut mettre fin à sa « diète » et a porté son dévolu sur le Docteur Martin. Olga associera Philippe dans le cadre de leurs accords candaulistes, mais elle le fera plus tard. Elle est consciente que c’est une violation de leur « pacte », mais elle ne peut faire autrement.
******
Le docteur Joseph Martin vivait une période particulièrement éprouvante. La pandémie précipitait à son cabinet une flopée de personnes au mieux inquiètes, au pire déstabilisées par le confinement et ses conséquences. Nombre de jeunes, privés de cannabis, "décompensaient" et il devait les envoyer dare-dare dans les services d'urgences psychiatriques. Mais aussi, il devait compter avec plusieurs cas de maltraitance, tant chez les enfants que chez les femmes.
Il se trouvait donc démuni et désemparé. Il rentrait chez lui épuisé et Karine, son épouse, ne l'aidait pas car elle était aussi tendue que lui, étant infirmière. Ils avaient tenté de faire l'amour pour s'ôter du stress mais, malgré sa raideur, Joseph avait senti peu de répondant. Depuis quelques mois, Karine se "refroidissait" alors que lui ressentait plus que jamais le besoin de sexe dans ce contexte éprouvant pour les nerfs. Il en arrivait même à regarder d'un œil autre que professionnel quelques jeunes filles juteuses, venues chercher une ordonnance pour des tests PCR, entre autres. Il sentait bien qu'il n'aurait pas eu à faire beaucoup d'efforts pour culbuter notamment une petite blonde qui promenait ses gros seins sous son nez pendant qu'il procédait à des examens de routine. Mais un vieux fond de déontologie et surtout un appétit moyen pour les tendrons lui avaient permis de résister.
Il en alla tout autrement lorsque débarqua dans son cabinet une splendide brune à peau ambrée, quadra comme lui, venue le consulter pour des problèmes de dos. Vêtue d'une mini robe découvrant largement ses cuisses fuselées, arborant sans complexe l'absence de soutien-gorge, ce qui faisait pointer ses seins menus sous la toile légère, mais dotée surtout d'un regard de braise où n'importe quel homme pouvait déceler un formidable appétit sexuel, elle tétanisa le docteur Martin la première fois qu'il la vit. Elle expliqua qu’elle était venue pour ses problèmes de dos, dont elle souffrait depuis sa dernière grossesse et qui s’étaient aggravés depuis qu’elle ne pouvait pratiquer les séances de piscine et de gymnastique qui lui faisaient beaucoup de bien.
Troublé par cette femme, le Docteur Martin bredouilla ses consignes, expliquant qu’il voulait prescrire des examens complémentaires, notamment des radios. Il écrivit d’une main tremblante son ordonnance, ce qui amusa son interlocutrice. Celle-ci, parfaitement consciente de son charme et de son impact sur les hommes normalement constitués, n'était pas non plus insensible à la virilité du médecin, solidement charpenté, brun aux yeux azur, et doté de mains fines faites pour la caresse. Mais comme il n'était pas dans sa tête, il ne s'en rendit pas compte. En tout cas, Olga se dit que son amie Christelle lui avait donné un excellent conseil.
La consultation eut beau durer dix minutes à peine, elle laissa le toubib tellement troublé qu'il attendit quelques minutes avant d'appeler le patient suivant, un gros homme terrifié par la perspective d'attraper le Covid et venu chercher un traitement inconnu. Joseph Martin gardait encore dans la rétine la démarche chaloupée de la jeune femme quittant son cabinet et dont il savait désormais le nom et le prénom, mais pas plus. Olga, c'était russe ? Il se demanda s'il la reverrait un jour mais dans la négative, ça valait mieux pour son couple. Cette femme, cette femelle plutôt, était une vraie diablesse. Il en bandait encore sous son bureau.
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Olga était bien décidée à dérouler son plan et procéda rapidement aux examens et radios prescrites par le Docteur Martin. Elle l’appela ensuite pour prendre un nouveau rendez-vous. La voix de Joseph révélait son trouble. Olga était convaincue de parvenir à ses fins.
Olga commença par veiller à sa tenue et soigner son apparence : elle choisit une jupe crayon, courte, moulante, noire, avec boutons en métal sur le devant. Comme dessous, elle ne portera qu’un mini-string, qui ne cache pas ses fesses. Elle sait ainsi que cette tenue met en valeur ses jambes et ses jolies fesses. Elle choisit enfin un débardeur blanc, en « V », sans manches, avec bretelles croisées. Ses bras et ses épaules sont donc nues et sa poitrine mise en valeur. Et bien entendu pas de soutien-gorge sous ce débardeur.
Compte tenu de la saison, et pour dissimuler cette tenue plutôt provocante, Olga mettra un imperméable fin. Elle a complété son apparence, selon ses habitudes, avec un trait de khôl pour accentuer la profondeur de ses yeux noirs et en appliquant sur ses lèvres un lipstick classique, rose.
Compte tenu du contexte sanitaire, les patients ont tous pris rendez-vous et sont installés dans la salle d’attente, à des distances qui respectent les gestes barrière. Il fait chaud dans cette pièce, ce qui contraint Olga à enlever son imperméable. Sa tenue attire immédiatement la convoitise des hommes et, de la part de certaines femmes, un regard réprobateur. Derrière son masque, Olga ne peut sourire aux premiers mais son regard est parlant, encourageant envers les hommes et ironique envers les mégères jalouses. La pandémie n’a eu raison ni de son exhibitionnisme, ni de son côté volontiers provocateur.
En faisant assoir Olga en face de son bureau, Joseph se dit qu’elle était encore plus sexy que la dernière fois. Il reprend ses esprits, c’est le médecin qui est dans cette pièce et doit l’emporter sur le mâle qui, inévitablement est attiré par le sex-appeal exacerbé de cette femme.
• J’ai eu les résultats des radios et des examens. Il n’y a rien de grave. Je vais vous faire quelques manipulations, ça vous soulagera. Passons à côté, à la salle d’examens.
Joseph réalise alors la situation et exprime son embarras :
• Euh, comment vous dire, Madame T, vous n’avez pas choisi la tenue la plus adéquate pour un examen et une manipulation.
• Vous êtes Docteur, ça ne pose pas de problèmes, dit Olga, en enlevant sans hésitation sa jupe et son débardeur.
Elle n’a plus que son mini-string, qui ne cachait en effet pas grand-chose.
Joseph fait son possible pour masquer son trouble, mais, la nature étant ce qu’elle est, il ne peut dissimuler une formidable érection. « La salope, pense-t-il, elle me provoque ! »
• Mettez-vous sur le ventre, je vais vous examiner et commencer la manipulation.
Joseph est un professionnel et il fait tous les efforts possibles pour se concentrer sur ce qu’il a à faire. Il prend tout son temps pour l’examen et commencer la manipulation.
• Vous avez des douleurs ici, n’est-ce pas ?
• Hum oui, Docteur, c’est ça ! Continuez à me toucher, vos mains sur moi, ça me fait beaucoup de bien.
Et en effet l’excitation d’Olga ne cesse de croître. Elle sent que les pointes de ses seins deviennent durs et que sa chatte s’humidifie. Olga connait bien sa libido. Elle a une envie irrésistible que ce mâle la prenne.
L’exercice avait été compliqué pour Joseph mais il savait y faire, il ne pensait à rien d’autre et surtout pas à ce que cette femme provoquait chez lui, à savoir un désir animal.
• Il me reste un dernier exercice à faire. Pour cela, vous devez être debout. Je me place derrière vous, je vous serre contre moi, mes bras vous tiennent et vous serrent, je tire jusqu‘à ce qu’on entende un craquement.
C’était ce qu’Olga attendait et espérait bien que cela permette de passer à une autre forme de traitement. Elle ne peut s’empêcher d’ajouter :
• Vous allez donc me tirer ? J’en ai très envie en effet !
• Oh, Madame T ! Pour cet exercice, vous pouvez vous rhabiller.
• Ca ne me dérange pas de rester ainsi. Au contraire !
• Moi je préfère !
Olga obtempéra, avec regret.
Joseph se place derrière elle, ses bras devant elle, avec une serviette. Olga sent contre elle la formidable érection de l’homme. Il a lui aussi envie d’elle. En experte, elle est bien décidée à ce que les choses se fassent.
Le médecin finit son travail. La patiente allait pouvoir laisser la place à la femme, bien décidée à être prise.
Joseph fait le geste prévu. On entend un craquement, qui marque la fin de la manipulation et, pour Joseph, la fin d’un supplice, car il ne peut en effet nier ce que cette diablesse provoque chez lui.
Mais avant qu’il ait eu le temps de la lâcher, Olga porte sa main sur la braguette du Docteur et commence à le caresser à travers le jeans.
• Merci beaucoup, Joseph. Mais j’ai encore envie d’autre chose et toi aussi, n’est-ce pas ?
Elle avait enlevé ses vêtements, ne gardant provisoirement que le string qui était trempé par son excitation. Elle venait de l’appeler par son prénom et de le tutoyer. Le désir d’Olga était sans ambigüités. Elle n’avait pas l’intention de sortir de ce cabinet avant que cet homme ne l’ait honoré.
******
Joseph Martin était en train de perdre complètement le contrôle de la situation. Certes, ce n'était pas la première fois qu'une patiente lui faisait du charme. Mais aucune ne l'avait mise dans cet état. Et quand la somptueuse brune, quasiment nue, se mit accroupie devant sa braguette ouverte, saisissant son dard tendu pour le porter à sa bouche, il était dans l'incapacité de lui résister. Une langue veloutée s'empara de son gland survitaminé alors que son pantalon tombait sur ses chevilles et que la femelle tirait en même temps son slip vers le bas. Il eut une brève pensée vers Karine, son épouse, et vers la salle d'attente où d'autres patients étaient loin de se douter de ce qui se passait dans le cabinet de leur médecin. Mais ces scrupules s'évanouirent quand la belle brune se retourna, coudes posés sur la table d'examen, jambes légèrement écartées, et lui souffla, après avoir enlevé son string :
• Viens maintenant, j'ai envie.
Joseph Martin avait trop envie de s'enfoncer en elle pour résister. Si sa tête sonnait encore l'alarme, son pénis réclamait un soulagement immédiat. Les jambes légèrement fléchies, les mains posées sur les hanches de sa patiente au cul en l'air, il se laissa guider par la main habile de celle-ci et s'enfonça d'un coup, jusqu'à la garde.
Ce fut un coït bref mais intense. Accompagné par les coups de cul de sa partenaire impromptue, le médecin baiseur lui délivra une rafale de pénétrations qui auraient provoqué une bruyante extase de la part de la récipiendaire, si celle-ci ne s'était pas mordue la main pour étouffer ses cris. Il croisa son regard énamouré quand elle se retourna brièvement vers lui et cette vision lui fit accélérer son rythme, à tel point qu'il la décolla presque du sol.
• Oh, que c’est bon. Que ça m’a manqué ! Vas-y ! Mets-la-moi bien profond !
Olga jouissait et enchaînait les orgasmes, ses cris emplissaient le cabinet, dont les portes étaient heureusement bien capitonnées.
Ce besoin de copuler avait été si puissant que Joseph Martin en avait oublié toute précaution et omis de coiffer un préservatif, un comble pour un toubib. Un éclair de lucidité lui fit se retirer au moment de l'éjaculation, qui éclaboussa le dos brun de la patiente, laquelle se retourna vivement pour « nettoyer » de sa langue le gland encore palpitant.
Le regard de feu de la jolie brune indiquait qu’elle aurait volontiers remis le couvert, mais le Docteur ne pouvait prolonger davantage cette « consultation ».
Confus, mais apaisé, le médecin eut alors un mot stupide en se reculottant :
• Excusez-moi madame.
• De rien, docteur, tout le plaisir était pour moi.
Pendant que la patiente se rhabillait, si l'on peut dire, vue sa tenue, Joseph Martin reprit peu à peu contenance et gribouilla une ordonnance quasiment illisible. Inutile de dire que la consultation fut gratuite... Et Olga T. sortit du cabinet d'un air détaché sous l'œil courroucé de la salle d'attente, qui avait trouvé un peu longue cette consultation. Le patient suivant était une grosse femme en proie à des rhumatismes, qui ramenèrent illico le médecin à la réalité de son métier.
****
En regagnant son domicile, Olga se sentait apaisée. Elle avait enfin comblé ce manque terrible qui la travaillait depuis des semaines. Elle était consciente qu’elle venait de déroger gravement, en s’offrant à un inconnu, fut-il médecin, aux accords passés avec son mari Philippe, puisque celui-ci n’avait pas donné son accord préalable et n’avait même pas été informé des frasques de sa volcanique épouse.
Olga entendait bien ne pas rester sur cette situation. Elle raconterait à Philippe, sans omettre le moindre détail, tout ce qui s’était passé. Et puis, dans le contexte actuel, et pour satisfaire les fantasmes de son époux, Olga comptait bien remettre ça, mais dans un autre cadre.
Elle voulait transformer ce qui était un adultère en une séance candauliste. Restait à savoir si le Docteur Joseph Martin se prêterait à ce jeu !
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