Si Jeune et jolie Christy - V

Récit érotique écrit par olifougueux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Si Jeune et jolie Christy - V
Deuxième essai – un espoir grandissant
Notre première expérience d’exhibition coquine en lieu public ayant eu un résultat mitigé, j’avais décidé de calmer le jeu. Comme elle n’avait pas fermé définitivement la porte malgré les ressentis négatifs de la soirée d’Halloween, mais qu’elle m’avait même avoué avoir ressenti une certaine excitation, je souhaitais temporiser, avant de réessayer, afin de ne pas la brusquer, lui laisser le temps de digérer. Cela me permettait aussi de mieux peaufiner un nouveau scénario, en tenant compte de ces critiques, afin de corriger les aspects négatifs dont elle s’était plainte.
Quatre mois s’étaient écoulés, les fêtes de fin d’année étaient derrière nous. Nous étions début mars, c’était en 2023. Et qui dit mars, dit saint Patrick, patron des Irlandais. Encore une soirée ou les rues et les bars seraient farcis de monde, et où la bière coulerait à flots. Je proposais donc à Christy de retenter l’expérience, en lui promettant d´être plus attentif et protecteur. Et que, nous pouvions proposer à un ami à moi de nous accompagner de façon à ce qu’elle ne se retrouve pas seule lorsque j’aurais besoin de me vider la vessie. Et oui, la bière, ça fait pisser. Même quand on n’y pense pas, ça fait pisser. Elle hésita un peu, puis acquiesça.
Me voilà donc de nouveau sur la route de mon sexshop préféré. Ayant la chance d’avoir affaire à la même vendeuse, je lui demandais le même short en latex mais de couleur verte cette fois-ci, « St Patrick » oblige. Fort heureusement, il existait aussi dans ce coloris. Pour les chaussures, je prenais une paire de bottes plateau couvrant tout le mollet jusqu’au genou, et lacées de bas en haut sur le devant. Je les avais déjà repérées quatre mois plus tôt. Puis je me mis en quête du haut. Je jetai mon dévolu sur un blouson en jean vert, coupe spencer.
En ce qui concerne notre accompagnateur, j’avais une petite idée en tête. Je ne voulais pas d’un ami proche car je craignais d’être jaloux s’il devait se passer quoi que ce soit. Je n’y croyais pas vraiment mais sait-on jamais, j’espérais un peu. Or il se trouve qu’un gars que je ne connaissais pas plus que cela mais avec qui, à force de se rencontrer dans les mêmes troquets, nous avions fini par discuter et boire quelques verres, m’avais dit un soir qu’il m’avait vu avec ma copine et qu’il l’avait trouvée canon (je ne le savais pas encore, mais c’était le soir d’Halloween qu’il nous avait vu). Au fil des quelques discussions, il m’avait dit qu’il venait d’une autre localité et nous avions fini par échanger nos numéros de téléphone au cas où. Il me semblait assez vantard mais, si j’en croyais la teneur habituelle de ses conversations, il s’avérait être un sacré queutard.
Je n’eus pas besoin de l’appeler car il se trouve que le soir même en revenant d’acheter la nouvelle tenue de Christy, je me rendis à mon bar habituel et, heureux hasard, il était là. Je pris une bière au bar et vins m’assoir à côté de lui. Nous échangeâmes les politesses habituelles et il me dit qu’il venait de rompre avec sa copine, certainement lassée de ses virées nocturnes solitaires. Je sautais sur l’occasion pour lui demander s’il serait là dans deux semaines, pour la St Patrick. Il me répondit qu’il ne savait pas encore ce qu’il ferait ce soir-là, ni où il passerait la soirée. Mais lorsque je lui dis que je serais alors avec ma copine et qu’il pouvait se joindre à nous si le cœur lui en disait, je notais que l’expression de son visage avait changée. Je me levais pour rentrer chez moi et lui dis de m’envoyer un texto s’il se décidait.
Et bingo ! Le vendredi suivant, je reçu un message qui me disait que finalement, il n’avait rien de prévu pour le weekend suivant et que si ma proposition tenait toujours, il serait ravi de se joindre à nous. Je lui répondais que oui, l’invitation était toujours valide et que nous nous rejoindrions au bar vers vingt-deux heures. Sur ce, j’informai Christy que comme je lui avais promis, une de mes connaissances nous accompagnerait et qu’elle n’avait plus à craindre de se retrouver perdue seule dans la foule comme la fois précédente. Elle en fut ravie. Je n’avais pas une grande confiance en ce gars, mais après tout, cela m’arrangeait plutôt. L’idée qu’il puisse tenter de la séduire pouvait peut-être m’aider à faire évoluer son dévergondage. Et si cela se passait mal, je pourrai couper court face à elle sans perdre un véritable ami.
Vendredi 17 mars, vingt heure quarante-cinq. Après un léger repas, Christy se préparait, douche, habillage et maquillage. Elle était encore plus belle que la dernière fois. Elle n’avait pas remis sa combinaison filet de pêche car les mailles de celle-ci, lors d’Halloween, coincées entre sa peau délicate et le short en latex, lui avait un peu irrité l’entrejambe. Elle avait donc opté pour une paire de bas noir auto-fixant qui se terminait par deux bandes plus opaques aux deux tiers de la hauteur des cuisses en dessus du genou. Cela laissait donc nue, une bande de sa peau blanche de l’épaisseur d’une main, entre le haut des bas et le bas du short en latex. Du moins sur le devant car à l’arrière, entre l’abondance de ses fesses dodues et l’échancrure du short, il aurait bien fallu trois mains pour couvrir la surface du derme se trouvant à l’air libre.
Avec les bottes à lacets qui couvrait toute la hauteur du mollet, cela faisait un enchainement de matière étonnant du plus bel effet, cuir, nylon, peau latex ! Les talons carrés, raisonnablement hauts, suffisaient à donner une cambrure outrancière à son cul rebondi. Mais ne nous laissons pas perdre en digressions oiseuses, reprenons l’ascension de ce corps sculptural. Au-dessus du short, une autre bande de peau plus large encore, laissait voir son ventre rond et tendu. Celle-ci démarrait juste à raz de son pubis glabre. Le nombril faisait comme un trait d’union entre le short et le spencer qui, lui, ne descendait que de dix centimètres en dessous du galbe arrondit de ses petits seins en forme de citron, relativement écartés avec le spencer ouvert, mais qui se rapprochaient l’un de l’autre si elle fermait un bouton. J’aimais bien les deux configurations. Enfin, sous le spencer, une brassière en lycra noir qui épousait, sans contrainte, la forme de sa menue poitrine que l’on pouvait voir s’animer librement sous l’effet de sa respiration ou de ses mouvements.
Plus tard dans la soirée, un petit chapeau haut de forme vert et ridicule, floqué du logo d’une marque de la plus célèbre marque de bière irlandaise, duquel dépassait gracieusement son épaisse chevelure blonde, viendrait parfaire tout cela. Mais n’anticipons pas. Il était vingt et une heure quarante, nous quittions mon appartement et nous mettions en route vers le bar.
Dans les rues, de nouveau blindées, la même foule joyeuse et festive, voguait de bar en bar, d’une ferveur maladive d’envie de s’abreuver. Et le cul de Christy, tout aussi éclatant, fendait foule aisément de son déhanchement, attirant les regards, comme un aimant l’acier, des ivrognes croisés, chantants et trébuchants. Traverser la terrasse et la salle dedans, nous prit beaucoup de temps tant il y avait de gens, aux mains très caressantes, aux corps entreprenants. Là, j’aperçus mon comparse et nous le rejoignîmes. A son regard brulant, n’ayant d’yeux que pour elle, on remarquait sans mal qu’il était subjugué, en lui faisant la bise et déclamant son nom « Gabriel, enchanté ». « Moi c’est Christy, de même » répondit mon aimée. Tout semblait s’enclencher, lentement, surement, comme je l’avais souhaité.
Assise entre nous deux, Christy riait sans fin, à ses plaisanteries et calembours coquins. Moi je lui caressais, la nuque, les épaules, doucement de la main, qui glissait lentement sur le côté du sein. Nous étions bien serrés, donc il me voyait bien, et devait ressentir sur sa jambe musclée, la chaleur de sa cuisse, á elle, qui s’y collait. Le voulait-elle bien, ou n’avait d’autre choix ? Je ne le savais pas, ne pouvais donc qu’attendre, réprimant les pulsions qui me faisaient bander, espérant la surprendre être toute excitée, par ce galant gourmand de ses trésors cachés, au baratin si grand, finement orchestré. Je la sentais séduite, ne regardant que lui, elle ne pouvait pas voir que cela m’excitait, et j’en était ravi, j’allais remplir nos verres.
Attendant patiemment dans la queue des soiffards, qui m’éloignait du bar, nos trois verres en main, je tournais de moitié pour regarder en coin, vers la table où ma belle écoutait mon ami. Sur la banquette en skaï que j’avais libérée, elle avait pris ses aises et s’était alanguie, le coude sur la table, la joue contre la paume et les doigts courts et fins de sa petite main. La musique cessa, engendrant le silence et la voix du barman, bien fort, se fit entendre, annonçant le concours, de la Miss de ce soir que nous devions élire à l’unanimité. Un complice passa, auprès de chaque table, choisissant ci et là une belle enivrée, qui riait aux éclats d’être sélectionnée. Christy fut la troisième, qui, je n’lui en veux pas, fut l’objet de son choix et dû comme les autres, sur la table grimper, comme sur une estrade où les gens la jugeaient.
Mais perdant l’équilibre mon ami la sauva, de sa main forte et franche sur son petit paquet, il souleva ma tendre, pour la faire monter, la sauvant de la chute et de l’humiliation. Je vis très nettement l’effort qu’il avait fait car dans la fine fente le short était rentré, dessinant sans ambages un « Camel Toe » vert tendre attirant les regards de toute l’assemblée. C’est surement pour ça, qu’aux applaudissements, ma Christy remporta le concours aisément, gagnant un chapeau vert qu’elle coiffa de suite et puis redescendit prudemment de la table, prenant la main hardie de son beau cavalier qui de l’autre saisit une hanche courbée. En bas et saine et sauve, elle, debout face à lui, déclara quelque chose, ce à quoi il sourit, il ne lâcha sa main qu’une fois ré-assis.
Cette scène anodine, que j’avais observée, inexplicablement m’avait durci la pine, j’avais peine à marcher, les trois verres remplis, qui m’occupaient les mains, m’empêchant strictement, de me réajuster. Arrivant auprès d’eux, après ce dur périple, j’embrassai ma chérie et la félicitai, elle se poussa vers lui, pour me rendre ma place, leur cuisses respectives renouèrent contact, elle avait l’air tactile, du moins plus qu’au début et moi j’étais ému, par cet heureux présage, que pervers et vicieux, j’appelais de mes vœux. Lui-même avait changé, dans son comportement, encore plus loquace, bien plus entreprenant. C’était bien sûr ma place, qu’il voulait me ravir, entre ses jambes grasses plutôt que dans son cœur. Il avait bien agi en lui sauvant la mise, bien que ce fut son cul qu’il toucha sans scrupule, Christy était troublée mais si reconnaissante, qu’elle se comportait, presque en toute innocence, avec légèreté que d’habitude on offre qu’à celui qu’on choisit, avec qui on copule.
Se retournant vers moi la mine circonspecte, elle me signifia d’un regard ahuri, cette main furetant, pour le moins indiscrète, au-dessus de son bas, sur sa peau nue transie. Ravi de cette audace, la queue hyper tendue, d’un clin d’œil bien salace, plein de sous-entendus, j’enjoignis ma Christy de ne surtout rien faire. Le bougre encouragé par sa non-réaction, glissa son petit doigt sous le latex humide, pour lui gratter le con sans avoir l’air de rien. Soupirant sans rien dire elle raidi son dos sous la caresse intime en cramponnant la table, les menottes crispées. L’ignorant du regard, à moi il s’adressa, me proposant d’aller dans un lieu plus tranquille, complètement d’accords j’opinai de la tête, pris la main de Christy et traçai le chemin. Accouru derrière elle, il avait maintenant, sur son fessier bien ferme, Ô combien avenant, les cinq doigts étalés, la poussant gentiment, pour l’aider à me suivre, sans risquer de me perdre.
Dehors il faisait beau et les rues silencieuses nous guidaient vers chez moi. Nous marchions tous de front en cadence ambitieuse, mon bras autour du cou, le sien autour des hanches. Le latex inondé glissant entre ses lèvres, la foufoune trempée émettait quelques sons de clapotis sournois, qui nous garantissait l’ampleur de son émoi et son excitation. Elle ne pouvait rien dire et gardait le silence, car trahit par son corps qui murmurait sa transe, gênée, elle perdait toute son assurance. Nous pour la rassurer, et pas qu’elle panique, lui déclamions des mots plus que dithyrambiques. Enfin nous arrivions au bas de mon immeuble et je tournais la clé dans la serrure en fer, qui cédant nous ouvrait la porte vers les cieux. Dans l’ascenseur montant nos corps étaient serrés, nous sentions tous les trois nos souffles enflammés, nous entrâmes chez moi le cœur plein de désirs, lui voulait la baiser et moi la voir jouir…
Notre première expérience d’exhibition coquine en lieu public ayant eu un résultat mitigé, j’avais décidé de calmer le jeu. Comme elle n’avait pas fermé définitivement la porte malgré les ressentis négatifs de la soirée d’Halloween, mais qu’elle m’avait même avoué avoir ressenti une certaine excitation, je souhaitais temporiser, avant de réessayer, afin de ne pas la brusquer, lui laisser le temps de digérer. Cela me permettait aussi de mieux peaufiner un nouveau scénario, en tenant compte de ces critiques, afin de corriger les aspects négatifs dont elle s’était plainte.
Quatre mois s’étaient écoulés, les fêtes de fin d’année étaient derrière nous. Nous étions début mars, c’était en 2023. Et qui dit mars, dit saint Patrick, patron des Irlandais. Encore une soirée ou les rues et les bars seraient farcis de monde, et où la bière coulerait à flots. Je proposais donc à Christy de retenter l’expérience, en lui promettant d´être plus attentif et protecteur. Et que, nous pouvions proposer à un ami à moi de nous accompagner de façon à ce qu’elle ne se retrouve pas seule lorsque j’aurais besoin de me vider la vessie. Et oui, la bière, ça fait pisser. Même quand on n’y pense pas, ça fait pisser. Elle hésita un peu, puis acquiesça.
Me voilà donc de nouveau sur la route de mon sexshop préféré. Ayant la chance d’avoir affaire à la même vendeuse, je lui demandais le même short en latex mais de couleur verte cette fois-ci, « St Patrick » oblige. Fort heureusement, il existait aussi dans ce coloris. Pour les chaussures, je prenais une paire de bottes plateau couvrant tout le mollet jusqu’au genou, et lacées de bas en haut sur le devant. Je les avais déjà repérées quatre mois plus tôt. Puis je me mis en quête du haut. Je jetai mon dévolu sur un blouson en jean vert, coupe spencer.
En ce qui concerne notre accompagnateur, j’avais une petite idée en tête. Je ne voulais pas d’un ami proche car je craignais d’être jaloux s’il devait se passer quoi que ce soit. Je n’y croyais pas vraiment mais sait-on jamais, j’espérais un peu. Or il se trouve qu’un gars que je ne connaissais pas plus que cela mais avec qui, à force de se rencontrer dans les mêmes troquets, nous avions fini par discuter et boire quelques verres, m’avais dit un soir qu’il m’avait vu avec ma copine et qu’il l’avait trouvée canon (je ne le savais pas encore, mais c’était le soir d’Halloween qu’il nous avait vu). Au fil des quelques discussions, il m’avait dit qu’il venait d’une autre localité et nous avions fini par échanger nos numéros de téléphone au cas où. Il me semblait assez vantard mais, si j’en croyais la teneur habituelle de ses conversations, il s’avérait être un sacré queutard.
Je n’eus pas besoin de l’appeler car il se trouve que le soir même en revenant d’acheter la nouvelle tenue de Christy, je me rendis à mon bar habituel et, heureux hasard, il était là. Je pris une bière au bar et vins m’assoir à côté de lui. Nous échangeâmes les politesses habituelles et il me dit qu’il venait de rompre avec sa copine, certainement lassée de ses virées nocturnes solitaires. Je sautais sur l’occasion pour lui demander s’il serait là dans deux semaines, pour la St Patrick. Il me répondit qu’il ne savait pas encore ce qu’il ferait ce soir-là, ni où il passerait la soirée. Mais lorsque je lui dis que je serais alors avec ma copine et qu’il pouvait se joindre à nous si le cœur lui en disait, je notais que l’expression de son visage avait changée. Je me levais pour rentrer chez moi et lui dis de m’envoyer un texto s’il se décidait.
Et bingo ! Le vendredi suivant, je reçu un message qui me disait que finalement, il n’avait rien de prévu pour le weekend suivant et que si ma proposition tenait toujours, il serait ravi de se joindre à nous. Je lui répondais que oui, l’invitation était toujours valide et que nous nous rejoindrions au bar vers vingt-deux heures. Sur ce, j’informai Christy que comme je lui avais promis, une de mes connaissances nous accompagnerait et qu’elle n’avait plus à craindre de se retrouver perdue seule dans la foule comme la fois précédente. Elle en fut ravie. Je n’avais pas une grande confiance en ce gars, mais après tout, cela m’arrangeait plutôt. L’idée qu’il puisse tenter de la séduire pouvait peut-être m’aider à faire évoluer son dévergondage. Et si cela se passait mal, je pourrai couper court face à elle sans perdre un véritable ami.
Vendredi 17 mars, vingt heure quarante-cinq. Après un léger repas, Christy se préparait, douche, habillage et maquillage. Elle était encore plus belle que la dernière fois. Elle n’avait pas remis sa combinaison filet de pêche car les mailles de celle-ci, lors d’Halloween, coincées entre sa peau délicate et le short en latex, lui avait un peu irrité l’entrejambe. Elle avait donc opté pour une paire de bas noir auto-fixant qui se terminait par deux bandes plus opaques aux deux tiers de la hauteur des cuisses en dessus du genou. Cela laissait donc nue, une bande de sa peau blanche de l’épaisseur d’une main, entre le haut des bas et le bas du short en latex. Du moins sur le devant car à l’arrière, entre l’abondance de ses fesses dodues et l’échancrure du short, il aurait bien fallu trois mains pour couvrir la surface du derme se trouvant à l’air libre.
Avec les bottes à lacets qui couvrait toute la hauteur du mollet, cela faisait un enchainement de matière étonnant du plus bel effet, cuir, nylon, peau latex ! Les talons carrés, raisonnablement hauts, suffisaient à donner une cambrure outrancière à son cul rebondi. Mais ne nous laissons pas perdre en digressions oiseuses, reprenons l’ascension de ce corps sculptural. Au-dessus du short, une autre bande de peau plus large encore, laissait voir son ventre rond et tendu. Celle-ci démarrait juste à raz de son pubis glabre. Le nombril faisait comme un trait d’union entre le short et le spencer qui, lui, ne descendait que de dix centimètres en dessous du galbe arrondit de ses petits seins en forme de citron, relativement écartés avec le spencer ouvert, mais qui se rapprochaient l’un de l’autre si elle fermait un bouton. J’aimais bien les deux configurations. Enfin, sous le spencer, une brassière en lycra noir qui épousait, sans contrainte, la forme de sa menue poitrine que l’on pouvait voir s’animer librement sous l’effet de sa respiration ou de ses mouvements.
Plus tard dans la soirée, un petit chapeau haut de forme vert et ridicule, floqué du logo d’une marque de la plus célèbre marque de bière irlandaise, duquel dépassait gracieusement son épaisse chevelure blonde, viendrait parfaire tout cela. Mais n’anticipons pas. Il était vingt et une heure quarante, nous quittions mon appartement et nous mettions en route vers le bar.
Dans les rues, de nouveau blindées, la même foule joyeuse et festive, voguait de bar en bar, d’une ferveur maladive d’envie de s’abreuver. Et le cul de Christy, tout aussi éclatant, fendait foule aisément de son déhanchement, attirant les regards, comme un aimant l’acier, des ivrognes croisés, chantants et trébuchants. Traverser la terrasse et la salle dedans, nous prit beaucoup de temps tant il y avait de gens, aux mains très caressantes, aux corps entreprenants. Là, j’aperçus mon comparse et nous le rejoignîmes. A son regard brulant, n’ayant d’yeux que pour elle, on remarquait sans mal qu’il était subjugué, en lui faisant la bise et déclamant son nom « Gabriel, enchanté ». « Moi c’est Christy, de même » répondit mon aimée. Tout semblait s’enclencher, lentement, surement, comme je l’avais souhaité.
Assise entre nous deux, Christy riait sans fin, à ses plaisanteries et calembours coquins. Moi je lui caressais, la nuque, les épaules, doucement de la main, qui glissait lentement sur le côté du sein. Nous étions bien serrés, donc il me voyait bien, et devait ressentir sur sa jambe musclée, la chaleur de sa cuisse, á elle, qui s’y collait. Le voulait-elle bien, ou n’avait d’autre choix ? Je ne le savais pas, ne pouvais donc qu’attendre, réprimant les pulsions qui me faisaient bander, espérant la surprendre être toute excitée, par ce galant gourmand de ses trésors cachés, au baratin si grand, finement orchestré. Je la sentais séduite, ne regardant que lui, elle ne pouvait pas voir que cela m’excitait, et j’en était ravi, j’allais remplir nos verres.
Attendant patiemment dans la queue des soiffards, qui m’éloignait du bar, nos trois verres en main, je tournais de moitié pour regarder en coin, vers la table où ma belle écoutait mon ami. Sur la banquette en skaï que j’avais libérée, elle avait pris ses aises et s’était alanguie, le coude sur la table, la joue contre la paume et les doigts courts et fins de sa petite main. La musique cessa, engendrant le silence et la voix du barman, bien fort, se fit entendre, annonçant le concours, de la Miss de ce soir que nous devions élire à l’unanimité. Un complice passa, auprès de chaque table, choisissant ci et là une belle enivrée, qui riait aux éclats d’être sélectionnée. Christy fut la troisième, qui, je n’lui en veux pas, fut l’objet de son choix et dû comme les autres, sur la table grimper, comme sur une estrade où les gens la jugeaient.
Mais perdant l’équilibre mon ami la sauva, de sa main forte et franche sur son petit paquet, il souleva ma tendre, pour la faire monter, la sauvant de la chute et de l’humiliation. Je vis très nettement l’effort qu’il avait fait car dans la fine fente le short était rentré, dessinant sans ambages un « Camel Toe » vert tendre attirant les regards de toute l’assemblée. C’est surement pour ça, qu’aux applaudissements, ma Christy remporta le concours aisément, gagnant un chapeau vert qu’elle coiffa de suite et puis redescendit prudemment de la table, prenant la main hardie de son beau cavalier qui de l’autre saisit une hanche courbée. En bas et saine et sauve, elle, debout face à lui, déclara quelque chose, ce à quoi il sourit, il ne lâcha sa main qu’une fois ré-assis.
Cette scène anodine, que j’avais observée, inexplicablement m’avait durci la pine, j’avais peine à marcher, les trois verres remplis, qui m’occupaient les mains, m’empêchant strictement, de me réajuster. Arrivant auprès d’eux, après ce dur périple, j’embrassai ma chérie et la félicitai, elle se poussa vers lui, pour me rendre ma place, leur cuisses respectives renouèrent contact, elle avait l’air tactile, du moins plus qu’au début et moi j’étais ému, par cet heureux présage, que pervers et vicieux, j’appelais de mes vœux. Lui-même avait changé, dans son comportement, encore plus loquace, bien plus entreprenant. C’était bien sûr ma place, qu’il voulait me ravir, entre ses jambes grasses plutôt que dans son cœur. Il avait bien agi en lui sauvant la mise, bien que ce fut son cul qu’il toucha sans scrupule, Christy était troublée mais si reconnaissante, qu’elle se comportait, presque en toute innocence, avec légèreté que d’habitude on offre qu’à celui qu’on choisit, avec qui on copule.
Se retournant vers moi la mine circonspecte, elle me signifia d’un regard ahuri, cette main furetant, pour le moins indiscrète, au-dessus de son bas, sur sa peau nue transie. Ravi de cette audace, la queue hyper tendue, d’un clin d’œil bien salace, plein de sous-entendus, j’enjoignis ma Christy de ne surtout rien faire. Le bougre encouragé par sa non-réaction, glissa son petit doigt sous le latex humide, pour lui gratter le con sans avoir l’air de rien. Soupirant sans rien dire elle raidi son dos sous la caresse intime en cramponnant la table, les menottes crispées. L’ignorant du regard, à moi il s’adressa, me proposant d’aller dans un lieu plus tranquille, complètement d’accords j’opinai de la tête, pris la main de Christy et traçai le chemin. Accouru derrière elle, il avait maintenant, sur son fessier bien ferme, Ô combien avenant, les cinq doigts étalés, la poussant gentiment, pour l’aider à me suivre, sans risquer de me perdre.
Dehors il faisait beau et les rues silencieuses nous guidaient vers chez moi. Nous marchions tous de front en cadence ambitieuse, mon bras autour du cou, le sien autour des hanches. Le latex inondé glissant entre ses lèvres, la foufoune trempée émettait quelques sons de clapotis sournois, qui nous garantissait l’ampleur de son émoi et son excitation. Elle ne pouvait rien dire et gardait le silence, car trahit par son corps qui murmurait sa transe, gênée, elle perdait toute son assurance. Nous pour la rassurer, et pas qu’elle panique, lui déclamions des mots plus que dithyrambiques. Enfin nous arrivions au bas de mon immeuble et je tournais la clé dans la serrure en fer, qui cédant nous ouvrait la porte vers les cieux. Dans l’ascenseur montant nos corps étaient serrés, nous sentions tous les trois nos souffles enflammés, nous entrâmes chez moi le cœur plein de désirs, lui voulait la baiser et moi la voir jouir…
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