Si Jeune et jolie Christy - VI

- Par l'auteur HDS olifougueux -
Auteur homme.
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Récit libertin : Si Jeune et jolie Christy - VI Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Si Jeune et jolie Christy - VI
Essai transformé – un vœu bien exaucé

A peine entrés dans mon appartement, Christy courut droit vers les toilettes pour ne pas se pisser dessus, ah la bière… J’entrainais Gabriel au salon et le fit assoir sur le sofa trois places. Dans la vitrine/bar, je prenais la bouteille de mon meilleur cognac et trois verres. Je lui pris sa veste que j’allai accrocher au porte manteau dans le vestibule avec la mienne. En revenant, je nous servis et m’assis à côté de lui. C’est lui qui me parla le premier après un silence pesant. Il me dit combien il appréciait Christy, qu’il la trouvait très sympathique et terriblement sexy. Il me demanda si nous étions ensemble depuis longtemps. Je lui répondis que nous nous étions connus un an auparavant, et que nous étions ensemble depuis neuf mois. Il déclara que je n’avais pas l’air jaloux et semblais plutôt partageur, sur un ton quelque peu investigateur.


Christy ne revenant toujours pas des toilettes, baissant un peu la voix, sur le ton de la confidence, je lui répondis qu’il ne devait pas se méprendre car j’étais très épris d’elle et que je ne voulais pas la perdre. Une moue d’inquiétude déçue s’afficha sur son visage mais je poursuivais mon monologue en lui confiant que ce que je voulais avant tout, c’était son bonheur, qu’elle se sente libre et heureuse. Qu’ainsi j’étais prêt à tolérer ses choix et ses envies quels qu’ils furent. Je lui précisai que j’avais vu sa main inquisitrice au bar et que j’avais encouragé Christy à le laisser faire si elle y trouvait du plaisir. Que je n’étais donc pas dupe sur ses intentions et qu’à la condition qu’il se comporte en douceur et avec respect, cela ne me dérangeait pas qu’il tentât sa chance, au contraire, et que je ne m’y opposerais pas. Mais que la décision n’appartenait qu’à elle et seulement elle. Que donc je n´apporterais mon aide que si elle exprimait son consentement, d’une manière ou d’une autre.


Le sourire lui étant revenu, Il me dit qu’il appréciait vraiment ma franchise et qu’il m’en remerciait, que j’étais un véritable gentleman. Sur ce, Christy entra dans le salon pour venir nous rejoindre, elle n’avait pas remis son short. Elle s’était subrepticement glissée dans la chambre en sortant des WC et portait maintenant un jupe trapèze courte s’arrêtant au-dessus du genou. C’est pourquoi elle avait mis autant de temps à revenir avec nous. Voyant qu’elle avait l’intention de venir s’assoir entre moi et l’accoudoir du sofa, je m’empressais de me resserrer au plus près de celui-ci pour la forcer à se mettre entre nous. D’un regard complice et furtif, Gabriel me fit comprendre qu’il appréciait ce geste de ma part. Je sentis qu’il avait bien retenu mes recommandations et accepté mes conditions, cela me rassurait pour la suite. Mon rythme cardiaque accélérait doucement, résonnant dans mes tempes.


Une fois qu’elle fut assise, j’avançai mes fesses au bord de l’assise du sofa pour saisir la bouteille et versai du cognac dans son verre avant de nous resservir, Gabriel et moi. Christy gardait les genoux serrés, les mains posées sur sa jupe au milieu des cuisses, dans une position très sage. Je la sentais à la fois timide et troublée. Pour détendre l’atmosphère, je lui demandai ce qu’elle pensait de la soirée. Elle me répondit qu’elle l’avait bien appréciée, beaucoup plus que celle de la dernière fois, lors d’Halloween. Gabriel intervint pour dire qu’effectivement il nous avait aperçu ce soir-là et rajouta, à propos de Christy, qu’il l’avait déjà trouvée très belle et très sexy. Christy rougit sous le compliment et précisa, comme pour se justifier, que c’était moi qui avais élaboré son costume. Il lui répondit que j’avais très bon goût, bien qu’il ne dût pas être trop difficile de rendre sexy un corps aussi gracieux aux courbes si sexuelles, et que j’étais très généreux de partager sa beauté au lieu de la garder pour moi. Ce disant, il avait, délicatement et nonchalamment, posé sa main sur son genou.


La tension montait d’un cran. Les joues de Christy devinrent écarlates et son dos se raidit à nouveau. Mais elle n’osa rien dire, ni repousser sa main. Je reconnais qu’il avait exécuté son geste d’une douce autorité, calme et très sûr de lui. Voyant qu’il prenait les choses en main, je me levais soudain leur demandant qui voulait un café et je me dirigeai vers la cuisine sans attendre leurs réponses. Avec le bruit de la cafetière je les entendais à peine discuter, sans comprendre ce qu’ils se disaient, et par moments un rire de Christy m’arrivait aux oreilles. J’avais des sueurs froides et je sentais comme une fièvre monter en moi, mon phallus semblait toquer pour sortir de mon jean. Je mis les trois tasses sur un petit plateau que je posais devant nous, avant de me rassoir. Christy semblait plus détendue, elle lui souriait en écoutant ses boniments. Ses deux mains jointes, aux doigts entrelacés comme pour prier, étaient désormais entre ses deux cuisses, qu’elle avait donc écartées légèrement. Lui en avait profité pour remonter la sienne tout au sommet du nylon de ses bas.


Elle se tourna vers moi pour m’embrasser tendrement, j’en profitai pour prolonger ce baiser en enfonçant ma langue dans sa bouche d’où venait de s’échappé un soupir alors que je posai ma main sur son autre cuisse faisant remonter négligemment sa courte jupe, découvrant ainsi un peu de sa peau nue. A la fin de ce fougueux baiser, je déclarai, faussement outré, que nous étions bien impolis de nous laisser aller en présence de notre invité auquel je présentai nos excuses pour l’avoir délaissé. Il répondit que nul homme normal n’eut pût se sentir offusqué, à la vue érotique d’un couple entrelacé, échangeant tendrement un sensuel baiser. Qu’au pire en constatant notre désir fougueux, il n’était pas jaloux mais bel et bien frustré. Suivant mes avancées pour exciter ma douce, il remonta sa main, baladeuse et sournoise, sous la jupe légère, avant qu’elle ne le toise. Il approcha sa bouche de celle de ma mie, dont les lèvres entrouvertes, humides et accueillantes, laissèrent entrer sa langue si avide et gourmande, qui entraina la sienne dans un tourbillon fou.


Voyant que ces deux la réalisaient mon rêve, n’y croyant pas moi-même je restais ébahi, je les observais juste, ne participant pas, paralysé de joie, et réfrénant ma sève. Sentant monter sa transe, prenant de l’assurance, sur sa joue il posa, sa patte masculine et l’attira vers lui, de ses doigts sur sa nuque, pour enfoncer plus loin encore son organe. Sous cet assaut puissant et sa langue pugnace, Christy réagissait et devenait vorace, sa bouche l’aspirait comme un costaud vortex, aspirant sa salive, semblant y prendre gout. Etouffant, rougissant, elle dut s’interrompre, afin de prendre souffle, regardant le plafond, les yeux éberlués, respirant bien profond, en se léchant les lèvres. Ses mèches de cheveux sur son joli minois dessinaient un soleil sur un ciel cramoisi. Ses poumons qui gonflaient à chaque inspiration, du spencer en jean vert, eurent alors raison, et celui-ci céda nous exposant ses seins, dont les tétons bien drus pointaient sous le lycra. Je la pris par la main, la tirant vers la chambre, faisant signe à Gaby pour qu’il vienne l’y prendre, il se leva en hâte nous emboitant le pas, savourant sa victoire, et remerciant la chance.


Leur baiser enflammé, fougueux et affamé, me promit un bonheur jamais envisagé. Elle semblait vaincue, debout là dans mes bras, faisant face à celui qui incendiait ses sens. Mes bras la ceinturaient, pour ne pas qu’elle tombe, se croisant sous ses seins, comprimant son thorax, on eut pu croire aussi, que je la retenais, de peur qu’elle ne s’échappe.

Elle, tête en arrière, frémissait en vibrant, nuque sur mon épaule, et les deux bras ballants. Il avait réussi, fait sauter ses barrières, si radicalement, qu’elle restait inerte. Lui faisant signe alors de s’assoir sur le lit, pour le remercier, de m’avoir exalté, je nous tournais vers lui et enfouis mon visage, dans le cou de Christy, que je sentais amorphe. Mordillant son oreille et lui léchant la peau, j’attrapai le spencer qui ne résista pas, s’étant déjà ouvert, il glissa sur ses bras. Bras que je relevai, vers le ciel de la chambre puis saisis la brassière, la tirai vers le haut. Sa crinière semblait vouloir la retenir, la suivant jusqu’en haut des deux membres tendus, puis retombant en pluie sur ses épaules nues.


Je pliai mes genoux, que je posai au sol, mes deux mains caressantes, suivant le mouvement, tout en frôlant ses flancs, glissant jusqu’à ses hanches, provoquaient des frissons, agitant ses chairs tendres. La fermeture éclair, de sa jupe futile, fut la prochaine proie de mes doigts impatients, qui d’un geste précis, sur l’étoffe inutile, la dézippèrent en grand, provoquant son naufrage. Ciel ! m´écriais-je, découvrant un tanga, qui lui masquait les fesses et rentrait en dedans, protéger l’entrecuisse, tout humide et suintant. Alors, n’y tenant plus, je l’envoyai rejoindre la jupe descendue lovée sur ses deux pieds, et dans ce geste obscène, moi, l’imminent cocu, c’est son intimité que j’exposais sans gêne, à son futur taureau, qui allait la saillir, devant moi spectateur, pour la faire jouir.


Emu par l’effeuillage de ma belle compagne, maintenant toute nue devant lui sans ambages, Gabriel succombant, prit sa main fermement, la fit pencher sur lui, pour reprendre sa bouche. Ainsi pliée en deux, et penchée en avant, tout comme par miracle, sa figue m’apparut, juste devant le nez, brulante et entrouverte, comme pour respirer.


Des chairs roses et brillantes de sa mouille imbibées, exhalait une essence emplie de phéromones, enivrante et puissante elle m’hypnotisait, m’incitant corps et âme à venir déguster, ce doux jus tiède et suave, coulant du fruit bien blet.


Oubliant mon statut, devenant le mulet, qui tel le bout en train, prépare la saillie, excitant le vagin, de la jument promise, à l’étalon en rut, fort et reproducteur, je plongeai frénétique, dans cette vulve en feu et lapais l’élixir comme un ours glouton, excitant ma Christy, des lèvres et de la langue.


Choyant sous l’explosion d’un orgasme soudain, comme la pomme tombe de la branche ployant, elle s’affaissa sur lui, elle était mûre à point, pour cet accouplement qu’il souhaitait ardemment. La roulant sur le dos, il se leva du lit, déboucla sa ceinture tout en la regardant, Christy eut un hoquet, haletant de stupeur, lorsqu’elle vit son vier, dans toute sa splendeur.


Il était long, épais, et surtout bien tendu, un tel engin jamais, en vrai elle n’avait vu. La voyant si craintive, les yeux écarquillés, de peur qu’elle n’hésitât et renonçât à l’acte, je m’assis tout prêt d’elle et je lui pris les mains qui alors dans les miennes, les serrèrent très fort. Quand il s’agenouilla en écartant ses cuisses, avançant le bassin tout près de son calice, je me baissai vers elle, l’embrassai tendrement, lorsque son corps frémît d’un léger tremblement.


Là en tournant la tête, vers son amant viril, je le vis, sexe en main, faisant glisser son gland, tout le long de sa fente, du clito turgescent, jusqu’au gouffre béant. Répétant la manœuvre, il allait lentement, lui écartant les lèvres, très progressivement, pour enduire son chibre du liquide gluant, qui coulait de son ventre, sans pouvoir se tarir.


Admirant ce spectacle, j’avais les larmes aux yeux, tant ému que j’étais de vivre enfin mon rêve, ma bite durcissant d’une érection sans trêve, pulsait à l’unisson du rythme de mon cœur. Et lorsqu’il appuya, écartelant sa vulve, pour s’enfoncer en elle, sans peur et sans scrupule, le sentant pénétrer, en écartant ses chairs, ses yeux se révulsaient, tant elle prenait cher. Elle hurlait sans fin, comme en une agonie, comme le fait la louve, au milieu de la nuit, sous la lune brillante, appelant ses petits.


Je n’avais que la vue, ne sentant la douleur, de cette énorme bite, lui déchirant la chatte, poursuivant son chemin, sans rencontrer d’obstacle, dans la corolle rose, de la fleur délicate, de celle que j’aimais, et que lui possédait. Sans vergogne ahanant, à chaque centimètre, disparaissant en elle, je la sentais vibrer, gémissant, haletante, comme si elle devait, se vider les poumons, pour donner de l’espace, à son immense membre.


Ses couilles maintenant qui lui touchaient les fesses, elle crut terminée la course du pénis. Mais relevant ses jambes, genoux sous les aisselles, il s’enfonça plus loin, lui percutant le col. Restant quelques instants, calé et immobile, il lui laissa le temps de respirer moins fort, avant de reculer comme pour ressortir, de ce tunnel bien sombre. Et puis s’en revenir, bien au fond de la grotte, faisant suer Christy, crispée et grimaçante, la faisant sursauter, sous ses coups de boutoirs.


Le rythme crescendo de ce coït ardent augmentait sans faiblir toujours plus en avant, je tenais maintenant les chevilles en arrière pour qu’il la besogna autant qu’il le voulût, s’appuyant sur ses mains, poings fermés, bras tendus, les pectoraux gonflés, le torse au-dessus d’elle, d’où sa sueur pleuvait, sur ses seins chahutés.


Plus de douleur d’un coup, pour ma belle domptée, seulement du plaisir à être ainsi traitée. Ses ongles bien plantés dans les fesses du mâle, le retenaient toujours, désirant qu’il l’empale. Depuis quelques minutes, jouissant sans limites, elle gémissait plaintive, sous ces bruts vas et viens. Ses bras vinrent soudain, se croiser sur son cou, pour l’attirer vers elle, se jetant sur sa bouche, telle une vraie goulue, amoureuse, éperdue.


Lui, l’amant efficace, sous ces caresses folles, se raidit tout à coup, tremblant de tout son être. En râlant des sons rauques, dans ce vagin vorace, il vidait ses gonades, avant de s’effondrer, comme un guerrier blessé, lâchant son dernier souffle, au cœur de la bataille, c’en était terminé. Elle, les bras en croix et ses jolis yeux clos, ressentait son jus chaud au fond de sa matrice. Elle mit un moment avant de redescendre, calmant son souffle chaud, tentant de se détendre, en poussant des soupirs.


Il s’en alla bien vite, après l’accouplement, me remerciant beaucoup, souriant tant et tant. Opinant de la tête, d’un air un peu penau, je lui tandis sa veste en lui ouvrant la porte, qu’il franchit prestement marchant vers l’ascenseur, nous nous dîmes au revoir sans plus tergiverser, tous deux déjà ailleurs, perdus dans nos pensées.


De retour dans ma chambre, je la vis assoupie, un sourire au visage et le corps alangui, en la même position, où il l’avait laissée, comme s’il fut encore, en train de la sauter. Une jambe tendue et l’autre repliée, me laissaient voir son sexe, d’où le sperme sortait, suivant les reliefs mous, de sa vulve froissée, comme un ruisseau longeant un ravin escarpé. J’étais obnubilé par la substance blanche, qu’un autre avait laissait, et qui coulait encore, du ventre familier, qui n’était d’habitude, qu’à moi autorisé.


Ne pouvant détourner mon regard du tableau représentant sans fard, juste là, devant moi, la conséquence crue de mon vœu le plus cher, venant de s’exaucer, celui d’être cocu, je m’approchai plus près, sans bruit et sans un mot, pour ne pas réveiller, ma princesse endormie, dont j’avais sacrifié l’honneur et la vertu sur l’autel perverti de mes pulsions honteuses.


En voyant les séquelles de sa chatte meurtrie, qui portait les stigmates d’un pilonnage en règle, je restai bouche bée, un moment interdit, car ce que je voyais ne reconnaissais plus. D’habitude était là, une fente si fine, resserrée par l’action de ses deux coussinets, ne laissant rien voir d’autre qu’un trait bien rectiligne, cachant son clitoris et son trou vaginal. Mais ce que je voyais n’était qu’un de ruines qu’on aurait bombardé avec tout l’arsenal.


La fente avait perdu sa linéarité, était restée ouverte à la fin de l’attaque, baillant très largement, comme une vraie tranchée, sur les trésors enfouis avait levé le voile, exhibant de ma mie le plus beau des organes, carrément massacré, transformé en charpie.
Comme un cadavre en sang la chair avait rougi, les lèvres étaient enflées, sa perle rare aussi, surplombant les dégâts du haut de sa colline.
Le tunnel dont l’entrée, avait été forcée, de la taille de l’obus, était resté béant, ventilant maintenant comme une cheminée, tout le long du conduit largement dilaté, ayant subi les feux d’un rapport interlope, de l’entrée du vagin aux trompes de Fallope.
Les nymphes pendaient là comme deux oripeaux, qui se joignaient en cape au-dessus du clito, découvrant à moitié le bouton d’icelui. D’elles gouttait en pluie quelques larmes de sperme, descendant de l’abysse s’écraser sur les draps. Et je trouvais ça beau et j’en bandais plus haut.


C’est à ce moment-là que Christy s’éveilla, en étirant ses bras elle me regardait et me fit un sourire qui me rasséréna. Balayant mon angoisse qu’elle eut pu regretter, cet acte si salace que j’avais initié, la livrant à cet homme qu’elle ne connaissait pas.
Je me relevai vite et lui sautai au cou, l’embrassant sans limite sur sa peau de partout, reprenant possession de son corps magnifique, dont je venais de perdre toute exclusivité. Et puis en grande hâte, je me déshabillai, arrachant ma chemise, baissant mon pantalon, au milieu de ses cuisses j’enfonçai mon goujon, ne sentant pas grand-chose dans se sexe élargi, et si bien lubrifié par mon prédécesseur.
M’agitant comme un dingue au désir hystérique, elle me regardait sans d’autre réaction, qu’un sourire léger comme pour se moquer, de ma petite bite aux faibles dimensions, de l’amant pathétique que j’étais devenu, se vautrant dans la fange du sexe corrompu, pollué à ras bord de la semence bue, giclée là par un monstre, totalement inconnu.
Confus mais excité, par la situation, moi je persévérais dans mes coups de piston, ne pensant plus qu’à moi je lui limais le con, et de plus en plus vite allait au plus profond, sans pouvoir, comme lui, en heurter le plafond. Humilié mais avide, je m’acharnai en elle, atteignant, fatidique, mon éjaculation, qui me brula les ailes, m’expédiant par le fond.


Allongé auprès d’elle, nos jambes entrelacées, elle me caressait doucement les cheveux en déposant des bisous sur mon visage. Comme une mère eut fait pour rassurer ou consoler son enfant triste et apeuré. Lorsque nos yeux se croisaient, elle me souriait tendrement, mais restait silencieuse, puis ses yeux s’en retournaient fixer le plafond, d’un regard vide d’expression. Je me rendais bien compte que ça moulinait fort dans son cerveau et cela m’inquiétait un peu bien sûr. Alors je lui demandai si ça allait et comment elle se sentait :

« Bien » me répondit-elle, « et toi ?»
« Euh… Tu n’es pas fâchée ? »
« Fâchée de quoi ? D’avoir eu tant de plaisir ? »
« Euh… non, mais… Tes aprioris…les avoir outrepassés… enfin tu comprends quoi »
« Oui je sais, mais c’est venu naturellement, sans que personne ne me force la main. Et pour être honnête, ton ami est charmant et c’est un sacré séducteur. »
« !!!...??? »
« Pourquoi ? Tu es déçu toi ? C’est pourtant ce que tu voulais non ? M’offrir à un autre. »
« Euh… Oui mais… par rapport à nos discussions, j’étais sûr que tu refuserais… Mais non en fait, je ne suis pas déçu du tout, au contraire. Je t’ai trouvée superbe. J’ai adoré te voir jouir. Tu étais magnifique et je te remercie de m’avoir offert ça… je t’aime encore plus Christy. »
« Ah tu me rassures mon petit cochon. Moi aussi je t’aime. Et, pour ne rien te cacher, j’avais des doutes au sujet de tout ce qu’on entend sur les grosses bites. Mais maintenant je sais que c’est vrai, et je sais que je fais partie des fans ! Il va falloir assumer maintenant… ha haha ! »
« Tu m’en vois ravi mon amour, ça veut donc dire qu’on pourra le refaire ? »
« Bien sur mon coquin. »
« Mais dis-moi, as-tu jamais ressenti autant de plaisir avec moi ? »
« A chaque fois que nous faisons l’amour tu me donnes toujours un ou plusieurs orgasmes mon chérie. Mais… Comment dire ?... Lui, il ne m’a pas aimée, il ma baisée en me prenant comme une bête et… Même s’il ne cherchait que son propre plaisir, disons que… Sa morphologie, sa vigueur et son endurance… ont compensés le manque de sentiments et ont suffi à me faire jouir, voilà, c’était seulement physique, quoi. Il m’a donné ce que toi tu ne peux pas me donner mais j’éprouve pour toi ce que je ne ressens pas pour lui. C’est toi que j’aime et je n’aime que toi »

Sur ce, elle m’embrassa et s’endormit dans mes bras.
Oh Pandore ! Avais-je ouvert ta boite ?...

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