Solange la bourge : La séance sadomasochiste avec un vieux Maître. (« Saison 2 » Partie 6)

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Solange la bourge : La séance sadomasochiste avec un vieux Maître.  (« Saison 2 » Partie 6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Solange la bourge : La séance sadomasochiste avec un vieux Maître. (« Saison 2 » Partie 6)
Solange était soumise à son époux depuis vingt ans, Patrick aimait voir sa femme dans des parties de sexe où se mêlaient, l’humiliation et la soumission. Le principal pour lui était de la voir, un peu comme dans le dogging, être baisée par des contrastes d’individus, soit avec des tout jeunes ou par des vieux vicieux. Mais ce qu’il désirait avant tout, c’était la jouissance pour sa femme qui adorait cela, afin qu’elle en redemande.

Solange tenait son journal intime, vingt ans avec son mari candauliste à raison d’une séance par mois, cela faisait près de 250 à raconter. Ce récit qui va suivre fut donc tiré d’une des nombreuses histoires qu’ils avaient vécues ensemble.

Solange ayant déjà fait un petit peu de SM, Patrick avait organisé, il y a quatre ans de cela, une belle et complète séance de cette pratique. Ils en avaient parlé ensemble et sa femme ne lui refusant jamais rien, était partante pour renouveler l’expérience. Elle ne connaissait que la date de cette séance, elle ne savait absolument pas ce qu’il souhaitait et lui réservait.

Son mari avait rédigé une annonce dont voici le texte, passé sur BDSM Fantaisies : « Homme, offre sa femme pour une séance SM en sa présence, mais ne sera que spectateur. Elle, 42 ans, belle femme aux seins lourds, sexe épilé. Seul la scato sera interdite et les limites des pratiques seront fixés à l’avance. Mes critères : homme de 70 ans minimum. Vicieux. Présentant un test HIV récent. Pouvant recevoir dans un rayon de 50 km autour d’Amiens. Aucun suivi. ».

Suite à cette petite annonce, il reçut énormément de réponses, malheureusement, de nombreux retours ne correspondaient pas aux critères fournis. Des personnes trop éloignées, des hommes de moins de 70 ans, certains voulaient payer, d’autres voulaient prendre Solange en stage et quelques-uns n’acceptaient pas la présence du mari. Bref, il n’en restait que trois, avec lesquels il avait échangé par mail et ce fut un type prénommé Gildas ayant 72 ans, habitant Amiens que Patrick avait choisi, ce candidat lui semblant être parfait, pour ce rôle. C’était un homme d’assez petite taille, rondouillard, crâne dégarni, vivant dans une maison isolée, assez proche de leur domicile.

La séance était prévue pour un samedi vers dix-neuf heures chez lui, avenue du 1er mai à la sortie d’Amiens en direction de Beauvais. Patrick devait présenter Solange à Gildas qui se faisait appeler « Monsieur ». C’était un dominant depuis de très nombreuses années, sa femme Christiane était sa soumise. Une femme de 61 ans que l’hôte lui avait présenté dès son arrivée. Néanmoins, l’épouse du maitre ne devait ni participé, ni assisté à la séance avec Solange.

Ce soir-là Patrick et sa femme étaient arrivés un peu en avance, devant le pavillon, voulant être certain de l’adresse et du type, il laissa son épouse dans la voiture et était allé frapper à la porte. L’homme se faisant appeler « Monsieur » le reçut en tenue un peu cliché du « Maître », vêtu d’un pantalon de cuir, un large ceinturon, un gilet clouté sans manche sur un tee-shirt blanc.

Sa femme Christiane, une très belle blonde avec de jolies formes, était, elle aussi, dans la caricature de la soumise, portant une micro-jupe sans culotte, qu’il pouvait admirer sa chatte tout aussi glabre que celle de Solange, à la différence près, elle avait des anneaux aux lèvres de son vagin. Quant au haut, elle portait un corsage coton hyper moulant sans soutien-gorge, qui avait des difficultés à contenir ses nibards bonnets D minimum ! Pour couronner le tout, elle avait autour du cou, un collier de cuir pour bien indiquer son appartenance. En effet, Gildas l’hyper macho vieillissant créait cette ambiance spéciale afin de prouver que malgré son âge, il était encore le dominant, en exhibant son épouse, en femme entièrement soumise.

Les deux hommes installés dans le salon discutèrent du contrat et mettaient les choses au point au sujet de la demande de Patrick. Pendant que Christiane leur servait l’apéro comme une soubrette, se penchant bien devant l’invité afin qu’il puisse admirer son sexe et le plug qu’elle avait enfoncé dans son anus. Gildas avait demandé à Patrick de le suivre afin de lui présenter la pièce où se déroulera la séance prévue.

Le pavillon était surélevé et le sous-sol était divisé en trois parties. La première, un cellier tenait lieu de débarras et de lingerie, une autre était consacrée au garage, et la troisième était entièrement aménagée dans un ancien local où jadis une fosse creusée dans le sol servait aux vidanges de voitures. Cette pièce était aujourd’hui toute agencée pour ses propres loisirs et vices : le BDSM. Il y avait, une croix de saint André, un cheval d’arçon, un carcan joug pour entraver tête et mains des anneaux accrochés au plafond, un fauteuil de gynécologie, des martinets, des fouets et cravaches… sans compter toutes les menottes, les godemichés et sextoys en tout genre, un vrai magasin… C’est Solange qui vous raconte la suite.

Cette soirée avait durée plus de trois heures, mais je vais essayer de résumer les passages qui pour moi, furent les plus éprouvants, excitants et humiliants. Comme à mon habitude, je m’étais faite belle pour l’occasion. J’avais un collier d’appartenance, un harnais à bandes de cuir qui ceinturait les seins tout en les laissant apparents, ce harnais descendait du dessous de la poitrine en formant un V qui se rejoignait sur le pubis en cache sexe, et remontait dans la raie des fesses à la façon d’un string. Au pieds je portais des cuissardes à talons haut, lacées sur toute la longueur.

Enfin, une veste qui m’allait jusqu’à mi-cuisses, le temps de ne pas être presque nue pendant le trajet. J’avais attendu une petite demi-heure dans la voiture avant que Patrick ne vienne me chercher. Il était parti installer une caméra sur un trépied et pour donner les dernières recommandations. J’étais sereine, aucune appréhension, au contraire j’avais hâte que ça commence, malgré l’inconnu. Lorsque je suis rentrée dans la pièce aménagée en « donjon » pour BDSM, je fus surprise de trouver autant de matériel. Le Maître était assis face à nous dans un fauteuil, il était en gilet et pantalon de cuir.
- Je te présente ma soumise, avait annoncé Patrick tout en enlevant ma veste, me retrouvant ainsi presque nue. L’homme se leva, se plaça face de moi mon mari se mettait en retrait.
- Monsieur Gildas, à qui je te confie pour ce soir. Me dit Patrick.

L’homme me fixa d’un regard dur, c’était presque comique, car il faisait une demi-tête de moins que moi.
- Comment t’appelles-tu ?
- Solange. Lui répondis-je.

Je reçus le revers de sa main d’une violente gifle qui me déstabilisa.
— Femelle Solange, baisse le regard lorsque tu t’adresses à un homme. Et il me semble que dans ta condition de femelle et par respect, tu dois terminer tes phrases par « Monsieur ». Alors, comment t’appelles-tu ?
— Stéphanie Monsieur.

Puis il poursuit en disant : — Présente-toi !
— Je suis mariée à Patrick, j’ai 42 ans, je suis enseignante et j’ai une fille et un beau-fils, Monsieur.
— As-tu eu des relations extraconjugales qui t’ont apportées plus de plaisir que t’en apporte ton mari ?
— Euh…Oui Monsieur.
— Donc t’es une pute qui est offerte et se donne, dis-moi que tu es une pute.
— Oui Monsieur je suis une pute.
— Tu t’es déjà faite baiser par des nègres et des arabes, les putes n’ont pas leur mot à dire sur l’origine des bites qui les enculent.
— Oui Monsieur.
— Alors dis le, je me suis déjà faite enculer par des nègres et des arabes.
— Oui Monsieur, des blacks et des arabes m’ont déjà sodomisée.
— Madame la femelle joue les bourgeoises, elle ne se tape pas des nègres mais des blacks, et elle ne se fait pas enculer mais sodomiser ! (Le terme « nègre » n’est pas péjoratif, ni un terme raciste, pour moi, c’est le terme que Gildas avait employé.)
Je reçus une autre gifle, sans doute plus forte que la précédente. Gildas alla chercher deux paires de menottes et m’attacha mes poignets sur des crochet. Il colla son visage sous mes aisselles et les renifla, avant que sa bouche et sa langue viennent les lécher avidement. C’était sale tout en me chatouillant, à croire qu’il se barbouillait de sa salive en dessous de mon bras. Tout en faisant cette obscénité je sentis sa main sur mon ventre en train de dégrafé la lanière qui protégeait mon sexe. Sans précaution et assez sauvagement, deux doigts me s’insérèrent à l’intérieur et fouillèrent ma vulve. Quelques secondes plus tard, il reniflait ses doigts.

— Tu pues la catin qui ne s’est pas lavée après s’être fait tirer salope.
— Non Monsieur ! Je me suis lavée avant de venir !
— Qui t’as appris à me dire non ?
Il me cracha au visage tout en se saisissant de mon téton gauche qu’il pinça en le vrillant méchamment. Je hurlais en tressautant du bout des pieds tant la brulure infligée sur mon sein était inhumaine.

Son regard était vicieux, cruel, j’avais remarqué ses pupilles scintiller lorsque mes yeux s’humidifièrent de la tourmente qu’il me procurait. Il s’était saisi de pinces crocodile, après avoir donné des pichenettes à mes tétons pour les ériger, il appliqua les mâchoires dentelées sur le bout de mes mamelles. J’hurlais en tordant mon corps pour échapper à son emprise en le suppliant.
— Non !!! Monsieur. Je vous en prie, arrê…
Je n’avais pas pu finir ma phrase qu’il m’asséna une paire de gifles, puis il me prit par la gorge et me cracha au visage en proférant : — Ferme la ! Sinon voilà ce qu’il va t’arriver.
Gildas s’en alla et s’engouffra dans la pièce attenante, il en revint quelques secondes plus tard avec un chien tenu en laisse, un beauceron. En le désignant il me lança :
— Si je t’entends encore ouvrir ta gueule de femelle, c’est lui qui viendra te consoler, il adore les salopes de ton genre, t’as compris ?
J’étais tétanisée, en apnée, n’osant presque plus respirer. Cet épisode fut difficile pour moi et m’avait déplu, j’avais mal supporté les pinces à mes tétons et la peur de ce chien, non pas du chien, non pas qu’il semblait méchant, mais c’était un mâle, j’avais la trouille de la saillie. Je jetais un œil vers mon mari qui restait impassible. Il ramena son chien dans l’autre pièce. A son retour il m’entrava mes chevilles avec une barre d’écartèlement.

Pendant une grande partie de la soirée, il s’ingéniait à me mettre des poids aux pinces de mes seins, puis ce furent des pinces à linge sur les lèvres de mon vagin dont il écartait avec des élastiques, puis ouverte et offerte à son vice, il me masturbait avec différents godemichés. Afin de me laisser reprendre mes esprits, il faisait quelques pauses pour se désaltérer en compagnie de mon mari, où il se vantait de ses différents exploits en tant que Maître.

Puis il recommençait à me tourmenter, je voyais son plaisir s’exalter lorsque mon affliction s’accroissait. J’avais reçu en moi différents sextoys, du classique à celui imposant semi rigide très expressif aux veines et au gland très ressemblant à la verge d’un homme, autant dans le vagin que mon rectum. La seule précaution qu’avait pris Gildas, fut de me lubrifier mon anus avec de la crème avant de me sodomiser de ces jouets.

Il avait aussi comme godemiché une main en latex. À un moment, il me pénétra d’un gros god qu’il fit coulisser en moi avec empressement, puis un liquide inonda ma vulve. Le godemiché était pourvu d’une réserve de liquide. Il me détacha et me fit m’assoir dans son fauteuil, jambes ouvertes. Il s’agenouilla pour me lécher et s’abreuver de ce liquide, j’étais trop crispée pour en tirer le moindre plaisir que j’aurais pu ressentir dans d’autres circonstances.

Il me leva et m’introduisit un crochet à l’extrémité muni d’une boule dans mon anus. Il baissa son pantalon et prit ma place dans le fauteuil. Je m’agenouillais et me courbais sur ses cuisses. Il me tira à lui par ce crochet. Son sexe était flasque, rabougri, il m’ordonna de le sucer. Sa verge puait l’urine, des filaments pendaient de son méat. Qu’importe me dis-je, plus vite je le ferais jouir, plus vite mon calvaire cesserait. Je m’appliquais à aspirer son gland et à prendre cette chair dans ma gorge, il restait tout aussi avachi. Ses soixante-douze ans avaient eu raison de sa virilité. Pourtant à un moment, son sexe se banda légèrement, puis un filet de sperme liquide ruissela sur sa verge encore molasse. C’en était déjà fini.

Non hélas ! Il me fit me relever et écarter mes jambes. Il se saisit d’un martinet. Alternativement les lanières de cuirs léchèrent mon sexe et mes seins avant de les cingler. Après ce qui était un jeu pour lui, il me fit m’allonger sur le ventre sur le cheval d’arçon, je reçus en moi des œufs vibrants, et il entama une fessée, tantôt caressante, tantôt plus appuyée. Lorsqu’il me caressait, ses doigts sinuaient dans ma raie et coulaient dans mon anus.
— Tu aimes ça femelle ?
— Oui Monsieur.

Je ne lui avais pas menti, j’avais eu des semblants de plaisir, pas de jouissance réelle, sauf peut-être à la fin de la fessée érotique. Alors qu’il continuait ses fessées en vociférant des insultes graveleuses : « Bourge et pute, mon cul ! Une pute ça se respecte, pas toi, salope ! », « Femelle bonne à se faire traire dans une maison de retraite », « T’es même pas capable de faire bander ton mari, tant tu chies dans ton froc, tellement t’as peur de mon klebs ». Plus la fessée se poursuivait, plus elle était dans la caresse et moins dans la punition. Ainsi j’avais ma récompense, sans pour autant aller à la jouissance, je fus trop dans la retenue, et mon corps fut trop tourmenté et abusé.

À 22 h45 nous étions dans la voiture, après avoir remercié Monsieur Gildas, chose que je ne pensais pas, mais que je devais faire. J’étais consentante en arrivant, même si les coups reçus étaient tout de même d’une violence retenue, je fus dans la tourmente tout au long de la soirée temps. J’avais voulu arrêter dès qu’il m’avait pincé et tortillé mon téton, c’était trop intense, mais comment faire ? Quand je le lui avais demandé la première fois, ce fut un prétexte à d’autres sévices, alors autant endurer, pleurer et attendre. Dans ces quatre dernières années, j’eus l’occasion de refaire d’autres séances SM, suis-je masochiste pour autant ? Non ! Je le fais pour mon mari Patrick qui avait bien plus apprécié que moi.


Si, comme Solange et Patrick, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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