Solange la bourge « Saison 3 » : Un maçon portugais peut en cacher un autre. (Partie 12-2/5)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Solange la bourge « Saison 3 » : Un maçon portugais peut en cacher un autre. (Partie 12-2/5)
Solange la bourge « Saison 3 » : Un maçon portugais peut en cacher un autre. La visite d’une maison en construction (Partie 12-2/5)
Solange enseignait dans un lycée technologique, l’histoire-géo, pour des classes allant de la seconde à terminale. Qui dit lycée technologique, dit 5% de filles pour 95% de garçons en moyenne, et la totalité des enseignants de techno, atelier, était pourvus par des hommes, seules quelques femmes comme elle, enseignaient le français, les maths et l’histoire et géographie.
De toutes les professeures de cet endroit, Solange était de loin la plus jolie et surtout la plus bandantes. Le fantasme de la femme mature, pour des jeunes de 17 à 18 ans devaient tourner dans leur tête à plein régime. Les élèves de classes pour cette catégorie d’étude n’étaient pas des lumières et considéraient l’histoire et géo assez rasantes. La classe, dont il s’agit aujourd’hui pour ce récit, était constituée en majeure partie de délinquants et de quelques paumés qui abaissaient considérablement le taux de réussite à l’examen. Cette histoire remonte donc à cinq ans auparavant, à la fin de la période scolaire, en juin 2015. Solange vous raconte donc ce qu’elle avait vécu à cette époque.
En fin d’après-midi à 17 heures, je rejoignais ma salle de classe située au bout du bâtiment, les élèves dans le couloir chahutaient comme souvent. Pour ne pas les provoquer et rester polie, arrivée à leur niveau je leur lançais des : « Excusez-moi messieurs, pouvez-vous me laisser passer ? ». Arrivée à la porte de la classe fermée à clé, je sortais mes clefs pour l’ouvrir, lorsque je me suis sentie oppressée par quatre élèves qui se collaient à moi. Ce fut très rapide, car je n’avais pas eu le temps de crier, l’un d’eux m’avais mis sa main afin de me ceinturer et en plaquant son autre main sur ma bouche. Je me suis aussitôt débattue mais impossible de bouger, ils étaient bien plus nombreux et plus forts que moi, je me suis vite retrouvée à terre. Je m’étais vêtis pour cette journée, d’une robe noire dont la longueur était juste au-dessus du genou qui se fermait par une fermeture éclair dans le dos, des escarpins à talons, soutien-gorge, culotte, mais pas de bas, nous étions fin juin et il faisait chaud. Donc ma tenue était correcte et non provocante.
Très vite, un élève placé dans mon dos saisit mon col et d’un violent coup arracha cette fermeture. Lui ou un autre malgré mes gestes avait baissé le haut de ma robe jusqu’au-dessous de ma poitrine, faisant du même coup une sorte de camisole à mes bras. Mon soutien-gorge fut tiré vers le bas et fit jaillir mes seins lourds de leurs bonnets.
Pendant ce temps, en me débattant de mes jambes, ma robe s’était retroussée, des mains avaient immobilisé mes cuisses tout en les écartant au maximum. Je sentis qu’on crochetait ma culotte au niveau de mon entre-jambes, elle fut baissée et se retrouva à mi-cuisses, découvrant ainsi mon sexe glabre. Les injures grossières fusèrent immédiatement. Des doigts m’avaient fouillée, non seulement le sexe mais également mon anus, alors que d’autres pétrissaient mes seins violemment. J’avais même reçu des crachats, des bouches m’aspiraient et mordaient mes tétons… J’en connais tous les détails, car l’un d’eux filmait toute la scène.
Tous les profs étaient en cours, j’avais pu rejoindre mon vestiaire sans être vue par ceux-ci, ni par les surveillants. J’avais enfilé une veste sur ma robe que je ne pouvais plus fermer et j’étais rentrée à la maison. Je téléphonai au secrétariat afin de les prévenir que je venais de faire un petit malaise. Je n’avais pas porté plainte sur le moment, car l’homme qui avait filmé la scène, m’avait menacé lorsque je m’étais relevée. Il m’avait saisi le cou d’une main en me lançant « si tu dis quelque chose, tu vas te retrouver partout sur le net, tu vas faire fureur avec ta petite chatte rasée ma salope ».
J’avais un gros problème maintenant, j’avais prévenu le proviseur de mon agression et je ne pouvais pas laisser Karim parler de cette histoire au lycée. Après le chantage, les policiers étaient parvenus à arrêter les délinquants et le film fut détruit. Comme je ne me sentais pas capable de poursuivre d’enseigner dans ce lycée, le lundi matin, j’étais retournée rencontrer le proviseur, cela tombait bien, il ne voulait pas que cela se sache et me demanda de ne pas porter plainte, il était très gêné. Il m’avait mis une telle pression que je cédai à sa demande au grand dam des policiers. Mais je lui avais toutefois posé mes conditions :— Je ne porte pas plainte, mais vous obtenez ma mutation dès la rentrée prochaine à Amiens.
Je désirais partir vivre là-bas avec Patrick, c’était l’occasion rêvée. Le rectorat avait reçu ma demande de mutation, qui fut acceptée rapidement puisqu’elle était appuyée par le proviseur et un ami policier de Patrick.
Après ce viol, dont ce nom n’avait jamais été prononcé, ces menaces et chantage, ma mutation fut acceptée. Ayant vécue durant ma jeunesse vers Amiens, je désirais me rapprocher de cette ville. Entre mon mari et moi, nos revenus mensuels nous permettaient de rechercher une demeure assez cossue, mais le temps que l’administration se mette en branle pendant les congés scolaire malgré l’urgence de cette mutation, je reçus l’accord que mi-août. Il ne me restait qu’une quinzaine de jours pour trouver un pied à terre. Alors avec Patrick nous avons joué sur deux possibilités. La première, trouver la maison de nos rêves, toutefois avec peu d’espoir en si peu de temps, l’autre prendre un studio ou un F2 pour quelques temps.
Patrick avait pris rendez-vous avec une agence immobilière pour seize heures trente. Nous nous rendions à l’adresse indiquée. Bien que ce soit le quartier que nous désirions, nous arrivions dans une zone pavillonnaire en construction. Nous étions en avance, et quoique nous n’étions pas au bon endroit, Patrick voulu voir à quoi ressemblait le projet. Après avoir parcouru une cinquantaine de mètres, il me dit :— Viens avec moi, on va voir comment c’est aménagé.
— C’est en construction, on ne va pas perdre notre temps à visiter des pièces vides.
— On est en avance, on a le temps de jeter un coup d’œil, si Mathieu ou Chloé (nos enfants) veulent investir on pourra toujours leur en toucher un mot.
Je me résignais à le suivre, lorsque Patrick à une idée en tête, il n’est guère facile de la lui ôter. C’était un pavillon sur un étage qui n’avait pas de porte ni fenêtre, encore à l’état brut. Lorsque nous entrions à l’intérieur, un type de l’autre côté de la rue nous apostropha :— Hé ! C’est interdit d’entrer ! Ça devait être un maçon d’après sa tenue, au fort accent ibérique.
— On veut juste regarder comment c’est aménagé à l’intérieur, c’est tout, lui rétorqua Patrick.
— Y a une maison témoin pour ça !
Le type traversa la rue et vint à notre rencontre alors que nous restions dans l’entrée.
— C’est interdit d’entrer, réitéra-t-il lorsqu’il nous eut rejoint, d’autant, ajouta-t-il en me considérant d’un regard pétillant, que vous risquez de vous salir ma p’tite dame, et avec vos talons aiguilles vous risquez de tomber.
— C’est une délicate attention de vous préoccuper de ma femme Solange, cher monsieur, répondit Patrick d’un air pompeux.
Puis il s’engagea dans l’escalier : « accompagnez-nous, et restez derrière Solange au cas où elle viendrait à se tordre le pieds en montant. » Puis s’adressant à moi il poursuivit : « Ce n’est pas parce que monsieur est bel homme et fort, que tu le fasses exprès pour te retrouver dans ses bras.
— Ça ne me déplairait pas, ricana l’ouvrier.
Le message de Patrick était clair, il voulait que j’aguiche le type. « Soit » Me dis-je, d’autant que le jeu ne me déplaisait pas, bien que l’homme fût assez petit, au visage rondouillard au teint rosi. Je suivais Patrick dans l’escalier, montant les marches assez lentement, tout en cambrant mes reins afin que ma jupe qui couvrait mes cuisses à moitiés en fasse découvrir davantage au type qui devait se rincer l’œil.
Nous arrivions dans le couloir et mon mari se dirigea dans une pièce brute de béton et de Placoplatre qui devait être une chambre.
— Dommage, dit-il en se penchant dans l’embrasure de la fenêtre, il y a du vis-à-vis avec les voisins.
— Et oui, il faudra éteindre la lumière pour faire la chose, railla l’ouvrier.
— Si ça se fait la nuit, mais pour nous, on n’a pas d’heure pour baiser, pas vrai Solange ?
Je n’ai pas répondu, j’ai rejoint Patrick à la fenêtre. Il avait pris son téléphone pour appeler, il voulait joindre le type de l’agence, pour le prévenir de notre retard. Quelques secondes plus tard, il me fit un clin d’œil complice en ajoutant : — je te laisse en bonne compagnie, je n’ai pas de réseau ici, je vais voir, s’il y en a dehors
Dès qu’il fut parti, je me penchais sur le rebord de la fenêtre, souhaitant que ma position dévoilerait un maximum mes cuisses.
— C’est haut ? Demandais-je. Retenez-moi, on ne sait jamais, dis-je d’une intonation emplie de sensualité.
— Ne vous inquiétez pas ma p’tite dame, me rassura l’ouvrier qui venait de se placer derrière moi en me plaquant ses deux mains sur ma jupe.
— Oh, fis-je en sentant ses pognes, vous avez des mains d’homme viril. Je ne sais comment vous remercier de votre délicate attention.
Je me disais que ça sonnait faux, que j’en faisais un peu trop, comme une comédie de boulevard, mais qu’importe. Tout en restant appuyée au rebord, je me redressais, mais en gardant ma posture cambrée. Puis je fis un geste à Patrick qui était au pied de la maison, moins pour lui dire bonjour, c’était pour rassurer le portugais et lui montrer que mon mari était bien à l’extérieur.
— C’est vrai, ce que dit votre mari, que vous faites la chose, pas que le soir ? Osa le type.
D’une main je fis glisser ma culotte à mes pieds et j’écartais les jambes et lui intima :— Oui, c’est vrai. Baisez-moi.
Il eut un temps de réaction, le temps de comprendre que l’un de ses fantasmes se révélait certainement devenir réalité. Il retroussa le pan de ma jupe sur mes reins et ses mains calleuses prirent la forme de mes fesses. Il déboutonna sa salopette et son sexe déjà en érection se coinça entre mes rondeurs.
— J’vais me branler dans la raie de ton cul, je n’ai pas de capote !
— Je suis saine, prenez-moi !
Il était déjà en train d’aller et venir entre mes fesses tout en m’étreignant fortement pour que je ne m’affranchisse de ses coups de butoirs simulant l’accouplement. Patrick me voyait depuis le jardin, ne sachant de quel orifice jouissait le maçon, alors qu’il ne me pénétrait pas. Très vite, trop vite, il poussa un râle et trois jets rapides de sperme épais éclaboussèrent mes fesses. « Salaud » me dis-je, il avait joui, il m’avait souillé, et moi, pas le moindre frisson. Il se décolla de mon corps, alors que je restais telle quelle, étonnée de son comportement. Sa main caressa ma croupe pour l’enduire de sa semence.
— Tu peux revenir demain ? J’ai des collègues que ça ne dérange pas de baiser sans capotes.
Ses doigts joints et englués de sperme s’étaient glissés entre mes lobes et venaient lustrer mon anus.
— C’est aujourd’hui que j’avais envie, pas demain.
— S’ils te payent ?
Entre temps, Antonio, le collègue maçon qui cherchait José demanda à Patrick s’il ne l’avait pas vu :— Il est à l’étage, il baise ma femme. Tu veux venir ? Suis-moi.
Le maçon le regarda, les yeux écarquillés et le suivi dans l’escalier.
— Solange ne se fait pas payer, annonça Patrick qui venait de nous rejoindre. Alors, t’en a bien profité ?
Antonio voyant le spectacle, ne perdit pas de temps, il baissa son pantalon et s’approcha de mes fesses nues. Après s’être branlé, il frotta son sexe de bas en haut titillant mon clitoris puis de haut en bas chatouillant mon anus, qu’il pénétra sans retenu. José avait passé sous moi, pour me téter les mamelles et caresser mon bouton. Lorsqu’Antonio éjacula dans mon fondement, j’obtint un orgasme, je ne m’étais pas donnée à eux pour rien. En quittant la pièce, tandis que je me nettoyais avec des mouchoirs, sous le regard satisfait de Patrick. José avait marmonné un « salope »— Ça a été vite, on ne sera même pas en retard, dit Patrick. À mardi prochain...
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Solange et Patrick vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Solange enseignait dans un lycée technologique, l’histoire-géo, pour des classes allant de la seconde à terminale. Qui dit lycée technologique, dit 5% de filles pour 95% de garçons en moyenne, et la totalité des enseignants de techno, atelier, était pourvus par des hommes, seules quelques femmes comme elle, enseignaient le français, les maths et l’histoire et géographie.
De toutes les professeures de cet endroit, Solange était de loin la plus jolie et surtout la plus bandantes. Le fantasme de la femme mature, pour des jeunes de 17 à 18 ans devaient tourner dans leur tête à plein régime. Les élèves de classes pour cette catégorie d’étude n’étaient pas des lumières et considéraient l’histoire et géo assez rasantes. La classe, dont il s’agit aujourd’hui pour ce récit, était constituée en majeure partie de délinquants et de quelques paumés qui abaissaient considérablement le taux de réussite à l’examen. Cette histoire remonte donc à cinq ans auparavant, à la fin de la période scolaire, en juin 2015. Solange vous raconte donc ce qu’elle avait vécu à cette époque.
En fin d’après-midi à 17 heures, je rejoignais ma salle de classe située au bout du bâtiment, les élèves dans le couloir chahutaient comme souvent. Pour ne pas les provoquer et rester polie, arrivée à leur niveau je leur lançais des : « Excusez-moi messieurs, pouvez-vous me laisser passer ? ». Arrivée à la porte de la classe fermée à clé, je sortais mes clefs pour l’ouvrir, lorsque je me suis sentie oppressée par quatre élèves qui se collaient à moi. Ce fut très rapide, car je n’avais pas eu le temps de crier, l’un d’eux m’avais mis sa main afin de me ceinturer et en plaquant son autre main sur ma bouche. Je me suis aussitôt débattue mais impossible de bouger, ils étaient bien plus nombreux et plus forts que moi, je me suis vite retrouvée à terre. Je m’étais vêtis pour cette journée, d’une robe noire dont la longueur était juste au-dessus du genou qui se fermait par une fermeture éclair dans le dos, des escarpins à talons, soutien-gorge, culotte, mais pas de bas, nous étions fin juin et il faisait chaud. Donc ma tenue était correcte et non provocante.
Très vite, un élève placé dans mon dos saisit mon col et d’un violent coup arracha cette fermeture. Lui ou un autre malgré mes gestes avait baissé le haut de ma robe jusqu’au-dessous de ma poitrine, faisant du même coup une sorte de camisole à mes bras. Mon soutien-gorge fut tiré vers le bas et fit jaillir mes seins lourds de leurs bonnets.
Pendant ce temps, en me débattant de mes jambes, ma robe s’était retroussée, des mains avaient immobilisé mes cuisses tout en les écartant au maximum. Je sentis qu’on crochetait ma culotte au niveau de mon entre-jambes, elle fut baissée et se retrouva à mi-cuisses, découvrant ainsi mon sexe glabre. Les injures grossières fusèrent immédiatement. Des doigts m’avaient fouillée, non seulement le sexe mais également mon anus, alors que d’autres pétrissaient mes seins violemment. J’avais même reçu des crachats, des bouches m’aspiraient et mordaient mes tétons… J’en connais tous les détails, car l’un d’eux filmait toute la scène.
Tous les profs étaient en cours, j’avais pu rejoindre mon vestiaire sans être vue par ceux-ci, ni par les surveillants. J’avais enfilé une veste sur ma robe que je ne pouvais plus fermer et j’étais rentrée à la maison. Je téléphonai au secrétariat afin de les prévenir que je venais de faire un petit malaise. Je n’avais pas porté plainte sur le moment, car l’homme qui avait filmé la scène, m’avait menacé lorsque je m’étais relevée. Il m’avait saisi le cou d’une main en me lançant « si tu dis quelque chose, tu vas te retrouver partout sur le net, tu vas faire fureur avec ta petite chatte rasée ma salope ».
J’avais un gros problème maintenant, j’avais prévenu le proviseur de mon agression et je ne pouvais pas laisser Karim parler de cette histoire au lycée. Après le chantage, les policiers étaient parvenus à arrêter les délinquants et le film fut détruit. Comme je ne me sentais pas capable de poursuivre d’enseigner dans ce lycée, le lundi matin, j’étais retournée rencontrer le proviseur, cela tombait bien, il ne voulait pas que cela se sache et me demanda de ne pas porter plainte, il était très gêné. Il m’avait mis une telle pression que je cédai à sa demande au grand dam des policiers. Mais je lui avais toutefois posé mes conditions :— Je ne porte pas plainte, mais vous obtenez ma mutation dès la rentrée prochaine à Amiens.
Je désirais partir vivre là-bas avec Patrick, c’était l’occasion rêvée. Le rectorat avait reçu ma demande de mutation, qui fut acceptée rapidement puisqu’elle était appuyée par le proviseur et un ami policier de Patrick.
Après ce viol, dont ce nom n’avait jamais été prononcé, ces menaces et chantage, ma mutation fut acceptée. Ayant vécue durant ma jeunesse vers Amiens, je désirais me rapprocher de cette ville. Entre mon mari et moi, nos revenus mensuels nous permettaient de rechercher une demeure assez cossue, mais le temps que l’administration se mette en branle pendant les congés scolaire malgré l’urgence de cette mutation, je reçus l’accord que mi-août. Il ne me restait qu’une quinzaine de jours pour trouver un pied à terre. Alors avec Patrick nous avons joué sur deux possibilités. La première, trouver la maison de nos rêves, toutefois avec peu d’espoir en si peu de temps, l’autre prendre un studio ou un F2 pour quelques temps.
Patrick avait pris rendez-vous avec une agence immobilière pour seize heures trente. Nous nous rendions à l’adresse indiquée. Bien que ce soit le quartier que nous désirions, nous arrivions dans une zone pavillonnaire en construction. Nous étions en avance, et quoique nous n’étions pas au bon endroit, Patrick voulu voir à quoi ressemblait le projet. Après avoir parcouru une cinquantaine de mètres, il me dit :— Viens avec moi, on va voir comment c’est aménagé.
— C’est en construction, on ne va pas perdre notre temps à visiter des pièces vides.
— On est en avance, on a le temps de jeter un coup d’œil, si Mathieu ou Chloé (nos enfants) veulent investir on pourra toujours leur en toucher un mot.
Je me résignais à le suivre, lorsque Patrick à une idée en tête, il n’est guère facile de la lui ôter. C’était un pavillon sur un étage qui n’avait pas de porte ni fenêtre, encore à l’état brut. Lorsque nous entrions à l’intérieur, un type de l’autre côté de la rue nous apostropha :— Hé ! C’est interdit d’entrer ! Ça devait être un maçon d’après sa tenue, au fort accent ibérique.
— On veut juste regarder comment c’est aménagé à l’intérieur, c’est tout, lui rétorqua Patrick.
— Y a une maison témoin pour ça !
Le type traversa la rue et vint à notre rencontre alors que nous restions dans l’entrée.
— C’est interdit d’entrer, réitéra-t-il lorsqu’il nous eut rejoint, d’autant, ajouta-t-il en me considérant d’un regard pétillant, que vous risquez de vous salir ma p’tite dame, et avec vos talons aiguilles vous risquez de tomber.
— C’est une délicate attention de vous préoccuper de ma femme Solange, cher monsieur, répondit Patrick d’un air pompeux.
Puis il s’engagea dans l’escalier : « accompagnez-nous, et restez derrière Solange au cas où elle viendrait à se tordre le pieds en montant. » Puis s’adressant à moi il poursuivit : « Ce n’est pas parce que monsieur est bel homme et fort, que tu le fasses exprès pour te retrouver dans ses bras.
— Ça ne me déplairait pas, ricana l’ouvrier.
Le message de Patrick était clair, il voulait que j’aguiche le type. « Soit » Me dis-je, d’autant que le jeu ne me déplaisait pas, bien que l’homme fût assez petit, au visage rondouillard au teint rosi. Je suivais Patrick dans l’escalier, montant les marches assez lentement, tout en cambrant mes reins afin que ma jupe qui couvrait mes cuisses à moitiés en fasse découvrir davantage au type qui devait se rincer l’œil.
Nous arrivions dans le couloir et mon mari se dirigea dans une pièce brute de béton et de Placoplatre qui devait être une chambre.
— Dommage, dit-il en se penchant dans l’embrasure de la fenêtre, il y a du vis-à-vis avec les voisins.
— Et oui, il faudra éteindre la lumière pour faire la chose, railla l’ouvrier.
— Si ça se fait la nuit, mais pour nous, on n’a pas d’heure pour baiser, pas vrai Solange ?
Je n’ai pas répondu, j’ai rejoint Patrick à la fenêtre. Il avait pris son téléphone pour appeler, il voulait joindre le type de l’agence, pour le prévenir de notre retard. Quelques secondes plus tard, il me fit un clin d’œil complice en ajoutant : — je te laisse en bonne compagnie, je n’ai pas de réseau ici, je vais voir, s’il y en a dehors
Dès qu’il fut parti, je me penchais sur le rebord de la fenêtre, souhaitant que ma position dévoilerait un maximum mes cuisses.
— C’est haut ? Demandais-je. Retenez-moi, on ne sait jamais, dis-je d’une intonation emplie de sensualité.
— Ne vous inquiétez pas ma p’tite dame, me rassura l’ouvrier qui venait de se placer derrière moi en me plaquant ses deux mains sur ma jupe.
— Oh, fis-je en sentant ses pognes, vous avez des mains d’homme viril. Je ne sais comment vous remercier de votre délicate attention.
Je me disais que ça sonnait faux, que j’en faisais un peu trop, comme une comédie de boulevard, mais qu’importe. Tout en restant appuyée au rebord, je me redressais, mais en gardant ma posture cambrée. Puis je fis un geste à Patrick qui était au pied de la maison, moins pour lui dire bonjour, c’était pour rassurer le portugais et lui montrer que mon mari était bien à l’extérieur.
— C’est vrai, ce que dit votre mari, que vous faites la chose, pas que le soir ? Osa le type.
D’une main je fis glisser ma culotte à mes pieds et j’écartais les jambes et lui intima :— Oui, c’est vrai. Baisez-moi.
Il eut un temps de réaction, le temps de comprendre que l’un de ses fantasmes se révélait certainement devenir réalité. Il retroussa le pan de ma jupe sur mes reins et ses mains calleuses prirent la forme de mes fesses. Il déboutonna sa salopette et son sexe déjà en érection se coinça entre mes rondeurs.
— J’vais me branler dans la raie de ton cul, je n’ai pas de capote !
— Je suis saine, prenez-moi !
Il était déjà en train d’aller et venir entre mes fesses tout en m’étreignant fortement pour que je ne m’affranchisse de ses coups de butoirs simulant l’accouplement. Patrick me voyait depuis le jardin, ne sachant de quel orifice jouissait le maçon, alors qu’il ne me pénétrait pas. Très vite, trop vite, il poussa un râle et trois jets rapides de sperme épais éclaboussèrent mes fesses. « Salaud » me dis-je, il avait joui, il m’avait souillé, et moi, pas le moindre frisson. Il se décolla de mon corps, alors que je restais telle quelle, étonnée de son comportement. Sa main caressa ma croupe pour l’enduire de sa semence.
— Tu peux revenir demain ? J’ai des collègues que ça ne dérange pas de baiser sans capotes.
Ses doigts joints et englués de sperme s’étaient glissés entre mes lobes et venaient lustrer mon anus.
— C’est aujourd’hui que j’avais envie, pas demain.
— S’ils te payent ?
Entre temps, Antonio, le collègue maçon qui cherchait José demanda à Patrick s’il ne l’avait pas vu :— Il est à l’étage, il baise ma femme. Tu veux venir ? Suis-moi.
Le maçon le regarda, les yeux écarquillés et le suivi dans l’escalier.
— Solange ne se fait pas payer, annonça Patrick qui venait de nous rejoindre. Alors, t’en a bien profité ?
Antonio voyant le spectacle, ne perdit pas de temps, il baissa son pantalon et s’approcha de mes fesses nues. Après s’être branlé, il frotta son sexe de bas en haut titillant mon clitoris puis de haut en bas chatouillant mon anus, qu’il pénétra sans retenu. José avait passé sous moi, pour me téter les mamelles et caresser mon bouton. Lorsqu’Antonio éjacula dans mon fondement, j’obtint un orgasme, je ne m’étais pas donnée à eux pour rien. En quittant la pièce, tandis que je me nettoyais avec des mouchoirs, sous le regard satisfait de Patrick. José avait marmonné un « salope »— Ça a été vite, on ne sera même pas en retard, dit Patrick. À mardi prochain...
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Solange et Patrick vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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