Solange la bourge : Salope en France. Salope en Irlande pendant les vacances.

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Solange la bourge : Salope en France. Salope en Irlande pendant les vacances. Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2020 dans la catégorie Plus on est
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Solange la bourge : Salope en France. Salope en Irlande pendant les vacances.
Cette année-là, Patrick et moi, pour cette période de vacances, nous avions décidé de partir quatre jours en Irlande. Nous avions choisi plus précisément Limerick, une ville d'Irlande, le chef-lieu du comté du même nom, se trouvant au centre de la région du Midwest à une demi-heure de l'aéroport de Shannon par la route. Située dans l'ouest de l'île, elle est bordée par le fleuve Shannon. Avec près de 100 000 habitants, elle se place au troisième rang des villes les plus peuplées du pays après Dublin et Cork. Après avoir lu de nombreux guides, nous avions appris que l'industrie touristique s'y était développée au cours des années 2000 et que plus de mille lits avaient été ajoutés en 2006 du fait de l'ouverture de cinq nouveaux hôtels. Limerick était la première ville à procurer aux visiteurs des « ambassadeurs de rues », qui étaient des personnes chargées de leur rendre plus agréable le séjour dans la ville.

En arrivant dans cette magnifique ville d’Irlande, après avoir déposé nos valises à l’hôtel, nous avions commencé à visiter, nous sommes allés au centre commercial, « Castleroy Shopping Centre » puis à l’université de Limerick qui méritait aussi une visite, en tant que centre culturel de la région. Nous avions prévu de voir le château de roi Jean, la cathédrale Sainte-Marie, la Pierre du Traité (Treaty Stone), le musée Hunt et dans les alentours, on pouvait visiter le château de Bunratty, le village d'Adare et le « Foynes Flying Boat Museum ». Nous ne savions pas si quatre jours étaient suffisant pour tout admirer.

La première soirée, nous avions diner dans un restaurant du centre-ville où nous avions pu déguster un Irish Stew. Dénommé stobhach Gaelach en gaélique, l'Irish Stew n'était rien d'autre qu'un ragoût d'agneau servi avec comme légumes des pommes de terre, des oignons et des carottes.Patrick en payant l’addition avait demandé au patron du restaurant s’il y connaissait un endroit pour finir la soirée avant de rentrer à l’hôtel. Celui-ci nous avait indiqué un pub, où un groupe folklorique à ne pas manquer se produisait toute la semaine y compris le mercredi.

L’Irlande est le pays enregistrant le plus de Pubs au kilomètre carré. Et pour cause ! on en trouve partout, que ce soit en ville, ou dans les plus petits villages de l’île ! On en compte même parfois plus de 3 ou 4 par rue ! mais avec l’adresse, nous sommes parvenus à trouver celui indiqué par le restaurateur. Ce pub était très largement fréquenté par les irlandais, il était vingt-deux heures passées, la salle était bondée, à croire que nous étions les seuls touristes. Patrick savait qu’il était inutile d’attendre la venue d’un serveur pour passer commande. Tout se faisait au bar, à notre arrivée. À peine la commande passée, payée comptant, nous nous frayâmes un chemin entre les tables occupées par des autochtones, avec nos pintes à la recherche d’une table.

Nous cherchions où nous installer, lorsqu’un type se poussa contre son voisin, apparemment un de ses amis et nous fit signe de nous assoir à leur table. Heureusement que Patrick maitrisait parfaitement la langue de Shakespeare, car malgré mes années de lycées et de facs, tout ce que j’avais appris en anglais s’était évaporé, préférant et maîtrisant beaucoup mieux l’italien. Patrick les remercia et nous présenta, je n’y comprenais rien, mais qu’importe, la musique couvrait les propos.

Mon mari recommanda des bières et en offrit aux deux hommes. Celui qui était à mes côtés se prénommait Glenn, la cinquantaine, roux comme tout irlandais qui se respecte, quant au second, Roibin, c’était un homme de près de soixante ans, ventru et cheveux blancs. Patrick discutait davantage avec ce dernier puisqu’il était directement assis à ses côtés, mais se tournait et conversait régulièrement vers Glenn. Bien que je ne comprisse rien de leurs échanges, je me doutais bien tout de même, que la conversation devait souvent se porter sur ma personne, car les deux hommes me dévisageaient, ce n’était sans doute pas pour leur parler de mes dons de cuisinière.

Patrick m’avait dit plus tard lors de notre retour à l’hôtel, qu’après les avoir remerciés de nous avoir fait une place, il leur avait dit que nous étions en vacances et que l’on cherchait des endroits pour nous divertir. Roibin fut étonné de notre différence d’âge et sur le ton de la plaisanterie, il lui avait dit de ne pas la laisser seule, surtout qu’il y avait un club libertin pas très loin du Pub. À ce moment-là Patrick avait enclenché la discussion sur notre libertinage et son candaulisme prononcé à mon égard. Il avait répété tout cela à Glenn qui lui avait répondu qu’il aimerait voir ça. Patrick l’autorisa de pouvoir me caresser en me disant : — Laisse-toi faire Solange et « he can treat you like a whore.” il pouvait me traiter comme une pute.

Pendant ce temps et même en voiture plus tard, ils avaient parlé de moi, de ce que je faisais en tant que salope. Ils trouvaient mon mari un peu vulgaire envers moi, mais comme il m’aimait, ce n’était pas grave, il leur dit que j’avais un corps sublime, alors autant que des types en profitent et surtout me fasse jouir !

      Ainsi quand Patrick s’adressait à Glenn, il ne prenait pas la peine de se pencher vers lui pour se faire entendre, Glenn grognait une sorte de « sorry », et courbait sur moi pour converser. Après avoir réitéré ce scénario deux fois, sa main droite se posa derrière mon épaule contre le dossier, tandis que la gauche se colla sans gêne apparente sur le nylon du bas de mon genou. Après quelques instants, je perçus que sa main ne s’était pas posée pour qu’il conserve son équilibre, mais qu’elle était remontée de quelques centimètres d’une manière plus caressante.

Je fis un signe de tête à Patrick pour le lui faire remarquer. Il regarda la main campée sur ma jambe, puis sourit en me disant :— Je lui ai dit que tu aimais l’hospitalité irlandaise, alors s’il te plaît, fais-moi ce plaisir que je ne les déçoive pas.
Puis s’adressant au type en anglais :— « Come on, Glenn, you can go on. » Allez, Glenn, tu peux continuer.
  Caché par la table au regard des autres clients, Glenn caressa mes cuisses jusqu’à mon ventre, il m’avait surtout caressé l’entre cuisses, puis après avoir dégagé ma culotte, il avait cajolé longuement mon pubis du revers de ses doigts et ce ne fut que vers la fin que du bout de ses phalanges, après avoir sinué le long de mes grandes lèvres, il m’avait doigté jusqu’à trois de ses doigts, très délicatement, cela me faisait un bien fou, il était doux, comparé à ce que je vivais quelques fois avec des inconnus sans aucune attention à mon égard. Malgré le monde qui était dans le pub et qui ne se doutait de rien, j’avais pris du plaisir, sans pour autant aller jusqu’à la jouissance, pendant les vingt minutes avant que le récital du groupe ne s’arrête.

Lorsque nous sommes sortis, je compris que Roibin venait de proposer à Patrick de nous raccompagner avec leur voiture à notre hôtel. Bien entendu mon mari accepta, il allait pouvoir m’offrir à eux. Glenn conduisit avec Patrick à ses côtés, tandis que je montais sur la banquette arrière accompagné de Roibin. Une fois installé, mon voisin me fit signe qu’il était inutile que je mette ma ceinture. Je ne savais quel genre de voiture s’était, mais la banquette était spacieuse. Il me dit une phrase que je ne compris pas : — Lie down a bit, and roll up your skirtHenri traduisit immédiatement :— Allonge-toi un peu, et retrousse ta jupe. Laisse-toi faire.

Je m’exécutais en affichant un sourire complaisant à Roibin. J’avais une jambe repliée sur la banquette et l’autre sur le plancher. Glenn avait allumé le plafonnier et orienté son rétroviseur vers nous, il ne roulait pas vite pour profiter du spectacle. Très vite, Roibin se pencha sur mon ventre, écarta ma culotte et se mit à dévorer mon sexe de manière gloutonne. J’appréciais cette situation, me faire lécher en voiture tout en roulant en pleine ville, c’était assez jouissif pour moi. Après plusieurs minutes, quoique je ne prêtais guère attention à l’extérieur du véhicule, je perçus que nous avions quitté la ville et que nous étions plongés dans l’obscurité de la campagne irlandaise.

           Roibin était vautré sur la banquette, mon chemisier était entièrement ouvert, il avait sorti mes seins des bonnets de mon soutien-gorge, il les malaxait, il aimait traire mes mamelles et j’adorais cela, Puis il me dit :— suck my penis” “he is clean”.
— Il te demande de sucer sa queue, elle est propre. Traduisit Patrick.
Guidant mon visage vers son sexe tendu, je me mis à lui aspirer son gland, tandis qu’une de ses mains me trayait littéralement ma poitrine plus qu’il ne la caressait.

À force de le faire, du liquide avait perlé de mes tétons. J’avais vraiment aimé ces moments, mais je regrettais de ne pas avoir compris tous leurs propos, car j’aimais entendre les mots crus à mon égard, je trouvais ça plus excitant. Pendant cette fellation, je ne savais ce qu’il disait, mais il devait être outrancier envers moi, car je me souviens que Patrick ne parvenait pas à tout traduire mais il me disait :“you suck well bitch”. Tu suces bien salope.
“your big tits make me hard”. Tes gros nichons me font bander “dirty whore” Sale pute.

            Puis la voiture s’était arrêtée et ma portière s’ouvrit. Tout en poursuivant de sucer mon voisin, les mains de Glenn me tirèrent vers l’extérieur. Maintenant Roibin était allongé sur la banquette, me maintenant d’une main derrière ma nuque, penchée sur lui à lui gober sa verge en l’aspirant. Glenn me fit écarter les jambes tout en retroussant ma jupe sur mes reins. Il interrogea Patrick :— you can fuck her, she’s healthy, no sida ?
Patrick avait répondu en anglais mais me fis la traduction de sa réponse.
— Oui ! tu peux la baiser, elle n’a pas le sida
Mais malgré mon anglais déficient, j’avais compris. Me maintenant par les hanches Glenn me pénétra. Je haletais sous ses coups de reins. Trop occupée à ressentir sa hampe aller et venir en moi, je fus surprise lorsque les deux mains de Roibin m’enserrèrent mon visage et que des giclées de sperme inondèrent ma gorge. Il proférait des jurons que ne comprenais pas.

Glenn avait un sexe long, pas épais mais je ressentais bien cette queue qui me perforait les entrailles, il ne m’avait pas encore apporté le plaisir. Lorsqu’il s’immobilisa à son tour en poussant un râle de soulagement et qu’il avait éjaculé dans mon ventre, je connu cette jouissance.

J’avais trouvé assez frustrant de faire le chemin retour sans savoir ce qu’ils disaient, tout en ayant encore le goût du sperme dans ma bouche et surtout celui de Glenn qui coulait encore de ma vulve, dont j’avais d’ailleurs bien souillé la banquette arrière de leur voiture.

Patrick ayant assisté avec bonheur à toute la scène, leur parlait sur un ton de contentement. Nous sommes rentrés à l’hôtel, certainement sous des sobriquets salaces à mon égard dont se délectaient les trois compères. En sortant de leur voiture en arrivant à l’hôtel, Roibin m’avait dit en français s’il vous plait, mais avec un fort accent « salope ».
Ces deux irlandais étaient bien comme les français, ils avaient apprécié la salope que j’étais.

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