Solange la bourge : toujours salope même en vacances. (Saison 2 épisode 7)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 225 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Perruche ont reçu un total de 1 324 955 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 082 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Solange la bourge : toujours salope même en vacances. (Saison 2 épisode 7)
Enfin les congés ! J’attendais avec impatience ce mois de juillet. Pour cette année 2018, nous avions réservé un mobil-home dans un camping quatre étoiles, pendant quinze jours, près de Bretignolles en Vendée. Pour des raisons professionnelles, Patrick fut dans l’incapacité de passer la première semaine avec moi et nous en étions désolés.
Patrick m’avait accompagnée en voiture jusqu’au camping, nous étions partis assez tôt dans la matinée du dimanche et malheureusement, il devait repartir le soir même, en espérant me rejoindre pour la fin de la semaine. Je n’avais pas de voiture mais qu’importe, notre mobil home était installé dans les dunes face à la mer. L’habitat était très peu ombragé par des pins, la terrasse donnait plein ouest, un havre de tranquillité dont les emplacements étaient clos d’une haie de laurier. J’avais prévu de passer ces cinq jours de célibat, en farniente, lecture et promenades…
Ce mois de juillet était presque caniculaire. En arrivant vers 14 heures, nous avions consacré ce dimanche après-midi, à ouvrir les valises, ranger les vêtements et toutes nos affaires, faire le lit puis nous étions partis faire les courses… Enfin ! épuisés par le trajet, la mise en place, la chaleur, nous nous étions installés sur la terrasse pour souffler un peu autour d’un verre et d’un diner, avant que Patrick ne reprenne la route vers vingt et une heures.
J’avais enfilé un maillot deux pièces, je m’étais installée sur le transat et je commençais à lire, espérant que la fatigue et la lecture aient raison de moi pour que j’aille enfin me coucher. Minuit déjà ! Je me décidai de rentrer dans le mobil home. Horreur, la chaleur emmagasinée pendant la journée rendait l’atmosphère étouffante. Je regardai la climatisation, essayai de la remettre en route, impossible, elle était bien en panne et à cette heure, j’étais dans l’impossibilité de joindre les responsables du camping.
Je m’allongeai nue sur le lit espérant trouver le sommeil. Je n’arrivais toujours pas à m’endormir, je sentais la moiteur ruisseler, mon bras collant à mon flanc jusqu’à en entendre le chuintement de la sueur qui se décollait au moindre de mes mouvements. Je me sentais sale, je pris une douche, mais dans la salle de bain exiguë l’air y était irrespirable. Non ! Me dis-je, je vais aux sanitaires communs.
J’enfilai une sortie de bain, il était une heure du matin ce lundi 30 juillet et la lune était pleine dans ce ciel sans nuage. Seuls quelques lampadaires parsemés éclairaient l’allée menant au centre du camping. Après m’être rafraichie sous l’eau glacée de la douche, en rentrant pour m’oxygéner de cette léthargie qui m’envahissait, je choisis de remonter cette allée, faire ainsi sans doute, le tour du camp. Tout était calme, pas une lumière hormis les candélabres et la clarté de la lune.
Quelques pas plus loin, j’entendis à ma droite un bruit confus que je n’identifiais pas. Plus je m’en approchais, plus je discernais le son. C’était sans nul doute des gémissements de lascivité. Un couple faisait l’amour, là, tout près de l’allée. Mes sens en alerte, d’une indiscrétion mal placée que je mettais sur mon oisiveté, je m’approchais de la toile de tente en m’adossant contre un pin. Les plaintes d’une femme s’entrecoupaient d’un chuchotement étouffé de : « Encore… Ah, c’est bon…. Doucement… Encore… ».
J’inspectais rapidement autour de moi. J’étais seule, ma main s’infiltra sous ma sortie de bain, j’insinuais le bout de mes doigts entre mes lèvres moites de ma sudation et bientôt de mon obscénité de femme impudique. Je l’entendais jouir et se retenir, mes doigts n’arrivaient pas à combler cette envie d’être à la place de cette femme : « Que lui faisait-il ? »
Elle devait savourer le sexe la pénétrant, jusqu’à ce qu’elle étouffe son orgasme dans sa paume ou le torse de son amant. C’en était trop pour moi, elle avait joui, pas moi ! Je ne pouvais rester dans mon onanisme contre cet arbre. Les pensées de ce couple, me firent retourner vers le mobil home, accélérant le pas comme une obsession, pour me calmer je devais libérer ce besoin oppressant de jouir.
Aussitôt je refermais la porte derrière moi, j’otai ma sortie de bain et me jetai sur le lit, mes cuisses se refermant sur mes mains. La touffeur du lieu que je fuyais auparavant devenait salvatrice, me remémorant d’autres moment de débauches et de luxures parfois inavouables, mais tellement salvatrice d’assouvir ses tensions de chair.
Je devenais folle, mes doigts me fouillaient, ma main englobait mes seins que je portais à ma bouche, mais je ne parvenais pas à me libérer. J’avais la soif d’un sexe en moi, je me relevai et me dirigeai vers la salle de bain, fouillant dans mon sac de toilette, j’en sortis un tube de lotion pour corps. Je tenais le Graal de ma félicité entre mes mains. Je parvenais enfin à me faire jouir de ce godemiché improvisé. J’étais sale, mon essence de débauchée coulait sur mes cuisses, mais que c’était bon ! C’était bon de jouir, de transpirer, de puer la sueur, la cyprine, de sentir ma peau coller. Cette volupté de béatitude se poursuivit encore après que ma tension se soit évanouie, je continuais mes caresses sur mon sexe, mes tétons, mon anus … Je ressentais toutes mes zones érogènes du bout de mes doigts. Apaisée, j’ai pu enfin m’endormir. Dix heures du matin, le téléphone.
— Ce n’est pas vrai, je te réveille ?
— Ah ! C’est toi Patrick ? … Oui, j’ai mis du temps à m’endormir avec cette chaleur… Je vais prendre mon petit déjeuner, après je ne sais pas ce que je ferai… T’es bien rentré hier ? .... Oui, je t’embrasse, on se rappelle ce soir.
Je m’installai sur la terrasse au soleil, un délice ! Lorsqu’un couple de noirs, la petite trentaine, tenant à la main un bout de chou d’environ six ans passa devant l’entrée du mobil home, ils me regardaient et s’avancèrent vers moi.
— Bonjour, nous sommes vos voisins. Annonça l’homme.
— Oui ! Le mobil homme, là ! Montra la femme d’un signe main.
— Bonjour ! leur répondis-je.
L’homme, un grand, sportif et elle, un mannequin tant elle était belle.
— Excusez-nous de vous déranger poursuivit l’homme, Thomas, en désignant son fils a lancé chez vous sa balle.
— Ce n’est rien, récupérez là. Si ça recommence, n’attendez pas de me voir pour venir la chercher !
Effectivement, sur le coup des midis, le père revint chercher la balle, nous échangeâmes des sourires. J’ingurgitais une assiette de crudité comme déjeuner. Le soleil n’était pas encore à son zénith, pourtant le thermomètre affichait déjà trente et un degré ! Je pris un bouquin et m’étais installer à l’ombre dans un transat, sur le côté du mobil home. Le mélange, de la chaleur, de la chaise longue et le côté soporifique de mon roman, une nuit de peu de sommeil eurent raison de mon éveil, j’étais plongé dans une somnolence profonde.
— Heum, heum. Entendis-je en sursautant légèrement.
J’écarquillais les yeux. Le grand black se tenait devant moi vêtu d’un short.
— Oh, oui ! Me remettant l’homme et le contexte, émergeant de mes rêves. Oui, euh… Excusez-moi… Je vous en prie, allez chercher le ballon, ne faites pas attention à moi.
— C’est moi qui dois m’excuser, je ne pensais pas que vous dormiez, d’ailleurs ce n’est pas très prudent en plein soleil.
Je regardai ma montre. Bientôt quinze heures ! Je m’étais assoupie à l’ombre une bonne heure auparavant, et maintenant je sentais ma sueur perler sur mon front, entre mes seins et mes cuisses.
— Vous êtes seule en vacances ?
Je lui expliquais la retenue de Patrick pour son travail, « et vous ».
— Avec ma femme et mon fils que vous avez vu tout à l’heure. Donc pour répondre à votre question, oui je suis seul aussi, enfin pour une bonne heure, ils viennent de partir à la plage, dit-il d’un grand sourire.
— Vous ne les accompagnez jamais ? Lui demandais-je. Après avoir relevé le dossier pour être à moitié assise.
— Non ! et pour deux raisons. La première, c’est que je ne pense plus pouvoir vraiment bronzer, ironisa-t-il. La seconde, serait que je ferais une grave erreur en laissant seule une voisine aussi charmante que vous.
— Charmeur ! Rétorquais-je alors que son regard plongeait entre les deux bonnets de mon maillot de bain sans doute trop décolleté.
— Vous n’aimez pas les compliments ?
— Bien sûr que si, c’est ainsi que vous avez conquis votre femme ?
Il vint s’agenouiller près de moi.
— Oui, et ça a marché.
— Bien dommage pour vous que la polygamie soit interdite.
— Pourquoi dommage ? Qui vous a dit que je souhaitais avoir deux femmes ?
Tout en parlant, il posa sa main sur le haut de ma cuisse. Je fis semblant de l’ignorer. La loi n’interdit pas d’avoir une femme l’une après l’autre. La morale oui, mais êtes-vous morale d’avoir un aussi beau corps ? Ses doigts sinuèrent sur mon aine entre ma peau et le tissu de ma culotte.
— Encore un compliment ? Est-ce le même que vous lui aviez dit ?
Les bouts de ses phalanges s’infiltrèrent sous mon slip et se mirent à aduler mon pubis glabre.
— Aussi, dit-il. Elle m’a dit à ce moment-là, Théo, ne crois pas que j’ai l’air aussi sage que j’en ai l’air, elle a écarté ses cuisses et a rajouté en fermant les yeux, encore.
— Je me prénomme Solange, et d’après vous, que dois-je dire — Tout d’abord, vous fermez vos yeux.
Je m’exécutais, Je sentis ses doigts dénouer ma culotte sur mon flanc droit, puis le gauche. Il tira sur le tissu et dévoila mon sexe. Instinctivement j’écartais davantage mes jambes, ses phalanges coulèrent entre mes lèvres, s’insinuant peu à peu entre elles jusqu’à ce qu’elles viennent flirter la chair humide de ma vulve. Ma main s’introduisit dans son short pour prendre possession de sa verge en érection. Nous ne nous parlions plus, nous nous caressions en silence de longues minutes.
— On peut rentrer dans ton mobil home ?
Les fesses à l’air, je fis le tour du mobil home pour m’engouffrer dans la pièce, suivie de très près par Théo. Il me prit par les épaules et me retournant, il me poussa, m’étalant sur le dos, sur le lit. Mes reins se trouvaient sur le rebord du matelas, il s’agenouilla entre mes jambes, et dévoila sa vraie personnalité.
— Écarte tes cuisses que j’te bouffe la chatte !
Je ne répondis pas, le temps de la séduction était passée, il en était à la seconde étape, celle de baiser, de posséder, d’évacuer le trop plein d’ivresse de débauche trop retenue. Sa tête était déjà enfouie entre mes cuisses et je ressentais sa langue avide en moi, puis sa bouche aspirait mes lèvres intimes, essayant de les distendre tandis que la paume de sa main caressait mon mont de Vénus et que son pouce exaspérait mon clitoris. Dans le calme de la chambre, ce n’était que chuintement et gargouillement de salive et de cyprine dont il s’abreuvait cupidement. Dans ce murmure indécent se mêla mes soupirs, puis mes gémissements que le plaisir ne pouvait retenir.
— Tu mouilles ma cochonne !
Me lança-t-il en se redressant, le visage visqueux de notre soif de sexe. Il m’arracha mon soutien-gorge et prenant mes seins à pleines mains, les malaxa bestialement jusqu’à me faire échapper des lamentations dues à la tourmente qu’il m’infligeait.
— J’vais t’bouffer tes mamelles !
Tout en les pétrissant, sa bouche mordillant mes tétons qu’il voulait faire ériger plus qu’ils ne l’étaient déjà. Tout en m’injuriant, il me dévorait, me tétait à m’en faire souffrir. Il s’agenouilla à mon côté.
— Suce-moi, m’ordonna-t-il tout en me présentant sa verge tendue.
Comment aurais-je pu refuser de goûter à ce phallus luisant aux épaisses veines saillantes. Je pris ce gland entre mes lèvres, ma langue en dessous le contourna et le lapa avant de jouer avec son méat que titillait en le forçant. Les doigts de Théo fouillaient ma vulve dont on entendait ma jute clapoter.
— Aspire-moi salope ! Vociféra-t-il en m’assénant une gifle sur mon sein. « Allez ! »
Une autre claque s’abattit tout aussi violemment. Mes lèvres en anneau autour de son gland, j’aspirais sa hampe peu à peu dont il me força à la prendre jusqu’à ma gorge, en me guidant d’une main derrière ma nuque. Puis il se retirait, et je récidivais. A chaque retrait de son sexe, il pinçait mon téton, puis prenait un malin plaisir à talocher mon sein pour le voir onduler comme de la gélatine.
— J’vais te baiser, retourne-toi !
Je m’exécutais, malgré ces préliminaires bestiaux, j’avais hâte d’être prise, de le sentir en moi et surtout de jouir. Allongée sur le ventre, il me tira sur le rebord du lit, m’agenouillant sur le sol. Instinctivement je me cambrais. D’une main il tenait son membre qu’il guida pour frotter son gland entre mes lèvres dégoulinantes de mon envie. D’un coup de rein, je perçus mes chairs s’écarter, sa verge coulissa en moi. Il me tenait par les hanches qu’il tirait vers lui à chaque salve de son ventre faisant claquer ses couilles contre mes cuisses.
A chaque bordée il me provoquait en me crachant des « salope, prend ça ! », « Tu l’aimes ma bite ? », « J’te baise bien à fond salope ! ». Il ne pouvait savoir que d’être traitée ainsi m’excitait, car oui ! Je suis une salope ou une pute s’il veut, si ma condition de femme veut que je jouisse, qu’importe si celui qui me possède soit blanc, black, jeune ou vieux et qu’il me considère comme une trainée, qu’il profite de moi, je veux me perdre dans la volupté du vice.
Ses coups de reins se ponctuaient du claquement de son ventre sur mes fesses et du chuintement de sa hampe qui sombrait dans ma vulve. Il s’écroula sur moi. Sa langue parcourait mon épaule, mon cou qu’il embrassait, puis il me murmurait des « salopes, t’es bonne » et autres insultes qu’il entrecoupait de baisers. J’haletais au rythme de sa possession, geignant des « encore » étouffés, puis des « oui, oui » lorsqu’il me baisait plus ardemment.
Les jointures de mes doigts blanchirent tant je m’agrippais aux draps et mon corps se mit à trembler sous mon orgasme où je m’entendis le supplier « baise-moi plus fort ! Encore ! », je suffoquais. Ma jouissance le contamina, ses muscles se bandèrent. Dans un dernier assaut, sa verge se planta au plus profond de moi et s’immobilisa. Ses mains puissantes m’étreignirent les épaules, puis dans un râle guttural, je sentis son sperme inonder mon vagin. J’étais secouée de spasmes incontrôlables.
Il resta en moi de longues minutes tout en me caressant. La « bête » était redevenue tendre, ses paroles plus chastes. Il se retira en me donnant un dernier baiser dans le cou. La porte se referma. Je restais ainsi agenouillée, le buste sur le lit. Je sentais son sperme, mêlé à ma quintessence de femme, suinter de mon sexe et ruisseler sur mes cuisses. J’étais sale, mais heureuse de mon état. J’ai dû somnoler dans cette position obscène pendant une bonne demi-heure, avant de prendre une douche, puis partir me promener vers la pinède. Je pris mon téléphone, j’avais hâte de raconter toute cette aventure à mon mari Patrick.
Si, comme Solange et Patrick, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.
Patrick m’avait accompagnée en voiture jusqu’au camping, nous étions partis assez tôt dans la matinée du dimanche et malheureusement, il devait repartir le soir même, en espérant me rejoindre pour la fin de la semaine. Je n’avais pas de voiture mais qu’importe, notre mobil home était installé dans les dunes face à la mer. L’habitat était très peu ombragé par des pins, la terrasse donnait plein ouest, un havre de tranquillité dont les emplacements étaient clos d’une haie de laurier. J’avais prévu de passer ces cinq jours de célibat, en farniente, lecture et promenades…
Ce mois de juillet était presque caniculaire. En arrivant vers 14 heures, nous avions consacré ce dimanche après-midi, à ouvrir les valises, ranger les vêtements et toutes nos affaires, faire le lit puis nous étions partis faire les courses… Enfin ! épuisés par le trajet, la mise en place, la chaleur, nous nous étions installés sur la terrasse pour souffler un peu autour d’un verre et d’un diner, avant que Patrick ne reprenne la route vers vingt et une heures.
J’avais enfilé un maillot deux pièces, je m’étais installée sur le transat et je commençais à lire, espérant que la fatigue et la lecture aient raison de moi pour que j’aille enfin me coucher. Minuit déjà ! Je me décidai de rentrer dans le mobil home. Horreur, la chaleur emmagasinée pendant la journée rendait l’atmosphère étouffante. Je regardai la climatisation, essayai de la remettre en route, impossible, elle était bien en panne et à cette heure, j’étais dans l’impossibilité de joindre les responsables du camping.
Je m’allongeai nue sur le lit espérant trouver le sommeil. Je n’arrivais toujours pas à m’endormir, je sentais la moiteur ruisseler, mon bras collant à mon flanc jusqu’à en entendre le chuintement de la sueur qui se décollait au moindre de mes mouvements. Je me sentais sale, je pris une douche, mais dans la salle de bain exiguë l’air y était irrespirable. Non ! Me dis-je, je vais aux sanitaires communs.
J’enfilai une sortie de bain, il était une heure du matin ce lundi 30 juillet et la lune était pleine dans ce ciel sans nuage. Seuls quelques lampadaires parsemés éclairaient l’allée menant au centre du camping. Après m’être rafraichie sous l’eau glacée de la douche, en rentrant pour m’oxygéner de cette léthargie qui m’envahissait, je choisis de remonter cette allée, faire ainsi sans doute, le tour du camp. Tout était calme, pas une lumière hormis les candélabres et la clarté de la lune.
Quelques pas plus loin, j’entendis à ma droite un bruit confus que je n’identifiais pas. Plus je m’en approchais, plus je discernais le son. C’était sans nul doute des gémissements de lascivité. Un couple faisait l’amour, là, tout près de l’allée. Mes sens en alerte, d’une indiscrétion mal placée que je mettais sur mon oisiveté, je m’approchais de la toile de tente en m’adossant contre un pin. Les plaintes d’une femme s’entrecoupaient d’un chuchotement étouffé de : « Encore… Ah, c’est bon…. Doucement… Encore… ».
J’inspectais rapidement autour de moi. J’étais seule, ma main s’infiltra sous ma sortie de bain, j’insinuais le bout de mes doigts entre mes lèvres moites de ma sudation et bientôt de mon obscénité de femme impudique. Je l’entendais jouir et se retenir, mes doigts n’arrivaient pas à combler cette envie d’être à la place de cette femme : « Que lui faisait-il ? »
Elle devait savourer le sexe la pénétrant, jusqu’à ce qu’elle étouffe son orgasme dans sa paume ou le torse de son amant. C’en était trop pour moi, elle avait joui, pas moi ! Je ne pouvais rester dans mon onanisme contre cet arbre. Les pensées de ce couple, me firent retourner vers le mobil home, accélérant le pas comme une obsession, pour me calmer je devais libérer ce besoin oppressant de jouir.
Aussitôt je refermais la porte derrière moi, j’otai ma sortie de bain et me jetai sur le lit, mes cuisses se refermant sur mes mains. La touffeur du lieu que je fuyais auparavant devenait salvatrice, me remémorant d’autres moment de débauches et de luxures parfois inavouables, mais tellement salvatrice d’assouvir ses tensions de chair.
Je devenais folle, mes doigts me fouillaient, ma main englobait mes seins que je portais à ma bouche, mais je ne parvenais pas à me libérer. J’avais la soif d’un sexe en moi, je me relevai et me dirigeai vers la salle de bain, fouillant dans mon sac de toilette, j’en sortis un tube de lotion pour corps. Je tenais le Graal de ma félicité entre mes mains. Je parvenais enfin à me faire jouir de ce godemiché improvisé. J’étais sale, mon essence de débauchée coulait sur mes cuisses, mais que c’était bon ! C’était bon de jouir, de transpirer, de puer la sueur, la cyprine, de sentir ma peau coller. Cette volupté de béatitude se poursuivit encore après que ma tension se soit évanouie, je continuais mes caresses sur mon sexe, mes tétons, mon anus … Je ressentais toutes mes zones érogènes du bout de mes doigts. Apaisée, j’ai pu enfin m’endormir. Dix heures du matin, le téléphone.
— Ce n’est pas vrai, je te réveille ?
— Ah ! C’est toi Patrick ? … Oui, j’ai mis du temps à m’endormir avec cette chaleur… Je vais prendre mon petit déjeuner, après je ne sais pas ce que je ferai… T’es bien rentré hier ? .... Oui, je t’embrasse, on se rappelle ce soir.
Je m’installai sur la terrasse au soleil, un délice ! Lorsqu’un couple de noirs, la petite trentaine, tenant à la main un bout de chou d’environ six ans passa devant l’entrée du mobil home, ils me regardaient et s’avancèrent vers moi.
— Bonjour, nous sommes vos voisins. Annonça l’homme.
— Oui ! Le mobil homme, là ! Montra la femme d’un signe main.
— Bonjour ! leur répondis-je.
L’homme, un grand, sportif et elle, un mannequin tant elle était belle.
— Excusez-nous de vous déranger poursuivit l’homme, Thomas, en désignant son fils a lancé chez vous sa balle.
— Ce n’est rien, récupérez là. Si ça recommence, n’attendez pas de me voir pour venir la chercher !
Effectivement, sur le coup des midis, le père revint chercher la balle, nous échangeâmes des sourires. J’ingurgitais une assiette de crudité comme déjeuner. Le soleil n’était pas encore à son zénith, pourtant le thermomètre affichait déjà trente et un degré ! Je pris un bouquin et m’étais installer à l’ombre dans un transat, sur le côté du mobil home. Le mélange, de la chaleur, de la chaise longue et le côté soporifique de mon roman, une nuit de peu de sommeil eurent raison de mon éveil, j’étais plongé dans une somnolence profonde.
— Heum, heum. Entendis-je en sursautant légèrement.
J’écarquillais les yeux. Le grand black se tenait devant moi vêtu d’un short.
— Oh, oui ! Me remettant l’homme et le contexte, émergeant de mes rêves. Oui, euh… Excusez-moi… Je vous en prie, allez chercher le ballon, ne faites pas attention à moi.
— C’est moi qui dois m’excuser, je ne pensais pas que vous dormiez, d’ailleurs ce n’est pas très prudent en plein soleil.
Je regardai ma montre. Bientôt quinze heures ! Je m’étais assoupie à l’ombre une bonne heure auparavant, et maintenant je sentais ma sueur perler sur mon front, entre mes seins et mes cuisses.
— Vous êtes seule en vacances ?
Je lui expliquais la retenue de Patrick pour son travail, « et vous ».
— Avec ma femme et mon fils que vous avez vu tout à l’heure. Donc pour répondre à votre question, oui je suis seul aussi, enfin pour une bonne heure, ils viennent de partir à la plage, dit-il d’un grand sourire.
— Vous ne les accompagnez jamais ? Lui demandais-je. Après avoir relevé le dossier pour être à moitié assise.
— Non ! et pour deux raisons. La première, c’est que je ne pense plus pouvoir vraiment bronzer, ironisa-t-il. La seconde, serait que je ferais une grave erreur en laissant seule une voisine aussi charmante que vous.
— Charmeur ! Rétorquais-je alors que son regard plongeait entre les deux bonnets de mon maillot de bain sans doute trop décolleté.
— Vous n’aimez pas les compliments ?
— Bien sûr que si, c’est ainsi que vous avez conquis votre femme ?
Il vint s’agenouiller près de moi.
— Oui, et ça a marché.
— Bien dommage pour vous que la polygamie soit interdite.
— Pourquoi dommage ? Qui vous a dit que je souhaitais avoir deux femmes ?
Tout en parlant, il posa sa main sur le haut de ma cuisse. Je fis semblant de l’ignorer. La loi n’interdit pas d’avoir une femme l’une après l’autre. La morale oui, mais êtes-vous morale d’avoir un aussi beau corps ? Ses doigts sinuèrent sur mon aine entre ma peau et le tissu de ma culotte.
— Encore un compliment ? Est-ce le même que vous lui aviez dit ?
Les bouts de ses phalanges s’infiltrèrent sous mon slip et se mirent à aduler mon pubis glabre.
— Aussi, dit-il. Elle m’a dit à ce moment-là, Théo, ne crois pas que j’ai l’air aussi sage que j’en ai l’air, elle a écarté ses cuisses et a rajouté en fermant les yeux, encore.
— Je me prénomme Solange, et d’après vous, que dois-je dire — Tout d’abord, vous fermez vos yeux.
Je m’exécutais, Je sentis ses doigts dénouer ma culotte sur mon flanc droit, puis le gauche. Il tira sur le tissu et dévoila mon sexe. Instinctivement j’écartais davantage mes jambes, ses phalanges coulèrent entre mes lèvres, s’insinuant peu à peu entre elles jusqu’à ce qu’elles viennent flirter la chair humide de ma vulve. Ma main s’introduisit dans son short pour prendre possession de sa verge en érection. Nous ne nous parlions plus, nous nous caressions en silence de longues minutes.
— On peut rentrer dans ton mobil home ?
Les fesses à l’air, je fis le tour du mobil home pour m’engouffrer dans la pièce, suivie de très près par Théo. Il me prit par les épaules et me retournant, il me poussa, m’étalant sur le dos, sur le lit. Mes reins se trouvaient sur le rebord du matelas, il s’agenouilla entre mes jambes, et dévoila sa vraie personnalité.
— Écarte tes cuisses que j’te bouffe la chatte !
Je ne répondis pas, le temps de la séduction était passée, il en était à la seconde étape, celle de baiser, de posséder, d’évacuer le trop plein d’ivresse de débauche trop retenue. Sa tête était déjà enfouie entre mes cuisses et je ressentais sa langue avide en moi, puis sa bouche aspirait mes lèvres intimes, essayant de les distendre tandis que la paume de sa main caressait mon mont de Vénus et que son pouce exaspérait mon clitoris. Dans le calme de la chambre, ce n’était que chuintement et gargouillement de salive et de cyprine dont il s’abreuvait cupidement. Dans ce murmure indécent se mêla mes soupirs, puis mes gémissements que le plaisir ne pouvait retenir.
— Tu mouilles ma cochonne !
Me lança-t-il en se redressant, le visage visqueux de notre soif de sexe. Il m’arracha mon soutien-gorge et prenant mes seins à pleines mains, les malaxa bestialement jusqu’à me faire échapper des lamentations dues à la tourmente qu’il m’infligeait.
— J’vais t’bouffer tes mamelles !
Tout en les pétrissant, sa bouche mordillant mes tétons qu’il voulait faire ériger plus qu’ils ne l’étaient déjà. Tout en m’injuriant, il me dévorait, me tétait à m’en faire souffrir. Il s’agenouilla à mon côté.
— Suce-moi, m’ordonna-t-il tout en me présentant sa verge tendue.
Comment aurais-je pu refuser de goûter à ce phallus luisant aux épaisses veines saillantes. Je pris ce gland entre mes lèvres, ma langue en dessous le contourna et le lapa avant de jouer avec son méat que titillait en le forçant. Les doigts de Théo fouillaient ma vulve dont on entendait ma jute clapoter.
— Aspire-moi salope ! Vociféra-t-il en m’assénant une gifle sur mon sein. « Allez ! »
Une autre claque s’abattit tout aussi violemment. Mes lèvres en anneau autour de son gland, j’aspirais sa hampe peu à peu dont il me força à la prendre jusqu’à ma gorge, en me guidant d’une main derrière ma nuque. Puis il se retirait, et je récidivais. A chaque retrait de son sexe, il pinçait mon téton, puis prenait un malin plaisir à talocher mon sein pour le voir onduler comme de la gélatine.
— J’vais te baiser, retourne-toi !
Je m’exécutais, malgré ces préliminaires bestiaux, j’avais hâte d’être prise, de le sentir en moi et surtout de jouir. Allongée sur le ventre, il me tira sur le rebord du lit, m’agenouillant sur le sol. Instinctivement je me cambrais. D’une main il tenait son membre qu’il guida pour frotter son gland entre mes lèvres dégoulinantes de mon envie. D’un coup de rein, je perçus mes chairs s’écarter, sa verge coulissa en moi. Il me tenait par les hanches qu’il tirait vers lui à chaque salve de son ventre faisant claquer ses couilles contre mes cuisses.
A chaque bordée il me provoquait en me crachant des « salope, prend ça ! », « Tu l’aimes ma bite ? », « J’te baise bien à fond salope ! ». Il ne pouvait savoir que d’être traitée ainsi m’excitait, car oui ! Je suis une salope ou une pute s’il veut, si ma condition de femme veut que je jouisse, qu’importe si celui qui me possède soit blanc, black, jeune ou vieux et qu’il me considère comme une trainée, qu’il profite de moi, je veux me perdre dans la volupté du vice.
Ses coups de reins se ponctuaient du claquement de son ventre sur mes fesses et du chuintement de sa hampe qui sombrait dans ma vulve. Il s’écroula sur moi. Sa langue parcourait mon épaule, mon cou qu’il embrassait, puis il me murmurait des « salopes, t’es bonne » et autres insultes qu’il entrecoupait de baisers. J’haletais au rythme de sa possession, geignant des « encore » étouffés, puis des « oui, oui » lorsqu’il me baisait plus ardemment.
Les jointures de mes doigts blanchirent tant je m’agrippais aux draps et mon corps se mit à trembler sous mon orgasme où je m’entendis le supplier « baise-moi plus fort ! Encore ! », je suffoquais. Ma jouissance le contamina, ses muscles se bandèrent. Dans un dernier assaut, sa verge se planta au plus profond de moi et s’immobilisa. Ses mains puissantes m’étreignirent les épaules, puis dans un râle guttural, je sentis son sperme inonder mon vagin. J’étais secouée de spasmes incontrôlables.
Il resta en moi de longues minutes tout en me caressant. La « bête » était redevenue tendre, ses paroles plus chastes. Il se retira en me donnant un dernier baiser dans le cou. La porte se referma. Je restais ainsi agenouillée, le buste sur le lit. Je sentais son sperme, mêlé à ma quintessence de femme, suinter de mon sexe et ruisseler sur mes cuisses. J’étais sale, mais heureuse de mon état. J’ai dû somnoler dans cette position obscène pendant une bonne demi-heure, avant de prendre une douche, puis partir me promener vers la pinède. Je pris mon téléphone, j’avais hâte de raconter toute cette aventure à mon mari Patrick.
Si, comme Solange et Patrick, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Perruche
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...