Stéphanie: Son premier Fantasme

- Par l'auteur HDS Perruche -
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Stéphanie: Son premier Fantasme Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Stéphanie: Son premier Fantasme
Récit proposé par une de mes lectrices dont j’ai la lourde tâche d’écrire et de mettre en page, en respectant scrupuleusement ses aventures sexuelles qu’elle a vécues.

Stéphanie et moi, nous vivons en ce moment une grande aventure. Pour tout vous dire, j’étais l’amant virtuel secret de sa mère, lorsque par hasard, elle avait lu quelques messages enflammés que nous nous envoyons. Cette belle et jeune femme de 33 ans, vivait en couple depuis 15 ans avec son seul et unique amant régulier. L’ayant connu très jeune, Jamais elle ne l’avait trompé mais elle n’était pas certaine que cela était réciproque. La routine qu’elle vivait commençait à la miner et après réflexion, elle prit la décision de me contacter afin que je lui apporte quelques moments de bonheur virtuel.

Très vite le courant entre nous, s’était installé et nous nous dévoilions un peu plus chaque jour, après quelques jours, nous étions tombés amoureux et nous nous le disions en secret. J’avais quitté les relations que j’entretenais avec sa mère pour me consacrer entièrement à ma nouvelle maitresse virtuelle de 20 ans ma cadette. En effet, j’avais 55 ans et étais marié, ma vie n’était que monotonie. Stéphanie avait réussi à me sortir de cette prison qui m’enfermait chaque jour un peu plus.
Je ne voulais que son bonheur, après les longues heures passées derrière nos écrans d’ordinateur, j’avais réussi à connaitre ce qu’elle recherchait en amour, sexuellement parlant et surtout ce qui la faisait fantasmer, dans le plus profond de ces pensées, les plus érotiques. Cet après-midi-là, après nos messages pleins de mots d’amour, doux et romantiques, à son dernier mail de la soirée, elle m’écrit :
« C’est ta queue qui m’intéresse mon Papy d’Amour. »
Voudrait-elle passé à l’acte. Me dis-je. Je me devais d’intervenir au plus vite car moi aussi, j’avais envie de lui faire l’amour, de la baiser si c’était les mots qu’elle voulait entendre dire.

C’était l’occasion rêvée, comme j’avais envie de lui faire ce plaisir, j’allais lui offrir en cadeau d’anniversaire la réalisation d’un ou plusieurs de ses fantasmes. Le premier était de faire l’amour dans un lieu public, où elle pouvait s’imaginer les gens comme spectateurs à ses ébats les plus sensuels et sexuels, elle avait un besoin de se montrer, de se donner à son amant tout en apportant du bonheur aux voyeurs.

Tout naturellement, comme nous habitions dans la même ville, nous avons décidé d’un commun accord, d’aller un peu plus loin dans notre relation, nous avions tous les deux le besoin de nous sentir, de nous toucher, de nous embrasser et beaucoup plus, disons-le : baiser ensemble. Nos messages le disaient, nous étions faits l’un pour l’autre, malgré la différence d’âge. Néanmoins, nous ne pouvions pas abandonner notre vie actuelle, ce n’était qu’une expérience physique et sexuelle.

Pour notre premier rendez-vous, nous devions nous retrouver « au Palace », ce cinéma où une des salles était équipée de sièges duo. Il s’agissait d’un large fauteuil pourvu d’un accoudoir rétractable en son milieu afin de permettre aux amoureux de profiter d’un bon film, collé, serré comme à la maison.

Ce lieu public était parfait pour réaliser son premier fantasme. Lorsque nous nous étions retrouvés sur le trottoir, nous nous sommes serrés la main, nous avions attendu d’être dans le hall à l’abri des regards, avant de nous étreindre et nous embrasser, ce baiser fut magique pour nous deux, nous l’attendions depuis si longtemps que nos bouches ne parvenaient pas à se décoller l’une de l’autre, nos langues nous retenaient, nos mains qui étaient plaquées sur nos dos se baladaient et nos bras nous empêchaient de se séparer.

Je vous avoue, que je ne connaissais même pas le titre du film que nous étions allés voir, nous avions choisi ce cinéma uniquement pour ses sièges et comme endroit public, c’était l’idéal. Notre baiser interrompu par le début de la séance, s’était prolongé devant le grand écran.

Stéphanie était magnifique ce jour-là, elle était vêtue d’une jupe bleue comme la couleur de ses yeux, ample et souple, arrivant largement au-dessus des genoux. Elle lui allait à merveille, dévoilant ses longues jambes nues. En haut, elle portait un large corsage blanc boutonné sur le devant, dont les trois premiers en partant du haut laissaient entrevoir la naissance de cette lourde poitrine que j’affectionnais tant. Je trouvais ses seins tout simplement fantastiques. Moi, j’étais en polo et pantalon léger.

La salle était très loin d’être comble à cette heure matinale, il y avait beaucoup d’hommes et peu de femmes, nous avons choisi un endroit au milieu de la salle où deux hommes d’un certain âge étaient à quelques sièges à notre gauche, un très jeune couple à notre droite et juste derrière nous, deux hommes d’une cinquantaine d’années. Eux seuls pouvaient nous mater pendant la séance.

J’étais presque allongé sur mon fauteuil, les jambes tendues, pendant que Stéphanie était de trois-quarts vers moi, la tête posée sur mon torse. Mon bras droit passait au-dessus de son épaule et ma main lui caressait le sein gauche à l’intérieur de son corsage que j’avais déboutonné presque entièrement, laissant sa belle poitrine à la vue de celui qui voulait la regarder.

Je l'embrassais dans le cou, ma langue effleurait sa peau douce, ses tétons commençaient à prendre forme. Je passais ma main sur son ventre, mes doigts étaient à la limite de sa petite culotte, pendant que je suçais son téton, elle se régalais « humm... »
Elle s’était un peu abandonnée à mes baisers et à mes caresses, mais elle tenait à me rendre la pareille, sa main parcourait ma cuisse, du genou à l’entre jambe, ses doigts en passant touchaient la boule de mes testicules, je commençais fortement à ressentir l’érection venir. Ses caresses étaient sensuelles et mettaient le feu en moi. « Humm... »
Nos gémissements mutuels, attiraient encore plus l’attention de nos voisins. Je descendis ma main entre sa peau fine et douce et le tissu de sa culotte, afin de parvenir à sa toison, je jouais avec ses poils et mon majeur caressait la fente de son vagin délicatement, encore un peu trop fermé à mon gout. Mais ce : « Humm... », avait mouillé mon doigt qui pénétrait légèrement entre ses grandes lèvres. Mon index passait de droite à gauche sur son clitoris, pendant que mon autre main lui caressait toujours son sein gauche, dont je pinçais légèrement le téton gonflé d’excitation.

Elle aussi, ses caresses étaient devenues plus coquines, elle m’avait déboutonné mon pantalon afin que je sois moins étriqué, elle connaissait la grosseur de ma verge et avait vite compris qu’elle se retrouvait bien trop à l’étroit.

Le vigile, un type de quarante ans environ, s’étant aperçu que nous nous adonnions à des caresses trop intimes, montait dans l’allée, probablement pour intervenir et nous demander de ne pas nous exposer de la sorte. Lorsqu’il voulut se diriger vers nous, un des deux hommes lui empêchant le passage lui dit :
— Laisse tomber mon garçon, profite plutôt du spectacle qu’ils nous donnent, c’est bien mieux que le film.

Voyant que le vigile n’intervenait pas mais qu’il était resté debout dans l’allée les bras croisés à nous regarder également, je poursuivis mes attouchements. Ma langue lui léchait le nombril, je me délectais, je bandais dur sous les effleurements de ses bouts des doigts qui parcourraient tout au long de ma queue, s’attardant quelques fois sur le bout du gland qui laissait s’échapper le liquide pré séminal, qui lui mouillait les doigts.

Ne voulant que son bonheur, je m’étais agenouillé dans l’espace réduit entre les sièges, j’avais ma tête entre ses cuisses, sous sa jupe, je passais doucement mes mains sur ses fesses, je sentais que quelques frissons parcouraient son corps :
« J’adore Humm... »
Me dit-elle, ma bouche rentrait en contact avec sa chatte, ma langue léchait la fente de l’anus au clitoris, je glissais celle-ci tout autour sortant un maximum son bouton, je m’attardais dessus, je le léchais, l’aspirais. Pendant que mes mains caressaient entièrement son cul, quelques doigts pénétrèrent un peu dans sa raie, je sentais qu’elle mouillait. Mon index lui frôla l’anus, tournait autour puis quitta cet endroit, il pénétra doucement dans sa vulve mouillée, ma bouche n’avait pas quitté son clitoris que je me délectais d’aspirer, de lécher et de l’aspirer de nouveau.

Je glissai deux doigts et les enfonçais plus profondément, ils jouaient à l’intérieur, ils fouillaient sa chatte trempée, allant et venant, je léchais, la mouille qui sortait de son vagin, je bandais de plus en plus. J’étais tenté de mettre un doigt dans son petit trou, son anus m’appelait. C’était fait, j’avais aventuré un doigt dans sa rondelle dilatée, je léchais toujours la fente entre ses grandes lèvres, la cyprine s’écoulait au fur et à mesure dans ma bouche, je la buvais.

J’avais l’impression de n’avoir jamais bander aussi fort, sa petite moule me faisait rêver. « Humm... » Je faisais des va et viens dans ce petit cul bien serré et dans sa petite chatte. « Humm... » de plus en plus vite, je lui léchais encore le clitoris qu’elle me tendait en contractant vers le haut son bassin.

S’en était trop pour Stéphanie qui ne s’était pas arrêtée de se caresser les seins avec son corsage entièrement ouvert, le jeune couple à notre gauche s’adonnait comme nous à des attouchements sans retenu, le film n’était plus regardé par nos voisins, ils avaient tous les yeux portés sur Stéphanie qui sortait sa langue de plaisir et de désir surtout, tout en se massant ses seins. Elle n’en pouvait plus, 1h20 de caresses, de baisers, de doigtés avaient fait d’elle une machine à avaler un sexe, elle voulait ma queue, elle ne pensait plus qu’à cela, elle me fit changer de position, et vint directement s’empaler sur ma grosse queue qui n’attendait que cela : « Humm... » « Ouiii... »
Après quelques va et vient très doux, elle se contracta sur mon pénis et basculait du bassin, elle donnait l’impression qu’elle voulait l’aspirer au plus profond d’elle-même, je ne pouvais plus me retenir, l’attente fut trop longue, je m’étais déversé de tout le sperme que ma prostate et mes testicules avaient secrété, elle jouit en gémissant : « Humm... », « Oh Ouiii... »
Son éjaculation se mélangea à la mienne et s’écoulait lentement à l’extérieur de son vagin et tombait sur la moquette. Nous sommes restés ainsi jusqu’à la fin du film, ma verge s’était largement mise au repos. Après nous avoir revêtus, avant de sortir de l’allée, elle me désigna un vieil homme qui était à notre droite et me glissa alors à l’oreille après m’avoir embrassé :
— Je crois que ce vieux s’est branlé pour moi. Merci « mon papy d’amour » J’ai réalisé un de mes fantasmes, grâce à toi.
— Attends « mon petit cœur chéri » ce n’est pas fini.

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Texte coquin : Stéphanie: Son premier Fantasme
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