Striptease

Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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Striptease
Ils me regardent. Quatre silhouettes dans l'ombre, quatre respirations qui se font plus lourdes. La pièce baigne dans une lumière blafarde qui filtre à travers les rideaux tirés. L'air semble épais, chargé d'une tension qui me fait frissonner.
Je sens leurs yeux sur moi avant même de croiser leurs regards. Quatre hommes assis en demi-cercle, leurs visages à peine éclairés par la faible lueur d'une lampe posée au sol. L'un d'eux tapote nerveusement ses doigts contre l'accoudoir de son fauteuil. Un autre ajuste sa position, les jambes écartées. Je perçois le bruissement des vêtements, le craquement du cuir.
Mes mains tremblent légèrement quand je porte les doigts au premier bouton de ma blouse. Le silence est si dense qu'il m'oppresse. Seul le tic-tac d'une horloge quelque part rythme ce moment suspendu. Le bouton glisse entre mes doigts moites. Je sens la soie de ma blouse qui s'entrouvre, révélant la naissance de ma gorge.
Un souffle plus fort résonne dans la pénombre. L'un des hommes se penche vers l'avant. Ses coudes reposent maintenant sur ses genoux. Je devine l'intensité de son regard même dans cette obscurité. Ma peau réagit à cette attention brûlante. Des picotements parcourent ma nuque, descendent le long de mon dos.
Le deuxième bouton cède. Puis le troisième. Ma blouse s'ouvre progressivement, découvrant la dentelle noire de mon soutien-gorge. L'air frais de la pièce caresse ma peau nue. Je frissonne. Ce n'est pas seulement le froid qui me fait réagir ainsi. C'est cette électricité qui circule entre eux et moi, cette tension qui grandit à chaque geste.
Leurs respirations s'accélèrent. Je l'entends distinctement maintenant. L'un d'eux change de position dans son siège. Le cuir grince. Un autre passe sa langue sur ses lèvres. Le bruit humide résonne dans le silence oppressant.
Ma blouse glisse de mes épaules. Le tissu caresse mes bras dans sa chute vers le sol. Je me tiens droite devant eux, la poitrine offerte dans son écrin de dentelle noire. Mon cœur bat si fort que j'ai l'impression qu'ils peuvent l'entendre. Le sang pulse dans mes tempes, dans mon cou, plus bas aussi.
L'homme au centre se redresse. Sa silhouette se découpe plus nettement dans la semi-obscurité. Ses yeux brillent d'une lueur que je reconnais trop bien. Cette faim, cette envie qui émane de lui, des trois autres aussi. Elle m'enveloppe comme une chaleur poisseuse.
Mes mains remontent vers mon dos. Mes doigts cherchent l'agrafe de mon soutien-gorge. Le métal est froid sous mes doigts fébriles. J'hésite un instant. Leurs regards me transpercent. Je sens cette attente, cette impatience qui monte. L'un d'eux remue sur son siège. Un autre ajuste l'entrejambe de son pantalon d'un geste discret mais que je remarque.
L'agrafe cède dans un petit claquement sec qui résonne comme une détonation. Mon soutien-gorge se détache, libère ma poitrine. L'air frais heurte mes tétons qui se durcissent instantanément. Je sens mes seins qui s'affaissent légèrement, reprennent leur forme naturelle. Lourds, sensibles.
Un grognement sourd monte de l'un des fauteuils. Puis un autre. Ils ne se cachent plus maintenant. Leurs mains bougent, ajustent, caressent. Je devine leurs gestes dans l'ombre. Cette danse silencieuse de leurs corps qui réagissent à ma nudité naissante.
Mes doigts descendent vers ma jupe. Le zip métallique glisse avec un bruit de soie déchirée. Le tissu se desserre autour de mes hanches. Je sens l'étoffe qui ondule contre mes cuisses quand elle tombe à mes pieds. Ne reste plus que ma culotte de dentelle assortie au soutien-gorge abandonné.
La lumière vacillante dessine des ombres mouvantes sur ma peau nue. Je frémis sous ces caresses imaginaires. Mes mamelons pointent vers eux, fiers, provoquants. Je passe ma langue sur mes lèvres. Elles sont sèches. Mon souffle se fait plus court.
L'un des hommes se lève à demi de son siège avant de se rasseoir brutalement. Comme s'il luttait contre une impulsion. Cette lutte intérieure, je la ressens dans l'air chargé. Elle alourdit encore l'atmosphère, transforme chaque seconde en éternité.
Mes pouces s'accrochent aux bords de ma culotte. Je sens la dentelle délicate sous mes doigts. Un dernier voile avant la nudité totale. Mes hanches ondulent légèrement quand je commence à faire glisser le fin tissu. Centimètre par centimètre. L'élastique caresse ma peau, laisse des traces rouges sur mes hanches.
La culotte glisse le long de mes cuisses. Je me penche pour la faire descendre complètement. Dans ce mouvement, ma poitrine se balance doucement. Mes cheveux tombent devant mon visage, créent un rideau sombre qui me dissimule partiellement à leurs regards affamés.
Maintenant je suis nue. Entièrement nue face à ces quatre hommes qui me dévorent des yeux. La chaleur de leurs regards brûle ma peau. Elle remonte le long de mes jambes, s'attarde sur mes hanches, mes seins, mon visage. Je me sens offerte, vulnérable et puissante à la fois.
L'air circule entre mes cuisses. Cette caresse invisible me rappelle ma nudité, mon exposition totale. Je sens l'humidité qui commence à naître entre mes lèvres. Mon corps réagit malgré moi à cette situation. À cette tension sexuelle qui sature l'atmosphère.
Leurs respirations se sont faites haletantes. L'un d'eux gémit doucement. Un autre se penche encore plus vers l'avant. Je distingue maintenant l'éclat de ses yeux dans l'obscurité. Cette lueur sauvage, primitive. Ils ne sont plus des hommes civilisés mais des prédateurs face à leur proie.
Je tremble. De peur, d'excitation, je ne sais plus. Cette confusion des sentiments m'enivre autant qu'elle m'effraie. Je suis là, nue, exposée à leurs désirs. Et j'attends. J'attends qu'ils bougent, qu'ils parlent, qu'ils agissent. Cette attente est une torture délicieuse.
Le plus proche de moi se lève enfin. Ses pas résonnent sur le parquet, lourds, mesurés. Il s'avance dans la lumière tremblotante. Son visage se dessine progressivement. Des traits durs, une mâchoire serrée. Ses yeux ne quittent pas mon corps. Ils parcourent ma peau comme des mains. Je sens cette inspection muette qui me fait rougir de la racine des cheveux jusqu'aux orteils.
Il s'arrête à un mètre de moi. Si proche que je perçois son parfum. Un mélange de tabac froid et de cuir. Sa respiration est saccadée. Sa poitrine se soulève et s'abaisse dans un rythme qui s'accélère. Je distingue maintenant le renflement qui déforme son pantalon. Cette preuve tangible de son désir me fait frémir.
"Tourne-toi," murmure-t-il d'une voix rauque.
Sa voix brise le silence comme un coup de fouet. Les trois autres bougent dans leurs fauteuils. Je les entends qui changent de position pour mieux voir. L'un d'eux laisse échapper un souffle tremblant. Un autre fait craquer ses articulations.
J'obéis lentement. Mes pieds nus pivotent sur le parquet froid. Je leur présente maintenant mon dos, mes fesses. Je sens leurs regards qui me brûlent. Qui détaillent la cambrure de mes reins, la courbe de mes hanches. L'air frais caresse ma peau nue. Chaque contact me rappelle ma vulnérabilité.
"Penche-toi en avant."
La voix vient d'un autre maintenant. Plus grave, plus autoritaire. Mes mains tremblent quand je me penche. Mes cheveux tombent vers le sol. Le sang afflue vers ma tête. Je sens mes seins qui pendent librement, mes tétons qui pointent vers le parquet.
Dans cette position, je sais ce qu'ils voient. Mon intimité leur est offerte. Mes lèvres entrouvertes, l'humidité qui perle déjà. Cette excitation que je ne peux plus nier ni cacher. Un gémissement étouffé résonne derrière moi. Puis un autre.
"Plus bas."
Je m'exécute. Mes paumes se posent sur le sol. Cette position m'ouvre encore plus à leurs regards. Je sens l'air qui circule entre mes cuisses. Cette caresse invisible sur mes parties les plus intimes. Mon corps frémit malgré moi.
Des pas s'approchent. Plusieurs paires de chaussures sur le parquet. Ils se lèvent, convergent vers moi. Je perçois leurs souffles différents. Leurs parfums mélangés. L'un sent l'eau de Cologne, un autre la cigarette. Le troisième dégage une odeur plus animale, plus brute.
Une main se pose sur ma hanche. Chaude, rugueuse. Elle remonte le long de mon flanc avec une lenteur calculée. Je frissonne sous ce contact. D'autres mains me touchent. Une caresse mes cheveux. Une autre effleure mon dos. Je suis entourée de leurs présences masculines.
La main sur ma hanche descend vers mes fesses. Elle les malaxe doucement d'abord, puis avec plus d'insistance. Ses doigts s'enfoncent dans ma chair. Je gémis malgré moi. Ce son semble décupler leur audace. D'autres mains explorent maintenant mon corps offert.
Une caresse remonte l'intérieur de ma cuisse. Lentement. Si lentement. Je retiens mon souffle. Ces doigts s'approchent de mon intimité humide. Ils s'arrêtent juste avant de me toucher là où je brûle. Cette attente me torture. Mon bassin ondule involontairement, cherche ce contact.
"Elle mouille déjà," murmure une voix tout près de mon oreille.
Les mots résonnent dans ma tête comme une sentence. C'est vrai. Mon excitation suinte entre mes lèvres. Je sens cette moiteur qui s'étale sur l'intérieur de mes cuisses. Cette preuve de mon trouble que je ne peux nier.
Un doigt effleure enfin mon intimité. À peine un contact, un frôlement. Mais cela suffit à me faire gémir plus fort. Mon corps tout entier se tend vers cette caresse. Je veux plus. J'ai besoin de plus. Cette révélation me trouble autant qu'elle m'excite.
"Regarde comme elle réagit," chuchote un autre.
Leurs voix se mélangent maintenant. Je ne distingue plus qui parle. Qui me touche. Leurs mains sont partout sur moi. Mes seins, mes fesses, mon dos. Une symphonie de caresses qui m'étourdit. Mon corps devient liquide sous leurs doigts experts.
Le doigt qui me caresse glisse entre mes lèvres. Il trouve cette moiteur, cette chaleur. Il me pénètre doucement, explore mon intérieur brûlant. Je pousse un cri étouffé. Mes hanches bougent d'elles-mêmes, accompagnent cette intrusion délicieuse.
Un autre doigt me rejoint. Puis un troisième. Ils me dilatent progressivement. Leurs va-et-vient me font perdre la raison. Je sens mes parois qui se contractent autour d'eux. Cette étreinte intime qui les aspire plus profondément.
Une bouche se pose sur ma nuque. Des lèvres chaudes qui remontent vers mon oreille. Une langue qui dessine des arabesques sur ma peau frémissante. Je sens des dents qui mordillent doucement le lobe de mon oreille. Cette morsure délicate me fait gémir.
Ils me manipulent, me façonnent selon leurs désirs. Je ne suis plus qu'argile entre leurs mains expertes. Mon corps leur appartient. Cette pensée devrait me terrifier mais elle ne fait qu'attiser le feu qui couve en moi. Je brûle sous leurs caresses. Je me consume dans leur désir.
Les doigts qui me fouillent s'intensifient. Leurs mouvements deviennent plus assurés, plus profonds. Je sens mes jambes qui faiblissent. Mes genoux tremblent. L'un des hommes s'en aperçoit et glisse son bras sous mon ventre pour me soutenir. Sa peau brûlante contre la mienne me fait tressaillir.
"Redresse-toi maintenant."
Je me relève péniblement. Mes cheveux collent à mes tempes moites. Mon souffle court soulève ma poitrine dans un rythme effréné. Face à moi, ils forment un demi-cercle. Quatre silhouettes menaçantes dans la pénombre. Leurs chemises sont froissées, déboutonnées pour certaines. Je devine la toison qui ombrage leurs torses.
L'un d'eux s'approche et prend mon visage entre ses mains. Ses paumes sont rugueuses, calleuses. Il plonge son regard dans le mien. Ses yeux brillent d'une lueur sauvage. Il approche son visage du mien. Son souffle chaud caresse mes lèvres entrouvertes.
"Tu en veux encore, n'est-ce pas?"
Je ne peux que hocher la tête. Les mots restent coincés dans ma gorge serrée. Cette admission silencieuse les fait sourire. Des sourires carnassiers qui me glacent et m'embrasent à la fois.
Il m'embrasse brutalement. Sa langue force l'entrée de ma bouche, explore, conquiert. Je gémis dans ce baiser qui m'étourdit. Ses dents mordillent ma lèvre inférieure. Le goût métallique du sang se mêle à sa salive.
Pendant qu'il m'embrasse, les autres continuent leur exploration. Une main masse mes seins, pince mes tétons durcis. Une autre caresse l'intérieur de mes cuisses, remonte vers mon intimité palpitante. Je sens leurs doigts qui s'insinuent de nouveau en moi, me préparent.
On me fait reculer vers un fauteuil. Le cuir froid contre mes fesses nues me fait sursauter. Ils me font asseoir, écartent mes jambes. Dans cette position, je leur suis totalement offerte. Leurs regards plongent dans mon intimité béante, humide de désir.
"Touche-toi," ordonne une voix grave.
Ma main tremble quand elle descend vers mon ventre. Mes doigts effleurent cette peau brûlante, glissent entre mes cuisses. Je trouve cette source de chaleur, cette moiteur qui s'écoule de moi. Mes doigts se perdent dans mes replis gonflés.
Ils me regardent me caresser. Leurs respirations s'accélèrent encore. Je distingue leurs mains qui bougent, ajustent leurs pantalons devenus trop étroits. L'un d'eux déboutonne sa braguette. Le bruit du zip qui descend résonne dans le silence lourd.
Mes caresses s'intensifient. Je trouve ce petit bourgeon sensible, le titille du bout des doigts. Des ondes de plaisir remontent le long de ma colonne vertébrale. Je rejette ma tête en arrière, offre ma gorge à leurs regards affamés.
Un gémissement rauque s'échappe de mes lèvres. Puis un autre. Mon bassin ondule contre ma main. Je sens cette tension qui monte en moi, cette spirale de plaisir qui m'entraîne vers l'abîme. Mais ils ne me laissent pas aller au bout.
Une main saisit mon poignet, arrête mes caresses. Je proteste faiblement mais ils sont plus forts. Plus déterminés. Ils ont d'autres projets pour moi. D'autres tortures délicieuses qu'ils veulent me faire subir.
On me relève, me fait mettre à genoux sur le tapis rugueux. La laine gratte ma peau sensible. Devant moi, l'un d'eux a libéré son membre dressé. Il pointe vers mon visage, dur, palpitant. Une goutte de rosée perle à son extrémité.
"Ouvre la bouche."
Mes lèvres s'entrouvrent d'elles-mêmes. Il guide son sexe vers ma bouche offerte. Le goût salé envahit mes papilles. Sa texture veloutée glisse sur ma langue. Je sens ses veines gonflées, sa chaleur qui irradie.
Mes mains cherchent les autres. Elles trouvent d'autres membres dressés, les caressent, les massent. Quatre sexes tendus vers moi. Quatre hommes perdus dans leur désir. Et moi au centre, orchestrant cette symphonie charnelle.
La lumière vacillante danse sur nos corps enlacés. L'air s'emplit de nos gémissements mêlés. Cette chambre devient notre temple, notre sanctuaire de plaisir. Et moi, je suis leur déesse et leur offrande à la fois.
Mes lèvres s'étirent autour de son membre palpitant. Je sens sa respiration qui s'emballe, ses hanches qui commencent à trembler. Ses doigts s'enfoncent dans mes cheveux, dirigent le rythme de mes va-et-vient. Plus rapide maintenant. Plus profond.
Les autres se pressent autour de moi. Leurs sexes dressés effleurent mes joues, mes tempes. Je passe de l'un à l'autre, ma bouche offerte à leurs désirs urgents. Leurs gémissements s'amplifient. L'air devient électrique.
"Je vais jouir," halète celui que je caresse de ma langue.
Il se retire de ma bouche brutalement. Sa main enserre son membre gonflé, accélère ses mouvements. Je lève mon visage vers lui, ferme les yeux à demi. J'attends cette libération que je sens venir.
Le premier jet me frappe en plein front. Chaud, épais, il dégouline le long de ma tempe. Un second jet atteint ma joue droite, glisse vers ma bouche entrouverte. Le goût salé, musqué, envahit mes papilles. Je sens cette semence qui s'étale sur ma peau, marque ma soumission.
Un râle profond accompagne chaque pulsation. Son membre tressaute contre ma joue, libère les dernières gouttes de sa jouissance sur mes lèvres tremblantes. Je recueille cette offrande tiède du bout de ma langue.
Les trois autres se rapprochent encore. Leurs respirations haletantes résonnent au-dessus de moi. Je sens leurs regards qui dévorent mon visage souillé. Cette vision semble décupler leur excitation. Leurs mains bougent plus vite sur leurs membres tendus.
"À moi maintenant," grogne le deuxième.
Il prend ma tête entre ses mains, plonge son sexe entre mes lèvres barbouillées. Ses mouvements sont frénétiques. Il me baise la bouche avec une urgence animale. Je sens qu'il ne tiendra plus longtemps. Ses testicules se contractent contre mon menton.
Il se retire à son tour, dirige son membre vers mon visage déjà marqué. Ses jets puissants s'écrasent sur ma joue gauche, remontent vers mon œil fermé. La semence chaude dégouline le long de mon cou, vient se mêler à celle qui orne déjà mes traits.
Mon visage devient leur toile. Ils y peignent leur désir avec leurs jets brûlants. Je sens cette chaleur poisseuse qui s'étale sur ma peau, dans mes cheveux. Cette marque de leur possession me trouble et m'excite à la fois.
Le troisième ne peut plus attendre. Il éjacule presque sans me toucher, ses jets tendus traversent l'air pour venir s'écraser sur mes lèvres, mon menton. Je sens sa semence qui coule le long de ma gorge, imprègne ma peau frémissante.
Le dernier s'approche. Son membre palpite devant mes yeux. Je vois les veines gonflées, la chair tendue à l'extrême. Il guide son sexe vers ma bouche ouverte. Quelques va-et-vient suffisent. Il explose entre mes lèvres. Sa semence emplit ma bouche, déborde sur mon menton.
Ils reculent tous, contemplent leur œuvre. Mon visage ruisselle de leurs fluides mêlés. Mes cheveux collent à mes tempes. La semence tiède dégouline de mon menton vers mes seins nus. Je sens cette marque de leur domination qui s'étale sur ma peau.
Je reste agenouillée, offerte à leurs regards repus. Mes lèvres gonflées brillent dans la lumière tamisée. Mes yeux mi-clos reflètent un mélange de trouble et de satisfaction. Cette première libération n'est qu'un prélude. Je le sens dans leurs regards qui me dévorent encore. Dans leurs membres qui gardent leur fermeté malgré la jouissance.
La nuit ne fait que commencer. Et eux, ils ont encore faim.
Je sens leurs yeux sur moi avant même de croiser leurs regards. Quatre hommes assis en demi-cercle, leurs visages à peine éclairés par la faible lueur d'une lampe posée au sol. L'un d'eux tapote nerveusement ses doigts contre l'accoudoir de son fauteuil. Un autre ajuste sa position, les jambes écartées. Je perçois le bruissement des vêtements, le craquement du cuir.
Mes mains tremblent légèrement quand je porte les doigts au premier bouton de ma blouse. Le silence est si dense qu'il m'oppresse. Seul le tic-tac d'une horloge quelque part rythme ce moment suspendu. Le bouton glisse entre mes doigts moites. Je sens la soie de ma blouse qui s'entrouvre, révélant la naissance de ma gorge.
Un souffle plus fort résonne dans la pénombre. L'un des hommes se penche vers l'avant. Ses coudes reposent maintenant sur ses genoux. Je devine l'intensité de son regard même dans cette obscurité. Ma peau réagit à cette attention brûlante. Des picotements parcourent ma nuque, descendent le long de mon dos.
Le deuxième bouton cède. Puis le troisième. Ma blouse s'ouvre progressivement, découvrant la dentelle noire de mon soutien-gorge. L'air frais de la pièce caresse ma peau nue. Je frissonne. Ce n'est pas seulement le froid qui me fait réagir ainsi. C'est cette électricité qui circule entre eux et moi, cette tension qui grandit à chaque geste.
Leurs respirations s'accélèrent. Je l'entends distinctement maintenant. L'un d'eux change de position dans son siège. Le cuir grince. Un autre passe sa langue sur ses lèvres. Le bruit humide résonne dans le silence oppressant.
Ma blouse glisse de mes épaules. Le tissu caresse mes bras dans sa chute vers le sol. Je me tiens droite devant eux, la poitrine offerte dans son écrin de dentelle noire. Mon cœur bat si fort que j'ai l'impression qu'ils peuvent l'entendre. Le sang pulse dans mes tempes, dans mon cou, plus bas aussi.
L'homme au centre se redresse. Sa silhouette se découpe plus nettement dans la semi-obscurité. Ses yeux brillent d'une lueur que je reconnais trop bien. Cette faim, cette envie qui émane de lui, des trois autres aussi. Elle m'enveloppe comme une chaleur poisseuse.
Mes mains remontent vers mon dos. Mes doigts cherchent l'agrafe de mon soutien-gorge. Le métal est froid sous mes doigts fébriles. J'hésite un instant. Leurs regards me transpercent. Je sens cette attente, cette impatience qui monte. L'un d'eux remue sur son siège. Un autre ajuste l'entrejambe de son pantalon d'un geste discret mais que je remarque.
L'agrafe cède dans un petit claquement sec qui résonne comme une détonation. Mon soutien-gorge se détache, libère ma poitrine. L'air frais heurte mes tétons qui se durcissent instantanément. Je sens mes seins qui s'affaissent légèrement, reprennent leur forme naturelle. Lourds, sensibles.
Un grognement sourd monte de l'un des fauteuils. Puis un autre. Ils ne se cachent plus maintenant. Leurs mains bougent, ajustent, caressent. Je devine leurs gestes dans l'ombre. Cette danse silencieuse de leurs corps qui réagissent à ma nudité naissante.
Mes doigts descendent vers ma jupe. Le zip métallique glisse avec un bruit de soie déchirée. Le tissu se desserre autour de mes hanches. Je sens l'étoffe qui ondule contre mes cuisses quand elle tombe à mes pieds. Ne reste plus que ma culotte de dentelle assortie au soutien-gorge abandonné.
La lumière vacillante dessine des ombres mouvantes sur ma peau nue. Je frémis sous ces caresses imaginaires. Mes mamelons pointent vers eux, fiers, provoquants. Je passe ma langue sur mes lèvres. Elles sont sèches. Mon souffle se fait plus court.
L'un des hommes se lève à demi de son siège avant de se rasseoir brutalement. Comme s'il luttait contre une impulsion. Cette lutte intérieure, je la ressens dans l'air chargé. Elle alourdit encore l'atmosphère, transforme chaque seconde en éternité.
Mes pouces s'accrochent aux bords de ma culotte. Je sens la dentelle délicate sous mes doigts. Un dernier voile avant la nudité totale. Mes hanches ondulent légèrement quand je commence à faire glisser le fin tissu. Centimètre par centimètre. L'élastique caresse ma peau, laisse des traces rouges sur mes hanches.
La culotte glisse le long de mes cuisses. Je me penche pour la faire descendre complètement. Dans ce mouvement, ma poitrine se balance doucement. Mes cheveux tombent devant mon visage, créent un rideau sombre qui me dissimule partiellement à leurs regards affamés.
Maintenant je suis nue. Entièrement nue face à ces quatre hommes qui me dévorent des yeux. La chaleur de leurs regards brûle ma peau. Elle remonte le long de mes jambes, s'attarde sur mes hanches, mes seins, mon visage. Je me sens offerte, vulnérable et puissante à la fois.
L'air circule entre mes cuisses. Cette caresse invisible me rappelle ma nudité, mon exposition totale. Je sens l'humidité qui commence à naître entre mes lèvres. Mon corps réagit malgré moi à cette situation. À cette tension sexuelle qui sature l'atmosphère.
Leurs respirations se sont faites haletantes. L'un d'eux gémit doucement. Un autre se penche encore plus vers l'avant. Je distingue maintenant l'éclat de ses yeux dans l'obscurité. Cette lueur sauvage, primitive. Ils ne sont plus des hommes civilisés mais des prédateurs face à leur proie.
Je tremble. De peur, d'excitation, je ne sais plus. Cette confusion des sentiments m'enivre autant qu'elle m'effraie. Je suis là, nue, exposée à leurs désirs. Et j'attends. J'attends qu'ils bougent, qu'ils parlent, qu'ils agissent. Cette attente est une torture délicieuse.
Le plus proche de moi se lève enfin. Ses pas résonnent sur le parquet, lourds, mesurés. Il s'avance dans la lumière tremblotante. Son visage se dessine progressivement. Des traits durs, une mâchoire serrée. Ses yeux ne quittent pas mon corps. Ils parcourent ma peau comme des mains. Je sens cette inspection muette qui me fait rougir de la racine des cheveux jusqu'aux orteils.
Il s'arrête à un mètre de moi. Si proche que je perçois son parfum. Un mélange de tabac froid et de cuir. Sa respiration est saccadée. Sa poitrine se soulève et s'abaisse dans un rythme qui s'accélère. Je distingue maintenant le renflement qui déforme son pantalon. Cette preuve tangible de son désir me fait frémir.
"Tourne-toi," murmure-t-il d'une voix rauque.
Sa voix brise le silence comme un coup de fouet. Les trois autres bougent dans leurs fauteuils. Je les entends qui changent de position pour mieux voir. L'un d'eux laisse échapper un souffle tremblant. Un autre fait craquer ses articulations.
J'obéis lentement. Mes pieds nus pivotent sur le parquet froid. Je leur présente maintenant mon dos, mes fesses. Je sens leurs regards qui me brûlent. Qui détaillent la cambrure de mes reins, la courbe de mes hanches. L'air frais caresse ma peau nue. Chaque contact me rappelle ma vulnérabilité.
"Penche-toi en avant."
La voix vient d'un autre maintenant. Plus grave, plus autoritaire. Mes mains tremblent quand je me penche. Mes cheveux tombent vers le sol. Le sang afflue vers ma tête. Je sens mes seins qui pendent librement, mes tétons qui pointent vers le parquet.
Dans cette position, je sais ce qu'ils voient. Mon intimité leur est offerte. Mes lèvres entrouvertes, l'humidité qui perle déjà. Cette excitation que je ne peux plus nier ni cacher. Un gémissement étouffé résonne derrière moi. Puis un autre.
"Plus bas."
Je m'exécute. Mes paumes se posent sur le sol. Cette position m'ouvre encore plus à leurs regards. Je sens l'air qui circule entre mes cuisses. Cette caresse invisible sur mes parties les plus intimes. Mon corps frémit malgré moi.
Des pas s'approchent. Plusieurs paires de chaussures sur le parquet. Ils se lèvent, convergent vers moi. Je perçois leurs souffles différents. Leurs parfums mélangés. L'un sent l'eau de Cologne, un autre la cigarette. Le troisième dégage une odeur plus animale, plus brute.
Une main se pose sur ma hanche. Chaude, rugueuse. Elle remonte le long de mon flanc avec une lenteur calculée. Je frissonne sous ce contact. D'autres mains me touchent. Une caresse mes cheveux. Une autre effleure mon dos. Je suis entourée de leurs présences masculines.
La main sur ma hanche descend vers mes fesses. Elle les malaxe doucement d'abord, puis avec plus d'insistance. Ses doigts s'enfoncent dans ma chair. Je gémis malgré moi. Ce son semble décupler leur audace. D'autres mains explorent maintenant mon corps offert.
Une caresse remonte l'intérieur de ma cuisse. Lentement. Si lentement. Je retiens mon souffle. Ces doigts s'approchent de mon intimité humide. Ils s'arrêtent juste avant de me toucher là où je brûle. Cette attente me torture. Mon bassin ondule involontairement, cherche ce contact.
"Elle mouille déjà," murmure une voix tout près de mon oreille.
Les mots résonnent dans ma tête comme une sentence. C'est vrai. Mon excitation suinte entre mes lèvres. Je sens cette moiteur qui s'étale sur l'intérieur de mes cuisses. Cette preuve de mon trouble que je ne peux nier.
Un doigt effleure enfin mon intimité. À peine un contact, un frôlement. Mais cela suffit à me faire gémir plus fort. Mon corps tout entier se tend vers cette caresse. Je veux plus. J'ai besoin de plus. Cette révélation me trouble autant qu'elle m'excite.
"Regarde comme elle réagit," chuchote un autre.
Leurs voix se mélangent maintenant. Je ne distingue plus qui parle. Qui me touche. Leurs mains sont partout sur moi. Mes seins, mes fesses, mon dos. Une symphonie de caresses qui m'étourdit. Mon corps devient liquide sous leurs doigts experts.
Le doigt qui me caresse glisse entre mes lèvres. Il trouve cette moiteur, cette chaleur. Il me pénètre doucement, explore mon intérieur brûlant. Je pousse un cri étouffé. Mes hanches bougent d'elles-mêmes, accompagnent cette intrusion délicieuse.
Un autre doigt me rejoint. Puis un troisième. Ils me dilatent progressivement. Leurs va-et-vient me font perdre la raison. Je sens mes parois qui se contractent autour d'eux. Cette étreinte intime qui les aspire plus profondément.
Une bouche se pose sur ma nuque. Des lèvres chaudes qui remontent vers mon oreille. Une langue qui dessine des arabesques sur ma peau frémissante. Je sens des dents qui mordillent doucement le lobe de mon oreille. Cette morsure délicate me fait gémir.
Ils me manipulent, me façonnent selon leurs désirs. Je ne suis plus qu'argile entre leurs mains expertes. Mon corps leur appartient. Cette pensée devrait me terrifier mais elle ne fait qu'attiser le feu qui couve en moi. Je brûle sous leurs caresses. Je me consume dans leur désir.
Les doigts qui me fouillent s'intensifient. Leurs mouvements deviennent plus assurés, plus profonds. Je sens mes jambes qui faiblissent. Mes genoux tremblent. L'un des hommes s'en aperçoit et glisse son bras sous mon ventre pour me soutenir. Sa peau brûlante contre la mienne me fait tressaillir.
"Redresse-toi maintenant."
Je me relève péniblement. Mes cheveux collent à mes tempes moites. Mon souffle court soulève ma poitrine dans un rythme effréné. Face à moi, ils forment un demi-cercle. Quatre silhouettes menaçantes dans la pénombre. Leurs chemises sont froissées, déboutonnées pour certaines. Je devine la toison qui ombrage leurs torses.
L'un d'eux s'approche et prend mon visage entre ses mains. Ses paumes sont rugueuses, calleuses. Il plonge son regard dans le mien. Ses yeux brillent d'une lueur sauvage. Il approche son visage du mien. Son souffle chaud caresse mes lèvres entrouvertes.
"Tu en veux encore, n'est-ce pas?"
Je ne peux que hocher la tête. Les mots restent coincés dans ma gorge serrée. Cette admission silencieuse les fait sourire. Des sourires carnassiers qui me glacent et m'embrasent à la fois.
Il m'embrasse brutalement. Sa langue force l'entrée de ma bouche, explore, conquiert. Je gémis dans ce baiser qui m'étourdit. Ses dents mordillent ma lèvre inférieure. Le goût métallique du sang se mêle à sa salive.
Pendant qu'il m'embrasse, les autres continuent leur exploration. Une main masse mes seins, pince mes tétons durcis. Une autre caresse l'intérieur de mes cuisses, remonte vers mon intimité palpitante. Je sens leurs doigts qui s'insinuent de nouveau en moi, me préparent.
On me fait reculer vers un fauteuil. Le cuir froid contre mes fesses nues me fait sursauter. Ils me font asseoir, écartent mes jambes. Dans cette position, je leur suis totalement offerte. Leurs regards plongent dans mon intimité béante, humide de désir.
"Touche-toi," ordonne une voix grave.
Ma main tremble quand elle descend vers mon ventre. Mes doigts effleurent cette peau brûlante, glissent entre mes cuisses. Je trouve cette source de chaleur, cette moiteur qui s'écoule de moi. Mes doigts se perdent dans mes replis gonflés.
Ils me regardent me caresser. Leurs respirations s'accélèrent encore. Je distingue leurs mains qui bougent, ajustent leurs pantalons devenus trop étroits. L'un d'eux déboutonne sa braguette. Le bruit du zip qui descend résonne dans le silence lourd.
Mes caresses s'intensifient. Je trouve ce petit bourgeon sensible, le titille du bout des doigts. Des ondes de plaisir remontent le long de ma colonne vertébrale. Je rejette ma tête en arrière, offre ma gorge à leurs regards affamés.
Un gémissement rauque s'échappe de mes lèvres. Puis un autre. Mon bassin ondule contre ma main. Je sens cette tension qui monte en moi, cette spirale de plaisir qui m'entraîne vers l'abîme. Mais ils ne me laissent pas aller au bout.
Une main saisit mon poignet, arrête mes caresses. Je proteste faiblement mais ils sont plus forts. Plus déterminés. Ils ont d'autres projets pour moi. D'autres tortures délicieuses qu'ils veulent me faire subir.
On me relève, me fait mettre à genoux sur le tapis rugueux. La laine gratte ma peau sensible. Devant moi, l'un d'eux a libéré son membre dressé. Il pointe vers mon visage, dur, palpitant. Une goutte de rosée perle à son extrémité.
"Ouvre la bouche."
Mes lèvres s'entrouvrent d'elles-mêmes. Il guide son sexe vers ma bouche offerte. Le goût salé envahit mes papilles. Sa texture veloutée glisse sur ma langue. Je sens ses veines gonflées, sa chaleur qui irradie.
Mes mains cherchent les autres. Elles trouvent d'autres membres dressés, les caressent, les massent. Quatre sexes tendus vers moi. Quatre hommes perdus dans leur désir. Et moi au centre, orchestrant cette symphonie charnelle.
La lumière vacillante danse sur nos corps enlacés. L'air s'emplit de nos gémissements mêlés. Cette chambre devient notre temple, notre sanctuaire de plaisir. Et moi, je suis leur déesse et leur offrande à la fois.
Mes lèvres s'étirent autour de son membre palpitant. Je sens sa respiration qui s'emballe, ses hanches qui commencent à trembler. Ses doigts s'enfoncent dans mes cheveux, dirigent le rythme de mes va-et-vient. Plus rapide maintenant. Plus profond.
Les autres se pressent autour de moi. Leurs sexes dressés effleurent mes joues, mes tempes. Je passe de l'un à l'autre, ma bouche offerte à leurs désirs urgents. Leurs gémissements s'amplifient. L'air devient électrique.
"Je vais jouir," halète celui que je caresse de ma langue.
Il se retire de ma bouche brutalement. Sa main enserre son membre gonflé, accélère ses mouvements. Je lève mon visage vers lui, ferme les yeux à demi. J'attends cette libération que je sens venir.
Le premier jet me frappe en plein front. Chaud, épais, il dégouline le long de ma tempe. Un second jet atteint ma joue droite, glisse vers ma bouche entrouverte. Le goût salé, musqué, envahit mes papilles. Je sens cette semence qui s'étale sur ma peau, marque ma soumission.
Un râle profond accompagne chaque pulsation. Son membre tressaute contre ma joue, libère les dernières gouttes de sa jouissance sur mes lèvres tremblantes. Je recueille cette offrande tiède du bout de ma langue.
Les trois autres se rapprochent encore. Leurs respirations haletantes résonnent au-dessus de moi. Je sens leurs regards qui dévorent mon visage souillé. Cette vision semble décupler leur excitation. Leurs mains bougent plus vite sur leurs membres tendus.
"À moi maintenant," grogne le deuxième.
Il prend ma tête entre ses mains, plonge son sexe entre mes lèvres barbouillées. Ses mouvements sont frénétiques. Il me baise la bouche avec une urgence animale. Je sens qu'il ne tiendra plus longtemps. Ses testicules se contractent contre mon menton.
Il se retire à son tour, dirige son membre vers mon visage déjà marqué. Ses jets puissants s'écrasent sur ma joue gauche, remontent vers mon œil fermé. La semence chaude dégouline le long de mon cou, vient se mêler à celle qui orne déjà mes traits.
Mon visage devient leur toile. Ils y peignent leur désir avec leurs jets brûlants. Je sens cette chaleur poisseuse qui s'étale sur ma peau, dans mes cheveux. Cette marque de leur possession me trouble et m'excite à la fois.
Le troisième ne peut plus attendre. Il éjacule presque sans me toucher, ses jets tendus traversent l'air pour venir s'écraser sur mes lèvres, mon menton. Je sens sa semence qui coule le long de ma gorge, imprègne ma peau frémissante.
Le dernier s'approche. Son membre palpite devant mes yeux. Je vois les veines gonflées, la chair tendue à l'extrême. Il guide son sexe vers ma bouche ouverte. Quelques va-et-vient suffisent. Il explose entre mes lèvres. Sa semence emplit ma bouche, déborde sur mon menton.
Ils reculent tous, contemplent leur œuvre. Mon visage ruisselle de leurs fluides mêlés. Mes cheveux collent à mes tempes. La semence tiède dégouline de mon menton vers mes seins nus. Je sens cette marque de leur domination qui s'étale sur ma peau.
Je reste agenouillée, offerte à leurs regards repus. Mes lèvres gonflées brillent dans la lumière tamisée. Mes yeux mi-clos reflètent un mélange de trouble et de satisfaction. Cette première libération n'est qu'un prélude. Je le sens dans leurs regards qui me dévorent encore. Dans leurs membres qui gardent leur fermeté malgré la jouissance.
La nuit ne fait que commencer. Et eux, ils ont encore faim.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comme toujours, une histoire magnifique, une écriture plus que parfait tant sur le fond que la forme, et bien sûr un érotisme croissant, magnifique, quasi magique.
La femme y est respectée, aucune vulgarité, mais des pulsions sexuelles croissantes dont on attend impatiemment la
suite !..
Merci !!!
La femme y est respectée, aucune vulgarité, mais des pulsions sexuelles croissantes dont on attend impatiemment la
suite !..
Merci !!!

