Surpris ! - histoire érotique

Je me retrouve seul dans la salle après une grosse répétition d’une comédie musicale. Ce soir, je n’ai pas envie de prendre la voiture pour rentrer chez moi tout de suite. Donc autant me faire un petit plaisir solitaire.

Toujours seul, je me déshabille dans ma totalité. Je m’allonge sur le divan et tout de suite je me projette certaines scènes érotiques. Très vite mon sexe se dresse doucement. Une envie prend forme dans la tête. Mon côté fétichiste me dicte une conduite. Celle de me pousser à aller faire un tour du côté de la loge des artistes. Arrivée sur place, je m’avance jusqu’aux penderies de chacune des comédiennes dont leurs prénoms y sont inscrit. Je les connais bien toutes. Mon choix s’oriente sur celui de Clarisse.

Mon regard se porte sur une paire de bas de couleur chair, de haute qualité, très fins, très doux. Je passe ma main à l’intérieur, la sensation de douceur me fait vibrer et son odeur finit de m’exciter. Je m’allonge sur le clic-clac, et me passe le nylon sur mon corps, me caresse avec.

J’enfile le nylon sur mon sexe dressé. L’impression de douceur, voir mon sexe au travers des mailles fin m’excite au plus haut point. Les va-et-vient de ma main accélèrent, le vissage de Clarisse m’apparait.

Mais soudain, Milène m’apparaît !

-Oh excuse-moi, je ne m’attendais pas de trouver comme ça ! Dit-elle, d’un ton surpris et amusé.

Je ne me sens pas très à mon aise, l’excitation diminue. Milène pénètre entièrement la pièce pour s’approcher de moi comme pour me soutenir.

-Tu es en manque ? Lâche-t-elle.

-Une envie ! Lui dis-je un peu embarrassé.

-Une envie ? Mais il faut en parler Alain…

À ce moment, elle se saisit de ma queue un peu ramollie. Très vite ses affections me remettent en action rapidement. D’une main la coquine me masturbe, de l’autre elle fait glisser son jean jusqu’au sol. Sa lingerie est rouge.

Ses va-et-vient accélèrent, finalement, elle se prête au jeu, heureusement pour moi. La voir en culotte me fait de l’effet et l’éjaculation arrive sans prévenir, plusieurs longues giclées remplissent de sperme le nylon.

-Tu étais vraiment en manque mon pauvre Alain.

-Je te remercie Milène.

-Parce que tu crois que tu vas t’en tirer comme ça, je veux ma part mon beau ! Affirme-t-elle.

-C’est que je dois rentrée. Je n’habite pas derrière la porte. Je te promets…

-De riens du tout mon beau. Je t’aie je te garde…

-Milène !

-Il n’y a pas de Milène qui tienne, d’ailleurs il appartient à qui ce bas ?

-Je l’ai pris dans le vestiaire de Clarisse !

-Et bien tu vas nettoyer ce que tu as sali avec ta queue pour commencer, m’annonce-t-elle.

Sans s’occuper de mes intentions, elle débarrasse ma queue du nylon pour me le fourrer dans la bouche. Je déglutis plusieurs fois, avalant ma semence.

-Ceci fait, on va maintenant ce faire plaisir ensemble ! Dit-elle, de façon amusée.

Milène termine rapidement de se déshabiller et s’allonge sur le dos à mes côtés sur le clic-clac. Je me redresse, je fais parcourir ma langue sur sa poitrine, agace ses tétons, descend le long du ventre et vient se poser directement sur son clitoris.

L’effet est immédiat, sa respiration accélère. Ma langue fait des allers et retours du clitoris à l’entrée du vagin, elle mouille déjà beaucoup, la séance précédente a dû l’exciter. Je remonte sur le clitoris. De temps en temps, je caresse ses jambes.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, nous changeons de position. C’est en missionnaire que l’on se place, mon sexe frotte son clitoris, puis la pénètre. Divine sensation de chaleur et d’humidité, on échange un long baiser amoureux. Une de ses mains passe entre nous, elle se caresse le clitoris pendant nos rapports. Une de mes mains passe derrière elle, mon majeur pénètre maintenant son anus.

Milène est la première à prendre son pied, un orgasme fort et violent la parcourt. Je sens son corps et son sexe se crisper sur moi. Peu de temps après, c’est à mon tour de jouir, très fortement. Nous nous embrassons tendrement avant que je me lève.

-Attends, j’en veux encore ! Je t’aie et je ne suis pas prête de te laisser partir sans avoir joui encore une fois.

-C’est que je ne sais pas si je peux…

-T’occupe, je gère !

Elle porte sa bouche à hauteur de ma queue. Ses lèvres touchent le bout de ma bite, avant de se refermer autour. Sa langue tourne autour et elle me suce. Faisant monter et descendre sa bouche sur mon sexe en se l’enfonçant un peu plus à chaque fois dans ma petite bouche. Je commence à bouger pour aller plus loin dans sa bouche. Elle me met ses mains sur mes hanches pour m'empêcher d'aller plus loin. Alors qu’elle continue sa fellation, une envie de lui sucer son cul me submerge.

Je lui fais prendre la pose, et plonge mon visage vers l’anus. Je suis accueillie par une odeur des plus musqués. Milène me lance un de ces sourires carnassier dont seules les folles du cul dans son genre ont le secret.

Avec l’aide de ma langue je me mets à lécher la raie des fesses sans oublier l’anus. Elle soupire d’aise. Je la goûte et re-goûte, me délectant de son trou amer. Dès-lors son corps ne lui appartient plus, et elle commence à onduler au rythme de mes coups de langues. Allant jusqu’à enserrer ma tête de ses mains, de peur sans doute, que je me retire. Tant le plaisir est au rendez-vous chez elle. Peu à peu ses soupirs deviennent gémissements.

Elle déborde de plaisir la Milène. Alors, je décide d’accroître son plaisir en incluant un, puis deux doigts dans son sexe. Sa réaction est immédiate. Et son ravissement décuplé, la faisant grimpée à son apogée. Je profite de son égarement pour appuyer ma verge contre le bourrelet bistre, dilaté par ma caresse buccale et lubrifié par ma salive. Mon gland cogne contre l’orifice alors qu’avec mon autre main se masse sa poitrine. Je pince un téton et joue avec un mamelon. Peu à peu ma verge disparait millimètre après millimètre dans son cul. Elle remue ses fesses pour le chasser mais cela ne fait qu’accroître la pression contre son anus.

- Je t’en prie ! Je n’ai jamais fait ça !

-C’est toi qui voulait ?

-Oui mais pas ça !

Déjà ma verge pénètre l’anus de moitié. J’assure ma prise et je m’enfonce entièrement dans son rectum. Arc-bouté contre ses fesses, je ne bouge plus. Puis je m’agrippe à ses hanches et entame un lent mouvement de va-et-vient. Je sors ma verge de quelques centimètres, et puis d’un coup de reins rageur, je m’enfouis à nouveau dans son cul. Le choc fait balloter ses seins aux pointes dures. Très à mon aise, je me mets à la pistonner avec vigueur, et de plus en plus vite.

Elle subit ma fougue, le corps cambré et soumis. Brusquement je me retire de son cul et plonge ma verge dans sa chatte. Je reprends une bonne cavalcade, faisant claquer les fesses contre mon pubis. La mouille bave sur mes cuisses. Je m’active furieusement en assénant des claques sur les flancs de Milène. Je m’excite d’exclamations obscènes sortant de sa bouche, et cela jusqu’à la jouissance.

Le lendemain, elle attend d’être seule avec moi pour me tendre un sac en plastique. Je trouve à l’intérieur une petite lingerie. Elle est à tordre.

-Je me suis masturbée en pensant à toi !

-Tu m’en vois ravi !

- Donnant, donnant ! Me sort-elle.

- Je ne comprends pas bien, là.

-Cherche et tu trouveras. Lâche-t-elle avant de me faire un clin d’œil.