Symphonie érotique

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Symphonie érotique Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Symphonie érotique
Seule, devant mes yeux, une silhouette marche dans le tunnel qui mène sur le quai. Elle tire une valise à roulettes. A quelques mètres devant nous une série de marche. Par pur galanterie je lui propose de m’occuper de sa valise. Qu’elle accepte avec plaisir. Elle les gravit devant moi, balançant effrontément sa croupe ronde en une ondulation déhanchée. Pour mon plus grand plaisir, sa robe noire, flotte sur ses jambes moulées de bas sombres. Mon regard s’accroche à cette ligne mutine qui danse devant moi.
Des talons très hauts donnent à sa grimpette une aisance. Une fois sur le quai elle récupère son bien, sans m’avoir copieusement remercié. Quand un train entre en gare à une vitesse grande V. Et un vlan et vlan, et vlan assourdissant frappent mes oreilles. Mais aussi une saute de rafale de vent soudaine s’enfourne sous la robe de la femme, la gonflant comme une montgolfière, puis la soulève haut sur ses cuisses.
D’un regard, en un éclair furtif, j’aperçois des fesses moulées dans une culotte noire. Et en dessous des bas qu’accroche un porte-jarretelles qui souligne sa chair.
Il m’en faut pas plus pour que le sang me monte à la tête avec une bouffée de désir en plus, qui emplit mon slip. Je sens au creux de ma main une envie folle, une démangeaison d’y mettre ma main.
Elle tourne la tête de mon côté. Un sourire narquois aux lèvres avec en plus un regard allumé, comme pour vérifier l’effet de l’envol de sa robe sur moi. Je me permets même de lui envoyer un :
-Merci Madame !
-Mais de rien monsieur.
Quelques secondes plus tard, je franchis le seuil et dévisage les quelques occupants du wagon. Une petite poignée de personnes sont installées. Parfait pour moi !
Prenant mon journal, je m’installe sur un siège côté fenêtre. C’est alors que la femme de la valise se dresse à mes côtés.
-La place est libre ?
-Oui Madame !
-Vous permettez que je la prenne. Je n’aime pas voyager seule.
-Je vous en prie.
Sourire aux lèvres, elle tente de hisser sa valise sur le porte bagage. Mais elle n‘est pas assez grande. Je me lève et lui propose de nouveau mon aide. Elle accepte avec un charmant sourire et me remercie.
Le train s’ébranle. Ayant un grand mal de me concentrer sur ce que je lis, j’abandonne. M’intéressant à ce qui dérouler à travers la fenêtre.
-Vous ne lisez plus ? Me fait-elle.
-Impossible !
Cela la fait rire.
-On peut parler si cela vous dit. Me lance-t-elle.
-Je ne dis pas non, comme ça le voyage sera moins long.
Cela me permet de la détailler. Elle a un visage anguleux, aux cheveux grisonnants. Au fil de notre conversation, son charme devient plus apparent. Ses yeux bleu soulignés d’une touche légère de fard, elle a de toute évidence été une femme ravissante et malgré les mèches poivre et sel et les fines rides qui émaillent son visage, elle reste tout de même séduisante.
Kilomètre après kilomètre je m’aperçois que j’ai affaire à une salope, oui une vraie de vraie, chic ou pas, à la recherche de nouvelles queues. D’ailleurs je ne me prive pas de lui faire savoir.
-Oh, jeune homme, comme vous allez là ! Je suis mariée, vous savez…mon mari nous tuerait !
Sans prendre la mesure de ses paroles, je la plaque contre moi. Je la tripote, sans qu’elle se défende, ses seins, son ventre, ses cuisses. Une intense émotion la gagne. Elle a du mal à respirer et pousse des plaintes voluptueuses. Des tremblements nerveux agitent son ventre et ses cuisses, si bien que je crus qu’elle allait se trouver mal. Son extrême sensibilité aux attouchements me surprit.
Son mari ne doit pas l’approcher souvent. Elle laisse aller sa tête en arrière sur mon épaule ce qui fait gonfler ses seins. Je suis dans un tel état d’excitation que je perds des gouttes de sperme dans mon slip. Il y a bien longtemps que ça ne m’était pas arrivé.
Elle gémit en se cambrant et écarte les cuisses.
-Vous me faites perdre la tête mon cher ami !
Je fais remonter ma main le long de ses cuisses, effleurant les bas nylon et les chairs nues. Sous mes doigts, je sens ses poils de sexe s’échappant des côtés de la culotte. Ecartant l’élastique, j’introduis mon index dans sa fente humide. ses lèvres toutes molles s’écartent.
-Oh ! Qu’est-ce que nous faisons, heureusement que le wagon est désert. Je passerais pour qui ?
-Vous êtes une grande mouilleuse ?
-Ah, ça m’excite, ça m’excite, répète-t-elle d’une voix sifflante.
Les chairs de son vagin sont tellement mouillées que les va-et-vient de mon doigt produit des clapotements. De confusion elle cache son visage dans mon épaule.
-C’est moi qui fais ces bruits ? Oh, j’ai honte, c’est horrible…
Comme nous nous approchons de notre destination il est temps pour nous de nous arrêter là. Mais ce n’est pas de l’avis de ma partenaire, qui me tend une carte de visite. Je lis sur le petit bristol Mireille D….
-Ce soir cela vous direz ? Ma fait-elle.
-Vous ne perdez pas de temps, Mireille.
-C’est que je suis en chasse en ce moment. Et je pense que vous êtes le partenaire idéal.
-Je vous remercie ! Et votre mari dans tout ça ?
-Oh, lui…il est en déplacement en ce moment.
-Bien, tant mieux ! Alors à ce soir. Vous avez une heure préférentielle.
-A votre guise… pardon je ne sais même pas comment vous appelez.
-Alain.
-Bien Alain, je compte sur vous. Ne me posez pas un lapin ! Fait-elle en se levant de son siège, alors que le train avait nettement ralenti son allure.
Je lui descends la valise et la regarde s’éloigner jusqu’à la sortie.
J’attends quelques instants pour descendre à mon tour du train.
A la sortie de mon rendez-vous, je m’autorise d’aller prendre un café. Je profite de l’instant pour flairer mes doigts dont la coquine a laissé son label. Plus que jamais l’envie me vient d’aller la rejoindre au plus vite.
Arrivée au lieu indiqué sur le carton, je sonne à la porte. J’entends un bruit de talon s’approché et l’accès s’ouvrit sur Mireille. Sans attendre elle m’attire chez elle. Elle me prend la main et me guide jusqu’à sa chambre où un homme se tient assis sur le fauteuil, un verre à la main.
-Alain, je vous présente mon mari.
-Enchanté Alain. Je me suis laissé entendre comme vous êtes un surdoué du tripotage.
-Je vois qu’elle vous a tout dit.
-Un plaisir chez elle. M’envoie-t-il.
- Il est mignon, glousse Mireille, en me faisant passer mon Tee-shirt par-dessus la tête. Et musclé, ajoute-t-elle en découvrant mon torse.
Elle me tire jusqu’au lit où elle prend place.
- Lèche-lui la chatte, ordonne le mari.
Elle écarte largement les jambes. Je me penche sur son pubis nu de tout vêtement et commence par l’embrasser. Son odeur n’est pas désagréable et cette mise en bouche active enfin un début d’érection dans mon slip. Je suis encouragé par ces soupirs à répétition chaque fois que ma langue effleure son bouton. Il est gonflé. Je peux aisément le sucer. Elle manifeste son approbation par des exclamations de plaisir.
- Oh ! Que c’est bon, gémit-elle en se soudant un peu plus à mes lèvres.
- Arrête mon mignon, me fait Mireille, plaçant un pied contre mon épaule, elle me repousse brutalement, montre nous ta queue maintenant.
-Vous voulez voir ma queue ?
-Oui, avec plaisir ! Me lâche-t-elle.
-Et qu’est-ce qu’on pense Monsieur ?
-Je dis comme la dame.
-Bon ! Fais-je en déboutonnant mon jean.
La queue à l’air, Mireille m’appuie sur mes épaules pour m’inviter à m’allonger, et tout de suite après m’enjambe. Sa chatte est tellement humide et béante qu’elle m’accueille sans la moindre difficulté. Presque aussitôt, ma queue se met à gonfler au contact de cette moiteur. Un court moment, je crus exploser tellement je suis excité
- Sache mon chéri, qu’il est dur… et que c’est bon, commente-t-elle.
Elle se met à me chevaucher doucement au début, puis de plus en plus vite. Très vite elle s’essouffle et délaisse sa monture pour se tourner vers son mari.
- Tu aimes ? Lui demande-t-elle en minaudant.
- Très excitant ! Fait-il.
-Je peux passer à la suite ?
-Je t’en prie, je te l’ai promis !
Elle s’agenouille sur le lit, se penche en avant et me tend sa croupe. Je comprends l’invitation et me place contre ses fesses. Cette fois je fais directement face au mari. Nos regards se croisent. La levrette énergique que je fais subir à sa femme, est ponctuée de commentaires plus ou moins vulgaire de la part de la femme. Elle mouille de plus en plus. L’heure de la jouissance est imminente et j’accélère et je jouis.
Alors que je récupère, allongé sur le lit conjugal, le mari se lève et s’approche de nous.
Sans un mot la femme prend la position, lui offrant son cul. Celui-ci ouvre le tiroir de la table de nuit et en sort un tube. Il le débouche et pointe l’embout sur l’anus de sa femme. Il y déverse une bonne noix. Le voilà qu’il frictionne sans manière l’anus. Je me sens dans l’obligation de demander :
-Vous désirez peut-être que je vous abandonne ?
-Reste là, nous avons encore besoin de tes services.
Mireille, pour sa part roucoule d’aise.
-C’est très agréable mon chérie.
Sans ajouter un mot, il retourne sur son poste d’observation.
-Je peux ? Laisse tomber la femme.
-Fait comme bon te semble.
Elle s’empare de ma queue et la dirige vers son anus. Mireille se laisse embrochée très lentement. Puis la voilà qui commence une série folle de va-et-vient. Imprimant un rythme affolant à ses hanches, avant de les faire redescendre de telle façon que je m’enfonce davantage au fond de ses entrailles. Mireille se met à jouir dans un crescendo de soupirs, dévoilant au passage la parfaite maîtrise de son orgasme. Épuisée, elle roule à mes côtés.
Quelques minutes après, Mireille retrouve ses esprits, et dénude le sexe de son mari. S’en suis un petit moment durant lequel le couple se livre à quelques doux plaisir entre époux. Cette fois je suis complètement passif, mais j’apprécie leurs ébats.
Une vingtaine de minutes plus tard, je sens sentis deux bouches gourmandes qui se dirigent vers ma verge. Grâce à cette fameuse différence de température, je ne sais qui de l’un ou de l’autre est en train de me sucer. Au moment où je sens les palpitations annonciatrices, mon gland est avalé par la bouche du mari. Ce dernier propose alors à sa femme si elle désire mon offrande, mais elle refuse par pure gentillesse. Quelle délicatesse ! C’est donc l’époux qui me fait jouir. Dans sa bouche avant de céder à sa femme le droit de recueillir avec sa langue les dernières goutte de mon plaisir.
Un peu après, il transfère l’intégralité de mon offrande dans la bouche de sa femme, point d’orgue de cette symphonie érotique.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour,c'est exitant mais cela me parait un peu suréel



Texte coquin : Symphonie érotique
Histoire sexe : Une rose rouge
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