Thérapie par l'adultère

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Thérapie par l'adultère Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Thérapie par l'adultère
Agnès avait à peine plus de vingt ans lorsqu'elle franchit pour la première fois la porte de l'entreprise où sa boîte d'intérim l'avait envoyée comme secrétaire. Pierre Bellavoir, le jeune patron de 40 ans, avait tout de suite flashé sur cette poupée aux formes pleines et à la peau rose dont le corps appelait la caresse et un peu plus encore. Au bout d'un mois, il devint son amant et la jeune fille se retrouva embauchée à plein temps. Pendant un an, le patron lui apprit à faire l'amour. Agnès n'avait pas été gâtée au préalable par les rapports sexuels, trop vite expédiés par ses petits amis. Avec Pierre, elle apprit les multiples combinaisons de l'amour et surtout à faire durer le plaisir. L'homme se régalait de cette femelle juteuse qui disait oui à tout, pourvu que sa propre bite soit concernée. Il la baisait à couilles rabattues et elle sortait toujours de leurs ébats fraîche et joyeuse, prête à recommencer. Au bout d'un an, il divorça et six mois après, épousa sa secrétaire très particulière, selon un processus classique. Il lui fit deux enfants, ce qui n'entama en rien leurs relations sexuelles. Pour prévenir une lassitude éventuelle, vue la différence d'âge, il l'incita même à s'accoupler à d'autres hommes dans le cadre de clubs échangistes. Agnès s'exécuta pour le bonheur des clients, qui n'avaient pas toujours à leur disposition un cul et des nichons aussi bien conçus pour l'amour, mais aussi de son mari qui adorait la regarder jouir. C'était sa principale satisfaction. Mais c'est quand même avec celui-ci qu'elle s'éclatait le plus. Elle aimait quand il s'enfonçait entre ses fesses charnues tout en pétrissant ses obus par en dessous et lui aimait l'entendre manifester son enthousiasme au travail de sa bite.
******Le temps passa. Vingt ans plus tard, Agnès était toujours aussi appétissante, même si elle avait pris quelques kilos. Ses seins débordaient de son décolleté, ses fesses tendaient jupe et pantalon, ses cuisses se tenaient toujours un peu écartées, comme en attente, sa bouche était toujours aussi gourmande et ses yeux toujours aussi malicieux. "Une belle ronde" disait-on d'elle. Dans sa boite, certains l'appelaient "Candice", comme l'héroïne de la série télévisée, sauf qu'elle était châtain foncé. Pierre s'amusait à voir les vautours tourner autour de ses mamelles complaisamment montrées et se réjouissait qu'on le jalousât.
Malheureusement, un événement allait bouleverser la vie du couple. Pierre Bellavoir apprit à 60 ans qu'il souffrait d'un cancer de la prostate. L'opération était inévitable. Il en sortit pratiquement guéri mais diminué. Plus question de pilonner le sexe accueillant de son épouse. Dans un premier temps, Agnès le rassura : "On fera l'amour autrement, voilà tout".
De fait, Pierre usa du gode, du doigt et de sa bouche pour tenter de satisfaire Agnès, qui y trouva de réelles satisfactions. Quelques vidéos pornos soigneusement choisies leur permirent d'entretenir une excitation essentiellement manuelle, d'autant qu'Agnès avait pris goût à la masturbation. Néanmoins, Pierre était tracassé. Il avait remarqué qu'à la plage naturiste où ils avaient leurs habitudes l'été, son épouse regardait avec insistance quelques beaux mâles qui déambulaient sur la plage, flamberge au vent. Derrière ses lunettes de soleil, Agnès matait les sexes avec concupiscence. Un jour, un couple qui faisait l'amour non loin d'eux mit Agnès en feu et elle se masturba frénétiquement en les regardant. Pierre comprit qu'à 40 ans, sa femme avait besoin d'une bite qui ressemblât à une bite et non la pauvre chose qui pendouillait entre ses jambes.
********Alors, il lui fit une proposition : "Tu ne peux pas rester comme ça. Prends un amant. Mais je ne veux pas que ce soit dans mon dos ni que ce soit avec quelqu'un de la boîte. Je veux un inconnu. Je veux être là, pour voir, pour filmer et éventuellement participer".
Agnès en fut interloquée. Après avoir protesté, elle finit par adoucir sa position. La présence de son mari la rassurerait. Et puis, ce ne serait que circonstanciel. Juste pour le plaisir et sans remettre leur union en question. Car elle devait se l'avouer, elle avait envie, très envie...
Dans un premier temps, ils allèrent au plus simple : les petites annonces. "Couple marié cherche homme tbm pour partie à trois hétérosexuelles". L'annonce intrigua et ils reçurent de nombreuses réponses dont ils éliminèrent la plupart, visiblement des hommes grossiers. Il est vrai que les candidats reculaient aussi lorsqu'il leur était annoncé qu'ils seraient filmés. L'un d'eux fut toutefois retenu, un Guadeloupéen au physique agréable qui plut à Agnès. Elle n'avait jamais fait l'amour avec un homme de couleur et la perspective la séduisait. Malheureusement, après qu'Agnès l'eut sucé avec ardeur, heureuse de sa consistance, l'homme débanda lorsque Pierre apparut avec sa go pro. Pas si évident de baiser devant un objectif. Et Agnès se résigna à la masturbation réciproque avec son mari.
Après le travail, elle s'échappait pour se rendre à un club de dessin où elle pouvait chasser ses idées noires. Parmi les sujets figurait le nu, en général des jeunes filles. Agnès put y perfectionner son trait et le professeur, d'âge vénérable, l'encouragea. Mais un jour, ce ne fut pas une jeune fille qui posa. C'était un jeune homme, au corps d'Adam, qui fit immédiatement fantasmer les dames présentes au cours. Ses attributs sexuels complaisamment étalés étaient l'objet d'une attention particulière des dessinatrices et en particulier d'Agnès. Il faut dire que sa bite n'était pas banale. Longue et fine, elle se terminait par un gland disproportionné, gros comme une pêche de vigne. Agnès réussit à dessiner l'ensemble avec un tel réalisme que son propriétaire la félicita et l'invita à prendre un verre. C'était un étudiant en architecture, prénommé Bryan, qui payait ses études en posant. Il avait bien quinze ans de moins qu'Agnès mais ne semblait pas s'en formaliser. La nuit, Agnès se masturbait en pensant à la queue de Bryan, à ses pectoraux, à son damier, à son cul. Il fallait qu'il soit l'amant qu'elle recherchait. Elle en parla à Pierre, qui décida de l'inviter à déjeuner. L'affaire fut rondement menée. Pierre joua cartes sur table et exposa la situation du couple. Bryan resta la fourchette en l'air, demanda quelques explications complémentaires mais ne dit pas non. Agnès l'attirait, il devait l'avouer, d'autant que sa petite amie venait justement de le plaquer, et se faire filmer n'est pas un problème quand on se fait dessiner à poil... A la fin du repas, l'atmosphère était devenue plus détendue. Assise à son côté, Agnès lui sourit, mit sa main sur sa cuisse et remonta jusqu'à sa braguette. Elle posa son doigt exactement sur le gland, appuya, grattouilla, tira sur la fermeture éclair et le chibre tant désiré surgit comme un diable de sa boite. Elle n'eut qu'à se pencher pour l'emboucher tandis que Pierre s'éclipsait pour aller chercher sa caméra. Agnès se gava du gros gland si bien dessiné, le titilla, le suçota, l'enfonça jusqu'à sa glotte, se le mit sous le nez, sur les joues alors qu'elle n'avait pas encore enlevé le moindre bout de tissu. Sur sa chaise, Bryan était aux anges et ne voyait même pas Pierre en train de filmer la pipe royale en gros plan. "Quelle suceuse, se disait-il, ça promet".
Puis Agnès se releva, prit Bryan par la main et l'entraina vers la chambre :- Viens, on va au lit, on sera plus à l'aise.
Bryan la suivit débraguetté, la queue en avant, prête à l'emploi. Il avait hâte de libérer ses couilles qui lui faisaient mal dans le pantalon. Ses yeux se posèrent sur le cul d'Agnès moulé dans un pantalon de toile légère qui soulignait les deux globes, la raie des fesses et la partie haute du string. "Bon Dieu quel cul, je vais me le faire" pensait Bryan.
A peine arrivée sur le lit, Agnès se déchaussa, baissa son pantalon et son string en même temps, fit passer son sweeter par-dessus sa tête et dégrafa son soutien-gorge. Ses lourdes mamelles s'étalèrent sur son buste, rebiquant vers le haut, comme un défi. Bryan les embrassa du regard comme son pubis brun abondamment fourni. Agnès s'étala sur le lit, cuisses en V , coudes sur le matelas, en attente. Bryan remarqua que sa vulve était déjà à demi ouverte. "Va falloir être à la hauteur des attentes" se dit-il. Mais Agnès raisonnait de même de son côté : "Un aussi beau mâle, il faut lui en donner, pas question de le laisser échapper". Tout était donc réuni pour une somptueuse partie de cul.
********Quand Bryan fut nu à son tour, Pierre, qui n'avait pas lâché sa caméra, lui tendit un préservatif :- Tiens, mets ça et baise la, ne le fais pas attendre, elle attend ça depuis longtemps. Mais vas-y mollo au début, ta grosse bite peut lui faire mal.
- T'inquiète pas pour ça, Pierre, je suis archi prête, riposta Agnès en se caressant et en montrant son doigt luisant d'humidité.
Visiblement, Agnès souhaitait être pénétrée en missionnaire. "Pour bien le voir" se disait-elle. Et c'est les yeux dans les yeux que le couple s'unit. Bryan y alla par petits coups afin que son gland puisse investir progressivement Agnès mais celle-ci lui mit une forte pression sur les reins par les talons et prit ses fesses à pleines mains si bien que Bryan y alla de toute sa longueur. Agnès fit un "houuu !" éloquent. La pêche de vigne était allée très loin en elle et la douleur s'effaça vite derrière un plaisir intense. Celui-ci décupla encore quand Bryan se mit à tirebouchonner des hanches, visitant à fond l'intimité de sa partenaire qui couinait à chaque poussée. Puis Bryan se haussa sur ses bras et se laissa tomber lourdement à plusieurs reprises entre les cuisses dodues d'Agnès qui encaissait les chocs en bramant. Les peaux claquaient et les sexes clapotaient sous l'oeil de la caméra, littéralement collée aux deux corps. Le caméraman était fasciné par le travail de cette bite rigide et infatigable, véritable piston de chair, et c'était comme si c'était lui qui produisait l'enthousiasme sexuel de son épouse. Il se recula pour un plan plus large, focalisa sur le fessier en mouvement de Bryan sous lequel les lourdes couilles ballotaient en cadence, puis sur les pieds nus d'Agnès, aux orteils contractés par le plaisir, image qui lui avait toujours échappé lorsqu'il la besognait.
Lorsque Bryan se retira, Agnès lâcha un soupir et observa la queue, toujours bien raide. Elle se mit à genoux sur le lit et l'attrapa d'une main ferme, comme pour un jauger la densité. Elle avait encore du potentiel, cette queue, et Agnès la stimula à nouveau en gobant une couille d'une bouche légère, tout en branlant. En filmant, Pierre glissa un doigt dans la fente poisseuse de son épouse et pour la première fois depuis longtemps, il ressentit quelque chose entre ses jambes. Il ne bandait pas, non, mais il y avait là malgré tout une véritable excitation. Agnès ondulait, trop heureuse de cette participation conjugale, mais elle voulait plus, beaucoup plus.
- Prends-moi par derrière ! ordonna-t-elle à Bryan, tout en se plaçant au bord du lit, la croupe en l'air.
Le garçon ne se fit pas prier. Le spectacle de ces deux grosses joues fendues au milieu l'inspirait au plus haut point. Pierre alterna à nouveau gros plan et plan large tout en se touchant. Le mouvement de piston du pénis dans la vulve palpitante d'Agnès le fascinait. Chaque coup de boutoir faisait trembler ses seins lourds. Il eut soudain une inspiration. Le miroir. Celui de l'armoire à glace dans la chambre d'amis. Quand le couple se désunit pour adopter une autre position, il imposa le déplacement. Bryan, queue droite, suivit Agnès qui marchait souplement, seins dressés et cul frémissant vers le deuxième lit. L'idée de baiser devant le miroir l'enchanta. Elle se mit à quatre pattes devant l'armoire et regarda l'homme s'avancer pour la pénétrer, concentré et précis. Quand il entra en elle, volumineux et fouisseur, elle gémit et se vit gémir, ouverte de la bouche à la vulve. Elle observait dans le miroir le beau torse de son amant et cette image produisit dans son tréfonds un plaisir intense. Un aussi beau mec en elle, quelle chance ! Elle se trémoussa en piaillant, complètement oublieuse de la caméra qui n'en perdait pas une miette. Les peaux claquaient, les sexes clapotaient, le vieux lit de la chambre d'amis grinçait, donnant à l'accouplement une sorte de rythme musical. Pierre continuait de se masturber d'une main, se procurant une satisfaction inédite, autocentrée. Il eut une nouvelle inspiration. Laissant provisoirement le couple à ses ébats, il courut chercher un tube de gel puis le tendit à Pierre dans la chambre :- Prépare la et encule la.
*********Cette perspective n'avait rien pour déplaire au baiseur. "Un cul pareil s'honore" pensait-il. Il apprécia le beau fruit fendu, invita sa partenaire à se pencher vers l'avant et considéra l'anus ambré qui lui souriait. Il l'enduisit consciencieusement du gel, le doigta légèrement puis profondément afin de bien le lubrifier et engagea enfin son noeud dans l'orifice.
- Détends-toi, ordonna-t-il à Agnès, tout entière concentrée sur son orifice anal et sur ce qui allait s'y passer. Bryan s'enfonça millimètre par millimètre puis l'anus sembla se libérer d'un coup et il la pénétra jusqu'à la garde, restant quelques secondes immobile pour savourer l'instant. Il vit dans le miroir le visage d'Agnès, yeux clos, bouche ouverte, cheveux et seins pendants, prête à cavaler. Et soudain, elle cavala. Surpris, le jeune homme mit quelques secondes pour se mettre à l'unisson mais l'harmonie régna très vite au sein du couple. Ils baisaient. Ils baisaient dur.
- Tu aimes ça, hein, chérie ? l'apostropha le caméraman qui allait de la bite au miroir et du miroir à la bite tout en se palluchant frénétiquement. Agnès opina du chef et de fait, la pine de Bryan lui procurait un plaisir ineffable, oublié depuis des lustres. Elle tenait à le lui faire savoir en l'encourageant, le félicitant, le célébrant et parfois aussi le fustigeant quand il faisait mine, par calcul, de se retirer. Bryan se régalait au spectacle de cette belle mature renvoyé par le miroir, pétrissait alternativement ses seins et ses hanches, allait chercher d'un doigt habile le bouton survitaminé tout en s'activant, ce qui faisait bramer sa propriétaire. Le jeune homme sentait monter de ses couilles un flot de sperme et lâcha Agnès dans un souffle :- Je vais jouir... dans ton cul... tu veux ?
- Oui ! Ouiiiii !
Et il explosa. A la sensation du liquide brûlant qui inondait ses entrailles, Agnès jouit à son tour en tortillant ses hanches, comme pour essorer son amant. Derrière sa caméra, Pierre sentit une chaleur entre ses jambes : sa manière de jouir aussi. Puis Agnès courut à la salle de bains, les nichons en bataille pendant que Bryan s'effondrait sur le lit, jambes coupées... Pierre éteignit sa caméra, impatient d'enregistrer l'ensemble de la vidéo sur son ordinateur. De belles soirées d'hiver en perspective...

********Cette liaison particulière à trois dura plusieurs semaines. Pierre stockait les images de sa femme en train de se faire prendre par le bel étalon et le couple regardait tranquillement ces ébats à ses temps perdus, tout en se caressant mutuellement. Le registre avait été élargi. Pierre filmait Agnès et Pierre en train de baiser en forêt, au bord d'une rivière, dans une toilette publique et dans la voiture. A la maison, il participait plus activement. Lorsque le couple baisait sur le canapé, il n'hésitait pas à poser sa caméra, à se glisser derrière le dossier et à attraper les jambes de sa femme pour les tenir en l'air et les écarter pendant que Bryan limait Agnès totalement écartelée et miaulant de plaisir. C'était presque comme s'ils la prenaient à deux, en "double". Plus Agnès baisait, plus elle resplendissait, plus elle était draguée... et plus elle avait envie de baiser. Elle dut parfois se faire violence pour ne pas transgresser le pacte consistant à ne rien faire sans la présence de son mari, en particulier sur son lieu de travail où les tentations étaient nombreuses. Au cours de l'été particulièrement chaud, le trio avait trouvé un coin tranquille au bord d'une rivière au maigre débit. Bryan et Agnès y étaient entrés nus. Ils s'y rafraichissaient et s'arrosaient mutuellement en riant tandis que Pierre, pieds nus et en short, les filmait. Agnès avisa un rocher et s'y assit, cuisses ouvertes. Bryan la lécha longuement puis la pénétra les pieds dans l'eau. Pierre focalisait sur les fesses du jeune homme, contractées par l'effort, lorsqu'il ressentit une douleur fulgurante à hauteur de la poitrine. Il cria, réussit à tendre la caméra à Agnès qui se détacha aussitôt de son partenaire, alertée. Pierre s'effondra alors de tout son long dans l'eau tiède. Affolé, le couple le prit sous les bras, le tira vers la rive et tenta de le ranimer. Mais Pierre restait inconscient. Ils alertèrent aussitôt les secours en se rhabillant mais l'endroit était isolé et l'ambulance n'arriva qu'une demi-heure plus tard. Pierre fut transporté à l'hôpital dans le coma et devait décéder dans la nuit d'un infarctus massif et foudroyant. Agnès se retrouvait veuve à 44 ans.
Dès lors, sa vie changea. Elle hérita de l'entreprise dont elle assurait déjà la direction administrative. Toute son énergie passa dans son rôle de patronne, et elle en oublia Bryan qui, du reste, était parti sous d'autres cieux. De temps à autre, elle s'offrait un petit extra avec un de ses admirateurs naguère frustrés. Mais le fait était là : Pierre et sa caméra lui manquaient pour jouir. Sa principale satisfaction, elle la trouvait dans sa vidéothèque et tous ces trios filmés par son défunt mari. C'était son univers secret, une façon de se retrouver avec lui, par personne interposée. Comme si c'était lui qui lui faisait l'amour...

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