Titre de l'histoire érotique : COLLECTION AGENT S69. L’ambassadeur (11/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION AGENT S69. L’ambassadeur (11/14)
Je viens de réussir à nous sauver d’un mauvais pas, la porte du tube lance-torpille s'est bloquée sans que nous puissions sortir, j’arrive à la faire sauter grâce à la petite charge que Luc la science pour Virginie ou Luc la malice pour d'autres a placée dans notre sac à dos.
Nous sortons la tête de l’eau au moment où la réserve d’air se raréfie.
J’ai entraîné Thierry qui semble mal en point, je m’aperçois que son embout lui a échappé et que si je l’avais lâché il se serait noyé.
• Thierry tu m’entends, il faut nager, nous sommes à environ un kilomètre de la côte.
Tu m’entends, réponds-moi.
Virginie a été un oiseau de mauvais augure avec son histoire d’accident en sortie des tubes lances torpilles, un crachement avec le sous-marin se fait entendre.
C’est carrément la merde, Thierry semble avoir bu la tasse et les communications censées nous relier les unes aux autres doivent avoir morflé au moment de la petite explosion.
Elle a été suffisante pour nous sauver en arrachant la porte, mais a dû toucher nos oreillettes, je dois dire que je me sens un peu seule au monde surtout que je sens que le jour commence à poindre une petite lueur se faisant jour au-dessus de la masse encore sombre qui doit être la côte.
Je saisis Thierry par la cage thoracique et je sers fortement vers moi afin d’essayer de faire sortir l’eau qu’il semble obstruer ses voies respiratoires.
• Thierry revient à toi, sinon je vais être obligée de faire revenir le sous-marin, nos montres semblant avoir été épargnées lors de l’explosion.
Réussir à nager, parler à l’oreille de Thierry et lui appuyer sur le torse relève de l’exploit que je réussis car Thierry réagit et se met à respirer, il recrache de l’eau et se met à battre des pieds me soulage.
• Que m’est-il arrivé ?
• Tu as perdu ta réserve d’air et il a fallu que je te fasse remonter à la surface, entends-tu ma voix dans ton oreillette.
• Je me souviens la porte bloquée, la charge que j’ai réussi à te passer, le mouvement pour nous tasser le maximum au fond du tube, ma main sur ton sein commençant à me faire bander et l’explosion, mais côté oreillette j’entends des craquements.
• Tu bandes encore, attends, je regarde.
Eh bien, mon salop, ton haricot a dû recevoir une partie de la charge.
• Tu rigoles je sens ta main.
• Oui, mais il est riquiqui, on dirait une limace.
• C’est à cause de l’eau froide, dès que nous serons sorties de l’eau, je vais te la mettre dans le cul.
• Je vois que tu as retrouvé tes fantasmes, nous allons sortir de l’eau, voilà qui est sûr, mais nous, allons aller chercher l’ambassadeur, regarde d’après-toi nous sommes dans l’hémisphère nord ou sud.
• Pas de Grande Ourse, je dirais que nous sommes dans le Sud.
• J’arrive à la même conclusion, l’eau est froide mais moins froide qu’à Brest l'autre jour, finit de lézarder, nageons.
Nous nous allongeons sur l’eau et en tandem, nous prenons la direction de la plage, le système conçu par Luc la malice fonctionne, nous sommes bien en communication avec le satellite.
Le sous-marin et Paris grâce à Luc doivent pouvoir nous suivre même si les communications audio sont interrompues.
Nous sommes à distance de la plage quand une nouvelle incongruité se produit, au lieu des vibrations sur nos montres, ce sont des traits de lumière que nous voyons.
2 cours, 1 long, 1 cour 1 long 1 cour, 2 cours, ICI, dans notre formation nous avons régulièrement vérifié que nous étions des calés dans le déchiffrage du morse.
• Thierry, qu’en penses-tu, c’est bizarre Virginie nous a parlé de vibrations pas de morse avec une lampe torche.
• Tu as raison, il se peut que Paris soit en liaison par oreillette comme nous avec mon contact et qu’elle a été prévenue que nos communications étaient coupées.
• Tu as raison, mais restons prudent, c’est peut-être un traquenard.
Nous prenons pied, avant de sortir de l’eau prête à nous jeter en arrière au moindre signe hostile et nous plaçons nos lunettes à infrarouge.
Notre contact est bien sûr la plage et nos montres nous préviennent qu’elle est seule, personne à l’environ.
• Bonjour, vous êtes en retard, le jour va bientôt être là, dépéchons-nous.
Efficace le contact, on sent que nous avons affaire à une pro, mais pas de casquette, ses cheveux blonds parfaitement coiffés m’indiquent que nous sommes hors des pays musulmans, elle porte un survêtement et si nous étions autre part qu’en mission je lui parlerais bien de près.
• En route, la villa est à 500 mètres.
Nous nous déplaçons avec célérité, je regarde ma montre quand nous sommes dans une rue, 2 points rouges sur la droite côte à côte sans bouger, un couple doit dormir.
Trois à droite, un fixe, les deux s’approchant et se confondant pour recommencer, une salope doit se faire baiser, j’ai presque envie de m’arrêter, car ses deux points rouges se confondant me font couler, je suis à la limite de la jouissance.
A moins que ce soit l’adrénaline qui déborde de mon corps.
• Tu as vu, ils doivent baiser, la femme doit être prise en levrette, c’est pour cela que les points se séparent sous les poussés de la verge du mari.
• Écoute, tu entends la femme gémie.
• Avançons, mais avec l’épaisseur des murs je te dis qu’elle jouit, tu veux m’en mettre un petit coup.
• J’ignore de quoi vous parlez et ce que vous voyez, mais il faut nous dépêcher, se va être l’heure de la relève.
Nous arrivons devant une maison assez massive.
• Je vais frapper, le garde va m’ouvrir et vous ferez ce que vous devez faire, attention il est armé avec une Kalachnikovs.
Prêts ?
Je suis collé, côté me permettant d’entrer dès que la porte sera déverrouillée.
Un Judas s’ouvre.
• Maya, tu es sortie, je viens de prendre mon poste.
• Oui, je suis allée jusque chez moi chercher mes cigarettes.
• Nous en fumions ensemble hier pendant que l’on te baisait.
• Ouvre, je vais te faire une petite pipe.
• Impossible je suis de garde.
• Ouvre merde, inutile que mes voisins me voient entré chez vous, 8 hommes seuls, ils me prennent déjà pour une salope depuis que j’ai eu une relation avec une petite Française de passage pendant ses vacances.
S’ils savaient qu’hier vos bites m’ont ravagé, il me faudrait changer de lieu.
C’est étrange, celle que l’homme vient d’appeler Maya parle dans un français très correct malgré l’accent de l’homme qui m’est caché.
L’homme ouvre la porte, je me rue sur lui, passe derrière et comme j’avais déjà pris mon poignard commando sans une hésitation, sa gorge glisse sous ma lame.
Je le dépose au sol, un de moins c’est du moins ce que je me dis, je récupère son arme et place la bretelle sur mon épaule.
• Tu sembles bien connaître les lieux, dépêche-toi, je vois les sept autres hommes qui semblent dormir mais aucune autre présence.
• Le gars que vous êtes venu chercher est au premier suivez-moi sans le moindre bruit.
Bien sûr, nous avons chuchoté à quelques centimètres l’une de l’autre, le jour qui monte de plus en plus me fait voir que Maya a des seins comme des obus que j’ai envie de malaxer, mais mission oblige, de retour dans le sous-marin elle aura été un joli fantasme.
Nous montons à l’étage et la porte censée être celle de la pièce où l’ambassadeur doit se trouver est ouvert, sur une chaise il y a des menottes attachées au dossier mais aucun homme à l’autre bout.
La seule chose que ma lunette me montre c’est un coffre-fort digne de la première guerre mondial.
• Vous avez de quoi l’ouvrir, il y a des documents importants concernant vos ennemis à l’intérieur.
Une nouvelle alarme s’allume dans mon cerveau, que notre contact dise « vos ennemis » si elle est en contact avec le service, elle aurait dû dire « nos services », mais elle a raison sur un point si nous rapportons des documents, nous aurons en partie réussi notre mission.
• Pierre voilà le programme, nos voisins sont calmes, je vais faire sauter le coffre avec la charge que tu as encore dans ton sac, toi tu prends cette arme automatique et tu surveilles un éventuel arrivé des méchants.
Maya tient toi prête à ouvrir la fenêtre et les volets, nous dégagerons par là en sautant, y arriveras-tu ?
• Malgré ma robe, oui.
Je place la charge que Pierre m’a donnée.
• Attention, j’y vais.
C’est à ce moment là que les oreillettes se mettent à fonctionner.
« Anabelle, Pierre, dégagé, les communications ont été coupés au moment de l’explosion et Luc la science vient de les rétablir, l’ambassadeur a été envoyé dans une nouvelle planque et l'une de nos équipes va intervenir ».
• Pourquoi y a-t-il encore des gardes ici ?
• Il protège ce coffre.
« J’ai entendu, tu peux l’ouvrir. »
• J’allais déclencher la charge.
« Merde, revenez-nous entier ».
Je vais pour déclencher l’explosion.
• Attends un des gars en bas s’est levé, s’il voit son copain refroidi, il va donner l’alarme, je vais m’en occuper, évitez de faire du bruit.
• Tu descends, tu le liquides, tu me préviens, je fais sauter la porte du coffre et avec la mitraillette arrose ceux qui sortent de leur salle de repos, on saute et tous les trois nous dégageons.
• Avec les morts, les survivants auront vite fait de comprendre que je les ai doublés.
• Virginie et Pierre, nous emmenons Maya avec nous.
• Ok pour moi, silence radio.
Pierre a répondu, mais Virginie et la communication avec Pierre semble de nouveau muette, je vais devoir attendre un peu plus longtemps pour faire sauter la charge et ouvrir la porte…
Nous sortons la tête de l’eau au moment où la réserve d’air se raréfie.
J’ai entraîné Thierry qui semble mal en point, je m’aperçois que son embout lui a échappé et que si je l’avais lâché il se serait noyé.
• Thierry tu m’entends, il faut nager, nous sommes à environ un kilomètre de la côte.
Tu m’entends, réponds-moi.
Virginie a été un oiseau de mauvais augure avec son histoire d’accident en sortie des tubes lances torpilles, un crachement avec le sous-marin se fait entendre.
C’est carrément la merde, Thierry semble avoir bu la tasse et les communications censées nous relier les unes aux autres doivent avoir morflé au moment de la petite explosion.
Elle a été suffisante pour nous sauver en arrachant la porte, mais a dû toucher nos oreillettes, je dois dire que je me sens un peu seule au monde surtout que je sens que le jour commence à poindre une petite lueur se faisant jour au-dessus de la masse encore sombre qui doit être la côte.
Je saisis Thierry par la cage thoracique et je sers fortement vers moi afin d’essayer de faire sortir l’eau qu’il semble obstruer ses voies respiratoires.
• Thierry revient à toi, sinon je vais être obligée de faire revenir le sous-marin, nos montres semblant avoir été épargnées lors de l’explosion.
Réussir à nager, parler à l’oreille de Thierry et lui appuyer sur le torse relève de l’exploit que je réussis car Thierry réagit et se met à respirer, il recrache de l’eau et se met à battre des pieds me soulage.
• Que m’est-il arrivé ?
• Tu as perdu ta réserve d’air et il a fallu que je te fasse remonter à la surface, entends-tu ma voix dans ton oreillette.
• Je me souviens la porte bloquée, la charge que j’ai réussi à te passer, le mouvement pour nous tasser le maximum au fond du tube, ma main sur ton sein commençant à me faire bander et l’explosion, mais côté oreillette j’entends des craquements.
• Tu bandes encore, attends, je regarde.
Eh bien, mon salop, ton haricot a dû recevoir une partie de la charge.
• Tu rigoles je sens ta main.
• Oui, mais il est riquiqui, on dirait une limace.
• C’est à cause de l’eau froide, dès que nous serons sorties de l’eau, je vais te la mettre dans le cul.
• Je vois que tu as retrouvé tes fantasmes, nous allons sortir de l’eau, voilà qui est sûr, mais nous, allons aller chercher l’ambassadeur, regarde d’après-toi nous sommes dans l’hémisphère nord ou sud.
• Pas de Grande Ourse, je dirais que nous sommes dans le Sud.
• J’arrive à la même conclusion, l’eau est froide mais moins froide qu’à Brest l'autre jour, finit de lézarder, nageons.
Nous nous allongeons sur l’eau et en tandem, nous prenons la direction de la plage, le système conçu par Luc la malice fonctionne, nous sommes bien en communication avec le satellite.
Le sous-marin et Paris grâce à Luc doivent pouvoir nous suivre même si les communications audio sont interrompues.
Nous sommes à distance de la plage quand une nouvelle incongruité se produit, au lieu des vibrations sur nos montres, ce sont des traits de lumière que nous voyons.
2 cours, 1 long, 1 cour 1 long 1 cour, 2 cours, ICI, dans notre formation nous avons régulièrement vérifié que nous étions des calés dans le déchiffrage du morse.
• Thierry, qu’en penses-tu, c’est bizarre Virginie nous a parlé de vibrations pas de morse avec une lampe torche.
• Tu as raison, il se peut que Paris soit en liaison par oreillette comme nous avec mon contact et qu’elle a été prévenue que nos communications étaient coupées.
• Tu as raison, mais restons prudent, c’est peut-être un traquenard.
Nous prenons pied, avant de sortir de l’eau prête à nous jeter en arrière au moindre signe hostile et nous plaçons nos lunettes à infrarouge.
Notre contact est bien sûr la plage et nos montres nous préviennent qu’elle est seule, personne à l’environ.
• Bonjour, vous êtes en retard, le jour va bientôt être là, dépéchons-nous.
Efficace le contact, on sent que nous avons affaire à une pro, mais pas de casquette, ses cheveux blonds parfaitement coiffés m’indiquent que nous sommes hors des pays musulmans, elle porte un survêtement et si nous étions autre part qu’en mission je lui parlerais bien de près.
• En route, la villa est à 500 mètres.
Nous nous déplaçons avec célérité, je regarde ma montre quand nous sommes dans une rue, 2 points rouges sur la droite côte à côte sans bouger, un couple doit dormir.
Trois à droite, un fixe, les deux s’approchant et se confondant pour recommencer, une salope doit se faire baiser, j’ai presque envie de m’arrêter, car ses deux points rouges se confondant me font couler, je suis à la limite de la jouissance.
A moins que ce soit l’adrénaline qui déborde de mon corps.
• Tu as vu, ils doivent baiser, la femme doit être prise en levrette, c’est pour cela que les points se séparent sous les poussés de la verge du mari.
• Écoute, tu entends la femme gémie.
• Avançons, mais avec l’épaisseur des murs je te dis qu’elle jouit, tu veux m’en mettre un petit coup.
• J’ignore de quoi vous parlez et ce que vous voyez, mais il faut nous dépêcher, se va être l’heure de la relève.
Nous arrivons devant une maison assez massive.
• Je vais frapper, le garde va m’ouvrir et vous ferez ce que vous devez faire, attention il est armé avec une Kalachnikovs.
Prêts ?
Je suis collé, côté me permettant d’entrer dès que la porte sera déverrouillée.
Un Judas s’ouvre.
• Maya, tu es sortie, je viens de prendre mon poste.
• Oui, je suis allée jusque chez moi chercher mes cigarettes.
• Nous en fumions ensemble hier pendant que l’on te baisait.
• Ouvre, je vais te faire une petite pipe.
• Impossible je suis de garde.
• Ouvre merde, inutile que mes voisins me voient entré chez vous, 8 hommes seuls, ils me prennent déjà pour une salope depuis que j’ai eu une relation avec une petite Française de passage pendant ses vacances.
S’ils savaient qu’hier vos bites m’ont ravagé, il me faudrait changer de lieu.
C’est étrange, celle que l’homme vient d’appeler Maya parle dans un français très correct malgré l’accent de l’homme qui m’est caché.
L’homme ouvre la porte, je me rue sur lui, passe derrière et comme j’avais déjà pris mon poignard commando sans une hésitation, sa gorge glisse sous ma lame.
Je le dépose au sol, un de moins c’est du moins ce que je me dis, je récupère son arme et place la bretelle sur mon épaule.
• Tu sembles bien connaître les lieux, dépêche-toi, je vois les sept autres hommes qui semblent dormir mais aucune autre présence.
• Le gars que vous êtes venu chercher est au premier suivez-moi sans le moindre bruit.
Bien sûr, nous avons chuchoté à quelques centimètres l’une de l’autre, le jour qui monte de plus en plus me fait voir que Maya a des seins comme des obus que j’ai envie de malaxer, mais mission oblige, de retour dans le sous-marin elle aura été un joli fantasme.
Nous montons à l’étage et la porte censée être celle de la pièce où l’ambassadeur doit se trouver est ouvert, sur une chaise il y a des menottes attachées au dossier mais aucun homme à l’autre bout.
La seule chose que ma lunette me montre c’est un coffre-fort digne de la première guerre mondial.
• Vous avez de quoi l’ouvrir, il y a des documents importants concernant vos ennemis à l’intérieur.
Une nouvelle alarme s’allume dans mon cerveau, que notre contact dise « vos ennemis » si elle est en contact avec le service, elle aurait dû dire « nos services », mais elle a raison sur un point si nous rapportons des documents, nous aurons en partie réussi notre mission.
• Pierre voilà le programme, nos voisins sont calmes, je vais faire sauter le coffre avec la charge que tu as encore dans ton sac, toi tu prends cette arme automatique et tu surveilles un éventuel arrivé des méchants.
Maya tient toi prête à ouvrir la fenêtre et les volets, nous dégagerons par là en sautant, y arriveras-tu ?
• Malgré ma robe, oui.
Je place la charge que Pierre m’a donnée.
• Attention, j’y vais.
C’est à ce moment là que les oreillettes se mettent à fonctionner.
« Anabelle, Pierre, dégagé, les communications ont été coupés au moment de l’explosion et Luc la science vient de les rétablir, l’ambassadeur a été envoyé dans une nouvelle planque et l'une de nos équipes va intervenir ».
• Pourquoi y a-t-il encore des gardes ici ?
• Il protège ce coffre.
« J’ai entendu, tu peux l’ouvrir. »
• J’allais déclencher la charge.
« Merde, revenez-nous entier ».
Je vais pour déclencher l’explosion.
• Attends un des gars en bas s’est levé, s’il voit son copain refroidi, il va donner l’alarme, je vais m’en occuper, évitez de faire du bruit.
• Tu descends, tu le liquides, tu me préviens, je fais sauter la porte du coffre et avec la mitraillette arrose ceux qui sortent de leur salle de repos, on saute et tous les trois nous dégageons.
• Avec les morts, les survivants auront vite fait de comprendre que je les ai doublés.
• Virginie et Pierre, nous emmenons Maya avec nous.
• Ok pour moi, silence radio.
Pierre a répondu, mais Virginie et la communication avec Pierre semble de nouveau muette, je vais devoir attendre un peu plus longtemps pour faire sauter la charge et ouvrir la porte…
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Je vois que celui ou celle qui saque sans dire pourquoi persiste, ces décevant quand l'on voit l'investissement qu'il faut dépenser pour que vous les lecteurs aient du plaisir avec nous...