Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. J’ai fait la pute. (1/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. J’ai fait la pute. (1/4)
COLLECTION COCU. J’ai fait la pute. (1/4)
Il y a presque 1 an que j’ai fini mes études de droit et que j’ai été embauchée dans un grand cabinet parisien.
Le jour de notre remise de diplôme j’ai rencontré Guy le fils du patron du cabinet ou je travaille maintenant et nous nous sommes mariés il y a un mois.
Je suis heureuse et j’ai une vie de rêve car elle est celle que j’espérais avoir, je suis une très belle fille dépucelée dès que je l’ai pu et libre de mon corps. Cela fait que mon mari a découvert une femme sachant ce qu’elle veut dans notre vie de travail, notre vie sexuelle dans un très bel appartement qui appartient à mon beau-père.
Il est situé deux immeubles plus loin que le cabinet où nous travaillons sur le front de seine près de Notre Dames.
Vie de rêve pour moi et aussi pour Guy qui dans son lit a trouvé une vraie chienne, mes moments de turpitude avant que je le connaisse m’ayant apporté de l’expérience.
Aucun problème pour moi-même si je lui mens car dans le fond de mon sac à main j’ai une boîte ou tous les mois je place les pilules qui me sont nécessaires pour sans le lui dire pallier ce problème.
Chaque mois quand je lui annonce que j’ai mes règles il est déçu et recommence à me baiser persuadé que ce mois sera le bon.
À 14 heures je reviens du palais un peu abattu car ma cliente à écoper de 2 ans pour coups et blessures envers son mari alors que j’avais plaidé pour qu’elle soit relaxée ayant des pièces à décharge.
• Madame Adeline votre courrier.
• Merci Germaine, des coups de fil ?
• Des rendez-vous tout sont dans votre agenda électronique.
Les Mails une servitude, j’en reçois des dizaines tous les jours ce qui me prend du temps car un jour il y en a un que j’aie laissé fermé et qui s’est avéré être une pièce essentielle d’un de mes dossiers.
« Personnel »
Je l’ouvre et je vois que c’est un site d’escorte girl que je connais bien.
« Demande Natacha ».
Inutile, je connais Natacha, pour payer mes études pendant 5 ans j’ai fait la pute, j’étais à Paris la semaine ou je jouais les filles sages et les week-ends j’allais à Orléans ou j’avais une chambre réservée toutes les semaines dans un hôtel.
Quand je disais que j’étais une chienne quand on se couche pour de l’argent toutes les semaines et quelques jours pendant les vacances, on en devient facilement une.
C’est 15 jours je les séparais la pute et la fifille à son papa, quelques jours à Nevers, et le reste à Orléans où je tapinais.
« Demande » est le mot qui me pose le plus de problèmes, il semble que ce soit quelqu’un qui me connaisse qui sait ce que j’étais, pourtant j’avais arrêté mon contrat avec ce site d’escorte, Internet est un réseau ou des traces indélébiles de ce que vous avez fait reste à jamais.
• Madame le patron vous demande dans son bureau.
• Merci Germaine j’y vais tout de suite.
Je me déplace de deux bureaux où Henri mon beau-père a son bureau, je frappe et ayant reçu l’autorisation j’entre.
• À Adeline, je pars ce soir pour Bordeaux défendre un de nos gros clients j’ai prévenu Guy que je t’emmenais avec moi, tu serais mon assistante, va faire ta valise nous prenons le TGV à Montparnasse demain matin je serais à 7 heures avec un taxi devant chez vous.
Bonne soirée.
Je quitte son bureau rejoint celui de Guy, sa secrétaire me dit qu’il est parti en région parisienne et rentrera très tard.
J’ai l’habitude depuis que je travaille ici souvent lui ou moi nous trouvons dans cette situation mais c’est la première fois que mon beau-père m’emmène pour plusieurs jours et je suis fière, le connaissant car pour lui c’est une reconnaissance de mon bon travail.
Je croise Guy au petit déjeuner mais hélas il est trop tard pour que je lui fasse une de mes gâteries qu’il aime tant car beau-papa serait mécontent de louper son train.
Je passe le voyage assez rapide et vers 13 heures nous mangeons à Bordeaux Saint-Jean au restaurant le plus sélect.
Henri est charmant tout au long du voyage et du repas, nous prenons un taxi qui nous conduit dans le centre dans l’hôtel 5 étoiles qui s’y trouve.
• Prépare-toi, nous avons rendez-vous avec notre client à 16 heures dans un salon de l’hôtel pour la première prise de contact, je passe te chercher.
Je rejoins ma chambre voisine de la sienne qui comporte une porte de communication, je vérifie le verrou est mis de mon côté.
16 heures, il frappe à la porte principale, j’ai pris un bain bien relaxant tout en regardant le dossier qu’il m’a confié et nous descendons dans un salon.
Le client est un homme du même âge que mon beau-père, ils sont aussi sportifs l’un que l’autre ils restent des bêtes de sexe que j’adorais rencontrer dans ma vie passée.
La réunion se passe bien le client étant prévenant avec moi, nous regardons les pièces amenées et j’arrive à donner un ou deux conseils qui semblent plaire à mon beau-père de patron et au client.
• Avez-vous obtenu ce que je vous aie conseillé hier au téléphone pour coincer la partie adverse ?
• Oui il a plongé dans le piège, le rendez-vous est demain soir à 20 heures au bar dans un hôtel à deux pas d’ici, voici une enveloppe tous les renseignements nécessaires y sont
Je pense qu’il y a magouille mais je me tais car à aucun moment je suis sollicité.
Nous quittons le client et nous reprenons le chemin des chambres.
• Adeline tu as été parfaite, reste dans ta chambre il se peut que j’aie besoin de voir des points de détail avec toi, mets-toi à l’aise, tu viendras en peignoir si je t’appelle.
• Bien Henri, merci, j’avais le trac de faire un imper et un bon bain sera le bienvenu.
• Commande-toi à manger dans ta chambre, après le repas de ce midi je fais abstinence ce soir.
Il est presque dix-neuf heures quand je le quitte et une heure plus tard le téléphone sonne.
• C’est Henri, Adeline peux-tu venir dans ma chambre, j’ai ouvert la porte de communication de mon côté.
• Cinq minutes j’arrive.
• Prend ton temps, je sais être patient surtout à cette heure.
Je récupère le peignoir de l’hôtel et je vais dans l’armoire prendre une petite culotte, je les passe et la ceinture bien serrée j’ouvre le verrou et je frappe.
J’entends que Guy me dit d’entrer.
• Viens ici.
Mon beau-père est assis sur son lit lui aussi en peignoir les jambes nues posées au sol.
• Tient c’est pour toi.
Frayeur, je vois marquer un mot, non un nom « NATACHA » bien gros en lettre majuscule pour bien me ramener à mes années antérieures.
• Vérifie, j’ai mis quelques billets de plus du jour ou je t’ai fait venir dans ma chambre à Orléans un samedi soir.
J’ai compris mais je laisse tomber l’enveloppe prête à me sauver voyant que ma vie chèrement obtenue s’écroulait.
• Pas de panique Natacha suce tu as été parfaite il y a presque trois ans.
Mon beau-père ouvre son peignoir dessous il est nu, impossible d’éviter de comparer, il est au moins un tiers plus gros que Guy qui pourtant se porte bien, des clients de ce calibre j’en ai eu plusieurs et tous les coups de bite qu’ils m’ont donnés justifient que quand j’ai rencontré Henri à aucun moment je ne l’aie reconnu.
• Mais je suis la femme de Guy ton fils, pourquoi m’as-tu laissé l’épouser.
• Non, quand tu es au travail dans nos bureaux tu es sa femme et quand nous sommes tous les deux tu es Natacha une salope qui se prostitue avec et pour moi.
Je comprends qu’il va taire à mon mari ce que je faisais et la queue qu’il me présente me fait envie, je ramasse l’enveloppe, l’ouvre pour contrôler que les 2 000 € pour ma prestation sont bien là, mieux même il en a mis 3 000 je la mets dans ma poche.
J’ouvre mon peignoir qui tombe au sol et je m’avance pour m’agenouiller.
• Dommage tu as mis une petite culotte, j’avais beaucoup aimé quand tu étais venu dans ma chambre la première fois, mais je suis bête ce soir c’est beau-papa que tu rejoignais alors qu’avant j’étais ton client d’un soir.
J’arrête mon mouvement pour m’agenouiller et je l’ôte.
• Bien je retrouve pleinement Natacha, tu as ton fric, suce.
Je m’exécute et pour la première fois depuis longtemps même si je suce Guy régulièrement je retrouve mes gestes du temps où je faisais la pute.
• Salope, ta bouche est toujours aussi douce, oui j’aime le petit coup de dents que tu viens de me donner, je vois qu’elle te plaît.
Arrête, j’ai un autre fantasme non réalisé avec toi et comme le disait ton site Natacha n’a aucun tabou…
Il y a presque 1 an que j’ai fini mes études de droit et que j’ai été embauchée dans un grand cabinet parisien.
Le jour de notre remise de diplôme j’ai rencontré Guy le fils du patron du cabinet ou je travaille maintenant et nous nous sommes mariés il y a un mois.
Je suis heureuse et j’ai une vie de rêve car elle est celle que j’espérais avoir, je suis une très belle fille dépucelée dès que je l’ai pu et libre de mon corps. Cela fait que mon mari a découvert une femme sachant ce qu’elle veut dans notre vie de travail, notre vie sexuelle dans un très bel appartement qui appartient à mon beau-père.
Il est situé deux immeubles plus loin que le cabinet où nous travaillons sur le front de seine près de Notre Dames.
Vie de rêve pour moi et aussi pour Guy qui dans son lit a trouvé une vraie chienne, mes moments de turpitude avant que je le connaisse m’ayant apporté de l’expérience.
Aucun problème pour moi-même si je lui mens car dans le fond de mon sac à main j’ai une boîte ou tous les mois je place les pilules qui me sont nécessaires pour sans le lui dire pallier ce problème.
Chaque mois quand je lui annonce que j’ai mes règles il est déçu et recommence à me baiser persuadé que ce mois sera le bon.
À 14 heures je reviens du palais un peu abattu car ma cliente à écoper de 2 ans pour coups et blessures envers son mari alors que j’avais plaidé pour qu’elle soit relaxée ayant des pièces à décharge.
• Madame Adeline votre courrier.
• Merci Germaine, des coups de fil ?
• Des rendez-vous tout sont dans votre agenda électronique.
Les Mails une servitude, j’en reçois des dizaines tous les jours ce qui me prend du temps car un jour il y en a un que j’aie laissé fermé et qui s’est avéré être une pièce essentielle d’un de mes dossiers.
« Personnel »
Je l’ouvre et je vois que c’est un site d’escorte girl que je connais bien.
« Demande Natacha ».
Inutile, je connais Natacha, pour payer mes études pendant 5 ans j’ai fait la pute, j’étais à Paris la semaine ou je jouais les filles sages et les week-ends j’allais à Orléans ou j’avais une chambre réservée toutes les semaines dans un hôtel.
Quand je disais que j’étais une chienne quand on se couche pour de l’argent toutes les semaines et quelques jours pendant les vacances, on en devient facilement une.
C’est 15 jours je les séparais la pute et la fifille à son papa, quelques jours à Nevers, et le reste à Orléans où je tapinais.
« Demande » est le mot qui me pose le plus de problèmes, il semble que ce soit quelqu’un qui me connaisse qui sait ce que j’étais, pourtant j’avais arrêté mon contrat avec ce site d’escorte, Internet est un réseau ou des traces indélébiles de ce que vous avez fait reste à jamais.
• Madame le patron vous demande dans son bureau.
• Merci Germaine j’y vais tout de suite.
Je me déplace de deux bureaux où Henri mon beau-père a son bureau, je frappe et ayant reçu l’autorisation j’entre.
• À Adeline, je pars ce soir pour Bordeaux défendre un de nos gros clients j’ai prévenu Guy que je t’emmenais avec moi, tu serais mon assistante, va faire ta valise nous prenons le TGV à Montparnasse demain matin je serais à 7 heures avec un taxi devant chez vous.
Bonne soirée.
Je quitte son bureau rejoint celui de Guy, sa secrétaire me dit qu’il est parti en région parisienne et rentrera très tard.
J’ai l’habitude depuis que je travaille ici souvent lui ou moi nous trouvons dans cette situation mais c’est la première fois que mon beau-père m’emmène pour plusieurs jours et je suis fière, le connaissant car pour lui c’est une reconnaissance de mon bon travail.
Je croise Guy au petit déjeuner mais hélas il est trop tard pour que je lui fasse une de mes gâteries qu’il aime tant car beau-papa serait mécontent de louper son train.
Je passe le voyage assez rapide et vers 13 heures nous mangeons à Bordeaux Saint-Jean au restaurant le plus sélect.
Henri est charmant tout au long du voyage et du repas, nous prenons un taxi qui nous conduit dans le centre dans l’hôtel 5 étoiles qui s’y trouve.
• Prépare-toi, nous avons rendez-vous avec notre client à 16 heures dans un salon de l’hôtel pour la première prise de contact, je passe te chercher.
Je rejoins ma chambre voisine de la sienne qui comporte une porte de communication, je vérifie le verrou est mis de mon côté.
16 heures, il frappe à la porte principale, j’ai pris un bain bien relaxant tout en regardant le dossier qu’il m’a confié et nous descendons dans un salon.
Le client est un homme du même âge que mon beau-père, ils sont aussi sportifs l’un que l’autre ils restent des bêtes de sexe que j’adorais rencontrer dans ma vie passée.
La réunion se passe bien le client étant prévenant avec moi, nous regardons les pièces amenées et j’arrive à donner un ou deux conseils qui semblent plaire à mon beau-père de patron et au client.
• Avez-vous obtenu ce que je vous aie conseillé hier au téléphone pour coincer la partie adverse ?
• Oui il a plongé dans le piège, le rendez-vous est demain soir à 20 heures au bar dans un hôtel à deux pas d’ici, voici une enveloppe tous les renseignements nécessaires y sont
Je pense qu’il y a magouille mais je me tais car à aucun moment je suis sollicité.
Nous quittons le client et nous reprenons le chemin des chambres.
• Adeline tu as été parfaite, reste dans ta chambre il se peut que j’aie besoin de voir des points de détail avec toi, mets-toi à l’aise, tu viendras en peignoir si je t’appelle.
• Bien Henri, merci, j’avais le trac de faire un imper et un bon bain sera le bienvenu.
• Commande-toi à manger dans ta chambre, après le repas de ce midi je fais abstinence ce soir.
Il est presque dix-neuf heures quand je le quitte et une heure plus tard le téléphone sonne.
• C’est Henri, Adeline peux-tu venir dans ma chambre, j’ai ouvert la porte de communication de mon côté.
• Cinq minutes j’arrive.
• Prend ton temps, je sais être patient surtout à cette heure.
Je récupère le peignoir de l’hôtel et je vais dans l’armoire prendre une petite culotte, je les passe et la ceinture bien serrée j’ouvre le verrou et je frappe.
J’entends que Guy me dit d’entrer.
• Viens ici.
Mon beau-père est assis sur son lit lui aussi en peignoir les jambes nues posées au sol.
• Tient c’est pour toi.
Frayeur, je vois marquer un mot, non un nom « NATACHA » bien gros en lettre majuscule pour bien me ramener à mes années antérieures.
• Vérifie, j’ai mis quelques billets de plus du jour ou je t’ai fait venir dans ma chambre à Orléans un samedi soir.
J’ai compris mais je laisse tomber l’enveloppe prête à me sauver voyant que ma vie chèrement obtenue s’écroulait.
• Pas de panique Natacha suce tu as été parfaite il y a presque trois ans.
Mon beau-père ouvre son peignoir dessous il est nu, impossible d’éviter de comparer, il est au moins un tiers plus gros que Guy qui pourtant se porte bien, des clients de ce calibre j’en ai eu plusieurs et tous les coups de bite qu’ils m’ont donnés justifient que quand j’ai rencontré Henri à aucun moment je ne l’aie reconnu.
• Mais je suis la femme de Guy ton fils, pourquoi m’as-tu laissé l’épouser.
• Non, quand tu es au travail dans nos bureaux tu es sa femme et quand nous sommes tous les deux tu es Natacha une salope qui se prostitue avec et pour moi.
Je comprends qu’il va taire à mon mari ce que je faisais et la queue qu’il me présente me fait envie, je ramasse l’enveloppe, l’ouvre pour contrôler que les 2 000 € pour ma prestation sont bien là, mieux même il en a mis 3 000 je la mets dans ma poche.
J’ouvre mon peignoir qui tombe au sol et je m’avance pour m’agenouiller.
• Dommage tu as mis une petite culotte, j’avais beaucoup aimé quand tu étais venu dans ma chambre la première fois, mais je suis bête ce soir c’est beau-papa que tu rejoignais alors qu’avant j’étais ton client d’un soir.
J’arrête mon mouvement pour m’agenouiller et je l’ôte.
• Bien je retrouve pleinement Natacha, tu as ton fric, suce.
Je m’exécute et pour la première fois depuis longtemps même si je suce Guy régulièrement je retrouve mes gestes du temps où je faisais la pute.
• Salope, ta bouche est toujours aussi douce, oui j’aime le petit coup de dents que tu viens de me donner, je vois qu’elle te plaît.
Arrête, j’ai un autre fantasme non réalisé avec toi et comme le disait ton site Natacha n’a aucun tabou…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
la suite à 22 heures
tres excitant le beau pere est parfait j adore ce genre de complicité
J'ai adorer !
Comme toutes les autre histoires d'ailleurs, serait-il possible d'échanger quelques mails ?
Je vous laisse l'adresse ou me joindre.
Comme toutes les autre histoires d'ailleurs, serait-il possible d'échanger quelques mails ?
Je vous laisse l'adresse ou me joindre.
vite la suite.